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2 Pour vos 125 ans, nous vous offrons 125 clients. Aucune correspondance ne sera échangée au sujet de ce tirage au sort. Tout recours juridique est exclu. 5 hôtels partenaires d hotelleriesuisse seront tirés au sort afin de gagner chacun 25 nuitées de clients que nous prendrons entièrement à notre charge. Avec un peu de chance, c est vous qui bénéficierez de ce cadeau. > Inscription au tirage au sort avant le 31 décembre 2007 auprès de M. Fabio Mangoni, +41 (0) , fabio.mangoni@happy.ch ou > Les 5 hôtels gagnants seront informés par courier avant le 31 janvier happy AG félicite chaleureusement hotelleriesuisse à l occasion de son jubilé.

3 W Table des matières Editorial 3 Entretien entre economiesuisse et hotelleriesuisse 5 Agenda pour une hôtellerie suisse compétitive 13 Le pouvoir éclairant des étoiles hôtelières 17 Diversification et différenciation dans la formation professionnelle du futur ème anniversaire du Label de qualité: Histoire d une réussite 26 hotelleriesuisse c est nous! 28 L étude du GDI sur «L avenir de l hôtellerie suisse» 31 David Bosshart: L avenir est entre nos mains 34 L htr célèbre son éditrice de 125 ans 37 hotelleriesuisse félicite les hôtels du même âge 44 Les groupes Exper: La combinaison idéale du transfert de savoir et du networking 47 Monica Kissling consulte les astres pour hotelleriesuisse 48 W A propos du concept photographique L Ecole hôtelière de Thoune a elle aussi des raisons de faire la fête: elle a été créée par hotelleriesuisse il y a 20 ans et est aujourd hui très bien implantée au titre d école supérieure spécialisée reconnue par la Confédération. L Ecole hôtelière de Thoune occupe donc une place particulière dans notre magazine. Les photos retraçant les multiples facettes du quotidien à l école s étirent comme un fil rouge à travers le magazine et dévoilent les moments captivants du monde dynamique d une école hôtelière. A cette occasion, nous exprimons nos plus vifs remerciements à la direction de l école, mais surtout aussi aux étudiantes et aux étudiants. Ils auront marqué de leur empreinte l avenir de notre branche. Pour faire écho à notre devise anniversaire, nous leur souhaitons un esprit pionnier et novateur! W Impressum Editeur: hotelleriesuisse, Monbijoustrasse 130, Case postale, CH-3001 Berne Auteurs hotelleriesuisse: Thomas Allemann, Nora Fehr, Isabel Garcia, Anna Gerber, Saskia Ott, Estelle Papaux, Annette Stoffel, Renate Dubach (htr), Elsbeth Hobmeier (htr), Laurent Missbauer (htr), Gudrun Schlenczek Gasser (htr), Karl Josef Verding (htr) Auteurs invités: David Bosshart (GDI), Karin Frick (GDI), Katja Girschik (GDI), Monica Kissling Correction: Co-Text GmbH, Zurich Rédaction finale: Nora Fehr, hotelleriesuisse Photos: Heinz Unger, Alain Boillat (hotelleriesuisse), Uwe Schädelin, Tomas Wüthrich Réalisation: René Habermacher, Visuelle Gestaltung, Zurich Impression: dedruck AG, Effretikon 1 W

4 W 2 L hospitalité commence par un accueil chaleureux et un sourire radieux.

5 W Editorial Chère lectrice, cher lecteur, Les années anniversaires connaissent un bel essor. Après une année 2005 dédiée à Schiller, Einstein et l EPF, 2006 a été marquée par les célébrations du jubilé du Credit Suisse et des Cars postaux. En 2007, c est hotelleriesuisse, association des entrepreneurs de l hôtellerie suisse, qui est à l honneur à l occasion de son 125 ème anniversaire. Mais vaut-il la peine de regarder en arrière à une époque où tout évolue si vite? Ne court-on pas le risque de perdre de vue le présent, voire de négliger l avenir, et de laisser passer des chances importantes? Nous sommes convaincus que non, bien au contraire. Développer un rapport constructif avec le passé et son héritage est une condition essentielle pour être à même de relever avec succès les défis à venir. Les expériences et la connaissance indispensables pour poser les jalons du futur ne se nourrissent en effet que de la mémoire. C est pourquoi nous publions le présent magazine anniversaire. D une part, nous y exposons certaines de nos activités mises sur pied pour l occasion, lesquelles se rattachent toutes à nos tâches clés et renforcent délibérément ces dernières en cette année anniversaire. D autre part, nous y traitons les thèmes et les objectifs qui revêtent par tradition une importance majeure pour notre association et qui doivent conserver ce caractère primordial. Nous considérons les défis de l avenir en premier lieu comme une chance et non comme un danger. Et nous estimons être bien armés pour les relever: l étude intitulée «L avenir de l hôtellerie suisse», réalisée cette année par l Institut Gottlieb Duttweiler pour notre compte, ainsi que notre engagement intact pour encourager l esprit de pionnier et l innovation nous donnent la volonté et la force d ajouter de nouveaux chapitres dans l histoire de la réussite de l hôtellerie suisse. Un secteur économique qui compte, selon des futurologues réputés, parmi les plus prometteurs du monde. Nous vous souhaitons une lecture passionnante et enrichissante! W Guglielmo L. Brentel, Président W Dr Christoph Juen, CEO 3 W

