Les Immunosuppresseurs chimiques: mode d action. Philippe Grimbert CHU Henri Mondr, Créteil.
|
|
- Francis André
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les Immunosuppresseurs chimiques: mode d action Philippe Grimbert CHU Henri Mondr, Créteil.
2
3 4 Signal 4
4 Corticosteroids Azathioprine Cyclosporin A MMF Tacrolimus Sirolimus Rad FTY 720 Leflunomide
5 Niveaux d action des immunosuppresseurs (3,4,7) Signal 1 Signal 2 Signal 3 G1 S Signal 4 Signal 1 Signal 2 Signal 3 Signal 4 Ciclosporine Anti CD 40-L Sirolimus Azathioprine Tacrolimus CTLA4-Ig Anti IL-2R MMF Stéroïdes Dérivés du leflunomide
6 Inhibition du 1 er signal: Les anticalcineurines La ciclosporine Le Tacrolimus
7
8
9
10 L inhibition de la Calcineurine Bloque à un stade précoce l activation T Inhibe la translocation nucléaire de NFAT Bloque La synthèse de l IL-2 et d autres cytokines Maintient les cellules T en phase G0
11 Anticalcineurines et cytokines IL-2 IL-3 IL-4 IL-5 IL-10 Pas modifié IFN-γ CD40-L TNF-α GM-CSF IL-13 et TGF-β
12 CyA/FK
13 La ciclosporine 1970: Isolement de tolypocladum inflatum gams (Thiele et Kis) 1972: Proprités immunosuppresives in vitro 1978: Premiers essais cliniques en greffe de rein 1983: Enrengistrement du Sandimmun en prophylaxie du rejet Aigue des freffes d organes solides et GVHD 1992: Enrengistrement du Sandimmun dans les maladies Autoimmunes 1997: Enrengistrement du Neoral
14 Mode d action de la CsA La CsA se lie à une protéine cytosolique: l immunophiline L immunophiline a une activité «petidyl-prolyl cis transisomérase qui catabolise l isomérisation cistrans des liaisons peptidiques = activité rotamase L activité rotamase est inhibée par la CsA
15
16
17 Le complexe ciclosporine-cyclophiline se fixe sur la Calcineurine et inhibe ses propriétés phosphatase
18
19 Le Prograf (Tacrolimus) 1984: Isolement de streptomyces tsubaeensis 1987: Démonstration des propriété immunosupressives (in vivo et in vitro) 1989: Premiers essais cliniques 1993: Enregistrement dans le traitement des rejets refractaires en greffe hépatique FK506
20 Le Tacrolimus Mode d action similaire que la CyA 10 à 100 fois plus puissant
21 Le complexe FK506-FKBP se fixe sur la Calcineurine et inhibe ses propriétés phosphatase
22
23 La ciclosporine et le FK inhibe également AP-1 TCR Signal 1 calcineurine/ca++ dépendant Costimulation Signal 2 PI3 Kinase, junk, p38, IKK dépendant NFAT AP-1 AP-1 Activation de de gènes de de l IL-2 l IL-2
24 Boucle de régulation NFkB/IkBa Activation P IkBa Protéolyse x IkBa Protéasome IkBa IKKa p50 p65 P kb Translocation Noyau X Transcription des gènes cibles IkBa
25 Les anticalcineurines inhibent la dégradation de IkB
26 Facteurs de transcriptions cibles de la CyA et du FK506
27 Limites de l efficacité de la CsA à dose thérapeutique La CsA n inhibe que 50% de l activité calcineurine des lymphocytes périphériques Les lymphocytes activés sont résistants à l action de la CsA NFAT pourrait être activé par une voie calcineurine indépendante (phosphatase induite par le céramide et non par la Ca++)
28 Limites de l efficacité de la CsA à dose thérapeutique La CsA n inhibe que 50% de l activité calcineurine des lymphocytes périphériques Les lymphocytes activés sont résistants à l action de la CsA NFAT pourrait être activé par une voie calcineurine indépendante (phosphatase induite par le céramide et non par la Ca++)
29 IL-2 et AICD IL2 β α γc Fas-L Fas P P Signal de mort P STAT-5 P Caspases Apoptose Fas-L
