INVESTIR INTELLIGEMMENT
|
|
- Norbert Gaudet
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 INVESTIR INTELLIGEMMENT Lettre financière PDJ (publiée le 28 juin 2004) Éditeur Paul Dontigny Jr, M.Sc., CFA Thèse principale d investissement Notre vision principale des choses n a pas changée beaucoup depuis 1999 simplement parce que les choses continuent de suivre le scénario que nous avons anticipé. Le rythme d évolution est plus lent que nous l aurions cru donc nous avons été en avance. C est typique pour des investisseurs qui utilisent la valeur économique comme critère principal. Nous vivons présentement la dernière étape d une période historique, soit une révolution technologique financée par une bulle spéculative. Il se produit essentiellement le même dénouement que durant la crise de 1929 aux USA et qu en 1989 au Japon (hausse de dette et pas d inflation). Le résultat sera aussi essentiellement le même (baisse des actions et déflation), malgré notre apparente capacité à imprimer de l argent pour s en sortir. Notez que le Japon emprunte et imprime sans succès depuis 14 ans pour se sortir de sa dépression déflationniste. Le dénouement est plus lent qu en 1929 (5 ans) mais sera probablement plus rapide qu au Japon (14 ans+) en ce qui concerne la crevaison de la bulle aux USA. Il ne manquait qu une bulle immobilière pour rendre la situation totalement intenable à court terme en plus d être insoutenable à long terme. Le marché boursier est donc dans un état de bulle spéculative, tout comme le marché immobilier. Ces deux bulles sont financées par une bulle de dette sans précédent (graphique ci-dessous). Que se passe-t-il quand une bulle soutenue par la dette crève ou dégonfle? La réponse PDJ : Il s en suit une dépression déflationniste, soit une récession qui dure plus de 3 ans durant lesquelles les prix des actifs, des produits et des services baissent, ainsi que le nombre d emploi et les salaires. 1/7
2 Mar-63 ad absurdum Nous utilisons souvent un raisonnement par l absurde pour identifier des situations insoutenables desquelles nous profitons lorsque les choses reviennent à la normale LA MOSAÏQUE DE L INFLATION - DÉFLATION Partie 2 La dette Plusieurs Mythes entourent la notion d inflation. Un autre de ces mythes (voir lettre du mois dernier) est que la dette est inflationniste. En fait, la dette peut être inflationniste OU déflationniste. Lorsque les usines roulent à pleine capacité et que le consommateur s endette pour acheter plus en même temps que les compagnies engagent et s endettent pour investir dans de nouvelles machineries et usines, alors on peut s attendre à une plus forte inflation. Mais au contraire, si on a émis de la dette pour empêcher l économie de sombrer en récession ou pour éviter des crises financières (USA depuis 2001 et Japon depuis 1989 ), et que l on continue d emprunter malgré une capacité de production qui excède la demande de produits et services, alors la dette en place devient déflationniste. En plus il y a maintenant la capacité de magasiner les prix d à peu près tout autour du globe (déflationniste), ce qui n était pas vrai en 1989 ou en De plus, lorsqu il y a une bulle dans des produits financiers (actions) ET dans l immobilier et que ces achats sont financés par de la dette, alors la dette est d autant plus déflationniste, car il y aura des liquidations de faillite. En bref, la capacité à s endetter dans le futur peut être un facteur inflationniste, mais une accumulation de dette qui a financé des dépenses d épicerie et l achat d actifs à prix gonflés est déflationniste. De toutes façons, la Fed n aurait aucune difficulté Taux d'ecompte de la FED à combattre l inflation si celle-ci se pointait le nez % La Fed pourrait monter les taux rapidement (graphique ) et l impact 15.00% Contrôler l'inflation Facile! serait majeur puisque les taux d intérêts affectent une quantité record de 10.00% dette. Elle pourrait aussi sortir des liquidités de l économie. Par contre, 5.00% si la déflation se pointait le nez, alors aux taux Contrôler la déflation -??? d intérêts actuels et 0.00% considérant les sommes énormes qui ont déjà été injectées dans l économie, la Fed n aurait plus beaucoup de munitions pour combattre cette déflation. Mar-67 Mar-71 Mar-75 Mar-79 Mar-83 Mar-87 Mar-91 Mar-95 Mar-99 Mar-03 Mar-07 2/7
