ÉNONCÉ SUR LES TESTS GÉNÉTIQUES ET L ASSURANCE
|
|
- Géraldine Bourget
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ÉNONCÉ SUR LES TESTS GÉNÉTIQUES ET L ASSURANCE INSTITUT CANADIEN DES ACTUAIRES Le 13 novembre 2000 Document Le présent énoncé témoigne du point de vue de l Institut Canadien des Actuaires (ICA) à l égard du rapport entre les tests génétiques et l assurance. Les opinions qui y sont exprimées, et qui ont été avalisées par la Direction des services aux membres de l ICA, reposent sur les résultats de l examen des questions relatives au rapport entre la génétique et l assurance effectué par le Groupe de travail sur la génétique de l ICA. Introduction En juin 2000, on a annoncé que l équipe du Projet du génome humain avait finalisé une ébauche du code génétique humain. Cette annonce a depuis fait l objet de bien des spéculations et a suscité tout un débat au sujet de l effet des tests génétiques sur l industrie de l assurance et sa clientèle. Les consommateurs craignent que les sociétés d assurance se servent de l information génétique pour refuser d émettre un contrat ou exiger des primes exorbitantes. Les assureurs, quant à eux, redoutent la possibilité d une antisélection advenant que les consommateurs achètent de l assurance sans divulguer les résultats des tests, ce qui aurait des répercussions défavorables sur les coûts de l assurance. La compréhension de la génétique évolue rapidement. En observant certaines caractéristiques génétiques, il est maintenant possible d informer une personne des conséquences éventuelles sur sa santé. Ces conséquences peuvent être favorables ou défavorables et influent sur la probabilité que cette personne contracte certaines maladies ainsi que sur son état de santé futur et son espérance de vie. La profession actuarielle a notamment pour mandat de susciter des débats sur la place publique. En ce qui concerne, par exemple, le rapport entre la génétique et l assurance, la profession veut s assurer que les politiques gouvernementales soient élaborées par des personnes qui connaissent bien le dossier et qui sont disposées à donner leur opinion professionnelle, y compris l analyse des résultats éventuels de certaines décisions stratégiques. La profession vise à évaluer l incidence financière pour tous les groupes susceptibles d être affectés, et elle ne défend pas les intérêts d un groupe en particulier. Le présent énoncé aborde les questions suivantes : Portée : Définition des tests génétiques Assises du risque assurable Rôle des actuaires Tests génétiques et risque assurable Antisélection et risque assurable Tests génétiques : Questions liées à l éthique et à la protection de la vie privée Avenir des tests génétiques et du risque assurable Conclusions Portée : Définitions des tests génétiques Certaines caractéristiques physiologiques se transmettent d une génération à l autre par l entremise de l ADN qu on retrouve dans chaque cellule vivante. Les gènes sont les composantes de l ADN qui contrôlent la manière dont les personnes se développent. Les gènes peuvent aussi à ce titre déterminer d autres traits physiques et causer une maladie ou y contribuer. Dans certains cas, les tests génétiques peuvent indiquer si une personne a plus de chances que la normale de contracter une maladie. Aux fins du présent énoncé, on entend par test génétique un test servant à déterminer la présence ou l absence de variations particulières dans le code génétique d une personne. Les résultats d un test de ce genre pourraient être utilisés pour déterminer si une personne est admissible en vue de l achat d une couverture d assurance et(ou) le prix à exiger pour la couverture. Secrétariat : 360 rue Albert # 820, Ottawa, Ontario, Canada, K1R 7X7 (613) Téléc. : (613)
2 Assises du risque assurable Les consommateurs versent aux sociétés d assurance des primes pour se protéger contre les pertes financières; de leur côté, les sociétés d assurance perçoivent les primes, assurent la gestion des risques acceptés et veillent à ce qu il y ait suffisamment de fonds pour acquitter toutes les éventuelles réclamations. Le partage du risque est un précepte fondamental dans la conception des produits d assurance. L assurance regroupe les personnes dont les réclamations sont prévisibles en tant que groupe, mais imprévisibles sur une base individuelle. Pour les consommateurs, les risques individuels sont regroupés avec d autres profils de risque comparables (p. ex., les fumeurs et les non-fumeurs sont regroupés de façon distincte), le niveau des primes est déterminé en fonction du risque du groupe et une prime équitable est imputée à chaque groupe. Pour les sociétés d assurance, les mises en commun permettent de s assurer que toutes les personnes payent leur juste part, qu aucun groupe n en subventionne un autre et que les réclamations soient partagées entre tous les membres du groupe. Un autre précepte fondamental du contrat d assurance est qu il s agit d une entente «de bonne foi» entre toutes les parties en cause. Avant de s engager à partager un risque, l assureur doit avoir en main tous les renseignements que le requérant a à sa disposition au sujet du risque qu il représente. Puisque les consommateurs ont la capacité de choisir le type et la portée de la garantie qu ils souhaitent obtenir et le moment de leur achat, il est essentiel qu ils transmettent à l assureur l information sur les risques. Rôle des actuaires Les actuaires jouent un rôle fondamental dans le fonctionnement des sociétés d assurance. Encadrés par des normes de pratique professionnelles, les actuaires mettent à contribution leurs compétences en analyse financière pour évaluer les produits d assurance et en fixer le prix. Conformément aux normes professionnelles, les actuaires sont tenus de connaître les circonstances du cas, d avoir recours à des données qui sont suffisantes et fiables, de choisir des hypothèses et des méthodes appropriées relativement au risque et de formuler des opinions qui reposent sur leurs calculs. Les actuaires exercent un certain leadership au sein des sociétés pour s assurer que les décisions en matière de risque soient bien fondées. Pour déterminer des primes concurrentielles, d une part, et permettre à la société de payer les réclamations, d autre part, il faut absolument gérer tous les risques éventuels. Or, pour gérer les risques, il est essentiel de les classer; conformément aux principes traditionnels de souscription, les risques des souscripteurs sont regroupés