RAPPORT D ACTIVITE 2013
|
|
- Mathieu Larochelle
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 RAPPORT D ACTIVITE 2013 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [1]
2 Sommaire Préambule 3 En 2013, en bref 4 Les logements sécurisés en chiffres 5 Solizen 6 Les indemnisations en Les avances de trésorerie 9 Evolutions du Dispositif 10 Etudes et productions thématiques 11 Procédures de rétablissement personnel 11 Les partenariats avec les SIAE 12 Actions d accompagnement des adhérents 14 Accompagnement en matière de gestion locative 14 Formations 15 Temps de sensibilisation et d échanges 17 Perspectives Annexes 19 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [2]
3 Préambule 2013 a été la douzième année de fonctionnement du Dispositif régional! Un Dispositif qui n a cessé d évoluer et de s adapter aux besoins de ses adhérents au fil des années, et qui atteint à la fin de l année 2013 les 56 adhérents et 6615 logements sécurisés. Une augmentation constante qui témoigne de son utilité pour les associations gestionnaires de logements de transition. Preuve de cette réflexion permanente sur l adaptation, la question du périmètre d intervention du Dispositif est régulièrement reposée, comme cette année avec la confirmation, après étude, de l inclusion des résidences sociales et pensions de famille, et la réflexion sur la place du mandat de gestion. Autre illustration, la prise en compte de la montée en charge du phénomène des annulations de dettes locatives via les Procédures de rétablissement personnel, qui mettent en difficulté les associations gestionnaires. Des évolutions des modalités d indemnisation devraient être prochainement adoptées., et s accompagner d un programme de formation des adhérents sur l accompagnement budgétaire. Le Dispositif s ouvre également à d autres champs de l économie sociale et solidaire, comme en témoigne le partenariat travaillé cette année avec les Structures d insertion par l Activité économique intervenant dans le champ du bâtiment second œuvre. Les publics accompagnés par ces structures peuvent parfois également être accueillis dans les dispositifs de logement temporaires, les deux dispositifs œuvrent pour l insertion, il nous a donc paru pertinent de travailler de manière transversale, et ce dans l intérêt des associations et des publics. L annuaire des SIAE diffusé aux adhérents du Dispositif régional est une première étape dans le rapprochement des deux secteurs, que nous poursuivrons en Souhaitons encore une longue vie à ce Dispositif, qui nous l espérons survivra aux évolutions de la gouvernance territoriale et à la mise en place du Grand Paris Métropole en 2016, et continuera à soutenir les associations, en complément de la future «Garantie Universelle des Risques Locatifs». Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [3]
4 En 2013, en bref logements par rapport à logements sécurisés au 31/12/13, gérés par 56 adhérents Evolution du nombre de logements Résidences sociales, sous-location / bail glissant, propriété, nouveaux adhérents Dispositif «généraliste» au 3 associations ont quitté le Dispositif. Formations et temps de sensibilisation Le partenariat avec les SIAE et la publication de l annuaire. Accompagnement vers et dans le logement Santé mentale et logement Journée sur Action logement Réduire la vacance Enquête flash sur les Procédures de rétablissement personnel Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [4]
5 Les logements sécurisés en chiffres Les 6 nouveaux adhérents sont l Amicale du Nid 93, Arfog-Lafayette, l association Guy Renard, le Développement Seine-et-Marnais (DESM), le Groupe Accueil et Solidarité, Insertion et Alternatives. Le solde positif en nombre de logements s explique non seulement par l arrivée de nouveaux adhérents, mais également par l augmentation du parc sécurisé par certains adhérents (notamment ALFI avec l ajout de plusieurs résidences sociales). Les résidences sociales et pensions de famille sont désormais majoritaires (38%), puis vient la souslocation avec ou sans bail glissant (hors Solibail et Louez Solidaire). La majorité des logements appartiennent au parc privé ou associatif (49 %). Une majorité de petits logements. Concentration de 65% des logements dans 3 départements : Paris, Seine-et-Marne et Seine -Saint Denis. Une répartition néanmoins équilibrée entre Paris/petite couronne et grande couronne. Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [5]
6 Solizen Le dispositif Solizen, lancé par la Région en 2012, mobilise le parc privé pour les jeunes (18-30 ans) isolés ou en couple, rencontrant des difficultés pour se loger. Appel à projets lancé en mars 2012 pour 150 logements («Solizen 1») et renouvelé mi pour 150 logements également («Solizen 2»). Réponses principalement en mandat de gestion A ce jour : 15 gestionnaires et 26 logements mobilisés sur «Solizen 1» Pour rappel, les logements Solizen sont automatiquement intégrés au Dispositif régional et bénéficient de modalités d indemnisations spécifiques. Le Guide des indemnisations Solizen figure en annexe. Une réunion d information à destination des associations opératrices Solizen a été organisée le 22 mars. 6 associations participantes Diffusion d un guide des indemnisations spécifique, appui-conseil individualisé Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [6]
7 Les indemnisations en 2013 Le COPIL s est réuni 7 fois et a étudié 487 dossiers de demandes d indemnisations. Le total des indemnisations s élève à ,91 soit une légère baisse par rapport à 2012 ( ,69 ). Les demandes La grande majorité des demandes porte sur la vacance anormale (287 dossiers traités pour une charge globale supportée par les associations de ,09 ). Cela montre qu il faut poursuivre nos actions d accompagnement des adhérents sur la prévention de la vacance. Viennent ensuite les impayés de loyer (105 dossiers pour une charge globale supportée par les associations de ,07 ). Cet item sera l axe de travail principal en Les procédures contentieuses suivent avec 70 dossiers examinés (charge globale pour les associations, ,32 ), les dégradations exceptionnelles 20 dossiers (charge globale, ,45 ) et les charges imprévues 5 dossiers traités (17 258,16 ). Le montant des indemnisations Ce montant s est stabilisé depuis 2012, sachant que le montant global des indemnisations a été multiplié par 3 entre 2007 et Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [7]
