NOTE SUR LA POLITIQUE MONETAIRE
|
|
- Joëlle Grégoire
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 NOTE SUR LA POLITIQUE MONETAIRE Juin 2017 Note sur la Politique Monétaire Troisième trimestre
2 Sommaire I. VUE D ENSEMBLE II. III. IV. L ENVIRONNEMENT ÉCONOMIQUE SOUS-JACENT A LA POLITIQUE MONÉTAIRE...2 LES DÉCISIONS DE POLITIQUE MONÉTAIRE AU QUATRIÈMETRIMESTRE PERSPECTIVES Note sur la Politique Monétaire Troisième trimestre
3 I. VUE D ENSEMBLE Au troisième trimestre de l exercice fiscal , la politique monétaire mise en œuvre par la BRH a été marquée principalement par la stabilité des taux directeurs, et l augmentation des interventions de la Banque Centrale sur le marché des changes. Cette politique a été conduite dans un environnement économique national caractérisé par le relèvement des prix des produits pétroliers à la pompe et du tarif des transports en commun. Ces ajustements à la hausse ont contribué à l augmentation des pressions inflationnistes enregistrées en fin de trimestre. Au niveau de la balance courante, les transferts privés sans contrepartie en provenance de l extérieur ont connu une hausse exceptionnelle. La situation financière de l Etat, de son côté, a été marquée par un repli du financement monétaire du déficit budgétaire. Les données disponibles sur le système bancaire pour le mois d avril 2017 font état d une amélioration de sa rentabilité, du maintien de la qualité de l actif ainsi que du renforcement du poids des dépôts comme principale source de financement. Sur le plan international, l amélioration continue de la croissance économique et de la situation de l emploi aux États-Unis a amené la Réserve Fédérale à relever, encore une fois, ses taux directeurs alors que la Banque Centrale Européenne a maintenu une politique monétaire accommodante. En République Dominicaine, face à la remontée de l inflation, les autorités monétaires ont choisi de relever les taux directeurs. Sur les marchés internationaux des matières premières, les cours du pétrole se sont orientés à la baisse alors que prix des produits alimentaires indiquent une hausse après trois mois consécutifs de repli. II. L ENVIRONNEMENT ÉCONOMIQUE SOUS-JACENT À LA POLITIQUE MONÉTAIRE Les données préliminaires sur l évolution de la conjoncture économique aux États-Unis font état d une confirmation de la reprise de l activité amorcée au deuxième trimestre L investissement privé et les dépenses de consommation ont progressé de sorte à porter les prévisions de croissance à 2 % pour le quatrième trimestre De plus, avec des taux de 2,4 % et de 1,9 % en avril et en mai 2017, l inflation s est rapprochée de l objectif annuel de 2 % de la Fed. La hausse de l emploi ( emplois non-agricoles créés en avril 2017 contre en mars 2017) et le repli continu du taux de chômage (4,5 %, 4,4 % et 4,3 % respectivement en mars, avril et mai 2017) signalent la revitalisation du marché du travail. Ces développements ont porté la Fed à normaliser sa politique monétaire, abandonnant progressivement les mesures de relance monétaire en vigueur depuis les sept dernières années. Ainsi, après avoir augmenté de 25 Note sur la Politique Monétaire Troisième trimestre
4 points de base ses taux directeurs au cours du deuxième trimestre 2017, la banque centrale américaine a procédé à un relèvement similaire à la mi-juin, portant désormais le taux directeur dans une fourchette de 1 à 1,25 %. Les enquêtes de conjoncture de la Zone Euro suggèrent que la reprise de l activité s est poursuivie au troisième trimestre 2017 à un rythme de 0,5% contre 0,4% durant le deuxième trimestre. La demande intérieure a été le principal moteur de la croissance, stimulée par une politique budgétaire modérément expansionniste et une politique monétaire encore accommodante avec le maintien du programme d assouplissement quantitatif de la Banque Centrale Européenne (BCE). Quant à l inflation, elle a évolué en dessous de l objectif annuel de 2 % de la BCE, passant de 1,9 % en avril 2017 à 1,4 % en mai La Banque Centrale de la République Dominicaine (BCRD) a décidé de relever ses taux directeurs, de 5,5% depuis octobre 2016, de 25 points pour les établir à 5,75 % en avril Cette décision résulte notamment de la hausse significative de l inflation qui a atteint en avril 2017 son plus fort taux depuis trois ans (+3,51 % en variation annuelle), proche de la limite supérieure de la cible d inflation annuelle (4,0 % ± 1 %). Avec une croissance économique de 5,2 % au deuxième trimestre 2017 se