LA PROBLEMATIQUE DE L ALEA CLIMATIQUE EN ALGERIE

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1 LA PROBLEMATIQUE DE L ALEA CLIMATIQUE EN ALGERIE LE RECOURS AUX EAUX NON CONVENTIONNELLES COMME ALTERNATIVE POUR Y REMEDIER PRESENTEE PAR MR. ABDERRAHMANE SAIDI CHARGE D ETUDES ET DE SYNTHESE MINISTERE DES RESSOURCES EN EAU

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4 Parler de la Politique de l Eau en Algérie, c est avant toute considération, s accommoder d une réalité de départ : celle du climat, connu pour sa grande diversité et son irrégularité spatio-temporelle. Par son appartenance géographique à la zone aride et semi-aride, l Algérie est soumise à des conditions physiques et hydroclimatiques défavorables, accentuées par des périodes de sécheresses chroniques. Les changements climatiques observés et la sécheresse qui sévit depuis plusieurs décennies en Afrique du nord, ont touché particulièrement l Algérie et ont eu un impact négatif sur les ressources en eau du pays. A cet état de fait naturel, la situation actuelle en Algérie est encore exacerbée par plusieurs contraintes : Un déséquilibre entre les besoins et les ressources disponibles : la croissance démographique et le développement économique et social du pays ont induit durant les deux décennies écoulées, un accroissement considérable des besoins en eau potable, industrielle et agricole ; Les besoins en eau exprimés par les différents usagers sont nettement supérieurs aux ressources en eau mobilisées ce qui engendre des conflits d affectation et nécessite parfois des arbitrages difficiles ; Un déséquilibre géographique entre les besoins et les ressources : la forte concentration des besoins en eau sur la bande littorale (60) oblige à une réaffectation, par des transferts de ressources en eau assez coûteux financièrement, pour équilibrer les déficits de régions intérieures du pays, notamment toute la zone des Hauts Plateaux ; La pollution des nappes et des ressources superficielles : les rejets domestiques, industriels et agricoles dépassent de loin les capacités des systèmes d épuration, ce qui réduit considérablement les volumes d eau susceptibles d être utilisés ; Risque de rupture d un développement durable : en sus de la pollution, de sérieux problèmes apparaissent dans les prélèvements effectués dans les nappes souterraines qui dépassent les limites de renouvellement des ressources naturelles et nécessitent de puiser dans les réserves non renouvelables.

5 Outre cela, la faiblesse de nos ressources est encore aggravée par : -la mauvaise répartition spatiale et temporelle de ces ressources ; -l érosion des sols et l envasement des barrages ; -les pertes dues à la vétusté des réseaux de distribution et à l insuffisance de la gestion ; -les coûts sans cesse importants des investissements nécessaires à la mobilisation et au transfert des ressources en eau. Abordant le phénomène de sècheresse, l année hydrologique a été une année de crise charnière tant pour l alimentation en eau que pour une redéfinition de la politique de l eau. C est durant cette année que le potentiel stratégique des réserves en eau a atteint son niveau le plus faible, et celui-ci était devenu d autant plus critique qu aucune autre ressource non conventionnelle n était disponible en cette période de crise. Cette situation de crise et de rupture d alimentation en eau, a mis en évidence le caractère très aléatoire des ressources en eau et a contribué à plus d un titre à une nouvelle prise de conscience sur la nécessité de recourir aux ressources en eau non conventionnelles (dessalement de l eau de mer et réutilisation des eaux de seconde main), et ainsi par prolongement à la mise en œuvre d une nouvelle politique du secteur des ressources en eau. Cette politique de développement vise deux objectifs : - la sécurisation de l alimentation en eau potable des populations ; - amélioration du taux de sécurité alimentaire par les possibilités offertes au maintien et à l extension des superficies irriguées. Afin de s assurer les ressources en eau nécessaires, le secteur de l eau envisage de transférer une partie des eaux de barrages de la zone côtière vers la zone de l Atlas Tellien, dont l excédent sera alors à son tour transféré vers les Hauts Plateaux. Le déficit de la zone côtière devrait alors être compensé par le dessalement de l eau de mer et l économie de l eau. Cette dernière option étant une des priorités. Le déficit restant de la zone des Hauts Plateaux sera compensé également par un éventuel transfert des eaux du Sahara (nappe de l Albien). De même, il est envisagé une large réutilisation des eaux usées épurées au bénéfice de l irrigation et de l industrie.