3 Impact de la dette sur les consommateurs et le reste Le graphique de la page 1 démontre la taille immense de la dette totale. Mais l économie américaine est dominée par les consommateurs, alors analysons la dette de ceux-ci. Dette des ménages Les dettes personnelles totales en pourcentage du Produit Intérieur Brut (PIB ou ventes totales du pays) ont eu une ascension exponentielle depuis La bulle de dette des années 60 avait nécessité un réajustement qui a duré 15 ans, période durant laquelle le marché boursier a offert un rendement de zéro%. On lit ces jours-ci dans les médias que la dette peut augmenter car les taux sont bas et les paiements mensuels aussi. Le graphique de droite démontre le contraire. Le ratio des obligations financières calcule les paiements financiers en pourcentage du revenu disponible. Les paiements incluent entre autres les hypothèques, les cartes et les marges de crédit, les paiements automobiles, les paiements de loyer, les paiements d assurance et de taxes foncières. Ce ratio est clairement en hausse malgré la baisse de taux d intérêts de 16% à 5% depuis Ratio d'obligations financières q1 83q4 87q3 91q2 95q1 98q4 02q Jan-59 Jan-64 Jan-69 Taux d'épargne % - US Jan-74 Jan-79 Jan-84 Jan-89 Jan-94 Jan-99 Jan-04 En plus d avoir des obligations financières supérieures, les américains ont aussi moins d épargne (= salaire dépenses) au bout de l année. On entend dire que c est parce que les gens ont des liquidités de côté et ont bénéficié de hausse de richesse grâce à l immobilier et la bourse, tous deux en hausse depuis un an. Les graphiques de la page suivante montrent qu encore une fois la réalité et la propagande diffèrent 3/7
4 D après le graphique de gauche, les liquidités des ménages ne cessent de baisser. Cela signifie que le coussin de sécurité pour besoins spéciaux ou urgents est réduit. Les ménages sont de plus en plus dépendants de leur salaire et du taux d intérêt de leur dette pour joindre les deux bouts à chaque fin de mois. Donc attention aux pertes d emplois, divorces et hausses de taux d intérêts!! Ceci met aussi en doute l argument qui suggère que les marchés financiers bénéficient du «cash on the side lines». De plus, l équité (valeur marchande moins la dette) des ménages a continué de baisser drastiquement. (Graphique de droite) L immobilier représente l actif le plus important des ménages. Le graphique du bas montre que même si on ignore les autres dettes que l hypothèque et qu on ignore les autres actifs tels les actions en bourse, l équité (= valeur dette) des propriétaires dans leur maison a continué de baisser malgré la hausse de prix de l immobilier. C est évidemment parce que ceux-ci ont emprunté en ré-hypothéquant leur maison pour financer autre chose que la maison ou les rénovations. 4/7
5 Le résultat de cette conjoncture économique et de la situation financière précaire des ménages et des propriétaires est que l économie est plus à risque et de plus en plus fragile à cause de l endettement. L effet de levier créé par la dette offre à la fois un potentiel supérieur de croissance ET un risque de récession. Pour une compagnie, la dette permet une plus grande profitabilité lorsque les choses vont bien et un plus grand risque de faillite lorsque les choses vont mal. Même chose pour les individus. Présentement c est l économie au complet qui est mise en situation d effet de levier. Cela signifie que s il y a un ralentissement au niveau de l emploi, des prix que les compagnies peuvent charger pour leurs produits ou services ou même un ralentissement de la croissance prévue, l effet de levier accentuera les problèmes. Mais en plus, dans le cas actuel, la dette a été utilisée beaucoup plus que la normale pour des dépenses au lieu d être utilisée exclusivement pour des investissements en machinerie et en nouveaux emplois. Emprunter pour payer l épicerie est rarement profitable à long terme et ce n est certes pas une pratique digne d un bon père de famille... sauf évidemment si c est la seule alternative pour tenter de sauver la famille. Et c est à notre avis ce qui se passe. L administration Bush a choisi d emprunter pour donner un «boost» à l économie plutôt que de faire le ménage et prendre les décisions difficiles (payer la dette et réduire les excès de consommation). Nous devrons payer pour ce manque de vision. Le résultat des tendances illustré dans les graphiques précédents est que plusieurs institutions, compagnies et individus, en plus du gouvernement, sont dans des situations financières précaires : Le graphique cidessus démontre l augmentation des faillites personnelles. Nous savons déjà aussi que la plupart des caisses de retraite sont en déficit par rapport à leurs obligations à payer aux retraités. Et le graphique de droite montre l étendue de l endettement corporatif par rapport à la grosseur de l économie. Nous sommes clairement à des niveaux record de dette à tous les niveaux. Cela signifie que la probabilité que l économie traverse les prochaines difficultés sans récession est très faible. Et il y a toujours des difficultés 5/7
