Observatoire de l habitat. Etat du parc et marché du logement de l Entente en 2012

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1 Observatoire de l habitat Etat du parc et marché du logement de l Entente en 2012 décembre 2013

2 Territoire de l Entente en 2013 Communauté d agglomération Chalon - Val de Bourgogne Communauté urbaine - Montceau-les-Mines Montceaules-Mines Communauté de communes du Sud de la Côte Chalonnaise 0 2,5 5 km O

3 Observatoire de l habitat Etat du parc et marché du logement de l Entente en 2012 La première publication de l observatoire de l habitat de l Agence d urbanisme Sud Bourgogne fait le point sur les grandes tendances d évolution en matière d habitat sur le territoire de l Entente Creusot Montceau - Grand Chalon. Le bilan de l année 2012 s intéresse aux dynamiques sociodémographiques, à l évolution du parc de logements et à son occupation, à la construction neuve, à la commercialisation des logements, au marché foncier, au marché immobilier d occasion et aux loyers. ELEMENTS DE CADRAGE SOCIODEMOGRAPHIQUES Table des matières L évolution démographique est plus favorable dans le périurbain 4 Une population vieillissante 5 La taille des ménages se réduit 6 Un nombre de cadres et de retraités en progression 7 Des niveaux de ressources très différenciés 9 LE PARC DE LOGEMENTS Le parc de logements s accroit aux franges des villes centres 12 Une vacance importante dans les villes centres 13 Un parcours résidentiel fluide 14 Le confort des logements s améliore 14 Une offre résidentielle spécifique à chaque territoire 15 dominée par le parc privé 16 Un parc privé en accession toujours autant convoité 17 Le parc privé domine l offre locative dans le Chalonnais 18 Le parc social domine l offre locative dans le bassin minier 20 Des allocataires logement plus nombreux 22 LE MARCHE DU LOGEMENT La construction neuve est au ralenti 24 Une promotion immobilière peu présente 25 La hausse des prix des terrains conduit à une baisse de leurs surfaces 26 Le prix d une maison individuelle neuve augmente 27 Des maisons anciennes à prix fort dans le Chalonnais et faible dans le bassin minier 28 Le prix des appartements anciens en légère baisse ces derniers mois 29 Les loyers de marché se stabilisent dans le Chalonnais 30

4 4 ELEMENTS DE CADRAGE SOCIODEMOGRAPHIQUES L évolution démographique est plus favorable dans le périurbain En 2010, l Entente compte habitants contre en La population a décru de habitants, soit un rythme de - 0,2 % par an. Ce rythme est contraire à la tendance départementale qui affiche une hausse annuelle de population de 0,2 %. Au sein de l Entente, les trois groupements de communes évoluent de façon différenciée. La CA Chalon - Val de Bourgogne maintient sa population grâce à un solde naturel compensant un déficit migratoire. La CC du Sud de la Côte Chalonnaise voit sa population augmenter grâce à un bilan migratoire et naturel positif. La CU - Montceaules-Mines affiche une perte de population, liée à un déficit naturel et migratoire. Le gain de population le plus significatif, issu des dynamiques naturelle et migratoire, n est effectif qu en périphérie de Chalon-sur-Saône (CC du Sud de la Côte Chalonnaise incluse). La périurbanisation ralentit dans plusieurs grandes agglomérations françaises avec un gain d habitants plus rapide dans la ville centre qu en périphérie. Cette tendance n est pas à l œuvre dans les petites et moyennes agglomérations, du fait notamment d une plus grande disponibilité du foncier et d une meilleure accessibilité de la ville centre en termes de déplacements automobiles. Evolution de la population Population 1999 Population 2010 Evolution annuelle moyenne CU - Montceau-les-Mines ,61 % ,29 % Montceau-les-Mines ,57 % CUCM hors et Montceau-les-Mines ,28 % CC du Sud de la Côte Chalonnaise ,15 % CA Chalon - Val de Bourgogne ,04 % Chalon-sur-Saône ,98 % CACVB hors Chalon-sur-Saône ,90 % Entente ,20 % Entente hors Chalon/Creusot/Montceau ,42 % Saône-et-Loire ,18 % Saône-et-Loire hors Entente ,42 % Source : Insee, recensements de la population L inversion de la tendance démographique de l Entente dépend de sa capacité à maintenir un niveau de natalité positif et à attirer de nouveaux habitants. Si le solde migratoire peut évoluer très vite, le solde naturel est plus inerte. A long terme, le solde naturel pourrait devenir négatif du fait du départ de la population en âge d avoir des enfants et du vieillissement de la population. Evolution de la population entre 1999 et 2010 Montceaules-Mines Evolution de la population < 0 % 0-9,9 % 10-19,9 % >= 20 % km O Solde migratoire Source : Insee, recensements de la population

5 5 Une population vieillissante A l image des tendances nationale et régionale, le vieillissement de la population se vérifie dans le territoire. En 11 ans, la part des 60 ans ou plus a augmenté de cinq points pour atteindre 28 % de la population en 2010, ce qui représente personnes. A cela s ajoute un autre phénomène : la gérontocroissance. La population de 60 ans ou plus a en effet augmenté de 15 % ( personnes). Le phénomène est encore plus accentué pour les 75 ans ou plus - âge à partir duquel commence souvent la dépendance. Leur nombre a en effet augmenté de 35 % depuis 1999 pour atteindre personnes en Les collectivités devront de plus en plus apporter des réponses aux besoins spécifiques liés à la perte d autonomie : maintien à domicile, adaptation du parc de logements, aménagement de l espace public, aides à la personne, structures d accueil La CU - Montceau-les-Mines est particulièrement concernée. La moitié des communes de l Entente a une population âgée, c est-à-dire ayant plus d habitants de 60 ans ou plus que d enfants et de jeunes de moins de 20 ans - ces derniers étant plus nombreux au nord-est de la CA Chalon - Val de Bourgogne, là où sont installées les familles. Montceau-les- Mines et sont les villes centres les plus concernées. Elles comptent en effet 60 personnes de moins de 20 ans pour 100 de 60 ans ou plus. A Chalon-sur-Saône, ce ratio est moins prononcé : 80 jeunes pour 100 seniors sont recensés. Part des jeunes et des seniors dans la population Pour l agglomération hors Chalon-sur-Saône, le ratio est à l équilibre. Vieillissement ou gérontocroissance? Vieillissement : augmentation de la proportion des personnes âgées résultant de l allongement de l espérance de vie et de la baisse de la natalité. C'est une valeur relative : pourcentage de personnes âgées. Gérontocroissance : augmentation des effectifs de la population âgée, liée à la progression de l espérance de vie et à la structure par âge de la population (impact de la génération issue du baby-boom). C'est une valeur absolue : nombre de personnes âgées. Part des moins de 30 ans en 1999 Part des moins de 30 ans en 2010 Part des 60 ans et plus en 1999 Part des 60 ans ou plus en 2010 Indice de jeunesse Rapport entre la population âgée de moins de 20 ans et celle des 60 ans et plus. 0 % 10 % 20 % 30 % 40 % Saône-et-Loire CU - Montceau-les-Mines CA Chalon - Val de Bourgogne Source : Insee, recensements de la population Entente CC du Sud de la Côte Chalonnaise Indice de jeunesse en 2010 Montceaules-Mines Indice de jeunesse < 1 1-1,49 1,5-1,9 >= 2 km O Source : Insee, recensement de la population

