Société Mycologique et Botanique Seyssinet-Pariset Initiation à la botanique Avril 2014
|
|
- Geoffrey Beausoleil
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Initiation à la Botanique 0
2 Sommaire 2 à 20 Qu est-ce qu un arbre? 21 à 33 Quelques définitions du lexique illustré. 34 à 36 Arbres, arbustes et arbrisseaux. Clé d identification par genre. 37 à 38 Arbres, clé d identification, genre et partiellement espèce. 39 à 40 Synthèse des arbres photographiés. 1
3 Qu est-ce qu un arbre? Un arbre est une plante ligneuse (=formé de bois!), par opposition aux plantes herbacées. Sa hauteur, à l âge adulte, dépasse 7 mètres. Il est formé de deux parties : une partie aérienne visible, formée du tronc et de l ensemble des branches, rameaux et feuilles appelé houppier. Acer platanoides L. 2
4 Le fût est la partie du tronc qui commence au niveau du sol et s achève à la première branche). une partie souterraine, faite de racines formant le «chevelu». Certaines essences ont un enracinement superficiel (Epicea), tandis que d autres ont un enracinement profond (Hêtre). 3
5 Qu est-ce qu un arbre? Si on sectionne un fût ou une branche, on distingue facilement le bois de l écorce. L écorce est une véritable «peau» qui protège l arbre ; elle est formée d une partie vivante interne et d une partie morte externe, très imperméable. Quercus robur L. 4
6 Qu est-ce qu un arbre? Par endroits, existent des sortes de pores, les «lenticelles» qui permettent les échanges avec l extérieur. lenticelles (Betula pendula Roth.) 5
7 Qu est-ce qu un arbre? L arbre est un être vivant : il respire : (feuilles, lenticelles des troncs et branches, mais aussi par ses racines). Il peut mourir si le sol est trop tassé ou saturé d eau. Il absorbe de l oxygène (O2) et rejette du dioxyde de carbone (CO2). il se nourrit : eau et sels minéraux absorbés par les racines et CO2 par les feuilles. Sous l action de la lumière et grâce à la chlorophylle, il fabrique sa propre substance : c est l assimilation chlorophyllienne (absorption de CO2 ; il conserve le C et rejette O2 ). Comme il produit plus de O2 qu il n en consomme, il contribue à l amélioration de l atmosphère. il grandit : au rythme des saisons : arrêt de la croissance en hiver et forte croissance au printemps (bourgeons, feuille, fleurs) et en été (fruits) ; diminution de la croissance en automne (les fruits tombent). En coupe, on observe des cernes annuels concentriques : cernes larges = croissance forte due à des conditions favorables. il se reproduit : par des graines (il est «semencier» jusqu à ce que l âge le rende stérile). Certains arbres possèdent en même temps, sur le même pied, des fleurs mâles et de fleurs femelles (ils sont dits «monoïques) alors que d autres ont, soit des fleurs mâles, soit des fleurs femelles (ils sont dits «dioïques). Le vent, les insectes, les oiseaux, les mammifères participent à la fécondation et à la dissémination des graines. 6
8 Qu est-ce qu un arbre? Il grandit Cernes de croissance (Sophora japonica L. Jeune Acer platanoides L. 7
9 Qu est-ce qu un arbre? Il se reproduit graines (Acer pseudoplatanus L. Fleurs (Acer platanoides L.) 8
10 Qu est-ce qu un arbre? il lutte pour la vie : - concurrence avec les autres arbres. - subit les caprices de la nature (vent, froid, sécheresse ). 9
11 Qu est-ce qu un arbre? - maladies : insectes, champignons parasites («pourritures» à ne pas confondre avec les mycorhizes). Phaeolus schweinitzii (Fr.)Pat. 10
12 Qu est-ce qu un arbre? - dégâts du gibier (écorçage). Ecorçage par un Cerf 11
13 Qu est-ce qu un arbre? il vieillit et meurt : ralentissement de la circulation de la sève ; les branches se dessèchent et tombent (Plaies ouvertes aux intempéries et aux champignons parasites ). Epicéas morts Décomposition Décomposition (Picea abies ) 12