8 Cette année encore, les indemnisations liées à la vacance sont les plus importantes (conformément au nombre de dossiers déposés), et représentent environ Ensuite, viennent les procédures contentieuses ( ), les impayés ( ), et les dégradations exceptionnelles ( ). L analyse des charges présentées comme imprévues n a abouti qu à une seule indemnisation partielle très minime (200,50 ). Le taux de couverture des pertes pour les associations est en moyenne de 28%, avec des variations selon les critères : Les procédures contentieuses sont les mieux couvertes, et (hormis les charges imprévues qui représentent un cas particulier) les impayés sont les moins bien couverts. Une réflexion est à entreprendre sur ce sujet. Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [8]
9 Les indemnisations SOLIZEN 15 demandes (1 association) d indemnisations en 2013, dont 14 sur la vacance anormale et une demande d avance remboursable. Montant d indemnisations de (taux de couverture 38%) Explications du peu de demandes: le faible nombre de logements captés à fin 2013, et le fait que la majorité soient en mandat de gestion, ce qui implique que les associations s assurent par ailleurs contre les sinistres (et devraient demander le remboursement des cotisations d assurances à l année N+1). Les avances de trésorerie Une avance accordée, pour un montant de ; liée à l attente d une subvention du FNAVDL Montant de l enveloppe utilisé au 31/12/2013 : (sur un total de ). Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [9]
10 Evolutions du Dispositif Actualisations des barèmes en 2013: Les forfaits impayés et vacance pour les petits logements ont été indexés sur l IRL et sont passés de 210 à 213 Le plafond pour les logements dont la surface est supérieure à 30 m² a également été actualisé: plafond PLUS zone 1 bis passé à 6,58/m² Etude sur la place des résidences sociales dans le Dispositif En effet, la Région avait demandé à expertiser les besoins réels de ces structures en matière de couverture des risques, sachant qu elles n étaient pas prioritairement ciblées au départ par le Dispositif. Une rapide étude du modèle économique des résidences sociales (cf. annexe p. 40) a permis de montrer que celui-ci ne permettait pas la couverture des risques impayés, vacance et dégradations, malgré un provisionnement de certains risques répercuté sur la redevance. Cette analyse a été présentée à la Région, qui a entériné leur sécurisation par le Dispositif. NB: Les résidences sociales et pensions de famille sont désormais majoritaires dans le Dispositif (38%). Réflexion sur la place des logements en mandat de gestion Cette demande, relayée par la FAPIL IdF, a évolué et porte désormais sur une adhésion spécifique des logements en mandat de gestion, centrée sur les avances de trésorerie, dans la mesure où les autres sinistres sont indemnisés par les assurances prises par le propriétaire via l AIVS (accord avec la MACIF ou GRL). La Région n a pas encore tranché sur cette demande. NB: actuellement environ 600 logements sont gérés en mandat de gestion en IdF Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [10]
11 Etudes et productions thématiques Procédures de Rétablissement Personnel (PRP) Certains adhérents avaient alerté en 2012 sur le développement de ce type de procédures, qui représentent un risque pour les associations: La perte financière est définitive Ambivalent d un point de vue «éducatif» Frein à admettre des personnes endettées dans les logements A ce jour le Dispositif indemnise les impayés dans ce cas, comme pour les autres motifs. Afin de mieux cerner l ampleur du phénomène, une enquête flash a été menée en décembre 2013, portant sur les années 2011 à (cf. annexe p. 42) 24 associations, gérant au total logements, ont répondu,. 10 associations (42%) ont été concernées par des PRP =36 PRP sur les 3 années, soit en moyenne 12 par an Montant total des dettes effacées locatives par les PRP (pertes pour les associations) : soit /association sur les 3 ans et /an 8 procédures de contestation de la PRP ont été engagées par les associations : 3 ont conclu au maintien de la PRP ; 4 sont encore en cours ; 1 a permis l annulation de la PRP sur la dette locative. Au vu de ces résultats, le COPIL a estimé que le plafonnement à 3 mois n était pas à la hauteur des pertes subies par les associations. Proposition faite à la Région par le COPIL: Etendre à 6 mois maximum (c est-à-dire doubler) la durée d indemnisation des impayés ayant fait l objet d une PRP, sous réserve que l association ait engagé une contestation de l annulation de la dette locative auprès du TI (sauf exception argumentée au regard de la part trop faible de la dette locative dans la dette totale). Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [11]
12 Les partenariats avec les SIAE Les structures d insertion par l activité économique (SIAE) sont des structures locales de l économie sociale et solidaire (ESS) qui œuvrent pour l accès et le retour à l emploi des personnes éloignées du marché du travail. Elles couvrent un très grand nombre de secteurs, notamment des activités à forte intensité de main d œuvre comme le bâtiment, le nettoyage... Il s agit de structures professionnalisées qui se positionnent sur les marchés publics. Ainsi, on dénombre 496 SIAE (entreprises d insertion, associations intermédiaires, chantiers d insertion ) en Ile-de-France, embauchant ETP et ayant obtenu un marchés publics pour un montant total de 42 millions d euros. La FNARS Ile-de-France, qui fédère 80 SIAE, souhaite mieux faire connaître et rendre accessible l offre de services des SIAE à l ensemble des acheteurs publics et privés potentiels et ainsi faciliter la mise en relation dans le cadre des travaux. Les associations adhérentes au Dispositif régional font régulièrement appel à des entreprises pour réaliser des travaux de second œuvre dans les logements sécurisés, mais également pour les déménagements ou autres prestations. Or, un certain nombre de SIAE d Ile-de-France développent des activités dans ces domaines. Le principe d encourager le recours aux SIAE par les adhérents avait été acté par la Région dès 2011, il s agissait d envisager les modalités de cette mise en lien, à court et moyen terme. Le COPIL a élaboré un plan d actions, qui a été réalisé en 2013 : Réalisation et diffusion, en lien avec le chargé de mission IAEF de la FNARS IdF, d un annuaire des SIAE par département et par type d activités liées au logement Enquête en octobre 2013 sur les pratiques et besoins des associations adhérentes, en matière de travaux Information systématique des adhérents sur le recours aux SIAE et suivi de ce recours Sollicitation de la Région sur la possibilité de créer un levier financier incitatif dans le cadre du Dispositif de sécurisation. Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [12]