6 W Profil des associations W 4 Pascal Gentinetta, Guglielmo L. Brentel, Gerold Bührer et Christoph Juen (de gauche à droite) ont discuté à l Hôtel Bellevue Palace à Berne.

7 Entretien entre economiesuisse et hotelleriesuisse economiesuisse est la plus importante organisation faîtière de l économie suisse. Au sein de «l association des associations», hotelleriesuisse représente les intérêts du tourisme suisse et fait ainsi connaître les besoins de la branche au monde de la politique ainsi qu au public. Gerold Bührer (président d economiesuisse), Pascal Gentinetta (président de la direction d economiesuisse), Guglielmo L. Brentel (pré- sident d hotelleriesuisse) et Christoph Juen (CEO d hotelleriesuisse) discutent de la collaboration et des objectifs communs. W Elsbeth Hobmeier s est entretenue avec les principaux représentants d economiesuisse et d hotelleriesuisse economiesuisse s engage dans le cadre d une procédure politique en faveur de conditions-cadres optimales pour ses membres. Qu est-ce que cela implique exactement? En quoi consiste concrètement la collaboration entre economiesuisse et hotelleriesuisse? Christoph Juen: D un point de vue stratégique, notre président Guglielmo L. Brentel fait partie de la direction d economiesuisse. Sur le plan opérationnel, plusieurs collaborateurs d hotelleriesuisse sont actifs au sein de plusieurs commissions et groupes de travail. On nous demande parfois si nous ne nous sentons pas perdus, en tant que petite association, au sein de cette gigantesque organisation faîtière. Mais ce n est pas la taille qui importe. Lorsque l on travaille avec de bons arguments et que l on fait intervenir ses compétences spécifiques, l accueil est automatiquement favorable. Pascal Gentinetta: economiesuisse se considère comme un orchestrateur économique qui unit les forces. Dans ce contexte, le tourisme est donc un secteur crucial. Notre objectif consiste à inté grer rapidement la base dans les secteurs prioritaires, à faire avancer le processus de formation de l opinion, à prendre position et à la soutenir auprès du parlement ou de la population dans le cadre des campagnes de votation. Bien entendu, nous avons besoin à cet effet des compétences ainsi que des connaissances de nos membres. L analyse d economiesuisse résulte toujours d un contexte économique supérieur. Guglielmo L. Brentel: A l instar de J. F. Kennedy, la question n est pas tant de savoir ce que fait economiesuisse pour nous, mais ce que nous pouvons faire pour economiesuisse. Lorsque nous abordons sérieusement le travail et la discussion, nous obtenons automatiquement l attention que nous méritons. Notre branche doit en principe résoudre elle-même ses propres problèmes cette tâche n incombe ni à l Etat, ni à economiesuisse. M. Gentinetta a parlé des objectifs prioritaires d economiesuisse le tourisme en fait-il également partie? Gerold Bührer: Dans le cadre de la nouvelle stratégie, nous avons défini huit thèmes principaux: la politique financière, la politique fiscale, la politique économique extérieure, la politique de la concurrence, la politique en matière de recherche et d éducation, la politique relative aux infrastructures, le contexte normatif et la politique économique générale. Ce sont tous des thèmes transversaux qui ont un rapport direct avec le tourisme. Si notre lutte en faveur de bonnes conditions-cadres dans ces domaines est fructueuse, le secteur du tourisme en profite aussi automatiquement. Je souhaite évoquer à ce propos les référendums gagnés en rapport avec les accords bilatéraux. Ou la simplification de la TVA: cela implique une assistance bureaucratique considérable pour l ensemble des entreprises qui ne disposent pas d une armée d experts financiers, autrement dit aussi pour la majorité des établissements hôteliers. Ou prenons la politique 5 W

