(Il peut y avoir un calcul du type «Qté C.U.» mais le montant est affecté sans difficulté, sans arbitraire, à un coût déterminé.)
|
|
- Julien Mercier
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chap. 2 : Le calcul des coûts (complets constatés) par la méthode des centres d analyse 1 re partie : Les fondements de la méthode des centres d analyse La méthode ou modèle des centres d analyse est une méthode de calcul des coûts proposée par le PCG C est la méthode traditionnelle (classique) du calcul des coûts complets par fonction et par produit. La méthode repose sur la distinction entre charges directes et charges indirectes et consiste à proposer un traitement particulier des charges indirectes. I- La distinction entre charges directes et charges indirectes A) Les charges directes Une charge est directe s il est possible de l affecter immédiatement, sans calcul intermédiaire, au coût d un élément déterminé (coût d une matière, d un produit, d une commande, d une usine...). (Il peut y avoir un calcul du type «Qté C.U.» mais le montant est affecté sans difficulté, sans arbitraire, à un coût déterminé.) Exemples de charges directes : Nature des charges Affectation directe aux coûts suivants Prix d achat d une matière M Salaire des ouvriers affectés à la fabrication d un seul produit P (MOD) Coût d achat de la matière M consommée pour produire deux produits P1 et P2 Ce dernier exemple pour écarter une idée fausse : «une charge directe est une charge qui ne concerne qu un seul coût»... : La charge concerne deux coûts mais elle est directe par rapport à chacun d eux, il suffit de connaître la consommation de M pour chaque produit. B) Les charges indirectes Une charge est indirecte si elle concerne plusieurs coûts (les coûts de plusieurs matières, plusieurs produits, usines, commandes...) et si elle nécessite un calcul intermédiaire (un traitement préalable) pour être imputée au coût d un élément déterminé (une matière, un produit...). 1 / 5
2 Exemples de charges indirectes : Nature des charges Charge d approvisionnement : Loyer d un entrepôt où sont stockées deux matières : M1 et M2 Imputation aux coûts suivants Coûts d achat des matières M1 et M2 Charge de production : Amortissement d un matériel industriel utilisé pour fabriquer plusieurs produits Coûts de production des différents produits fabriqués Charges hors production : Charges de distribution (transports, salaires, loyers ) Charges de la direction et des services administratifs (comptabilité, personnel...) Coûts de revient des produits Les charges indirectes ne peuvent pas être affectées sans ambiguïté à un coût déterminé, leur imputation aux coûts comporte toujours une certaine dose d arbitraire (la répartition de la charge entre les coûts concernés varie en fonction du mode d imputation retenu : proportionnellement à des quantités, des valeurs...). La méthode des centres d analyse (ou des sections homogènes) propose une technique, une procédure qui permet d imputer les charges indirectes aux coûts (en essayant de réduire l arbitraire de cette imputation). Cf. Cas Durand : Charges directes et indirectes 2 / 5
3 II- Définitions : Les centres d analyse et les unités d œuvre (et assiettes de frais) Exemple : Tableau de répartition des charges indirectes (d une période, un mois en général) Charges indirectes Centres auxiliaires Administration Gestion du personnel Centres d'analyse Centres principaux Approvisionnement Production Distribution Fournitures consommables Eau et énergie Locations Charges de personnel autres charges Charges supplétives Totaux primaires Répartition secondaire : Administration Gestion du personnel Totaux secondaires Nature de l'unité d'œuvre (ou de l'assiette de frais) Nombre d'unités d'œuvre (ou assiette de frais) Coût de l'unité d'œuvre (ou taux de frais) Total Kg de matière Heure machine 100 de CA ,41 4,45 9,30 12,18 A) Les centres d analyse Un centre d analyse est une division (un sous-ensemble) de l entreprise qui permet de regrouper (d analyser) des charges indirectes préalablement à leur imputation aux coûts. Les centres d analyse correspondent généralement à des «centres de travail» i.e. à des divisions fonctionnelles de l organigramme de l entreprise telles que des bureaux, des services, des ateliers et des magasins. Un centre d analyse doit avoir en principe une activité homogène (acheter / produire / vendre / gérer). B) Les unités d œuvre et les assiettes de frais Les unités d œuvre (et les assiettes de frais) sont des «unités d imputation» (clés de répartition) des charges indirectes des centres d analyse aux coûts des matières et des produits. Les unités d œuvres sont des unités physiques représentatives de l activité d un centre. Exemples d unités d œuvre : Centre d approvisionnement :... Centre de production :... 3 / 5