en fonction de l âge, du sexe, du profil médical, des attributs physiques, des antécédents familiaux et des questions relatives au comportement. Tests génétiques et risque assurable Le rapport entre les gènes et la morbidité et la mortalité futures est extrêmement complexe. Même si des renseignements génétiques supplémentaires pouvaient, dans une certaine mesure, aider les sociétés d assurance à déterminer si elles acceptent un contrat d assurance, la plupart des personnes présentant une demande d assurance-vie ou d assurance-maladie seraient quand même acceptées à titre de risques normaux. Malgré tous les progrès réalisés dans le domaine de la médecine ces quarante dernières années, le pourcentage de personnes présentant une demande d assurance-vie et qui sont acceptées à titre de risques normaux est demeuré relativement stable. Plus de 90 pour cent de l ensemble des consommateurs demandant de souscrire à une assurance-vie au Canada sont classés dans la catégorie des risques normaux (les pourcentages sont uniformes aux États-Unis et en Angleterre), ce qui pousse certains à dire que la souscription est un exercice inutile. Or, on affirmait, dans une étude effectuée par l American Academy of Actuaries, que : [traduction] «si l on abolissait la souscription et que chaque personne aux États-Unis présentait simultanément une demande pour le même montant de couverture, la prime requise serait à 90 pour cent plus élevée que les primes courantes consenties aux requérants à risques normaux». Le fait de déterminer les primes en fonction du risque permet de s assurer que la prime la plus équitable possible soit offerte à chaque membre de chaque groupe. 2
3 En ce qui a trait aux risques inhabituels, on peut obtenir la plupart des renseignements qu il est possible d obtenir par le biais des tests génétiques actuels en posant les questions usuelles au sujet des antécédents médicaux et familiaux. De fait, cette information est déjà prise en compte dans le processus traditionnel de souscription. C est une époque stimulante pour les percées médicales et une meilleure compréhension de la génétique permettrait de faire des prévisions plus précises en ce qui a trait à la mortalité et à la morbidité. Mais il n en demeure pas moins que pour l instant, le style de vie et les habitudes comme le tabagisme demeurent des indices beaucoup plus utiles et fiables que les gènes pour prévoir la santé et la durée de vie. Pour établir des hypothèses quant aux niveaux de morbidité et de mortalité, un actuaire doit continuer à évaluer si les données utilisées aux fins de la tarification et de l évaluation des produits d assurance sont fiables et suffisantes. Avant qu une société d assurance puisse proposer d intégrer à l avenir les résultats des tests génétiques au procédé de souscription, nous devons continuer à recourir à l analyse actuarielle pour s assurer que les décisions au sujet de la classification des risques soient fondées sur les faits et les technologies éprouvées et témoignent de décisions appropriées et importantes au sujet des coûts. Il est essentiel de procéder à une étude objective. Les actuaires seront tenus de vérifier si les tests sont définitifs, exacts et efficients et s ils ont de solides propriétés prédictives avant d en utiliser les résultats à des fins de souscription. Une gestion adéquate des risques passe par de bonnes pratiques de souscription, ce qui exige des données exactes. Voici les faits : même si l annonce de l établissement du génome humain revêt une grande importance dans l optique de la recherche, il en va autrement sous l angle de la souscription aujourd hui. Bien que les tests génétiques permettent éventuellement de confirmer les prédispositions génétiques ou les profils héréditaires, ce qui permet en retour de déterminer et de traiter les maladies génétiques, le fait de subir un test génétique en soi n influe en rien sur l espérance de vie d une personne ou sur la morbidité. D après les connaissances actuelles, il semblerait qu il existe relativement peu de maladies où la présence ou l absence d un gène influera directement sur la possibilité pour une personne de contracter l une de ces maladies. Il convient de rappeler que les tests génétiques aideront non seulement à poser un diagnostic, mais également à faciliter le traitement grâce à la mise au point de thérapies géniques. Pour le moment, le traitement accuse du retard par rapport aux tests. Cependant, le dépistage génétique peut inciter certaines personnes à changer leur style de vie ou la façon dont elles gèrent leur santé par suite de résultats de tests génétiques positifs, ce qui permet en retour le prolongement de leur espérance de vie ou l amélioration des taux de morbidité. En outre, les résultats des tests génétiques pourraient être utilisés pour faire contrepoids à l information provenant d autres sources. Si le résultat d un test est favorable, une société d assurance pourrait décider d ignorer certains renseignements défavorables au titre des antécédents familiaux et approuver une demande d assurance au tarif approprié. Antisélection et risque assurable L antisélection est le risque qu une des parties en cause choisisse des options au détriment de l autre partie. Des rapports fondés sur le principe de la bonne foi exigent l échange de renseignements de façon à ce qu une partie ne puisse refuser de donner de l information qui est essentielle à l autre partie pour l évaluation des risques. L industrie canadienne de l assurance de personnes a pour politique de ne pas exiger d un requérant qu il se soumette à un test génétique. Or, si le test en question a déjà été effectué et que le requérant a reçu les résultats, il faudrait les fournir à la société d assurance, car un contrat d assurance constitue essentiellement une entente conclue de bonne foi. Au Canada, le fait de ne pas communiquer ces renseignements peut donner lieu à l annulation d un contrat d assurance. L ICA est d accord avec cette position. Si on interdisait aux sociétés l accès aux résultats des tests génétiques lorsque ceux-ci sont disponibles, il n y aurait donc pas partage adéquat des risques. Ceci aurait pour effet d augmenter le volume de réclamations des sociétés d assurance, ce qui en retour ferait hausser les primes des consommateurs. Les types et les montants de contrats d assurance offerts aux consommateurs seraient donc plus limités. 3
