Document d'information

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Document d'information"

Transcription

1 Document d'information Soixante-huitième session du Comité régional RC68/INF/1 Référence pour WPR/RC68/10 : Sécurité sanitaire des aliments 10 août 2017 RÉSUMÉ DE L ÉVALUATION DE LA STRATÉGIE RÉGIONALE DU PACIFIQUE OCCIDENTAL EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ SANITAIRE DES ALIMENTS Contexte En 2011, le Comité régional du Pacifique occidental de l OMS a approuvé la Stratégie régionale du Pacifique occidental en matière de sécurité sanitaire des aliments ( ) (WPR/RC62.R5). La Stratégie proposait des mesures à prendre en priorité pour renforcer les systèmes nationaux de sécurité sanitaire des aliments et obtenir des produits alimentaires sûrs et sains. Elle s articulait sur six thèmes : 1) renforcement du contrôle alimentaire et de la coordination tout au long de la chaîne alimentaire et financement suffisant ; 2) cadres réglementaires fondés sur les risques ; 3) amélioration de la disponibilité des données sur la sécurité sanitaire des aliments pour faciliter la définition des grandes orientations et l analyse des risques ; 4) services d inspection ; 5) éducation et formation en matière de sécurité sanitaire des aliments ; 6) capacité de détecter, d évaluer et de gérer les incidents et situations d urgence en matière de sécurité sanitaire des aliments. En outre, elle soulignait qu il était important de renforcer la coopération au titre de la planification et de la mise en œuvre de stratégies et plans d action régionaux et sous-régionaux en matière de sécurité sanitaire des aliments. Méthodologie L évaluation a été l occasion de mesurer jusqu à quel point les États Membres s étaient dotés des principales capacités requises au titre du Règlement sanitaire international ou RSI (2005) en matière de sécurité sanitaire des aliments, ainsi que de passer en revue les activités nationales et régionales menées à l appui de l exécution de la Stratégie régionale du Pacifique occidental en matière de sécurité sanitaire des aliments ( ). Elle a donné lieu à des visites de pays et à une interaction informelle avec les États Membres et des experts techniques au sujet des progrès enregistrés et des enseignements tirés en matière de sécurité sanitaire des aliments. Le Rapport de situation sur la mise en œuvre de la Stratégie régionale du Pacifique occidental en matière de sécurité sanitaire des aliments ( ) a fait ressortir les avancées engrangées et les difficultés rencontrées dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie entre septembre 2011 et 2014.

2 Des réunions sur le renforcement du Réseau international des autorités de sécurité sanitaire des aliments (INFOSAN) en Asie et sur celui des systèmes de sécurité sanitaire nationaux ont été tenues en 2013 et 2015, respectivement. Elles ont été l occasion d examiner les progrès accomplis et de recenser les difficultés et enjeux associés au renforcement des systèmes nationaux de sécurité sanitaire des aliments en Asie. En 2016, des consultations informelles ont été tenues avec des experts techniques, pour évaluer la mise en œuvre de la Stratégie et recueillir des avis quant aux priorités futures et aux diverses approches envisageables pour le renforcement des systèmes nationaux de sécurité sanitaire des aliments dans la Région. Résultats Grâce à la Stratégie régionale du Pacifique occidental en matière de sécurité sanitaire des aliments ( ), des avancées ont été enregistrées à ce dernier titre. Elle proposait en effet des directives pour l application de mesures propres à améliorer le contrôle des aliments au plan national et à consolider les éléments constitutifs des systèmes en question. La Stratégie a également favorisé la coopération entre pays et partenaires de développement et fait ressortir l importance de la sécurité sanitaire des aliments. Des améliorations ont été observées au titre des six thèmes sur lesquels s articulait la Stratégie, mais à des degrés divers d un État Membre à un autre et selon les thèmes. Les États Membres ont bien progressé dans l établissement des capacités principales requises par le RSI (2005) en matière de sécurité sanitaire des aliments. Globalement, parmi ceux qui ont répondu au questionnaire annuel de suivi RSI, 85 % étaient dotés de telles capacités en 2015 contre 69 % en Toutefois, on enregistre des écarts importants d un pays à l autre. Grâce à la Stratégie régionale en matière du Pacifique occidentale, les autorités chargées de la sécurité sanitaire des aliments ont pu améliorer leurs activités de contrôle et de coordination dans l ensemble de la chaîne alimentaire. Parmi les pays qui ont répondu au questionnaire, le pourcentage de ceux qui ont mis en œuvre des systèmes de gestion relatifs au contrôle de la sécurité sanitaire des aliments est passé de 77 % en 2012 à 89 % en De même, le pourcentage de pays dotés d un mécanisme pour la collaboration multisectorielle en cas d événements liés à la sécurité sanitaire des aliments est passé de 65 % à 95 %, mais il s est révélé ardu de faire fonctionner les mécanismes en question et de les inscrire dans la durée du fait que les stratégies, politiques et plans en matière de sécurité sanitaire des aliments avaient souvent été élaborés selon des modalités différentes d un secteur à l autre. Il en est résulté une moindre efficacité des systèmes de gestion des problèmes 2