4 Les assiettes de frais sont des unités monétaires. Exemples d assiettes de frais :... Le modèle des centres d analyse repose sur l hypothèse qu il existe une certaine proportionnalité entre les unités d œuvre (ou les assiettes de frais) et les charges indirectes regroupées dans un centre (les charges indirectes augmentent avec le nombre d unités d œuvre), ce qui justifie l imputation des charges indirectes proportionnellement au nombre d unités d œuvre consommées par une matière ou un produit. C) Les centres principaux et les centres auxiliaires Les centres principaux sont les centres qui participent directement au processus de production de l entreprise (approvisionnement, production et distribution) : les charges de ces centres sont directement imputées aux coûts calculés (coûts d achat des matières, coûts de production des produits...) à l aide des unités d œuvre ou des assiettes de frais. Les centres auxiliaires fournissent des prestations aux autres centres (principaux ou auxiliaires) : les charges de ces centres sont réparties entre les autres centres (répartition secondaire). Exemples de centres auxiliaires : les centres «gestion du personnel» et «gestion du matériel». 4 / 5
5 III- Le choix des unités d œuvre et des assiettes de frais Lorsqu il existe plusieurs unités d œuvre (ou assiettes de frais) possibles pour un centre d analyse, il faut retenir celle dont le nombre (ou le montant) est en corrélation (linéaire) la plus forte avec le coût du centre : Les charges indirectes d un centre pour une période donnée (un mois par exemple) doivent être, en principe, proportionnelles au nombre d unités d œuvre de la période (i.e. à l activité du centre) : le coût de l u.o. est (relativement) stable au cours du temps (si on ne tient pas compte des charges fixes). x : Nombre d unités d œuvre (variable : x 1 pour le mois 1, x 2 pour le mois 2...) y : Coût total du centre (variable : y 1 pour le mois 1, y 2 pour le mois 2...) y1 y2 L a (constante) = coût de l'unité d'oeuvre x x 1 2 («a» peut varier d une période à l autre mais de façon raisonnable.) La relation est donc du type linéaire : y = a.x Ou, si on admet l existence de charges fixes (indépendantes du niveau d activité) : y = a.x + b (équation d une droite) L u.o. à retenir est donc celle pour laquelle tous les (x i, y i ) sont proches d une droite du type y = a.x + b i.e. celle pour laquelle le coefficient de corrélation linéaire est le plus proche de 1. Coût du centre (y i) Droite d ajustement : y = ax + b Nombre d u.o. (x i) Forte corrélation : coefficient de corrélation linéaire proche de 1 (0,98) Faible corrélation : coefficient proche de 0 (0,28) (NB : Coût de l u.o. = y / x = a + b / x = Coût variable de l u.o. + Coût fixe de l u.o.) Cf. Document : Le calcul du coefficient de corrélation linéaire (exemple) Cf. Cas Oméga : Choix d une unité d œuvre (calculette et/ou tableur) 5 / 5
Analyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts
Analyse des coûts Les techniques de calcul et d analyse des coûts portent le nom de comptabilité analytique ou comptabilité de gestion. Ces deux termes seront utilisés indifféremment dans ce cours. Contrairement
Plus en détailwww.btsag.com 31 Coûts complets
www.btsag.com 31 Coûts complets Claude Terrier btsag.com 1/24 11/10/2010 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre
Plus en détailFormation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation)
Formation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation) Fit for Business (PME)? Pour plus de détails sur les cycles de formation PME et sur les businesstools, aller sous www.banquecoop.ch/business
Plus en détailLES COÛTS PRÉÉTABLIS ET LES ÉCARTS TOTAUX
7 LES COÛTS PRÉÉTABLIS ET LES ÉCARTS TOTAUX 1. LES PRINCIPES 196 2. L ÉLABORATION DES COÛTS PRÉÉTABLIS 198 3. MODÈLE GÉNÉRAL D ANALYSE DES ÉCARTS 202 4. LES ÉCARTS TOTAUX 203 5. PREMIÈRE ANALYSE DES ÉCARTS
Plus en détailLES COUTS PARTIELS...