4 Tests génétiques : questions liées à l éthique et à la protection de la vie privée L utilisation de l information obtenue au moyen des tests génétiques soulève des questions importantes en matière d éthique et de protection de la vie privée. Les craintes au sujet de la confidentialité constituent un élément important. Deux principes figurant dans le code de conduite à l égard des consommateurs de l Association canadienne des sociétés d assurances de personnes inc. sont particulièrement pertinents à la collecte et à l utilisation de l information génétique. Il s agit de ce qui suit : avoir recours à des méthodes de souscription judicieuses et équitables; respecter la vie privée des personnes, c est-à-dire n utiliser les renseignements personnels qu aux fins autorisées et ne les révéler à aucune personne non autorisée. L ICA est d accord avec la politique préconisée par l industrie, à savoir que l information ne doit être utilisée que pour le motif visé initialement et ne doit être divulguée à personne sans le consentement écrit du requérant. Bien entendu, les requérants devraient avoir le choix de se soumettre à un test génétique s ils le souhaitent et il ne faudrait pas les y obliger. Les actuaires devront travailler avec les médecins dans le cadre de cette percée révolutionnaire tout en respectant les droits de la personne et le caractère confidentiel de l information. Éventuellement, les données génétiques serviront à identifier les personnes aux fins de traitement ou de gestion de la maladie à l instar de ce qui se fait actuellement avec la dépranocytose, la maladie de Tay-Sachs ou divers tests prénataux. Les actuaires seront chargés de veiller à ce que les tests soient fiables et pertinents et à ce que les résultats soient prédictifs. Les actuaires auront aussi pour rôle de s assurer que les procédés de souscription sont équitables et que les besoins sociétaux en matière d équité soient équilibrés en fonction de la nécessité de classifier les risques. L ICA recommande également de codifier les pratiques de l industrie en ce qui concerne le traitement de telles données de même que les protocoles utilisés pour vérifier si les tests sont fiables et pertinents. Les tests génétiques et les thérapies géniques qui en découlent peuvent soulever de graves questions d éthique (p. ex., le devoir de mettre en garde les autres membres de la famille par rapport au devoir de préserver la confidentialité). Les actuaires, en collaboration avec le corps médical, les chercheurs et les législateurs, ont un rôle à jouer pour ce qui est de cerner les enjeux et leur impact connexe et de susciter des débats sur des questions d intérêt public. Plusieurs provinces canadiennes travaillent actuellement à l établissement d une loi visant à protéger tous les renseignements personnels dont disposent les divers segments du secteur privé. Par exemple, en 1994, la province du Québec a promulgué une loi visant à protéger tous les renseignements personnels détenus dans le secteur privé. Celle du Manitoba a promulgué une loi visant à protéger les renseignements personnels sur la santé dans le secteur de la santé et plusieurs autres provinces envisagent actuellement de promulguer une loi semblable. Le gouvernement fédéral, quant à lui, prend actuellement des mesures pour protéger les renseignements personnels utilisés à des fins commerciales. Avenir des tests génétiques et du risque assurable La plupart des maladies mettent en cause divers facteurs non seulement génétiques mais aussi environnementaux et certains éléments des tests génétiques font depuis longtemps partie des critères fondamentaux de classification des risques. La controverse qu ont suscité les travaux sur le génome humain a trait à la crainte qu il n y ait discrimination dans le domaine de l assurance ou dans d autres domaines comme celui de l emploi, suivant l identification d éventuelles mutations génétiques significatives. Une fois que des tests fiables auront été mis au point, les médecins seront en mesure d identifier les personnes atteintes de mutations génétiques importantes. La preuve médicale semble viser des maladies déterminées par un seul gène, comme la maladie de Huntington et la fibrose kystique, qui évoluent de façon déterminée du stade présymptomatique au stade symptomatique. Par contre, la preuve médicale est moins concluante dans le cas de maladies multifactorielles comme la coronaropathie, qui se caractérisent par la probabilité que le malade passe du stade «de la prédisposition» au stade symptomatique; elle est moins concluante aussi en ce qui concerne leurs répercussions, tant sur le plan de la gestion de la santé que sur le plan de la classification des risques. Les actuaires doivent participer à l évaluation de ces probabilités et à la détermination des conséquences sur les soins de santé. 4
5 Il se peut qu un jour l information génétique permette aux sociétés d assurance de réduire la variation des pertes techniques et de rendre l assurance plus efficace. Mais ce n est pas pour demain et aucun assureur canadien ne devrait exiger des tests génétiques avant que ceux-ci ne soient certifiés fiables et prédictifs; cependant, les sociétés d assurance ont la capacité de réduire la variation des pertes techniques. Le consommateur devrait y trouver son compte, car la maladie sera mieux identifiée et traitée et les coûts de l assurance seront moins élevés. Conclusions À l heure actuelle, l utilité des tests génétiques aux fins de la souscription a des limites. Les résultats des tests génétiques ne sont, la plupart du temps, pas assez définitifs pour être utiles comme seul facteur déterminant dans l évaluation du risque assurable. D autres facteurs du style de vie (par exemple, le tabagisme) demeurent, pour le moment, plus importants dans l évaluation du profil des risques de mortalité et de morbidité d une personne. L ICA salue les progrès médicaux qui peuvent grandement contribuer à l évaluation des risques; il estime d autre part que les tests génétiques représentent un autre outil prometteur au titre de la souscription du risque assurable. L ICA n appuie ni les tests génétiques obligatoires aux fins de l assurance ni la divulgation des résultats des tests sans l autorisation de la personne concernée. Cependant, l ICA est d avis que si les résultats des tests génétiques sont disponibles, il conviendrait que les deux parties à un contrat d assurance en soient informées (à savoir le titulaire de la police et l assureur). Les tests génétiques n entraîneront sans doute aucune augmentation générale des primes