6 CONCLUSIONS D INVESTISSEMENT : Si on tente de réduire à un seul facteur l analyse de la situation économique actuelle, il est clair que l inflation (déflation) sera LE facteur déterminant. Pourquoi? Parce que la plupart des politiques fiscales et monétaires sont présentement focalisées sur ce facteur. Et parce que sachant cela, les institutions financières principales dans le monde et les investisseurs institutionnels ont décidé que c est le facteur principal. Chez PDJ, nous croyons fermement que les Etats-Unis font la grave erreur de se protéger contre le plus récent désastre économique (l inflation des années 70-80) au lieu de réaliser que la structure de l économie a évolué avec la révolution technologique et la mondialisation des dernières années. Dans les années 70, les américains au pouvoir et dans les postes de direction avaient la phobie de la dépression déflationniste des années 30. Le résultat fut une crise inflationniste. Présentement, ils ont peur de l inflation alors qu il ne semble pas y avoir de raison d en avoir peur. Le résultat sera très probablement un environnement déflationniste car tous les efforts sont mis en place pour contrer les problèmes d inflation. It took about 20 years to undo the effects on economic behavior of the inflationary episode of the 1970s. We must preserve those gains if we are to meet our responsibilities for fostering economic growth and stability. Juin 2004, Federal Governor Donald Kohn Cette citation démontre l état d esprit des américains en général face à l inflation. Mais il y a plus qu une simple question de connaissances historiques ou d opinion économique. Le chemin qu a pris l administration Bush pour sortir l économie de la bulle spéculative de 2000 et de l attaque terroriste de 2001 est clairement un chemin tracé par des politiques bâties sur une réplique des politiques fiscales et monétaires des années Rappelez-vous qu en 1973, le gouvernement américain a éliminé la convertibilité du dollar américain en or. Cela signifiait que le gouvernement ne garantissait plus à chaque citoyen la possibilité d aller à la banque prendre livraison d une quantité d or (actif réel) en échange d un billet américain (actif financier virtuel). Le gouvernement pouvait donc imprimer plus de dollar sans ajouter de réserves d or. C est essentiellement ce qui créa l étendu de la crise d inflation. Présentement, le gouvernement imprime et emprunte de l argent dans le but de supporter l économie et les marchés financiers qui sont surévalués selon toute norme historique ou toute norme d évaluation fondamentale (valeur présente des profits futurs). LA condition nécessaire pour que la stratégie Bush fonctionne est une inflation beaucoup plus forte que ce que nous avons actuellement mais sans crise inflationniste. Pourquoi? Parce que l inflation augmenterait les ventes des compagnies et les salaires sans augmenter la dette dont la valeur de remboursement est fixée. Toute cette stratégie nous semble une contradiction en soi En effet, la stratégie inflationniste de Bush risque de ne pas fonctionner même s il réussissait à créer de l inflation. Par exemple, la dette est tellement plus élevée que dans les années 70, que la hausse des taux d intérêts qui accompagnerait l inflation créerait elle-même une récession et possiblement une crise. Ensuite, les périodes d inflation excessive ont été caractérisées par des baisses de profit des compagnies dans plusieurs secteurs et non par des hausses. Preuve par l absurde : Avec tous les efforts de Bush et de la Fed et avec le pétrole près des prix records, nous devrions déjà avoir une forte inflation alors qu elle n est qu à 2,5%. 6/7
7 Mais en plus de ne pas croire à la stratégie Bush, nous croyons que le contexte actuel ressemble plus à la période des années 30 qu à la période des années 70. Tout d abord, la structure de l économie mondiale actuelle ne favorise pas l inflation à cause de la mondialisation qui permet de magasiner les prix dans des pays qui ont d immenses forces de main d œuvre bon marché. De plus, ces pays sont aussi avancés que nous sur le plan technologique en production et dans beaucoup de secteurs ils sont plus avancés que nous à cause de l aversion aux changements de nos corporations et syndicats. Au cours des 5 prochaines années, ces pays évolueront de leur position actuelle de sous-traitant vers une situation de compétiteurs qui sont capables de créer, de manufacturer, de distribuer et de publiciser leurs propres produits propriétaires. Cette tendance sera aussi déflationniste. Il y a aussi encore de la place pour couper les coûts ici grâce à l augmentation de productivité et aux avancements technologiques, comme c était le cas dans les années 20. Nous continuons donc de croire que la déflation nous guette et que la stratégie Bush n aura eu pour effet que de reporter l inévitable, comme ce fut le cas dans les années 20 et 30. Au lieu de régler les sources réelles des problèmes économiques et de faire les choix difficiles à court terme, soit dégonfler la bulle