CHARTE DE L INVESTISSEMENT RESPONSABLE (IR) DES ACTEURS DE LA PLACE DE PARIS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CHARTE DE L INVESTISSEMENT RESPONSABLE (IR) DES ACTEURS DE LA PLACE DE PARIS"

Transcription

1 CHARTE DE L INVESTISSEMENT RESPONSABLE (IR) DES ACTEURS DE LA PLACE DE PARIS 1 Paris, le 2 juillet 2009 La crise financiåre pose, aujourd hui, la question du rçle et du mode de fonctionnement des marchés financiers et de leur contribution Ñ l Économie réelle, plus encore de leur contribution aux objectifs de long terme de l Économie et des entreprises et au développement durable. C est pourquoi, dans le prolongement des travaux menås par Paris EUROPLACE, notamment les recommandations du rapport du groupe de travail Ç Investissement Socialement Responsable É, pråsidå par Antoine de SALINS, remis en mai 2008, et du Forum "Renforcer la Contribution de la Finance au DÅveloppement Durable: Enjeux de Long Terme, PrioritÅs pour l'europe" qui s'est tenu le 24 novembre dernier, clñturå par MM. Nicolas SARKOZY, PrÅsident de la RÅpublique FranÖaise et JosÅ Manuel BARROSO, PrÅsident de la Commission europåenne, les Emetteurs, Investisseurs Institutionnels, GÅrants d actifs, Entreprises Bancaires et Entreprises d Investissement de la Place de Paris et leurs associations professionnelles souhaitent dåvelopper conjointement de nouvelles initiatives pour renforcer l Investissement Responsable et la contribution de la finance au dåveloppement durable. Le rapport Ç Investissement Socialement Responsable É (ISR) de Paris EUROPLACE proposait des premiüres recommandations : - faciliter la prise en compte des critüres ESG dans les processus d analyse et de dåcision des investisseurs ; - clarifier et renforcer le dialogue avec les entreprises pour favoriser la diffusion d informations extrafinanciüres afin de permettre aux investisseurs de mieux appråcier les atouts et les risques des entreprises en la matiüre ; - identifier un cadre fådårateur pour la Place et ses acteurs. En complément des travaux et Chartes déjñ engagés par les différents métiers, l Association FranÖaise de la Gestion FinanciÅre (AFG), l Association FranÖaise des Investisseurs Institutionnels (AF2I), la FÉdÉration FranÖaise des SociÉtÉs d Assurances (FFSA), la FÉdÉration Bancaire FranÖaise (FBF) et Paris EUROPLACE, qui représentent les Investisseurs Institutionnels, GÉrants d Actifs et Entreprises Bancaires et FinanciÅres, s engagent sur 3 grands principes et les actions qui en résultent : Principe nä1 : DÅvelopper l Investissement Socialement Responsable (ISR) Les associations signataires représentatives des investisseurs incitent leurs membres Ñ 1/ indiquer les modalités de prise en compte des critåres ESG (Environnement, Social & Gouvernance) dans

2 leurs stratégies de placement et 2/ en rendre compte publiquement chaque année. Elles développent leur soutien Ñ la recherche universitaire dans le domaine de la finance durable. Ces propositions seront portåes au niveau europåen afin que les prochaines directives puissent en tenir compte. Les associations représentatives des banques, Établissements financiers et sociétés d assurance incitent leurs membres Ñ proposer et distribuer Ñ leurs clients une offre de produits ISR répondant Ñ leurs attentes. Principe nä2 : DÅvelopper l information extra-financiére des entreprises, favoriser le dialogue entre Åmetteurs et investisseurs Les propositions d actions sont les suivantes : 1/ Reporting La dåmarche consistera á renforcer la concertation entreprises/investisseurs dans un cadre europåen pour parvenir á des principes partagås en matiüre de reporting extra financier, faciliter l Åmergence d un modüle composå d un nombre restreint d indicateurs communs á l ensemble des entreprises, d une part, et de dåclinaisons par secteur d activitå et par taille d entreprise, d autre part. L objectif est de mettre en place, au plan européen, une plateforme Ü partagée á de reporting régulier en matiåre de critåres Environnement, Social et Gouvernance (ESG), avec des indicateurs pertinents et adaptés Ñ chaque secteur d activité, définis au niveau européen. 2/ Information réguliåre du Conseil et de l AssemblÉe GÉnÉrale L action proposée vise Ñ inciter les directions générales Ñ présenter, dans le cadre de l examen de leur rapport annuel de gestion, devant leur conseil d administration ou de surveillance, les informations et indicateurs en matiåre de critåres ESG touchant l entreprise, leur permettant d Évaluer l État de la mise en œuvre de la politique de l entreprise en la matiåre. Ces points devraient àtre examinås par le Conseil puis repris dans le rapport du Conseil á l AssemblÅe GÅnÅrale, ainsi que dans les comptes annuels (provisions liåes aux passifs environnementaux et couverture des soins santå et de retraite.). Ce besoin d explicitation et de dialogue sur les opportunitås et les risques extra-financiers qui peuvent accompagner les stratågies et activitås des entreprises est particuliürement vif quand celles-ci conduisent ou sont confrontåes á des opårations financiüres d importance majeure (acquisitions, offres externes, introduction en bourse..). Les actionnaires et les parties prenantes doivent alors pouvoir compter sur une plus grande transparence et la possibilitå d un vrai dialogue. Pour mettre en place cette démarche, il pourrait âtre proposé Ñ un prochain Conseil européen une recommandation incitant Ñ un examen périodique par les organes de gouvernance des entreprises de leurs avancées dans les domaines Environnement, Social et Gouvernance (ESG). Principe nä3 : Favoriser la Finance de Long Terme Les prioritås d actions sont les suivantes : 2

3 Soutenir les développements de l Épargne longue Dans le prolongement du rapport LA MARTINIERE et LECLAIR, remis en juillet 2008 au Haut ComitÅ de Place, les associations professionnelles signataires souhaitent une accålåration du dåveloppement des instruments d Åpargne longue, afin d accompagner les besoins des månages et des entreprises en ressources longues. Approfondir la réflexion sur l adaptation des normes comptables En liaison avec les råflexions internationales sur le sujet de la stabilitå financiüre, les associations professionnelles signataires Åmetteurs, investisseurs, intermådiaires financiers- s engagent á approfondir la råflexion, au plan europåen et mondial, sur l adaptation des normes comptables et leur impact sur les entreprises et l Åconomie råelle. Les porteurs de ces principes contribueront á l Ålaboration des amåliorations á mettre en œuvre. Mieux prendre en compte le long terme dans la rémunération des professionnels des marchés Les principes dåfinis par le groupe de travail de Place sont mis en oeuvre dans le souci de l intåràt Åconomique gånåral. Ils ont pour objet de renforcer la cohårence entre le comportement des professionnels des marchås financiers et les objectifs á long terme de l entreprise qui les emploie, particuliürement dans le domaine du risque. * * * Les signataires procåderont Ñ l Évaluation annuelle et publique des actions entreprises sur ces différents principes. Une information sera rendue publique par Paris EUROPLACE sur l action collective ainsi menée Les signataires proposeront aux fédérations professionnelles franöaises et européennes représentatives des acteurs professionnels de se joindre Ñ cette démarche. Henri de LA PORTE DU THEIL Jean-Pierre GRIMAUD Bernard SPITZ PrÅsident, AFG PrÅsident, AF2I PrÅsident, FFSA Pierre de LAUZUN GÅrard MESTRALLET Directeur GÅnÅral DÅlÅguÅ, FBF PrÅsident, Paris EUROPLACE Note : en annexes I et II figurent le Code de Transparence AFG/FIR et la Charte DÅveloppement Durable de la FFSA. 3

