JOURNALISTES ET CONFLITS : Débats théorique et actons concrètes
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- Isabelle Sauvé
- il y a 6 ans
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1 JOURNALISTES ET CONFLITS : Débats théorique et actons concrètes ROSS HOWARD INTRODUCTION : Melissa Bauman et Hannes Siebert, qui furent parmi les premiers à s interroger sur le rôle des médias dans les confits disaient ceci : «les journalistes sont les médiateurs des confits, qu ils le veuillent ou non» Ils ont analysé la manière dont les journalistes ont couvert les travaux de la commission vérité et réconciliaton en Afrique du Sud de l après-apartheid. Ils conclurent leur travail en disant que «le journaliste professionnel, avec ses principes d impartalité, de responsabilités et de pertnence dispose automatquement d un potentel énorme et souvent inconscient pour contribuer à la résoluton des confits. C est là une évidence qui doit être reconnue de tous les journalistes». THEORIES SUR LE JOURNALISME ET LES CONFLITS De la noton de «journalisme sensible au confit» à celle de «journalisme de paix» beaucoup de concepts théoriques et pratques ont été développés pour orienter le travail des professionnels des médias pour la prise de conscience de leur rôle dans les confits et dans la consolidaton de la paix. Beaucoup de propriétaires de médias étaient contre cete nouvelle forme de journalisme comme Ronald Koven (représentant de World Press Freedom Commitee en Europe) qui disait qu «obliger les journalistes à travailler pour servir des objectfs spécifques consttue une usurpaton de son libre arbitre donc une négaton de la liberté de presse.» Ce débat de compatbilité entre journalisme professionnel et journalisme de paix n est certainement pas facile à résoudre. L auteur ne voulant pas donner une réponse à cete queston de compatbilité propose quelques théories et d autres pratques du journalisme de paix.
2 LORETTA HIEBER: Lifeline media: Reaching populatons in crisis Loreta Hieber travaillait pour Media Acton Internatonal, une ONG suisse qui s intéressait tout d abord au lien entre les médias, la queston humanitaire et le développement avant d être confrontée à au rôle des médias dans les guerres civiles. Son ouvrage traite de la façon dont les médias peuvent atrer l atenton du public sur les confits et leur possible impact dans leur résoluton. Dans sa double démarche, elle insiste sur la nécessité de fournir des informatons exactes et de s assurer de leur difusion la plus large possible. Elle propose aux médias des stratégies qui leur permetent à la fois de sauver des vies et de contribuer à la résoluton des confits. Elle fournit de nombreux projets qui utlisent des techniques médiatques pour conscientser les populatons à apaiser els tensions et promouvoir la réconciliaton. Elle prône un journalisme au service de l humanitaire qu elle nomme journalisme «pro-actf». Comment faire du journalisme pro-actf? D habitude les médias en temps de crise préfèrent se focaliser sur les aspects spectaculaires. Ils réduisent le confit à une confrontaton entre bons et mauvais en commentant les atrocités. Les reportages de guerres ne s interesse qu à la parte visible du confit et déshumanisent «l ennemi» en rapportant les atrocités commises. Loreta déplore ce type de journalisme qui selon elle, il ne peut en résulter qu une paix se basant sur la victoire d un camp. Ils répercutent la positon de certaines élites politques ou militaires impliqués dans le confit. Le journalisme «pro-actf», lui, veille à l impartalité et à l exacttude des informatons qui sont données. Sur la queston des enfants soldats, le journaliste «pro-actf» ne s intéressera pas aux atrocités commises par ces jeunes comme les journalistes classiques mais metra plutôt en évidence la difculté d échapper à l enrôlement, sur les programmes de réinserton éducatve ou sociale qui permetent à certains de s en sortr. Elle pense que «le bon journalisme consiste à éduquer, à rendre confance, à dénoncer les stéréotypes, à analyser les causes sous-jacentes des confits, à
3 humaniser les protagonistes pour que chaque parte puisse mieux comprendre l autre, et donc permetre l émergence d alternatves à la violence.» L auteur pense aussi qu il faut changer les attudes même du public dans le sens d une culture de la paix. Il s agit de faire en sorte que «les gens passent d une positon de compétton à une positon de coopératon.» Un enjeu important réside notamment dans le choix de la langue et du vocabulaire à employer, la sélecton des partenaires de travail pour assurer la joncton entre l ancien journalisme et le nouveau journalisme. Exemple concrets: Parmi les applicatons de Lifeline Media un peu partout au monde se trouve l exemple du Mali où les pasteurs et les agriculteurs rentrent constamment en confits sur les points d eaux et les terres. La voix de Douentza, une radio locale, a créé des émissions de fcton sur l importance de la négociaton au lieu de la violence. Le gouvernement et les populatons locales estment que ces émissions ont eu un bon efet sur ces confits qui ont carrément diminué. S A N D R A D. M E L O N E, G E O R G I O S T E R Z I S E T O Z S E L B E L E L I Using the media for confict transformaton: The common ground experience Search of Common Ground (Recherche d un terrain d entente) est l une des organisatons les plus expérimentées dans la constructon de la paix par les médias. Elle travaille surtout dans les milieux touchés par les confits interethniques. Depuis la fn de la guerre froide beaucoup de dirigeants recourent à la dimension identtaire pour faire valoir leurs aspiratons. Dans ce contexte les médias servent à appuyer les «élites ethniques» et à transformer les minorités ou les groupes faibles en des ennemis. SFCG pense que si les journalistes se tenaient à l éthique des médias, on peut tout à fait contrecarrer ce genre de journalisme de la haine et réparer les dégâts qu il a causés.