6 6 La taille des ménages se réduit La production de logements dépend non seulement de l évolution démographique (vieillissement de la population) mais également de l évolution des modes de vie (décohabitation). Le phénomène de desserrement des ménages (soit la diminution de la taille des ménages) existe tant au niveau local que national et accroît les besoins en logements à population constante. Dans l Entente, le nombre de ménages progresse de 6 % entre 1999 et 2010, passant de à , tandis que la population des ménages recule de 3 % sur la même période. Cette combinaison tend à réduire la taille moyenne des ménages de 2,3 à 2,1 personnes. A titre de comparaison, la taille moyenne des ménages bourguignons et sâone-et-loiriens s élève à 2,2 personnes. La CU - Montceau-les-Mines compte ménages en 2010, soit une progression de 2 % par rapport à Elle s accompagne d une baisse de la population des ménages de 7 %. De ce fait, la taille des ménages au sein de cette intercommunalité s élève à 2,1 personnes en 2010 contre 2,3 en La CC du Sud de la Côte Chalonnaise accueille moins de ménages mais leur nombre a augmenté de 20 % depuis Evolution (indice base 100 en 1982) Evolution du nombre et de la population des ménages et de la taille moyenne des ménages dans l'entente Nombre de ménages Taille moyenne des ménages Source : Insee, recensements de la population Conjuguée à une croissance de la population des ménages (13 %), la CC du Sud de la Côte Chalonnaise est l EPCI (établissement public de coopération intercommunale) dont la taille moyenne des ménages est la plus élevée : 2,3 personnes (2,5 en 1999). Le nombre de ménages au sein de la CA Chalon - Val de Bourgogne s est accru de 9 % depuis 1999 pour atteindre les en Dans le même temps, la population des ménages est restée stable. Ainsi, les Grands Chalonnais sont en moyenne 2,15 par ménage contre 2,3 en Population des ménages Taille moyenne des ménages 2,8 2,6 2,4 2,2 2,0 L évolution du nombre de ménages n est pas portée par les villes centres. Leur nombre a baissé de 3 % au Creusot quand il peine à rester stable à Montceau-les-Mines (- 0,1 %) et Chalon-sur-Saône (- 0,2 %). La croissance est donc portée par la périphérie des EPCI : + 19 % pour celle de la CA Chalon - Val de Bourgogne et + 6 % pour celle de la CU Le Creusot - Montceau-les-Mines. Type de ménage principal en 2010 Montceaules-Mines Type de ménage principal Mixte Couples avec enfant(s) Couples sans enfant Personnes seules km O Source : Insee, recensement de la population

7 7 Les ménages des villes centres ne dépassent pas deux personnes en moyenne. A, 50 % des ménages sont désormais formés d une seule personne (contre 42 % en 1999). Au Creusot et à Montceau-les-Mines, l évolution est moins forte. Néanmoins 44 % et 46 % des ménages sont de ce type en Similaire à celui de l Entente, le profil des ménages de la CU - Montceaules-Mines et de la CA Chalon - Val de Bourgogne est quasiment identique ; la CA Chalon - Val de Bourgogne compte toutefois proportionnellement plus de familles avec enfants. La CC du Sud de la Côte Chalonnaise a un profil spécifique : elle accueille plus de familles (sans ou avec enfant(s)) que les agglomérations et donc moins de personnes vivant seules. Ces résultats témoignent des logiques de parcours résidentiel des ménages. L agrandissement de la famille (souvent après l arrivée du deuxième enfant) incite les ménages à s installer en périphérie, Répartition des ménages par type dans l Entente en 2010 (et 1999) - Montceau-les- Mines CUCM hors Le Creusot et Montceau CC du Sud de la Côte Chalonnaise Chalon-sur-Saône CACVB hors Chalon-sur-Saône Entente Personnes seules 45 % (39 %) 29 % (24 %) 26 % (26 %) 50 % (42 %) 24 % (19 %) 36 % (32 %) Source : Insee, recensements de la population Couples sans enfant 27 % (28 %) 36 % (33 %) 34 % (30 %) 22 % (24 %) 34 % (33 %) 30 % (29 %) essentiellement dans des logements individuels. Cette situation n est pas neutre vis-à-vis de la consommation d espace, des Couples avec enfant(s) 17 % (24 %) 27 % (36 %) 31 % (38 %) 16 % (24 %) 33 % (41 %) 24 % (31 %) Familles monoparentales 9 % (8 %) 7 % (6 %) 7 % (5 %) 10 % (9 %) 7 % (6 %) 8 % (7 %) Ménages sans famille 2 % (1 %) 1 % (1 %) 2 % (1 %) 2 % (1 %) 2 % (1 %) 2 % (1 %) pratiques de déplacements et de la diversité des logements offerts. Un nombre de cadres et de retraités en progression A l échelle de l Entente, le nombre de retraités a augmenté de 27 % depuis 1999 ( ). Une personne de 15 ans ou plus sur trois est désormais à la retraite en Ce poids important fait évidemment écho au vieillissement de la population du territoire mais reste moins important que dans le reste du département. Sur la même période, le nombre d ouvriers a baissé de 13 %, soit personnes, ramenant ainsi leur part dans la population à un niveau équivalent à celui de la région (15 %). 270 cadres se sont installés dans la CC du Sud de la Côte Chalonnaise depuis 1999, multipliant quasiment par deux leur nombre. A l échelle de l Entente, leur nombre a augmenté de 23 % ( ). Autres sans activité professionnelle Chômeurs n ayant jamais travaillé, militaires du contingent, élèves, étudiants, femmes au foyer Evolution de la population de 15 ans ou plus par catégorie socioprofessionnelle entre 1999 et 2010 CU - Montceau-les-Mines CC du Sud de la Côté Chalonnaise CA Chalon - CUCMVal de Bourgogne - 37 % - 18 % 21 % 7 % 14 % - 32 % -37% Autres sans activité prof. Autres -sans 29 % activité prof. 21% 29 Retraités % Retraités 33 % -18% 18 % Ouvriers Ouvriers - 10 % 7% 10 Employés % Employés 5 % Professions 62 % intermédiaires Professions 14% intermédiaires 10 % Autres sans activité prof. Autres sans activité prof. Retraités Retraités Ouvriers Ouvriers Employés Employés Professions intermédiaires Professions intermédiaires 15 % Cadres et professions 90 % intell. sup. Cadres 15% et professions 23 % intell. sup. Cadres et professions Cadres intell. et sup. professions intell. sup % 24 % Artisans, commerçants, chefs -28% d'ent. Artisans, - 8 commerçants, % chefs d'ent. Artisans, commerçants, Artisans, chefs commerçants, d'ent. chefs d'en - 2 % - 37 % Agriculteurs exploitants -2% Agriculteurs - 19 exploitants % Agriculteurs exploitants Agriculteurs exploitants Source : Insee, recensements de la population

