L eau ailleurs dans le monde

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1 L eau ailleurs dans le monde LA CAP aide ceux qui en ont besoin Solidaires au-delà de leurs frontières, la CAP et la Mairie de Poitiers soutiennent depuis plusieurs années l action de l association Poitiers Moundou, au Tchad, et attribuent des aides dans le domaine de l eau et de l assainissement. Cette collaboration a abouti à une extension du réseau public de 3 km, et à la mise en place de dix bornes fontaines. Deux forages ont également été pratiqués dans l enceinte d établissements scolaires afin de diversifier la distribution d eau. Parallèlement, un travail de sensibilisation est entrepris auprès des villageois sur l usage de l eau, son coût d utilisation et l entretien des installations. Puits au Tchad 20 Des services à votre disposition Eau et assainissement Accueil et relation abonnés du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h30 1, rue du Chanoine Duret, Forum Rivaud à Poitiers (angle de la rue du 125 e Régiment d infanterie et de la rue du Chanoine Duret) Service de permanence En dehors des heures d ouverture au public Tél. : Sites Internet Crédits photos : Daniel Proux, Alain Montaufier, Hélène Richard, Humeau-Montarou

2 Le mot du Président de la CAP L eau est pour chaque Poitevin si facilement accessible qu elle sort, la plupart du temps, du champs de ses préoccupations. Elle ne revient sur le devant de la scène que par excès : pluies torrentielles ou sécheresses répétées. Pourtant, l eau est collectivement notre bien le plus précieux. Chaque jour, en tournant un simple robinet, de l eau claire, fraîche et abondante est mise à la disposition de tous les foyers de l agglomération. Ce miracle oublié, cette performance quotidienne, ne peut être réalisée que par l addition des technologies de pointe et des compétences humaines que met en œuvre la CAP. Pour améliorer toujours la qualité, nous investissons en 2009, 11,5 millions d euros dans l entretien de nos ouvrages, la réhabilitation de nos réseaux ou encore la modernisation de notre usine d eau potable de Bellejouanne. Pour garantir un service public de haute qualité, la CAP emploie 170 agents répartis dans plus de 25 métiers. De l agent d entretien des bassins d orages à l égoutier, du laborantin au maçon, tous oeuvrent chaque jour pour que le délicat cycle de l eau ne soit pas interrompu. Au travers de ce livret, il ne s agit pas pour nous de culpabiliser tel ou tel, mais de faire prendre conscience à tous de l importance de cette ressource qui n est pas un bien comme les autres. Poitiers n a jamais laissé l eau à la logique du profit. Les maires de cette agglomération s inscrivent pleinement dans cette vision du monde qui, sur notre terre poitevine, fait consensus. Nous pouvons, collectivement, en être fiers. 3 trucs malins pour gagner jusqu à 175e En moyenne, seulement 1% de l eau consommée est bue. Pour économiser cette ressource précieuse, il est possible de modifier ses habitudes, chez soi, tous les jours. Les calculs d économies se font pour une famille de 4 personnes. Dans la cuisine Notre conseil : nettoyer ses légumes dans une bassine et réutiliser cette eau pour arroser les plantes. Équiper la robinetterie de réducteurs de débit, de mitigeurs Votre économie : Pour une consommation d eau au robinet de 5 minutes/jour/personne, la mise en place de mousseurs ou aérateurs (environ 5 pièce) représente une économie d environ 100. Dans la buanderie Notre conseil : ne faire fonctionner le lave-linge que lorsque la machine est remplie ou utiliser la touche «demicharge». Votre économie : vous économisez environ 30 % du volume d eau, soit environ 13 par an. Dans les toilettes Notre conseil : installer une chasse d eau à double commande Votre économie : avec une installation à moins de 80, vous réduisez de 3 à 6 litres le remplissage de la cuvette et pouvez économiser jusqu à 62 /an. Attention aux fuites!! Un robinet qui fuit goutte à goutte, c est une perte de litres par an (99 ); Une fuite sur une chasse d eau, c est 16 litres par heure ou litres par an (393 ). Notre conseil : Pour repérer les fuites, surveillez votre compteur. Fermez tous les robinets et relevez les chiffres le soir. Comparez-les avec ceux du lendemain matin, si le résultat est différent, cherchez la fuite! 02 03