4 Le SFCG demeure convaincu que «les médias ne peuvent pas rester neutres faces aux enjeux de la paix ( ) la manière dont ils couvrent un évènement infuence considérablement la percepton qu en a le public ( )» Le CFCG vise trois cibles dans le secteur médiatque. Il s agit des journalistes eux-mêmes, du contenu médiatques et le champ politque. Pour les journalistes, le CFCG leur ofre des formatons pour les pousser à utliser des termes qui enfamment moins la passion et favoriser en même temps la compréhension interculturelle entre les journalistes venant de diférents pays. Pour le contenu médiatque, le CFCG crée des feuilletons télévisés destnés aux enfants. Dans ces feuilletons on apprend aux enfants la tolérance interculturelle et la recherche du consensus. Enfn des productons artstques produit par des éléments venant de groupes ethniques diférents ou de tendance politque opposée. Comment rechercher ce terrain d entente : Le SFCG en plus d utliser le champ médiatque y ajoute des forums, des tables rondes, des carrefours de collaboraton interethnique au sein d une profession et d autres mécanismes permetant de réunir des groupes opposés pour débatre de leurs problèmes communs. Le CFCG insiste sur la nécessité d évaluer chaque cas après applicaton, voir ce qui a marché et ce qui a échoué. En général les cas d échec sont dus à l utlisaton d un média inadéquat ou au manque de fnancement. Une initatve réussie doit servir d exemple et s inscrire dans la durée et prévoir un plan conduisant à l autosufsance. ADIODUN ONADIPE ET DAVID LORD : African media and confict
5 Les auteurs de cete théorie se préservent de prétendre à une généralisaton du rôle des médias dans les confits africains compte tenu de la diversité du contnent mais restent convaincus qu une étude approfondie permetra de repérer des constantes concernant leur rôle. Selon Onadipe et Lord, tout confit violent peut être analysé comme un phénomène social relevant des inégalités sociales ou quand deux personnes ou groupes pensent ne pas pouvoir partager l objet qu ils convoitent tous deux. Ils parviennent à la conclusion que les méthodes appliquées par les insttutons internatonales (ONU, CEDEAO, UA) sont très inefcaces face à la diversité des confits. Pour ces deux auteurs même si la préventon des confits est difcile à réussir ceci reste la meilleure façon de faire face à ces confits africains. Ils insistent notamment sur la liberté de presse dans l environnement médiatque. Il arrive que des journalistes bien formés partent dans certaines zones où les lois sont carrément bafouées et les régulateurs deviennent des corrompus censeurs des médias. Le pouvoir doit donc fournir sufsamment d efort pour améliorer la capacité des médias africains pour qu ils puissent donner l informaton dont les populatons ont besoin en période de confits. 4- DUSAN RELIJK : The news media and the transformaton of ethnopolitcal conficts Son travail se fonde sur le processus de démocratsaton dans les pays de l Europe de l Est mais est applicable à l Afrique. Il constate «dans la réalité peu de chance de réellement infuencer l issue d un confit car la plupart du temps ils sont instrumentalisés par les belligérants. ( ) c est donc la combinaison d actons concertées menées parallèlement sur le plan politque, économique, social médiatque et surtout éducatf qui permetrait d avoir un impact positf.» En termes clairs, même si l on est conscient de nos jours de l impact que les médias des médias sur les confits, il faut reconnaitre que tout déploiement médiatque nécessite un certain nombre de paramètre dont un environnement