8 W Profil des associations W Gerold Bührer, est depuis 2007 président d economiesuisse. Depuis 1991, il est membre du Conseil national et est en même temps actif au sein de plusieurs commissions. Il a un diplôme en sciences économiques de l Université de Zurich (lic. oec. publ.) et a rempli plusieurs mandats dans des conseils d administration, entre autres chez Swiss Life et Georg Fischer. des transports: nous luttons contre l initiative de plafonnement dé - sastreuse à Zurich, qui affaiblirait considérablement l aéroport de Kloten, et par conséquent le tourisme. Pascal Gentinetta: Nous prenons cette demande au sérieux. C est à nous qu il incombe de mettre en avant les points forts de chaque branche et de conduire le dialogue au-delà des différents secteurs économiques. Guglielmo L. Brentel: La mobilisation d economiesuisse apporte beaucoup à notre branche. Nous avons l impression d être pris au sérieux en tant que représentants du tourisme, et sommes d accord au niveau de notre organisation de base. Nous avons une position de base libérale et partageons la conviction selon laquelle une économie d exportation florissante est décisive pour notre pays. Quelle est l importance du tourisme au sein de l économie suisse? Guglielmo L. Brentel: En bref, si le tourisme va bien, tout le monde en profite. Pensez par exemple au fait qu un touriste ne dépense qu un tiers de son budget dans les hôtels et les restaurants. Les deux tiers restants sont dépensés dans d autres secteurs économiques des transports jusqu au commerce de détail. Le secteur de croissance du tourisme est également un employeur important qui propose des emplois à tous les niveaux. Il existe 72 métiers rien que dans le secteur de l hôtellerie! Je souhaite également mentionner à ce propos le nom de M. Bührer, qui compte le tourisme parmi les quatre secteurs les plus importants pour l avenir de la Suisse sur le plan stratégique. Gerold Bührer: Vous avez donc étudié minutieusement mes déclarations! Effectivement, en ce qui concerne l emploi et/ou les recettes fiscales, je vois quatre secteurs clés en Suisse: le secteur financier, le secteur des machines, l industrie pharmaceutique et le tourisme. La con joncture de ces secteurs a des répercussions considérables sur l emploi ainsi que sur le trésor public. C est la raison pour laquelle l Etat doit assurer des conditions-cadres particulièrement bonnes dans ces domaines. Guglielmo L. Brentel: Le tourisme doit enfin retenir l attention qu il mérite. economiesuisse peut et doit nous soutenir dans ce contexte. Gerold Bührer: Le public n est effectivement pas assez informé sur l importance du tourisme. Le travail d information correspondant est un travail de longue durée pour les associations. Christoph Juen: On oublie aussi rapidement que les créations d entreprises par des sociétés internationales résultent souvent d un voyage de vacances ou d affaires en Suisse. La promotion du tourisme constitue ainsi la meilleure promotion de la place économique suisse. Le travail de Suisse Tourisme, qui consiste à susciter l intérêt pour la Suisse et des sympathies à l étranger, est crucial pour l emploi et la place économique suisse, et est totalement sous-estimé. Guglielmo L. Brentel: Nous représentons le secteur transversal par excellence nous sommes depuis toujours étroitement associés à l ensemble des secteurs économiques. Le modèle de réussite suisse a peut-être même commencé avec le début du tourisme, au cours des années Inversement, la question se pose alors de savoir ce qu il adviendra de la Suisse si nous n attachons pas suffisamment d importance au tourisme. Il est important dans ce contexte que nous luttions ensemble avec economiesuisse en faveur de conditionscadres favorables pour les entreprises. En quoi consistent donc les principales mesures politiques? Christoph Juen: Le tourisme a en quelque sorte une position privilégiée: il s agit d un secteur d exportation, étant donné qu il dépend en grande partie des visiteurs étrangers, et il ne peut être délocalisé. Cela signifie qu il doit tenir compte des coûts et des prix élevés en Suisse et qu il ne peut pas simplement délocaliser sa production. En outre, il est en concurrence internationale avec environ 130 pays à travers le monde, qui effectuent des investissements colossaux dans W 6

9 perspectives réjouissantes Grâce à WIR vous augmentez votre nombre de clients, chiffre d affaires et bénéfice Appelez-nous sans tarder: depuis 1934