pour les Canadiens. À mesure que les résultats des tests génétiques deviendront plus fiables, les primes pourraient augmenter pour certains et diminuer pour d autres. Les actuaires seront appelés à jouer un rôle important pour ce qui est de déterminer de quelle manière, si et à quel moment il conviendrait que les tests génétiques soient utilisés aux fins de l assurance et pour ce qui est d équilibrer les questions de protection de la vie privée, d équité et de classification des risques au fur et à mesure que cette technologie évoluera. Au sujet de l Institut Canadien des Actuaires L ICA est l organisme national de la profession actuarielle au Canada et compte plus de actuaires agréés à titre de Fellows de l ICA. L ICA est voué au service de la population par la prestation de services et conseils actuariels de la plus haute qualité. À cette fin, l ICA favorise l avancement de la science actuarielle, parraine des programmes de formation et de qualification des membres, veille à ce que les services actuariels fournis par ses membres répondent aux normes professionnelles reconnues et fournit des services aux membres afin de les aider à s acquitter de leurs responsabilités professionnelles. L ICA favorise aussi la mise au point d une base de connaissances et de pratiques actuarielles spécialisées et adaptées aux besoins économiques et sociaux du Canada, collabore avec les gouvernements et les organismes publics et apporte une contribution opportune et pertinente aux débats sur les questions d intérêt public. 5
Entente de reconnaissance mutuelle. entre. l Institute of Actuaries of Australia. l Institut canadien des actuaires
Entente de reconnaissance mutuelle entre l Institute of Actuaries of Australia et l Institut canadien des actuaires Entente de reconnaissance mutuelle TABLE DES MATIÈRES 1. CONTEXTE 1 2. CONDITIONS CONVENUES
Plus en détailAppel d offres pour l élaboration des tables de mortalité de l industrie canadienne
Appel d offres pour l élaboration des tables de mortalité de l industrie canadienne Document 205103 OBJET : Élaboration des tables de mortalité de l industrie pour l assurance-vie individuelle grande branche
Plus en détailCoup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL
Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Au Canada, en vertu de la loi, les prêteurs assujettis à la réglementation fédérale et la plupart des institutions financières assujetties à une
Plus en détailCanadian Institute of Actuaries Institut Canadien des Actuaires
Canadian Institute of Actuaries Institut Canadien des Actuaires MÉMOIRE DE L INSTITUT CANADIEN DES ACTUAIRES DESTINÉ AU SURINTENDANT DES INSTITUTIONS FINANCIÈRES DE L ALBERTA, MINISTÈRE DES FINANCES DE
Plus en détailÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE
ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE Le présent document reflète le travail d organismes de réglementation membres du CCRRA. Les opinions qui y sont exprimées ne doivent
Plus en détailN o : D-1A Version initiale : décembre 1997 Révision : juillet 2010
Ligne directrice Objet : (entreprises d assurance-vie) Catégorie : Comptabilité N o : D-1A Version initiale : décembre 1997 Révision : juillet 2010 Introduction La présente ligne directrice énonce les
Plus en détailObtenir le titre de prêteur. agréé. La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION
Obtenir le titre de prêteur agréé La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION La SCHL aide les Canadiens à répondre à leurs besoins en matière de logement. En tant qu autorité en matière
Plus en détailComité de la réglementation des assurance de l AAI Le rôle de l actuaire dans le contrôle prudentiel des sociétés d assurances
Le rôle de l actuaire dans le contrôle prudentiel Introduction Cette note a pour but d établir la position de l AAI sur le rôle que les actuaires devraient jouer dans le contrôle prudentiel des sociétés
Plus en détailCESSATION DES OPÉRATIONS D ASSURANCE AU CANADA DES SOCIÉTÉS D ASSURANCES ÉTRANGÈRES
Index A n o 9 CESSATION DES OPÉRATIONS D ASSURANCE AU CANADA DES SOCIÉTÉS D ASSURANCES ÉTRANGÈRES Fondement législatif Articles 650, 651 et 654 de la Loi sur les sociétés d assurances (la «Loi») Définitions
Plus en détailListe de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale
Équipes de santé familiale Améliorer les soins de santé familiale Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Juillet 2009 Version 2.0 Table des matières Introduction...3
Plus en détailÀ propos de Co operators
Co-operators est heureuse de présenter un mémoire en réponse au document de réflexion du Groupe de travail sur les pointages de crédit du CCRRA sur l utilisation des pointages de crédit par les assureurs,
Plus en détailCompte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance
Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance Le présent document précise encore davantage les données et la méthodologie utilisées par le BSIF pour calculer les marges pour
Plus en détailExposé-sondage. Conseil des normes actuarielles. Avril 2013. Document 213018
Exposé-sondage Révisions aux Normes de pratique applicables aux régimes de retraite Hypothèses pour les évaluations de liquidation hypothétique et de solvabilité Conseil des normes actuarielles Avril 2013
Plus en détailL assurance-vie temporaire de la Great-West
L assurance-vie temporaire de la Great-West Une protection transformable, souple et rentable Il s agit de vos besoins Transformation en une protection temporaire plus longue Si vous choisissez une police
Plus en détailToronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à :
Allocution présentée par la surintendante Julie Dickson Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF) dans le cadre du Colloque des affaires réglementaires du Bureau d assurance du
Plus en détailÉ T A T S F I N A N C I E RS pour le RÉGIME D ASSURANCE COLLECTIVE DES EMPLOYÉS DES FNP pour l année prenant fin le 31 MARS 2010
É T A T S F I N A N C I E RS pour le RÉGIME D ASSURANCE COLLECTIVE DES EMPLOYÉS DES FNP pour l année prenant fin le 31 MARS 2010 RAPPORT DES VÉRIFICATEURS Au conseil des Biens non publics RÉGIME D ASSURANCE
Plus en détailÉ T A T S F I N A N C I E RS du RÉGIME D ASSURANCE COLLECTIVE DES EMPLOYÉS DES FNP pour l année prenant fin le 31 MARS 2011
É T A T S F I N A N C I E RS du RÉGIME D ASSURANCE COLLECTIVE DES EMPLOYÉS DES FNP pour l année prenant fin le 31 MARS 2011 RAPPORT DES VÉRIFICATEURS Au conseil des Biens non publics Nous avons vérifié