3 Le cycle de l eau La vie de l eau D où vient l eau de notre robinet? m 3 d eau potable sont nécessaires pour ali- menter chaque jour les quelque habitants de l agglomération. La CAP exploite elle-même différentes ressources natu- relles. VERNEUIL LA FOLIE 3% Fontaine (Saint-Georges les Baillargeaux) 3% Le Peu (Saint-Georges les Baillargeaux) Sarzec (Montamisé) 26% Charassé (Montamisé) 6% LA MONTAGNE STATION DE BELLEJOUANNE La Varenne (Saint-Benoît) 27% Fleury (Lavasseau) 35% % Ressources En secours Usine de production Station d'épuration d'eau potable Pourcentage moyen du total des prélevements sur une année Le cycle de l eau se déroule en quatre grandes étapes : a. L évaporation Sous l action du soleil, l eau des mers, des rivières et des lacs s évapore. b. La condensation En refroidissant, la vapeur se transforme en minuscules gouttelettes d eau, qui se rassemblent en nuages. c. Les précipitations Quand la température change, les gouttes deviennent trop lourdes pour être portées par l air. Il se met alors à pleuvoir ou à neiger. d. Les infiltrations et les ruissellements Une partie de l eau de pluie apporte à boire aux plantes et aux animaux et alimente également les cours d eau. L autre partie s infiltre dans le sol et rejoint les nappes d eau souterraines. Cette eau ressort ensuite à l extérieur sous forme de sources. L eau des rivières et des fleuves se jette dans la mer et le cycle de l eau reprend son cours. Veiller au quotidien à la qualité de l eau L eau distribuée dans les foyers de l agglomération est très régulièrement analysée. L eau ne doit pas : contenir de virus, de bactérie, de parasite ; contenir d élément chimique ou toxique ; L eau doit : être agréable à boire, claire, fraîche et sans odeur. Les résultats de ces analyses sont affichés dans toutes les mairies des communes de la CAP, dans les mairies de quartier de Poitiers mais aussi sur internet : En amont, des périmètres de protection sont instaurés autour des captages pour garantir au maximum la qualité du sol et assurer la pureté de l eau. Le contrôle du plomb dans les écoles D ici juin 2009, le service Hygiène publique et qualité environnementale contrôlera la présence éventuelle de plomb dans l eau toutes les écoles de la CAP. En janvier et février, toutes les écoles maternelles et élémentaires de Poitiers ont été inspectées et, quand de rares traces de plomb ont été décelées, les canalisations ou robinets ont été immédiatement remplacés

4 Les infrastructures Des infrastructures et des hommes Du pompage à la distribution de l eau en passant par son traitement, différentes infrastructures permettent de produire l eau et de l acheminer jusqu aux foyers. 2. Traitement 3. Château d'eau 1. Captage 4. Distribution (réservoirs et conduites) compteur Propriétaire ou gestionnaire d'immeubles 5. Station d'épuration Une question à Le captage Pour pomper l eau, différentes techniques sont employées : - le captage de la source : il s effectue grâce à des puits ou directement dans des champs captants. - le pompage en rivière : le prélèvement se fait directement dans le cours d eau. - le pompage en nappe : les forages peuvent atteindre plus de 100 mètres de profondeur pour accéder à l eau des nappes souterraines. Une question à... Gérard Sol, Vice-président de la CAP, Président de la commission Assainissement et assainissement non collectif «La CAP met en œuvre les moyens les plus modernes possibles afin de distribuer une eau à la fois saine et écologique. Ces méthodes ont aussi des vertus pratiques. La télégestion par exemple, permet de réagir vite lorsqu un captage ou un château d eau pose des problèmes. Quant à la technique qui consiste à «chemiser» les branchements pour éviter que l eau n entre en contact avec le plomb, c est un bénéfice pour les services et les usagers. On évite de paralyser la circulation automobile avec des ouvertures de tranchées et on fait des économies». Anthony Siraut, Vice-président de la CAP, rapporteur de la commission Eau «Nous recherchons, dans un périmètre qui va bien au-delà de la CAP, des resources d eau saine et ayant un débit suffisant pour être exploitées. Le but étant de conforter durablement l approvisionnement en eau des habitants de la CAP. En terme de quantité, mais aussi en terme de qualité. C est pourquoi nous forons à des profondeurs importantes, là où l eau s est longuement nettoyée par infiltration. Aujourd hui, nous avons un espoir concret de trouver une eau naturellement conforme aux normes»