14 Qu est-ce qu un arbre? A côté des arbres, on distingue d autres végétaux ligneux : Les arbustes, qui ne possèdent un vrai tronc qu à un âge avancé et dont la hauteur est inférieure à 7m. Ils ne sont pas toujours faciles à distinguer des jeunes arbres. Sorbus aucuparia L 13
15 Qu est-ce qu un arbre? Les arbrisseaux, ce sont des plantes ligneuses dépassant 1m de haut, qui n ont pas de tronc et dont les branches commencent au niveau du sol (buissons). Corylus avellana L 14
16 Qu est-ce qu un arbre? IDENTIFICATIONS : On reconnaît généralement un arbre - par son aspect. Fraxinus excelsior L. Picea abies (L.)Karst. 15
17 Qu est-ce qu un arbre? Sorbus aucuparia L - par ses feuilles, caractéristiques de son espèce : forme, couleur (Attention cependant, les feuilles des rejets ont souvent des formes et des dimensions différentes des feuilles normales). Acer opalus Mill Acer opalus Mil 16
18 Fraxinus excelsior L Qu est-ce qu un arbre? - par ses bourgeons (également caractéristiques Fagus sylvatica L Sorbus aucuparia L 17
19 Qu est-ce qu un arbre? - Les écorces varient fortement d une essence à l autre (importance pour l identification en hiver Betula pendula Roth Pinus sylvestris L Platanus acerifolia Willd 18
20 par les fruits. - par des détails particuliers. Qu est-ce qu un arbre? Fruit (Koelreuteria paniculata Laxm Gleditsia triacanthos L 19
21 Qu est-ce qu un arbre? DES FAMILLES DANS LESQUELLES EXISTENT DES ARBRES, ARBUSTES ET ARBRISSEAUX : Gymnospermes : ARAUCARIACEAE (Araucaria), CUPRESSACEAE (Genèvrier, Cyprès, Thuya), GINKGOACEAE (Ginkgo), PINACEAE (Epicea, Sapin, Pin), TAXACEAE (If), TAXODIACEAE (Séquoia), Feuillus : ACERACEAE (Erables ), AQUIFOLIACEAE (Houx), BETULACEAE (Bouleau, ), BUXACEAE (Buis), CAPRIFOLIACEAE (Viorne, Sureau, ), CORYLACEAE Charme, Noisetier, ), FABACEAE (Robinier, Févier, Acacia, ), FAGACEAE (Hêtre, Chêne, Châtaignier, ), HIPPOCASTANACEAE (Marronnier), JUGLANDACEAE (Noyer), LILIACEAE (Ruscus), OLEACEAE Olivier), PLATANACEAE (Platane), RHAMNACEAE (Nerprun, Bourdaine, ), ROSACEAE (Eglantier, Prunus, ), SALICACEAE Saule, Peuplier, ), SAPINDACEAE (Savonnier), THYMELEACEAE (Daphné), TILIACEAE (Tilleul), ULMACEAE (Ormes), 20
22 Sommaire 2 à 20 Qu est-ce qu un arbre? 21 à 33 Quelques définitions du lexique illustré. 34 à 36 Arbres, arbustes et arbrisseaux. Clé d identification par genre. 37 à 38 Arbres, clé d identification, genre et partiellement espèce. 39 à 40 Synthèse des arbres photographiés. 21
23 Définitions illustrées du lexique Epines (Prunus spinosa L.) Prunelier Aiguillons Eglantier (Rosa canina L.) Akènes et bractées foliacées (Carpinus betulus L.) Charme 22
24 Définitions illustrées du lexique Arille (Taxus baccata L.) IF Bractées (Corylus avellana L.) Noisetier 23
25 Définitions illustrées du lexique Feuille simple (Acer platanoides L.) Erable Feuille doublement dentée (Carpinus betulus L.) Charme 24
26 Définitions illustrées du lexique Feuille irrégulièrement dentée (Ulmus glabra Huds.) Orme de montagne Feuille composée pennée (Sorbus aucuparia L.)Sorbier des oiseleurs 25
27 Définitions illustrées du lexique Feuille bipennée (Acacia dealbata Link.) Mimosa des fleuristes Betula pendula Roth. Bouleau 26
28 Définitions illustrées du lexique Chatons mâles (Corylus avellana L.) Aulne Noisetier Fleurs femelles (Corylus avellana L.) Noisetier Corymbe (Acer platanoides L. Erable plane Glomérule (Acacia dealbata Willd.) Mimosa 27
29 Définitions illustrées du lexique Capsule (Euonymus europaeus L.) Fusain Baie (Ribes alpinum L.) Groseiller des Alpes Baie (Vaccinium vitis-idaea L.)Airelle rouge Drupe (Prunus sp.) Prunier 28
30 Définitions illustrées du lexique Cynorrhodon (Rosa canina L.Eglantier) Cenelle (Crataegus monogyna Jacq. Aubépine Gousse (Gleditsia triacanthos L.) Févier Samares (disamares) (Acer opalus Mill.) Erable 29
