07/06/2013. Insuffisance rénale chronique, Cancer, Médicaments. et vice versa. Pr L Frimat-Service de Néphrologie (l.frimat@chu-nancy.
|
|
- Aubin Rochette
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Insuffisance rénale chronique, Cancer, Médicaments et vice versa Pr L Frimat-Service de Néphrologie (l.frimat@chu-nancy.fr) 1
2 MRC & IRC MRC Paranéoplasique (GNC, hémopathie) Chimiothérapie Radiothérapie Néphrectomie Toxines Dialyse Transplantation? Cancer Stengel B. J Nephrol MRC & IRC Toxines Dialyse Transplantation Cancer Stengel B. J Nephrol
3 Maladie rénale chronique Facteur génétique Exposition à un toxique Mode de vie Immunomodulateur Toxique spécifique «Urémie chronique» Suppléance Cancer Définition Epidémiologie des cancers = caractéristiques de distribution des cancers chez l homme Manifestations de la maladie dans une population, une classe d âge, un groupe ethnique un sujet isolé avec ses propres facteurs de risque 3
4 Population étudiée Séries multicentriques / registres hospitaliers Registres nationaux ou régionaux Séries multicentriques Réserves importantes car biais de sélection +++ Relation de cause à effet MRC IRCT traitée Cancer 4
5 Séries multicentriques Association IRCT traitée par dialyse et cancer du rein Nombreuses publications concordantes = reproducibilité Dans les suites d une multikystose = séquentialité 5% des candidats à la greffe rénale = puisssance de l association Ancienneté de l insuffisance rénale chronique = relation effet-dose Fréquence des tumeurs papillaires = logique physiopathologique Registres régionaux Registres nationaux Avantages Exhaustivité Fiabilité Faible taux de perdus de vue Puissance statistique élevée Inconvénients Biais d avance au diagnostic Sous déclaration des évènements Précision limitée 5
6 SIR [IC 95%] = Ratio d incidence standardisé Nombre de cas observés Nombre de cas attendus selon les taux d incidence par sexe et classe d âge dans la population de référence Danemark (Birkeland Kidney Int 2003) Registre des biopsies rénales (1985) Registre des cancers (1943) GNC : significative du risque de lymphome ou d hémopathie ( 6 à 8 ) 1 an, 1-5 ans, > 5 ans GN extramembraneuse, endocapillaire et membranoproliférative 6
7 Maisonneuve (Institut européen du cancer, Milan) Lancet 1999 > dialysés incidents USA, Europe, Australie / NZ ( ) Exclusion des patients ayant un cancer (4 %) > 2 millions personnes-années > cancers (cancer cutané excepté) Par comparaison avec la population générale respective Australie / NZ SIR 1,8 (IC 95% : 1,7 2) USA SIR 1,2 (IC 95% : 1,2 1,2) Europe SIR 1,1 (IC 95% : 1,0 1,1) 7
8 Cancer du rein : 3,6 (IC 95% : 3,4 3,7) Cancer de la vessie : 1,5 (IC 95% : 1,4 1,5) Cancer de la thyroïde Cancer viro-induit : foie Maisonneuve JASN 2003 Cancer du rein Ancienneté Maladie rénale IRC Multikystose Cancer du rein Exception : polykystose Cancer de la vessie Exposition aux toxiques 8
9 Birkeland Lancet 2000 HOMMES Tout site IRCTT 1,14 [0,83-1,52] Transplantation 1,61 [1,16-2,19] FEMMES Tout site IRCTT 1,19 [0,81-1,68] Transplantation 2,2 [1,65-2,88] Transplantation France NDT soumis HOMMES FEMMES Tout site 2,2 [1,4-3,4] Reins propres 19,7 [7,2-43] Prostate 3,7 [1,02 9,6] Tout site 2,5 [1,2-4,6] Col utérin 42,1 [15,4-91] LMNH 20,5 [2,5 74] 9
10 Augmentation du risque de cancer chez les jeunes Moins de 35 ans : 8 65 ans et plus : 1,1 Registre REIN -Rapport Mortalité CV versus non-cv ( dialysés européens ) CV 39,1% ; Infection 14,6% ; Cancer 7,8% ; Cachexie 4,7% De Jager DJ. JAMA