5 Station de production d eau potable de Bellejouanne 2. L unité (ou usine) de production d eau potable Une fois captée, l eau est amenée dans une usine de traitement afin de la rendre potable et sans aucun risque pour la santé. L eau subit un traitement pour éliminer les matières en suspension et ainsi obtenir une eau claire et limpide. Enfin, le traitement de désinfection par chloration permet de neutraliser les virus et les bactéries. Contrairement à d autres procédés, le chlore a l avantage de persister tout au long des canalisations. Selon sa provenance, sa qualité et son traitement, le goût de l eau peut varier. Laisser sa carafe une heure au réfrigérateur permet aux plus sensibles d éliminer l éventuel goût de chlore. La CAP organise régulièrement, pour les scolaires en particulier, des visites de l usine de production d eau potable (renseignements au ). 3. Les châteaux d eau et réservoirs L eau est ensuite stockée dans des châteaux ou réservoirs d eau. Dans les châteaux d eau, l eau est stockée dans une cuve située en hauteur (aucun risque donc de la faire sortir en ouvrant la porte du château!). C est en descendant du haut de l édifice que l eau acquiert une pression suffisante pour accéder aux robinets des foyers. Le château d eau peut aussi être esthétique notamment grâce à sa mise en peinture ou en lumière. Pour les réservoirs, généralement situés au sol, le procédé est inversé. C est à la sortie de la cuve qu un surpresseur aide l eau à accéder aux robinets. Château d eau de Bel-Air Jean-Daniel Blusseau, Vice-président de la CAP, Président de la commission Eau Une question à... «Notre rôle est de fournir de l eau aux habitants de la CAP. A ce jour, nous sommes dépendants des ressources en eau du Clain et du bassin de Fleury. Amener cette eau à un niveau de qualité sanitaire, en la débarrassant notamment des pesticides, nécessite l investissement que nous engageons à Bellejouanne. Parallèlement, nous cherchons de nouvelles ressources en eau, et nous travaillons, avec la Région, l Agence de l eau, le Conseil Général à ce que le Clain et Fleury délivrent une eau plus «propre» dans les dix ans à venir

6 Stock de pièces de canalisations au centre technique municipal 4. Les canalisations De la source à l usine de production, jusqu aux robinets puis à la station d épuration, l eau circule grâce aux canalisations. Sur l ensemble du territoire de l agglomération, la CAP compte plus de km de réseaux enterrés. Ces canalisations doivent être entretenues afin d éviter les fuites et remplacées pour les conduites les plus vétustes. Rien que pour les branchements en plomb, ce sont déjà 112 km soit plus de la moitié des canalisations qui ont été changées. Utilisation de la technique NEOFIT pour donner une nouvelle vie aux canalisations en plomb 5. La station d épuration Toutes les eaux utilisées dans la maison sont acheminées à la station d épuration. Elles passent alors 5 étapes pour être traitées avant d être rejetées dans le milieu naturel. - Le dégrillage : les eaux usées passent à travers une sorte de tamis pour être débarrassées des matières de plus de 6 mm (morceaux de bois, feuilles ) - Le dessablage et le déshuilage : dans un premier bassin, les matières plus lourdes que l eau (sable, graviers...) se déposent au fond : c est le dessablage. Les eaux passent ensuite dans un deuxième bassin où, grâce à la diffusion de bulles, les matières plus légères que l eau (huiles, graisses, hydrocarbures...) flottent en surface : c est le déshuilage. - Le traitement biologique : de façon accélérée, le processus naturel qui existe dans les rivières est reproduit. L eau arrive dans un bassin où se sont développées les bactéries qui digèrent les impuretés et les transforment en boues. - La clarification : cette étape consiste à séparer l eau des boues. L eau, débarrassée de 80 à 90 % de ses impuretés, subit alors des analyses avant d être rejetée dans le milieu naturel. - Le traitement des boues : les boues issues de la clarification sont déshydratées, séchées puis transformées en granulés. Elles peuvent servir d engrais pour l agriculture ou sont incinérées. Bassins de la station d épuration de la Folie 10 11