31 Définitions illustrées du lexique Cônes (Cedrus atlantica (Endl.)Carr.) Cèdre Cône (Picea abies (L.)Karst.) Epicéa Cône ( galbule) (Juniperus communis L.) Genévrier Cônes mâles (Pinus mugo Turra var. mughus (Scop.)Zenari) Pin à crochet 30
32 Définitions illustrées du lexique Cônes femelles (Pinus mugo Turra var. mughus (Scop.)Zenari) Pin à crochet Cône (Sequoiadendron giganteum (Lind.)Buch.) Séquoia 31
33 Définitions illustrées du lexique Cônes (strobiles) (Alnus incana (L.)Moench.) Aulne Lenticelles (Populus alba L.) 32
34 Définitions illustrées du lexique Pour obtenir l intégralité du lexique, cliquer sur le lien : ILLUSTRATIONS 2 - Lexique\4 - LEXIQUE -.docx 33
35 Sommaire 2 à 20 Qu est-ce qu un arbre? 21 à 33 Quelques définitions du lexique illustré. 34 à 36 Arbres, arbustes et arbrisseaux. Clé d identification par genre. 37 à 38 Arbres, clé d identification, genre et partiellement espèce. 39 à 40 Synthèse des arbres photographiés. 34
36 Arbres, arbustes et arbrisseaux Clé d identification. Essai de clés d identification des genres d après C.J. Humphries, J.R. Press et D.A. Sutton (1982) ; modifié. Système de clés dichotomiques : Ces clés fonctionnent par numéros. Chaque alternative, dont il faut choisir un terme, possède un numéro (1, 2, 3 ). La réponse à un terme de l alternative conduit à une autre alternative située plus loin dans la clé (2, 12 ). Les différents choix successifs doivent finalement amener au genre que l on observe. Si on arrive à un genre. qui, manifestement, ne correspond pas au spécimen observé, plusieurs causes sont possibles : - Le spécimen est atypique. - Le spécimen appartient à un cultivar. - Le spécimen est très rare et, effectivement, ne se trouve pas dans la clé utilisée. - Le plus souvent, une erreur a été commise. Il faut alors retourner à l alternative n 1. Arrivé au point où le choix est différent, il faut alors choisir le terme de l alternative que l on avait rejeté au 1er essai. 35
37 Arbres, arbustes et arbrisseaux Clé d identification. Essai de clés d identification des genres d après C.J. Humphries, J.R. Press et D.A. Sutton (1982) ; modifié. Pour visualiser le fichier cliquer sur le lien : genres..doc Clés d'identifcation des. 36
38 Sommaire 2 à 20 Qu est-ce qu un arbre? 21 à 33 Quelques définitions du lexique illustrée. 34 à 36 Arbres, arbustes et arbrisseaux. Clé d identification par genre. 37 à 38 Arbres, clé d identification, genre et partiellement espèce. 39 à 40 Synthèse des arbres photographiés. 37
39 Arbres Clé d identification. d après M. Becker, J.F. Picard et J. Timbal (1983) ; modifié. Autre clé complémentaire à la précédente Système de clés dichotomiques : Ces clés fonctionnent par numéros. Chaque alternative, dont il faut choisir un terme, possède un numéro (1, 2, 3 ). La réponse à un terme de l alternative conduit à une autre alternative située plus loin dans la clé (2, 12 ). Les différents choix successifs doivent finalement amener au genre que l on observe. Pour visualiser le fichier sur la clé d identification, cliquer sur le lien : 3 - ARBRES - Clés d'identification.docx 38
40 Sommaire 2 à 20 Qu est-ce qu un arbre? 21 à 33 Quelques définitions du lexique illustrée. 34 à 36 Arbres, arbustes et arbrisseaux. Clé d identification par genre. 37 à 38 Arbres, clé d identification, genre et partiellement espèce. 39 à 40 Synthèse des arbres photographiés. 39
41 Arbres Clé d identification. Pour visualiser les fichiers indiquant les arbres photographiés, cliquer sur le lien : Gymnospermes : ILLUSTRATIONS -3- GYMNOSPERMES\GYMNOSPERMES.docx Angiospermes : ILLUSTRATIONS -3- ANGIOSPERMES\ANGIOSPERMES.docx 40
42 Fin du module 4 Merci de votre attention 41
ne définition de l arbre.
LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement
Plus en détailFASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE
FASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE INTRODUCTION La nature est incroyablement diversifiée. Elle regroupe la Terre avec ses zones aquatiques telles que les
Plus en détailNourrir les oiseaux en hiver
les oiseaux en hiv Nourrir les oiseaux en hiver Sommaire : Pourquoi les nourrir...page 1 Comment les nourrir...page1 Quels ravitaillement pour quel oiseaux?...page2 Recette «pain de graisse»...page 3 Les
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailEdit. resp : Echevinat des Travaux
Les arbres de nos jardins Edit. resp : Echevinat des Travaux PRÉAMBULE : A la sainte Catherine, tout arbre prend racines!, dicton très bien connu des amoureux des jardins comme des autres. C est d ailleurs
Plus en détail>Si j ai réussi, je suis capable de
Fiche 10 Rechercher des informations sur Internet La plupart des informations disponibles sur Internet sont gratuites à la consultation. Elles sont présentées par des personnes ou des organisations qui
Plus en détail27 PRUNELLIER Prunus spinosa
23 LIQUIDAMBAR Liquidambar styraciflua 24 CEDRE DU LIBAN Cedrus libani >Tronc dressé, à port pyramidal (jeune) >Ecorce d abord lisse et grisâtre, puis rapidement brune épaisse, crevassée comme celle d
Plus en détailL ARBRE DE NOS BOURGS. carnet de santé. environnement. architecture environnement. architecture
L ARBRE DE NOS BOURGS carnet de santé architecture architecture environnement environnement L ARBRE DE NOS BOURGS CARNET DE SANTÉ SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 L ARBRE JEUNE : LES QUINZE PREMIÈRES ANNÉES 7 LA
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailVégétaux Exemples d individus
Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»
Plus en détailCorrection TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu
Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu (TP multiposte : groupes de 4 élèves qui se répartissent sur les 4 postes une fois chaque poste travaillé, un bilan sera établi
Plus en détailTrait et ligne. La ligne avance, Elle indique une direction, Elle déroule une histoire, Le haut ou le bas, la gauche et la droite Une évolution.
Trait et ligne I La ligne me fascine. Le trait qui relie ou qui sépare Qui déchire le néant et marque une trace Qui me fait entrer dans l univers des signes. La ligne avance, Elle indique une direction,
Plus en détailCahier d enquête. Suspect N 5. Reproduction interdite
Cahier d enquête Suspect N 5 Reproduction interdite 1ère étape : dé découvrez votre suspect Le Gypaè Gypaète barbu À l aide du plan, trouvez le Gypaète barbu dans les expositions. Le Gypaète barbu est
Plus en détailChapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux
Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Comment font les végétaux pour s installer dans un nouveau milieu alors qu ils ne peuvent pas se déplacer? I/ L installation des végétaux dans un nouveau milieu
Plus en détailBilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes
ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193
Plus en détailLES INSECTES XYLOPHAGES
Il existe deux types d insectes xylophages : LES INSECTES XYLOPHAGES Les insectes du bois frais. Les insectes du bois frais envahissent surtout les arbres malades ou les bois abattus lorsque l'humidité
Plus en détailPrincipe de précaution! 8 Catégorie de produits TYPE A partir du 1/1/2010 g/l prêt à être utilisé Revêtements mats pour murs et plafonds Revêtements brillants pour murs et plafonds Murs extérieurs
Plus en détailComment prouver que les végétaux ont besoin d eau, de minéraux, d air et de lumière pour se développer normalement?
Comment prouver que les végétaux ont besoin d eau, de minéraux, d air et de lumière pour se développer normalement? La question que l on se pose : Les végétaux ont-ils besoin d eau, de minéraux, d air
Plus en détailPARC DU MONT-ROYAL REAMÉNAGEMENT DU SECTEUR DE L ENTRÉE PEEL
Parc du Mont-Royal Réaménagement du secteur de l entrée Peel Rapport d inventaire forestier Automne 26 Service du développement culturel, de la qualité du milieu de vie et de la diversité ethnoculturelle,
Plus en détailHERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE. enseignants des établissements à programme français de Maurice
HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE par et pour les élèves et les par et pour les élèves et les enseignants des établissements à programme français de Maurice Un herbier numérique collaboratif? Une
Plus en détailTaillis à courte ou très courte rotation (TTCR) : gestion des pratiques d implantation
PRATIQUES N 12 Taillis à courte ou très courte rotation (TTCR) : gestion des pratiques d implantation Définition générale de la pratique TTRC de saule Les taillis à courte ou très courte rotation (TCR
Plus en détailGuide technique pour la conception de HAIES CHAMPÊTRES UTILES en AGRICULTURE dans le PUY DE DÔME
Guide technique pour la conception de HAIES CHAMPÊTRES UTILES en AGRICULTURE dans le PUY DE DÔME Association «Les haies du Puy de Dôme» 1 Mairie de Chappes 63720 Chappes, Le mot du Président Membres de
Plus en détailRèglement type relatif à l abattage d arbres
Règlement type relatif à l abattage d arbres INTRODUCTION «Une municipalité ou une MRC peut régir ou restreindre la plantation ou l'abattage d'arbres afin d'assurer la protection du couvert forestier et
Plus en détailSurveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis
Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis Asian longhorned beetle (ALB) Longicorne asiatique Photo LNPV DRAAF - SRAL ALSACE Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora
Plus en détailGuide pour la prise en compte de la. biodiversité. dans la gestion forestière. es ml rr
lb Guide pour la prise en compte de la biodiversité dans la gestion forestière es rr Préface... 2 Introduction... 3 1. Notion de biodiversité... 4 1.1 Définition.... 4 1.2 Pourquoi préserver la biodiversité?.........................