13 Résultats de l enquête menée auprès des adhérents : 12 associations ont répondu (représentant 700 logements) Elles réalisent régulièrement des travaux: plomberie, peinture- tapisserie, nettoyage prioritairement (budget annuel moyen de ) Elles ont majoritairement recours à plusieurs prestataires, avec 95% contrats ponctuels Elles ont besoin de nouveaux prestataires: plomberie, électricité, serrurerie, peinture/tapisserie Critères de choix: tarifs, qualité de la prestation, réactivité/polyvalence Le recours aux SIAE: 30% ont déjà eu recours à une SIAE pour les travaux dans les logements ; 10% pour d autres prestations (ménage bureaux) La majorité est satisfaite, voire très satisfaire des prestations 30% souhaitent développer le recours aux SIAE Suites en 2014 Conseiller les adhérents lors des visites et évaluer le recours aux SIAE; Réaliser des «enquêtes» post-travaux sur la satisfaction des adhérents Réfléchir avec le Conseil régional à des modalités financières incitatives dans le cadre du Dispositif régional Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [13]
14 Actions d accompagnement des adhérents Accompagnement en matière de gestion locative Le Dispositif régional s est bâti sur un modèle indemnitaire mais aussi, sur la volonté d appuyer les associations en matière de gestion. Sur ce dernier aspect, qui se caractérise par les interventions de l expert sur le terrain et par les différentes sessions de formation organisées par la Fnars IDF, les associations ont renforcé leurs capacités à appréhender les différents risques auxquels elles sont confrontées. Progressivement, depuis la mise en place du Dispositif il y a 12 ans, elles ont mis en place des outils leur permettant de suivre différents indicateurs de gestion dont l évolution impacte leur résultat. Elles se sont ainsi appropriés différents tableaux de bord : suivi de la vacance, suivi des impayés, tableau de bord de trésorerie, voire dans certains cas, le suivi du contentieux. S agissant du suivi des liquidités, par exemple, une association adhérente, en difficulté de trésorerie a fait l objet en 2013 d un accompagnement lui permettant d adapter son exploitation dans le but de baisser la tension que connaissaient ses flux de trésorerie. Des efforts restent à faire en matière de suivi du bâti pendant l occupation (prévention des dégradations exceptionnelles). Des carnets d entretien à renseigner régulièrement par l occupant peuvent être envisagés et d autres formations sur le savoir habiter organisées. L appréciation de l apport du Dispositif aux associations dépasse donc largement la seule considération indemnitaire et porte aussi sur la collaboration que les différents acteurs ont su construire. Formations En 2013, 4 sessions de formation ont été organisées : les pratiques d accompagnement vers et dans le logement, et la santé mentale et le logement. En tout, près de 90 personnes ont été formées. 2 sessions sur les «pratiques d accompagnement vers et dans le logement» (14/15 février et 7/8 octobre 2013) - cf. programme en annexe (p. 32) Cette formation, organisée en partenariat avec IDL 95 et la FAPIL IdF depuis 2012, était cette année encore, ouverte aux adhérents du Dispositif régional. 12 y ont participé (sur un total de 58 participants). Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [14]
15 Cette formation était destinée à la fois aux travailleurs sociaux des associations, aux conseillers sociaux des bailleurs, et aux conseillers logement des CIL. L AFFIL et l AORIF ont donc été mobilisés. Ce mélange des publics est rare, alors même qu il semble un très bon moyen d avancer sur des pratiques partagées. Il s agissait de réfléchir aux spécificités de cet accompagnement, ainsi, les thématiques liées au «Savoir Habiter», à la recherche de logement, à l évaluation partagée pour l accès au logement ont été développées. La Fnars IdF souhaite de surcroît affirmer la nécessité d un accompagnement pluridisciplinaire, nécessaire à la réussite de l insertion des personnes. C est pourquoi une part importante de la formation a été consacrée à la valorisation des bonnes pratiques en matière de partenariat, principalement avec les bailleurs, mais également avec les acteurs de la santé et de l emploi. Des expériences et des outils permettant de faire évoluer les pratiques d accompagnement (ateliers logement, accompagnement dans le diffus ) ont été proposés. Une évaluation à 6 mois des impacts de la formation (session de décembre 2012) De réels impacts sur les pratiques des travailleurs sociaux Suite à la formation, 1/3 ont systématisé l évaluation sociale à l accès au logement et/ou retravaillé leur trame ; pour les autres cette pratiques était déjà effective. L outil proposé par l AFFIL lors de la formation a été mobilisé par les 2/3 de ceux qui ont développé cette pratique, et la majorité en ont été satisfaits. 62% des travailleurs sociaux concernés ont apporté une attention accrue à la constitution des dossiers de demande de logement (complétude et mise à jour des dossiers, estimation du taux d effort, etc.), qui est un élément essentiel dans la réussite du relogement. Pour le reste des répondants, cette vigilance était déjà grande avant la formation. La moitié des répondants concernés ont mis en place des ateliers collectifs suite à la formation, principalement sur le thème des économies d énergie, et ont utilisé des outils présentés par les animateurs d ateliers logement. Ceux qui ne l ont pas fait l expliquent par le manque de temps et les problèmes d éclatement géographique ne facilitant pas le regroupement des personnes accompagnées. Sont également évoquées les problématiques de la non-maîtrise de la langue et de la mobilisation des personnes sur les ateliers. Suite à la formation, la moitié a développé ou relancé leur réseau partenarial avec soit des bailleurs soit des réservataires. Ils ont également contacté de nouveaux partenaires comme les Points Info Energie par exemple. Pour le reste des répondants, ce développement de réseau n était pas nécessaire. On remarque que les partenariats avec les CIL sont en revanche peu développés, malgré l intervention lors de la formation d une représentante de CIL. Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [15]