Sommaire LES COUTS PARTIELS... 2 EXERCICE 1... 2 EXERCICE 2... 2 EXERCICE 3... 2 EXERCICE 4... 3 EXERCICE 5... 3 LES COUTS COMPLETS... 5 EXERCICE 1... 5 EXERCICE 2... 6 EXERCICE 3... 7 EXERCICE 4... 10
Plus en détail- la mise en place du contrôle budgétaire est souvent mal vécue, car perçue comme une sanction par le personnel de l entreprise.
C H A P I T R E 7 Le contrôle budgétaire Objectifs Le contrôle budgétaire permet de comparer les réalisations avec les prévisions. Déceler les écarts significatifs, les analyser et prendre des mesures
Plus en détailLa comptabilité de gestion : Fiche pourquoi?
La comptabilité de gestion : Fiche pourquoi? 1 Définition Selon le plan comptable général, la comptabilité de gestion fait apparaître deux aspects : Connaître les coûts et les résultats par produit. Agir
Plus en détailCHAPITRE 4 LA VALORISATION DES STOCKS COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE SEMESTRE 2 DUT TC
COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE SEMESTRE 2 DUT TC CHAPITRE 4 LA VALORISATION DES STOCKS CORINNE ZAMBOTTO - COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE IUT SENART-FONTAINEBLEAU 1 I. LA PLACE DES STOCKS DANS LE CYCLE
Plus en détailCONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 CLASSES DE TERMINALE
CONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 T E C H N I Q U E C O M P T A B L E DOSSIER I : COMPTABILITE ANALYTIQUE La société K fabrique deux produits P 1 et P 2 et un sous
Plus en détailChap. 9 : L affectation du résultat
1 / 9 Chap. 9 : L affectation du résultat L affectation du résultat de l exercice N est une opération de l exercice suivant N+1. Les bénéfices peuvent être maintenus dans l entreprise (mis en réserves)
Plus en détailChapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts. Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA
Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA Objectif du chapitre Faire la différence entre les coûts et les charges Définir les inducteurs
Plus en détail- 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES
- 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES Objectif(s) : o o Pré-requis : o Modalités : Relation Besoin en Fonds de Roulement (B.F.R.) et Chiffre d'affaires (C.A.), Eléments variables
Plus en détailafférent au projet de décret relatif aux obligations indexées sur le niveau général des prix
CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ Note de présentation - Avis N 2002-11 du 22 octobre 2002 afférent au projet de décret relatif aux obligations indexées sur le niveau général des prix Sommaire I - Rappels
Plus en détailGuide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de
Guide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de l ANR 1. INTRODUCTION...3 2. PRINCIPES GENERAUX...4 2.1. Assiette et taux de l aide... 4 2.2. TVA... 5 2.3. Règles spécifiques
Plus en détailLes corrigés des examens DPECF - DECF
48h après l examen sur www.comptalia.com 1 ère Ecole en ligne des professions comptables Spécialiste des préparations à l'expertise Comptable et des formations en compta-gestion via Internet Les corrigés
Plus en détailEstimer le coût de revient d un produit agroalimentaire : la méthode du coût direct simplifié
GRET agridoc Estimer le coût de revient d un produit agroalimentaire : la méthode du coût direct simplifié Date(s) de l expérience 2000-2004 Mise en œuvre Gret Zone géographique Global - Afrique Mots clés
Plus en détailqff TD4 - Calcul du résultat par la méthode du coût variable I) Distinction entre charges variables et charges lïxes 2ème année LicenceAES TD4
2ème année LicenceAES - Calcul du résultat par la méthode du coût variable La rentabilité est un indicateur de I'effrcacité économique et financière. Elle représente l'aptitude d'une organisation productive
Plus en détailLa comptabilité analytique : un outil indispensable pour la gestion et le suivi des projets.