Plus en détailVotre guide des des polices d assurance-vie avec participation. de la Great-West
Votre guide des des polices d assurance-vie avec participation de la Great-West Ce guide vous donne un aperçu de haut niveau des principales caractéristiques de l assurance-vie avec participation de la
Plus en détailC11 : Principes et pratique de l assurance
Spécimen de questionnaire d examen C11 : Principes et pratique de l assurance IMPORTANT : Vous disposez de 3 heures pour passer cet examen. Total : 200 points Lorsque vous quittez la salle d examen, vous
Plus en détailInformation Le secteur des services financiers canadien
L industrie canadienne des assureurs de personnes Aperçu Au Canada, l industrie des assurances de personnes se compose de 120 entreprises, comparativement à 163 en 1990; elle englobe les sociétés constituées
Plus en détailGuide de travail pour l auto-évaluation:
Guide de travail pour l auto-évaluation: Gouvernance d entreprise comité d audit Mars 2015 This document is also available in English. Conditions d application Le Guide de travail pour l auto-évaluation
Plus en détailInformation et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires
Information et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires Le Conseil canadien des autorités de réglementation des courtiers hypothécaires (CCARCH)
Plus en détailConcours 25 000 $ de prix en argent offerts par le Programme d assurance automobile et habitation CIBC (le «Concours»)
Concours 25 000 $ de prix en argent offerts par le Programme d assurance automobile et habitation CIBC (le «Concours») EN PRENANT PART AU CONCOURS, CHAQUE PARTICIPANT ACCEPTE D ÊTRE LIÉ PAR LE RÈGLEMENT
Plus en détailASSURANCE- SOLDE DE CARTE DE CRÉDIT OPTIONS DE PAIEMENTS
ASSURANCE- SOLDE DE CARTE DE CRÉDIT OPTIONS DE PAIEMENTS À propos de l Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC) À l aide de ses ressources éducatives et de ses outils interactifs,
Plus en détailEconomical présente un aperçu du projet de règlement sur la démutualisation des sociétés d assurances multirisques
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Economical présente un aperçu du projet de règlement sur la démutualisation des sociétés d assurances multirisques Processus à quatre étapes avec une participation importante des souscripteurs
Plus en détailévaluations avec date de calcul à compter du 31 décembre 2014 (mais au plus tard le 30 décembre 2015).
NOTE DE SERVICE À : De : Tous les actuaires des régimes de retraite Bruce Langstroth, président Direction de la pratique actuarielle Manuel Monteiro, président Commission des rapports financiers des régimes
Plus en détailRéglementation des jeux de casino
Chapitre 4 Section 4.01 Commission des alcools et des jeux de l Ontario Réglementation des jeux de casino Suivi des vérifications de l optimisation des ressources, section 3.01 du Rapport annuel 2010 Contexte
Plus en détailNotes techniques pour les règles de souscription de l assurance-automobile
Annexe B pour les règles de souscription de l assurance-automobile Émis avec le Bulletin No. A-09/03 I.A.R.D. - Auto ommission des services financiers de l Ontario 29 juillet 2003 pour les règles de souscription
Plus en détailLe Conseil canadien des consultants en immigration du Canada États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011
Le Conseil canadien des consultants États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011 Contenu Rapport d un vérificateur indépendant 2 États financiers Bilan 3 État
Plus en détailSOCIÉTÉ D ASSURANCE VIE MD Siège social : Ottawa, Canada. Le présent certificat est émis en vertu de la
SOCIÉTÉ D ASSURANCE VIE MD Siège social : Ottawa, Canada Le présent certificat est émis en vertu de la POLICE DE RENTE COLLECTIVE FONDS DE REVENU STABLE MD établie en faveur de LA COMPAGNIE TRUST ROYAL
Plus en détailASSURANCE- SOLDE DE CARTE DE CRÉDIT. options de paiements
ASSURANCE- SOLDE DE CARTE DE CRÉDIT options de paiements À propos de l Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC) À l aide de ses ressources éducatives et de ses outils interactifs,
Plus en détailGirafe & cie, compagnie d'assurance-vie
Girafe & cie, compagnie d'assurance-vie Assurance-vie essentielle pour enfants Premiers Pas Dans la présente police, «nous» et «nos» renvoient à Girafe & cie, compagnie d'assurance-vie. Nous nous engageons
Plus en détailLe Québec, terre de traduction
Le Québec, terre de traduction S il est un endroit au monde où les traducteurs ont un marché établi, c est bien le Canada. Et le Québec, au sein du Canada, jouit d une situation encore plus privilégiée.
Plus en détailSurveillance de la réglementation en matière d assurance automobile
Chapitre 4 Section 4.01 Commission des services financiers de l Ontario Surveillance de la réglementation en matière d assurance automobile Suivi des audits de l optimisation des ressources, section 3.01
Plus en détailGestion éthique des banques de recherche
Gestion éthique des banques de recherche Jean-Marie Therrien, Ph.D. Président du Comité d éthique de la recherche, CHU Sainte-Justine 30 octobre 2012 Plan Justification éthique et scientifique Principes
Plus en détailCharte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale
Charte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale 2 Définitions Définitions Banque Bureau de l ombudsman Ombudsman Client Client commercial Client particulier Décision d affaires Décision
Plus en détailUne rente sans rachat des engagements (aussi connue sous le nom «buy-in») vise à transférer
Solutions PD Parez au risque Rente sans rachat des engagements (Assurente MC ) Transfert des risques pour régimes sous-provisionnés Une rente sans rachat des engagements (aussi connue sous le nom «buy-in»)
Plus en détailb) La liste de vos anciens noms pour les 5 dernières années (avec explications) Si non applicable, veuillez cocher
PROPOSITION D ASSURANCE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE POUR LES CABINETS, LES REPRÉSENTANTS AUTONOMES, LES REPRÉSENTANTS AGISSANT POUR LE COMPTE D UN CABINET SANS Y ÊTRE EMPLOYÉS ET LES SOCIÉTÉS AUTONOMES
Plus en détailPamela Blake MSS, TSI, registrateure adjointe
Planification de la lutte contre la pandémie : quelles sont mes obligations? Points importants pour les membres de l Ordre des travailleurs sociaux et des techniciens en travail social de l Ontario Pamela
Plus en détailLa vente d assurance accessoire : La multiplicité des régimes de réglementation avantage-t-elle les consommateurs?