7 Le goût de l eau L eau de la CAP a un goût, comme d ailleurs toutes les eaux. Celui-ci dépend à la fois de la présence de minéraux, du traitement effectué (l ajout de chlore pour éliminer virus et bactéries) et de la distance de chaque habitation à son château d eau fournisseur. En effet, le chlore s évaporant au fur et à mesure du cheminement de l eau dans les canalisations, plus on est proche du château d eau, plus le goût de chlore sera prononcé. Evidemment, il reste toujours suffisamment de chlore dans l eau en bout de ligne pour garantir sa qualité Et si l on est très allergique au goût de chlore, il suffit, pour le retirer, de rafraîchir sa carafe au réfrigérateur. Une question à... André-Hubert Quintard, Vice-président de la CAP, rapporteur de la commission Assainissement et Assainissement non collectif L eau en chiffres «La loi impose que toutes les installations d assainissement non collectif soient contrôlées afin de vérifier qu elles fonctionnent correctement et ne génèrent pas de pollution. D ici quatre ans, nous devrons mettre aux normes toutes celles qui ne le seraient pas. Nous organisons des réunions publiques dans les communes de la CAP pour informer les habitants, notamment sur les aides aux travaux qu ils peuvent obtenir de l Agence de l eau. En outre nos services peuvent fournir des conseils techniques afin d améliorer l efficacité des systèmes.» km de canalisations d eau abonnés 30 millions de litres d eau distribués chaque jour 16 châteaux d eau et 9 surpresseurs 90 bassins d orages Aqueduc de Fleury : 22 km de long Les boues issues de la station d épuration sont stockées dans un hangard pour être contrôlées et séchées Les technologies Afin d être la plus efficace possible, la CAP utilise des technologies particulières, à chaque étape du parcours de l eau. Quelques exemples : a. Le procédé NEOFIT Pour éviter le contact de l eau avec le plomb et ainsi se conformer à la réglementation, NEOFIT permet d introduire un tube en plastique dans la canalisation puis de le plaquer contre sa paroi en injectant de l eau chaude sous pression. L ouverture de tranchée et le remplacement des conduites sont ainsi évités. b. La télégestion Depuis janvier 2008, un système de télégestion de la production d eau potable permet de contrôler en continu la quantité d eau prélevée, produite, stockée puis distribuée ; sa qualité ; les coûts énergétiques... Un système de fonctionnement de secours est prévu en cas de panne. c. La recherche de fuites par acoustique Pendant la nuit, des enregistreurs acoustiques, dont certains possèdent un rayon d action de 300 mètres, sont placés sur les canalisations. Les enregistrements s effectuent en période de basse consommation (entre 2h et 5h) et sont analysés le lendemain. Avec ce système de détection, 150 à 200 fuites invisibles sont réparées chaque année

8 Sébastien Laurendeau, agent d entretien des bassins d orage Les hommes de l eau 170 agents de la Communauté d agglomération de Poitiers travaillent au quotidien au service Eau et assainissement. Maçon, agent d accueil, releveur de compteurs, dessinateur plus de 25 métiers différents sont représentés. La CAP compte 90 bassins d orage, dont un des plus grands, celui de la Charletterie, est aussi un lieu de promenade. Sébastien Laurendeau travaille à l entretien de ces espaces paysagers dont le rôle est de réguler l eau de pluie avant qu elle ne reparte en rivière. «Tonte, déboisement, entretien des haies et des clôtures, mais aussi dégagement des corps étrangers flottants à la surface de l eau. Voilà mon métier.» Catherine Moreau, agent d accueil «L accueil du service Eau et assainissement, c est appels téléphoniques traités, usagers reçus et plus de courriers traités en 2008», énonce Catherine Moreau, agent d accueil. Souscriptions d abonnements, réclamations, demandes de branchement, demandes de dégrèvement font le quotidien. Mais aussi, les nombreux «tuyaux» donnés aux usagers en matière de fuite d eau. «On finit par en connaître un rayon en plomberie!», plaisante Catherine Moreau. Denis Vergnault, releveur de compteurs Denis Vergnault est un des neuf releveurs de compteurs qui passent tous les six mois chez les abonnés. En 2008, près de compteurs ont été relevés. L appareil qu utilise Denis Vergnault garde en mémoire le chiffre du relevé précédent ainsi que la moyenne des trois derniers semestres. «Cette précaution me permet de remarquer une consommation hors norme, et de détecter une fuite qui en serait la cause.» Frédéric Potelle, dessinateur-projeteur Frédéric Potelle, dessinateur-projeteur, a intégré le service Eau et assainissement il y a un an. «Je fais ce que j aime, c est-à-dire de l info géographie. Je fais des repérages sur le terrain, et ensuite, je dessine les projets via un outil informatique propre à la CAP. Nous décidons l emplacement de nos canalisations en concertation avec le gaz, l électricité, le téléphone. Nous ne sommes pas les seuls sous la terre!» Pascal Berger, égoutier Bouches d eaux pluviales, décanteurs de bassins d orages, sorties d eaux usées, cuves à la station de relevage Le nettoyage des EP et des EU*, comme on dit dans le métier, Pascal Berger, égoutier, en fait son affaire. «Nous travaillons en équipe, et on tourne tous les mois entre le nettoyage, la conduite du camion hydrocureur et du véhicule tout-terrain adapté pour l entretien des bassins d orages.» * eaux pluviales et eaux usées 14 15