4 ANNEXE I Code de Transparence AFG/FIR pour les fonds ISR grand public Mai 2005 L Association FranÖaise de la Gestion FinanciÜre (AFG) repråsente les professionnels franöais de la gestion d actifs. Ces derniers gürent plus de milliards d euros d actifs, soit un montant supårieur au PIB de la France, dont prüs de milliards d euros sous forme de gestion collective (OPCVM : SICAV et fonds communs de placement premier rang europåen) et le solde sous forme de gestion individualisåe sous mandat notamment via l assurance-vie. ParticuliÜrement innovante, l industrie de la gestion est á la pointe du dåveloppement de nouveaux types de techniques ou de produits spåcialement adaptås á l Åvolution de la demande et aux nouvelles conditions de marchå : investissement socialement responsable, gestion alternative, capital investissement, multi-gestion, produits garantis ou á promesse, produits d Åpargne á long terme (Åpargne retraite et Åpargne salariale) La protection et l information de l investisseur constituent une prioritå majeure pour notre profession. Cette action se dåploie dans de nombreux domaines dont la dåontologie, la pråsentation des performances et des classements des OPCVM, le gouvernement d entreprise et l investissement durable. L AFG, pråsidåe par Alain Leclair et dont le dålåguå gånåral est Pierre Bollon, a dåcidå d appuyer l offre professionnelle de gestion d actifs socialement responsables en mettant notamment en place une Commission de l Investissement Socialement Responsable que pråside Thierry Deheuvels. L encours des OPCVM ISR de droit franöais a dåpasså 3,5 milliards d euros dåbut Il a plus que dåcuplå au cours des 5 derniüres annåes. Plus de 120 fonds ISR sont aujourd hui proposås par une cinquantaine de sociåtås de gestion. CrÅÅ en fåvrier 2001, le Forum pour l Investissement Responsable French SIF - est une association á but non lucratif multi-partite regroupant des personnes physiques et morales impliquåes dans la promotion de l investissement socialement responsable. AprÜs avoir contribuå á l Ålaboration, en France, de politiques publiques concernant l ISR (GÅnÅralisation de l Åpargne salariale, prise en compte du dåveloppement durable dans la politique d investissement du Fonds de RÅserve pour les Retraites, article 116 de la loi NRE), il constitue aujourd hui un lieu de veille, d approfondissement et de recherche dans ce domaine. Il s appuie sur un ComitÅ d Orientation pråsidå par Daniel LebÜgue. Ses principaux groupes de travail portent notamment sur : - Le dåveloppement de principes directeurs de transparence dans la gestion ISR grand public et institutionnelle ; - L organisation annuelle, depuis 2003, du FAIRE (Forum Annuel de l Investissement Responsable en Europe), «road-show» ISR unique en Europe par sa forme et sa dimension ; 4

5 - La mise en place d une veille thåmatique visant á dåboucher sur l identification de bonnes pratiques en matiüre d appråhension et de suivi des risques extra-fi nanciers, de dialogue avec les stakeholders, de mesure des impacts sur les råsultats fi nanciers, etc. - Les premiüres råflexions ont ÅtÅ engagåes dans le domaine social et environnemental ; - Le dåveloppement d une råfl exion måthodologique «buy-side» de l ISR ; - La remise d un Prix annuel Ç Finance & DÅveloppement Durable É (1Üre Ådition en 2005). Le FIR coopüre avec des groupements d investisseurs et d acteurs du dåveloppement durable. Hors frontiüres, il est en lien actif avec ses homologues nationaux, notamment ceux du råseau europåen des Social Investment Forums Eurosif -, dont Robin Edme, PrÅsident du FIR, assume actuellement la pråsidence. FIR 38 rue de Bassano Paris TÄl Fax L Eurosif (European Social Investment Forum), le Forum EuropÅen pour l Investissement Socialement Responsable, est une association á but non lucratif pan-europåenne dont la mission est de promouvoir et de dåvelopper l investissement responsable ainsi qu une meilleure gouvernance d entreprise au plan europåen. FondÅ en novembre 2001 par les SIF de cinq pays (Allemagne, France, Grande-Bretagne, Italie, Pays-Bas), l Eurosif comprend aujourd hui sept adhårents (les cinq pays fondateurs rejoints par la Belgique et la SuÜde). Le lobbying des institutions europåennes, une information sur l ISR et des initiatives europåennes pour la promotion et l information sur l ISR et la gouvernance d entreprise comptent parmi les principaux services proposås par l Eurosif. Eurosif 11 avenue de l OpÄra Paris Le pråsent Code de Transparence est la version franöaise, agrååe par l AFG et le FIR, des Principes Directeurs de Transparence pour les fonds Grand Public ÅlaborÅs par l EuroSIF avec la participation et le soutien actifs de ses membres fondateurs et de l AFG pour la France, dans le cadre de son programme de travail financå par l Union EuropÅenne. Il procüde d un constat, l impossibilitå de donner une dåfinition unique de l ISR en-dehors de ses modalitås d exercice (la prise en compte de critüres extra-financiers dans la constitution des portefeuilles de titres, le dialogue avec l entreprise et l exercice des droits de vote dans les diffårents domaines de la responsabilitå sociale des entreprises...) et, par consåquent, d une exigence de transparence accrue vis-ávis des Åpargnants sur cette nouvelle forme d investissement. Ce Code a donc pour vocation de fournir une information plus claire sur les fonds se revendiquant de l ISR. Toutes les informations relatives au Code de Transparence sont disponibles sur les sites internet de l AFG et du FIR aux adresses suivantes : Les Principes Directeurs de Transparence pour les fonds Grand Public de l EuroSIF sont disponibles, quant á eux, á l adresse suivante : 5

6 Deux ÅlÅments-clÅs ont motivå la cråation de ce Code : 1. L occasion donnåe aux fonds d expliquer pro-activement leur approche de l ISR et en cela de faire preuve de transparence vis-á-vis des parties prenantes. 2. L occasion d anticiper d Åventuelles råglementations qui pourraient àtre mises en place sans l intervention de la communautå ISR au sens large. Principe directeur Les signataires du Code se doivent d àtre ouverts et honnàtes et de donner des informations exactes,adåquates et en temps voulu, pour permettre aux parties prenantes, notamment les consommateurs, de comprendre les politiques et pratiques ISR du fonds. Engagement des signataires Les fonds ISR grand public se soumettent au Code de Transparence de faöon volontaire. Cependant, il est attendu des signataires qu ils fournissent une dåclaration d engagement envers les exigences du Code de Transparence, pråcisant dans quelle mesure et de quelle faöon ils se soumettent au Code, expliquant oå et pourquoi il pourrait y avoir des råserves pour certaines questions et indiquant oå une catågorie entiüre du Code ne s appliquerait pas au fonds. Les signataires doivent fournir des råponses á autant de questions que possible au sein de chaque catågorie du Code. Il est cependant acceptå qu un fonds puisse ne pas àtre en mesure de råpondre de faöon dåtaillåe á toutes les questions á un moment donnå. Ceci peut àtre justifiå de faöons diverses, soit par la lågislation (diffårant d un pays á un autre), soit par l Åtape dans le dåveloppement du fonds. Quand c est le cas, ceci doit àtre publiå avec la råfårence du texte de loi qui expliquerait la non-information. Dans tous les cas, les signataires doivent syståmatiquement dåclarer quand et pourquoi ils espürent observer le Code pour les questions concernåes par ces råserves. Les råponses aux questions doivent àtre publiåes. Les signataires peuvent choisir le support media le plus adaptå pour communiquer l information requise par le Code, soit sur un site web soit sur support papier. Cependant, la sociåtå de gestion doit faire en sorte que le consommateur trouve les informations requises par le Code. Les informations doivent au minimum àtre communiquåes annuellement. Engagements de la part de l AFG et du FIR L AFG et le FIR veilleront á la promotion et á la diffusion la plus large possible du pråsent Code. De maniüre á en accroçtre la visibilitå, l AFG et le FIR envisagent de cråer un Ç logo É protågå et utilisable par les institutions signataires du Code de Transparence. La vårification de la conformitå des fonds se revendiquant du Code de Transparence, notamment par l apposition du logo ci-dessus mentionnå, reste du ressort et de la responsabilitå exclusifs des fonds et des gestionnaires et non du FIR et de l AFG. 6

7 Devise de reporting Les fonds doivent communiquer leurs donnåes dans la devise qu ils emploient pour les autres reportings. CatÅgories du Code DonnÅes gånårales 1 Les signataires se doivent d àtre clairs quant á leur identitå et doivent fournir des informations gånårales sur le fonds* et le(s) gestionnaire(s) de fonds*. 1a Donnez le nom du fonds* et du gestionnaire de fonds* auxquels s applique ce Code. 1b DÅtaillez les moyens permettant d obtenir plus d information concernant le fonds. 1c Quelle est la taille du fonds, en devise et á une date donnåe? 1d Indiquez comment se procurer un historique des donnåes relatives á la performance financiüre de ce fonds. 1e SpÅcifiez le contenu des informations fournies aux investisseurs ainsi que leur fråquence et les moyens de communication utilisås. - DÅcrivez briüvement les politiques de responsabilitå sociale de l organisation qui güre ou promeut le fonds, ou indiquez oå cette information peut àtre trouvåe. CritÜres d investissement ISR 2 Les signataires se doivent d àtre clairs au sujet de leur objectif* et de leurs critüres d investissement*. 2a Comment le fonds dåfinit-il l ISR? 2b Quels sont les critüres d investissement SR du fonds? 2c Comment les critüres d investissement SR sont-ils dåterminås? A quelle fråquence et par qui sont-ils råvisås? 2d Comment les changements de critüres sont-ils communiquås aux investisseurs? Processus d analyse 3 Les signataires s engagent á fournir des informations quant á leur processus de recherche. 3a DÅcrivez votre måthodologie et votre processus d analyse SR. 3b Le gestionnaire de fonds emploie-t-il une Åquipe de recherche interne et/ou recourre-til 7