rapprochant des perspectives de croissance de 5,5 % pour l année 2017, la BCRD a jugé bon, toujours pour contenir l inflation, de resserrer modérément sa politique monétaire. Sur le marché international, l indice FAO des prix des produits alimentaires a progressé en mai 2017 après trois mois consécutifs de baisse pour se chiffrer à 172,6 points en mai Cette augmentation est liée à celle des prix de toutes les denrées alimentaires au début du troisième trimestre 2017, à l exception du sucre. Par ailleurs, les cours du pétrole ont continué de fluctuer dans la fourchette de dollars ÉU avec une tendance à la baisse au cours du troisième trimestre suite à l augmentation de la production des États-Unis. En effet, après avoir débuté l année 2017 autour de 58,20 dollars, le prix du baril du Brent est passé de 54,3 dollars en avril 2017 à 51,9 dollars en mai 2017 jusqu à afficher 41,91 dollars à la mi-juin Le prix du baril du West Texas Intermediate (WTI) est passé de 51,62 dollars en avril 2017 à 49,05 en mai 2017 puis à 46,82 à la mi-juin. Note sur la Politique Monétaire Troisième trimestre
5 Sur le plan national, l inflation en variation mensuelle est passée de 1,2 % en mars à 1,5 % en mai, suite notamment à l augmentation des prix du carburant et des transports en commun. La hausse des prix de la fonction transport a contribué à 39 % à la croissance de l inflation globale. En glissement annuel cette progression a été de 15,5 % en mai contre 14,3 %, deux mois auparavant. S agissant de l inflation sous-jacente, elle a continué d évoluer en dessous de l inflation observée, ce qui confirme que la hausse des prix est principalement alimentée par les composantes volatiles du panier de consommation. Note sur la Politique Monétaire Troisième trimestre
6 Au niveau du secteur externe, les données disponibles indiquent un accroissement du déficit commercial, une augmentation des transferts privés reçus de l étranger ainsi qu une appréciation de la gourde par rapport au dollar américain. Ainsi, au cours des six premiers mois de l exercice, le déficit commercial a atteint 1,17 milliard de dollars ÉU, en hausse de 20,41 % par rapport à la même période de l exercice précédent. Cette détérioration du solde commercial est la conséquence d une progression des importations conjuguée à un repli des exportations. En effet, pour la période considérée, les importations ont crû de 12,48 % à 1,62 milliard de dollars ÉU tandis que les exportations ont diminué de 4 % à 449,07 millions de dollars ÉU. Les sept premiers mois de l exercice sont marqués par la hausse des transferts privés reçus de l étranger, qui ont atteint 1,15 milliard de dollars ÉU, soit un accroissement de 13,41 % par rapport à l exercice antérieur. L offre de devises, induite par la hausse des transferts et les interventions de la BRH sur le marché des changes, a entraîné une baisse du taux de change. En effet, au 28 juin 2017, le taux de change de référence se chiffrait à 62,38 gourdes pour un dollar américain, soit une appréciation de 10,05 % de la monnaie nationale par rapport au 31 mars Note sur la Politique Monétaire Troisième trimestre
7 La situation des finances publiques au 29 juin 2017 indique une relative stabilité de la situation financière de l Etat. En effet, au cours du troisième trimestre , l État haïtien a collecté des recettes évaluées à 18,0 milliards de gourdes contre 18,3 milliards au deuxième trimestre soit une diminution de 1,6 %. Parallèlement, les dépenses ont chuté de 21,15% par rapport au trimestre passé. A la faveur de l ajustement à la hausse des prix à la pompe des produits pétroliers et de l implémentation d un nouveau système de gestion fiscale à la DGI, les recettes cumulées d octobre 2016 à juin 2017 sont estimées à 52,8 milliards de gourdes soit un taux de réalisation de 68,8 % par rapport aux recettes prévues dans le budget rectificatif Il convient de mentionner que les pertes de recettes sur les produits pétroliers d octobre 2016 à mai 2017, qui se chiffrent à 8,8 milliards de gourdes, ont beaucoup contribué à cette méforme des recettes. Les dépenses publiques cumulées d octobre 2016 à juin 2017 ont quant à elles totalisé 67,3 milliards de gourdes ce qui correspond à un taux d exécution de Note sur la Politique Monétaire Troisième trimestre