9 Jérôme Cosson, maçon Frédéric Métayer, conducteur de réseau Télégestion Jérôme Cosson a intégré le service Eau et assainissement il y a neuf ans. Aujourd hui, il demeure l unique maçon chargé de la construction des regards et couvercles béton qui abritent les compteurs d eau, ainsi que de la maçonnerie de voirie. «Je suis un peu le maillon invisible du service. Lorsque le réseau intervient sur la voirie, je passe derrière pour remettre les sols en état.» «Avoir une formation d informaticien m a permis de gérer le logiciel qui contrôle l ensemble du réseau de distribution d eau. L ordinateur vérifie le bon remplissage des châteaux d eau, la hauteur dans les cuves, la pression En cas de problème, un agent peut intervenir immédiatement. Le logiciel me permet également d établir un suivi de la consommation électrique et des volumes distribués, qui sont utiles aux élus.» Alexandre Rivière, laborantin Son DUT chimie l a amené à intégrer il y a un an le laboratoire de la station d épuration de la CAP. «Mon travail consiste à analyser des eaux d entrée et de sortie des stations, pour en vérifier la qualité sanitaire et la consigner sur un fichier. Si les analyses révélaient un abus, la police de l eau devrait intervenir et trouver le «coupable». Mais nous n avons jamais connu cette situation.» Jean-Marc Chevasson, contrôleur de travaux Jean-Marc Chevasson a été, en 2000, le premier agent de la CAP à utiliser le Neofit, un système de chemisage des tuyaux de plomb. «J ai fait une formation chez le fabricant, à Sully-sur-Loire, pour apprendre à faire fonctionner et réparer la machine. Le matériau qu on passe dans les tuyaux, le même que celui d une bouteille d eau, est vraiment très fiable contre les fuites, et nous évite de pratiquer des tranchées ouvertes.» Sophie Cormery, chargée des contrôles des rejets professionnels Le travail de Sophie Cormery consiste à aider les entreprises qui évacuent des rejets professionnels à respecter la réglementation en matière de rejets polluants. «Nous analysons leurs rejets, et si nécessaire, nous cherchons ensemble des solutions de prétraitement de leurs effluents. Un séparateur à graisse pour un restaurateur, par exemple. Leurs efforts permettent de minorer la redevance assainissement, tandis qu elle est majorée dans le cas contraire.» 14 15

10 L économie de l eau Mieux comprendre votre facture Le Le détail du du total total à payer Vos Vos différents modes de de paiement Le Ce suivi suivi de de consommation vous vous permet permet de de vous vous rendre rendre compte compte s il s il y a des des fuites fuites dans dans vos vos installations d eau d eau Le prix de l eau Le prix du m 3 d eau (2,81 ) se compose de plusieurs éléments : Prix de l assainissement Taxes reversées par la CAP à l Agence de l eau 46% 1,227 16% 0,466 38% 1,067 Votre Votre consommation consommation au au cours cours du du dernier dernier semestre semestre Période Période couverte couverte par par la la facture facture Date limite de paiement Prix de la production d eau potable Investir pour une meilleure qualité Chaque année, sur les budgets annexes de l eau et de l assainissement, la CAP consacre 20 % à l investissement. En 2009, le programme d investissement prévoit : - 4M pour le raccordement des eaux usées de Fontaine-le-Comte, Saint-Benoît et Vouneuilsous-Biard vers la station d épuration de La Folie - 3M pour le schéma directeur d eau potable dont 1,5M pour la modernisation de l usine d eau potable de Bellejouanne. - 2M pour l entretien des ouvrages d eau potable, dont le remplacement des anciens compteurs et pour la recherche de fuite. - 1,5M pour le remplacement et la réhabilitation des branchements en plomb. - 1M pour l entretien des ouvrages et des réseaux d eaux usées. Le futur visage de l usine de production d eau potable En novembre 2009, les premiers coups de pioches viendront transformer l usine de production d eau potable de Bellejouanne. Les travaux de modernisation, estimés à 7 millions d euros, prévoient : la suppression de la filtration lente des eaux de Fleury et son aménagement paysager ; la création d un traitement des pesticides à base de charbon actif ; la mise en place d un traitement des boues issues de la potabilisation ; l aménagement d un espace pédagogique ; une meilleure maîtrise de l énergie. Château d eau de Châlons Image 3D de la future usine de production d eau potable de Bellejouanne 18 19

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