30 Les anticalicineurines Inhibent les phénomènes d AICD Diminuent la survie T reg (IL-2 indispensable)
31 Les glucocorticoides Le complexe glucocorticoide/recepteur interagit dans le noyeau avec les facteurs de transcriptions NFkB et AP1 Le complexe glucocorticoide/recepteur se fixe directement sur les éléments de réponse (RE) du gène IkB et augmente sa transcription Ils inhibent l adherance et l extravasation leucocytaire Ils augmentent l expression du TGF-β Ils induisent une apoptose des lymphocytes T CD4+
32
33 Rôle des 4 signaux Le signal 3 : signal de progression du cycle cellulaire (2,3) Rôle de l IL-2 (I) Le signal 3 est lié à la fixation paracrine ou autocrine de l IL-2 sur le récepteur de haute affinité formé de 3 chaînes α, ß et γ Y.L
34 Rôle des 4 signaux Le signal 3 : signal de progression du cycle cellulaire (1,2,3) Rôle de l IL-2 mtor mtor dépendant (+++) Synthèse de protéines de progression du cycle cellulaire G1 S Passage de la phase G1 à la phase S
35 Rôle des 4 signaux Le signal 3 : signal de progression du cycle cellulaire (2,3,6) G1 IL-15 mtor S Rôle de l IL-15 Des cytokines autres que l IL-2 peuvent induire le troisième signal de progression du cycle cellulaire, en particulier l IL-15 En conséquence, la réaction de rejet cellulaire peut survenir en l absence de biosynthèse d IL-2
36 Le signal 3 et mtor mtor permet la progression du cycle cellulaire en régulant : l initiation de la translation la synthèse de protéines de progression du cycle cellulaire la synthèse d ADN
37 Le signal 3 et mtor 1 ère étape : fixation de l IL-2 sur son récepteur de haute affinité Phosphorylation des Janus kinases Jak-1 et Jak-3
38 Le signal 3 et mtor 2 ème étape : phosphorylation du récepteur par les Jak activées
39 Le signal 3 et mtor 3 ème étape : de la phosphorylation du récepteur à l activation de mtor Phosphorylation du récepteur Création de points d ancrage pour des molécules d adaptation Activation de PI3K et de mtor
40 Le signal 3 et mtor Translation et synthèse des protéines de progression cellulaire Phosphorylation et inactivation de l inhibiteur 4E -BP1 (ou PHAS 1) du facteur d initiation 4E et de la kinase p70 S6K
41 Le signal 3 et mtor Translation et synthèse des protéines de progression cellulaire Libération du facteur 4E Phosphorylation de la protéine ribosomique S6
42 Le signal 3 et mtor Translation et synthèse des protéines de progression cellulaire cycline D1, myc, ornithine décarboxylase
43 Le signal 3 et mtor Le complexe PI3K mtor : Activation (ou PKB) activation du facteur de transcription E 2 F des gènes de synthèse d ADN et de gènes de la régulation des cyclines (cycline E)
44 Le signal 3 et mtor Le complexe PI3K mtor : activation du facteur de survie Bcl-2 Activation (ou PKB) Activation
45 Le signal 3 et mtor Conséquences de l activation du complexe PI3K mtor par l IL-2 Synthèse d ADN prolifération E 2 F- 4E Survie cellulaire Bcl-2
46 Sirolimus : mode d action Sirolimus bloque la prolifération des lymphocytes T activés induite par l IL-2 G1 S Blocage du signal 3 de progression du cycle cellulaire aboutissant à l activation de facteurs de transcription de la synthèse d acides nucléiques
47 Sirolimus : mode d action 1 ère étape : pénétration de sirolimus dans le lymphocyte T mtor G1 S
48 Sirolimus : mode d action 2 ème étape : fixation de sirolimus sur un transporteur, le FK-BP 12 mtor G1 S Y.L