8 79,1 % du montant prévu dans le budget. Le financement monétaire est en baisse au 22 juin 2017, à 1,5 milliards de gourdes contre 2,4 milliards en mars III- LES DECISIONS DE POLITIQUE MONETAIRE AU DEUXIEME TRIMESTRE 2017 Au cours du troisième trimestre 2017, les décisions de politique monétaire de la Banque Centrale se sont inscrites dans la nécessité de renforcer la stabilité de la monnaie nationale en vue de renverser le mouvement de dépréciation de la gourde et sa transmission à l inflation. De ce fait, les autorités monétaires ont procédé à la reprise de la liquidité en gourdes au niveau du système bancaire à travers les bons BRH tout en gardant constant les taux d intérêt sur ces derniers. L encours des bons de la Banque Centrale a donc presque doublé, passant de MG en mars 2017 à MG au 22 juin Les taux d intérêt sur ces titres monétaires ont été maintenus à 12 %, 8 % et 6 % respectivement pour les maturités de 91 jours, 28 jours et 7 jours. Le resserrement monétaire a donc porté essentiellement sur l assèchement des liquidités excédentaires du système bancaire. De plus, au-delà des interventions sur le marché des changes, les autorités monétaires ont modifié les positions de change, cambiste et structurelle, des banques commerciales. En effet, afin de minimiser l écart entre les acquisitions et ventes de devises de la part de ces dernières, la BRH a décidé de fixer la position cambiste journalière à 0 % alors que la position de change structurelle a été ramenée de 1 % à 0,5 %. De même, dans la ligne de l annonce de vente de 120 millions de dollars faite à la fin du deuxième trimestre, la Banque Centrale est intervenue sur le marché à hauteur de 50,78 millions sur période avril-juin 2017, portant le total de dollars vendus à 100 millions de dollars pour l exercice fiscal en cours. Par ailleurs, l amélioration de l offre de devises associée à l augmentation des transferts privés sans contrepartie durant les mois d avril et de mai 2017, a permis Note sur la Politique Monétaire Troisième trimestre
9 à la Banque Centrale de conforter son coussin de réserves internationales par des achats sur le marché. C est ainsi que les réserves nettes de change de la BRH sont passées de 888,61 millions de dollars ÉU en mars à 1,05 milliards au 22 juin Les données préliminaires du mois de juin indiquent un ralentissement du rythme de progression de la base monétaire au sens strict tandis qu une accélération de la base au sens large a été observée. En effet, la monnaie centrale au sens strict a affiché une croissance de 2,95 % au troisième trimestre contre 8% au trimestre précédent. Cette progression reflète celle des dépôts en gourdes des banques commerciales à la BRH dont la progression a diminué de 24,71 points de pourcentage pour se porter à 1,53 %. Quant à la base au sens large, sa progression de 4,29 % est imputable à l augmentation de l encours des bons BRH, lequel est passé de MG en mars 2017 à MG en juin De leur côté, les dépôts en dollars convertis en gourdes se sont contractés de 1,16 % ; essentiellement en raison de l appréciation de la gourde puisqu en volume ils ont crû de 10,36 %. Du côté de l actif du bilan de la Banque Centrale, l augmentation de 26,04% des avoirs extérieurs nets exprimés en gourdes a été la principale source de progression de la monnaie centrale au sens large. En ce qui a trait à la masse monétaire, les données provisoires du mois d avril montrent une contraction de tous les agrégats à l exception de M3. Le sens de l évolution des agrégats de monnaie M1 et M2 résulte respectivement de la baisse des dépôts à vue en gourdes (-2, 80 %) et des dépôts à terme en gourdes (-6,70%). Pour sa part, l agrégat M3, évalué à 278,79 milliards de gourdes en avril 2017, a crû de 7,15 % par rapport à mars La Note sur la Politique Monétaire Troisième trimestre
10 hausse de M3 est essentiellement attribuable à celle des dépôts à vue en dollars (+31,80 %). Par conséquent, la dollarisation, mesurée par le ratio des dépôts en dollars ÉU sur l ensemble des dépôts du système bancaire, s est accentuée, en passant de 64,62 % en mars à 67,71 % en avril Cette hausse de M3 a été principalement financée par les avoirs extérieurs nets du système bancaire dont le taux de croissance est passé de 0,90 % en mars à 13,29 % en avril La baisse des créances sur le secteur privé dont le taux de croissance a été de -0,65 % en avril 2017, tend à confirmer un ralentissement de l activité économique. S agissant du système bancaire, les données disponibles sur le système bancaire pour le mois d avril 2017 font état d une amélioration de sa rentabilité, du maintien de la qualité de l actif ainsi que du renforcement du poids des dépôts comme source