10 W Profil des associations W Pascal Gentinetta, dr oec. HSG et lic. iur, est depuis le 1 er octobre 2007 président de la direction d economiesuisse, où il travaille depuis Il occupait auparavant un poste au Département fédéral des finances après avoir acquis de l expérience dans différents domaines (banques, consultation, transport). le tourisme. La Suisse présente un inconvénient comparatif en raison de la structure particulière des coûts et des prix et se trouve en conflit avec la pression sur les coûts et les prix. Des mesures s avèrent nécessaires dans ce contexte! Dans le cadre de la lutte contre l îlot de cherté et des coûts élevés qu est la Suisse, nous avons besoin de davantage de soutien. Gerold Bührer: En effet, le tourisme est encore plus touché par les inconvénients liés aux coûts de la Suisse que les secteurs d exportation classiques. C est pourquoi nous luttons également sur différents fronts et nous engageons par exemple en faveur de l introduction du principe du Cassis de Dijon. Nous intervenons toutefois également dans le cadre des réglementations de prix défavorables instaurées par l Etat notamment dans le marché postal ou les transports. Nous nous attaquons également aux charges sociales, car l augmentation des prélèvements salariaux doit cesser. Guglielmo L. Brentel: Malgré toutes ces mesures importantes, nous ne gagnerons jamais dans le cadre de la lutte pour les prix à l échelle internationale. Dans le domaine de l hôtellerie, nous sommes conscients que nous ne pouvons miser que sur la qualité. Les coûts élevés impliquent cependant un taux de rendement insuffisant. Car toutes les entreprises ne sont pas en mesure de répercuter les coûts élevés sur les prix. Les hôtels en ville et les hôtels 5 étoiles y parviennent peut-être, mais ce n est pas le cas des hôtels de vacances. Si ces derniers sont trop chers, ils perdent leurs clients au profit de l étranger. Les hôtels situés dans le segment de prix intermédiaire et inférieur ne peuvent pas soutenir la comparaison internationale en matière de prix. Ils sont cependant aussi importants pour le fonctionnement du tourisme que les hôtels haut de gamme. Pour de telles entreprises, de meilleures conditions-cadres sont cruciales. Christoph Juen: A ce propos, nous devons également discuter de la politique financière et monétaire. La puissance de l euro nous a ramené les marchés européens, et notre branche en profite grandement. La compétitivité de la Suisse en matière de prix s est progressivement améliorée au cours des cinq dernières années de l ordre de 10 à 20 pour cent. De nombreux hôteliers en ont profilé: nous avons gagné des hôtels en adaptant les prix. Mais le problème lié au faible taux de rendement n est pas résolu pour autant. Gerold Bührer: Je viens du secteur de l exportation et je dis toujours aux exportateurs: «Ne comptez pas sur l état de grâce de l euro! Cette devise puissante est un cadeau du ciel pour les chiffres d affaires et la rentabilité. A un moment ou à un autre, cependant, le couperet tombera, ne l oublions pas. Guglielmo L. Brentel: Le succès actuel de l hôtellerie résulte de deux raisons principales: d une part, le taux de change et de l autre, la conjoncture. Les deux vont changer. Nous devons par conséquent consacrer notre temps à investir dans la qualité des prestations en nature, mais également dans la qualité des prestations de services et «Si le tourisme et l hôtellerie vont bien, tout le monde en profite. Notre branche doit enfin retenir l attention qu elle mérite. economie suisse peut et doit nous soutenir dans ce contexte» Guglielmo L. Brentel W 8