49 Sirolimus : mode d action 3 ème étape : inhibition de mtor par le complexe sirolimus-fk-bp 12 (9,11,13) G1 S
50 Sirolimus : mode d action Inhibition de mtor : sirolimus bloque la prolifération et la survie lymphocytaires induites par l interleukine 2 (11,13) Sirolimus Prolifération Survie cellulaire
51 Rôle des 4 signaux Le signal 4 : signal de mitose et de prolifération clonale Nécessite la synthèse d acides nucléiques à partir de bases puriques ou pyrimidiques
52 Mycophenolate Mofetil Biosynthèse des purines De novo pathway Ribose-5P + ATP RNA PRPP PRPP synthetase RNA Salvage pathway Guanine Guanosine MP Inosine MP Adenosine MP HPGRTase IMP deshydrogenase Adenosine desaminase (Lesch-Nyhan) (ADA) (IMPDH) DNA Mycophenolic Acid DNA
53 Mycophenolate Mofetil & CellCept Mycophenolic Acid (MPA) Fermentation de Penicillium Inhibiteur réversible et non compétitif de IMPDH dans les cellules eucariotes Mycophenolate Mofetil (MMF) ester Morpholinoethyl de MPA Meilleurs biodisponibilité
54 Mécanismes d action moléculaires du MMF
55 Action sélective du MMF Deux isoformes de IMPDH: Type I et II Expression du type II est augmenté sur les T activés Le MMF possède une activité 5X sur l isoforme de type II
56 Mécanismes d action du MMF Inhibition de la synthese du DNA Inhibition de la syntese des récepteurs à l IL-2 et TNFα Supprime la glycosylation et l expression de certaines molécules d adhésions et de leurs ligands: VLA4, VCAM 1, LFA1, ICAM1, CD40 ligand (CD154), CD28 Induit une apoptose T et des monocytes Diminue l expression inos (inducible Nitric Oxyde Synthase) et. la synthèse de NO Inhibition de la prolifération des cellules musculaires lisses vasculaires
57 FTY 720 métabolite d une levure prodrogue: phosphorylation indispensable analogue structural de la sphyngosine agoniste de la voie d activation médiée par les sphyngosine-1 phosphate récepteurs lymphocytaires cette activation augmente la réponse chimiotactique et le trafic lymphocytaire par une voie possiblement indépendante des chimiokines
58
59 Ac en transplantation rénale Ac déplétant Ac anti-lymphocytes polyclonaux OKT 3 Ac anti CD 52 (Campath-1) Ac bloquant AcantiCD 25 Protéin de fusion CTLA4-Ig (Belatacept)
60 Lapin Les anticorps déplétants Ac polyclonaux Thymoglobuline (Genzyme) ATG (Fresinus) Cheval Lymphoglobuline (Genzyme) ATGAM (Upjohn, IGM) ALG (university de Minnesota)
61 Ac polyclonaux Première utilisation des ac polyclonaux en prévention du rejet aigu chez le chien Survie prolongée après injection d ac polyclonaux (Science, 153, 1264, 1966) Premières études cliniques en transplantation rénale chez l Homme Augmentation de la survie des greffons à 1 an en fonction des doses (Ann Surgery, 184, 352, 1976)
62 Mécanismes d action Ac polyclonaux (Tymoglobuline) Dirigés contre de nombreux antigènes de surface (jusqu à 23 antigènes différents) Ac anti-molécules adhésion Ac anti-hla (Transplantation, 57, 685, 1994) Présence d ac contre des antigènes autres que des lymphocytes T Spécificité variable selon le lot et des autres ac polyclonaux
63 Ac monoclonaux et polyclonaux en transplantation
64 RATG specifies (> 23 antigènes) CD 16 CD 18 CD 4 CD8 CD3 TCR MHC (DR) CD20 CD 56 CD 6 NK, Mo Leucocyte T, Mo T, NK T T B, Mo, T activé B, dendritic c NK T, B > 1/4000 > 1/4000 1/512 1/512 1/128 1/128 1/128 1/16 ¼ >1/4000