16 2 sessions sur la «santé mentale dans le logement» (12-13 juin et décembre) Cette formation est une nouveauté Elle a été co-organisée avec la Fapil IdF, et coconstruite avec l équipe du laboratoire de recherche EPS Maison Blanche qui l a animée. Cette équipe est notamment en charge de la recherche du programme «Un chez soi d abord». Elle possède une expertise en matière de formation de travailleurs sociaux, et apporte des éclairages originaux, notamment avec la présence d un «usager de la psychiatrieformateur». L objectif final de formation vise à l acquisition de compétences d accompagnement sur la question de la santé mentale et de la promotion du bien-être par les acteurs du logement. Elle aborde non seulement l accompagnement des personnes vivant avec un trouble psychique (à la fois à l intérieur de leur logement et à l extérieur, c est-à-dire avec le voisinage et dans le quartier) mais aussi le processus de rétablissement, la promotion du bien-être et de la santé mentale pour l ensemble des parties prenantes (comment agir sur les déterminants de la santé mentale et du bien-être dans le logement collectif et/ou diffus). Des jeux de rôle et travaux en binôme sont proposés. La formation a été évaluée à travers un questionnaire portant sur les représentations et connaissances liées aux thématiques citées ci-dessus, ainsi qu à travers des temps de retours d expériences, environ 6 mois après la formation, afin de mesurer l impact sur les pratiques. Réponses à la question «impression générale sur la formation» : «Dédramatisation des maladies psychiques dont souffrent les personnes. D aborder de façon positive le projet de vie des personnes souffrant de handicap psychique.» «Phrase d une ancienne personne atteinte de trouble psychique : «Chaque personne est unique» pas besoin de coller à un modèle» «Je rejoins plusieurs points : c est important que l espoir soit présent pour avancer ; nous sommes (tous) les premiers «plaidoyeurs» des usagers, ces derniers doivent être en accord et responsables de ce qui découle de nos actions communes.» «Convivialité» «De nombreuses pistes, trouver des solutions dans l accompagnement social» «La prise de recul et la formation des professionnels autour de la santé mentale qui est primordiale pour comprendre la personne» A l issue de la première session de juin, la formation a été jugée trop courte, il a été décidé de la porter à 3 jours. En tout 31 personnes ont été formées, dont 18 travaillant dans des associations adhérents au Dispositif régional. Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [16]
17 Temps de sensibilisation et d échanges Temps de sensibilisation et d échanges sur la réduction de la vacance (17 déc.) Ce temps faisait suite à l étude sur les causes de la vacance menée en 2012 et qui avait permis d identifier les 3 principaux motifs de vacance (qui peuvent se cumuler) des logements sécurisés : Les travaux de remise en état des logements Les délais d attribution notamment par les réservataires Les questions d organisation de la gestion locative L objectif de ce temps était donc de proposer aux adhérents un temps d échanges sur leurs pratiques et sur des «pratiques de référence» relatives aux trois principaux motifs de la vacance identifiés. Le programme figure en annexe (cf. p.37). 12 participants: chefs de service, référents entretien, responsable services techniques Diffusion d outils: tableaux de bord de suivi de la vacance; fiches d autocontrôle des logements, etc. Journée «Action logement: mieux comprendre les conditions d accès et les outils» (3 dec.) Le programme figure en annexe (cf. p. 38). Objectif : permettre une meilleure mobilisation du contingent et des aides d Action Logement et le développement de partenariats Organisée en partenariat avec la FAP IdF, la FAPIL IdF et la CFDT IdF Interventions de CIL, de représentants syndicaux, d employeurs 138 participants avec une majorité d associations du secteur de l hébergement/ logement d insertion La journée a été un succès et a permis aux associations de mieux cerner le fonctionnement et les contraintes des collecteurs d Action Logement. Cela représente un enjeu dans le paysage actuel du logement puisque le contingent d Action Logement est de plus en plus mobilisé pour reloger des publics prioritaires (sortants d hébergement, DALO ). Elle sera suivie en 2014 d un temps de sensibilisation à visée plus opérationnelle et à destination des gestionnaires d hébergement ou de logements de transition. Par ailleurs le Guide des aides d Action Logement a été diffusé. Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [17]
18 Perspectives 2014 Pour rappel, la convention se poursuit jusqu au 31 décembre Le principal axe de travail en 2014 sera: La question des impayés et l endettement Au-delà du problème des PRP, il s agit d affiner la connaissance et l analyse du problème des impayés de loyer au sein des logements sécurisés par le Dispositif. Cela permettra de mettre en œuvre des actions adaptées pour outiller les adhérents afin de tenter de réduire la phénomène. Une enquête sera donc menée auprès des adhérents. Par ailleurs, une formation sur le rapport à l argent et l accompagnement budgétaire sera proposée. Autres actions de formation et de sensibilisation Plusieurs sujets ont été identifiés, certaines formations sont des reprises de 2013 afin de répondre à toutes les demandes d autres sont nouvelles : Déjà proposées en 2013 : Accompagnement lié à l accès au logement Santé mentale et logement Nouveautés 2014 : Accompagnement lié au maintien dans le logement et prévention des expulsions Quelles suites pour le Dispositif après 2014? Le renouvellement a été acté pour l année 2015 Des demandes d évolutions des indemnisations ont été faites à la Région dans le cadre du renouvellement sur : La prise en compte des PRP (cf. p. 11) ; L augmentation des plafonds d indemnisation des procédures contentieuses et des dégradations exceptionnelles L augmentation des plafonds d avances de trésorerie Evolutions envisageables à partir de 2016, avec d une part la mise en place du Grand Paris Métropole qui pourra demander à prendre un certain nombre de compétences en matière de logement et d hébergement, et d autre part la GUL qui sera applicable aux activités d intermédiation locative, les modalités restant à préciser. Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [18]
19 Annexes Guide des indemnisations Guide des indemnisations SOLIZEN 26 Programmes des formations et journées de sensibilisation 32 Note sur les résidences sociales 40 Synthèse de l enquête sur les Procédures de Rétablissement Personnel Synthèse de l enquête sur les SIAE Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [19]
20 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [20]
21 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [21]
22 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [22]
23 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [23]
24 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [24]
25 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [25]
26 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [26]
27 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [27]
28 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [28]
29 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [29]
30 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [30]
31 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [31]
32 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [32]
33 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [33]