3 intersectoriels et des difficultés pour encadrer clairement la gestion des risques liés à la sécurité sanitaire des aliments. On a enregistré des progrès satisfaisants au titre de l élaboration de lois et de réglementations sur l alimentation qui soient conformes aux priorités régionales et aux normes du Codex Alimentarius entérinées par la communauté internationale. Parmi les pays qui ont répondu au questionnaire RSI, la proportion de ceux qui avaient rendu publiques des normes en matière de sécurité sanitaire des aliments est passée de 88 % en 2012 à 95 % en 2015 et celle des pays dotés de lois, réglementations ou politiques sur l alimentation est passée de 96 % à 100 %. Toutefois, de l avis général, il est particulièrement complexe de rendre les cadres réglementaires cohérents d un secteur à l autre et de réunir les moyens nécessaires pour en faire appliquer les dispositions. S agissant des maladies d origine alimentaire, on a observé des améliorations en matière de surveillance, d enquête et d intervention, notamment grâce à la réalisation d études de l alimentation totale. Parmi les répondants au questionnaire RSI, la proportion de pays recueillant et analysant systématiquement des données épidémiologiques liées à la contamination alimentaire est passée de 65 % en 2012 à 68 % en Celle des pays procédant à des échanges d informations opportuns et systématiques entre autorités chargées de la sécurité sanitaire des aliments, unités de surveillance et autres secteurs compétents est passée de 65 % à 95 % sur la même période. Toutefois, dans l optique de l élaboration de politiques fondées sur des données factuelles, il est demeuré difficile de s appuyer sur des données de surveillance des maladies d origine alimentaire et de suivi des produits alimentaires pour procéder à l analyse des politiques et des risques. On observe actuellement une évolution des modalités de l inspection des aliments : traditionnellement, elle visait à faire respecter la réglementation ; on préfère aujourd hui une démarche fondée sur les risques. Selon les données recueillies au moyen du questionnaire de suivi annuel RSI en 2015, 89 % des États Membres étaient dotés de services d inspection des aliments appliquant une telle démarche. Un nombre élevé d inspecteurs a été formé aux principes et pratiques de l approche fondée sur les risques, et des programmes de formation et documents directifs ont été mis au point. On place désormais davantage l accent sur la formation des inspecteurs que sur l instauration de systèmes. En conséquence, les inspecteurs se heurtent à des difficultés pour appliquer la démarche fondée sur les risques tout en s efforçant d améliorer progressivement les pratiques qui subsistent. Au niveau national, on a élaboré des programmes de formation ainsi que des programmes et documents éducatifs en matière de sécurité sanitaire des aliments, que le personnel chargé de la manutention des aliments doit avoir suivi ou connaître. Plusieurs sessions de formation ont été menées 3

4 et des activités de sensibilisation à la sécurité sanitaire des aliments ont été exécutées à titre d exemple, la Journée mondiale de la santé 2015 avait pour thème la sécurité sanitaire des aliments. Parmi les pays ayant répondu au questionnaire RSI, la proportion de ceux qui étaient dotés de mécanismes de communication d informations et de supports leur permettant de fournir informations, éducation et avis aux parties prenantes à chaque étape de la chaîne d approvisionnement de l exploitation à l assiette est passée de 77 % en 2012 à 79 % en Les programmes de formation à la sécurité sanitaire des aliments ont contribué à mieux sensibiliser les populations aux facteurs de risque, mais les comportements n ont guère évolué. La participation limitée des entreprises du secteur alimentaire à l élaboration et à l exécution d activités de formation et d éducation à la sécurité sanitaire des aliments, ainsi que l irrégularité des apports financiers, ont eu des répercussions sur l efficacité et la viabilité des efforts déployés dans ce domaine. Parmi les répondants au questionnaire RSI, la proportion de pays dotés de plans opérationnels pour intervenir en cas d incident lié à la sécurité sanitaire des aliments est passée de 50 % en 2012 à 79 % en Une série de réunions birégionales avec des représentants d États Membres des Régions Asie du Sud-Est et Pacifique occidental de l OMS ont contribué à renforcer l utilisation par les pays du réseau INFOSAN pour échanger rapidement des informations sur la sécurité sanitaire des aliments. En 2014, plus de la moitié (55 %) des pays membres d INFOSAN dans ces deux Régions ont participé à une rencontre consacrée à la sécurité sanitaire des aliments, dont il a été rendu compte au moyen du réseau. Dans les trois quarts des cas, le point de contact INFOSAN Emergency a accusé réception des informations en question dans le délai de 24 heures requis. Toutefois, la disponibilité limitée d informations liées aux incidents et urgences en matière de sécurité sanitaire des aliments, tout comme le manque de clarté des modalités de communication au moyen d INFOSAN au niveau national, ont limité l efficacité de la participation des pays au réseau. Le Groupe de travail sur la coopération en matière de sécurité sanitaire des aliments a été constitué : il facilite les échanges d informations entre partenaires actifs dans le domaine de la sécurité sanitaire des aliments, ce qui permet d améliorer la coordination des activités de renforcement des capacités. Des consultations informelles avec des experts techniques et des représentants des États Membres ont fait apparaître que l évolution du contexte de la sécurité sanitaire des aliments, ainsi que l approche du renforcement des systèmes nationaux de sécurité sanitaire des aliments axée sur leurs composantes, entravaient la réalisation de progrès à l échelle nationale. 4