La vente d assurance accessoire : La multiplicité des régimes de réglementation avantage-t-elle les consommateurs? Robert W. McDowell Robert E. Elliott Marvin Mikhail Partie I Contexte, législation en
Plus en détailSurtout, Données de recherche Canada salue le leadership dont le Groupe 3+ a fait preuve en mettant en branle l actuel processus de consultation.
Réponse de Données de recherche Canada au document de consultation Tirer profit des données massives : Vers un nouveau cadre stratégique pour l évolution de la recherche numérique au Canada Novembre 2013
Plus en détailBulletin de l ACFM. Principe directeur. Aux fins de distribution aux parties intéressées dans votre société
Association canadienne des courtiers de fonds mutuels Mutual Fund Dealers Association of Canada 121 King Street W., Suite 1600, Toronto (Ontario) M5H 3T9 Tél. : (416) 361-6332 Téléc. : (416) 943-1218 SITE
Plus en détailCONCOURS PHOTOS ÉTUDIANTS
RÈGLEMENT OFFICIEL CONCOURS PHOTOS ÉTUDIANTS Le Concours de photos des étudiants (le «concours») débute à minuit une HE le 23 avril 2015 («date de début du concours») et se termine à 23 h 59 HE le 26 juin
Plus en détailRÈGLEMENT SUR L ASSURANCE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE
RÈGLEMENT SUR L ASSURANCE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE QUESTIONS ET RÉPONSES NOUVEAU RÈGLEMENT 1. POURQUOI AVOIR ADOPTÉ UN NOUVEAU RÈGLEMENT? Les principaux problèmes auxquels s adresse le Règlement
Plus en détailPROPOSITION D ASSURANCE
Vous devez sauvegarder le document sur votre ordinateur avant de compléter le formulaire électronique. PROPOSITION D ASSURANCE Association québécoise des informaticiennes et informaticiens indépendants
Plus en détailLe 8 mai 2015. Bonjour,
Le 8 mai 2015 Bonjour, En janvier, La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers (Manuvie) a annoncé la conclusion de l acquisition des activités canadiennes de la Standard Life. Je souhaite vous informer
Plus en détailPROPOSITION D ASSURANCE
Vous devez sauvegarder ce formulaire électronique dans votre ordinateur avant de le remplir. PROPOSITION D ASSURANCE Barreau de Montréal Police 32388 - Période du 1 er aout 2015 au 31 juillet 2016 RENSEIGNEMENTS
Plus en détailOffice de réglementation des maisons de retraite. Conseil consultatif des parties prenantes Mandat
Conseil consultatif des parties prenantes Mandat Autorité : L (ORMR) est établi en tant que personne morale sans capital-actions en vertu de la Loi de 2010 sur les maisons de retraite. Le mandat de l ORMR
Plus en détailChapitre 7 Ministère du Développement des ressources humaines / Andersen Consulting
Ministère du Développement des ressources humaines / Andersen Consulting Contenu Contexte................................................................ 101 Examen du contrat........................................................
Plus en détailNOTE ÉDUCATIVE EXAMEN DYNAMIQUE DE SUFFISANCE DU CAPITAL ASSURANCE-VIE ET ASSURANCES IARD
NOTE ÉDUCATIVE Les notes éducatives ne constituent pas des normes de pratique. Elles visent à aider les actuaires en ce qui concerne l application de normes de pratique dans des cas spécifiques. Le mode
Plus en détailRÉGIME GÉNÉRAL D ÉPARGNE ET D ACHAT DE TITRES DE LA BANQUE ROYALE DU CANADA
RÉGIME GÉNÉRAL D ÉPARGNE ET D ACHAT DE TITRES DE LA BANQUE ROYALE DU CANADA 1. Définitions Pour les fins du présent régime, les termes énumérés ci-dessous ont le sens suivant : «actions ordinaires» désigne
Plus en détailBarème de frais des produits et services
Barème de frais des produits et services Le 4 mai 2015 Barème de frais des produits et services Sommaire Comptes bancaires 4 Compte de chèques 4 Compte Mérite 6 Compte Élan 7 Compte Épargne Privilège 8
Plus en détailGuide de la demande d autorisation pour administrer un régime volontaire d épargneretraite
Guide de la demande d autorisation pour administrer un régime volontaire d épargneretraite Mars 2015 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 3 À QUI S ADRESSE CE GUIDE?... 3 AVANT DE DÉBUTER... 4 SERVICE DE
Plus en détailPOLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT D ACTIONS INCITATIVES
POLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT Champ d application de la politique Les options d achat d actions incitatives servent à récompenser les titulaires d option pour les services qu ils fourniront à l émetteur.