8 á une agence externe? Expliquez. 3c Existe-t-il une procådure de contrñle ou de vårification externe de la måthodologie de recherche? S il existe un ComitÅ d Orientation, veuillez pråciser ses responsabilitås. 3d Le processus de recherche inclut-il une consultation des parties prenantes? Si oui, veuillez spåcifier. 3e Les entreprises ont-elles accüs á leur profil ou analyse? Si oui, á quelle fråquence? 3f A quelle fråquence le processus de recherche est-il råviså? 3g Quel type d informations issues de la recherche est divulguå au public? Sous quelle forme? Evaluation et mise en oeuvre 4 Les signataires s engagent á fournir des informations concernant la faöon dont la recherche est utilisåe pour construire et gårer leur portefeuille*. 4a Comment les råsultats de la recherche sont-ils intågrås dans le processus d investissement, notamment pour la sålection et l approbation des entreprises dans lesquelles investir? 4b Quelles mesures internes ou externes sont mises en oeuvre pour s assurer que les participations* du portefeuille sont en ligne avec les critüres d investissement SR? 4c Quel est le processus de dåsinvestissement* liå á des critüres SR? 4d Les investisseurs sont-ils informås des dåsinvestissements liås aux critüres? Si oui, á quelle fråquence et par quels moyens? 4e Le gestionnaire de fonds informe-t-il les entreprises de leur exclusion* du portefeuille ou du dåsinvestissement liå au non-respect de la politique du fonds et de ses critüres SR? Dans quelle mesure les råsultats de la politique d engagement* sont-ils intågrås dans la sålection des entreprises? * Voir la section DÅfinition des termes clås ** Si applicable DÅcharge l AFG et le FIR ne peuvent assumer aucune responsabilitå lågale ou autre pour des informations incorrectes ou trompeuses fournies par les signataires dans leurs råponses au Code de Transparence. MÅthode d engagement ** 8

9 5 Les signataires doivent expliquer leur politique d engagement si tant est que le fonds en possüde une. 5a Quels sont les objectifs de la politique d engagement? 5b Comment le fonds Åtablit-il la liste des entreprises avec lesquelles il va, en prioritå, pratiquer l engagement? 5c Qui pratique l engagement au nom du fonds? 5d Quelles sont les måthodes d engagement employåes? 5e Comment l efficacitå de l activitå d engagement est-elle contrñlåe ou abordåe? 5f Si elles existent, quelles sont les mesures prises si l engagement s avüre infructueux? 5g Comment, et á quelle fråquence, les activitås d engagement sont-elles communiquåes aux investisseurs et autres parties prenantes? Politique de vote** 6 Les signataires s engagent á àtre clairs sur leur politique de vote*. 6a Le fonds dispose-t-il d une politique de vote? Si oui, quelle est-elle? 6b Le fonds rend-il public ses votes et les raisons qui ont conduit á leur choix? Si oui, oå cette information est-elle consultable? 6c Le fonds est-il promoteur de ou soutient-il des råsolutions d actionnaires? ActivitÅs råcurrentes 7 Les signataires doivent rendre compte påriodiquement de leurs activitås, au minimum sur une base annuelle. 7a Listez les participations* du fonds á une date donnåe au cours des six derniers mois. 7b Des activitås d engagement ont-elles eu lieu au nom du fonds pendant l annåe ÅcoulÅe? SpÅcifiez. 7c Des votes ont-ils eu lieu en lien avec les critüres SR du fonds? SpÅcifiez. Des dåsinvestissements dåcoulant des critüres SR du fonds ont-ils eu lieu dans l annåe mentaire ÅcoulÅe? DÅtaillez. Quel est le montant des dons et le pourcentage des frais de gestion que le(s) fonds a verså á des organisations caritatives au cours de l annåe ÅcoulÅe? 9

10 DÅfinitions des termes clås employås dans le Code Terme/DÅfinition CritÜre d investissement : les principes ou standards utilisås afin de dåterminer dans quoi SR le fonds peut ou ne peut pas investir dans une perspective sociåtale, Åthique ou environnementale. DÅsinvestissement : les titres d entreprises qui sortent du portefeuille. Engagement : une relation de dialogue pårenne avec les entreprises visant á influencer leur comportement en relation avec leurs pratiques sociåtales, Åthiques ou environnementales. Exclusion :l exclusion de secteurs ou d entreprises du fonds du fait de leur participation á certaines activitås, basåe sur des critüres Åthiques spåcifiques au fonds (par exemple : pas de tabac ou pas de tests animaliers...). Fonds : une entitå lågale dont le seul objet est de bétir un portefeuille d investissements. Inclus Ågalement les compartiments et les fonds de fonds. Gestionnaire de fonds : la sociåtå de gestion responsable de la gestion du fonds. Objet du fond : la philosophie et l esprit du fonds mais pas le processus d investissement. Participations : les actions et/ou obligations constituant l ensemble du portefeuille du fonds. Politique de vote : la politique d un fonds en matiüre d exercice de ses droits de vote en tant qu investisseur, dans le but d influencer le comportement des entreprises. Portefeuille : l ensemble des investissements gårås par le gestionnaire de fonds. Signataires : les fonds ou gårants de fonds s engageant á rendre publique l information liåe á l ISR conformåment au Code. 10

11 ANNEXE II Charte FFSA Ü DÉveloppement Durable á L assurance, un vecteur de diffusion du développement durable au sein de la société. Professionnels de la gestion des risques, acteurs de la pråparation de l avenir et du dåveloppement Åconomique, les assureurs sont Åtroitement intågrås á tous les niveaux de l organisation Åconomique et sociale, notamment au niveau local et occupent ainsi une position privilågiåe pour promouvoir les actions contribuant au dåveloppement durable, en raison : - de leur utilité sociale et économique : donner la capacitå á toutes les composantes de la sociåtå de se projeter dans l avenir en organisant la protection des personnes, des actifs financiers, matåriels et la continuitå des activitås Åconomiques. - de leur rôle : analyser le risque, le pråvenir par des recommandations et l inclusion de clauses de garantie (vol, incendie par exemple). - de leur engagement à long terme : comprendre les mutations de notre sociåtå, les accompagner, investir á long terme pour couvrir les engagements contractås auprüs des assurås. Les enjeux spécifiques du développement durable dans le secteur de l assurance - Mettre Ñ profit son expertise pour enrichir le débat public Une des responsabilitås principales de la Profession est de partager avec les dåcideurs politiques et la sociåtå civile sa compråhension approfondie des dåfis pråsents et á venir liås au changement climatique et sa capacitå á trouver, du fait de son expårience de la mutualisation, des solutions pårennes Åconomiquement tenables. - Amplifier la prise en compte des considérations environnementales, sociales et de gouvernance dans des produits et des services Compte tenu de son rñle pråventif, l introduction de considårations environnementales, sociales et de gouvernance dans les produits et services d assurance est un moyen pour la Profession de contribuer á l Åmergence d une sociåtå dont le modüle reposera davantage sur les principes du dåveloppement durable. Un ensemble d enjeux a ÅtÅ identifiå, sur la base de leur ampleur potentielle ou de leur urgence. Le changement climatique est une pråoccupation premiüre. Mais la Profession entend àtre pråsente Ågalement face aux pressions croissantes s exeröant en matiüre de protection sociale. - Contribuer à la lutte contre le changement climatique en favorisant la diffusion d une culture anticipatrice et son corollaire : la capacitå d adaptation et d attånuation. - Participer à la réduction des vulnérabilités économiques et sociales via notamment le dåveloppement de la protection des risques de la vie, de la microassurance, ainsi que de la couverture des pertes d exploitation, ou les actions tendant á repousser conventionnellement les limites de l assurabilitå des personnes souffrant de maladies chroniques. 11

12 - Participer Ö l Åmergence et Ö la mise en oeuvre de solutions aux dåfis de l avenir liås Ö l allongement de la vie humaine tels que les retraites mais aussi la protection vis-á-vis du risque de dåpendance, la solidaritå Åtant l un des fondements de l assurance. - IntÉgrer les défis présents et futurs dans la politique de gestion des actifs IntermÅdiaire financier, la Profession de l assurance fonde sa politique de gestion d actifs sur l impåratif de såcuritå á long terme. Confiante dans l apport sur le long terme des analyses ISR, la Profession de l assurance souhaite orienter dans la mesure du possible ses investissements dans des actifs responsables et/ou dans des domaines susceptibles de permettre á la sociåtå de relever les grands dåfis actuels. De màme, la Profession entend favoriser la souscription des assurås dans ce domaine. - Agir au quotidien dans ses modes d exploitation Le secteur de l assurance, bien que peu polluant, a pour devoir de råduire l impact environnemental de son activitå et de conforter son comportement responsable á l Ågard de ses employås et de ses fournisseurs tout en agissant contre la corruption dans toutes ses formes. Les assureurs et les råassureurs se fixent les objectifs suivants dans leur activitå : I. Se positionner en tant qu acteurs responsables du DÉveloppement Durable 1. Afficher leurs valeurs, leurs principes de gouvernance et leur dåontologie 2. Affirmer leur rñle auprüs de l ensemble des parties prenantes (pouvoirs publics, ONG, consommateurs, collectivitås territoriales, communautå euro-påenne ). 3. Reconnaçtre au plus haut niveau l importance de la responsabilitå sociåtale et l intågrer á la politique de dåveloppement. 4. Informer des actions menåes sur la base des engagements de la pråsente charte. II. Contribuer Ñ la lutte contre le changement climatique, ses conséquences et plus généralement Ñ la préservation de l environnement 1. Soutenir la recherche sur le changement climatique et partager ses råsultats avec la sociåtå civile et les dåcideurs politiques. 2. Promouvoir des mesures d attånuation par le dåveloppement de produits d assurance á valeur ajoutåe environnementale et sensibiliser nos assurås et les autres parties prenantes á adopter des comportements Åcologiques vertueux. 3. Aider á l adaptation au changement climatique en pråconisant des dåmarches de råduction de la vulnårabilitå aux risques de catastrophes naturelles. 12