boursière, réduire l endettement et la surconsommation, ils ont choisi d emprunter et d imprimer de l argent pour soutenir la bulle. Maintenant qu ils ont artificiellement créé de la croissance éphémère, ils s apprêtent à monter le taux d escompte de 0,25%.. Notez qu en mars 1932 la Fed avait augmenté les taux de 0,25% par crainte de l inflation qui serait créée par une dévaluation de la monnaie. Le résultat fût une baisse de 50% du prix des actions en moins de 6 mois... Où investir lorsqu il y a une bulle de dette? Tout d abord sachez que Bulle de dette n égale pas bulle dans les prix des obligations, mais accompagne habituellement une bulle dans les actions. Dans un environnement de déflation, récession ou crise de crédit, il y aura un «Flight to Safety» vers les titres obligataires gouvernementaux américains. Les obligations gouvernementales à long terme (10 ans et plus) offriraient donc de bons rendements en gain de capital. Notez qu actuellement plus de 80% des gestionnaires d obligations sont Bears, c est à dire qu ils s attendent à ce que les taux augmentent. Ces gestionnaires sont donc des acheteurs latents d obligations long terme. À mesure que les risques se réalisent, les investisseurs liquideront les titres à risque comme les actions, les obligations corporatives et celles de compagnies comme Freddie Mac, faussement reconnues comme des organismes bénéficiant d une garantie gouvernementale. Ils liquideront aussi les titres de fiducies de revenu puisque ceux-ci n offrent aucune garantie même si plusieurs investisseurs croient le contraire. En cas de crise, même si elle est initiée à partir des Etats-Unis, les investisseurs iront vers la monnaie la plus solide, soit celle de la plus grande puissance militaire et en second lieu vers l Euro. Finalement, il pourrait y avoir un engouement pour la valeur refuge ultime, l or. Mais que ce soit à cause d une simple récession, de déflation ou d une crise de crédit, les institutions se remettront à acheter des actifs à risque faible, soit les obligations long terme des gouvernements et surtout aux USA. Alors même si c est long et plate d être prudent même si on a parfois l impression de manquer le bateau nous croyons fortement que c est la meilleur façon de maximiser le rendement au cours des 3 prochaines années! 7/7
Forum de l investissement Ateliers d Experts. 15 Octobre 2011. Les Dangers de l Assurance Vie
Forum de l investissement Ateliers d Experts 15 Octobre 2011 Les Dangers de l Assurance Vie L assurance vie c est quoi? Le placement préféré des français Environ 1 500 milliards d euros épargnés par les
Plus en détailLa crise de 1929. Lionel Artige. Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège
La crise de 1929 Lionel Artige Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège Expliquer la crise de 1929? La crise de 1929 a été l objet de nombreuses publications tentant d expliquer ses causes,
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détailEPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER
EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER Chapitre 25 Mankiw 08/02/2015 B. Poirine 1 I. Le système financier A. Les marchés financiers B. Les intermédiaires financiers 08/02/2015 B. Poirine 2 Le système
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.3 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)
Plus en détailLe présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailPerspectives économiques 2013-2014
Carlos Leitao Économiste en chef Courriel : LeitaoC@vmbl.ca Twitter : @vmbleconomie Perspectives économiques 2013-2014 L amélioration de l économie atténuée par l incertitude politique Prix du pétrole:
Plus en détailCOMMENTAIRE. Services économiques TD
COMMENTAIRE Services économiques TD 16 juillet 213 LES MÉNAGES CANADIENS SONT PLUS ENDETTÉS QUE LES MÉNAGES AMÉRICAINS, MAIS UNIQUEMENT PAR SUITE DU RÉCENT DÉSENDETTEMENT AUX ÉTATS-UNIS Faits saillants
Plus en détailATTIJARI MARKET RESEARCH FX & COMMODITIES TEAM
29 juin 2009 Forex Weekly Highlights I. Evénements clés et statistiques de la semaine du 22 juin 2009 Le retour de l aversion au risque a permis au billet vert d effacer un peu les pertes accumulées face
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détailECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011
BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats
Plus en détailBulle ou pas bulle? 1. Qu'est ce qu'une bulle immobilière? 2. Comment se forme une bulle? 3. Comment détermine t on si il y a une bulle?
Bulle ou pas bulle? 1. Qu'est ce qu'une bulle immobilière? Une bulle immobilière est caractérisée par une hausse rapide de la valeur des biens immobiliers. Elle caractérise un écart important et persistant
Plus en détailATELIER : Comment expliquer l instabilité de la croissance économique?