Plus en détailMarteloscope Gounamitz 2
Marteloscope Gounamitz 2 Description du dispositif Michel Soucy et André Cyr Faculté de foresterie, Université de Moncton, Campus d Edmundston Jean-Martin Lussier Centre canadien sur la fibre de bois,
Plus en détailANNEXE 13 10-1-1 ANNEXE 13 : Documents d adhésion pour les entreprises/validé par AGE du 03.01.2012 183
ANNEXE 13 1011 183 ANNEXE 13 DOCUMENTS D ADHÉSION POUR LES ENTREPRISES FORMULAIRE DE DEMANDE D ADHÉSION AU SYSTÈME PEFC (Entreprise hors exploitation forestière) Lettre à établir sur papier à entête du
Plus en détailLe bouleau. Lisez attentivement cette fiche si vous êtes allergique au pollen de bouleau
Le bouleau Lisez attentivement cette fiche si vous êtes allergique au pollen de bouleau EN BREF Le bouleau fait partie de la famille des bétulacées. Très répandu en France, il domine dans le nord du pays.
Plus en détailL entretien des haies champêtres
PROM' HAIES HAIES Poitou - Charentes L entretien des haies champêtres Guide à l intention des gestionnaires : agriculteurs, associations foncières et collectivités Edito La haie champêtre est indispensable
Plus en détailHaute-Normandie. Livret jeune public
Haute-Normandie Livret jeune public 1 RENDEZ-VOUS AUX JARDINS Du vendredi 0 mai au dimanche 1er juin a lieu la 1e édition «Renz vous aux jardins»! Cette gran fête t invite à visiter les plus beaux jardins
Plus en détailLe rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs
Le rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs A LES INSECTES UTILES : LES POLLINISATEURS Ce sont essentiellement les insectes de l ordre des Hyménoptères
Plus en détailConditions climatiques
Bulletin N 6 du 12 juin 2015 INFORMATIONS Evolution moyenne des ravageurs et de leurs auxiliaires qui n ont jamais été aussi présents et limitent efficacement les populations comme en ce qui concerne les
Plus en détailLe Puy Courny VILLE D AURILLAC
SENTIER DE DECOUVERTE Le Puy Courny VILLE D AURILLAC Un espace naturel aux portes de la ville! Le Puy Courny, entre rural et urbain, équilibre entre l homme et la nature. Dominant la ville et le bassin
Plus en détailun certain recouvrement Michaële Andrea Schatt Parc du palais de Compiègne
un certain recouvrement Michaële Andrea Schatt Parc du palais de Compiègne La floraison tardive et luxuriante de dahlias à l automne dans le Petit Parc du Palais de Compiègne laisse la place de novembre
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailPetit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis
Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.
Plus en détailTout au long de l année
Objectifs Familiariser les élèves avec le relevé d informations sur un journal de bord. Apprendre aux élèves à utiliser des instruments d observation scientifiques. Réaliser des dessins d observations
Plus en détailGamme de produits écologiques certifiés, distribuée par Multifonction. produits certifiés
Gamme de produits écologiques certifiés, distribuée par Multifonction produits certifiés Une nouvelle marque de produits éco-conçus et responsables Fabrication 100% française Une vraie fabrication française
Plus en détailAvec quel bois. se chauffer?
Avec quel bois se chauffer??? Pourquoi choisir l énergie bois? Le bois énergie est bon marché Contrairement aux prix des énergies fossiles, celui du bois est stable. Le faible coût de ce combustible, associé
Plus en détailBulletin n 6 LA MALADIE DU ROND
MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE ADMINISTRATION DES EAUX ET FORETS COMMISSION D'ÉTUDES DES ENNEMIS DES ARBRES, DES BOIS ABATTUS ET DES BOIS MIS EN ŒUVRE Bulletin n 6 LA MALADIE DU ROND On appelle «maladie du
Plus en détailPuceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte
Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte Daniel Cormier, Ph. D. Institut de recherche et de développement d en agroenvironnement inc.. (IRDA), Québec, Canada Pourquoi
Plus en détailJournées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013
Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance
Plus en détailSéquence 7. Les relations entre organisation et mode de vie, résultat de l évolution : exemple de la vie fixée chez les plantes à graines.