13 III. Accompagner le développement Économique, participer Ñ la réduction des vulnérabilités sociales et contribuer Ñ une protection sociale durable 1. Assurer une veille sur la recherche technologique et scientifique et dåvelopper des produits adaptås et de nouveaux services ; jouer lorsque nåcessaire un rñle d alerte. 2. Participer á la råduction des vulnårabilitås et á la pråvention de l exclusion par l Ålargissement de l accüs á l assurance. 3. DÅvelopper en partenariat avec la sphüre publique des dispositifs de protection sociale soutenables dans la duråe (dåpendance, retraite, santå). 4. Promouvoir l adoption de comportements respon-sables par la sensibilisation et la pråvention des comportements á risque. IV. Favoriser une politique d investissements responsables 1. Indiquer si et comment les critüres environne-mentaux, sociaux et de gouvernance sont pris en compte dans la gestion d actifs. 2. Encourager la recherche et l Åvaluation des liens entre les critüres environnementaux, sociaux et de gouvernance, et la performance á long terme des entreprises et des Etats 3. DÅvelopper une offre de produits Ç ISR É et encourager leur commercialisation. 4. Favoriser le dåveloppement Åconomique, en particulier par le financement des PME et des infrastructures. V. DÉvelopper leur fonctionnement dans un cadre environnemental et social responsable 1. Evaluer et råduire leurs impacts environnementaux et notamment les Åmissions de gaz á effet de serre (bilan des Åmissions de gaz á effet de serre ). 2. IntÅgrer des critüres de dåveloppement durable dans la procådure de sålection et d accompagnement des fournisseurs. 3. Inciter les acteurs de la chaçne á une dåmarche de dåveloppement durable (du produit jusqu á l expertise et la råparation, råseaux..). 4. Continuer á favoriser et á amåliorer l ÅgalitÅ professionnelle, la mixitå, la diversitå et la formation dans l entreprise. 5. Sensibiliser et former les acteurs de la profession á l adoption de comportements respectueux de l environnement et de la sociåtå. * * * * * * * * * * 13

A. Conditions de pråparation et d organisation des travaux du Conseil d Administration

A. Conditions de pråparation et d organisation des travaux du Conseil d Administration RAPPORT DU PRESIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LES CONDITIONS DE PREPARATION ET D ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL D ADMINISTRATION ET SUR LES PROCEDURES DE CONTROLE INTERNE MISES EN PLACE PAR

Plus en détail

Statuts CITEC Suisse

Statuts CITEC Suisse Statuts CITEC Suisse I. Nom, siäge, buts Art. 1 Art. 2 Nom et siäge Sous le nom de CITEC Suisse (dånommåe ci-apräs association), est crååe une sociåtå dans le sens du Code civil suisse. L'association a

Plus en détail

Charte Investissement Responsable des acteurs de la Place de Paris: Actions menées par les signataires pour répondre à leurs engagements

Charte Investissement Responsable des acteurs de la Place de Paris: Actions menées par les signataires pour répondre à leurs engagements Charte Investissement Responsable des acteurs de la Place de Paris: Actions menées par les signataires pour répondre à leurs engagements Bilan 2009-2011 Mars 2012 1 Les signataires Depuis juillet 2009

Plus en détail

[Programme pluriannuel et Plan Stratégique 2012-2015]

[Programme pluriannuel et Plan Stratégique 2012-2015] [ w w w. l a c i t e - n a n t e s. f r ] [Programme pluriannuel et Plan Stratégique 2012-2015] Annexe 1 PLAN STRATEGIQUE 2012-2015 1 Sommaire Introduction...3 I Notre cadre de räfärence...6 II Une gouvernance

Plus en détail

TARIFS CONDITIONS GÉNÉRALES

TARIFS CONDITIONS GÉNÉRALES Centrale d emplois pour la Distribution TARIFS et CONDITIONS GÉNÉRALES http://www.distrijob.fr Offres d Emploi HT OFFRE D EMPLOI STANDARD Parution 2 x 30 jours - 1 poste, multi-rägions 1 offre 325.00 TARIFS

Plus en détail

6.1. Quels indicateurs peuvent Étre mis au point au niveau de l Union pour assurer le suivi des caractäristiques et des tendances de la

6.1. Quels indicateurs peuvent Étre mis au point au niveau de l Union pour assurer le suivi des caractäristiques et des tendances de la 4.4. Comment peut-on favoriser la complämentaritä des politiques communautaires et nationales dans un souci d amälioration de la cohäsion territoriale? Si on considäre que la cohåsion territoriale råpond

Plus en détail

Concours d accås en 4 Äme annåe (Master 1) du Programme Grande Ecole Examen Type Epreuve de spåcialitå Marketing (Master Marketing) DurÅe : 3 heures

Concours d accås en 4 Äme annåe (Master 1) du Programme Grande Ecole Examen Type Epreuve de spåcialitå Marketing (Master Marketing) DurÅe : 3 heures Concours d accås en 4 Äme annåe (Master 1) du Programme Grande Ecole Examen Type Epreuve de spåcialitå Marketing (Master Marketing) DurÅe : 3 heures Partie I : Questions (8 points) DÄfinissez les concepts

Plus en détail

Un document du GT3P - groupe de travail partenarial public-privé - sur l approche commune des crises. Édition de mai 2011

Un document du GT3P - groupe de travail partenarial public-privé - sur l approche commune des crises. Édition de mai 2011 Maîtrise des risques et des crises : une réflexion croisée Édition de mai 2011 Un document du GT3P - groupe de travail partenarial public-privé - sur l approche commune des crises MINISTÈRE DU TRAVAIL,

Plus en détail

CONSEIL EN MANAGEMENT ORGANISATION ET SYSTEME D INFORMATION. ALTER ORGA SARL 3 rue Desgenettes 93110 Rosny sous Bois

CONSEIL EN MANAGEMENT ORGANISATION ET SYSTEME D INFORMATION. ALTER ORGA SARL 3 rue Desgenettes 93110 Rosny sous Bois CONSEIL EN MANAGEMENT ORGANISATION ET SYSTEME D INFORMATION ALTER ORGA SARL 3 rue Desgenettes 93110 Rosny sous Bois Contact : Daniel BERTRAND TÅl : 06 80 03 18 78 E-mail : daniel.bertrand@alter-orga.com

Plus en détail

L ISR Investissement. www.lesclesdelabanque.com LES MINI-GUIDES BANCAIRES SEPTEMBRE 2012 ÉPARGNE. Le site pédagogique sur la banque et l argent

L ISR Investissement. www.lesclesdelabanque.com LES MINI-GUIDES BANCAIRES SEPTEMBRE 2012 ÉPARGNE. Le site pédagogique sur la banque et l argent SEPTEMBRE 2012 HORS-SÉRIE ÉPARGNE LES MINI-GUIDES BANCAIRES www.lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent L ISR Investissement Socialement Responsable un placement pour les particuliers

Plus en détail

Favoriser l accès aux soins des bénéficiaires de minima. sociaux. Expliquer la CMU-C et l ACS aux populations potentiellement éligibles. 2009.