ATELIER : Comment expliquer l instabilité de la croissance économique? A_Que nous-dis le programme? NOTIONS : Fluctuations économiques, crise économique, désinflation, croissance potentielle, dépression,
Plus en détailFlash Stratégie n 2 Octobre 2014
Flash Stratégie n 2 Octobre 2014 Vers un retour de l or comme garantie du système financier international. Jean Borjeix Aurélien Blandin Paris, le 7 octobre 2014 Faisant suite aux opérations de règlement
Plus en détailThème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie
Thème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie L activité économique repose sur trois rouages : Monnaie besoins production répartition consommation Échanges Marché 2 «La monnaie n
Plus en détailCOMMENTAIRE LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Services économiques TD
COMMENTAIRE Services économiques TD mai LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Faits saillants Le fait que la Banque du Canada ait récemment indiqué que les taux d intérêt pourraient
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailGENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006
1211122 GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 RAPPORT SOMMAIRE Cette proposition présente les recommandations de Genworth Financial Canada («Genworth») au Comité permanent des
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée Basé sur les notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait
Plus en détailL économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions
L économie ouverte Un modèle de petite économie ouverte V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile Quelques définitions Économie fermée Économie ouverte Exportations et importations Exportations nettes
Plus en détailLes dépenses et la dette des ménages
Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages
Plus en détailFINANCE & RISK MANAGEMENT TRAVAIL INDIVIDUEL I
FINANCE & RISK MANAGEMENT TRAVAIL INDIVIDUEL I ()*( TABLE DES MATIERES 1. EXERCICE I 3 2. EXERCICE II 3 3. EXERCICE III 4 4. EXERCICE IV 4 5. EXERCICE V 5 6. EXERCICE VI 5 7. SOURCES 6 (#*( 1. EXERCICE
Plus en détailLes questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont
CHAPITRE 1 LES FACTEURS STRUCTURELS DE LA HAUSSE DE L ENDETTEMENT PUBLIC DANS LES PAYS AVANCÉS Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont revenues au cœur
Plus en détailLe ministre Oliver dépose un budget équilibré et un plan axé sur des impôts bas pour favoriser l emploi, la croissance et la sécurité
Ministère des Finances Communiqué Le ministre Oliver dépose un budget équilibré et un plan axé sur des impôts bas pour favoriser l emploi, la croissance et la sécurité Le Plan d action économique de 2015
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailL -franc en 16 points
L -franc en 16 points Résumé : Nous faisons deux constats : Premièrement, nous vivons une massification de la pauvreté et une précarisation du salariat : 5 millions de chômeurs (sans compter les découragés
Plus en détailRAPPORT D'EXPERT SUR LE COÛT DE LA DETTE FINANCIÈRE BANQUE NATIONALE
A Demande R-3541 2004 RAPPORT D'EXPERT SUR LE COÛT DE LA DETTE FINANCIÈRE BANQUE NATIONALE LOUIS SIMARD ET PAUL-ANDRÉ PINSONNAULT Original: 2004-09-30 HQD-11, Document 8 Page 1 de 33 LE FINANCEMENT D
Plus en détailLa croissance des pays développés au cours des trente dernières
Éditions La Découverte, collection Repères, Paris, 213 II / Dette et croissance Benjamin Carton* La croissance des pays développés au cours des trente dernières années s est accompagnée d une hausse de
Plus en détailLES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1
LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et
Plus en détailPréambule Autodiagnostic 1) QRU - La Banque centrale est : 2) QRU - L encadrement du crédit était une technique :
Préambule Nous vous proposons en préambule d estimer votre niveau de connaissances bancaires et financières en répondant à cet auto diagnostic. Que celui-ci vous soit prétexte à valider et à approfondir
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.2 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)
Plus en détailmai COMMENTAIRE DE MARCHÉ
mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailWS32 Institutions du secteur financier
WS32 Institutions du secteur financier Session 1 La vision chinoise Modernisation du système financier chinois : fusion de différentes activités bancaires et financières, accès des ménages au marché des
Plus en détailTD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD
TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident
Plus en détailDeuxième trimestre 2015
Deuxième trimestre 2015 Contenu Perspectives économiques mondiales Perspectives sur les catégories d'actif Paul English, MBA, CFA vice-président principal, Placements Tara Proper, CFA vice-présidente adjointe,
Plus en détailPlacements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques
Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Je ne caractériserais pas la récente correction du marché comme «une dégringolade». Il semble
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailOptions en matière de réforme des systèmes financiers
Options en matière de réforme des systèmes financiers Hansjörg Herr et Rainer Stachuletz Le projet de mondialisation néolibérale est monté en puissance à la fin des années 1970 grâce aux politiques de
Plus en détailChapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de
Plus en détailFONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES
FONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES Octobre 2011 Gabriela TURCATTI Jordi GUILLO SOMMAIRE IMMOBILIER SUISSE 3 CATÉGORIES L immobilier résidentiel 4 L immobilier commercial 5 L immobilier de bureau 5
Plus en détailChapitre X : Monnaie et financement de l'économie
Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie I. Le financement de l'économie Financement = fait d'apporter des fonds à un individu, une entreprise, ou à soi-même. A) Les différents types de financement
Plus en détailTable des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les
Plus en détailAnalyse Financière Les ratios
Analyse Financière Les ratios Présenté par ACSBE Traduit de l anglais par André Chamberland andre.cham@sympatico.ca L analyse financière Les grandes lignes Qu est-ce que l analyse financière? Que peuvent
Plus en détailInvestir dans l immobilier aux USA
Vous recherchez un investissement à haut rendement Vous n êtes pas satisfait par le rendement de votre assurance-vie Vous pensez que l immobilier en France ne rapporte pas assez Vous disposez de 45,000
Plus en détailQu est-ce que l effet de levier?