11 Conclusion Moins de 35 ans Cancer du rein et de la vessie Lymphome, hémopathie Cancer viro-induit Thyroïde Insuffisance rénale Cancer 11
12 1127 IRA Tenon (2,5%) IRA après cancer 5 obstructives 11 NTA (sepsis, iode) 3 SHU post-chimio 4 tubulopathie (cisplatine) Évolution décès 1 dialyse définitive 3 IRC 3 Besançon 2% Prévention de l insuffisance rénale aiguë 1. Ne rien prescrire avant évaluation de la fonction rénale 2. Diagnostiquer et traiter tout état de déshydratation Se rappeler que la sensibilité aux diurétiques augmente avec l âge. Quelque soit l âge, les IEC ne sont pas contre indiqués en l absence de déshydratation. 3. Éviter les explorations radiologiques «inutiles» 4. Ne pas prescrire d antibiotiques néphrotoxiques 5. Se rappeler que les AINS ne guérissent pas l arthrose 12
13 La survie des cancers s améliore régulièrement Exemple Adénocarcinome mammaire avec métastases osseuses Femme de 35 à 85 ans Médiane de survie : 3 ans ½ > 10 ans : 15 % taux de prévalence brute de l IRC 3300 cas par millions d habitants Majoritairement âgés de plus de 75 ans. 27 % sont diabétiques et 60 % hypertendus. Prescripteur MG 37 %, spécialiste non néphrologue 61 %, néphrologue 2 % EPIRAN Epidémiologie de l insuffisance rénale dans l agglomération de Nancy (Pr M Kessler) 13
14 > % % % < 30 0,4 % ¾ des prescriptions justifie une adaptation thérapeutique. Étude IRMA (V Launay-Vacher) L insuffisance rénale aiguë est traditionnellement définie par son caractère brutal et son potentiel de réversibilité. Mais Total Hommes Femmes < >85 âge (années) Incidence d IRA (pmh) dans le département de la Marne en
15 La survie des cancers s améliore régulièrement Conséquence Plus de médicament, Plus longtemps. Anticancéreux et Traitement adjuvant Biphosphonates et rein L insuffisance rénale aiguë semble exceptionnelle. Mais Le zolédronate a été responsable d une toxicité tubulaire : dose dépendante liée à la vitesse de la perfusion liée au nombre total d injections avec insuffisance rénale chronique séquellaire. Hypothèse Une exposition répétée et brutale à un biphosphonate pourrait occasionner une nécrose tubulaire dont le potentiel de régénération diminuerait au fur et à mesure des nouvelles injections entraînant une destruction néphronique définitive. 15
16 Recommandation Prévention de toute néphrotoxicité Dialyse 2. MRC & IRC Chimiothérapie Radiothérapie Néphrectomie Toxines Cancer Stengel B. J Nephrol
17 En 2005, femme de 68 ans, 54kg ; 1m62 ; IMC 20 kg/m² ; SC 1,54m² 1997 : Mastectomie droite pour cancer 2000 : Chimiothérapie pour récidive 2001 : Cockcroft 101 ml/min (Créatininémie 4,8 mg/l) 2003 : Hypertension artérielle 2005 : Cockcroft 48 ml/min (Créatininémie 9,5 mg/l) Clairance mesurée sur les urines des 24 h : 49 ml/mn Protéinurie, hématurie : absentes Échographie : grand axe 10 cm MDRD : 59 ml/min/1,73m² Clairance EDTA marqué au 51 Cr : 74 ml/min/1,73 m² I Chimiothérapie C A R Zimmer-Rapuch S. Bulletin du cancer
18 I C A R Chimiothérapie Zimmer-Rapuch S. Bulletin du cancer 2012 I C A R Chimiothérapie Zimmer-Rapuch S. Bulletin du cancer
19 Cisplatine et rein Fuite urinaire de magnésium, protéinurie tubulaire Insuffisance rénale aiguë dose dépendante liée à la vitesse de la perfusion liée à la dose cumulée (nombre total d injections) avec insuffisance rénale chronique séquellaire. < 850 mg DFG 10% > 850 mg DFG 40% Toxicité tubulaire directe (gouttelettes hyalines) + réaction inflammatoire avec nécrose, glomérules et Vx normaux Fibrose interstitielle rapide Déshydratation + Anticancéreux + AINS en auto-médication = Nécrose tubulaire aiguë 19