Favoriser l accès aux soins des bénéficiaires de minima. sociaux. Expliquer la CMU-C et l ACS aux populations potentiellement éligibles. 2009. Favoriser l accès aux soins des bénéficiaires de minima sociaux. Expliquer la CMU-C et l ACS aux populations potentiellement éligibles Catherine Chauveaud, Philippe Warin To cite this version: Catherine

Plus en détail

DELIBERATION DU CONSEIL MUNICIPAL COMMUNE de LAFFREY

DELIBERATION DU CONSEIL MUNICIPAL COMMUNE de LAFFREY REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DE L ISERE DELIBERATION DU CONSEIL MUNICIPAL COMMUNE de LAFFREY SÅance du 1er dåcembre 2008 L an deux mil huit et le premier dåcembre Ç vingt heures trente, le Conseil

Plus en détail

OBSERVATOIRE des Vacances et des Loisirs des Enfants et des jeunes

OBSERVATOIRE des Vacances et des Loisirs des Enfants et des jeunes OBSERVATOIRE des Vacances et des Loisirs des Enfants et des jeunes LES STAGIAIRES BAFA DU FINISTERE Octobre 2008 EnquÄte råalisåe pour La Direction DÅpartementale de la Jeunesse et des Sports du FinistÇre

Plus en détail

ASSURANCE DOMMAGES-OUVRAGE TOUS RISQUES CHANTIER CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES VALANT CAHIER DES CHARGES

ASSURANCE DOMMAGES-OUVRAGE TOUS RISQUES CHANTIER CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES VALANT CAHIER DES CHARGES ASSURANCE DOMMAGES-OUVRAGE ET TOUS RISQUES CHANTIER CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES VALANT CAHIER DES CHARGES Pouvoir Adjudicateur : EPSoMS Intercommunal Georges Couthon & Nicolas Roussel 5-7 rue Pierre

Plus en détail

Donnez nous le sens, nous vous donnerons la direction

Donnez nous le sens, nous vous donnerons la direction COMPTABLE GESTIONNAIRE Formation de Niveau III HomologuÄ par le MinistÅre de l Emploi, de la CohÄsion Sociale et du Logement Date de publication au Journal officiel : 27/08/2013 Formateur : Michel Lemaire

Plus en détail

Catalogue professionnel Ä. Ç Licence d exploitation du logiciel Ä MERCATOS Ç DÑveloppement SEEG NTIC Edition

Catalogue professionnel Ä. Ç Licence d exploitation du logiciel Ä MERCATOS Ç DÑveloppement SEEG NTIC Edition Catalogue professionnel Ä. Ç Licence d exploitation du logiciel Ä MERCATOS Ç DÑveloppement SEEG NTIC Edition PROPOSITION COMMERCIALE - LICENCE D EXPLOITATION (rayer toutes les mentions inutiles avant signature

Plus en détail

1. Introduction... Page 3. 2. Les principaux atouts du WCC... Page 4. 3. SpÄcificitÄ du catalogue en ligne... Page 5. 4. SpÄcificitÄ du WCC...

1. Introduction... Page 3. 2. Les principaux atouts du WCC... Page 4. 3. SpÄcificitÄ du catalogue en ligne... Page 5. 4. SpÄcificitÄ du WCC... Sommaire 1. Introduction... Page 3 2. Les principaux atouts du WCC... Page 4 3. SpÄcificitÄ du catalogue en ligne... Page 5 4. SpÄcificitÄ du WCC... Page 6 5. DÄmonstration... Page 7 6. Tarification...

Plus en détail

26, rue du Faubourg Poissonni re 75010 Paris T l : 01 46 22 07 00

26, rue du Faubourg Poissonni re 75010 Paris T l : 01 46 22 07 00 Dossier de commande 26, rue du Faubourg PoissonniÄre 75010 Paris TÇl : 01 46 22 07 00 SociÄtÄ Anonyme au capital de 291 666 euros RCS Paris 432 735 082 - http://www.oodrive.com Nom SociÇtÇ Adresse TÇlÇphone

Plus en détail

Collecte et archivage des donnäes Älectroniques issues :

Collecte et archivage des donnäes Älectroniques issues : 8, alläe Evariste Galois 63000 CLERMONT-FERRAND +33 (0)4.73.28.99.75 tg2s@tg2s.com www.tg2s.com Collecte et archivage des donnäes Älectroniques issues : - des cartes conducteurs - des chronotachygraphes

Plus en détail

PROCES-VERBAL DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 16 MAI 2002

PROCES-VERBAL DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 16 MAI 2002 1 PROCES-VERBAL DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 16 MAI 2002 Le Conseil Municipal de la ville de Fontenay-aux-Roses, lägalement convoquä le dix mai deux mille deux, s est assemblä au lieu ordinaire

Plus en détail

Concours d accås en 4 Äme annåe du Programme Grande Ecole Examen Type Epreuve de spåcialitå Finance (Master Finance) DurÅe : 3H

Concours d accås en 4 Äme annåe du Programme Grande Ecole Examen Type Epreuve de spåcialitå Finance (Master Finance) DurÅe : 3H Concours d accås en 4 Äme annåe du Programme Grande Ecole Examen Type Epreuve de spåcialitå Finance (Master Finance) DurÅe : 3H Partie I : Gestion financiäre Cas nå 1 Une sociätä späcialisäe dans la production

Plus en détail

REFERENTIEL DE CERTIFICATION DU SYSTEME DE GESTION DE LA QUALITE DES EAUX DE BAIGNADE

REFERENTIEL DE CERTIFICATION DU SYSTEME DE GESTION DE LA QUALITE DES EAUX DE BAIGNADE REFERENTIEL DE CERTIFICATION DU SYSTEME DE GESTION DE LA QUALITE DES EAUX DE BAIGNADE Version 1 : 6 juin 2009 LISTE DES PARTICIPANTS A L ELABORATION DU REFERENTIEL ReprÄsentants des collectivitäs territoriales

Plus en détail

RAPPORT DE STAGE GUIL Fr d ric 1 I.U.P. Sciences de gestion 2001 / 2002

RAPPORT DE STAGE GUIL Fr d ric 1 I.U.P. Sciences de gestion 2001 / 2002 1 AVANT-PROPOS Je tiens Å remercier tout particuliçrement Monsieur WOJTAZEWSKI, Directeur du magasin, Monsieur EFFROI, Directeur gestion logistique, HÄlÇne MATEO, Juliette RAKOTO, Corinne REY, Florelle

Plus en détail

ASSURANCE DOMMAGES-OUVRAGE TOUS RISQUES CHANTIER

ASSURANCE DOMMAGES-OUVRAGE TOUS RISQUES CHANTIER ASSURANCE DOMMAGES-OUVRAGE ET TOUS RISQUES CHANTIER CAHIER DES CHARGES SOMMAIRE ARTICLE 1 PRESENTATION DE L OPERATION...3 1.1 - Lieu d implantation...3 1.2 - CaractÅristiques de l ouvrage...3 1.3 - Nature

Plus en détail

Le programme EPS au collège

Le programme EPS au collège Le programme EPS au collège Structure générale IA-IPR EPS. Fév/Mars 2009 L EPS,, un rçle É jouer tout au long de la scolaritä Vise la räussite de tous les ÄlÖves Contribue É l instruction, la formation

Plus en détail

Assurance et développement durable, les principaux chiffres 2012/2013

Assurance et développement durable, les principaux chiffres 2012/2013 Assurance et développement durable, les principaux chiffres 2012/2013 Depuis 2009, les sociétés d assurance de la FFSA et du GEMA ont engagé une démarche volontaire de réflexion et d actions en matière

Plus en détail

Le modäle conceptuel de donnåes (MCD)

Le modäle conceptuel de donnåes (MCD) BTS Informatique de Gestion 1 Äre annåe DAIGL (ModÅlisation) Chapitre 1 Page 1 / 14 LycÄe Jean Rostand CHANTILLY Jean-Marie Cardoni Cours DAIGL (analyse) (1 Äre annåe) BTS INFORMATIQUE DE GESTION 1 Condition

Plus en détail

Le non-recours aux soins des actifs präcaires (NOSAP)

Le non-recours aux soins des actifs präcaires (NOSAP) Le non-recours aux soins des actifs präcaires (NOSAP) Rapport scientifique final Novembre 2008 Pour l Agence Nationale de la Recherche - Programme SantÅ Environnement SantÅ Travail Convention né 00083

Plus en détail

22 avril 2009. l investissement responsable de la maif

22 avril 2009. l investissement responsable de la maif Charte 22 avril 2009 l investissement responsable de la maif objectifs considération sur l investissement responsable les axes d engagement l investissement responsable de la maif /// Préambule La MAIF

Plus en détail

Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites

Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites ÉPARGNE SALARIALE SOLIDAIRE Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites BANQUE DE FINANCEMENT & D INVESTISSEMENT / ÉPARGNE / SERVICES FINANCIERS SPÉCIALISÉS Avec un encours de 3,15 milliards

Plus en détail

Situations d urgence : savoir råagir COMMUNICATION ENVIRONNEMENTALE COMMUNICATION DE CRISE - CONCERTATION

Situations d urgence : savoir råagir COMMUNICATION ENVIRONNEMENTALE COMMUNICATION DE CRISE - CONCERTATION Situations d urgence : savoir råagir COMMUNICATION ENVIRONNEMENTALE COMMUNICATION DE CRISE - CONCERTATION SITUATIONS D URGENCE : QUELS ENJEUX? Quelques unes des consåquences possibles d une crise: Atteintes

Plus en détail

DOMMAGE OUVRAGE/CONSTRUCTEUR NON REALISATEUR MARCHE A LOTS SEPARES

DOMMAGE OUVRAGE/CONSTRUCTEUR NON REALISATEUR MARCHE A LOTS SEPARES MARCHE DE PRESTATION DE SERVICE D ASSURANCES DOMMAGE OUVRAGE/CONSTRUCTEUR NON REALISATEUR MARCHE A LOTS SEPARES CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES Procédure adaptée Pouvoir Adjudicateur :

Plus en détail

CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE POUR LE PERSONNEL DES ENTREPRISES DE RESTAURATION DE COLLECTIVITES

CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE POUR LE PERSONNEL DES ENTREPRISES DE RESTAURATION DE COLLECTIVITES CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE POUR LE PERSONNEL DES ENTREPRISES DE RESTAURATION DE COLLECTIVITES Syndicat National de la Restauration Collective 9 rue de la TrÄmoille 75008 PARIS TÄl : 01 56 62 16 16

Plus en détail

Non, l externalisation ne m a pas tuer!