EMPRUNTER POUR INVESTIR : CE N EST PAS POUR TOUT LE MONDE Qu est-ce que l effet de levier? L effet de levier consiste à investir en empruntant une partie ou la totalité des sommes. De cette façon, vous
Plus en détailLe SMI. Chapitre 1. 1.1 Les origines historiques du SMI actuel. 1.1.1 Avant la première Guerre mondiale : l étalon or
Chapitre 1 Le SMI 1.1 Les origines historiques du SMI actuel 1.1.1 Avant la première Guerre mondiale : l étalon or L étalon change-or (Conférence de Gênes - 1922) Caractéristiques : Chaque monnaie nationale
Plus en détailLA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS
LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS FÉVRIER 2002 DOSSIER 02-02 La dette publique du Québec et le fardeau fiscal des particuliers Le premier ministre du Québec se plaisait
Plus en détailLE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE
DE LA GESTION PRIVÉE COMPTE RENDU DAVID DESOLNEUX DIRECTEUR DE LA GESTION SCÉNARIO ÉCONOMIQUE ACTIVITÉS La croissance économique redémarre, portée par les pays développés. Aux Etats-Unis, après une croissance
Plus en détail2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée?
Flash Stratégie Janvier 2015 2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Jean Borjeix Paris, le 20 janvier 2015 Dans ce document nous allons tout d abord rapprocher nos
Plus en détailNotions: déflation, récession, inflation, taux d'intérêt réel, BCE, credit crunch, taux de change
TRAVAILLER SUR UN TEXTE Faire un bilan collectif à partir d'un texte sur les acquis des chapitres sur la croissance (fluctuations et crises) et mondialisation et intégration européenne Notions: déflation,
Plus en détailMODULE 6 LA MODERNISATION DE LA SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE (1ÈRE PARTIE) DANS LES ANNÉES 1920 (ANNÉES FOLLES) > ÉCONOMIE CANADIENNE = PROSPÈRE :
MODULE 6 LA MODERNISATION DE LA SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE (1ÈRE PARTIE) 1ER - DE LA CRISE À LA GUERRE DE LA CRISE À LA GUERRE (1929-1945) L ÉCONOMIE EN CRISE DANS LES ANNÉES 1920 (ANNÉES FOLLES) > ÉCONOMIE CANADIENNE
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailLA MONNAIE, LE CHANTIER DE LA DÉCENNIE
LA MONNAIE, LE CHANTIER DE LA DÉCENNIE Karl Heinz Braun, chercheur-associé à Etopia et député Ecolo au Parlement de la Communauté germanophone Décembre 2011 www.etopia.be 222222 Page 2 sur 6 La plupart
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailLa BNS capitule: Fin du taux plancher. Alain Freymond (BBGI Group SA)
La BNS capitule: Fin du taux plancher Alain Freymond (BBGI Group SA) Changement radical de politique monétaire le 15/1/2015 Les taux d intérêt négatifs remplacent le taux plancher 1. Abandon du taux plancher
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailL instabilité politique en Ukraine et en Grèce sont aussi des éléments qui peuvent continuer à perturber les marchés.
L année 2014 s achève, pour l indice boursier français, au niveau où elle a commencé, le CAC 40 a perdu - 0,5% sur l année, l indice européen (l Eurostoxx 50) a lui gagné + 2,82%, alors que l indice américain
Plus en détailContexte de la présentation
L épargne des ménages québécois au service de la démocratie actionnariale Une présentation du Contexte de la présentation «Le capital accumulé par les travailleurs, que ce soit dans les régimes de retraite
Plus en détailInvestir à long terme
BMO Gestion mondiale d actifs Fonds d investissement Investir à long terme Conservez vos placements et réalisez vos objectifs Concentrez-vous sur l ENSEMBLE de la situation Le choix des bons placements
Plus en détailPerspective des marchés financiers en 2014
Perspective des marchés financiers en 2014 21/01/2014 13 ième édition 1 Outil d aide à la décision : The Screener OUTIL D AIDE À LA DÉCISION : THESCREENER Des analyses sur les valeurs boursières Disponible
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailBanque nationale suisse
IFFP Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle Combinaison des politiques budgétaires et monétaires 22.01.2010, Lausanne 8h45 12h 12h45 16h David Maradan, chargé de cours UNIGE et
Plus en détailLES BANQUES. I. Les différents services proposés par les banques :
LES BANQUES I. Les différents services proposés par les banques : Les services bancaires représentent l ensemble des produits proposés par une banque. Les services bancaires les plus connus sont : Epargne
Plus en détailLa finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012
La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012 Sommaire I - Le rôle prépondérant des marchés financiers I.1 - Financiarisation de l'économie mondiale I.2 Lien avec l'entreprise
Plus en détail5 raisons d investir dans des fonds d actions américaines
5 raisons d investir dans des fonds d actions américaines Avec toute la volatilité qui règne sur les marchés ces derniers temps, nombreux sont les investisseurs qui cherchent à diversifier leur portefeuille.