20 Prescrire chez l insuffisant rénal Évaluer la fonction rénale Vérifier la fonction hépatique Arrêter les autres toxiques Définir la dose de charge Réduire la dose d entretien Adapter selon les taux sériques Conséquences endothéliales de l inhibition du VEGF Eremina V et al. NEJM
21 Gestion des chimiothérapies chez le patient hémodialysé ICAR Janus N. Bulletin du cancer
22 Pharmacodynamie, chronothérapie => la toxicité varie en fonction de la période de la journée Mormont SC. Cancer 2003 Pharmacodynamie, chronothérapie Hrushesky W. Science 1985 Lévi F. J Clin Oncol
23 Interaction effet du médicament & environnement Werner C. JACC 2008 Radiothérapie Tolérance rénale à l irradiation (1995) Wong Hee Kam S. Cancer/Radiothérapie
24 Tolérance rénale à l irradiation Wong Hee Kam S. Cancer/Radiothérapie 2010 Fonction rénale par mesure isotopique chez des donneurs vivant de rein Néphrectomie Grewal GS, Blake GM. Nuclear Medicine Communications 2005;26:
25 HTA traitée 16% de patients traités à 1 an (3 HTA de novo) monothérapie : 75% bithérapie : 17,5% trithérapie : 7,5% Fonction rénale DFG (isotopique) pré-op = 108,4 ±21,3 DFG (isotopique) 4 mois = 78,8 ± 17,7 Baisse de 26 % Place du néphrologue 25
26 Prevalence of chronic kidney disease in cancer patients > % % % < 30 0,4 % ¾ des prescriptions justifie une adaptation thérapeutique. Launay-Vacher V. Cancer 2007 La question des formules d estimation Poole SG. Ann Oncol
27 CISPLATINE : Le cisplatine est très majoritairement éliminé par voie rénale (90 %) (1). Il est donc théoriquement nécessaire d'adapter la posologie chez le patient insuffisant rénal. La posologie usuelle chez le patient ayant une fonction rénale normale est de 50 à 100 mg/m² en administration IV toutes les 3 à 6 semaines soit en perfusion unique, soit en administration fractionnée de 10 à 24 mg/m²/jour sur 5 jours. Chez le patient ayant une insuffisance rénale définie par une clairance de la créatinine inférieure à 15 ml/mn et chez le patient hémodialysé, il convient de diminuer les doses initiales de 50 % par rapport aux posologies usuelles, ce qui correspond en pratique à administrer 25 à 50 mg/m² toutes les 3 à 6 semaines en une seule injection (2-6). Cette posologie pourra être ajustée par la suite en fonction de la tolérance et de l'efficacité cliniques. Le cisplatine est lié aux protéines plasmatiques de façon irréversible (taux de liaison supérieur à 90 %) (1). Le cisplatine libre est quant à lui fortement dialysable. Par conséquent, l'élimination dans le dialysat de la forme libre ne sera pas compensée par un relargage à partir de la fraction liée et le traitement perdra en efficacité (la forme liée étant dépourvue d'activité cytotoxique). C'est pourquoi il est recommandé d'administrer le cisplatine un jour sans dialyse ou bien après la séance, les jours d'hémodialyse (6,7). Ainsi,chez votre patient, nous vous proposons de débuter le traitement à une posologie réduite de 50 % soit 25 à 50 mg/m² toutes les 3 à 6 semaines en une seule injection. Cette posologie pourra être ajustée lors des cures suivantes en fonction de la tolérance et de l'efficacité cliniques, ainsi que des taux résiduels de platine libre. Les effets indésirables liés à un surdosage en cisplatine se manifestent essentiellement par une toxicité médullaire (maximale entre J14 et J21), auditive, neurologique (neuropathie périphérique) et rénale. Cette dernière n'est plus un problème chez votre patient hémodialysé. Références Cisplatine : (1) Prestayko AW et al. Cisplatin (cisdiamminedichloroplatinum II). Cancer Treatment Reviews 1979; 