8 8 Répartition de la population de 15 ans ou plus par catégorie socioprofessionnelle en 2010 CU - Montceau-les-Mines CC du Sud de la Côte Chalonnaise CA Chalon - Val de Bourgogne 18 % Autres sans 12 activité % prof. Autres sans 15 activité % prof. Autres sans activité prof. 34 % Retraités 29 % Retraités 29 % Retraités 16 % Ouvriers 13 % Ouvriers 15 % Ouvriers 15 % Employés 13 % Employés 17 % Employés 11 % Professions intermédiaires 17 % Professions 14 intermédiaires % Professions intermédiaires 4 % 2 % Cadres et professions 7 % intell. sup. Cadres et 6 professions % intell. sup. Cadres et professions intell. sup. Artisans, commerçants, 4 % chefs d'ent. Artisans, 3 commerçants, % chefs d'ent. Artisans, commerçants, chefs d'ent. 0 % Agriculteurs 3 % exploitants Agriculteurs 1 % exploitants Agriculteurs exploitants Source : Insee, recensement de la population Le taux d activité est particulièrement élevé dans les communes périurbaines et le long des axes routiers. Les actifs ont ainsi privilégié une résidence à moindre coût en périphérie avec un accès facilité à leur lieu de travail dans la ville centre. En termes d évolution, celle de l emploi dans l Entente ne génère pas de besoins en logements supplémentaires. En effet, entre 2007 et 2012, l Entente a perdu emplois salariés dans le secteur privé (- 3,6 %) dont dans la CU - Montceau-les-Mines. Ce recul est cependant moins fort que celui enregistré en Bourgogne où la baisse s établit à 5,2 %. Taux d activité Rapport entre le nombre d actifs (actifs occupés et chômeurs) de 15 ans ou plus et l ensemble de la population de 15 ans ou plus. Population active et taux d activité en 2010 Montceaules-Mines Taux d'activité < 50 % 50-54,9 % Population active ,9 % 60-64,9 % >= 65 % 0 2, km O Source : Insee, recensement de la population

9 9 Des niveaux de ressources très différenciés La CU - Montceau-les-Mines est l EPCI dont le revenu mensuel médian est le plus bas. La CC du Sud de la Côte Chalonnaise est à l inverse celui qui affiche le revenu mensuel médian le plus élevé et la plus grande homogénéité sociale de la population en termes de revenus. Les plus fortes disparités se retrouvent dans la CA Chalon - Val de Bourgogne où les revenus les plus élevés sont cinq fois supérieurs aux plus faibles. De manière générale, les ménages ayant les revenus les plus importants résident dans les communes de la côte chalonnaise et en particulier, Dracy-le-Fort, Chenôves, Saint-Martin-sous-Montaigu, qui affichent un revenu annuel médian supérieur à euros. Les ménages ayant les revenus médians les plus bas (inférieurs à euros par an) résident dans les trois villes centres et quelques-unes de leurs communes attenantes : Montchanin, Torcy et Sanvignes-les-Mines. Plus précisément, Rapport inter-déciles Revenu mensuel médian par unité de consommation ( ) et rapport inter-déciles en 2011 Montceau-les- Mines Chalon-sur-Saône Source : Insee, revenus fiscaux localisés des ménages CU - Montceau-les- Mines Saône-et-Loire CA Chalon - Val de Bourgogne Bourgogne CC du Sud de la Côte Chalonnaise les ménages sous le seuil des bas revenus se trouvent dans les quartiers d habitat social des villes centres. Le niveau de revenus des ménages influe Revenu mensuel médian ( ) sur le type de logements à développer sur un territoire. Il convient donc de proposer une offre de logements abordable pour les habitants ayant de faibles revenus et adaptée aux besoins des ménages plus aisés. Part des ménages sous le seuil des bas revenus en 2010 Montceaules-Mines Part des ménages dont le revenu fiscal par UC est inférieur au seuil des bas revenus 0 % 0-19,9 % 20-29,9 % 30-39,9 % 40-49,9 % 50-59,9 % >= 60 % kmo Source : Insee, données carroyées 200x200 mètres, novembre 2013 d après les revenus fiscaux localisés au 31/12/2010 et la taxe d habitattion au 01/01/2011