Séquence 7 Les relations entre organisation et mode de vie, résultat de l évolution : exemple de la vie fixée chez les plantes à graines. Sommaire Chapitre 1. Des adaptations à la vie fixée dans deux milieux
Plus en détailFAVORISER LA BIODIVERSITÉ DANS LE CIMETIÈRE. Guillaume Larregle (Maison de l Environnement de Seine-et-Marne)
FAVORISER LA BIODIVERSITÉ DANS LE CIMETIÈRE Guillaume Larregle (Maison de l Environnement de Seine-et-Marne) LA TRAME VERTE ET BLEUE RECONSTITUER UN RÉSEAU DE CONTINUITÉS ÉCOLOGIQUES Permettre à la faune
Plus en détailLe printemps et l été du compost
Le printemps et l été du compost Le printemps du compost 1 A la sortie de l hiver, le compost est souvent trop tassé et/ou trop humide. Il faut, avant les nouveaux apports, penser à bien l aérer en faisant
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailRapport d activité 2013
8, rue du brochet 67300 Schiltigheim Haies-vives-alsace.org 06.88.57.68.76 Rapport d activité 2013 Cette première année d Haies Vives d alsace a été très dense. Tout était à construire. L activité structurante
Plus en détailGuide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs
Lesauxiliaires auxiliaires Les enarboriculture arboriculture en Guide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs Insectes pollinisateurs : respecter les
Plus en détailFiche technique. Comment lutter contre les nématodes parasites des cultures maraichères par la solarisation?
Institut National de la Recherche Agronomique du Niger Réseau National des Chambres d'agriculture du Niger Fiche technique RECA Réseau National des Chambres N d Agriculture du Niger iger Comment lutter
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailNote nationale BSV. Hannetons et vers blancs
Note nationale BSV Note rédigée par la DGAl-SDQPV. Version 2013 Hannetons et vers blancs Situation des hannetons sur le territoire Depuis le début des années 2000, des dégâts de plus en plus fréquents
Plus en détailécologique Guide des arbres Ornement fruitier forestier Exigences culturales, maladies, ravageurs, protection biologique ÉLISABETH & JÉRÔME JULLIEN
ÉLISABETH & JÉRÔME JULLIEN Guide écologique des arbres Ornement fruitier forestier Exigences culturales, maladies, ravageurs, protection biologique Préface de Denis Cheissoux Sang de la Terre et Groupe
Plus en détailL évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se
PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailMesure des caractéristiques des combustibles bois
Mesure des caractéristiques des combustibles bois ADEME Critt Bois Fibois CTBA JUILLET 2001 SOMMAIRE AVANT PROPOS page 4 1 - LA PRISE D ECHANTILLON page 6 1.1 - Division et/ou mélange du prélèvement accompagnée
Plus en détailNous recensons ci-dessous, de la manière la plus exhaustive possible, l ensemble des éléments qui ont ou vont nécessiter une intervention :
Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les Conseillers, L année 2013, pas encore terminée, nous a déjà réservé son lot de surprises : froid, humidité constante, pluies abondantes suivies, dans le
Plus en détailAssociation des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale,
Objectifs Association des convivialité, réunir les habitants autour du jardinage action sociale, création de jardins familiaux action environnementale, promouvoir un jardinage respectueux de l environnement
Plus en détailInformations techniques sur la culture de l ananas
Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant
Plus en détailComment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE
Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE Vous vous souvenez que tout est constitué d atomes, non? Une pierre, un stylo, un jeu vidéo, une télévision, un chien et vous également; tout est fait d atomes.