11 W Guglielmo L. Brentel est depuis 2005 président d hotelleriesuisse. Il occupait auparavant la fonction de président de Zürcher Hoteliers. Fort de ses études à l Ecole hôtelière de Lausanne, il dirige plusieurs hôtels et est propriétaire de H&G Hotel Gast AG, spécialisée dans les missions de consultation pour le secteur de l hôtellerie et de la restauration. W Christoph Juen, dr oec HSG, est depuis 1999 CEO d hotelleriesuisse, après avoir été pendant 12 ans membre de la direction de l Union suisse du commerce et de l industrie Vorort (aujourd hui economiesuisse) et travaillé pendant quatre ans à l Office fédéral des affaires économiques extérieures (aujourd hui le SECO). Il est représenté dans certains conseils de fondation et d administration. le capital humain. Je pense que nous pouvons également adopter aujourd hui un prix plus élevé en Suisse. Mais nous ne devons pas perdre de vue l aspect des coûts. Ce n est qu en augmentant la rentabilité que nous pourrons investir dans les innovations et par conséquent dans le futur. Vous avez parlé de vos objectifs. De quelle manière comptez-vous y parvenir? Quel rôle joue le lobbying dans votre travail? Gerold Bührer: En tant que conseiller national, je suis conscient de l importance du lobbying au sein de notre système de milice. Les politiciens ne peuvent pas avoir les mêmes connaissances dans tous les domaines ni dans toutes les branches et dépendent par conséquent des informations provenant de spécialistes. Nous demandons par conséquent à des spécialistes fiables, compétents et professionnels de nous communiquer des contenus et positions fondés et clairs. L image faussement négative du lobbying qui prédomine auprès du public est injustifiée. Il est parfaitement légitime de prendre position. Faire valoir son point de vue sur le plan politique est même un devoir de citoyen lorsque l on est convaincu qu il sert le pays. Pascal Gentinetta: Ce qui est très important en ce qui concerne le lobbying, c est de se manifester dès que possible, faute de quoi le train part sans vous. L administration dispose d une autorité considérable dans le cadre de l interprétation, de la mise en œuvre et de l élaboration des lois. Les groupements économiques doivent être très attentifs dans le cadre de ces procédures. Ils ont la possibilité d intervenir auprès des politiciens ainsi qu auprès du public en matière de prise de position par le biais d un travail médiatique efficace et de faits minutieusement recherchés. Guglielmo L. Brentel: Chez hotelleriesuisse, nous voyons également dans le lobbying un travail d information permanent et légitime. Nous discutons de façon concrète et agissons de manière consciencieuse. Nous avons de bons arguments et de bons thèmes, qui ne demeurent pas sans effet. Je pense que nous avons fait de gros progrès dans le domaine du lobbying notamment grâce au travail de Christoph Juen, qui possède de solides connaissances de la scène politique. Christoph Juen: Evidemment, nous devons avoir le lobbying dans le sang pensez donc aux halls d hôtels, appelés lobby en anglais, ces lieux de rencontre où circulent les informations! Non, sérieusement: selon moi, le plus important en ce qui concerne le contact entre les représentants de l économie et les décideurs politiques, c est la transparence. L identification précoce de thèmes pertinents et le raisonnement dans le cadre de scénarios à long terme orientés vers l avenir sont également décisifs. Ce sont les objectifs les plus importants des groupements économiques. Guglielmo L. Brentel: A ce propos, il faut impérativement citer le travail des médias! Il ne s agit pas seulement d informer et de con - vaincre le monde politique de ses demandes et positions, mais également le public. Nous prenons par ailleurs très au sérieux le travail de persuasion vis-à-vis de nos membres et de l hôtellerie: nous voulons montrer à la branche la destination ainsi que l objectif du voyage. Nous devons informer la branche. Pascal Gentinentta: Ce travail d information vers l intérieur est crucial. La base de l économie n est pas toujours consciente de la portée des projets politiques. economiesuisse s engage par exemple clairement en faveur de la réforme fiscale pour les PME. Dans ce contexte, nous devons montrer de façon transparente aux PME et aux entrepreneurs quels bénéfices concrets ils peuvent tirer du Oui à la réforme de l imposition des entreprises II. Guglielmo L. Brentel: En ce qui concerne le travail de persuasion et les campagnes de votation, nous sommes effectivement en pole position absolue dans notre branche. Imaginez si tous les hôteliers de Suisse parvenaient à convaincre leurs clients au sujet d un thème nous remporterions alors aisément la moindre votation! 9 W

12 La nature comme modèle et mesure des choses La culture du lin, sa transformation et son tissage ont une tradition vieille d un siècle dans la vallée d l Emme et sont encore bien vivantes aujourd hui. La plus ancienne fabrique de tissages du lin encore entièrement préservée de Suisse se trouve à Burgdorf, porte de la vallée de l Emme. Schwob puise dans son riche passé tout en misant résolument sur la technologie de pointe de la dernière génération. Et sur son site en Suisse pour une proximité optimale aux clients. Innovante, créative et compétente: Schwob est l un des leaders internationaux pour la fourniture de linge de haute qualité pour la table, le lit et le bain.

13 Schwob & Co. AG, tissage de toiles, CH-3401 Burgdorf Téléphone ,

14 W 12 La branche est mise à l épreuve: outre les conditions-cadres avantageuses, il est crucial de fournir, en premier lieu, des produits de qualité et un marketing efficace afin d assurer sa réussite durable.