5 Conclusions Des avancées satisfaisantes ont été réalisées dans le renforcement des systèmes nationaux de sécurité sanitaire des aliments, notamment en ce qui concerne les capacités principales des États Membres requises par le RSI (2005) en matière de sécurité sanitaire des aliments. Toutefois, l évolution du contexte de la sécurité sanitaire des aliments rend plus complexe la gestion des risques et les interventions en cas d incident ou de situation d urgence, ce qui empêche les pays de progresser plus avant. La sécurité sanitaire des aliments demeure un enjeu de santé publique prioritaire pour la Région du Pacifique occidental. Les politiques et la législation en la matière, l inspection des aliments fondée sur les risques et les mesures exécutoires, les informations et les données factuelles, les interventions en cas d incident ou de situation d urgence, ou encore la communication d informations et l éducation, demeurent des éléments constitutifs essentiels des systèmes de sécurité sanitaire des aliments et sont autant de domaines susceptibles d être améliorés. En raison de l évolution du contexte de la sécurité sanitaire des aliments et de la complexité croissante de la gestion des risques en la matière, il est nécessaire d adopter une nouvelle approche, mieux adaptée à la problématique future de la sécurité sanitaire des aliments dans la Région. 5

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

Programme spécial PNUD/FNUAP/OMS/Banque mondiale de recherche, de développement et de formation à la recherche en reproduction humaine (HRP)

Programme spécial PNUD/FNUAP/OMS/Banque mondiale de recherche, de développement et de formation à la recherche en reproduction humaine (HRP) Strategié de renforcement du potentiel de recherche dans les pays en développement via l octroi de bourses pour la formation à la recherche et pour la réintégration Bourses de Formation à la Recherche

Plus en détail

PHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes

PHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes PHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes But Les professionnels de la santé publique suivent de plus en plus une approche fondée sur des données probantes lorsqu il s agit de planifier,

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail

Fiches micro-informatique SECURITE LOGIQUE LOGIxx

Fiches micro-informatique SECURITE LOGIQUE LOGIxx Objectif Fiches micro-informatique SECURITE LOGIQUE LOGIxx Présenter des préconisations pour sécuriser le poste de travail informatique et son environnement sous forme de fiches pratiques. Public concerné

Plus en détail

Les Français et l assurance santé

Les Français et l assurance santé Mai 2013 Contacts : 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français et l assurance santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon :

Plus en détail

Le PTI, cet incompris!

Le PTI, cet incompris! Le PTI, cet incompris! ou dix mythes à détruire pour simplifier le PTI Rencontre des partenaires de la formation 28 avril 2014 Joël Brodeur, infirmier-conseil Direction du développement et du soutien professionnel

Plus en détail

RAPPORT FINAL. Étude sur la littératie financière chez les jeunes POR # 441-07

RAPPORT FINAL. Étude sur la littératie financière chez les jeunes POR # 441-07 POR # 441-07 RAPPORT FINAL Étude sur la littératie financière chez les jeunes Préparé pour : L Agence de la consommation en matière financière du Canada Date du rapport : Août 2008 This report is also

Plus en détail

Tableau récapitulatif de l analyse fréquentielle

Tableau récapitulatif de l analyse fréquentielle Tableau récapitulatif de l analyse fréquentielle Très Plutôt Quelque Ni Quelque Plutôt Très TOTAL peu ni peu 1. L utilité du d inclure le contexte dans la note de stratégie 4% 4% 4% 8% 64% 16% 100% 2.

Plus en détail

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien

Plus en détail

TABLEAU DE BORD DES REFORMES PAR PRIORITE

TABLEAU DE BORD DES REFORMES PAR PRIORITE PILIER: PI- SECURITE NATIONALE REFORMES ETAT NIVEAU DE REALISATION R1-DÉFINIR UNE POLITIQUE NATIONALE DE DÉFENSE ET DE SÉCURITÉ ADAPTÉE AU CONTEXTE ACTUEL DE LA COTE D IVOIRE ET A SON ENVIRONNEMENT RÉGIONAL

Plus en détail

LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ

LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ POURQUOI UNE RÉFORME? Améliorer l État de santé de la population Plus d Équité, Une meilleure couverture, Et La maîtrise des coûts! THÈMES PRIORITAIRES

Plus en détail

Perspectives sur les Politiques Voyages en Europe

Perspectives sur les Politiques Voyages en Europe Perspectives sur les Politiques Voyages en Europe Synthèse de l étude Réalisé par TRW Travel & Expense Management LLC Synthèse de l étude Egencia, la Fondation NBTA et les consultants de TRW Travel and

Plus en détail

FORMATION À LA CERTIFICATION CBCP (CERTIFIED BUSINESS CONTINUITY PROFESSIONAL) BCLE 2000

FORMATION À LA CERTIFICATION CBCP (CERTIFIED BUSINESS CONTINUITY PROFESSIONAL) BCLE 2000 FORMATION À LA CERTIFICATION CBCP (CERTIFIED BUSINESS CONTINUITY PROFESSIONAL) BCLE 2000 Les pratiques professionnelles de la Continuité Métier sont définies comme les aptitudes, connaissances et procédures

Plus en détail

Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena. 28-30 avril 2015

Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena. 28-30 avril 2015 Deuxi ème jour Premier jour Jour 0 Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena 28-30 avril 2015 Date Heure Activité Veille du forum (Hôtel KEMPINSKI) Arrivée

Plus en détail

CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES

CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES Méthode de sélection: les dispositions qui suivent s appliquent lorsqu elles ne sont pas contraires à celles préconisées dans les

Plus en détail

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle

Plus en détail

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Compétences pour les intervenants canadiens en toxicomanie SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Cette documentation est publiée

Plus en détail

Atelier A7. Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité?