Plus en détailLes régimes d avantages sociaux au Canada
Les régimes d avantages sociaux au Canada Les Canadiens vivent de plus en plus longtemps et doivent plus que jamais faire face à leur responsabilité d épargner pour la retraite. Leur espérance de vie étant
Plus en détailVeuillez transmettre vos soumissions et vos questions à : M me Maria Policelli Directrice de politique
CCRRA Le 30 mars 2004 Madame, Monsieur, Au nom du Conseil canadien des responsables de la réglementation d assurance (CCRRA), je suis heureux de vous annoncer la publication d un document de consultation
Plus en détailLa protection de vos données médicales chez l assureur
La protection de vos données médicales chez l assureur Brochure 2009 2 Questions & Réponses fréquentes FAQ 2009 La communication de données est le point de passage obligé pour le bon fonctionnement de
Plus en détailGENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006
1211122 GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 RAPPORT SOMMAIRE Cette proposition présente les recommandations de Genworth Financial Canada («Genworth») au Comité permanent des
Plus en détailConsultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers
entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles
Plus en détailChronique Assurances et gestion des risques. sous la responsabilité de Gilles Bernier 1
Chronique Assurances et gestion des risques sous la responsabilité de Gilles Bernier 1 Puisque ce numéro de la Revue, tout comme celui de janvier 2004, est consacré à l assurance automobile, j ai choisi
Plus en détailCrédit : Comment vous êtes coté
Crédit : Comment vous êtes coté Comprendre et gérer votre situation à l égard du crédit à titre de consommateur et d entreprise D-IN0440F-0201 Introduction Nous vivons dans un monde en évolution constante
Plus en détailLigne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées
Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise
Plus en détailPolice d assurance vie Acceptation garantie CIBC
Police d assurance vie Acceptation garantie CIBC PÉRIODE D EXAMEN DE 30 JOURS En tant que Titulaire, vous pouvez annuler la présente Police en tout temps en nous appelant au numéro indiqué ci-dessous ou
Plus en détailRapport 2014 sur le financement des régimes de retraite à prestations déterminées en Ontario Survol et résultats choisis 2011-2014
Rapport 2014 sur le financement des de retraite à prestations déterminées en Ontario Survol et résultats choisis 2011-2014 Commission des services financiers de l Ontario Mars 2015 Table des matières 1.0
Plus en détailFIBROSE KYSTIQUE CANADA
États financiers de FIBROSE KYSTIQUE CANADA KPMG s.r.l./s.e.n.c.r.l. Téléphone (416) 228-7000 Yonge Corporate Centre Télécopieur (416) 228-7123 4100, rue Yonge, Bureau 200 Internet www.kpmg.ca Toronto
Plus en détailL informateur. financier. Protection contre les créanciers offerte par l assurance-vie. mai 2002. Les choses changent. Vous devez savoir.
L informateur financier DU GROUPE-CONSEIL EN PROTECTION DU PATRIMOINE MD À LA FINANCIÈRE SUN LIFE Protection contre les créanciers offerte par l assurance-vie mai 2002 Les choses changent. Vous devez savoir.
Plus en détailSECTION IV. Facility, FA, FARSP et le P.R.R. sont des organismes distincts aux fonctions semblables.
SECTION IV Les établissements «Facility», «Facility Association» («FA»), «FA Risk Sharing Pool» («FARSP») et le «Plan de répartition des risques établi par le Groupement des assureurs automobiles» (le
Plus en détailÉtablissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité
Ébauche de note éducative Établissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité Commission des rapports financiers
Plus en détailLignes directrices à l intention des praticiens
Janvier 2005 Lignes directrices à l intention des praticiens Visiter notre site Web : www.cga-pdnet.org/fr-ca Le praticien exerçant seul ou au sein d un petit cabinet et l indépendance Le Code des principes
Plus en détailCCRRA. Québec, le 4 juillet 2002
CCRRA Canadian Council of Insurance Regulators Conseil canadien des responsables de la réglementation d assurance Copie à: Mr. Michael Grist Chair, CCIR Committee on Streamlining and Harmonization Québec,
Plus en détailI. Une nouvelle loi anti-discrimination
Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre
Plus en détailLES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL :
LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL : UN PARTENARIAT POUR BÂTIR DES COLLECTIVITÉS PLUS FORTES, PLUS PROSPÈRES ET PLUS DYNAMIQUES Mémoire prébudgétaire présenté par Imagine
Plus en détailprotection consommateurs commerce électronique Principes régissant la dans le Le cadre canadien des
Principes régissant la protection consommateurs des dans le commerce électronique Le cadre canadien Groupe de travail sur la consommation et le commerce électronique Principes régissant la protection
Plus en détailCadre de surveillance
Cadre de surveillance Bureau du surintendant des institutions financières 255, rue Albert, 16 e étage, Ottawa, ON K1A 0H2 Téléphone : 613-990-7788 Télécopieur : 613-952-8219 N o sans frais : 1 800-385-8647
Plus en détailRapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite
Le 19 avril 2013 Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite Le comité d experts a été formé vers la fin de 2011, et on lui a donné le mandat de formuler des
Plus en détailAPPEL D OFFRES. CONCERNANT LES CARTES ENTREPRISE DÉPLACEMENTS ET ACTIVITÉS DE REPRÉSENTATION, LES CARTES APPROVISIONNEMENT ET LES CARTES UNIQUES
APPEL D OFFRES. CONCERNANT LES CARTES ENTREPRISE DÉPLACEMENTS ET ACTIVITÉS DE REPRÉSENTATION, LES CARTES APPROVISIONNEMENT ET LES CARTES UNIQUES Entreprise XYZ inc., ses filiales et sociétés affiliées
Plus en détailENTENTE DE RECONNAISSANCE MUTUELLE VISANT À FACILITER LA MOBILITÉ DES INGÉNIEURS ENTRE L IRLANDE ET LE CANADA
ENTENTE DE RECONNAISSANCE MUTUELLE VISANT À FACILITER LA MOBILITÉ DES INGÉNIEURS ENTRE L IRLANDE ET LE CANADA (Ébauche, novembre 2007) 1 PARTIES 1.1 L Institution of Engineers of Ireland (Engineers Ireland)
Plus en détailEXPORTATION ET DÉVELOPPEMENT CANADA MANDAT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION
EXPORTATION ET DÉVELOPPEMENT CANADA MANDAT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION I. COMPOSITION ET FONCTIONNEMENT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION 1. Le Comité de la vérification (le «comité»)
Plus en détailD assurance-vie avec participation
D assurance-vie avec participation Le Réalisateur Patrimoine et Le Réalisateur Succession Michel Poulin,Pl,fin. Expert-conseil Régional De Commercialisation Ordre du jour Aperçu de l assurance-vie avec
Plus en détailEnseignement au cycle primaire (première partie)
Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Enseignement au cycle primaire (première partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Normes d exercice de
Plus en détailVISA PLATINE AFFAIRES VOYAGES RBC BANQUE ROYALE ASSURANCE ACHATS D ARTICLES DE PREMIÈRE NÉCESSITÉ CERTIFICAT D ASSURANCE INTRODUCTION
VISA PLATINE AFFAIRES VOYAGES RBC BANQUE ROYALE ASSURANCE ACHATS D ARTICLES DE PREMIÈRE NÉCESSITÉ CERTIFICAT D ASSURANCE VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT CE QUI SUIT : Le présent certificat d assurance est
Plus en détailRENSEIGNEMENTS IMPORTANTS AU SUJET DE VOTRE FORMULAIRE DE DEMANDE D INDEMNITÉ
RENSEIGNEMENTS IMPORTANTS AU SUJET DE VOTRE FORMULAIRE DE DEMANDE D INDEMNITÉ Le formulaire de demande d indemnité ci-joint doit être rempli entièrement, signé et retourné à notre bureau aussitôt que possible.