34 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [34]
35 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [35]
36 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [36]
37 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [37]
38 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [38]
39 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [39]
40 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [40]
41 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [41]
42 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [42]
43 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [43]
44 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [44]
45 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [45]
46 Dispositif régional de sécurisation Rapport d activité 2013 [46]
Aides pour restaurer les parties communes des immeubles en copropriété. Aides pour restaurer un logement locatif
DISPOSITIONS PRATIQUES OPAH COPROPRIETE RENNES Dans le cadre de l Opération programmée d amélioration de l habitat engagée par la Ville de Rennes sur le centre depuis mars 2007, pour une durée de cinq
Plus en détail1. Consolider l emploi dans les entreprises d insertion
ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE SOUTIEN AUX EMPLOIS DE L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE ECONOMIE 17.12 DESCRIPTIF DE L'INTERVENTION OBJECTIFS Consolider l emploi des entreprises de l économie sociale et solidaire
Plus en détailLE DISPOSITIF ENVOL AIDE A LA CREATION OU REPRISE D ENTREPRISES 2014-2015
LE DISPOSITIF ENVOL AIDE A LA CREATION OU REPRISE D ENTREPRISES 2014-2015 OBJET Le dispositif ENVOL est destiné aux personnes résidant en Champagne-Ardenne, désireuses de créer leur propre emploi par la
Plus en détaildéveloppe les solidarités
développe les solidarités www.gard.fr Propriétaires bailleurs, comment louer sereinement votre logement? SOMMAIRE les Aides à l amélioration de l habitat... 5 les Aides au Logement... 7 l Assurance Loyers
Plus en détailObjet : Proposition de partenariat avec le Fastt
Objet : Proposition de partenariat avec le Fastt Madame, Monsieur, Le Fastt (www.fastt.org), est une association (Loi 1901) paritaire, créée en 1992 par les partenaires sociaux de la branche professionnelle
Plus en détailCENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. Le partage de solutions
CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE Le partage de solutions RH Partageons nos solutions RH... Dans chaque collectivité, la collaboration active entre élus et personnels est la clé de
Plus en détailBesoin d être orienté-e? la Région vous guide
PORTEURS DE PROJETS, ENTREPRISES Coup de Pouce Régional aux Très Petites Entreprises Besoin d être orienté-e? la Région vous guide Forum Internet Bourse Régionale Coopérative Chèque numérique Bourse Régionale
Plus en détailLOI DE SÉCURISATION DE L EMPLOI N 2013 504 du 14 juin 2013
LOI DE SÉCURISATION DE L EMPLOI N 2013 504 du 14 juin 2013 Les changements concernant la protection sociale complémentaire Les dates clés 11 janv. 2013 : Signature de l Accord National Interprofessionnel
Plus en détailP C ERMIS DE ONDUIRE. Les aides financières d'action sociale
P C ERMIS DE ONDUIRE Les aides financières d'action sociale SOMMAIRE PRÉAMBULE GÉNÉRAL... 1 AIDES FINANCIÈRES INDIVIDUELLES AUX FAMILLES PRÉAMBULE AUX AIDES FINANCIÈRES INDIVIDUELLES AUX FAMILLES.. 5 LES
Plus en détailACCORD INSTITUANT UN REGIME OBLIGATOIRE DE REMBOURSEMENT DE FRAIS DE SOINS DE SANTE AU PROFIT DES SALARIES DE RENAULT
ACCORD INSTITUANT UN REGIME OBLIGATOIRE DE REMBOURSEMENT DE FRAIS DE SOINS DE SANTE AU PROFIT DES SALARIES DE RENAULT ENTRE : RENAULT s.a.s représentée par Mme Marie Françoise DAMESIN Directeur des Ressources
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières
DOSSIER DE PRESSE Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières Paris, le mardi 3 février 2015 Contact presse Ministère du Logement, de
Plus en détailÀ retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires
1 Volet 4 : Ainé-e-s Table des matières À retenir... 1 Ce qu en disent les acteurs communautaires... 1 1. Un portrait des aîné e s du quartier... 2 1.1 Répartition des personnes âgées de 65 ans et plus...
Plus en détailLogements Entraide Générations
Logements Entraide Générations Présentation Logements Entraide Générations développe une idée simple : loger des jeunes entre 18 et 30 ans, à la recherche d un logement chez un sénior disposant d une chambre
Plus en détailFICHE RECAPITULATIVE SUR LE DISPOSITIF DU PASS-FONCIER,
FICHE RECAPITULATIVE SUR LE DISPOSITIF DU PASS-FONCIER, SON EVOLUTION ET DE LA «MAISON POUR 15 EUROS PAR JOUR» Synthèse Le Pass-foncier est un dispositif social d accompagnement des politiques locales
Plus en détailACCORD SUR LES ASTREINTES UES CAPGEMINI
ACCORD SUR LES ASTREINTES UES CAPGEMINI PREAMBULE Pour répondre à la continuité du service que l entreprise doit assurer à ses clients, certaines activités pour certains rôles ou fonctions, recourent à
Plus en détailL intergénérationnel, un enjeu pour tous
www.limousin.gouv.fr 1 2 L intergénérationnel, un enjeu pour tous 3 SOMMAIRE COMMUNIQUE DE SYNTHESE page 4 CONTEXTE page 6 Le contrat de génération en Limousin L appui-conseil au contrat de génération
Plus en détailLE PASS-GRL du 1 % Logement
LE PASS-GRL du 1 % Logement UN NOUVEL OUTIL POUR FAVORISER L ACCES AU LOGEMENT A l initiative des partenaires sociaux du 1 % Logement, le PASS-GRL est opérationnel depuis le 1er janvier 2007 Nouvel outil
Plus en détailAccord portant sur les mesures d accompagnement de la mobilité au sein de la Caisse d Epargne Loire-Centre
Accord portant sur les mesures d accompagnement de la mobilité au sein de la Caisse d Epargne Loire-Centre Entre les soussignés La Caisse d'epargne Loire-Centre dont le siège social est situé à ORLEANS,
Plus en détaille syndicat CGT représenté par [à compléter] en sa qualité de délégué syndical,
Projet d accord collectif mettant en place un régime de remboursement de «frais de santé» au bénéfice du personnel de l EPIC SNCF relevant du régime général de ENTRE LES SOUSSIGNEES : SOCIETE NATIONALE
Plus en détailCARCEPT ACTION SOCIALE 05/2011
05/2011 : POUR LES PARTICIPANTS ACTIFS ET RETRAITÉS Cette présentation de l concerne les cotisants de la 2 SOMMAIRE Première partie : Les participants actifs. Deuxième partie : Les participants retraités.
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détailCONVENTION DE MUTUALISATION DE SERVICES COMMUNS ET DE MISE A DISPOSITION DE LOCAUX
CONVENTION DE MUTUALISATION DE SERVICES COMMUNS ET DE MISE A DISPOSITION DE LOCAUX La présente convention de mutualisation de services communs et de mise à disposition de locaux est passée entre: d une
Plus en détailLe PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété.