6: (2) Tanabe N, Goto M, Morita H et al. Pharmacokinetics of cis-diammine-dichlor-platin in a hemodialysis patient. Cancer Invest 1991; 9(6): (3) Gorodesky R et al. Plasma platinium elimination in a hemodyalisis patient treated with cisplatin. Therapeutic Drug Monitoring 1995; 17 (2): (4) Kurisu A, Hata T, Owada A. Full-dose chemotherapy for esophageal cancer patient under hemodialysis. Nephron 2002; 92(4): 960. (5) Watanabe R, Takiguchi Y, Moriya T et al. Feasibility of combination chemotherapy with cisplatin and etoposide for haemodialysis patients with lung cancer. Br J Cancer 2003; 88(1): (6) Launay-Vacher V, Karie S, Deray G. GPR Anticancéreux. 4ème Edition. Guide de prescription des médicaments chez le patient insuffisant rénal. Méditions International, Paris, (7) Janus N, Thariat J, Boulanger H, Deray G, Launay-Vacher V. Proposal for dosage adjustment and timing of chemotherapy in hemodialyzed patients. Ann Oncol 2010; 21(7): Identification des patients nécessitant un suivi Néphrologique 27
28 La problématique de l insuffisance rénale aiguë L insuffisance rénale aigüe est une pathologie fréquente [Coca S, Am J Kidney Disease 2009; 53: ] Associée à une augmentation du risque de mortalité [Lafrance JP, J Am Soc Nephrol 2010; 21: ] Et à un risque d insuffisance rénale chronique séquellaire [Wald R, JAMA 2009;302: ] [Am J Kidney Dis 2012; 60: ] Sujets IRA + Sujets contrôles IRA avec récupération complète (719) Sujets contrôles sans IRA (3090) [< 1,1*créatinine basale 7 jours après la sortie] Critère principal: IRC stade 3 (90 jours après la sortie) 28
29 Caractéristiques des patients selon le groupe [Am J Kidney Dis 2012; 60: ] Objectif: estimer le risque d IRC chez des patients ayant la même probabilité d insuffisance rénale aiguë à l admission Risque d insuffisance rénale de stade 3 associé à l IRA [métavariable: score de propension d insuffisance rénale aigue] Type d analyse Mesure du risque [HR,95%CI] Stratification sur PS 3,82 (2,81-5,19) Appariement sur PS 4,08 (2,61-6,36) Ajustement sur PS 4,50 (3,29-6,14) Am J Kidney Dis 2012; 60:
30 L insuffisance rénale aiguë pourrait être associée à une augmentation du risque de maladie rénale chronique Les patients ayant fait une insuffisance rénale aiguë sortant d hospitalisation doivent être surveillé Le suivi Néphrologique des patients ayant eu une IRA est nécessaire si on applique les recommandations actuelles. [Am J Kidney Dis 2012; 60: Prise en charge des patients ayant fait une insuffisance rénale aiguë? 30
31 [J Am Soc Nephrol 2012;23: ] IRAavecduréed hospitalisation<30j(n=14474) Sorti sans suivi Néphrologique avec DFGe < 60 ml/mn(n=3929) Etude de 4 événements: Décès, Dialyse, egfr > 60 ml/mn, Consultation néphrologique Caractéristiques de la population étudiée [J Am Soc Nephrol 2012;23: ] 31
32 Une analyse statistique des évènements concurrents Objectif: prendre en compte le fait que la survenue d un évènement peut empêcher l observation d un autre [J Am Soc Nephrol 2012;23: ] Caractéristiques des sujets non suivi par un Néphrologue [J Am Soc Nephrol 2012;23:
33 [J Am Soc Nephrol 2012;23: ] Une proportion importante de patient justifiant d un avis néphrologique ne sont jamais vu en consultation Une politique de prise en charge à mettre en place pour les patients ayant une IRA en cours d hospitalisation? 33
34 Maniement des anticancéreux et Adaptation posologique Hassan Izzedine La Pitié, Paris 34
35 Fréquence des cancers solides par an en France? A / an B / an C / an D / an Ateliers Roche en Néphrologie 69 Fréquence des cancers solides par an en France? A / an B / an C / an D / an Ateliers Roche en Néphrologie 70 35