de financement. En effet, la structure financière du système bancaire s est légèrement modifiée, les dépôts finançant davantage les actifs du système comparativement aux fonds propres. Le ratio dépôts en pourcentage de l actif a augmenté de 85 points de base pour s établir à 82,14 %, tandis que l avoir des actionnaires en pourcentage de l actif a baissé de 58 points de base par rapport à mars 2017 pour s établir à 8,33 %. L actif du système a crû de 6,6 % en variation mensuelle pour se fixer à 314,5 milliards de gourdes quoique le portefeuille des prêts nets ait subi un léger repli de 0,7 % par rapport au mois de mars 2017 pour s établir à 82,6 milliards de gourdes. Parallèlement, les dépôts du système ont crû de 7,7 % portant ainsi le ratio «Prêts nets/dépôts totaux», indicateur clé de l intermédiation bancaire, à 31,99 % soit un recul de 270 points de base par rapport à mars Au cours du mois d avril 2017, une légère baisse de la dollarisation du portefeuille de prêts nets a été observée avec une réduction de de la part des prêts en dollars de 0,6 % en variation mensuelle. S agissant des dépôts en devises converties en pourcentage des dépôts totaux, ils sont passés de 63,35 % en mars 2017 à 66,3 % un mois plus tard, entraînés en grande partie par l évolution des dépôts à vue libellés en devises. Quant aux prêts improductifs en pourcentage des prêts bruts, ils sont passés de 3,67 % en mars 2017, à 3,63 % un mois plus tard. En glissement annuel, ce ratio également détérioré, puisqu en avril 2016, il s était fixé à 4,53 %. De plus, le niveau atteint par ce dernier, est conforme à la norme maximale internationale fixée à 5 %. Par ailleurs, le bénéfice net du système, établi à 527,5 millions de gourdes en avril 2017 a crû, à la fois en rythmes annuel et mensuel. En effet, il a respectivement progressé de 57,9 % et de 11,1 % par rapport à avril 2016 et mars De son côté, le produit net bancaire (PNB) se chiffrant à 1,5 milliard de gourdes, a augmenté de 19,2 % et 2,4 % par rapport à avril 2016 et mars 2017, respectivement. Cette performance reflète Note sur la Politique Monétaire Troisième trimestre
11 à la fois la croissance de ses deux principales composantes, à savoir les revenus nets d intérêt (+ 7,8 %) et les autres revenus (+ 32,7 %). Les ratios de rentabilité ROA et ROE, pris en variation mensuelle, ont tous deux connu une évolution favorable. Le ROA, établi à 1,94 % en mars 2017, a gagné 14 points de base un mois plus tard pour se fixer à 2,08 %. De même, en glissement annuel, ce ratio a crû de 46 points de base. Une évolution similaire a été constatée pour le rendement des avoirs des actionnaires (ROE). En effet, après avoir atteint des taux de 21,82 % et 18,08 %, respectivement en mars 2017 et avril 2016, il s est fixé à 24,11 % en avril PERSPECTIVES Les perspectives de croissance économique pour la fin de l exercice dépendront en grande partie des résultats qui seront obtenus par le secteur agricole après la campagne de printemps. Ces derniers seront influencés par le soutien important accordé par le gouvernement à travers des investissements publics, principalement dans la réfection des infrastructures, dans les régions de l Artibonite et du Sud. Ces perspectives dépendront aussi du comportement du taux de change dans les prochains mois et de la poursuite ou non d un certain retard dans la transmission de l appréciation de la gourde vers l évolution de l inflation. La BRH demeurera toutefois attachée à sa mission de maintien de la valeur externe et interne de la monnaie nationale en prenant les mesures nécessaires en vue de réduire la volatilité du taux de change et son impact sur le niveau des prix. De plus, les autorités monétaires continueront de maintenir une posture de stimulation de la croissance économique durable à travers des mécanismes financiers incitatifs visant à favoriser l octroi de financements viables à des secteurs productifs. À terme, les efforts de la Banque Centrale, en cohérence avec le cadre de politiques publiques défini par les autorités gouvernementales, tant en termes de stabilisation du cadre macroéconomique que de dynamisation des secteurs à haute valeur ajoutée visent à créer les conditions propices pour une prompte redynamisation de l économie. Note sur la Politique Monétaire Troisième trimestre
Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailAutomne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC
Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 Le point sur la situation économique et financière du québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte désigne
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailTABLE DES MATIERES. iii
RAPPORT DU COMITE DE POLITIQUE MONETAIRE N 1/2014 ii TABLE DES MATIERES LISTE DES ACRONYMES... iv RESUME ANALYTIQUE... v 1. ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE INTERNATIONAL... 1 1.1. Croissance du PIB mondial...
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détailTable des Matières. 2 Secteur monétaire et bancaire (sources : BRH) Finances Publiques. (sources : BRH / MEF)
Table des Matières 2 Secteur monétaire et bancaire (sources : BRH) 6 Finances Publiques (sources : BRH / MEF) 7 Secteur réel (sources : IHSI / BRH / EDH) 10 Secteur externe (sources : BRH / AGD / Maison
Plus en détailBanque de la République d Haïti. Bulletin Statistique 36 Juillet - Septembre 2000
Banque de la République d Haïti Bulletin Statistique 36 Juillet - Septembre 2000 Table des matières Avertissement...5 I- Statistiques monétaires et financières Tableau 1.1 Principaux indicateurs monétaires...10
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailLa dette des ménages canadiens demeure très élevée
12 septembre 2014 La dette des ménages canadiens demeure très élevée Faits saillants États Unis : accélération bienvenue des ventes au détail. Forte hausse du crédit à la consommation en juillet aux États
Plus en détailÀ Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires
POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse
Plus en détailLES NOUVEAUX INDICATEURS STATISTIQUES DU FMI
LES NOUVEAUX INDICAEURS SAISIQUES DU FI À la fin de 1994 et au début de l année 1995, la répétition et la sévérité des désordres sur les marchés de capitaux, et récemment la crise financière du exique
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailCOMPRENDRE LA BOURSE
COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailORGANIGRAMME. Conseil d'administration. Administration. Caisse. Contrôle de Crédit. Monnaie et Analyse Économique. Affaires Internationales
ORGANIGRAMME Conseil d'administration Unité d'audit Interne Attachés à la Direction Générale Administration Ressources Humaines Comptabilité/Budget Support Informatique Affaires Juridiques Contentieux
Plus en détailAnnexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif
Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses
Plus en détailPoint de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du premier semestre 2014 en zone CEMAC
Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du premier semestre 2014 en zone CEMAC Commission de la CEMAC Département des Politiques Economique, Monétaire et Financière Direction des
Plus en détailECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011
BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailEnquête sur les perspectives des entreprises
Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,
Plus en détailDORVAL FLEXIBLE MONDE
DORVAL FLEXIBLE MONDE Rapport de gestion 2014 Catégorie : Diversifié International/Gestion flexible Objectif de gestion : L objectif de gestion consiste à participer à la hausse des marchés de taux et
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée Basé sur les notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailLa Banque nationale suisse surprend les marchés
La Banque nationale suisse surprend les marchés 16 janvier 2015 Faits saillants États-Unis : baisse décevante des ventes au détail en décembre. États-Unis : les prix de l essence font diminuer l inflation,
Plus en détailLa politique monétaire. Lionel Artige HEC Université de Liège
La politique monétaire Lionel Artige HEC Université de Liège La politique monétaire d hier et d aujourd hui Hier Autrefois, les Etats battaient monnaie et les banques centrales dépendaient directement
Plus en détailTable des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailLes crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014
Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression
Plus en détailBanque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013
Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer
Plus en détailBANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011
البنك المركزي التونسي BANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 SOMMAIRE Pages Introduction... 5 Endettement extérieur
Plus en détailTrès légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février
25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre
Plus en détailPerspectives économiques 2013-2014
Carlos Leitao Économiste en chef Courriel : LeitaoC@vmbl.ca Twitter : @vmbleconomie Perspectives économiques 2013-2014 L amélioration de l économie atténuée par l incertitude politique Prix du pétrole:
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailLe présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détailWali. Directeur général. commissaire Du gouvernement. conseil. M. Abdellatif JOUAHRI. M. Abdellatif FAOUZI. M. Le Wali. M. Le Directeur Général
EXERCICE 2014 Wali M. Abdellatif JOUAHRI Directeur général M. Abdellatif FAOUZI commissaire Du gouvernement conseil M. Le Wali M. Le Directeur Général M. Abdellatif BELMADANI M. Mohammed BENAMOUR Mme
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailBonne tenue de l activité au premier semestre 2009
Paris, le 27 août 2009 Bonne tenue de l activité au premier semestre 2009 Croissance organique hors essence et effet calendaire de +1,3% Quasi-stabilité de la marge d EBITDA en organique Résistance des
Plus en détailInvestissement en capital dans la transformation alimentaire canadienne
PROGRAMME DE RECHERCHE SUR LE SECTEUR DE LA TRANSFORMATION ALIMENTAIRE PROGRAMME DE RECHERCHE DE LA TRANSFORMATION ALIMENTAIRE / PROJET 6A PROJET 6a : CONNAISSANCES EN MATIÈRE D INNOVATION Investissement
Plus en détailAccord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008
Accord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008 Les organisations syndicales signataires : CFDT, SNECA-CGC, SUD AtlantiCA TABLE DES MATIERES L ACCORD INDEX TABLE DES MATIERES
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel Janvier 2015 Avertissement : les indicateurs mensuels repris dans le «Tableau de bord» ne deviennent définitifs
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailATTIJARI MARKET RESEARCH FX & COMMODITIES TEAM
29 juin 2009 Forex Weekly Highlights I. Evénements clés et statistiques de la semaine du 22 juin 2009 Le retour de l aversion au risque a permis au billet vert d effacer un peu les pertes accumulées face
Plus en détailMAE/BRH DI-002 DOCUMENT D INFORMATION. Les Banques dans l economie nationale Un apercu
LLa Banque de la République d Haïti a le plaisir de vous présenter le second numéro de la série «Document d Information». Cette dernière a pour but d informer le public en général, et les opérateurs économiques
Plus en détailTD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD
TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident
Plus en détailBanque nationale suisse
IFFP Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle Combinaison des politiques budgétaires et monétaires 22.01.2010, Lausanne 8h45 12h 12h45 16h David Maradan, chargé de cours UNIGE et
Plus en détailINSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec
INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec Édition 2013 Pour tout renseignement concernant l ISQ et les données statistiques dont il dispose, s
Plus en détailRAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE
2014 RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE Rapport adressé à Monsieur le Président de la République et au Parlement par Christian Noyer, gouverneur Sommaire La Banque de France a fait appel à des métiers
Plus en détailTD n 1 groupe 1 : Vendredi 30 novembre 2007 Bertrand Lapouge Stéphane Perot Joël Maynard
TD n 1 groupe 1 : Vendredi 30 novembre 2007 Bertrand Lapouge Stéphane Perot Joël Maynard Note de synthèse : Les avantages et les inconvénients d une politique de changes flexibles La politique de change
Plus en détailLEADER MONDIAL DU PETIT ÉQUIPEMENT DOMESTIQUE
26 février 2015 Résultats de l exercice 2014 Groupe SEB : Des performances opérationnelles solides Des devises pénalisantes 1 Ventes de 4 253 M en croissance organique* de + 4,6 % Croissance organique*
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE 1. Chiffre d affaires : 243,6 M (- 6%) Résultat d exploitation : 3,2 M (+ 53%) Résultat net de la période : 2,3 M (+ 64%)
COMMUNIQUE DE PRESSE 1 RESULTATS 2014 : Le 20 février 2015, 16 h 30 INFORMATION REGLEMENTEE Chiffre d affaires : 243,6 M (- 6%) Résultat d exploitation : 3,2 M (+ 53%) Résultat net de la période : 2,3
Plus en détailRecommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 13.5.2015 COM(2015) 265 final Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 et portant avis du Conseil
Plus en détailPERTES ET BENEFICES DE CHANGE