Non, l externalisation ne m a pas tuer! Non, l externalisation ne m a pas tuer! Retour d expårience Jean MARCHAL, CFO EBREX France, Directeur associå IRC EBREX France en quelques mots DÄmarrage d activitä en 2007 ActivitÄs principales : transport,

Plus en détail

CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013

CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 1 CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 2 Groupama Asset Management s engage par le biais de cette présente Charte à appliquer et promouvoir une politique de Responsabilité Sociale de

Plus en détail

L INVESTISSEMENT SOCIALEMENT RESPONSABLE DONNEZ DES VALEURS À VOS CONVICTIONS

L INVESTISSEMENT SOCIALEMENT RESPONSABLE DONNEZ DES VALEURS À VOS CONVICTIONS L INVESTISSEMENT EMENT RESPONSABLE DONNEZ DES VALEURS À VOS CONVICTIONS LE CRÉDIT MUTUEL-CIC, UN ACTEUR BANCAIRE UN GROUPE SOLIDE ET RECONNU Le Crédit Mutuel-CIC est l association d une banque coopérative

Plus en détail

Notre façon d investir n est pas seulement une question d argent

Notre façon d investir n est pas seulement une question d argent Investissement Socialement Responsable Notre façon d investir n est pas seulement une question d argent banque de financement & d investissement / épargne / services financiers spécialisés a performance

Plus en détail

COUR D'APPEL DE LYON. 6Äme Chambre. ARRET DU 22 Mai 2014 APPELANTS : M. Bernard COTTIER. nå le 18 Octobre 1950

COUR D'APPEL DE LYON. 6Äme Chambre. ARRET DU 22 Mai 2014 APPELANTS : M. Bernard COTTIER. nå le 18 Octobre 1950 COUR D'APPEL DE LYON 6Äme Chambre ARRET DU 22 Mai 2014 APPELANTS : M. Bernard COTTIER nå le 18 Octobre 1950 ReprÅsentÅ par la SELARL VITAL-DURAND ET ASSOCIES, avocats au barreau de LYON Compagnie d'assurances

Plus en détail

DONNER DU INVESTISSEMENT

DONNER DU INVESTISSEMENT épargne & retraite DONNER DU SENS À son INVESTISSEMENT Investissement Socialement Responsable LE MARCHÉ DE L IN- VESTISSEMENT SO- CIALEMENT RESPON- SABLE EN FRANCE L Investissement Socialement Responsable

Plus en détail

REMPLACEMENT DU SYSTEME TELEPHONIQUE DE LA MAIRIE DE HOERDT

REMPLACEMENT DU SYSTEME TELEPHONIQUE DE LA MAIRIE DE HOERDT COMMUNE DE HOERDT 1, rue de la Tour BP 302 67728 HOERDT CEDEX Tel. : 03.88.68.20.10 Fax. : 03.88.51.74.24 Mail. : mairie@hoerdt.fr www.hoerdt.fr REMPLACEMENT DU SYSTEME TELEPHONIQUE DE LA MAIRIE DE HOERDT

Plus en détail

LES MINI-GUIDES BANCAIRES. Repère n 20. Épargne éthique & Épargne solidaire FEDERATION BANCAIRE FRANCAISE

LES MINI-GUIDES BANCAIRES. Repère n 20. Épargne éthique & Épargne solidaire FEDERATION BANCAIRE FRANCAISE LES MINI-GUIDES BANCAIRES Repère n 20 Épargne éthique & Épargne solidaire FEDERATION BANCAIRE FRANCAISE novembre 2005 Ce mini-guide vous est offert Tous droits réservés. La reproduction totale ou partielle

Plus en détail

Les indicateurs du développement durable

Les indicateurs du développement durable Les indicateurs du développement durable (extraits de la première édition) Préambule L Association française de l assurance a publié en janvier 2009 sa Charte du développement durable, formalisant ainsi

Plus en détail

LES PROCESSUS DE CONTROLE DANS LA STRUCTURATION DE L ORGANISATION TOME 2

LES PROCESSUS DE CONTROLE DANS LA STRUCTURATION DE L ORGANISATION TOME 2 UniversitÄ Paris I PanthÄon Sorbonne Sciences Economiques Sciences Humaines Sciences Juridiques et Politiques U.F.R. Gestion et Economie d Entreprise David AUTISSIER Novembre 1997 LES PROCESSUS DE CONTROLE

Plus en détail

LE GROUPE MACIF ET LA RSE

LE GROUPE MACIF ET LA RSE LE GROUPE MACIF ET LA RSE SOMMAIRE Présentation du Groupe MACIF, ses engagements RSE Quelle organisation, quelle prise en compte dans les pratiques internes Quelles réponses aux enjeux RSE dans le cœur

Plus en détail

CM-CIC Actions ISR. CM-CIC Actions ISR Code de Transparence AFG / FIR / EuroSif. 1. Données générales

CM-CIC Actions ISR. CM-CIC Actions ISR Code de Transparence AFG / FIR / EuroSif. 1. Données générales L Investissement Socialement Responsable est une part essentielle du positionnement stratégique et de la gestion du fonds commun de placement. Présent dans la gestion éthique depuis 1991, CM-CIC Asset

Plus en détail

Chapitres 1 et 2 Langage d interrogation des donnåes - Partie 1 -

Chapitres 1 et 2 Langage d interrogation des donnåes - Partie 1 - Chapitres 1 et 2 Langage d interrogation des donnåes - Partie 1-1. Introduction...2 2. Les bases de donnåes...2 2.1. DÄfinition... 2 2.2. UtilitÄ... 3 2.3. SGBD et SGBDR... 3 2.4. Les contraintes d intägritä...

Plus en détail

La perception de l ISR par les Français. Principaux résultats de l enquête Ipsos pour EIRIS & FIR Octobre 2012

La perception de l ISR par les Français. Principaux résultats de l enquête Ipsos pour EIRIS & FIR Octobre 2012 La perception de l ISR par les Français Principaux résultats de l enquête Ipsos pour EIRIS & FIR Octobre 2012 L enquête Enquête nationale conduite en ligne par Ipsos du 14 au 16 sept. 2012 dans le cadre

Plus en détail

La lettre semestrielle ISR de MACIF Gestion - n 15 Mars 2010

La lettre semestrielle ISR de MACIF Gestion - n 15 Mars 2010 La lettre semestrielle ISR de MACIF Gestion - n 15 Mars 2010 Sommaire : L engagement actionnarial, définition et pratiques. Les principaux acteurs de l engagement ESG en Europe. Que permet le droit français?

Plus en détail

agissant en son nom personnel et en qualitå d'administrateur lågal de la personne et des biens de ses enfants mineurs :

agissant en son nom personnel et en qualitå d'administrateur lågal de la personne et des biens de ses enfants mineurs : COUR D'APPEL DE LYON 6Äme Chambre ARRET DU 28 FÅvrier 2012 APPELANTS : M. Jean B. nå le 08 AoÇt 1939 repråsentå par la SCP L. DE M. ET L. assistå de la SELARL P. & ASSOCIES, avocats au barreau de LYON,

Plus en détail

Guide d information sur les OPCVM

Guide d information sur les OPCVM Guide d information sur les OPCVM 1. Les OPCVM : Définition et types. 2. Les Avantages d un placement en OPCVM. 3. L a constitution d un OPCVM. 4. Le fonctionnement d un OPCVM. 5. Les frais de gestion

Plus en détail

Logiciel RECIPEÇ. Gestion des formules

Logiciel RECIPEÇ. Gestion des formules Logiciel RECIPEÇ Gestion des formules Recipe Developer est un produit de Hamilton Grant, distribuå par ABT Informatique Recipe est un logiciel simple d utilisation et trñs flexible permettant de gårer

Plus en détail

Les chartes de France Investissement

Les chartes de France Investissement Les chartes de France Investissement Introduction : le dispositif France Investissement Les PME les plus dynamiques ou à fort potentiel de croissance apportent une contribution essentielle au développement