36 Fréquence de l IR dans la population française traitée pour un cancer solide? A 20 % B 50 % C 80 % D 100 % Ateliers Roche en Néphrologie 71 Étude Insuffisance Rénale et Médicaments Anticancéreux Population : patients 90 Prévalence de l IR selon créatininémie 50 Prévalence de l IR selon amdrd patients % patients % ,9 52,9 % ,2 % 10 11, < 110 >= 110 ND 0 0,9 >= <30 Créatininémie (µmol/l) DFG amdrd (ml/min/1.73m 2 ) Launay-Vacher V et al, J Clin Oncol 2006, ASCO Annual Meeting Proceeding Part I, 24/ 185 Ateliers Roche en Néphrologie 72 36
37 Fréquence de l IR dans la population française traitée pour un cancer solide? A 20 % B 50 % C 80 % D 100 % Ateliers Roche en Néphrologie 73 La prescription des médicaments anti-cancéreux est adaptée à la fonction rénale chez : A 20 % B 50 % C 80 % D 100 % Ateliers Roche en Néphrologie 74 37
38 Étude Insuffisance Rénale et Médicaments Anticancéreux Ordonnances : n = 7181 prescriptions 53.4% nécessitaient une adaptation posologique 53.3% des prescriptions sont potentiellement néphrotoxiques 80% des patients traités 1 produit néphrotoxique Ateliers Roche en Néphrologie 75 La prescription des médicaments anti-cancéreux est adaptée à la fonction rénale chez : A 20 % B 50 % C 80 % D 100 % Ateliers Roche en Néphrologie 76 38
39 1 er Cas Clinique Mme B. 82 ans Poids 45 kg Créatininémie 94 µmol/l Après 3 cycles : Créat 250 µmol/l HTA, Pu et Hu Cancer du pancréas avec métastases osseuse IV Fluorouracile (5-FU) Oxaliplatine Gemcitabine IV Zoledronate Ateliers Roche en Néphrologie 77 Chimiothérapie anticancéreuse et Rein Parmi les 3 molécules prescrites, la (les) quelle (s) est (sont) néphrotoxique (s)? A Aucune B Toutes C Gemcitabine et Oxaliplatine D Gemcitabine seule Ateliers Roche en Néphrologie 78 39
40 Chimiothérapie anticancéreuse et Rein Chez le patient IR, une adaptation posologique est nécessaire pour A Aucune des molécules B Toutes les molécules C La gemcitabine et l oxaliplatine D La gemcitabine seule Ateliers Roche en Néphrologie 79 5-Fluorouracile - Pas néphrotoxique Platines Néphrotoxique (NTA) Cisplatine> Carboplatine> Oxaliplatine. Gemcitabine Néphrotoxique (SHU) Platine Adaptation posologique Posologie normale Cisplatine Carboplatine Oui (pour CrCl < 60 ml/min) Oui (Formule de Calvert) Posologie normale Oxaliplatine Non Insuffisance rénale pré-existante Déshydratation Ins cardiaque, ascite, œdème, Néphrectomie Mme B Anémie Médications néphrotoxiques concomitantes Surdosage Aronoff GR et al. Drug prescribing in renal failure 4th ed, Launay-Vacher V et al. GPR Anticancéreux, 3rd ed, 2005 Ateliers Roche en Néphrologie 80 40
41 Gemcitabine Notre expérience GHPS cas sur 706 patients traités Incidence : 0.4% Après 2 cycles 1 DC, 2 non dialysées Revue de la littérature 85 cas 56 analysables 29H/27F Age moyen : 56.4ans Survenue : mois de traitement Dose cumulée médiane : 22.5 ± 14g Protéinurie : 66% Hématurie : 60% HTA : 75% Survie médiane : 16 mois (cancer) 7/10 IRC 3/10 hémodialyse Izzedine et al. NDT In press Ateliers Roche en Néphrologie 81 Kaplan-Meier plot of overall survival Kaplan-Meier plot of renal overall survival Median: 16 months (95% CI, 11 to 24) Median: not yet attained 95% CI: not yet attained Time (months) Time (months) Izzedine et al NDT In press Ateliers Roche en Néphrologie 82 41