6 légal et réglementaire adéquat, la viabilité économique, la tolérance politque et la société elle-même doit être favorable aux solutons dites non violentes. Ceci pour leur propre sécurité. Il focalise son travail sur les sociétés déchirées par les confits intracommunautaires. Dans ce genre de confits, en général, les gens partagent certaines caractéristques culturelles, se proclament uniques et œuvrent pour un traitement partculier. Ce type de revendicaton conduit inévitablement à la violence. Dans de telles conditons comment les médias doivent se comporter pour contrer ces revendicatons identtaires et se montrer constructfs? La démocrate consensuelle : Depuis toujours il y a eu des confits et il en ressort toujours de la victoire d un groupe ou dans les cas extrêmes à l exterminaton de des autres. Mais il y a d autres solutons comme ce qu on appelle la démocrate consensuelle. Son applicaton dans un pays multethnique nécessite un partage équitable du pouvoir politque et un renoncement sans équivoque à la violence. Dans ce type de résoluton, le journalisme doit être responsable en évitant les stéréotypes et els parts pris et promouvoir la paix dans ses reportages. La démocrate consensuelle exige des médias qu ils soient fables. Il distngue quatre conditons préalables pour toute constructon de la paix par les médias : - Un Etat de droit - Un environnement économique où les médias sont des entreprises indépendantes fnancièrement et non étatques. - Une opinion publique se reconnaissant dans les valeurs démocratques - Des médias indépendants du pouvoir et en jamais lui servir de porte-voix. Sans ces conditons, le travail est voué à l échec. Il cite l exemple d un magazine croate qui bénéfciait de beaucoup de fnancement de la part des ONG mais qui n a pas eu long feu car les populatons n étaient pas prêtes à écouter le genre de discours produit car ils étaient trop captvés par les discours natonalistes. Il note enfn que journalisme et démocrate exigent un environnement favorable pour vraiment pouvoir se déployer dans tout territoire en confit.
7 5- Tim Allen et Jean Seaton : The media of confict : war reportng and representaton of the ethnic violence Le journalisme superfciel consiste à présenter toute guerre comme un confit ethnique et à se focaliser surtout sur les scènes choquantes et explique tout les confits africains en les prenant pour des confits ethniques basé sur des antagonismes hérités de l histoire. Ce genre d analyse sur la seule base ethnique permet aussi aux gouvernements et l opinion publique de ne pas prendre leurs responsabilités. Confits sociaux plutôt qu ethnique : De nos jours tous les confits ne sont pas dus à des divergences naturelles ou biologiques mais plutôt sociales. Le pouvoir et l argent sont la plupart du temps les bases mêmes de ces guerres dites ethniques. Si les médias veulent vraiment connaitre la vérité dans les confits, ils doivent dépasser ces explicatons simplistes et aller en profondeurs des choses. Leur analyse a porté sur les confits dans beaucoup de pays au monde et partculièrement en Afrique où elle a porté sur des pays comme le Libéria, l Ouganda, le Rwanda ou encore le Zimbabwe. Au Libéria, Philippe Atkinson, co-auteur constate que les libériens ont toujours formé des alliances avec des hommes politques ou d afaires. Tout conduirait à croire que ces alliances sont préconçues et répondent à des normes comportementales ancestrales. Ces pratques répondent en réalité à des intérêts politques et économiques. Cete descripton des médias du confit libérien comme fruit d une haine ethnique plutôt que le résultat d une oppression économique et politque a conduit la communauté internatonale à envisager des solutons non adéquates. En prenant aussi l exemple du Rwanda, un des auteurs de cet ouvrage, David Keen, afrme que le facteur ethnique n est pas la cause du génocide. La tragédie a été minuteusement préparée par le gouvernement hutu pour saboter le processus de paix engagé et par la même occasion conserver son pouvoir et ses privilèges économiques et non l érupton d une haine ethnique
8 ancienne qui a brusquement explosé comme le décrivent certains médias africains et internatonaux. Il conclut leur travail sur un amer constat sur les conséquences des guerres. De nos jours 90% des victmes de guerre sont des civils alors que les belligérants passent nt leur temps à s éviter.
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