65 Effets immédiats Ac polyclonaux Lymphopénie par lyse lymphocytaire et opsonisation par les macrophages Blood, 91, 2360, 1998 Effet anti-adhésion (rôle dans l ischémie reperfusion) Transplantation, 18, 805, 1989 Induction d apoptose avec expression de Fas-Lig par les lymphocytes activés (inhibé par la cyclosporine) Cytotoxicité cellulaire anticorps-dépendant (ADCC) médiée par les cellules NK
66 Effets à moyen et à long terme Déplétion lymphocytaire durable avec inversion du rapport CD4/CD8 Transplantation, 64, 1432, 1997 Anergie lymphocytaire Transplantation, 65, 1481, 1998
67 Lymphocytes CD4 + en fonction de l âge après traitement par Thymoglobuline J5 M6 M12 M24 <55 ans >55 ans
68 Monitoring du traitement par ATG Clin and Applied Immunolog Rev, 1, , 2001 Suivi sur le nombre des lymphocytes CD 3 + Valeur cible entre <20 par mm3 Le monitoring permet une réduction des doses et un risque plus faible de maladie sérique
69 Risque de PTLD et induction
70 Reconnues Indications Ac polyclonaux Prévention du RA en transplantation d organe RA cortico-résistant Réaction GvH cortico-résistant Anémie aplasique Débattues Poussée de vascularite sévère Prévention de RA chez des patients à risque immunologique élevés Greffe à risque de DGF
71 Ac déplétant monoclonal Campath-1 OKT 3 Ac anti CD-20
72 Ac monoclonal anti CD-52 Campath 1 ou alemtuzumab Utiliser dans le traitement des lymphomes et des LLC Ac humanisé de type IgG 1 CD 52 exprimé sur des lymphocytes T, B et NK Lymphopénie durable 20 mg per-opératoire et 20 mg à J1
73 Ac anti-cd 20 Rituximab, Mabtera Utilisé en traitement des lymphomes non Hodgkiniens Indications de plus en plus larges comprenant les vascularites graves, les maladies auto-immunes, la cryoglobulinémie, la maladie de Sjogren En transplantation d organe utilisé chez des patients à haut risque de rejet humoral (hyperimmunisés, greffe ABO incompatible, cross-match positif) Peut être utilisé comme traitement curatif du rejet à médiation humorale
74 Protéine de fusion CTLA-4-Ig (belatacept) Bloque la co-stimulation médiée par CD28-B7 (CD 80) Utilisée dans les protocoles de «tolérance» Nécessite des perfusions répétées Action dans la prévention du RA actuellement en cours
75 N Engl J Med 2005, 353:776
76 Les ac anti-cd 25 (R-Il-2)
77 Ac anti-cd25 Ac non déplétants, mais «uniquement» bloquant Effet ADCC probable Demi-vie: jours Ac dirigé contre la sous unité alpha = Tac Diminution du nombre de rejet cellulaire comparé au placebo Utilisés uniquement en prévention du rejet aigu Bonne tolérance
78 Ac anti-cd25 Ac humanisé: Dacluzimab 1 mg/kg x 5 (toutes les 2 semaines) 2 mg/kg puis 1 mg/kg à 2 semaine Ac chimérique: Basiliximab 20 à JO et J4 de la greffe Coût +++
79
Innovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailplan Transplantation d organe 2 types de donneurs 05/05/2015 1 Le don d organe 2 Prise en charge immunologique 3 Le rejet
plan Transplantation d organe 1 Le don d organe 2 Prise en charge immunologique 3 Le rejet 2 types de donneurs Activité de prélèvement en France Donneurs décédés:+++++ Donneurs vivants: Apparenté Non apparenté
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Association des Collèges des Enseignants d'immunologie des Universités de Langue française Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 4
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailSUIVI THERAPEUTIQUE PHARMACOLOGIQUE DES IMMUNOSUPPRESSEURS. Eliane M. BILLAUD, Pharmacologie, H.E.G.P. - Paris eliane.billaud@egp.aphp.