Plus en détailIl était une fois Une forêt mystérieuse!!! Parcourez cette forêt, explorez la Franche-Comté, partez à la rencontre de ses paysages et de ses
Il était une fois Une forêt mystérieuse!!! Parcourez cette forêt, explorez la Franche-Comté, partez à la rencontre de ses paysages et de ses richesses. Du massif Vosgien aux plateaux du Jura, en passant
Plus en détailFertiliser le maïs autrement
Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein
Plus en détailUne forêt en extension
Une forêt en extension En 2005, la forêt (1) franc-comtoise s étend sur 713 300 hectares, soit 43,7% du territoire régional. La Franche-Comté se place au 2 e rang des régions les plus boisées de France
Plus en détailAvis bureau Création d une zone commerciale Sainte Anne sur Brivet
Déplacement et agrandissement de la zone commerciale de Pont Château. 30ha Le projet et le SAGE Qualité des milieux Article 1 protection des zones humides Article 2 niveau de compensation Article 5 création
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détailCalopteryx vierge Mâle et femelle ne se ressemblent pas. Le mâle du Calopteryx vierge a des ailes brun noir foncé veinées de bleu. Ce redoutable prédateur reste perché sur des plantes de la berge ou sur
Plus en détailDES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE
DES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE 2 ÉDITO C R C - M C Daniel BEGUIN Jean-Marie HARAUX Jean-Pierre RENAUD Henri PLAUCHE GILLON 3 SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 PARTIE 1 : DESCRIPTION DE L ESPÈCE
Plus en détail4. Verdissement, une PAC plus verte
4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.
Plus en détailUN CAS TRÈS PROBABLE DE MUTATIONS GEMMAIRES CHEZ LE PEUPLIER
REVUE FORESTIÈRE FRANÇAISE 33 UN CAS TRÈS PROBABLE DE MUTATIONS GEMMAIRES CHEZ LE PEUPLIER PAR J. CHARDENON ancien expert FAO La possibilité de mutations gemmaires a été supposée assez souvent mais il
Plus en détailThème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique
Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification
Plus en détailEN QUÊTE DU MONDE. Les nids de fourmis rousses. Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés...
Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés... 2 Contenus... 3 niveaux, disciplines, compétences... 3 notions... 4 Vocabulaire... 4 découpage du film... 5 Suggestions
Plus en détailEvaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood
Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood Le projet de recherche européen FlexWood («Flexible wood supply chain»)
Plus en détailTutoriel : Créer un site web simple avec Composer. Fiche consigne Page 1 sur 6
1 Lancement du logiciel Composer Fiche consigne Page 1 sur 6 Cliquer sur l icône du bureau représenté en en-tête du présent document ou cherche le logiciel «Composer» dans le menu des programmes. 2 Création
Plus en détailPLAN GÉNÉRAL D AMÉNAGEMENT FORESTIER SEIGNEURIE DE PERTHUIS RÉSUMÉ NOTE AU LECTEUR
NOTE AU LECTEUR Dans le cadre de notre certification forestière à la norme du Forest Stewardship Council de la Seigneurie de Perthuis, nous vous présentons un résumé du plan général d aménagement forestier
Plus en détailUne promenade en forêt par Inner Health Studio. Enregistré avec la permission de l entreprise.
Une promenade en forêt par Inner Health Studio. Enregistré avec la permission de l entreprise. Adoptez une position confortable, soit assise, soit couchée. Sentez votre corps se détendre à mesure qu une
Plus en détailQuelques données : Domaines & Patrimoine. Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise. Membre de l ASFFOR.
1 2 Quelques données : Domaines & Patrimoine Membre de Adhérent à : l ASFFOR Membre de l ASFFOR Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise 10 11 salariés 7000 8 500 ha ha gérés 12 13 groupements
Plus en détailFiche technique sur la stabilisation des rives
Fiche technique sur la stabilisation des rives L érosion est un phénomène naturel, qui participe à l équilibre dynamique des cours d eau. Il est par ailleurs souvent amplifié par les interventions humaines.