Atelier A7. Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité? Atelier A7 Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité? 1 Intervenants Jean-Pierre Hottin Associé, PWC jean-pierre.hottin@fr.pwc.com Annie Bressac Directeur de l audit et du contrôle

Plus en détail

Outil : Grille d entretien annuel individuel d évaluation ENTRETIEN ANNUEL

Outil : Grille d entretien annuel individuel d évaluation ENTRETIEN ANNUEL Outil : Grille d entretien annuel individuel d évaluation NOM : Prénom : Né (e) le : Fonction : Occupée depuis le : Date du précédent entretien : Date de l entretien : Entretien mené par :... ENTRETIEN

Plus en détail

FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE

FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la

Plus en détail

demain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS

demain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS ACDIC Aujourd hui & demain A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS D. QUATRE THEMES D ACTIONS PRIORITAIRES E. NOS AMBITIONS

Plus en détail

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion

Plus en détail

MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE

MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE MEMORANDUM MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE Novembre 2013 1. CONTEXTE DU MEMORANDUM Le Sénégal, à l image des pays de la

Plus en détail

Désignation/mise en place des points focaux nationaux RSI

Désignation/mise en place des points focaux nationaux RSI 1 GUIDE DES POINTS FOCAUX NATIONAUX RSI Désignation/mise en place des points focaux nationaux RSI 1. Introduction Le Règlement sanitaire international (2005) (RSI(2005)) définit un point focal national

Plus en détail

INTRODUCTION. Cadre d évaluation de la qualité des données (CEQD) (juillet 2003)

INTRODUCTION. Cadre d évaluation de la qualité des données (CEQD) (juillet 2003) INTRODUCTION Cadre d évaluation de la qualité des données (CEQD) (juillet 2003) Le cadre d évaluation des données (CEQD) propose une structure qui permet d évaluer la qualité des données en comparant les

Plus en détail

Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional

Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut

Plus en détail

Améliorer la Performance des Fournisseurs

Améliorer la Performance des Fournisseurs Les Solutions SQA de Solumina L Assurance Qualité Fournisseur Figure 1 Influence sur les affaires de nos clients actuels. Réduire des Stocks lors des Inspections Le Système de Contrôle Qualité Fournisseurs

Plus en détail

Nantes, le 22 décembre 2014. Monsieur le Directeur IONISOS Zone industrielle Les Chartinières 01120 DAGNEUX

Nantes, le 22 décembre 2014. Monsieur le Directeur IONISOS Zone industrielle Les Chartinières 01120 DAGNEUX RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE NANTES N/Réf. : CODEP-NAN-2014-056821 Nantes, le 22 décembre 2014 Monsieur le Directeur IONISOS Zone industrielle Les Chartinières 01120 DAGNEUX Objet Contrôle des installations

Plus en détail

Étude sur la compétitivité des administrations cantonales

Étude sur la compétitivité des administrations cantonales Étude sur la compétitivité des administrations cantonales réalisée pour les Chambres de commerce latines Avril 2015 2 1. Descriptif de la recherche Contexte et méthodologie 3 La 7 ème vague de l étude

Plus en détail

Guide de travail pour l auto-évaluation:

Guide de travail pour l auto-évaluation: Guide de travail pour l auto-évaluation: Gouvernance d entreprise comité d audit Mars 2015 This document is also available in English. Conditions d application Le Guide de travail pour l auto-évaluation

Plus en détail

Texte destine a etre pre'sente lors des interventions topiques sur

Texte destine a etre pre'sente lors des interventions topiques sur le secteur prive. A ") r Distr.: LIMITEE E/ECA/UNCTAD/18 NATIONS UNIES, COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'AFRIQUE 20 fevrier 1995 Original : FRANCAIS I CONFERENCE SUR LE COMMERCE ET L'INVESTISSEMENT EN AFRIQUE

Plus en détail

Système de management H.A.C.C.P.

Système de management H.A.C.C.P. NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février

Plus en détail

INVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT

INVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT INVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT LA SECURITE ALIMENTAIRE DANS L INDIANOCEANIE INVESTIR DANS LA PRODUCTION AGRICOLE 25-27 MARS

Plus en détail

ANALY ANAL S Y E S PR

ANALY ANAL S Y E S PR ANALYSE PROSPECTI IVE DES MÉTIERS DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS AUDA BATIMENT MÉTIERS DE LA PLOMBERIE NOVEMBRE 2014 1 1. L emploi 1 086 plombiers en 20122 soit 4% des salariéss de la production du

Plus en détail

L externalisation des activités bancaires en France et en Europe

L externalisation des activités bancaires en France et en Europe ÉTUDES L externalisation des activités bancaires en France et en Europe Si l externalisation des activités (outsourcing) est un phénomène courant au sein des entreprises non financières en Europe, comme