SUIVI THERAPEUTIQUE PHARMACOLOGIQUE DES IMMUNOSUPPRESSEURS Eliane M. BILLAUD, Pharmacologie, H.E.G.P. - Paris eliane.billaud@egp.aphp.fr IMMUNOSUPPRESSEURS (INTRODUCTION) IMMUNOSUPRESSION? DIMINUTION DES
Plus en détailItem 116 : Maladies autoimmunes
Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailDOSAGE SANGUIN D IMMUNOSUPPRESSEURS : MISE AU POINT D UNE METHODE D ANALYSE PAR CHROMATOGRAPHIE LIQUIDE COUPLEE A LA SPECTROMETRIE DE MASSE
Université de Lausanne et Université de Genève Ecole Romande de Pharmacie Département d anesthésiologie, de pharmacologie et de soins intensifs de chirurgie Service de Pharmacie Hôpitaux Universitaires
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailTYNDALL. 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014. Bulletin d Informations. et d échanges N 24 MARS 2009
TYNDALL Bulletin d Informations 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014 Site internet : www.inflamoeil.org SOMMAIRE 1. L éditorial de la Présidente 2. Des immunosuppresseurs
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailMécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte.
Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Marcelo de Carvalho Bittencourt, Christophe Baron, Gilles Blancho, Myriam Labalette, Hélène Moins Teisserenc
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailGreffe de CSH: Aspects biologiques et cliniques. Enseignement complémentaire_l3 Janvier 2014 Roch Houot & Karin TARTE
Greffe de CSH: Aspects biologiques et cliniques Enseignement complémentaire_l3 Janvier 2014 Roch Houot & Karin TARTE Concept de CSH Pluripotentialité Autorenouvellement Capacité de homing Capacité à reconstituer
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailCoombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006
Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Etiologie d'un Coombs Direct positif 1. Autoanticorps immunisation contre GR
Plus en détailEvolution des paramètres de la transplantation rénale depuis 10 ans - Illustration à partir du rapport d activité de DIVAT
Evolution des paramètres de la transplantation rénale depuis 10 ans - Illustration à partir du rapport d activité de DIVAT Marc Ladrière CHU Nancy Hôpital Brabois Adulte 19 mars 2015 Le rapport d activité
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailImpact de la maladie du greffon contre l hôte sur la reconstitution immunitaire suite à une greffe de moelle osseuse allogénique
Université de Montréal Impact de la maladie du greffon contre l hôte sur la reconstitution immunitaire suite à une greffe de moelle osseuse allogénique par Simon-David Gauthier Département de Microbiologie
Plus en détailL allogreffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
L allogreffe de Cellules Souches Hématopoïétiques L historique 1960 - Pr Jean DAUSSET Découverte des groupes HLA 1970 - Pr Georges MATHE Première greffe de moelle osseuse allogénique 1974 - Pr Donald THOMAS
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailCytokines ; Chimiokines
Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailPRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II
Le 23/09/13 SOGHOMONIAN Astrid, L2 Tissu sanguin et système immunitaire Pr Baccini 22 pages PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailLe psoriasis est une dermatose
[ Synthèse Dermatologie Prise en charge thérapeutique du psoriasis F. Aubin Service de Dermatologie, CHU Saint-Jacques, Besançon Le psoriasis est une dermatose chronique pouvant revêtir diverses formes
Plus en détail14. TRANSPLANTATION DE CELLULES SOUCHES maj 2010 HEMATOPOIETIQUE
14. TRANSPLANTATION DE CELLULES SOUCHES maj 2010 HEMATOPOIETIQUE 14.1. INTRODUCTION. 3 14.2. INDICATIONS.. 3 14.3. SOURCES DE CSH 4 14.3.1. La moelle osseuse. 4 14.3.2. Le sang périphérique 4 14.3.3. Le
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailLes biothérapies II L3 : UE Immuno-pathologie et Immuno-intervention
Les biothérapies II L3 : UE Immuno-pathologie et Immuno-intervention Dr Cédric Ménard, MCU-PH Service ITecH INSERM U917 Rennes Dr Florian Lemaitre, AHU Service de Pharmacologie Centre d'investigation Clinique
Plus en détailLA GROSSESSE APRÈS TRANSPLANTATION RÉNALE. Session 3. Recommandations pour planifier une grossesse. Professeur Maryvonne Hourmant.