10 10 En lien avec le niveau de revenus, 44 % de la population de l Entente est couverte par une ou plusieurs prestations de la Caf (42 % en Saône-et-Loire). Cette proportion est plus forte dans les villes centres et atteint 50 % dans la commune de Chalon-sur-Saône. En un an, le nombre d allocataires de la Caf s est accru de 405 personnes dans l Entente. Leur progression est plus élevée qu en Saôneet-Loire où le nombre d allocataires augmente de 0,7 %. Les difficultés économiques expliquent ce résultat mais pas seulement. La hausse du nombre de ménages et leur desserrement influent sur cette évolution. En témoignent justement les évolutions différenciées du nombre d allocataires et des personnes couvertes : la population couverte progresse moins vite que les allocataires. Fin 2012, l Entente compte 2,5 personnes couvertes par foyer contre 2,6 fin Ce rapport tend à augmenter en dehors des villes centres, c est-à-dire là où résident les familles avec enfants. Revenus Le revenu fiscal par unité de consommation (UC) est le revenu du ménage rapporté au nombre d unités de consommation qui le composent. Par convention, le nombre d unités de consommation d un ménage fiscal est évalué de la manière suivante : le premier adulte du ménage compte pour une unité de consommation ; les autres personnes de 14 ans ou plus comptent chacune pour 0,5 ; les enfants de moins de 14 ans comptent chacun pour 0,3. Le rapport inter-déciles du revenu fiscal établit le rapport entre les revenus les plus élevés et Personnes couvertes Ensemble des allocataires Caf et de leurs ayants droit. les revenus les plus faibles, en ôtant de chaque côté les 10 % de personnes aux revenus les plus extrêmes. Cet indicateur mesure la disparité relative entre les plus hauts et les plus bas revenus fiscaux, sans être déformé par les revenus les plus extrêmes. Il permet donc d étudier les disparités des revenus au sein d une zone, mais aussi entre les zones. La médiane du revenu fiscal partage les personnes en deux groupes : la moitié des personnes appartient à un ménage qui déclare un revenu inférieur à cette valeur et l autre moitié présente un revenu supérieur. Cet indicateur permet donc de mesurer le niveau central des revenus au sein d une zone. Taux de couverture Rapport entre le nombre de personnes couvertes en 2012 et la population de Evolution du nombre d allocataires de la Caf et de la population couverte Nombre d allocataires au 31/12/2012 Evolution du nombre d allocataires entre 2011 et 2012 Nombre de personnes couvertes au 31/12/2012 Evolution du nombre de personnes couvertes entre 2011 et 2012 CU - Montceau-les-Mines ,8 % ,1 % ,4 % ,2 % Montceau-les-Mines ,4 % ,1 % CC du Sud de la Côte Chalonnaise ,1 % ,7 % CA Chalon - Val de Bourgogne ,5 % ,5 % Chalon-sur-Saône ,3 % ,8 % Entente ,1 % ,2 % Saône-et-Loire ,7 % ,2 % Source : Caf de Saône-et-Loire

11 11 Population couverte et taux de couverture de la Caf en 2012 Montceaules-Mines Population couverte Source : Caf de Saône-et-Loire Taux de couverture < 35 % 35-39,9 % 40-44,9 % 45-49,9 % >= 50 % km O

12 12 LE PARC DE LOGEMENTS Le parc de logements s accroit aux franges des villes centres En 2010, l Entente compte logements (résidences principales, résidences secondaires, logements occasionnels et logements vacants). Le parc s est enrichi de logements, soit une augmentation annuelle moyenne égale à 0,53 %, contraire à celle de la population (- 0,20 %). Le rythme de croissance du parc de logements diffère selon les EPCI de l Entente et plus précisément au sein même des EPCI. Ainsi, le nombre de logements s est fortement accru en dehors des villes centres, où le foncier est davantage disponible et plus facilement mobilisable. La dynamique est surtout à l œuvre autour de Chalon-sur-Saône et dans la CC du Sud de la Côte Chalonnaise. Dans l Entente, résidences principales supplémentaires sont comptabilisées depuis Cette croissance n a pas modifié le poids des résidences principales dans le parc total. En 2010, elles composent ainsi 88 % du parc de logements, niveau équivalent à celui de Le parc secondaire et occasionnel recule de 25 % sur le territoire et s élève à logements en Le changement de statut explique cette tendance : un logement peut désormais être occupé toute l année par son propriétaire ou par un autre ménage si le bien a été vendu. La CC du Sud de la Côte Chalonnaise connait une baisse plus limitée (- 4,9 %). Le marché des résidences secondaires est donc d un poids très variable. La CC du Sud de la Côte Chalonnaise conserve une proportion de résidences secondaires relativement importante (14 %) quand celle de l Entente ne dépasse pas 3 %. Une proportion importante de résidences secondaires peut avoir deux conséquences. Elle peut soit exclure les ménages actifs dans les secteurs valorisés, soit constituer un substitut favorable à la vacance dans les secteurs en déprise. Evolution du parc de logements Nombre de logements en 2010 Nombre de logements supplémentaires depuis 1999 Evolution du nombre de logements entre 1999 et 2010 CU - Montceau-les-Mines ,6 % ,3 % Montceau-les-Mines ,4 % CUCM hors et Montceau-les-Mines ,6 % CC du Sud de la Côte Chalonnaise ,0 % CA Chalon - Val de Bourgogne ,3 % Chalon-sur-Saône ,5 % CACVB hors Chalon-sur-Saône ,7 % Entente ,0 % Entente hors Chalon/Creusot/Montceau ,6 % Saône-et-Loire ,8 % Saône-et-Loire hors Entente ,4 % Source : Insee, recensements de la population

13 13 Evolution du parc de logements entre 1999 et 2010 Montceaules-Mines Evolution du nombre de logements par catégorie 270 Résidences principales Résidences secondaires et logements occasionnels Logements vacants Evolution du nombre total de logements < 10 % 10-19,9 % 20-29,9 % km >= 30 % O Source : Insee, recensements de la population Une vacance importante dans les villes centres 9 % des logements sont vacants à l échelle de l Entente (contre 7,8 % en 1999), soit un volume de logements (4 340 dans la CA Chalon - Val de Bourgogne, 400 dans la CC du Sud de la Côte Chalonnaise et dans la CU - Montceau les Mines). Il s agit d un taux élevé, équivalent à celui du département. De façon générale, plus le taux est faible, plus le marché est tendu. Ce résultat agglomère tous les types de vacance (frictionnelle ou de marché, rétention, inadaptation ) sans en distinguer la durée. La vacance est un phénomène à l œuvre plutôt dans les centres des villes, là où la part des petits logements locatifs implique une forte vacance frictionnelle et là où le parc est plus ancien et/ou de qualité médiocre (donc plus obsolète). Par ailleurs, le taux de vacance évolue lentement (un point de plus en 11 ans) ; une variation plus forte aurait été significative de mutations du marché. Nombre de logements Source : Insee, recensements de la population Vacance dans le parc de logements en 2010 Logement vacant Logement inoccupé se trouvant dans l un des cas suivants : proposé à la vente, à la location ; déjà attribué à un acheteur ou un locataire et en attente d occupation ; Taux de croissance / vacance 40 % 35 % 30 % 25 % 20 % 15 % 10 % 0 0 % Montceau Reste CUCM Chalon-sur-S. Reste CACVB Logements vacants en 2010 Logements vacants supplémentaires Taux de croissance Taux de vacance % en attente de règlement de succession ; conservé par un employeur pour un usage futur au profit d un de ses employés ; gardé vacant et sans affectation précise par le propriétaire (exemple : un logement très vétuste).