Plus en détail

LE référentiel des métiers

LE référentiel des métiers LE référentiel des métiers 2 Le référentiel des métiers de Pôle emploi FILIÈRE RELATION DE SERVICES Métiers MISSIONS ACTIVITÉS COMPÉTENCES Le référentiel des métiers de Pôle emploi 3 4 Le référentiel des

Plus en détail

Définir et consolider son projet associatif

Définir et consolider son projet associatif FICHE PRATI QUE Définir et consolider son projet associatif L association se place sous le signe de la liberté : celle de se regrouper pour prendre collectivement une initiative. De l idée à la conception,

Plus en détail

Cent huitième session. Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL

Cent huitième session. Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL Août 2011 F COMITÉ DU PROGRAMME Cent huitième session Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL Résumé Le présent document fait suite à une demande formulée

Plus en détail

1. NON SALARIE AGRICOLE EXERÇANT PLUSIEURS ACTIVITES DE NATURE AGRICOLE

1. NON SALARIE AGRICOLE EXERÇANT PLUSIEURS ACTIVITES DE NATURE AGRICOLE Les chefs d exploitation ou d entreprise agricole peuvent exercer plusieurs activités simultanément, sous forme d entreprise individuelle ou sous forme sociétaire. Ces activités peuvent être : 1- de nature

Plus en détail

Qu'est-ce qu'un virus?

Qu'est-ce qu'un virus? Page Page 2 Qu'est-ce qu'un virus? Un virus est un programme qui a plusieurs objectifs distincts : -le principe même d un virus est de s'étendre de machine en machine (le code est dit auto-reproductible).

Plus en détail

Objet du document CAHIER DES CHARGES PRESTATION DE NETTOYAGE. Type de document : CDC. Cahier des charges pour la fourniture de prestation de nettoyage

Objet du document CAHIER DES CHARGES PRESTATION DE NETTOYAGE. Type de document : CDC. Cahier des charges pour la fourniture de prestation de nettoyage Type de document : CDC Cahier des charges auteur HC Objet du document Cahier des charges pour la fourniture de prestation de nettoyage 1 de 11 CDC nettoyage.docx TABLE DES MATIERES 1 PRESENTATION DE CAP

Plus en détail

Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement

Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Depuis la création de Syngenta en 2000, nous avons accordé la plus haute importance à la santé, à la sécurité et à l environnement (SSE) ainsi qu

Plus en détail

FICHE DE DESCRIPTION DE POSTE SOUS DIRECTION DES PERSONNELS CONTRACTUELS BUREAU DES VOLONTAIRES INTERNATIONAUX RH3D DESCRIPTION DU POSTE

FICHE DE DESCRIPTION DE POSTE SOUS DIRECTION DES PERSONNELS CONTRACTUELS BUREAU DES VOLONTAIRES INTERNATIONAUX RH3D DESCRIPTION DU POSTE FICHE DE DESCRIPTION DE POSTE SOUS DIRECTION DES PERSONNELS CONTRACTUELS BUREAU DES VOLONTAIRES INTERNATIONAUX RH3D ( à retourner dactylographiée 4 mois avant la date de recrutement souhaitée) PAYS : CHINE

Plus en détail

Yourcegid Consolidation On Demand

Yourcegid Consolidation On Demand Yourcegid Consolidation On Demand LS -YC Consolidation - OD - 04/2012 LIVRET SERVICE YOURCEGID CONSOLIDATION ON DEMAND ARTICLE 1 : OBJET Le présent Livret Service fait partie intégrante du Contrat et ce

Plus en détail

OFFRE DE FORMATIONS MÉTIERS DU TOURISME SOCIAL ET FAMILIAL

OFFRE DE FORMATIONS MÉTIERS DU TOURISME SOCIAL ET FAMILIAL OFFRE DE FORMATIONS MÉTIERS DU TOURISME SOCIAL ET FAMILIAL 2013 Uniformation, L organisme paritaire collecteur agréé de l économie sociale FORMATIONS GRATUITES* 2013 * VOIR MOdALITéS de PRISE EN ChARGE

Plus en détail

Étude 2013 sur la. reconnaissance des bénévoles. Contenu. Comment les bénévoles canadiens souhaitent-ils que leurs contributions soient reconnues?

Étude 2013 sur la. reconnaissance des bénévoles. Contenu. Comment les bénévoles canadiens souhaitent-ils que leurs contributions soient reconnues? Étude 2013 sur la reconnaissance des bénévoles Contenu Objectifs et méthodologie de la 2 recherche 3 Principaux résultats 4 Engagement bénévole Reconnaissance des bénévoles 6 Comment les bénévoles canadiens

Plus en détail

Radioscopie de la gestion des risques au sein du secteur public local. Mai 2007

Radioscopie de la gestion des risques au sein du secteur public local. Mai 2007 Mai 2007 Radioscopie de la gestion des risques au sein du secteur public local Suite à l étude menée en 2005 sur les attentes en matière de gestion des risques des collectivités locales dans l Union Européenne,

Plus en détail

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,

Plus en détail

COMMISSION DE SUIVI DE SITE

COMMISSION DE SUIVI DE SITE COMMISSION DE SUIVI DE SITE Centre de traitement multi filière SYCTOM IVRY Paris XIII Centre de tri et déchèterie exploités par SITA IDF SOMMAIRE Bassins versants Présentation du Centre de tri Bilan d