ANALYSE DE L EXECUTION DU BUDGET DE L ETAT PAR MISSION ET PROGRAMME EXERCICE 2012 COMPTE D OPERATIONS MONETAIRES PERTES ET BENEFICES DE CHANGE MAI 2013 Compte d opérations monétaires Pertes et bénéfices
Plus en détailBulletin trimestriel sur les marchés T1 2015
Bulletin trimestriel sur les marchés T1 2015 Message du chef de la direction des placements Je suis heureux de présenter la première édition du Bulletin trimestriel sur les marchés. Remplaçant notre publication
Plus en détailContexte pétrolier 2010 et tendances
Contexte pétrolier 21 et tendances L incertitude du contexte économique, en particulier dans les pays occidentaux, est à l origine d une fluctuation marquée du prix du pétrole en 21 : minimum de 67 $/b
Plus en détailLes échanges Internationaux. L environnement monétaire international
Les échanges Internationaux L environnement monétaire international Caractéristiques du système monétaire international (SMI) SMI : structure mondiale de relations commerciales et financières au sein desquelles
Plus en détailLES ENJEUX DE LA VOLATILITE DU PETROLE ET DU GAZ ENTRETIENS ENSEIGNANTS-ENTREPRISE 28 AOÛT 2013- INSTITUT DE L ENTREPRISE
LES ENJEUX DE LA VOLATILITE DU PETROLE ET DU GAZ ENTRETIENS ENSEIGNANTS-ENTREPRISE 28 AOÛT 213- INSTITUT DE L ENTREPRISE Helle Kristoffersen Directeur de la Stratégie TOTAL VOLATILITÉ DES MATIÈRES PREMIÈRES
Plus en détailLe marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.
Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien
Plus en détailInformations générales 1 er trimestre 2015. Inform La politique monétaire dans le piège des taux bas
Informations générales 1 er trimestre 2015 Inform La politique monétaire dans le piège des taux bas A propos de Swisscanto Swisscanto figure parmi les plus grands promoteurs de fonds de placement et prestataires
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailUNEP/OzL.Conv.10/4. Programme des Nations Unies pour l environnement
NATIONS UNIES EP UNEP/OzL.Conv.10/4 Distr. : générale 5 août Français Original : anglais Programme des Nations Unies l environnement Conférence des Parties à la Convention de Vienne la protection de la
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailLa guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015
PERSPECTIVES La guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015 Depuis le début de l année 2015, de nombreuses banques centrales à travers le monde ont abaissé leur taux d intérêt ou pris d autres
Plus en détailCAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES
Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications
Plus en détailL économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions
L économie ouverte Un modèle de petite économie ouverte V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile Quelques définitions Économie fermée Économie ouverte Exportations et importations Exportations nettes
Plus en détailFonds IA Clarington mondial de croissance et de revenu (le «Fonds»)
Placements IA Clarington inc. Prospectus simplifié Le 23 septembre 2014 Offre de parts de série A, de série F, de série F5, de série I, de série L, de série L5 et de série T5 du Fonds IA Clarington mondial
Plus en détailLa confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai
25-5-27 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - mai 25 La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai Le baromètre de
Plus en détailmai COMMENTAIRE DE MARCHÉ
mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident
Plus en détailLa finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012
La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012 Sommaire I - Le rôle prépondérant des marchés financiers I.1 - Financiarisation de l'économie mondiale I.2 Lien avec l'entreprise
Plus en détailChapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de
Plus en détailCONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE SUR LES RÉSULTATS RÉSULTATS POUR LE TRIMESTRE CLOS LE 31 MARS 2015. 5 mai 2015
CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE SUR LES RÉSULTATS RÉSULTATS POUR LE 5 mai 2015 FAITS SAILLANTS La Société a connu un trimestre difficile. Pour le T1 2015, les produits, principalement touchés par des prix défavorables,
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ RAPPORT SEMESTRIEL D'EXECUTION DE LA SURVEILLANCE MULTILATERALE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ RAPPORT SEMESTRIEL D'EXECUTION DE LA SURVEILLANCE MULTILATERALE Juin 2014 1 TABLE DES MATIERES Résumé... 5 INTRODUCTION...