15 W Politique économique et sociale Agenda pour une hôtellerie suisse compétitive Avec l élaboration des Lignes directrices de la politique économique et touristique, hotelleriesuisse a défini l orientation de l association pour la législature et s est fixé des objectifs politiques précis. W Thomas Allemann En tant qu association des entrepreneurs de l hôtellerie suisse tournée vers l avenir, hotelleriesuisse est fermement déterminée à améliorer les chances de succès des hôteliers suisses compétitifs et de ceux désireux de le devenir. L association souhaite s engager pour faire prospérer en Suisse également le secteur de production qui connaît la croissance la plus rapide au niveau mondial, à savoir le tourisme. Ainsi, des hôtes du monde entier doivent pouvoir visiter et découvrir notre pays, que ce soit pour y passer leurs vacances, y faire des affaires ou participer à un congrès. Car toutes ces activités contribuent à créer des emplois porteurs d avenir en Suisse, garantissant ainsi la prospérité. La lutte contre la cherté des prix et des coûts en Suisse est le thème prioritaire de l agenda politique d hotelleriesuisse, puisqu elle constitue le frein le plus important à la croissance du tourisme, branche d exportation qui ne peut être délocalisée. Du fait que le niveau trop élevé des prix et des coûts tient à une régulation excessive et un repli sur soi, hotelleriesuisse perçoit une libéralisation accrue et une politique d ouverture comme les instruments optimaux pour améliorer la marge de manœuvre entrepreneuriale des hôteliers et des hôtels. hotelleriesuisse a identifié les six thèmes suivants comme champs d action prioritaires: Ouverture de l économie extérieure Il est fondamental pour l attractivité de la Suisse en tant que destination touristique d avoir une bonne image à l étranger; or l ouverture de la politique étrangère en est la condition essentielle. Par ailleurs, les mesures de libéralisation de la politique économique extérieure ont toujours une influence positive directe ou indirecte sur la branche d exportation qu est l hôtellerie. Une mise en œuvre rigoureuse des accords bilatéraux avec l UE, en particulier les accords de Schengen, la conclusion d un accord de libre-échange avec l UE en matière d agriculture et de denrées alimentaires, la réduction des freins non tarifaires au commerce, avec par exemple la reconnaissance du principe du Cassis de Dijon et le renforcement de l OMC, ainsi que le déve - loppement ciblé du réseau d accords multilatéraux et bilatéraux sont donc au cœur des exigences pour la législature Libéralisation du marché intérieur Un marché intérieur performant et la libre concurrence sont les éléments centraux d une économie de marché et constituent la condition essentielle d un entreprenariat productif et dynamique. De nouvelles mesures de libéralisation du marché intérieur et un renforcement des forces concurrentielles se trouvent ainsi en tête de liste des réformes d hotelleriesuisse. Sur ce point, les principales exigences de la politique sont la mise en œuvre rigoureuse de la loi sur le marché intérieur et la réduction simultanée de la liste des exceptions ainsi que la poursuite des mesures de libéralisation dans l agriculture et ses secteurs situés en amont et en aval. Une politique budgétaire et fiscale propice à la croissance Un système fiscal simple et transparent ainsi qu une politique budgétaire solide et durable ont des conséquences immédiates sur la marge de manœuvre des entrepreneurs. Les réglementations complexes de la législation sur la taxe sur la valeur ajoutée nuisent à la compétitivité et aux conditions-cadres des petites et moyennes entreprises. C est la raison pour laquelle hotelleriesuisse se prononce en faveur de l aménagement d instruments de politique budgétaire et fiscale propices à la croissance. L association mise donc sur une simplification radicale de la taxe sur la valeur ajoutée et sur l introduction d un taux unique aussi bas que possible, à condition que les 25 exceptions soient toutes supprimées. hotelleriesuisse s engage également pour une mise en œuvre rapide de la deuxième réforme de l imposition des entreprises en vue d un allègement fiscal et administratif au sein des petites et moyennes entreprises. 13 W