Plus en détail

CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015

CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420

Plus en détail

RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES ELEMENTS DE CONTEXTE

RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES ELEMENTS DE CONTEXTE RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES SUR L EFFICACITE DE L AIDE EXTERIEURE AUX SYSTEMES DE SANTE EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE ELEMENTS DE CONTEXTE L audit réalisé par la Cour des Comptes européennes

Plus en détail

Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être

Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian

Plus en détail

Réseau sur. Médicaments. l Innocuité et l Efficacité des. Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM

Réseau sur. Médicaments. l Innocuité et l Efficacité des. Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM Réseau sur l Innocuité et l Efficacité des Médicaments Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM Instituts de recherche en santé du Canada Canadian Institutes of Health Research Version

Plus en détail

Principaux résultats du questionnaire «Les Villes-Santé : quels enjeux pour les politiques urbaines?»

Principaux résultats du questionnaire «Les Villes-Santé : quels enjeux pour les politiques urbaines?» Nombre de réponses Principaux résultats du questionnaire «Les Villes-Santé : quels enjeux pour les politiques urbaines?» Erwan Le Goff Doctorant en Géographie aménagement de l espace UMR 9 CNRS Espaces

Plus en détail

Evaluation de l impact des indicateurs du. Cost of Doing Business sur le taux de croissance de Maurice

Evaluation de l impact des indicateurs du. Cost of Doing Business sur le taux de croissance de Maurice Evaluation de l impact des indicateurs du Cost of Doing Business sur le taux de croissance de Maurice Janvier 205 TABLE DE MATIERES I. Introduction... II. La Méthodologie... 3 III. Analyse Empirique...

Plus en détail

Les Français ais et l assurance l

Les Français ais et l assurance l Mai 2013 Contacts: 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français ais et l assurance l santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon

Plus en détail

TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO

TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000

Plus en détail

FNSA 91, avenue de la République 75011 PARIS

FNSA 91, avenue de la République 75011 PARIS Dossier de candidature QUALITASS FNSA 91, avenue de la République 75011 PARIS Documents à fournir Option 1 : Pièces à fournir (obligatoire dans le cadre d une première demande) Ou Option 2 : Engagement

Plus en détail

GUIDE DE TRAITEMENT DES RECLAMATIONS CLIENT

GUIDE DE TRAITEMENT DES RECLAMATIONS CLIENT REMERCIEMENTS Nous tenons à remercier toutes les entreprises qui ont bien voulu nous faire part de leurs témoignages. Nous remercions le CERVIA pour nous avoir fourni des contacts indispensables à l établissement

Plus en détail

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.

Plus en détail

Table des matières. Intro SQF BRC. Conclusion. - Introduction et historique du référentiel - Différence version 6 et 7

Table des matières. Intro SQF BRC. Conclusion. - Introduction et historique du référentiel - Différence version 6 et 7 Table des matières Intro SQF - Introduction et historique du référentiel - Différence version 6 et 7 BRC - Introduction et historique du référentiel - Différence version 5 et 6 Conclusion 2 Innovaltech

Plus en détail

CLASSEMENT - NOTE DE CLARIFICATION -

CLASSEMENT - NOTE DE CLARIFICATION - CLASSEMENT DES VILLAGES DE VACANCES - NOTE DE CLARIFICATION - (REVISION 1) Objet Le présent document a pour objet d apporter des clarifications sur les exigences ou méthodologies d évaluation des critères

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe

Plus en détail

COMMENT MET-ON EN PLACE UNE MUTUELLE SOCIALE

COMMENT MET-ON EN PLACE UNE MUTUELLE SOCIALE MINISTÈRE DE LA FAMILLE, DE LA FEMME ET DES AFFAIRES SOCIALES RÉPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE UNION -DISCIPLINE -TRAVAIL DIRECTION DE LA SECURITE SOCIALE ET DE LA MUTUALITE COMMENT MET-ON EN PLACE UNE MUTUELLE

Plus en détail

Votre guide 2013 pour la gestion des déplacements et frais professionnels

Votre guide 2013 pour la gestion des déplacements et frais professionnels Votre guide 2013 pour la gestion des déplacements et frais professionnels La majorité des organisations comptent sur les voyages d affaires pour réaliser leurs objectifs opérationnels, qu il s agisse de

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

FORMATION DU PERSONNEL. Année. Plan prévisionnel 2015 des actions de formation du personnel de l Université du Havre

FORMATION DU PERSONNEL. Année. Plan prévisionnel 2015 des actions de formation du personnel de l Université du Havre DU PERSONNEL Année Plan prévisionnel 2015 des actions de formation du personnel de l Université du Havre 1. LE PLAN DE. L élaboration du plan de formation. La direction des ressources humaines est chargée