LE PSLA Le PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété. Le processus d accession se déroule en deux phases : Une phase locative qui dure de 6 mois à 2 ans
Plus en détailBien assuré Bien loué. La sécurité de mon patrimoine La garantie de mes loyers
Bien assuré Bien loué La sécurité de mon patrimoine La garantie de mes loyers Louer en toute tranquilité GRL, Garantie des Risques Locatifs Les transformations du marché du travail, l'entrée plus tardive
Plus en détailCONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION
Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter
Plus en détailOffre(s) d emploi / stages / service civique : Dernière mise à jour le 3 juillet 2015 (4 annonces)
Offre(s) d emploi / stages / service civique : Dernière mise à jour le 3 juillet 2015 (4 annonces) 03/07/2015 1/16 CONTRATS A DUREE INDETERMINEE 03/07/2015 2/16 LE FOYER NOTRE-DAME DES SANS-ABRI recrute,
Plus en détailDes aides individuelles pour prévenir votre perte d autonomie
Action Sociale I janvier 2013 I Des aides individuelles pour prévenir votre perte d autonomie Plan d actions personnalisé Aides d urgence : ARDH et ASIR Logement et cadre de vie Secours exceptionnels Le
Plus en détailL'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer
Inspection générale des affaires sociales RM2014-090R Inspection générale de l administration N 14-122/14-077/01 L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer SYNTHESE Établie par Michel
Plus en détaildénommé ci-après le «propriétaire», dénommé ci-après le «gestionnaire», Vu l objet de la Résidence Sociale tel que défini à l annexe I ;
CONVENTION N...... CONCLUE ENTRE L ETAT, L ORGANISME PROPRIETAIRE, L ORGANISME GESTIONNAIRE EN APPLICATION DE L ARTICLE L.353.2 DU CODE DE LA CONSTRUCTION ET DE L HABITATION PORTANT SUR LES RESIDENCES
Plus en détailLes diagnostics territoriaux à 360 du sans abrisme au mal logement : démarche, objectifs et synthèse régionale
Les diagnostics territoriaux à 360 du sans abrisme au mal logement : démarche, objectifs et synthèse régionale Journée d étude «Les personnes sans chez soi» 29 mai 2015 2 Sommaire I. La démarche de diagnostic
Plus en détailNOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE
NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11
Plus en détailGuide de la mutuelle d entreprise 2014 : Loi ANI, nouvelles règles du jeu
Guide de la mutuelle d entreprise 2014 : Loi ANI, nouvelles règles du jeu Ce guide est destiné à tous les responsables d entreprise désireux de comprendre les principes et les modalités de mise en place
Plus en détailComplémentaire santé PQSR (Pas de Question Sans Réponse) Questions sur la négociation de l accord :
Complémentaire santé PQSR (Pas de Question Sans Réponse) Date de création : 31/03/2014 Date de mise à jour : 25/09/2014 SOMMAIRE : Questions sur la négociation de l accord : LEGENDE : rouge : question
Plus en détailACCORD RELATIF AU COMPTE EPARGNE TEMPS
ACCORD RELATIF AU COMPTE EPARGNE TEMPS Entre la Direction Générale de la société Herakles, représentée par Philippe BOULAN, en sa qualité de Directeur des Ressources Humaines, D une part, Et les organisations
Plus en détailrepères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis
repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme
Plus en détailIntroduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU
Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU NB : les notes font référence au diaporama de synthèse de l enquête en ligne sur le site de l'adbu Comment les SCD tentent-ils
Plus en détailLA MOBILITÉ ET LES PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION PUBLIQUE. Questions/réponses
LA MOBILITÉ ET LES PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION PUBLIQUE Questions/réponses QUI EST CONCERNÉ PAR LA LOI DU 3 AOÜT 2009 RELATIVE A LA MOBILITÉ ET AUX PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION
Plus en détailRapport pour la commission permanente du conseil régional
Rapport pour la commission permanente du conseil régional NOVEMBRE 2012 Présenté par Jean-Paul Huchon Président du conseil régional d'ile-de-france ATTRIBUTIONS DE SUBVENTIONS DANS LE CADRE
Plus en détailTous ensemble, Maitrisons nos dépenses de santé
P Des outils à votre disposition Vous cherchez des tarifs de consultation, des adresses de médecins,. www.ameli-direct.ameli.fr Vous cherchez des informations sur les centres mutualistes. www.mutualite.fr
Plus en détailAvant de commencer, merci de renseigner les données suivantes :
Le questionnaire ci dessous a pour objectif de faire le point sur le RESSOL, sur notre dernière action à savoir le mois de l Economie Sociale et Solidaire et sur nos pistes d évolution. Ce questionnaire
Plus en détailMutuelle Obligatoire : attention à bien vérifier la conformité de votre contrat
N U M E R O 2 - M A R S 2 0 1 5 LEGISLATION Mutuelle Obligatoire : attention à bien vérifier la conformité de votre contrat Dans le cadre de l Accord National Interprofessionnel du 11 janvier 2013, les
Plus en détailAPRE Aide Personnalisée de Retour à l Emploi
. APRE Aide Personnalisée de Retour à l Emploi Règlement d attribution & Mode d emploi Seine-Maritime page 1 Préambule Considérant que les bénéficiaires du RMI avaient parfois besoin d être soutenus financièrement
Plus en détailAccord N 34 La complémentaire santé au GIE AtlantiCA En date du 05 mars 2008
Accord N 34 La complémentaire santé au GIE AtlantiCA En date du 05 mars 2008 Les organisations syndicales signataires : CFDT, CGT, SNECA-CGC, SUD AtlantiCA TABLE DES MATIERES L ACCORD INDEX TABLE DES MATIERES
Plus en détailMINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale
MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3085 Convention collective nationale IDCC : 16. TRANSPORTS ROUTIERS ET ACTIVITÉS AUXILIAIRES DU TRANSPORT
Plus en détailENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES
ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES N 202 AOUT 2003 SOMMAIRE 1. PRESENTATION p.3 2. SYNTHESE DE L ENQUETE p.4 3. LES REPONSES DES VILLES ET AGGLOMERATIONS
Plus en détailPréparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014
Préparation des contrats de ville Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Contenu des contrats de ville 3 piliers Cohésion sociale Cadre de vie et renouvellement urbain (y compris hors NPNRU) Développement
Plus en détailSTATUT LA PARTICIPATION DES COLLECTIVITES A LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE (SANTE ET PREVOYANCE)
STATUT LA PARTICIPATION DES COLLECTIVITES A LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE (SANTE ET PREVOYANCE) Circulaire 31 août 2012 Références : - Loi n 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations
Plus en détailAffectation pour 2010
CONSEIL REGIONAL D ILE DE FRANCE CP 10-364 Soutien à l activité de microcredit pour la creation d entreprise en Ile-de-France Convention triennale 2008-2010 avec l ADIE Convention biennale 2009-2010 avec
Plus en détailParticipation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret
Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire L analyse de la MNT sur le projet de décret Patrick DOS Vice-Président de la MNT Participation des employeurs
Plus en détailDEMANDE 2015 DE PRISE EN CHARGE AU PREALABLE PLAN DE FORMATION PERIODE DE PROFESSIONNALISATION FORMATION TUTEUR COMPTE PERSONNEL DE FORMATION (CPF)