14 14 Vacance dans le parc de logements en 2010 Montceaules-Mines Nombre de logements vacants Taux de vacance Source : Insee, recensement de la population < 3 % 3-5,9 % 6-8,9 % 9-11,9 % >= 12 % km O Un parcours résidentiel fluide L ancienneté d emménagement identifie les ménages mobiles qui se sont installés récemment dans un logement sur le territoire de l Entente (suite à une décohabitation, un déménagement ou une nouvelle arrivée). Cette rotation varie en fonction de chaque segment du parc en étant en toute logique plus forte dans le parc locatif. Globalement, la part des emménagés récents est plus importante dans l Entente que dans le département. Ceci peut être le signe d un parcours résidentiel fluide (par exemple : prendre un logement plus grand lorsque la famille s agrandit). Ancienneté d'emménagement des ménages en 2010 dans l'entente 30 ans ou plus 20,3% depuis moins de 2 ans 12,3% Le confort des logements s améliore de 20 à 29 ans 14,1% de 2 à 4 ans 18,5% Un logement est considéré comme inconfortable quand il ne possède ni douche ni baignoire. Ce niveau d analyse ne suffit cependant pas à caractériser la notion de confort et de qualité du logement dans son ensemble. D autres facteurs entrent effectivement en compte tels que le caractère surpeuplé du logement. Cette approche permet néanmoins d estimer un besoin d amélioration en équipements de base. La proportion de logements sans installations sanitaires tend à diminuer sur l ensemble du territoire ( résidences principales concernées entre 1999 et 2010 dans l Entente) et touche désormais 2,2 % du parc de logements. Le confort des logements est corrélé à l ancienneté du parc. Ainsi, la CC du Sud de la Côte Chalonnaise, dont 60 % du parc date d avant 1949, comprend 2,7 % de logements sans confort. La situation est moins marquée pour les agglomérations dont le parc est plus récent (2 % pour la CA Chalon - Val de Bourgogne et 2,4 % pour la CU - Montceau-les-Mines). Plus la part de logements anciens est importante, plus le potentiel et les besoins de rénovation peuvent être conséquents. Le parc privé est généralement davantage concerné. A ce titre, des opérations d amélioration du parc privé ont été réalisées ou sont en cours sur le territoire. de 10 à 19 ans 18,3% Source : Insee, recensement de la population de 5 à 9 ans 16,5% Il y a égalité entre le nombre de résidences principales et le nombre de ménages. Au sens du recensement, un ménage désigne l ensemble des personnes qui partagent la même résidence principale.

15 15 Une offre résidentielle spécifique à chaque territoire L Entente compte résidences principales réparties comme suit : dans la CU - Montceau, dans la CC du Sud de la Côte Chalonnaise, dans la CA Chalon - Val de Bourgogne. Part des maisons et des appartements dans les résidences principales en 2010 Maisons Appartements 62 % 37 % 39 % 59 % 50 % 48 % 79 % 19 % 92 % 8 % 49 % 50 % 13 % 86 % 84 % 15 % 57 % 42 % 83 % 16 % 68 % 31 % 75 % 24 % Source : Insee, recensement de la population La répartition des résidences principales par type se conjugue avec leur nombre de pièces ; les logements individuels sont effectivement plus grands que les logements collectifs. Le parc de résidences principales de l Entente est principalement composé de T4 et plus (63 %). Les T1/T2 représentent 14 % du parc. Cette répartition n est pas homogène sur l ensemble du territoire : il existe une spécialisation en fonction du caractère urbain ou périurbain des communes. Les T4 et plus constituent ainsi moins de la moitié des résidences principales de Chalon-sur-Saône (45 %) et les T1/T2 le quart. A l inverse, le parc des communes de la périphérie chalonnaise est composé à 80 % de T4 et plus. Dans la CU - Montceau-les- Mines, cette spécialisation urbain/périurbain est cependant moins marquée. Par ailleurs, l offre de grands logements s est accrue sur la dernière décennie. La taille moyenne des résidences de l Entente est passée de 3,8 pièces en 1999 à 4,0 en Seule la CC du Sud de la Côte Chalonnaise offre des logements de plus grande taille (4,7 pièces). Résidences principales selon le nombre de pièces en pièces et plus 4 pièces Entente 60 % 1 pièce 50 % 40 % 30 % 20 % 10 % 0 % Source : Insee, recensement de la population 3 pièces CU - Montceau-les-Mines CC du Sud de la Côte Chalonnaise CA Chalon - Val de Bourgogne 2 pièces

16 16 dominée par le parc privé Le parc privé domine largement l offre résidentielle du territoire (77 % des résidences principales). Il est plus présent dans les territoires ruraux ou en centreville. Dans les villes centres et/ou en proche périphérie, le poids du parc de logements sociaux est historiquement important. Le statut d occupation des logements a évolué entre 1999 et En 2010, 56 % des ménages de l Entente sont propriétaires de leur logement, soit une hausse de quatre points par rapport à Cette hausse se fait donc au détriment des locataires dont le poids est passé de 44 % en 1999 à 42 % en Le statut d occupation de nombreuses résidences principales a donc changé avec le passage de logements locatifs privés dans le parc des propriétaires occupants. Le renforcement de l aide à l accession a certainement contribué à cette tendance. Part des résidences principales occupées en 2010 par des propriétaires... des Montceaules-Mines locataires HLM Part des résidences principales occupées par des locataires privés < 10 % 10-14,9 % % 15-19, ,9 % >= 25 % km O Source : Insee, recensements de la population... des locataires Montceaules-Mines privés Part des résidences principales occupées par des propriétaires < 60 % 60-69,9 % 70-79,9 % 80-89,9 % >= 90 % km O Source : Insee, recensements de la population Part des résidences principales occupées par des locataires HLM < 5 % 5-9,9 % 10-14,9 % 15-19,9 % >= 20 % km Source : Insee, recensements de la population O