Plus en détailPourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux
7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour
Plus en détailLes divergences dominent le marché
Les divergences dominent le marché L euro a continué de glisser, pour la sixième semaine consécutive, face au dollar américain. Et cette baisse devrait continuer de s accentuer dans les prochains jours,
Plus en détail1. Une petite économie ouverte dans un monde de capitaux parfaitement mobiles
Le modèle Mundell-Flemming avec parfaite mobilité des capitaux Le modèle Mundell-Flemming (Robert Mundell, Marcus Flemming, début années 1960) est l extension du modèle IS-LM en économie ouverte. Il partage
Plus en détailTable des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1
Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation.... 2 Valeur ajoutée réelle
Plus en détailLa consolidation à une date ultérieure à la date d acquisition
RÉSUMÉ DU MODULE 4 La consolidation à une date ultérieure à la date d acquisition Le module 4 porte sur l utilisation de la méthode de l acquisition pour comptabiliser et présenter les filiales entièrement
Plus en détailL incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1
Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada
Plus en détailTendances récentes dans les industries automobiles canadiennes
N o 11 626 X au catalogue N o 26 ISSN 1927-548 ISBN 978--66-2984-5 Document analytique Aperçus économiques Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes par André Bernard Direction des
Plus en détailCanada-Inde Profil et perspective
Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information
Plus en détailRemarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines
Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Symposium des Gouverneurs sur le thème «Inclusion financière
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détailCompte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance
Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance Le présent document précise encore davantage les données et la méthodologie utilisées par le BSIF pour calculer les marges pour
Plus en détailLe SMI. Chapitre 1. 1.1 Les origines historiques du SMI actuel. 1.1.1 Avant la première Guerre mondiale : l étalon or
Chapitre 1 Le SMI 1.1 Les origines historiques du SMI actuel 1.1.1 Avant la première Guerre mondiale : l étalon or L étalon change-or (Conférence de Gênes - 1922) Caractéristiques : Chaque monnaie nationale
Plus en détailRAPPORT D'EXPERT SUR LE COÛT DE LA DETTE FINANCIÈRE BANQUE NATIONALE
A Demande R-3541 2004 RAPPORT D'EXPERT SUR LE COÛT DE LA DETTE FINANCIÈRE BANQUE NATIONALE LOUIS SIMARD ET PAUL-ANDRÉ PINSONNAULT Original: 2004-09-30 HQD-11, Document 8 Page 1 de 33 LE FINANCEMENT D
Plus en détailPoint de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC
Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC Commission de la CEMAC Département des Politiques Economique, Monétaire et Financière Direction des
Plus en détailA PLUS FINANCE FONDS DE FONDS
FINANCE FONDS DE FONDS A PLUS DYNAMIQUE A PLUS PATRIMOINE A PLUS TALENTS A PLUS OBLIGATIONS RAPPORT DE AU 30-06-2015 COMMENTAIRE DE 1 er SEMESTRE 2015 Le premier semestre 2015 a été caractérisé par le
Plus en détailLes Politiques macro-économiques
Politique Financière Politique Monétaire Politique Fiscale Les Politiques macro-économiques Politique Budgétaire Politique de Crédit Politique Commerciale Politique d Investissement Jocelerme PRIVERT POLITIQUE
Plus en détailAUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS
AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détailB. ÉVOLUTION DU SYSTÈME BANCAIRE EN 2002
B. ÉVOLUTION DU SYSTÈME BANCAIRE EN 2002 La performance du système bancaire a été, à nouveau, affectée par la persistance de la crise politique et l'affaiblissement de la croissance économique. Les résultats
Plus en détail