LA GROSSESSE APRÈS TRANSPLANTATION RÉNALE Professeur Maryvonne Hourmant. Service de Néphrologie-immunologie clinique. Hôtel-Dieu. - Nantes Un des objectifs d une femme insuffisante rénale jeune demandant
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailLes nouveaux traitements du psoriasis
Les nouveaux traitements du psoriasis Ci-après, vous trouverez 3 articles, parus récemment, parmi d'autres tout aussi intéressants, dans notre bulletin trimestriel Pso Magazine: - un extrait de l'exposé
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailNouveautés et perspectives thérapeutiques dans les lymphomes cutanés
Nouveautés et perspectives thérapeutiques dans les lymphomes cutanés 5 ème Journée Corrézienne de Dermatologie Samedi 23 juin 2012 Michel D Incan, Clermont-Ferrand CARYOLYSINE CAELYX CARMUSTINE Physiopathologie
Plus en détailProduction d effecteurs immuns. Veronique DECOT, MCU-PH UTCT (Unité de Thérapie Cellulaire et Tissus) CHU de Nancy
Production d effecteurs immuns Veronique DECOT, MCU-PH UTCT (Unité de Thérapie Cellulaire et Tissus) CHU de Nancy Conditionnement Receveur Allogreffe de CSH Non prise et rejet de la greffe Donneur Immunosuppression
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailLES GREFFES DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOIETIQUES J.P. JOUET. Février 2007
LES GREFFES DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOIETIQUES J.P. JOUET Février 2007 Introduction Il est aujourd hui souhaitable de ne plus parler de «greffe de moelle» mais de «greffe de cellules souches hématopoïétiques
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailLES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES
LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailUMVF - Université Médicale Virtuelle Francophone
Item 197 (Item 127) Transplantation d organes Aspects épidémiologiques et immunologiques ; principes de traitement de surveillance ; complications et pronostics ; aspects éthiques et légaux Collège Français
Plus en détailEnseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours
Université Mohammed V-Agdal Département de Biologie Faculté des Sciences Filière SVI Semestre 4 Année Universitaire : 2004-2005 Module optionnel: Biologie Humaine (M 16.1) Elément : Parasitologie - Virologie
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailSéance dédiée aux rhumatismes inflammatoires
Séance dédiée aux rhumatismes inflammatoires COMMUNICATION Les nouveautés physiopathologiques à la base de la révolution thérapeutique des biothérapies dans les rhumatismes inflammatoires Mots-clés : Biothérapie.
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailPROGRAF MC Toutes indications
PROGRAF MC Toutes indications AVRIL 2015 Marque de commerce : Prograf Dénomination commune : Tacrolimus Fabricant : Astellas Forme : Capsule Teneurs : 0,5 mg, 1 mg et 5 mg Exemption de l application de
Plus en détailLes grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous?
Les grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous? Dynamique des réseaux de signalisation et réponse aux thérapies ciblées Pascal GAUDUCHON Unité "Biologie et Thérapies Innovantes
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailTransplantation de cellules souches du sang
Transplantation de cellules souches du sang Rapport d Immersion en communauté NICOLAS BRANDT-DIT-GRIEURIN DAMIEN POLET PHILIPPE REYMOND EHTESHAM SHAMSHER Sous la supervision de : Mme L. Soguel Prof. C.