16 W Politique économique et sociale Politique libérale de l emploi et partenariat social équitable hotelleriesuisse souhaite conserver la plus importante convention collective de travail déclarée de force obligatoire en Suisse, ainsi qu un partenariat social construit par le secteur de l hôtellerie et de la restauration depuis des décennies, et poursuivre leur développement en fonction des besoins du monde du travail des années à venir. L objectif est une politique libérale de l emploi qui établisse des conditions-cadres favorables à la concurrence pour les hôteliers, qui limite le moins possible la liberté entrepreneuriale tout en évitant les réglementations inutiles. La flexibilisation du marché du travail, les simplifications administratives, une loi sur l immigration favorable à l économie, la suppression des freins étatiques en matière de droit économique et de droit du travail, et le rejet des commissions tripartites au sein d une CCNT efficace constituent les requêtes essentielles d hotelleriesuisse. le perfectionnement des collaborateurs compétents. Une formation professionnelle adaptée aux besoins de la branche et de l économie ainsi que la promotion de la recherche orientée vers la pratique constituent ici les exigences fondamentales de l association. Instruments de la politique du tourisme orientés vers le marché Pour que le tourisme suisse puisse proposer des produits et des services compétitifs au niveau national et international, il est essentiel qu il se fonde de manière cohérente sur l évolution du marché. Ainsi, hotelleriesuisse s engage en faveur d une amélioration des conditions-cadres économiques et des programmes d action sur mesure proposés par la Confédération. Le développement des instruments de la politique du tourisme, à savoir l encouragement à l innovation, la promotion de la Suisse et la statistique par branche, constitue les exigences majeures de l association. Politique de formation viable Les compétences humaines et professionnelles des collaborateurs sont décisives pour la capacité d innovation et la qualité des prestations de l hôtellerie et de la restauration. Voilà pourquoi hotelleriesuisse s engage en faveur d une politique de formation clairvoyante capable de soutenir la branche dans le recrutement, la formation et Le texte intégral des Lignes directrices de la politique économique et touristique d hotelleriesuisse, y compris toutes les revendications pour la législature , peut être téléchargé sur rubrique «politique». hotelleriesuisse est profondément déterminée à améliorer les chances de succès et de croissance des hôteliers suisses compétitifs et de ceux désireux de le devenir. La lutte contre la cherté des prix et des coûts en Suisse est la principale priorité de l agenda politique d hotelleriesuisse, car elle constitue le frein essentiel à la croissance du tourisme, branche d exportation intimement liée au territoire national. W 14

17 RenØ Habermacher Visuelle Gestaltun g Zrich Atelier für visuelle Kommunikation und Kunst info@habermacher.ch

18 W Classification des hôtels W 16 La classification comme défi: un hôtel doit remplir de nombreux critères pour atteindre les étoiles.

19 Le pouvoir éclairant des étoiles hôtelières Depuis plus d un quart de siècle, les étoiles brillent audessus des hôtels classés par hotelleriesuisse. Elles guident l hôte vers l établissement fonctionnel, raffiné ou luxueux qu il recherche. Elles lui indiquent en un coup d œil où résident les points forts de l établissement en question et veillent à ce que son séjour soit placé sous une bonne étoile. W Annette Stoffel Arrivée et accueil En 1979, hotelleriesuisse introduit le système de classification des hôtels. Aujourd hui, près de 77 pour cent de toute la clientèle hôtelière en Suisse séjournent dans des établissements classés par hotelleriesuisse. Les normes de la classification des hôtels sont régulièrement adaptées aux exigences qualitatives internationales et aux besoins des hôtes. De plus, le système de classification récompense les efforts entrepris dans la gestion de la qualité en prenant en considération le Label de qualité pour le tourisme suisse ou des programmes équivalents lors de l attribution des étoiles. La procédure de classification des hôtels est effectuée avec la collaboration de l hôtel concerné et des commissions compétentes d hotelleriesuisse (Commissions régionales et Commission de la classification des hôtels). Celles-ci sont composées d hôteliers actifs et de représentants d organisations de protection des consommateurs, elles prennent leurs décisions en toute autonomie en s appuyant sur un règlement spécialement conçu à cet effet. Les inspections sont annoncées à l avance et sont faites par deux représentants de la commission régionale ou des contrôles anonymes sont réalisés à l improviste par les inspecteurs de la Société Générale de Surveillance (SGS). Ces derniers contrôlent notamment les «facteurs souples» tels que l amabilité du personnel ou le traitement des réclamations et des souhaits particuliers. Le reportage photographique sur le Sorell Hôtel Zürichberg à Zurich ne donne qu un petit aperçu du système de classification vaste et complexe, des diverses catégories de base et de spécialisation ainsi que des normes à remplir. Pour de plus amples informations, il est recommandé de consulter le site consacré à la classification des hôtels. W W Pour qu un hôte se sente bien dans un hôtel, il faut que la prestation de service, l équipement et l état de la maison répondent à ses attentes. Ces points font l objet d un contrôle lors de la procédure de classification et se reflètent dans les étoiles accordées. L attention est également portée sur des éléments à l extérieur de l hôtel dont le client ne perçoit peut-être pas la valeur de manière consciente tels que l emplacement devant l entrée de l hôtel, la mise à disposition de places de stationnement, l entretien du jardin et de la terrasse ou l état du bâtiment en général. Lorsque l hôte pénètre ensuite dans l univers hôtelier, l accueil doit être chaleureux, comme le prescrivent les directives de la classification des hôtels. Dans un établissement 4 étoiles à l image du Sorell Hôtel Zürichberg les employés à la réception doivent par exemple être aptes à s exprimer en plusieurs langues et ils sont par la même occasion des interlocuteurs privilégiés lors de demandes de renseignements ou pour les services du portier. La disponibilité des services pour les formalités d enregistrement et de départ, mais aussi la tenue des collaborateurs sont prises en compte dans l évaluation. Dans l espace accueil de l hôtel, des critères généraux tels que propreté et ambiance, mais aussi l état du mobilier sont contrôlés. La mise à disposition des hôtes de dossiers d information détaillés, d accès à Internet ou de sièges dans le hall de réception sont encore d autres éléments récompensés lors de la procédure de classification. En se rendant à sa chambre, l hôte emprunte l ascenseur, les escaliers, il traverse des corridors, longe des salons ou passe à côté de WC réservés à la clientèle. Ces locaux sont tous répertoriés dans la procédure de classification et font l objet d un contrôle par exemple quant à l impression générale qu ils donnent et leur fonctionnalité. 17 W