Plus en détail

CONTRAT DE MAINTENANCE INFORMATIQUE OPTION :

CONTRAT DE MAINTENANCE INFORMATIQUE OPTION : Entre les soussignäs : CONTRAT DE MAINTENANCE INFORMATIQUE OPTION : La sociätä aidespc immatriculäe au Registre des Entreprises Å CompiÇgne sous le numäro 534757240 repräsentäe en la personne de Monsieur

Plus en détail

REGLEMENT DE DEONTOLOGIE SPECIFIQUE AUX SOCIETES DE GESTION D OPCVM D EPARGNE SALARIALE (FCPE ET SICAVAS)

REGLEMENT DE DEONTOLOGIE SPECIFIQUE AUX SOCIETES DE GESTION D OPCVM D EPARGNE SALARIALE (FCPE ET SICAVAS) REGLEMENT DE DEONTOLOGIE SPECIFIQUE AUX SOCIETES DE GESTION D OPCVM D EPARGNE SALARIALE (FCPE ET SICAVAS) Page 1 PREAMBULE Le présent Règlement de Déontologie spécifique aux sociétés de gestion d OPCVM

Plus en détail

Etude de faisabilit et de pr conisations pour la d couverte du patrimoine des murs p ches et la cr ation d un parcours d interpr tation du patrimoine

Etude de faisabilit et de pr conisations pour la d couverte du patrimoine des murs p ches et la cr ation d un parcours d interpr tation du patrimoine Etude de faisabilit et de pr conisations pour la d couverte du patrimoine des murs p ches et la cr ation d un parcours d interpr tation du patrimoine Comit de pilotage du 17 F vrier 2011 Sommaire 1. Rappel

Plus en détail

PROCES-VERBAL DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 26 JUIN 2002

PROCES-VERBAL DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 26 JUIN 2002 1 PROCES-VERBAL DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 26 JUIN 2002 Le Conseil Municipal de la ville de Fontenay-aux-Roses, lägalement convoquä le vingt juin deux mille deux, s est assemblä au lieu ordinaire

Plus en détail

C N E C J LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE DU PROFESSIONNEL COMPTABLE LIBERAL ET LE ROLE DE L EXPERT-COMPTABLE JUDICIAIRE

C N E C J LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE DU PROFESSIONNEL COMPTABLE LIBERAL ET LE ROLE DE L EXPERT-COMPTABLE JUDICIAIRE COMPAGNIE NATIONALE DES EXPERTS-COMPTABLES JUDICIAIRES SECTION AUTONOME AIX-EN-PROVENCE-BASTIA C N E C J LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE DU PROFESSIONNEL COMPTABLE LIBERAL ET LE ROLE DE L EXPERT-COMPTABLE

Plus en détail

La sélection de gérants dans le contexte d un mandat de conseil

La sélection de gérants dans le contexte d un mandat de conseil Conseil en investissement (fiduciary management) La sélection de gérants dans le contexte d un mandat de conseil Les besoins des clients institutionnels, et en particulier ceux des fonds de pension, sont

Plus en détail

Pourquoi nous avons créé Mirova

Pourquoi nous avons créé Mirova Par Philippe Zaouati, directeur général délégué de Natixis Asset Management et responsable du pôle d expertise Mirova. Pourquoi nous avons créé Mirova Directeur du développement et membre du comité exécutif

Plus en détail

Déclaration commune. Octobre 2010. portant engagement de bonnes pratiques sur la lisibilité des garanties de complémentaire santé

Déclaration commune. Octobre 2010. portant engagement de bonnes pratiques sur la lisibilité des garanties de complémentaire santé Déclaration commune portant engagement de bonnes pratiques sur la lisibilité des garanties de complémentaire santé Octobre 2010 Considérant que l accès de la population à une complémentaire santé adaptée

Plus en détail

HSBC Global Asset Management (France) Politique de vote - Mars 2015

HSBC Global Asset Management (France) Politique de vote - Mars 2015 HSBC Global Asset Management (France) Politique de vote - Mars 2015 Ce document présente les conditions dans lesquelles la société de gestion HSBC Global Asset Management (France) entend exercer les droits

Plus en détail

DÄLIBÄRATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL

DÄLIBÄRATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL DÄLIBÄRATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL COMPTE RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU LUNDI 28 SEPTEMBRE 2009 SÄance ordinaire du Conseil Municipal du lundi 28 septembre 2009 Å 20 H, en la salle de la

Plus en détail

Notre offre ISR pour l Epargne Salariale. Document non contractuel

Notre offre ISR pour l Epargne Salariale. Document non contractuel Notre offre ISR pour l Epargne Salariale Document non contractuel HSBC et le développement durable Un engagement de conviction Contribuer à développer un monde durable Parmi celles-ci, HSBC a apporté son

Plus en détail

Notre offre ISR pour l Epargne Salariale. Document non contractuel

Notre offre ISR pour l Epargne Salariale. Document non contractuel Notre offre ISR pour l Epargne Salariale Document non contractuel HSBC et le développement durable Un engagement de conviction Contribuer à développer un monde durable Parmi celles-ci, HSBC a apporté son

Plus en détail

«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»

«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» 39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,

Plus en détail

En 2003, la Fédération française des sociétés d assurance et la

En 2003, la Fédération française des sociétés d assurance et la L INVESTISSEMENT SOCIALEMENT RESPONSABLE : LE POINT DE VUE D UNE MUTUELLE SPÉCIALISTE EN ASSURANCE VIE L INVESTISSEMENT SOCIALEMENT RESPONSABLE : LE POINT DE VUE D UNE MUTUELLE SPÉCIALISTE EN ASSURANCE

Plus en détail

Éligible PEA. La recherche de la performance passe par une approche différente

Éligible PEA. La recherche de la performance passe par une approche différente Éligible PEA La recherche de la performance passe par une approche différente FIDELITY EUROPE : UNE GESTION Sur la durée, on constate qu il est difficile pour les Sicav de battre les indices des grandes

Plus en détail

INTERNET ET SANTÉ. Proposition de titre : La certification : un moyen d améliorer la qualité des sites dédiés à la santé

INTERNET ET SANTÉ. Proposition de titre : La certification : un moyen d améliorer la qualité des sites dédiés à la santé QUESTIONS REPONSES INTERNET ET SANTÉ Proposition de titre : La certification : un moyen d améliorer la qualité des sites dédiés à la santé LE CONTEXTE Dispose t-on de données relatives à la fréquentation

Plus en détail

FICHE D ACCESSIBILITE

FICHE D ACCESSIBILITE FICHE D ACCESSIBILITE AUX ETABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (E.R.P.) Lorsqu il y a du public, il y a toujours des personnes en situation de handicap. Ne pas en tenir compte, c est råaliser un bçtiment

Plus en détail

Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics

Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE

Plus en détail

Investissements socialement responsables à Retraites Populaires, un axe majeur de la politique de développement durable de l entreprise

Investissements socialement responsables à Retraites Populaires, un axe majeur de la politique de développement durable de l entreprise Investissements socialement responsables à Retraites Populaires, un axe majeur de la politique de développement durable de l entreprise Perry Fleury, responsable RH et DD Forum durable Suisse romande 2

Plus en détail

Communiqué de presse. Fonds Stratégique de Participations : un nouvel investissement de long terme dans le capital d un fleuron industriel français

Communiqué de presse. Fonds Stratégique de Participations : un nouvel investissement de long terme dans le capital d un fleuron industriel français Communiqué de presse Paris le 1 er juin 2015 Fonds Stratégique de Participations : un nouvel investissement de long terme dans le capital d un fleuron industriel français Le Fonds Stratégique de Participations

Plus en détail

La destination finale de l épargne des ménages

La destination finale de l épargne des ménages Annabelle RINCON Direction des Études et Statistiques monétaires Service d Études et Statistiques des opérations fi nancières Cet article vise à décrire l allocation fi nale du patrimoine fi nancier des

Plus en détail

Guide sur les initiatives RSE sectorielles Fiche n 6 Engagements RSE dans le secteur des industries électriques, électroniques et de communication

Guide sur les initiatives RSE sectorielles Fiche n 6 Engagements RSE dans le secteur des industries électriques, électroniques et de communication MEDEF - ORSE octobre 2014 Guide sur les initiatives RSE sectorielles Fiche n 6 dans le secteur des industries électriques, électroniques et de communication Fédération des Industries Electriques, Electroniques

Plus en détail

La lettre. de l Association Ethique et Investissement. décembre 2011 numéro. Dates à retenir :

La lettre. de l Association Ethique et Investissement. décembre 2011 numéro. Dates à retenir : La lettre de l Association Ethique et Investissement décembre 2011 numéro L année 2011 est marquée par l aggravation de la crise économique et financière avec des conséquences qui sont encore difficilement

Plus en détail

5, 10 ou 25 utilisateurs!! Ä Symantec AntiVirus Ç

5, 10 ou 25 utilisateurs!! Ä Symantec AntiVirus Ç 5, 10 ou 25 utilisateurs!! Ä Symantec AntiVirus Ç Des solutions pour protéger vos données stratégiques : Les moyens de communication modernes, comme le courrier Älectronique et Internet, rendent les entreprises

Plus en détail

Ä Un CRM, pour quoi faire? Å

Ä Un CRM, pour quoi faire? Å Ä Un CRM, pour quoi faire? Å page 1 Un CRM, pour quoi faire? DÇroulÇ de la prçsentation: DÇfinitions Attentes: au-delé de l outil StratÇgies d implantation: la stratçgie est essentielle Exemples de contenus

Plus en détail

Récapitulatif: Du 17 au 28 Août 2015. Mesures de développement de la place de Paris. Retard dans l implémentation du format SWIFT au Maroc.