17 17 Un parc privé en accession toujours autant convoité En 2010, l Entente compte résidences principales occupées par des propriétaires supplémentaires depuis 1999 (+ 15 %) dont dans la CU - Montceau-les-Mines (+ 12 %), 600 dans la CC du Sud de la Côte Chalonnaise (+ 24 %) et dans la CA Chalon - Val de Bourgogne (+ 17 %). Les communes qui affichent les plus fortes évolutions relatives du nombre de ménages propriétaires occupants sont des communes de la grande périphérie chalonnaise, CC du Sud de la Côte Chalonnaise comprise. L accès à la propriété, en particulier en maison individuelle, est une volonté forte pour beaucoup de ménages. Ainsi, huit résidences principales occupées par des propriétaires sur 10 sont des maisons individuelles. Ce chiffre varie entre les différents EPCI de l Entente : 75 % pour la CA Chalon - Val de Bourgogne, 93 % pour la CU - Montceau-les- Mines et 99 % pour la CC du Sud de la Côte Chalonnaise. A l inverse, dans la commune de Chalon-sur-Saône, les propriétaires résident à 71 % en logement collectif. Au Creusot et à Montceau-les-Mines, ils sont respectivement 20 % et 11 %. En écho au type d habitat prédominant, la moitié des propriétaires de l Entente et un tiers de ceux de Chalon-sur-Saône occupent un logement de cinq pièces ou plus. Résidences principales occupées par des propriétaires selon le nombre de pièces en pièces et plus 5 pièces Entente 40 % 1 pièce 30 % 20 % 10 % 0 % 4 pièces CU - Montceau les Mines CC du Sud de la Côte Chalonnaise CA Chalon - Val de Bourgogne Source : Insee, recensement de la population 2 pièces 3 pièces Evolution du nombre de résidences principales occupées par des propriétaires entre 1999 et 2010 Montceaules-Mines Taux d'évolution =< 0 % 0-14,9 % 15-24,9 % 25-34,9 % >= 35 % km Evolution en volume O Source : Insee, recensements de la population

18 18 des propriétaires occupants Les ménages propriétaires occupants de l Entente ont un profil proche de celui de Saône-et-Loire. Ils sont globalement âgés (58 % ont 55 ans ou plus) avec une proportion de propriétaires de 40 ans ou moins égale à 14 %. En lien avec leur âge, les propriétaires sont à 47 % retraités. Trois sur 10 appartiennent à la CSP ouvriers (15 %) ou professions intermédiaires (15 %). Le poids des cadres est plus important localement (9 %) qu à l échelle départementale (7 %). La taille des ménages propriétaires de leur logement est à l image de la tendance à l œuvre. Il s agit en effet de ménages de petite taille, d une personne (26 %) ou deux (42 %). Ils sont trois sur 10 à être propriétaires soit depuis 30 ans ou plus, soit depuis moins de 10 ans. Les trois EPCI de l Entente affichent quelques écarts par rapport à cette situation globale. Ainsi, dans la CU Montceaules-Mines, la part des plus de 55 ans est relativement importante (plus de six propriétaires sur 10). Les ouvriers sont en proportion plus nombreux que les professions intermédiaires. Elle accueille également moins de cadres que la moyenne (7 %). Les ménages de plus de quatre personnes occupent une place réduite (16 %) au bénéfice des ménages d une et surtout deux personnes (sept ménages propriétaires sur 10). Un tiers des ménages occupe sa résidence en tant que propriétaire depuis plus de 30 ans. Leur revenu annuel médian par UC est inférieur à euros. Dans la CC du Sud de la Côte Chalonnaise, la part des jeunes propriétaires est plus importante (17 % ont moins de 40 ans). Les professions intermédiaires sont plus nombreuses que les ouvriers et les cadres représentent plus de 10 % des propriétaires. Cet EPCI a la spécificité de compter 6 % de propriétaires agriculteurs exploitants. Le poids des ménages isolés est plus faible que dans l ensemble de l Entente (23 %) et à l inverse, celui des familles de trois/quatre personnes est plus élevé (31 %). L ancienneté d emménagement est plus récente avec 35 % des propriétaires ayant emménagé depuis moins de 10 ans. Le revenu annuel médian s établit à euros, niveau supérieur à celui du département ( euros). Dans la CA Chalon - Val de Bourgogne, l âge des propriétaires est moins élevé que la moyenne. La CSP des professions intermédiaires occupe une place plus importante que celle des ouvriers. Quant aux cadres, ils rassemblent 10 % des propriétaires. Les ménages isolés sont nombreux dans ce territoire (27 %), tout comme les couples avec deux enfants (13 %). Plus d un tiers des propriétaires ont emménagé depuis moins de 10 ans. Le montant de leur revenu annuel médian est plus élevé et s établit à euros. PROFIL Le parc privé domine l offre locative dans le Chalonnais Evolution du nombre de résidences principales occupées par des locataires privées entre 1999 et 2010 Montceaules-Mines Taux d'évolution < 0 % 0-24,9 % 25-44,9 % 45-64,9 % >= 65 % km Evolution en volume O Source : Insee, recensements de la population -1-10