La comptabilité analytique : un outil indispensable pour la gestion et le suivi des projets. STAND 114 SOMMAIRE 1. Rôles et objectifs de la comptabilité analytique a) Rôle b) Objectifs 2. Organisation
Plus en détailChapitre 3 : Le budget des ventes. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 3
Chapitre 3 : Le budget des ventes Introduction 2 Rappel des différents budgets opérationnels - budget des ventes (chapitre 3) - budget de production (chapitre 4) - budget des approvisionnements et des
Plus en détailL entreprise A.B.C est une société anonyme au capital de 1 200 000 DH.
Concours d accès en troisième année Programme Grande Ecole Session de Septembre 2011 Epreuve de Comptabilité Générale & Analytique Durée : 3 heures -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailLE BUDGET DES VENTES
LE BUDGET DES VENTES Objectif(s) : o Pré requis : o Modalités : o o o Elaboration du budget des ventes. Connaissances du processus "ventes". Principes, Synthèse, Application. TABLE DES MATIERES Chapitre
Plus en détailLE CONCEPT VADWAY et le «CONTRÔLE DE GESTION»
Le concept de VAD (Valeur Ajoutée Directe), est à la base de nos missions portant sur le «Contrôle de gestion», appliqué aux PME. 1. LE CONCEPT LA VALEUR AJOUTEE DIRECTE (VAD) Rappel : L entreprise achète,
Plus en détailCOMPTABILITÉ DE GESTION
COMPTABILITÉ DE GESTION Direction du développement des entreprises Préparé par Jacques Villeneuve c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications : septembre 1997 Réédité par la Direction
Plus en détailLES SCPI CHEZ SPIRICA Description et méthodes de valorisation MARS 2013
1 LES SCPI CHEZ SPIRICA Description et méthodes de valorisation MARS 2013 2 Sommaire Contexte et objectifs 3 Les Principales Caractéristiques des SCPI 4 Les SCPI dans un contrat Spirica 13 Exemple de calculs
Plus en détailUNIVERSITE DE SFAX Ecole Supérieure de Commerce
UNIVERSITE DE SFAX Ecole Supérieure de Commerce Année Universitaire 2003 / 2004 Auditoire : Troisième Année Etudes Supérieures Commerciales & Sciences Comptables DECISIONS FINANCIERES Note de cours N 2
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailModule 02 - Leçon 02 : Classification des charges et des produits
Module 02 - Leçon 02 : Classification des charges et des produits En comptabilité générale les charges et les produits sont classés par nature (par exemple pour les charges : 60 Achat, 61 Services extérieurs,
Plus en détailSEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation
SEP 2B juin 20 12 Guide méthodologique de calcul du coût d une Sommaire Préambule 3 Objectif et démarche 3 1 Les objectifs de la connaissance des coûts 4 2 Définir et identifier une 5 Calculer le coût
Plus en détailCOURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE
COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE F. ENGEL Mars 2005 F. KLETZ 2 3 SOMMAIRE AVERTISSEMENT AU LECTEUR...5 INTRODUCTION GENERALE...6 Chapitre I : INTRODUCTION DES MODELES DIFFERENTS POUR DES USAGES DISTINCTS...9
Plus en détailPROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE <<MESURES D ACCOMPAGNEMENT>> (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE)
1 PROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE) STRATEGIE DE DISTRIBUTION DES CARTES PREPAYEES 2 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION... 3 1.
Plus en détailREPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES
REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES UNITES ET VARIABLES A REPERTORIER SEMINAIRE DU CEFIL SUR L AVANCEMENT DES TRAVAUX CONCERNANT LA MISE EN PLACE D UN REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL
Plus en détailGESTION BUDGETAIRE. BTS MUC, Gestion commerciale. Lycée Charles de Gaulle Vannes 56 000 INTRODUCTION :
BTS MUC, Gestion commerciale. GESTION BUDGETAIRE INTRODUCTION : Les outils statistiques permettent de chiffrer l activité d une entreprise (méthode Mayer, lissages, régression linéaire), la gestion budgétaire
Plus en détailL empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés
L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires
Plus en détailPôle de Dakar S IMUL ATIONS. 1 Utiliser un taux d accroissement pour une simulation
FORMULAIRE ATELIER S IMUL ATIONS 1 Utiliser un taux d accroissement pour une simulation La projection de certaines variables se base sur une hypothèse de taux de croissance annuelle régulier et constant.