Récapitulatif: Du 17 au 28 Août 2015. Mesures de développement de la place de Paris. Retard dans l implémentation du format SWIFT au Maroc. Du 17 au 28 Août 2015 Récapitulatif: Mesures de développement de la place de Paris. Retard dans l implémentation du format SWIFT au Maroc. Accord de partenariat entre la Bourse de Casablanca et London

Plus en détail

La diffärenciation näcessaire des enseignes de la grande distribution franåaise en consäquence de l Ävolution du consommateur

La diffärenciation näcessaire des enseignes de la grande distribution franåaise en consäquence de l Ävolution du consommateur I.A.E NANTES DUESMO Séverine GILLET La diffärenciation näcessaire des enseignes de la grande distribution franåaise Sous la direction du professeur : Jean-François Lemoine Année universitaire 2004-2006

Plus en détail

SHARE DU COMPARTIMENT SHARE JAPAN

SHARE DU COMPARTIMENT SHARE JAPAN SHARE (ci-après la «Société») Société d Investissement à Capital Variable Siège social : 12, rue Eugène Ruppert, L-2453 Luxembourg R.C.S. Luxembourg N B 28.744 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT SHARE

Plus en détail

TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS RÉGLEMENTAIRES LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. FORME JURIDIQUE

TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS RÉGLEMENTAIRES LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. FORME JURIDIQUE TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. RÉGLEMENTAIRES FORME JURIDIQUE TreeTop Asset Management S.A. (ci-après «TREETOP» ou la «Société») est une société anonyme

Plus en détail

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE

Plus en détail

CorDial 2010 Gouvernement d entreprise. Constat / Propositions

CorDial 2010 Gouvernement d entreprise. Constat / Propositions CorDial 2010 Gouvernement d entreprise Constat / Propositions CorDial : un outil de Dialogue actionnarial lancé par le FIR en 2010 Léchantillon de sociétés du SBF 120 a été établi sur la base d un seuil

Plus en détail

56 avenue de Wagram 75857 PARIS CEDEX 17

56 avenue de Wagram 75857 PARIS CEDEX 17 56 avenue de Wagram 75857 PARIS CEDEX 17 Labellisation par l UIMM de contrats d assurance groupe, ouverts à l adhésion des entreprises relevant de la branche de la métallurgie, dans le cadre de la généralisation

Plus en détail

Reporting ISR Situation au 30/06/2015 ALM ETHIS VALEURS

Reporting ISR Situation au 30/06/2015 ALM ETHIS VALEURS Reporting ISR Situation au /6/15 Code ISIN : FR1263764 Le fonds a obtenu le label Novethic 14. Le Label ISR Novethic est attribué aux fonds d Investissement Socialement Responsable (ISR) dont la gestion

Plus en détail

Notre expertise au service des personnes morales

Notre expertise au service des personnes morales ENTREPRISES Associations placements gestion sous mandat Notre expertise au service des personnes morales entreprises associations fondations mutuelles Sommaire introduction 3 qu est-ce que La gestion sous

Plus en détail

Notre approche pour les investissements en bourse

Notre approche pour les investissements en bourse TlB Notre approche pour les investissements en bourse Introduction Ce document présente la stratégie d investissement dans les entreprises cotées en bourse adoptée par Triodos Investment Management B.V.*

Plus en détail

L actualité financière Les performances nettes de vos supports d investissement au 30/08/2013

L actualité financière Les performances nettes de vos supports d investissement au 30/08/2013 La Lettre Epargne et Retraite en Entreprise L actualité financière Les performances nettes de vos supports d investissement au 30/08/2013 Septembre 2013 Les chiffres cités ont trait aux années écoulées.

Plus en détail

POLITIQUE DE VOTE DU FONDS CCR ACTIONS ENGAGEMENT DURABLE CCR ASSET MANAGEMENT

POLITIQUE DE VOTE DU FONDS CCR ACTIONS ENGAGEMENT DURABLE CCR ASSET MANAGEMENT Date de mise à jour : janvier 2010 POLITIQUE DE VOTE DU FONDS CCR ACTIONS ENGAGEMENT DURABLE CCR ASSET MANAGEMENT A titre indicatif CCR ACTIONS ENGAGEMENT DURABLE a pour objectif de réaliser une performance

Plus en détail

Les valeurs mobilières. Les actions 3. Les droits et autres titres de capital 5. Les obligations 6. Les SICAV et FCP 8

Les valeurs mobilières. Les actions 3. Les droits et autres titres de capital 5. Les obligations 6. Les SICAV et FCP 8 Les actions 3 Les droits et autres titres de capital 5 Les obligations 6 Les SICAV et FCP 8 2 Les actions Qu est-ce qu une action? Au porteur ou nominative, quelle différence? Quels droits procure-t-elle

Plus en détail

Services en ligne : Leader du conseil SICAV & FCP sur internet, Compte-titres, Assurance-vie

Services en ligne : Leader du conseil SICAV & FCP sur internet, Compte-titres, Assurance-vie Choisir l avenir Distribution de produits financiers : Conseil et optimisation du patrimoine privé et professionnel Ingénierie Financière pour PME : Introduction en Bourse, levées de fonds, LBO Private

Plus en détail

Pourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante?

Pourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante? Découvrir ISO 26000 La présente brochure permet de comprendre les grandes lignes de la Norme internationale d application volontaire, ISO 26000:2010, Lignes directrices relatives à la responsabilité. Elle

Plus en détail

BIBUS-S pråsentation et fonctionnalitås

BIBUS-S pråsentation et fonctionnalitås BIBUS-S pråsentation et fonctionnalitås De base la centrale dispose de: > 6 zones Ä bord > 8 groupes (8 partitions indåpendantes ou interdåpendantes). > 3 Relais pour siränes extårieures, intårieures et

Plus en détail

S informer sur. L investissement en OPC : SICAV et FCP

S informer sur. L investissement en OPC : SICAV et FCP S informer sur L investissement en OPC : SICAV et FCP Autorité des marchés financiers L investissement en OPC : SICAV et FCP Sommaire Quels sont les avantages d un placement en OPC? 03 Comment choisir

Plus en détail

S informer sur. L investissement en OPCVM : SICAV et FCP

S informer sur. L investissement en OPCVM : SICAV et FCP S informer sur L investissement en OPCVM : SICAV et FCP Septembre 2011 Autorité des marchés financiers L investissement en OPCVM : SICAV et FCP Sommaire Quels sont les avantages d un placement en OPCVM?

Plus en détail

CORRECTION BANQUE DUPONT-DURAND

CORRECTION BANQUE DUPONT-DURAND CORRECTION BANQUE DUPONT-DURAND DOSSIER A : GESTION DES COMPTES 20 points A.1 Conservation des relevés de compte 2 A.2 Démarche en cas d anomalie sur relevé 3 A.3 Calcul montant des agios (annexe A) 7

Plus en détail

Statuts d Endo-Help, association suisse d aide aux femmes souffrant d endométriose

Statuts d Endo-Help, association suisse d aide aux femmes souffrant d endométriose Statuts d Endo-Help, association suisse d aide aux femmes souffrant d endométriose Article 1. Dénomination, siège et domaine d activité L association a pour dénomination «Endo-Help». Son siège est situé

Plus en détail

Fonds Commun de Placement dans l Innovation. innovation pluriel 2. Les atouts de la multigestion au service de vos placements en FCPI

Fonds Commun de Placement dans l Innovation. innovation pluriel 2. Les atouts de la multigestion au service de vos placements en FCPI Fonds Commun de Placement dans l Innovation Fcpi innovation pluriel 2 Les atouts de la multigestion au service de vos placements en FCPI Qu est-ce qu un FCPI? Créé par la Loi de finances de 1997, le Fonds

Plus en détail

Marché de l épargne-retraite en France : état des lieux, perspectives et enjeux

Marché de l épargne-retraite en France : état des lieux, perspectives et enjeux Marché de l épargne-retraite en France : état des lieux, perspectives et enjeux Décembre 2003 Etude disponible le 15 décembre 2003 Les objectifs Traiter les questions de fond -réglementation, fiscalité,

Plus en détail