Plus en détail

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

COMITE EXECUTIF DU PROGRAMME EXAMEN DE L EVALUATION PORTANT SUR LA CATEGORIE II DE LA RESERVE DES OPERATIONS

COMITE EXECUTIF DU PROGRAMME EXAMEN DE L EVALUATION PORTANT SUR LA CATEGORIE II DE LA RESERVE DES OPERATIONS COMITE EXECUTIF DU PROGRAMME DU HAUT COMMISSAIRE Distr. RESTREINTE EC/57/SC/CRP.13 7 juin 2006 COMITE PERMANENT FRANCAIS 36 e réunion Original: ANGLAIS EXAMEN DE L EVALUATION PORTANT SUR LA CATEGORIE II

Plus en détail

GROUPE GRANDS MOULINS DE STRASBOURG

GROUPE GRANDS MOULINS DE STRASBOURG GRANDS MOULINS DE STRASBOURG S.A. SERVICES ADMINISTRATIFS : 1, Place Henry Levy B.P. 10080-67016 STRASBOURG CEDEX SIEGE SOCIAL : 61, AVENUE D IENA 75116 PARIS CODE ISIN : FR0000064180 Strasbourg le 23

Plus en détail

Coordinateur des ressources humaines - Nzérékoré - GUINEE

Coordinateur des ressources humaines - Nzérékoré - GUINEE Coordinateur des ressources humaines - Nzérékoré - GUINEE L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a

Plus en détail

Analyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012

Analyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012 Analyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012 Depuis 2006, les CCI de Rhône-Alpes, en partenariat avec l ADEME et le Conseil Régional, s attachent à promouvoir la maîtrise

Plus en détail

La surveillance de la fabrication des équipements des centrales nucléaires pour EDF Création de l EMIB

La surveillance de la fabrication des équipements des centrales nucléaires pour EDF Création de l EMIB La surveillance de la fabrication des équipements des centrales nucléaires pour EDF Création de l EMIB Journées Techniques AFIAP du 14 mai 2013 C. Boveyron D. Dhennin (EDF/CEIDRE) 1 1 - CT du lundi 4 octobre

Plus en détail

«Identifier et définir le besoin en recrutement»

«Identifier et définir le besoin en recrutement» «Identifier et définir le besoin en recrutement» LES ETAPES DU RECRUTEMENT Le recrutement est une démarche structurée qui comporte plusieurs étapes aux quelles il faut attacher de l importance. La majorité

Plus en détail

Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI

Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. presse@lexsi.com LEXSI.COM. tgraffeuil@oxygen-rp.com. Contacts presse : OXYGEN Tatiana GRAFFEUIL Audrey SLIWINSKI 01 41 11 37 89

DOSSIER DE PRESSE. presse@lexsi.com LEXSI.COM. tgraffeuil@oxygen-rp.com. Contacts presse : OXYGEN Tatiana GRAFFEUIL Audrey SLIWINSKI 01 41 11 37 89 DOSSIER DE PRESSE Contacts presse : OXYGEN Tatiana GRAFFEUIL Audrey SLIWINSKI 01 41 11 37 89 tgraffeuil@oxygen-rp.com LEXSI Anne BIGEL presse@lexsi.com LEXSI.COM Sommaire INTRODUCTION 1 LEXSI, cabinet

Plus en détail

ECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social

ECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social Nations Unies Conseil économique et social ECE/AC.21/SC/2014/3 Distr. générale 10 septembre 2014 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Réunion de haut niveau sur les transports,

Plus en détail

Charte de l'audit informatique du Groupe

Charte de l'audit informatique du Groupe Direction de la Sécurité Globale du Groupe Destinataires Tous services Contact Hervé Molina Tél : 01.55.44.15.11 Fax : E-mail : herve.molina@laposte.fr Date de validité A partir du 23/07/2012 Annulation

Plus en détail

En collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013

En collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013 En collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013 MARS 2013 INTRODUCTION, METHODOLOGIE Primo France, association dédiée à la gouvernance et à la gestion du risque public,

Plus en détail

Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention

Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention À moins d indications contraires, toutes les définitions

Plus en détail

Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC EN CÖTE D'IVOIRE. Des origines ä nos jours. Preface de Joseph Y. Yao

Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC EN CÖTE D'IVOIRE. Des origines ä nos jours. Preface de Joseph Y. Yao Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC ET POLITIQUE FINANCIERE EN CÖTE D'IVOIRE Des origines ä nos jours Preface de Joseph Y. Yao L'Harmattan TABLE DES MATIERES Avant-propos 7 Preface 9 Sigles et abreviations

Plus en détail

Accès des populations rurales au capital en Agroland

Accès des populations rurales au capital en Agroland PROGRAMME DE FORMATION AUX POLITIQUES DE LA FAO Programme de renforcement des capacités sur les politiques et les stratégies relatives à l'agriculture et au développement rural Ressources en ligne pour

Plus en détail

Réf. : Code de l environnement, notamment ses articles L.592-21 et L.592-22 Code de la santé publique, notamment ses articles L.1333-17 et R.