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détail1) Immunothérapie non spécifique. 3) Immunothérapie spécifique «adoptive» 4) Vaccination thérapeutique
Immunothérapie du cancer 1) Immunothérapie non spécifique 2) Immunothérapie par anticorps monoclonaux 3) Immunothérapie spécifique «adoptive» 4) Vaccination thérapeutique Marie-Alix Poul Institut de recherche
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détail82 collaborateurs 52 millions
Édito Chiffre d affaires à fin Septembre 2007 Assemblée générale du 26 juin 2007 Réponses aux questions des actionnaires * Actualité R&D et produits I 2 : la science d Innate * Innate Pharma et ses actionnaires
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailCOUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux
COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection
Plus en détailECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES. MEMOIRE Présenté par Caroline FLAMENT
MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE ECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES Science de la vie et de la terre MEMOIRE Présenté par Caroline FLAMENT Pour l obtention du diplôme de l Ecole Pratique des Hautes Etudes
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailLES INHIBITEURS DE KINASES
LES INHIBITEURS DE KINASES Alain SARAUX Objectifs pédagogiques Comprendre les mécanismes essentiels de l'activation cellulaire Savoir ce qu est une kinase et connaître la notion de kinome Savoir les indications
Plus en détailNuméro 18 l 2011. l Traitements pharmacologiques et SEP
Numéro 18 l 2011 l Traitements pharmacologiques et SEP Comité de Rédaction Fédération Internationale contre la Sclérose en Plaques (MSIF) La mission de la MSIF est de diriger le mouvement international
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailTraitement des hépatites h chroniques virales B et C
Traitement des hépatites h chroniques virales B et C Dr Joanna POFELSKI Service d hépatod pato-gastroentérologierologie CH d Annecyd Particularités? Virus hépatotropes / cytopathogènes : lésions hépatiques
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailEnseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours
Université Mohammed V-Agdal Département de Biologie Faculté des Sciences Filière SVI Semestre 4 Année Universitaire : 2009-2010 Module optionnel: Biologie Humaine (M 16.1) Elément : Parasitologie - Virologie
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détailContact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr
AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle
Plus en détailGreffes d organes, don de vie DOSSIER. + de 42 % d augmentation du nombre de personnes greffées en 21 ans.
20 DOSSIER Greffes d organes, don de vie Cœur, rein, poumon, foie Lorsque l un de ces organes a perdu sa fonction, la greffe devient souvent la seule issue thérapeutique. Ces cinquante dernières années,
Plus en détailMODULE DE VIROLOGIE 2010 IMMUNITE INNEE ANTIVIRALE CHEZ LES VERTEBRES
MODULE DE VIROLOGIE 2010 IMMUNITE INNEE ANTIVIRALE CHEZ LES VERTEBRES Marc DALOD CIML Téléphone 04-91-26-94-51 email: dalod@ciml.univ-mrs.fr INTRODUCTION BRAINSTORMING PAR PETITS GROUPES (10 MIN) 1) Qu
Plus en détailPrise de position sur les biosimilaires. Résumé
Prise de position sur les biosimilaires Résumé Les médicaments biotechnologiques, appelés également biomédicaments, occupent une place importante dans le traitement de maladies comme le cancer, la polyarthrite
Plus en détailMaladie de Behçet Les Nouvelles Thérapeutiques
Maladie de Behçet Les Nouvelles Thérapeutiques 60ème Congrès de la SNFMI & 4ème Congrès Franco-Maghrébin de Médecine Toulouse, 9 12 Décembre 2009 Professeur Fifi OTMANI Service de Médecine CHU Mustapha
Plus en détailLes nouveaux traitements de fond de la SEP
Sclérose en plaques : les nouveaux traitements Guillaume MATHEY, Hôpital de Metz-Mercy Les nouveaux traitements de fond de la SEP Le but des traitements de fond Forme par poussées 2 ième ligne TYSABRI
Plus en détailApproches immunologiques potentielles du traitement du paludisme humain
Approches immunologiques potentielles du traitement du paludisme humain Claudio Daniel RIBEIRO A l'heure actuelle les différentes possibilités thérapeutiques proposées pour le traitement du paludisme rencontrent
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détail