>DPC Unique DEMANDE 2015 DE PRISE EN CHARGE AU PREALABLE PLAN DE FORMATION PERIODE DE PROFESSIONNALISATION FORMATION TUTEUR COMPTE PERSONNEL DE FORMATION (CPF) A RETOURNER A L ADRESSE DE VOTRE CENTRE DE
Plus en détailLES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et moins)
FÉDÉRATION DU PERSONNEL DE SOUTIEN DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR GUIDE POUR LES MEMBRES DU PERSONNEL DE SOUTIEN DES COLLEGES LES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et
Plus en détailLE PARTENARIAT PUBLIC-PRIVE
5 ème conférence européenne des entreprises publiques locales organisée par la Commission entreprises locales du CEEP Bruxelles - 29 octobre 2002 Comité économique et social européen ******** LE PARTENARIAT
Plus en détailAssociations Accompagnez les propriétaires privés dans leur déclaration de revenus
Associations Accompagnez les propriétaires privés dans leur déclaration de revenus Mode d emploi des formulaires de déclaration 2044 et 2044 Spéciale Mise à jour 2014 Chaque année, les propriétaires privés
Plus en détailDEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche
DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche 2015 1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE RAViV est un réseau solidaire de compagnies et structures franciliennes de spectacle vivant
Plus en détailL a d é m a r c h e e t l e s o u t i l s p r o p o s é s
Guide méthodologique pour la construction d un bilan quantitatif et qualitatif des contrats de territoire. L a d é m a r c h e e t l e s o u t i l s p r o p o s é s Il est proposé de bâtir le bilan avec
Plus en détailRèglement Intérieur du TCGA
Règlement Intérieur du TCGA Version 1 juin 2014 CLUB HOUSE DU TENNIS Stade Jean Rives 15 route de Ia Garenne 27600 GAILLON Association Sportive Loi 1901 Le règlement intérieur du Tennis Club GAILLON AUBEVOYE
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014
CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» I.Contexte : Convaincue de l intérêt stratégique de l innovation pour le renforcement de la compétitivité des entreprises, la a lancé un appel
Plus en détailDémarrer son activité déco
Karine Mazeau Démarrer son activité déco Devis Factures Assurances Appels d offres Suivi de chantier Descriptifs 2013, Groupe Eyrolles ISBN : 978-2-212-13605-0 SOMMAIRE Introduction... 8 CHAPITRE 1 / LE
Plus en détailAide au Retour à Domicile après Hospitalisation (ARDH) Conditions
CARSAT Nord-Est Aide au Retour à Domicile après Hospitalisation (ARDH) Après une évaluation globale des besoins, ce dispositif permet à la personne de bénéficier de différents services afin de l accompagner
Plus en détailAccompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE
Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions
Plus en détailGénéralisation de la complémentaire santé : Eclairage
ÉPARGNE - PRÉVOYANCE - RETRAITE Généralisation de la complémentaire santé : Eclairage Vendredi 17 octobre 2014 Présentation Prévoyance, quelques rappels Les points clés des textes ANI Loi Sécurisation
Plus en détailRéponse concernant le financement de l assurance-emploi et les récentes mesures connexes. Ottawa, Canada 9 octobre 2014 www.pbo-dpb.gc.
Réponse concernant le financement de l assurance-emploi et les récentes mesures connexes Ottawa, Canada 9 octobre 2014 www.pbo-dpb.gc.ca Le Directeur parlementaire du budget a pour mandat de présenter
Plus en détailPour en savoir plus : http://www.cabinetfeurgard.com/_infos/dossiers/article.asp?rub=social&sousrub=ct2&art=k4_5380587
L environnement social de votre entreprise va être profondément modifié dans les six prochains mois. Nous souhaitons vous en parler et vous expliquer ces nouvelles mesures et leurs impacts. La mutuelle
Plus en détailSÉCURISATION DE L EMPLOI
Accompagner les dirigeants de l ess dans la gestion des ressources humaines DOSSIER JURIDIQUE SÉCURISATION DE L EMPLOI Réalisé par : La Loi sur la sécurisation de l emploi La loi de sécurisation de l emploi
Plus en détailAUTOMOBILE ET SPORTIVE D.A.S. COVEA RISKS, COVEA FLEET M.M.A IARD SA, M.M.A. VIE SA
ACCCORD SUR L EGALITE PROFESSIONNELLE DE L U.E.S. : La MUTUELLE DU MANS ASSURANCES I.A.R.D. M.M.A. I.A.R.D. La MUTUELLE DU MANS ASSURANCES VIE M.M.A. VIE La DEFENSE AUTOMOBILE ET SPORTIVE D.A.S. COVEA
Plus en détailSynami. Préambule. Qui a répondu? 68 salariés sur les 150 de la MLP, 60% de femmes.
Préambule La fusion est effective depuis plus d un an et ses conséquences continuent à entrainer un certain nombre d attentes voir de frustrations de la part des salariés de la MLP. De principe, il est
Plus en détailPROTOCOLE D ACCORD CONCERNANT LE COMPTE EPARGNE TEMPS
PROTOCOLE D ACCORD CONCERNANT LE COMPTE EPARGNE TEMPS Le présent protocole d accord crée un Compte Epargne Temps au sein de SGS et en définit les règles de fonctionnement et de gestion. Ce dispositif s
Plus en détailConnaître. facultatif. le régime. de complémentaire. santé Pour les anciens salariés
1 Connaître le régime facultatif de complémentaire santé Pour les anciens salariés Préambule Le 12 août 2008, l Union des Caisses Nationales de Sécurité sociale et des organisations syndicales ont signé
Plus en détailPLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE
PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE Un certain regard sur les résultats 2011 Ce guide est cofinancé par l Union Européenne Ce guide est cofinancé par l Union Européenne PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques La loi ESS, enjeux et opportunités (Dossier réalisé par Michèle Lorillon, In Extenso) La loi relative à l Economie Sociale et Solidaire (ESS), qui était tant attendue par
Plus en détailLa Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes. Le Ministre des finances et des comptes publics
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction Générale de l Offre de Soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins Bureau de l efficience
Plus en détailQu est-ce que le Fastt?
Qu est-ce que le Fastt? Des services et aides pour les intérimaires Logement Location véhicules Action sociale Conseils crédit Garde d enfants Mutuelle Un besoin à financer? Un accompagnement, un diagnostic
Plus en détailPRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN
PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN 1 1 L ACTION SOCIALE NOS VALEURS SOLIDARITÉ Valeur centrale, elle s exprime par la mise en œuvre d interventions au profit de tous ses clients : entreprises,
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES CONCERNANT LA REFECTION DES APPARTEMENTS Dans le cadre des procédures liées aux MARCHES PUBLICS
E.H.P.A.D. «Foyer Bellevue» 16 Bis Boulevard Bellevue 05000 GAP Tél : 04.92.52.02.30 Fax / 04.92.52.32.71 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES CONCERNANT LA REFECTION DES APPARTEMENTS Dans le cadre
Plus en détailLANCEMENT DE FINANTOIT, UN OUTIL PRIVE D INVESTISSEMENT SOLIDAIRE POUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT TRES SOCIAL
COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 27 février 2007 LANCEMENT DE FINANTOIT, UN OUTIL PRIVE D INVESTISSEMENT SOLIDAIRE POUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT TRES SOCIAL FINANTOIT est le premier outil d investissement
Plus en détailACCORD SUR LE COMPTE EPARGNE TEMPS
ACCORD SUR LE COMPTE EPARGNE TEMPS ARTICLE 1 - OBJET Le Compte Epargne Temps permet au salarié, à son initiative, d accumuler des droits à congés rémunérés ou de bénéficier d une rémunération, immédiate
Plus en détailENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice.