Plus en détailLA PHYLLOTAXIE SPIRALE
ALBERTIN Thierry - CAVALLARO Jean-Sébastien - MARCHESE Emilie 1 ère S 3 LA PHYLLOTAXIE SPIRALE Lycée Thierry MAULNIER Année Scolaire : 2004-2005 Professeurs : M. Gouy (S.V.T.) M. Martinez (Mathématiques)
Plus en détailEn rouge et noir. 4,50 juin 2011 - n 1326 M 01054-1326 BEL : 4,50 FRANCE METRO : 4,50 - ANT/GUY : 5 - REU : 4,50 - BEL : 4,50 - ESP : 3,80
Zoom 4,50 juin 2011 - n 1326 FRANCE METRO : 4,50 - ANT/GUY : 5 - REU : 4,50 - BEL : 4,50 - ESP : 3,80 GR : 3,80 - ITA : 4,60 - LUX : 2,60 - MAROC : 25 dh - NL : 5 En rouge et noir M 01054-1326 BEL : 4,50
Plus en détailCOMITÉ ADMINISTRATIF ET JURIDIQUE. Quarante-huitième session Genève, 20 et 21 octobre 2003
ORIGINAL : anglais DATE : 18 juillet 2003 F UNION INTERNATIONALE POUR LA PROTECTION DES OBTENTIONS VÉGÉTALES GENÈVE COMITÉ ADMINISTRATIF ET JURIDIQUE Quarante-huitième session Genève, 20 et 21 octobre
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailNiveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus
Niveau CEl CE2 Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus INTRODUCTION: non un poisson. Le dauphin souffleur ou grand dauphin est un mammifère marin, et Comme tous les mammifères il suivantes
Plus en détailArbres Remarquables des Deux-Sèvres
Arbres Remarquables des Deux-Sèvres Arbres Remarquables des Deux-Sèvres Qu'est-ce qu'un Arbre Remarquable? Un arbre hors du commun : - par sa taille, - sa forme, - son âge, - son esthétique, - sa rareté,
Plus en détailvérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises
Avant d utiliser des produits chimiques, vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web www.biobest.be Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises
Plus en détailMenuiserie Agencement BOIS RÉSINEUX BOIS FEUILLUS BOIS EXOTIQUES
Menuiserie Agencement BOIS RÉSINEUX BOIS FEUILLUS BOIS EXOTIQUES 171 Bois résineux Les bois résineux de menuiserie sont particulièrement adaptés aux fabrications de menuiseries industrielles ou artisanales,
Plus en détailBois Bocage Energie. www.boisbocageenergie.fr. SCIC Bois Bocage Energie, Laurent NEVOUX, Place de l église, 61800 CHANU
Société Coopérative d Intd Intérêt Collectif Bois Bocage Energie www.boisbocageenergie.fr Comment organiser la filière bois et mobiliser la ressource? Acte 1 : Mécaniser la récolte du bois Acte 2 : Moderniser
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailConception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale
Conception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale A. El Ghorfi *, M. Boulanouar *, M. Cheggour*, N. Zahid ** * Département de biologie, ENS Marrakech ** Département d informatique,
Plus en détailLes objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de :
GUIDE EXPLICATIF POUR LES CITOYENS RÈGLEMENT SUR L UTILISATION DES ENGRAIS ET DES PESTICIDES Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de : Réduire l apport par ruissellement
Plus en détail20 ans après l accident nucléaire de Tchernobyl: Les conséquences en Suisse
20 ans après l accident nucléaire de Tchernobyl: Les conséquences en 1. L accident Il y a 20 ans, le 26 avril 1986 à 01h24 heure locale, se produisait l accident le plus grave jamais survenu dans une installation
Plus en détailCOMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?
COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche
Plus en détail2. Indique le type de chacune de ces contraintes. a) L objet doit avoir des couleurs neutres. Contrainte humaine.
ACTIVITÉS 1. Avant d entreprendre un projet technologique, il est important de prendre connaissance de son cahier des charges. Quelle est l utilité d un cahier des charges? Un cahier des charges définit
Plus en détailSAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE...
SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... Éditions Mariko Francoeur Miguel Hortega IL Y A DES ANIMAUX? 1 Mon école est à Montréal, rue Berri. C est une belle école primaire toute faite de briques. En temps
Plus en détailCréation d un site web avec Nvu
Création d un site web avec Nvu sources principales d'informations: http://www.framasoft.net/article2656.html http://info.sio2.be/nvu/index.php http://www.anseladams.com Pensez à sauvegarder fréquemment
Plus en détailLa Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt
La Charte forestière du Pilat Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt Réalisation Jecom - RCS 493 898 043 - Avril 2011 - Imprimé sur papier issues de forêts françaises et belges gérées
Plus en détailPAYSAGE - ÉNERGIE - BIODIVERSITÉ CADRE DE VIE - ENVIRONNEMENT
GUIDE TECHNIQUE PAYSAGE - ÉNERGIE - BIODIVERSITÉ CADRE DE VIE - ENVIRONNEMENT "Sans entretien c'est la nature qui reprend ses droits Fougères, épines, herbes, broussailles. La jeune haie souffre, végète,
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailSurligne les phrases si elles sont justes :
1) L escargot a besoin de chaleur. Entoure : L escargot est un : 2) Il sort de sa coquille quand l atmosphère est sèche. VERTEBRE - INVERTEBRE 3) Sans coquille, l escargot meurt. OISEAU REPTILE - MOLLUSQUE
Plus en détailLes potagers Neerstalle
Les potagers Neerstalle Une initiative de Marc COOLS, Échevin de l Environnement et des Propriétés communales, avec le soutien du Collège des Bourgmestre et Échevins d Uccle Une action menée par le Service
Plus en détailSERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détail