19 19 En 2010, le territoire de l Entente compte résidences principales en locatif privé de plus par rapport à 1999 (+ 10 %) ; réparties dans les trois EPCI : 450 dans la CU - Montceau-les-Mines (+ 6 %), 100 dans la CC du Sud de la Côte Chalonnaise (+ 22 %) et dans la CA Chalon - Val de Bourgogne (+ 12 %). Les villes centres et les communes limitrophes à Chalon-sur-Saône sont davantage concernées par cette hausse. A l échelle de l Entente, sept résidences principales sur 10, occupées par des locataires privés, sont des appartements. Ce ratio s établit à 60 % dans la CU - Montceau-les-Mines et atteint 77 % dans la CA Chalon - Val de Bourgogne. Dans la CC du Sud de la Côte Chalonnaise, seul un tiers des résidences principales louées sont des appartements. Sans surprise, les locataires du parc privé résident quasiment exclusivement en logements collectifs dans les communes de Chalon-sur-Saône (93 %) et du Creusot (84 %). Résidences principales occupées par des locataires privés selon le nombre de pièces en pièces et plus 5 pièces Entente 40 % 1 pièce 30 % 20 % 10 % 0 % 4 pièces CU - Montceau les Mines CC du Sud de la Côte Chalonnaise CA Chalon - Val de Bourgogne 2 pièces 3 pièces La taille des logements loués est en moyenne plus faible que celle des logements occupés par leurs propriétaires. Un tiers des résidences principales occupées par des locataires privés a une ou deux pièces. Ce résultat est fortement influencé par Chalon-sur-Saône dont le poids des petits logements dépasse 45 %. Source : Insee, recensement de la population Le parc locatif privé est plus ancien que le parc privé en accession dans son ensemble. 45 % des résidences principales occupées par des locataires privés ont été construites avant 1950 contre 32 % pour l ensemble du parc. Le parc locatif est principalement localisé en centre-ville, là où le bâti est le plus ancien. Une vigilance sur la qualité et le confort du parc locatif privé est donc primordiale. Des actions sont actuellement menées en ce sens. des locataires privés PROFIL L Entente compte ménages locataires dans le parc privé dont plus de la moitié est âgée de 25 à 54 ans. Ils sont autant de retraités que d ouvriers (24 % pour ces deux CSP) ; les cadres étant 7 %. Plus d un ménage en location privée sur deux est une personne seule. Les familles (ménages de trois ou quatre personnes) rassemblent 17 % de ces ménages. La mobilité est classiquement forte dans le parc locatif privé. Trois ménages sur 10 ont ainsi emménagé depuis moins de deux ans. Les intercommunalités de l Entente affichent cependant quelques spécificités qui leur sont propres. La CU - Montceau-les-Mines compte davantage de locataires âgés de plus de 65 ans (25 %) et de ce fait de retraités (29 %). Les couples sont par ailleurs relativement plus nombreux que la moyenne de l Entente. L ancienneté d emménagement supérieure à 30 ans concerne 9 % des ménages. Le revenu annuel médian par UC des locataires du secteur privé est inférieur à celui de Saône-et-Loire euros - et s établit à euros. La CC du Sud de la Côte Chalonnaise se caractérise par une proportion de ans relativement importante (65 %) faisant écho à celle des familles de trois ou quatre personnes (24 %). Le poids des ouvriers est particulièrement marqué (35 %) et celui des cadres dépasse la moyenne de l Entente (7 %) pour atteindre 9 %. Les ménages ayant emménagé depuis moins de deux ans sont nombreux (31 %). Enfin, le revenu annuel médian par UC est égal à euros. Par rapport à l Entente, la CA Chalon - Val de Bourgogne accueille davantage de jeunes de moins de 25 ans (16 %), de cadres (8 %) et de personnes seules (54 %). La mobilité y est importante car 65 % des locataires ont emménagé depuis moins de quatre ans. Enfin le revenu médian par UC est le plus élevé avec un montant de euros par an.

20 20 Le parc social domine l offre locative dans le bassin minier 221 logements locatifs sociaux supplémentaires sont comptabilisés entre 2011 et 2012 (dont plus de 90 % dans la CA Chalon - Val de Bourgogne). Cela équivaut à une croissance de 1 % en un an contre 2,3 % pour la Saône-et-Loire hors Entente. En 2012, l Entente compte logements locatifs sociaux répartis principalement entre la CU - Montceau-les-Mines et la CA Chalon - Val de Bourgogne. Le parc locatif social de l Entente est composé à 81 % de logements collectifs et atteint 89 % dans la CA Chalon - Val de Bourgogne. L individuel concerne cependant plus d un quart du parc au sein de la CU - Montceau-les-Mines et 42 % dans la CC du Sud de la Côte Chalonnaise. Evolution du parc locatif social Nombre de logements locatifs sociaux en 2012 Evolution 2011/2012 Part des logements locatifs sociaux dans les résidences principales en 2012 CU - Montceau-les-Mines ,0 % 31,0 % CC du Sud de la Côte Chalonnaise 147 0,0 % 3,7 % CA Chalon - Val de Bourgogne ,1 % 21,6 % Entente ,0 % 25,1 % Saône-et-Loire ,5 % 17,2 % Source : Dreal Bourgogne, répertoire du parc locatif social Part, nombre et type de logements locatifs sociaux en 2012 Montceaules-Mines Part des logements locatifs sociaux dans les résidences principales <= 5 % 5,1-10 % 10,1-15 % > 15 % Nombre de logements locatifs sociaux par type 460 Individuel Collectif km Sources : Dreal Bourgogne, répertoire du parc locatif social Insee, recensement de la population O

21 21 La moitié du parc locatif social date de la période L ancienneté du parc est plus marquée dans la CU - Montceau-les-Mines que dans la CA Chalon - Val de Bourgogne et implique des besoins en réhabilitation importants. De ce fait, le grand projet de rénovation urbaine (GPRU), initié en 2005 par la CU - Montceau-les-Mines, aboutit en 2013 à 850 logements démolis, 580 réhabilitations et 580 constructions. Un quart du parc de la CA Chalon - Val de Bourgogne a été achevé depuis 1990 et ce poids s élève à 34 % pour la CC du Sud de la Côte Chalonnaise. Les différents modes de financement, anciens et nouveaux (PLA, PLAI, PLUS, PLS, PLI...), génèrent plusieurs plafonds de loyers et ressources et répondent de ce fait à des besoins distincts. En moyenne, le montant du loyer principal d un logement locatif social est de 326 euros. Un logement locatif social sur 10 est proposé à la location mais vacant. Ce taux de vacance relativement important - à titre de comparaison, il est de 9 % dans le département et 7 % dans la région - témoigne de la faible tension du marché locatif social. Logements locatifs sociaux selon le nombre de pièces en pièces et plus 5 pièces Entente 50 % 1 pièce 40 % 30 % 20 % 10 % 0 % 4 pièces CU - Montceau les Mines CC du Sud de la Côte Chalonnaise CA Chalon - Val de Bourgogne 2 pièces 3 pièces Vacance dans le parc locatif social en 2012 Montceau Reste CUCM Chalon-sur-S. Reste CACVB Nombre de logements vacants Taux de vacance 16 % 14 % 12 % 10 % 8 % 6 % 4 % 2 % 0 % Source : Dreal Bourgogne, répertoire du parc locatif social Source : Dreal Bourgogne, répertoire du parc locatif social DES LOCATAIRES HLM PROFIL L Entente compte ménages locataires HLM. Plus de la moitié d entre eux ont entre 25 et 54 ans. Les seniors de plus de 65 ans sont quant à eux 28 %. Le poids des jeunes est plutôt faible parmi les locataires HLM. Les retraités et les ouvriers sont les principales CSP auxquelles appartiennent les locataires HLM (respectivement 34 % et 28 %). Les employés en rassemblent 16 %. Ce sont majoritairement des petits ménages. 47 % d entre eux vivent seuls et un quart des ménages sont des couples. Enfin, 15 % des locataires HLM ont emménagé depuis moins de deux ans. Le profil des locataires HLM varie peu d un EPCI de l Entente à l autre. Il existe néanmoins quelques nuances. La CU - Montceau-les-Mines compte ainsi relativement plus de locataires HLM âgés de plus de 65 ans (32 %). De ce fait, elle affiche également une part de retraités remarquable : 37 %. S agissant des ménages, la moitié des locataires HLM sont des personnes isolées. L ancienneté d emménagement est particulièrement nette avec 12 % d emménagés depuis plus de 30 ans. Le revenu annuel médian par UC des locataires du secteur social est équivalent à celui du département et s élève à euros. Au sein de la CC du Sud de la Côte Chalonnaise, la CSP majoritaire parmi les locataires HLM est celle des ouvriers (35 %) ; les retraités étant 32 %. Les ménages d une personne concernent 45 % des ménages locataires HLM. Le revenu annuel médian par UC, égal à euros, y est plus élevé qu en Saône-et-Loire. La CA Chalon - Val de Bourgogne compte 32 % d ouvriers et 30 % de retraités parmi les locataires HLM. Les personnes seules concernent 43 % de ces ménages. Ils ont emménagé récemment (c est-à-dire depuis moins de deux ans) à hauteur de 16 %. Leur revenu médian par UC s élève à euros par an.