Délégation interministérielle à la Famille ENQUÊTE SALARIÉS Baromètre de l Observatoire de la parentalité en entreprise, en partenariat avec la Délégation interministérielle à la famille et l Union nationale
Plus en détailCONTRAT COLLECTIF OBLIGATOIRE
Salarié-es de droit privé CONTRAT COLLECTIF OBLIGATOIRE Complémentaire : frais de santé invalidité/arrêt de travail décès Sommaire Page 2-3 : présentation de l accord Page 4-5 : arrêt maladie/invalidité
Plus en détailExpert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailResponsable d agence
Responsable d agence La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser
Plus en détail7. LA VIE DU CONTRAT, LE TRAITEMENT DES INCIDENTS ET LE SURENDETTEMENT
7. LA VIE DU CONTRAT, LE TRAITEMENT DES INCIDENTS ET LE SURENDETTEMENT 7.1. La gestion des plafonds 7.1.1. Le suivi des utilisations Les banques déclarent ne pas avoir de suivi spécifique en dehors de
Plus en détail«TRANSMÉA», UN FONDS UNIQUE DE CAPITAL INVESTISSEMENT DÉDIÉ AUX RES ORGANISÉS EN SCOP
«TRANSMÉA», UN FONDS UNIQUE DE CAPITAL INVESTISSEMENT DÉDIÉ AUX RES ORGANISÉS EN SCOP I. Présentation de l action La Région Rhône-Alpes a lancé en 2007, en partenariat avec l Union régionale des Scop (Urscop),
Plus en détailCOMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014. Ordre du jour
COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION Présents : CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, GIM, UIMM 77 D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014 Ordre du jour 1. Adoption du compte-rendu de la séance du
Plus en détailLE CHAMP D APPLICATION
LES TEXTES Loi n 2001-420 du 15 mai 2001 relative aux nouvelles régulations économiques (art. 54 et 55) Décret n 2002-231 du 21 février 2002 modifiant le décret du 7 mars 2001 portant code des marchés
Plus en détailPour vous aider à comprendre : Le règlement applicable, expliqué pas à pas
Ce qui change en 2015, suite à la réforme Pour vous aider à comprendre : Le applicable, expliqué pas à pas Loi n 2014-1654 du 29 décembre 2014 art 67 La loi de finances 2015 a été adoptée en dernière lecture
Plus en détailCHARTE DU RESEAU ODC (Projet) V0.1
Paris, le 22 Mai 2013 CHARTE DU RESEAU ODC (Projet) V0.1 Présentation du réseau ODC : OPTIMAL DATA CENTER est une marque commerciale déposée qui fédère un réseau national de prestataires et fournisseurs
Plus en détailPopulation active et pauvreté en région Centre
Population active et pauvreté en région Centre Conseil Economique et Social Régional du Centre Janvier 2010 Partie I. Périmètre de l étude quatre ménages touchant le SMIC ou le RSA Nombre potentiel de
Plus en détailSommaire. L entrée en vigueur de l avenant n 21 sur les salaires minima au 1 er novembre 2013
informations sociales octobre novembre décembre 2013 Dans le cadre du mandat qu elle reçoit du FNCIP-HT, la Fédération Nationale de l Habillement informe chaque trimestre les entreprises à jour de paiement
Plus en détailRéforme de la politique de la ville. Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014
Réforme de la politique de la ville Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014 Restitution de l atelier n 3 : Intitulé : Les communes et agglomérations concernées par
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailMutualité Française Ile-de-France
Mutualité Française Ile-de-France Représentation régionale de la Fédération Nationale de la Mutualité Française Acteur de l économie sociale et solidaire 280 mutuelles adhérentes 5.5 millions de personnes
Plus en détailINDEMNISATION DES SÉQUELLES EN DROIT DE LA SÉCURITÉ SOCIALE
5. INDEMNISATION DES SÉQUELLES EN DROIT DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Dr Jacqueline Cardona L INCAPACITÉ PERMANENTE (IP) EN ACCIDENT DU TRAVAIL Principe juridique Article L 434-2 du code de la sécurité sociale
Plus en détailVILLE DE SCEAUX N 12-f. Séance du 6 décembre 2012 NOTE DE PRESENTATION
NOTE DE PRESENTATION OBJET : Participation à la protection sociale des agents municipaux Rapporteur : Philippe Laurent Suite à la loi du 2 février 2007 de modernisation de la fonction publique, le décret
Plus en détailMise en œuvre d'un dispositif de vidéosurveillance nocturne du cœur de ville
CONSEIL MUNICIPAL 1 Séance du 06 décembre 2012 Mise en œuvre d'un dispositif de vidéosurveillance nocturne du cœur de ville Direction Solidarité Urbaine - Tranquillité Publique - Rapporteur(s) M. Christophe
Plus en détailTITRE DE LA PRÉSENTATION > TITRE DE LA PARTIE PROJET D ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET TECHNIQUE CIBLE
TITRE DE LA PRÉSENTATION > TITRE DE LA PARTIE PROJET D ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET TECHNIQUE CIBLE 2 Projet organisation administrative et technique > Sommaire Sommaire PREAMBULE POURQUOI? Les objectifs
Plus en détailRappel des travaux. Parcours administratif et législatif. Ce qui reste à faire
Rappel des travaux Parcours administratif et législatif Ce qui reste à faire Concernant l agrément et les avancées qualitatives Concernant le financement Attention particulière en ce qui concerne les cas
Plus en détailMARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX
MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière
Plus en détailRendez-vous de l ESS régionale. Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.
Rendez-vous de l ESS régionale Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.org %! "! $!!" # % " Les entreprises d économie sociale et solidaire
Plus en détailSCPI Renovalys 3. Editorial. SCPI Malraux à capital fixe Bulletin trimestriel d information n 11 Mars 2014
SCPI Malraux à capital fixe Bulletin trimestriel d information n 11 Mars 2014 Editorial Les dernières données statistiques sur le marché locatif révèlent finalement que les loyers ont globalement augmenté
Plus en détailLa qualité de l emploi dans l économie sociale et solidaire: analyse et enjeux. une enquête en Alsace et en Lorraine
La qualité de l emploi dans l économie sociale et solidaire: analyse et enjeux Les associations et la question de la qualité de l emploi: une enquête en Alsace et en Lorraine Etude réalisée pour la DIIESES
Plus en détail