Réf. : Code de l environnement, notamment ses articles L.592-21 et L.592-22 Code de la santé publique, notamment ses articles L.1333-17 et R. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE NANTES N/Réf. : CODEP-NAN-2014-012919 Nantes, le 19 mars 2014 MARIE SAS Etablissement de Sablé sur Sarthe ZI de l Aubrée 72300 SABLE SUR SARTHE Objet : Inspection de la

Plus en détail

LES DÉPLACEMENTS EN VÉHICULES un risque pour l entreprise

LES DÉPLACEMENTS EN VÉHICULES un risque pour l entreprise LES DÉPLACEMENTS EN VÉHICULES un risque pour l entreprise Guide de sensibilisation ACCIDENTS DE CIRCULATION AU TRAVAIL Mission - Trajet LES ENJEUX DE LA PREVENTION DU RISQUE ROUTIER ENCOURU PAR LES SALARIES

Plus en détail

Règlement de Fonctionnement

Règlement de Fonctionnement Règlement de Fonctionnement Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs Le règlement de fonctionnement est établi conformément aux dispositions du décret N 2008-1504 du 30 décembre 2008.

Plus en détail

Notre communication sur le progrès 2007 s'articule autour de la NORMES DU TRAVAIL (principe 6).

Notre communication sur le progrès 2007 s'articule autour de la NORMES DU TRAVAIL (principe 6). 2. ACTIONS 2007 Notre communication sur le progrès 2007 s'articule autour de la NORMES DU TRAVAIL (principe 6). GUIBAN SA a mis en place un Plan de progrès en collaboration avec l'organisme Professionnel

Plus en détail

Transfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN)

Transfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN) 1 TERMS OF REFERENCE Pour l Evaluations Externe d ACF Transfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN) Programme Financé par PAM Référence du Contrat CI D4C 20 septembre

Plus en détail

FORMULAIRE DE DEMANDE DE CLASSEMENT D UN OFFICE DE TOURISME DE CATEGORIE II 1/7

FORMULAIRE DE DEMANDE DE CLASSEMENT D UN OFFICE DE TOURISME DE CATEGORIE II 1/7 FORMULAIRE DE DEMANDE DE CLASSEMENT D UN OFFICE DE TOURISME DE CATEGORIE II 1/7 DEMANDE DE CLASSEMENT D UN OFFICE DE TOURISME DE CATEGORIE II (Code du tourisme : art. L.133-1 et suivants, D. 133-20 et

Plus en détail

ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES La Direction de Distribution Casino France, représentée par M. Gérard MASSUS, Directeur des Ressources

Plus en détail

Observatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012. OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges

Observatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012. OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges Observatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012 OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges OpinionWay, 15 place de la République, 75003 Paris. Méthodologie Étude quantitative

Plus en détail

Révision du Règlement sanitaire international

Révision du Règlement sanitaire international RESOLUTIONS ET DECISIONS 9 WHA58.3 Révision du Règlement sanitaire international La Cinquante-Huitième Assemblée mondiale de la Santé, Ayant examiné le projet de Règlement sanitaire international révisé

Plus en détail

Serveur Hôte : Serveur physique configuré et administré par GROUPE PULSEHEBERG.

Serveur Hôte : Serveur physique configuré et administré par GROUPE PULSEHEBERG. Conditions Générales de Vente et d Utilisation (CGV / CGU) Lexique Serveur Hôte : Serveur physique configuré et administré par GROUPE PULSEHEBERG. Hébergement mutualisé : Également appelé hébergement web,

Plus en détail

Yourcegid Fiscalité On Demand

Yourcegid Fiscalité On Demand Yourcegid Fiscalité On Demand LS -YC Fiscalité - OD - 06/2012 LIVRET SERVICE YOURCEGID FISCALITE ON DEMAND ARTICLE 1 : OBJET Le présent Livret Service fait partie intégrante du Contrat et ce conformément

Plus en détail

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description

Plus en détail

AU BURKINA FASO GUIDE TECHNIQUE POUR LA SURVEILLANCE INTEGREE DE LA MALADIE ET LA RIPOSTE (SECTION 1 A 8 : ETAPES DE LA SURVEILLANCE)

AU BURKINA FASO GUIDE TECHNIQUE POUR LA SURVEILLANCE INTEGREE DE LA MALADIE ET LA RIPOSTE (SECTION 1 A 8 : ETAPES DE LA SURVEILLANCE) MINISTERE DE LA SANTE BURKINA FASO ------------- Unité Progrès Justice SECRETARIAT GENERAL ------------- DIRECTION GENERALE DE LA PROTECTION SANITAIRE ------------- DIRECTION DE LA LUTTE CONTRE LA MALADIE

Plus en détail

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) F CDIP/5/7 REV. ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 21 JUILLET 2010 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Cinquième session Genève, 26 30 avril 2010 PROJET RELATIF À LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Plus en détail

PROCEDURE D AGREMENT EN QUALITE DE BANQUE ET ETABLISSEMENT FINANCIER

PROCEDURE D AGREMENT EN QUALITE DE BANQUE ET ETABLISSEMENT FINANCIER PROCEDURE D AGREMENT EN QUALITE DE BANQUE ET ETABLISSEMENT FINANCIER PREFACE Dans le cadre de la mise en œuvre et du renforcement de la politique d'intégration sous-regionale, le Conseil des Ministres

Plus en détail

LE «COQ» ET LES COUTS RESULTANT DE LA NON-QUALITE

LE «COQ» ET LES COUTS RESULTANT DE LA NON-QUALITE LE «COQ» ET LES COUTS RESULTANT DE LA NON-QUALITE Finalité de la démarche Evaluer les coûts résultant de la non-qualité.. Prérequis Notions élémentaires sur la démarche qualité et ses outils. 1 Les définitions

Plus en détail