22 22 Des allocataires logement plus nombreux allocataires logement sont recensés dans le territoire de l Entente au 31 décembre 2012, soit 5 % de plus par rapport à Au niveau des EPCI, le nombre d allocataires logement a augmenté dans la CA Chalon - Val de Bourgogne (+ 7 %) et dans la CU - Montceau-les- Mines (+ 3 %) et a baissé dans la CC du Sud de la Côte Chalonnaise (- 4 %). La croissance du nombre d allocataires logement au sein de la CU - Montceau-les-Mines est entraînée par Montceau-les-Mines (+ 6 %) et non par les communes périphériques - i.e. CU hors Le Creusot - Montceau-les-Mines (+ 2 %). Type d aide au logement perçue par les allocataires logement Allocataires logement percevant l APL Allocataires logement percevant l ALS Allocataires logement percevant l ALF CU - Montceau-les-Mines CC du Sud de la Côte Chalonnaise CA Chalon - Val de Bourgogne Entente Saône-et-Loire A l inverse, avec 15 % d allocataires logement supplémentaires en huit ans, la périphérie de Chalon-sur-Saône (i.e. CA hors Chalon-sur- Saône) enregistre la plus forte augmentation. Si ce résultat peut s expliquer en partie par le développement du parc social dans les communes périphériques, il fait également écho à la décision des jeunes ménages de quitter la ville-centre et au contexte économique difficile. Source : Caf de Saône-et-Loire Entre 2004 et 2012, l augmentation du nombre d allocataires logement n est pas conjuguée à celle de la population couverte. Les allocataires logement supplémentaires ont donc peu d ayants droit à charge. Il s agit probablement de personnes âgées, confrontées à un isolement croissant. Les bénéficiaires de l ALF sont relativement moins nombreux dans l Entente (14 %) que dans le département (18 %). Dans la CC du Sud de la Côte Chalonnaise, où les familles prédominent, un allocataire logement sur trois perçoit cette allocation. Statut d occupation des allocataires logement fin 2012 CA Chalon - Val de Bourgogne ( allocataires) 55 % CU - Montceau-les-Mines ( allocataires) 39 % 7 % 8 % 45 % CC du Sud de la Côte Chalonnaise (410 allocataires) 10 % 45 % 19 % 16 % 20 % 27 % 8 % Nombre d'allocataires qui perçoivent une aide au logement en location parc locatif social en location parc locatif privé en accession en établissement collectif O km Source : Caf de Saône-et-Loire

23 23 L APL est versée à 60 % des allocataires logement résidant dans l Entente (contre 52 % en Saône-et-Loire). La CU - Montceau-les-Mines et la CA Chalon - Val de Bourgogne, disposant d un parc conventionné important, comptent respectivement 64 % et 57 % d allocataires bénéficiant de l APL. Cette allocation concerne quatre allocataires de la CC du Sud de la Côte Chalonnaise sur 10. L ALS est perçue par 22 % des allocataires logement de la CU - Montceaules-Mines), par 29 % de ceux de la CA Chalon - Val de Bourgogne et par 30 % de ceux de la CC du Sud de la Côte Chalonnaise. Au total, cela représente 26 % des allocataires de l Entente, niveau légèrement inférieur à celui du département où l ALS concerne 30 % des allocataires. La part des locataires parmi les allocataires logement dépasse les 80 % pour les deux agglomérations. Plus précisément, dans les villes centres, neuf allocataires logement sur 10 sont locataires de leur logement contre 61 % pour la CC du Sud de la Côte Chalonnaise, 71 % pour la périphérie chalonnaise et 75 % pour la CU hors Le Creusot - Montceau-les-Mines. APL - ALS - ALF L aide personnalisée au logement (APL) est attribuée sous conditions de ressources, aux occupants d un logement conventionné avec l Etat. L allocation de logement sociale (ALS) est attribuée à certaines catégories de personnes, autre que les familles, caractérisées par le niveau modeste de leurs ressources. L allocation de logement familiale (ALF) est attribuée spécifiquement aux familles (ménage ou personne isolée ayant des personnes à charge). des allocataires logement PROFIL La différence de statut d occupation entre les villes centres et leurs périphéries marque également des différences de profils entre les allocataires. De manière générale, les villes centres accueillent davantage d allocataires logement de moins de 25 ans (étudiants) et de personnes de 50 ans ou plus que les communes périurbaines ; ces dernières accueillant de ce fait les allocataires des tranches d âge intermédiaires. Les plus de 50 ans sont d ailleurs les premiers allocataires logement. Ceci est à rapporter à leur situation familiale : la majorité des allocataires n a en effet ni conjoint ni enfant à charge. Cette proportion est encore plus forte dans les trois principales communes. La proportion de couples sans enfant y est également plus importante. Les couples avec enfant(s) et les familles monoparentales occupent quant à elles une place plus grande dans l espace périurbain. Enfin, les allocataires logement ayant un revenu (par UC) inférieur au seuil des bas revenus sont relativement plus nombreux au Creusot, à Montceau-les-Mines et à.

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