Plus en détailBUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la sécurité des technologies de l information (TI) Rapport final
Il y a un astérisque quand des renseignements sensibles ont été enlevés aux termes de la Loi sur l'accès à l'information et de la Loi sur la protection des renseignements personnels. BUREAU DU CONSEIL
Plus en détailInformation Le secteur des services financiers canadien
Les assurances multirisques au Canada Aperçu Information Le secteur des services financiers canadien L industrie canadienne des assurances multirisques couvre les risques de toutes les branches d assurance,
Plus en détailÉtude de cas n o 2. L épargne-retraite de Maria produit un revenu à vie optimal et offre des possibilités de croissance. Des solutions qui cliquent
Vers une meilleure Étude retraite de cas n o 2 Des solutions qui cliquent Étude de cas n o 2 L épargne-retraite de Maria produit un revenu à vie optimal et offre des possibilités de croissance À l intention
Plus en détailLes principes du professionnalisme
1. Au sein de la profession actuarielle, le professionnalisme signifie : l application des connaissances et du savoir-faire spécialisés de l actuaire; un comportement éthique, plus particulièrement dans
Plus en détailOpérations entre apparentés
exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Opérations entre apparentés Septembre 2012 DATE LIMITE DE RÉCEPTION DES COMMENTAIRES : LE 21 NOVEMBRE 2012
Plus en détailGreat-West Lifeco annonce ses résultats du quatrième trimestre de 2014 et augmente son dividende de 6 %
COMMUNIQUÉ TSX : GWO MISE À JOUR 13 h HNC La page 7 a été modifiée pour tenir compte du nouveau code d accès pour l écoute différée de la conférence téléphonique du quatrième trimestre. Les lecteurs sont
Plus en détailFormation continue des conseillers
Connaissance continue formation éducation en ligne participation Assurance-vie avec participation Objectifs d apprentissage Après avoir terminé ce cours, vous pourrez : Expliquer ce qu est l assurance-vie
Plus en détailCartes de crédit à vous de choisir. Les cartes de crédit : comprendre vos droits et responsabilités
Cartes de crédit à vous de choisir Les cartes de crédit : comprendre vos droits et responsabilités À propos de l ACFC À l aide de ses ressources éducatives et de ses outils interactifs, l Agence de la
Plus en détailL ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK
L ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK NORMES SUR L EMPLOI DE LA TECHNOLOGIE DANS LA PRATIQUE DU TRAVAIL SOCIAL 2010 Adopté le 5 juin 2010 Table des matières Remerciements p. 3 Préface
Plus en détailPlan Protection Plus Certificat d assurance - Assurance vie et invalidité
Page 1 de 5 Le présent certificat d assurance (le «certificat») renferme des détails importants sur votre couverture d assurance ; veuillez le garder en lieu sûr. La correspondance ultérieure pourrait
Plus en détailCHARTE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES ET DE RÉMUNÉRATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE TIM HORTONS INC.
CHARTE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES ET DE RÉMUNÉRATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE TIM HORTONS INC. Adoptée le 28 septembre 2009 (Modification la plus récente : novembre 2013) La présente charte
Plus en détailDécision de radiodiffusion CRTC 2008-198
Décision de radiodiffusion CRTC 2008-198 Ottawa, le 22 août 2008 Movie Central Ltd. Colombie-Britannique, Alberta, Saskatchewan, Manitoba, Nunavut, Territoire du Yukon et Territoires-du-Nord-Ouest Demande
Plus en détailConseil canadien des responsables de la réglementation d assurance. Plan stratégique 2005-2008
CCIR Canadian Council of Insurance Regulators Conseil canadien des responsables de la réglementation d assurance Conseil canadien des responsables de la réglementation d assurance Plan stratégique 2005-2008
Plus en détailDictionnaire de données de la Base de données du Système national d information sur l utilisation des médicaments prescrits, octobre 2013
Dictionnaire de données de la Base de données du Système national d information sur l utilisation des médicaments prescrits, octobre 2013 Normes et soumission de données Notre vision De meilleures données
Plus en détailDe meilleurs soins :
De meilleurs soins : une analyse des soins infirmiers et des résultats du système de santé Série de rapports de l AIIC et de la FCRSS pour informer la Commission nationale d experts de l AIIC, La santé
Plus en détailCODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS
CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS Référence : Type de politique : Références juridiques : Autres références : INTRODUCTION Gouvernance autonome Code des professions, Code civil du Québec
Plus en détailNote de service À : De :
Note de service À : De : Tous les Fellows, affiliés, associés et correspondants de l Institut canadien des actuaires et autres parties intéressées Jim Christie, président Conseil des normes actuarielles
Plus en détailFeuille d information
Feuille d information Numéro 110 Avez-vous bien planifié votre stratégie de sortie? Aide-mémoire à l'intention des dentistes qui se préparent à prendre leur retraite Après avoir travaillé sans relâche
Plus en détail