Plus en détailTendances de l insolvabilité au Canada
Tendances de l insolvabilité au Canada Ginette Trahan Directeur général, Services des relations externes Bureau du surintendant des faillites Le 16 novembre 2011 Association canadienne de la gestion de
Plus en détailLes divergences dominent le marché
Les divergences dominent le marché L euro a continué de glisser, pour la sixième semaine consécutive, face au dollar américain. Et cette baisse devrait continuer de s accentuer dans les prochains jours,
Plus en détailPlanification financière personnalisée pour :
Document 2.2 Planification financière personnalisée pour : Questionnaire n o 1 Profil de la situation financière personnelle et familiale Date : Lieu : Questionnaire n o 1 Profil de la situation personnelle
Plus en détailDocument d information n o 1 sur les pensions
Document d information n o 1 sur les pensions Importance des pensions Partie 1 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition, que
Plus en détailDans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude
localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective
Plus en détailFiche info-financière Assurance-vie pour une combinaison des branches 21 et 23. Top Rendement 1. Type d assurance-vie
Fiche info-financière Assurance-vie pour une combinaison des branches 21 et 23 Top Rendement 1 Type d assurance-vie Assurance-vie individuelle avec taux d intérêt garanti (branche 21). En ce qui concerne
Plus en détailL euro, la Banque centrale européenne et le Pacte de stabilité
L euro, la Banque centrale européenne et le Pacte de stabilité Université citoyenne d Attac Toulouse, 22 août 2008 Jean-Marie Harribey et Dominique Plihon Les principes néolibéraux Théories de Hayek, Friedman
Plus en détailFaut-il encourager les ménages à épargner?
Faut-il encourager les ménages à épargner? Analyse du sujet : Nature du sujet : Sujet de type «discussion». Problématique explicite. Mots-clés : Ménages ; épargner épargne des ménages Encourager Epargne
Plus en détailMai 2010 SPROTT ASSET MANAGEMENT LP
` Mai 2010 SPROTT ASSET MANAGEMENT LP Une formule ratée Par Eric Sprott et David Franklin Il n y a rien de mal à consacrer un peu d argent au règlement d un problème. Il n y a rien de mal non plus à utiliser
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailPROTÉGEONS LES RÉGIMES DE RETRAITE À PRESTATIONS DÉTERMINÉES
PROTÉGEONS LES RÉGIMES DE RETRAITE À PRESTATIONS DÉTERMINÉES Par : Pierre-Guy Sylvestre Service de la recherche Syndicat canadien de la fonction publique 2 Protégeons les régimes de retraite à prestations
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailet Financier International
MACROECONOMIE 2 Dynamiques Economiques Internationales PARTIE 2 : Le Système Monétaire et Financier International UCP LEI L2-S4: PARCOURS COMMERCE INTERNATIONAL PLAN DU COURS I - LE SYSTEME MONETAIRE INTERNATIONAL
Plus en détailBienvenue. Procure.ch. Jeudi 26 avril 2012. Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch. Haute école de gestion Fribourg
Bienvenue Procure.ch Jeudi 26 avril 2012 Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch 1 ère question (thème) C est grave docteur? Les principaux indicateurs économiques En préambule.. Qu est-ce qu un
Plus en détailPOUR UN ENCADREMENT DES PÉNALITÉS HYPOTHÉCAIRES AU CANADA. Richard Beaumier, FCA, CFA, MBA VICE-PRÉSIDENT, COMITÉ RELATIONS GOUVERNEMENTALES
POUR UN ENCADREMENT DES PÉNALITÉS HYPOTHÉCAIRES AU CANADA Richard Beaumier, FCA, CFA, MBA VICE-PRÉSIDENT, COMITÉ RELATIONS GOUVERNEMENTALES FÉDÉRATION DES CHAMBRES IMMOBILIÈRES DU QUÉBEC Novembre 2010
Plus en détailISCFE Faits et institutions économiques 1M LA MONNAIE
LA MONNAIE 1 Fonctions de la monnaie Unité de mesure universelle de la valeur. Moyen intermédiaire universel d'échange. Réserve de valeurs intemporelle. 2 Formes de la monnaie Monnaie divisionnaire Valeur
Plus en détailCOMPRENDRE LA BOURSE
COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.