42 Chimiothérapie anticancéreuse et Rein Parmi les 3 molécules prescrites, la (les) quelle (s) est (sont) néphrotoxique (s)? A Aucune B Toutes C Gemcitabine et Oxaliplatine D Gemcitabine seule Ateliers Roche en Néphrologie 83 Chimiothérapie anticancéreuse et Rein Chez le patient IR, une adaptation posologique est nécessaire pour A Aucune des molécules B Toutes les molécules C La gemcitabine et l oxaliplatine D La gemcitabine seule Ateliers Roche en Néphrologie 84 42
43 Les Bisphosphonates IV Sont néphrotoxiques : A Aucun bisphosphonate IV B Tous les bisphosphonate IV C Pamidronate et Zolédronate D Pamidronate seul Ateliers Roche en Néphrologie 85 Chez le patient IR, une adaptation posologique est nécessaire pour : A Aucun bisphosphonate IV B Tous les bisphosphonate IV C Pamidronate et Zolédronate D Pamidronate seul Ateliers Roche en Néphrologie 86 43
44 Zoledronate 1 Néphrotoxique : Pamidronate 2 Néphrotoxique : Ibandronate 3 Néphrotoxique? FDA : 72 cas de NTA 25% après 1 dose normale 37.5% (1 dialyse) 25% décédés Incidence : 9 à 24% IR antérieure RR 4,6 pour IRA Prévention Hydratation? Perfusion: en mn? ClCr < 60 ml/min cas dans la littérature Tubulointerstitielle (3 cas) Glomérulopathies (17 cas) HSF collapsante (10 cas) Aucun cas rapporté Evaluation en cours Pas de néphrotoxicité dans les études cliniques 4,5 (1,3) 4,0 (2,6) 1. Chang JT et al. N Engl J Med 2003; Henrich WL. Kidney Int 2005; Oh WK et al. ECCO Argoud MA. Néphrotoxicité des Bisphosphonates Thèse de Medecine. Mars 2006 UPMC 3. Body JJ et al. Ann Oncol 2003, Diel I et al. Eur J Cancer 2004 Bisphosphonates IV ClCr (ml/mn) Zoledronate Pamidronate Ibandronate mg/3-4 sem mg/sem 6 mg/3-4 sem : 3.5 mg/3-4 sem 50-40: 3.3 mg/3-4 sem 40-30: 3.0 mg/3-4 sem mg/sem 6 mg/3-4 sem non recommandé 60 mg/sem 2 mg/3-4 sem Hémodialyse non recommandé mg/sem 2 mg/3-4 sem Launay-Vacher V et al. GPR Anticancéreux, 3rd ed, Ateliers Roche en Néphrologie 88 44
45 Les Bisphosphonates IV Sont néphrotoxiques : A Aucun bisphosphonate IV B Tous les bisphosphonate IV C Pamidronate et Zolédronate D Pamidronate seul Ateliers Roche en Néphrologie 89 Chez le patient IR, une adaptation posologique est nécessaire pour : A Aucun bisphosphonate IV B Tous les bisphosphonate IV C Pamidronate et Zolédronate D Pamidronate seul Ateliers Roche en Néphrologie 90 45
46 Récapitulons pour ce 1 er cas clinique Cancer du pancréas 5-FU Oxaliplatine Gemcitabine Dose normale Dose normale Dose normale OK Métastases osseuses : Zoledronate Dose normale NON! CrCl < 30 ml/min «Non recommandé» Ateliers Roche en Néphrologie 91 2 ème cas : Traitements anti-angiogéniques et Rein Bevacizumab VEGF trap Sunitinib & Sorafenib Ateliers Roche en Néphrologie 92 46
47 Les antiangiogéniques Les antiangiogéniques sont responsable A d HTA sans protéinurie ni IR B de protéinurie sans HTA ni IR C d HTA et de protéinurie Ateliers Roche en Néphrologie 93 Chez le patient IR sévère, une adaptation posologique est nécessaire A Oui B Non C On ne sait pas Ateliers Roche en Néphrologie 94 47
48 Cas Clinique F, 59 ans Cancer ovarien métastasé Gemcitabine arrêtée 1 an auparavant Protocole : Irinotecan+5FU+VEGF Trap VEGF Trap : 4.0 mg/kg/15jours 1 ère cure 2 ème cure TA (mmhg) 120/70 190/90 Créat (µmol/l) Alb (g/l) Pu (g/24h) Hu Hb (g/dl) Pq (/mm 3 ) Hapto (g/l) 1.3 x oroso Schizocytes + LDH (UI/l) 680 UI/l Izzedine et al. Nephrol Dial Transplant In press Ateliers Roche en Néphrologie 95 Etude du complément : normal Etude de ADAMTS-13 : normal Activité protéolytique du facteur vw : 56% Recherche Ac anti-vegf Trap : négative Izzedine et al. Nephrol Dial Transplant Ateliers Roche en Néphrologie 96 48