Plus en détailq u estions santé d économie de la résultats Repères
Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé résultats Repères Fin 2003, l Irdes a mené une enquête sur la protection sociale complémentaire d entreprise (PSCE) auprès
Plus en détailLogistique, Transports
Baccalauréat Professionnel Logistique, Transports 1. France, juin 2006 1 2. Transport, France, juin 2005 2 3. Transport, France, juin 2004 4 4. Transport eploitation, France, juin 2003 6 5. Transport,
Plus en détailIV - DETERMINATION DES COUTS
Cterrier.com 1/6 06/01/2005 Initiation à la gestion Quantitative d une entreprise Auteur : C. Terrier ; mailto:webmaster@cterrier.com ; http://www.cterrier.com Utilisation : Reproduction libre pour des
Plus en détailProgrammation Linéaire - Cours 1
Programmation Linéaire - Cours 1 P. Pesneau pierre.pesneau@math.u-bordeaux1.fr Université Bordeaux 1 Bât A33 - Bur 265 Ouvrages de référence V. Chvátal - Linear Programming, W.H.Freeman, New York, 1983.
Plus en détailPRIX DE VENTE À L EXPORTATION GESTION ET STRATÉGIES
PRIX DE VENTE À L EXPORTATION GESTION ET STRATÉGIES Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Jacques Villeneuve, c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications
Plus en détailREGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière
REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière Ce document a pour objet de décrire l ensemble des règles d imputation des dépenses et de préciser les biens pouvant être considérés comme des
Plus en détailConcours d entrée en Economie, printemps 2010. Test des connaissances en Technique Quantitative de Gestion
Concours d entrée en Economie, printemps 2010 Nom: Prénom: Test des connaissances en Technique Quantitative de Gestion Points Obtenus Points Maximum Exercice 1 27 Exercice 2 15 Exercice 3 10 Exercice 4
Plus en détailAnnexe commune aux séries ES, L et S : boîtes et quantiles
Annexe commune aux séries ES, L et S : boîtes et quantiles Quantiles En statistique, pour toute série numérique de données à valeurs dans un intervalle I, on définit la fonction quantile Q, de [,1] dans
Plus en détailLes mécanismes de transmission de la politique monétaire
Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments
Plus en détailELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE
Plus en détailNouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes
Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Pages 4 à 48 barèmes 4 à 48 donnes Condensé en une page: Page 2 barèmes 4 à 32 ( nombre pair de donnes ) Page 3 Tous les autres barèmes ( PV de
Plus en détailSystème de bonus-malus SBM 07 Assurance contre les accidents non professionnels
Système de bonus-malus SBM 07 Assurance contre les accidents non professionnels Principes de base et application du SBM 07 Le SBM 07 détermine le montant des primes des moyennes entreprises en tenant compte
Plus en détailLes SCPI. François Longin 1 www.longin.fr
Programme ESSEC Gestion de patrimoine Séminaire i «L investissement t immobilier» Les SCPI François Longin 1 www.longin.fr Généralités sur les SCPI SCPI Borloo Plan Processus d investissement (sélection
Plus en détailCHAPITRE IV : LE PLAN COMPTABLE SYSCOA
CHAPITRE IV : LE PLAN COMPTABLE SYSCOA La comptabilité générale n est pas seulement nécessaire pour le Chef d entreprise, elle répond aussi à des besoins d informations comptables pour les partenaires,
Plus en détailMASTER I : Responsable en Gestion Métiers du Management Commercial Titre RNCP II
MASTER I : Responsable en Gestion Métiers du Management Commercial Titre RNCP II Sommaire 1.Les Tourelles en quelques mots... 2 2. Le CNAM en quelques mots... 3 3. Objectifs de la formation... 4 4. Poursuites
Plus en détailRelation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire
CHAPITRE 3 Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire Parmi les analyses statistiques descriptives, l une d entre elles est particulièrement utilisée pour mettre en évidence
Plus en détailElaboration et Suivi des Budgets
Elaboration et Suivi des Budgets 1 1- La Notion Du contrôle de Gestion 2- La Place du Contrôle de Gestion dans le système organisationnel 3- La Notion des Centres de responsabilité 4- La procédure budgétaire
Plus en détailDOSSIER N 4: LES COUTS FIXES ET VARIABLES EN LOGISTIQUE
BAC PRO LOGISTIQUE: GESTION QUANTITATIVE DOSSIER N 4: LES COUTS IXES ET VARIABLES EN LOGISTIQUE Objectif : Calcul et appréciation des différents coûts logistiques.(rappels) Dans l optique de la réalisation
Plus en détailLes marchés financiers sont-ils rationnels?