Plus en détailGérard Huguenin Petit guide pour s enrichir au quotidien
Gérard Huguenin Petit guide pour s enrichir au quotidien Groupe Eyrolles, 2005, 2007 ISBN 10 : 2-7081-3782-4 ISBN 13 : 978-2-7081-3782-0 Table des matières Sommaire....................................................5
Plus en détailVous ne voulez faire confiance à personne, la doctrine d investissement de Marie Quantier vous assure performance et tranquillité
MARIE QUANTIER Inspiration depuis 1907 Vous ne voulez faire confiance à personne, la doctrine d investissement de Marie Quantier vous assure performance et tranquillité Une approche hybride entre «smart
Plus en détailLA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE. N 3 juillet 2014
LA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE N 3 juillet 2014 L Edito de Philippe Crevel L épargnant des temps nouveaux frappe à la porte En 2017, les «digital natives» auront pris le
Plus en détail1. Les fluctuations économiques : une dynamique heurtée de développement économique
COMMENT EXPLIQUER L INSTABILITE DE LA CROISSANCE? 1. LES FLUCTUATIONS ECONOMIQUES : UNE DYNAMIQUE HEURTEE DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE... 1 1.1 DES CHOCS ECONOMIQUES PERTURBENT REGULIEREMENT LA CROISSANCE...
Plus en détailCroissance à crédit. Vladimir Borgy *
Croissance à crédit Vladimir Borgy * p. 5-15 L économie mondiale a connu en 2004 une conjoncture exceptionnelle, la croissance annuelle au rythme de 5 % est la plus forte enregistrée depuis 1976 et résulte
Plus en détailabri fiscal placement ou autre mécanisme financier qui vous permet de protéger une partie de vos gains de l impôt pendant une certaine période
Voici les définitions de quelques mots clés utilisés dans le cadre du programme Connaissances financières de base. Ces mots peuvent avoir des sens différents ou refléter des notions distinctes dans d autres
Plus en détailLa guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015
PERSPECTIVES La guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015 Depuis le début de l année 2015, de nombreuses banques centrales à travers le monde ont abaissé leur taux d intérêt ou pris d autres
Plus en détailTransactions de l agriculteur 1.5 /kilo 2.0 /kilo 2.5 /kilo Vente de la récolte 187 500 250 000 312 500. l agriculteur
Chapitre 11, assurance et diversification Réponses aux Questions et problèmes 1. Transactions de 1.5 /kilo 2.0 /kilo 2.5 /kilo Vente de la récolte 187 500 250 000 312 500 62 500 payés à 0 62 500 payés
Plus en détailChapitre 9 : Les étapes de la construction de l Europe monétaire
Chapitre 9 : Les étapes de la construction de l Europe monétaire Que dit le Traité de Rome en matière monétaire? Pas de propos très détaillés. Ce qui est mentionné, c est l ambition de créer une aire régionale
Plus en détailCela a notamment conduit à l accroissement de la rentabilité du capital au détriment du travail dans toutes les économies occidentales.
1 Contribution de Jean Pierre BRARD, député apparenté communiste de Seine Saint Denis, et de Bernard VERA, sénateur communiste de l Essonne, membres du groupe de travail Assemblée nationale Sénat sur la
Plus en détail«Quelle fiscalité pour le capital à risque?»
Réception de Nouvel An «Quelle fiscalité pour le capital à risque?» Bruno Colmant Administrateur délégué d Euronext Belgique, Docteur en Economie Appliquée (ULB) Membre du Conseil Supérieur des Finances,
Plus en détailla fin d une ère? Scénarios et enjeux
Guerre des monnaies, la fin d une ère? Scénarios et enjeux La guerre des monnaies En préambule, Christian de Boissieu, professeur à la Sorbonne et au Collège d Europe, membre du Collège de l AMF (Autorité
Plus en détailCHAP 3 COMMENT EXPLIQUER L INSTABILITE DE LA CROISSANCE?
CHAP 3 COMMENT EXPLIQUER L INSTABILITE DE LA CROISSANCE? 3.1 COMMENT EXPLIQUER LES FLUCTUATIONS ECONOMIQUES? Introduction : 1. La croissance économique n est pas régulière. A une période d expansion succède
Plus en détailLe RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions
27 novembre 213 N 5 Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions La Chine semble vouloir développer le poids du RMB comme monnaie internationale, aussi bien financière que
Plus en détail