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8 L ALTERNATIVE DU DESSALEMENT DE L EAU DE MER COMME RESSOURCE AFFRANCHIE DE L ALEA CLIMATIQUE ET FACTEUR EQUILIBRANT LES DEFICITS EN EAU

9 REGION ORANIE Bilan ressources besoins région Oranie (Tlemcen, Ain Temouchent,Mascara, Mostaganem,Oran) Systèmes régionaux Systèmes locaux Horizon en eau disponibles disponibles PMH

10 REGION CHELIFF Bilan ressources besoins région Chéliff (Relizane, Chleff, Ain Defla ) Systèmes régionaux Systèmes locaux Horizon en eau disponibles disponibles PMH

11 REGION ALGEROIS Bilan ressources besoins région Algérois (Tipaza, Blida, Médéa, Bouira, Tizi Ouzou, Boumerdes et Alger ) Systèmes régionaux Systèmes locaux Horizon en eau disponibles disponibles PMH

12 REGION CONSTANTINOIS Bilan ressources besoins région Constantinois (Jijel, Skikda, Annaba et El Tarf ) Systèmes régionaux Systèmes locaux Horizon en eau disponibles disponibles PMH

13 ENSEMBLE REGIONS LITTORALES (14 WILAYAS) Bilan ressources besoins ensemble des régions Systèmes régionaux Systèmes locaux Horizon en eau disponibles disponibles PMH

14 La situation actuelle de l alimentation en eau et de l irrigation dans le Nord du pays reste difficile : répartition inégale des ressources et de la distribution, risques majeurs de déficits importants en cas de sécheresse prolongée, irrigation limitée dans le Nord du pays. Cette situation devrait s améliorer dans le futur grâce aux ressources conventionnelles qui seront mobilisées à partir des nouveaux barrages à construire, mais les contraintes liées à : - la pluviométrie et à son caractère aléatoire ; - aux déséquilibres entre la zone côtière et l intérieur ; - la récurrence du phénomène de la sécheresse dans le temps et l espace ; - aux contraintes liées à la pollution et à la qualité des ressources en eau ; - la surexploitation des eaux souterraines; ont conduit les pouvoirs publics à être prudents au regard de toutes ces incertitudes et les ont amené à redéfinir une stratégie de l eau basée sur la nécessité de recourir à une ressource en eau affranchie des aléas climatiques (dessalement de l eau de mer).ainsi donc, le recours aux eaux non conventionnelles est devenu incontournable pour juguler les effets négatifs de l aléa climatique sur les disponibilités en eau, pour réguler la distribution et assurer une certaine sécurité dans l alimentation en eau potable des grandes agglomérations de la zone côtière et un approvisionnement en eau régulier et stable pour le développement de l irrigation. Trois axes majeurs de la stratégie mise en œuvre pour faire face aux situations de déficits dus à l aléa climatique, ont servi de guide pour l élaboration du programme détaillé de dessalement du secteur. 1. Garantir à court terme un «volume de sécurité minimum» 2. Développer le dessalement à moyen terme (2020) en fonction du niveau de réalisation des autres projets 3. Généraliser le recours au dessalement pour la satisfaction des besoins à très long terme

15 1. Garantir à court terme un «volume de sécurité minimum» En se référant à l expérience des 10 dernières années, et quelle que soit l évolution de la pluviométrie et les améliorations attendues par les ouvrages en cours de réalisation, il a été retenu de faire appel au dessalement de l eau de mer. Les caractéristiques de l Algérie du Nord avec un littoral de 1200 km, le long duquel est concentré la plus grande partie des besoins en eau, conduit naturellement à mettre en œuvre le dessalement d eau de mer pour garantir le service minimum en toutes circonstances, tout en bénéficiant d apports nouveaux permanents permettant de combler les déficits 2. Développer le dessalement à moyen terme (2020) en fonction du niveau de réalisation des autres projets A moyen terme, une banalisation de la technique du dessalement à l échelle internationale conduira, selon toute probabilité, à une poursuite de la baisse du coût du dessalement et à une optimisation des technologies, qui permettront une amélioration des performances d augmentation des capacités de production 3. Généraliser le recours au dessalement pour la satisfaction des besoins à très long terme Dans un contexte où la technologie du dessalement se sera généralisée dans le monde, entraînant une baisse généralisée des coûts, il pourra être envisagé d augmenter de manière significative les capacités de dessalement. Cette évolution, certainement favorable, entraînerait à très long terme, surtout, de restituer une grande partie de l eau des barrages à leur destination première, l irrigation.

16 LE PROGRAMME DU DESSALEMENT DE L EAU DE MER Ain Temouchent m 3 /j Oran m 3 /j Oran m 3 /j Chlef m 3 /j Mostaganem m 3 /j Tipaza Ouest m 3 /j Alger Ouest 000 m 3 /j Alger Centre m 3 /j Alger Est 000 m 3 /j Bejaia m 3 /j Jijel m 3 /j Skikda 000 m 3 /j El Tarf m 3 /j El Tarf m 3 /j Tlemcen m 3 /j Tlemcen 2 & m 3 /j Programme dessalement eau de mer et capacités production en m3/j Région Nombre d unités à réaliser Oranie 7 unités Cheliff 1 unités Algérois 4 unités Constantinois 5 unités Total programme Algérie en m3/j Total programme Algérie en

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