Les marchés financiers sont-ils rationnels? Une expérience de marché financier Céline Jullien, docteur Bernard Ruffieux, professeur à l Université Pierre Mendès France et à l ENSGI, Grenoble. Une expérience
Plus en détailDans tous les cas, pour le chef d entreprise, le représentant légal ou le directeur de l établissement principal ou du siège
Dans tous les cas, pour le chef d entreprise, le représentant légal ou le directeur de l établissement principal ou du siège (sauf «autres changements n entrainant pas de modification de la carte») Copie
Plus en détailAC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =
LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste
Plus en détailL ANALYSE COUT-EFFICACITE
L ANALYSE COUT-EFFICACITE 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L analyse coût-efficacité est un outil d aide à la décision. Il a pour but d identifier la voie la plus efficace, du point de vue
Plus en détailLeçon N 4 : Statistiques à deux variables
Leçon N 4 : Statistiques à deux variables En premier lieu, il te faut relire les cours de première sur les statistiques à une variable, il y a tout un langage à se remémorer : étude d un échantillon d
Plus en détailCONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITE Note de présentation Avis n 2004-15 du 23 juin 2004
CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITE Note de présentation Avis n 2004-15 du 23 juin 2004 relatif à la définition, la comptabilisation et à l évaluation des actifs Sommaire Avant propos 1 - Champ d application
Plus en détailCATALOGUE FORMATION CONTINUE
CATALOGUE FORMATION CONTINUE 3ème trimestre 2014 SOMMAIRE INFORMATIQUE BUREAUTIQUE 4 COMMERCIAL VENTE 5-6 COMPTABILITE GESTION 7-8 JURIDIQUE SECURITE 9 SE FORMER, MODE D EMPLOI 10-12 BULLETIN D INSCRIPTION
Plus en détailChapitre 3 : Les étapes de la consolidation
Chapitre 3 : Les étapes de la consolidation I - Les étapes du processus de consolidation II - La détermination du pourcentage d'intérêts (PDI) III - Organisation et techniques comptables de la consolidation
Plus en détailInterface COMPTABILITEEXPERT
Interface COMPTABILITEEXPERT Structures des types d'enregistrement de l'exportation d'immobilisations au format ASCII La COMPTABILITEEXPERT peut importer des fichiers textes dont vous trouverez les caractéristiques
Plus en détailDEFINTIONS ET FORMULES
DEFINTIONS ET FORMULES Comptabilité financière (I) BILAN COMPTABLE : Photographie à un moment t de la situation financière. tableau à 2 colonnes : Actif (emploi des ressources disponibles) et Passif (ressources,
Plus en détailLe passage d un ordre de bourse, sa comptabilisation et la gestion des conflits d intérêts
Le passage d un ordre de bourse, sa comptabilisation et la gestion des conflits d intérêts Animé par : Mme Astou Diop NIANG Séminaire COSUMAF Libreville les 4,5 et 6 Novembre 2006 SOMMAIRE 1. DEFINITIONS
Plus en détailChapitre 3. Les distributions à deux variables
Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles
Plus en détailFORMATION INTERNE DÉPENSES IMPUTABLES
La formation est dite «interne» lorsqu elle est conçue et réalisée par une entreprise pour son personnel, avec ses propres ressources en personnel et en logistique, son matériel, ses moyens pédagogiques.
Plus en détail32 Coûts fixes, coûts variables
cterrier.com 1/14 24/09/2012 32 Coûts fixes, coûts variables Variabilité des charges cterrier cterrier.com 2/14 24/09/2012 32 Coût fixes, coûts variables Concepts clés Définitions Charges fixes : charges
Plus en détailTPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut?
TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut? Vérification du statut de PME par les micro, petites et moyennes entreprises au sens du règlement REACH Ce document est traduit et librement adapté
Plus en détailCahier Technique Différences Batigest Standard/Evolution. Apibâtiment. Documentation technique
Cahier Technique Différences Batigest Standard/Evolution Apibâtiment Documentation technique Sommaire Sommaire I. Préambule... 3 II. Différences Batigest Standard/Evolution... 4 1. Eléments... 4 2. Devis
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailCOMPTABILITE. Fait par Christophe Lemaigre. Principes de base
Fait par Christophe Lemaigre. COMPTABILITE Principes de base Le bilan est une photographie du patrimoine de l'entreprise. Il est formé de l'actif et du passif. Actif : utilisations, emplois de l'entreprise.
Plus en détailNotes techniques relatives aux dépôts des taux d assurance-automobile et des systèmes de classification des risques
Notes techniques relatives aux dépôts des taux d assurance-automobile et des systèmes de classification des risques Publiées avec le Bulletin No. A-12/01 de la Commission des services financiers de l Ontario
Plus en détailNorme comptable internationale 19 Avantages du personnel
Norme comptable internationale 19 Avantages du personnel Objectif 1 L objectif de la présente norme est de prescrire le traitement comptable des avantages du personnel et les informations à fournir à leur
Plus en détailFiche descriptive d activités
Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités (FDA) La fiche descriptive d activités (FDA) dresse la liste de l ensemble des activités, recensées lors d enquêtes, exercées par des titulaires
Plus en détailLe pilotage d'un parc informatique par le TCO
Le pilotage d'un parc informatique par le TCO Propriétés Intitulé long Intitulé court Formation concernée Matière Description Exonet sur la gestion financière d'un parc informatique et plus particulièrement
Plus en détailPLAN DE CLASSIFICATION UNIFORME DES DOCUMENTS DU MSSS
PLAN DE CLASSIFICATION UNIFORME DES DOCUMENTS DU MSSS Février 2011 Édition produite par : Le Service de l accès à l information et des ressources documentaires du ministère de la Santé et des Services
Plus en détailL exclusion mutuelle distribuée
L exclusion mutuelle distribuée L algorithme de L Amport L algorithme est basé sur 2 concepts : L estampillage des messages La distribution d une file d attente sur l ensemble des sites du système distribué
Plus en détail- 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE
- 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE Objectif(s) : o Choix des investissements et rentabilité économique : Capacité d'autofinancement prévisionnelle ; Flux nets de trésorerie ; Evaluations.
Plus en détailComptabilité approfondie
Comptabilité approfondie La comptabilité est un système de traitement de l information. Elle permet de codifier et d enregistrer des informations financières diverses (factures, relevés de banque, mais
Plus en détailSOMMAIRE OPÉRATIONS COURANTES OPÉRATIONS D INVENTAIRE
SOMMAIRE OPÉRATIONS COURANTES OPÉRATIONS D INVENTAIRE 1 Factures de doit p. 9 Processus 1 2 Réductions sur factures de doit p. 11 Processus 1 3 Frais accessoires sur factures p. 13 Processus 1 4 Comptabilisation
Plus en détailCOMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION -------------------
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- DOSSIER TYPE A FOURNIR PAR LES INDUSTRIELS ET A PRESENTER PAR LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC
Plus en détailGuide Transactions financières. Ressources financières
Guide Transactions financières Ressources financières Juillet 2012 TRANSACTIONS FINANCIÈRES Deux registres sont maintenus au système financier, soit le budget et le grand livre. Au budget, on charge les
Plus en détailComité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale»
Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale» CSSS/09/102 DÉLIBÉRATION N 09/055 DU 1 ER SEPTEMBRE 2009 RELATIVE À LA COMMUNICATION DE DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL PAR
Plus en détailENREGISTREMENT COMPTABLE DES FLUX ECONOMIQUES
Objectif(s) : ENREGISTREMENT COMPTABLE DES FLUX ECONOMIQUES Connaître les conventions et principes comptables. Modalité(s) : Comptes, Bilans, Activité, Trésorerie. TABLE DES MATIERES Chapitre 1. INTRODUCTION....