49 Traitement Évolution Anti HTA TA contrôlée Corticothérapie Protéinurie 0.5g/j Plasmathérapie Créatininémie: 120 µmol/l Plasmaphérèse Mdie ovarienne évolutive Arrêt du protocole Traitement actuel Ateliers Roche en Néphrologie 97 VEGF-Trap Phase I 27 patients avec cancer avancé prétraités 52% HTA (12/23) 69% protéinurie (16/23) 4 patients avec PBR pour syndrome néphrotique 3 MAT 1 GNEC Ateliers Roche en Néphrologie 98 49
50 Bevacizumab Sunitinib Sorafenib AG HTA ¾ % 16.5% 2-7% 1-31% 12-30% Pu 13-32% 32% 22% ND 8% IR 37.5% ND ND PBR HSF collapsante GN cryo ND ND ND Ateliers Roche en Néphrologie 99 Les antiangiogéniques Les antiangiogéniques sont responsable A d HTA sans protéinurie ni IR B de protéinurie sans HTA ni IR C d HTA et de protéinurie Ateliers Roche en Néphrologie
51 Chez le patient IR sévère, une adaptation posologique est nécessaire A Oui B Non C On ne sait pas Ateliers Roche en Néphrologie 101 REIN et ANTICANCEREUX La toxicité rénale des anticancéreux reste un problème d actualité L insuffisance rénale, facteur de risque majeur, est fréquente dans la population des patients atteint d un cancer Le dépistage de l IR est capital pour mieux adapter la posologie des médicaments et mettre en place des mesures de prévention de néphrotoxicité L apparition des thérapeutiques ciblées (anti-vegf, etc ) soulève de nouvelles voies de recherche dans ce domaine Ateliers Roche en Néphrologie
52 Merci Hassan Izzedine La Pitié, Paris 52
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailControverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine
Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailInsuffisance rénale. Définition. o Insuffisance rénale aiguë
Insuffisance rénale Définition o Insuffisance rénale aiguë Se traduit par un brusque arrêt de la filtration des déchets du sang et de la production d urine. Associée à un déséquilibre de l organisme en
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailEvolution des paramètres de la transplantation rénale depuis 10 ans - Illustration à partir du rapport d activité de DIVAT
Evolution des paramètres de la transplantation rénale depuis 10 ans - Illustration à partir du rapport d activité de DIVAT Marc Ladrière CHU Nancy Hôpital Brabois Adulte 19 mars 2015 Le rapport d activité
Plus en détailL ORDONNANCE CHEZ L IRC: PIEGES ET BALISES. Dr Parotte M-C Néphrologue CHPLT Verviers 27 Avril 2013
L ORDONNANCE CHEZ L IRC: PIEGES ET BALISES Dr Parotte M-C Néphrologue CHPLT Verviers 27 Avril 2013 => QUELLE EST LA FONCTION RENALE DE MON PATIENT? MDRD: COCKROFT: Clairance créatinine ml/min = [140-âge
Plus en détailTraiter la goutte sans être débordé
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Traiter la goutte sans être débordé Hélène Demers et Michel Lapierre Vous voulez traiter et prévenir la goutte? Lisez ce qui suit! Les différentes phases
Plus en détailDonneurs vivants Risques à long terme. Cours de transplantation Univ. Montréal et McGill 5 avril 2013
Donneurs vivants Risques à long terme Michel R. Pâquet MD, PhD Unité de Transplantation Le Centre Hospitalier de l Université de Montréal Hôpital Notre-Dame Montréal Hôtel-Dieu Hôpital Notre-Dame Cours
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailNEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE
NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE D r Eric OUHAYOUN Service de Médecine Nucléaire - P r J.P. Esquerré CHU Purpan Toulouse - France Néphrogramme isotopique Principe :
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailÉtudes épidémiologiques analytiques et biais
Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailPas anodine, la créatinine!