20 W Classification des hôtels Offre de chambres spéciales et service Dimensions et équipement de la chambre W Arrivé sur le seuil de la chambre, c est un autre critère d évaluation central qui est visible: les dimensions de la chambre. Une règle simple et plausible s applique ici: plus un hôtel porte d étoiles, plus ses chambres et ses salles de bains sont grandes et ce aussi bien pour les chambres individuelles que les chambres à deux lits. Les dimensions minimales requises pour les chambres et les salles de bains sont définies de manière très précise au mètre carré pour toutes les catégories. Les chambres et les salles de bains sont soumises à des critères décisifs qui comptent dans l attribution du nombre d étoiles, mais le type et la diversité de l infrastructure revêtent aussi une importance particulière. Dans un établissement 4 étoiles, l hôte est en droit d attendre une chambre très confortable avec un équipement soigné de premier rang ainsi qu une large palette de prestations de services. Là encore, plus l équipement d une chambre est étendu et sophistiqué, plus l hôtel portera d étoiles. La palette des éléments à évaluer est vaste, elle s étend de l éclairage aux installations techniques, en passant par le mobilier ainsi que l équipement et les accessoires de la salle de bains. Pour ce qui est de l équipement des chambres, chaque catégorie comporte un certain nombre de normes obliga - toires à satisfaire et le standard qualitatif est toujours pris en con - sidération tout comme l état qui doit être irréprochable. W Les hôtels 3, 4 et 5 étoiles qui caracolent en tête ne sont pas seulement dotés d étoiles, mais ils portent également une couronne et la mention «Superior» pour les distinguer des autres établissements de la même catégorie. Dans un établissement Superior, une large palette d équipements supplémentaires et de prestations de services sont mis à disposition. Parmi les normes à remplir pour l obtention du supplément Superior figurent la climatisation dans la chambre, des jeux vidéo, la Pay-TV ainsi qu un lecteur CD et/ou DVD. Mais des chambres équipées de lits très longs ou des chambres pour personnes atteintes d allergies sont également récompensées par des points en plus. Des points supplémentaires sont encore octroyés si l hôte a la possibilité de choisir entre plusieurs types d oreillers ou de se préparer un café ou un thé dans la chambre. En ce qui concerne les salles de bains, des chauffe-linges, des radios ou des WC et douches séparés contribuent à l obtention de la distinction Superior. Lors de l attribution des étoiles, les prestations de services offertes par rapport à la chambre ont bien sûr aussi leur importance. Ainsi la fréquence du changement de linge ou le lavage et le repassage du linge des hôtes se répercutent dans les évaluations. Au service à l étage, si le type de l offre joue un rôle (boissons et/ou mets), les heures de service revêtent également une grande importance. Le système de classification prescrit par exemple aux hôtels 4 étoiles la possibilité de servir un petit-déjeuner continental dans la chambre jusqu à 11 heures au moins. Et quelles prestations l hôte est-il en droit d attendre à côté de la chambre? Qu il s agisse d un encadrement permanent ou d une vaste offre d installations sportives et de loisirs, là encore l hôte peut déduire l étendue de l offre en se basant sur le nombre d étoiles. W 18

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