Plus en détail12 Les partenariats publics privés
12 Les partenariats publics privés Quelles références budgétaires et comptables? Instruction M14 Tome 1 Le cadre comptable Annexe 53 Instruction M52 Tome 1 Le cadre comptable Annexe 50 Instruction M71
Plus en détailPierre Marchand Consultant
Pierre Marchand Consultant 1 Avant-propos Mot de bienvenue Présentation du formateur Logistique Mise en garde Modifications par rapport à 2012-2013 Les exemples présentés proviennent des paramètres de
Plus en détailDans un contexte difficile, les entreprises peuvent
RÉÉVALUATION DES ACTIFS DANS LES COMPTES INDIVIDUELS ET CONSOLIDÉS : FOCUS SUR QUELQUES DIFFICULTÉS TECHNIQUES 22 Eric TORT Diplômé d expertise comptable, docteur HDR en sciences de gestion, DAF Groupe
Plus en détail2.2. Les impôts et taxes PARTIE 2
2.2 Les impôts et taxes PARTIE 2 L avis de l expert-comptable La plupart des taxes sont dues à partir d un certain seuil d effectif (avec une période de franchise totale de 3 ans puis partielle : formation
Plus en détailDossier de demande de subvention
Nous sommes là pour vous aider Association Loi du 1 er juillet 1901 relative au contrat d association N 12156*02 Dossier de demande de subvention Veuillez cocher la case correspondant à votre situation
Plus en détailNégociations APE sur les services entre l AC et l UE Revue des engagements de l UE dans l APE CARIFOROM 25-29 Avril 2011, Douala, Cameroun
Négociations APE sur les services entre l AC et l UE Revue des engagements de l UE dans l APE CARIFOROM 25-29 Avril 2011, Douala, Cameroun Sékou F. Doumbouya Programme Officer, JEICP s.doumbouya@ileap-jeicp.org
Plus en détailSystème de bonus-malus SBM 03 Assurance contre les accidents professionnels
Système de bonus-malus SBM 03 Assurance contre les accidents professionnels Principes de base et application du SBM 03 Le SBM 03 détermine le montant des primes des moyennes entreprises en tenant compte
Plus en détailDirection générale de l offre de soins. Guide d élaboration TAC et COMPT EX
Direction générale de l offre de soins Guide d élaboration TAC et COMPT EX Sommaire 1. PREAMBULE... 4 1.1. DEPLOYER LES OUTILS DE LA COMPTABILITE ANALYTIQUE HOSPITALIERE DANS LES ETABLISSEMENTS... 4 1.2.
Plus en détailGUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX FONCTIONNEMENT DES COMPTES DIVISIONNAIRES
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE GUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX DES COMPTES DIVISIONNAIRES Directive n 03/11-UEAC-195-CM-22 relative au plan
Plus en détailBac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)
Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre
Plus en détailLa séquence des comptes
La séquence des comptes Comptes des institutions sans but lucratif au service des ménages I: Compte de production P.2 Consommation intermédiaire B.1b Valeur ajoutée brute P.51c Consommation de capital
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. Avant-propos... Remerciements... CHAPITRE 1 LA COMPTABILITÉ DE MANAGEMENT... 1
TABLE DES MATIÈRES Avant-propos........................................................... Remerciements......................................................... V VII CHAPITRE 1 LA COMPTABILITÉ DE MANAGEMENT................
Plus en détailDynamic Intranet. Description de service. Dynamic Intranet. Droits d auteurs
Droits d auteurs Le présent document, son contenu et les idées ainsi que les concepts qui y sont utilisés sont confidentiels. Il s agit de la propriété intellectuelle de. Une utilisation sortant de l usage
Plus en détailMarquage CE / Productions non en série / Projet de norme «portes et fenêtres» Position de EBC sur le projet révisé de «Guidance Paper M» (déc.
11 mars 2005 Marquage CE / Productions non en série / Projet de norme «portes et fenêtres» Position de EBC sur le projet révisé de «Guidance Paper M» (déc. 2004) Introduction Tous les produits de construction
Plus en détailCONTROLE DE GESTION. DUT GEA, 2 èm e année option PMO 2005-2006
CONTROLE DE GESTION Une définition classique du contrôle de gestion le décrit comme «le processus par lequel les dirigeants s assurent que les ressources sont obtenues et utilisées avec efficacité et efficience
Plus en détail