Pas anodine, la créatinine! F O R M A T I O N C O N T I N U E M. Rinfret se présente à votre cabinet pour son premier examen. «À 50 ans, j ai encore les reins solides!», vous dit-il. Isabelle Chapdelaine
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailAnémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4
Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailPlanification d une substitution rénale: que faut-il savoir?
CURRICULUM Forum Med Suisse 8;8:7 74 7 Planification d une substitution rénale: que faut-il savoir? Hanno Elsässer a, Nick Hoyer b, Michael Dickenmann a a Klinik für Transplantationsimmunologie und Nephrologie,
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailSuivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants
Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants M.M. Samama, M-H. Horellou, C. Flaujac, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F. Depasse Biomnis - Ivry sur Seine TFPI TFPI
Plus en détailLes reins sont foutus
Les reins sont foutus quelles sont les avenues? F O R M A T I O N C O N T I N U E Vous voyez en relance M me Bouthillier, 83 ans, atteinte d insuffisance cardiaque ischémique, d hypertension artérielle,
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailPLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE
Journée Club NeuroVasculaire Ile-de-France 27 mai 2014 PLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE Eric PAUTAS Hôpital Charles Foix UFR Médecine G.H. Pitié-Salpêtrière-Ch.Foix Inserm U765
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailDr Marie-Pierre CRESTA. Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien. Juin 2014
Dr Marie-Pierre CRESTA Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien Juin 2014 Que savoir en tant que citoyen? Les LBE La greffe, ça marche Que savoir en tant que professionnel? Pénurie, contexte épidémiologique
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailDiatélic DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile
DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile Jacques CHANLIAU, François CHARPILLET, Pierre-Yves DURAND, Robert HERVY, Jean-Pierre THOMESSE, Luis VEGA Résumé. DP
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 7 janvier 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 7 janvier 2009 ZANEXTRA 20 mg/10 mg, comprimés pelliculés B/30, code CIP : 385 967.4 B/90, code CIP : 387 392.9 Laboratoires BOUCHARA RECORDATI Enalapril/Lercanidipine
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailInformation transmise sous l autorité de l Agence fédérale des médicaments et des produits de santé
Les Direct Healthcare Professional Communications (DHPC) sont des courriers envoyés aux professionnels de la santé par les firmes pharmaceutiques, afin de les informer de risques potentiels apparus lors
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailLes Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes
Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes 1 Marché global des anticoagulants Un Marché en explosion: 6 milliards de $ en 2008 9 milliards de $ attenduen
Plus en détailDémarrage du prélèvement d organes et de Tissus sur donneurs décédés au Maroc
Démarrage du prélèvement d organes et de Tissus sur donneurs décédés au Maroc B.Ramdani Président du coneil consultatif de Transplantation d'organes et de tissus humains benyounsramdani@gmail.com 1 INTRODUCTION
Plus en détailEfficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien
Société vaudoise de pharmacie, février 2008 Efficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien Olivier Bugnon, Professeur adjoint en Pharmacie communautaire, Ecole de Pharmacie Genève-Lausanne;
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailEn considérant que l effet anticoagulant du dabigatran débute dans les 2 heures suivant la prise du médicament :
Informations sur le dabigatran (Pradaxa md ) Préambule : Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du dabigatran (Pradaxa md ). L
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détail