LEMANUEL DU PLONGEUR BIOLOGISTE. Les Cnidaires. Association Flabelline Plongée Reproduction interdite Vente interdite. Juin 2016

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LEMANUEL DU PLONGEUR BIOLOGISTE. Les Cnidaires. Association Flabelline Plongée Reproduction interdite Vente interdite. Juin 2016"

Transcription

1 LEMANUEL DU PLONGEUR BIOLOGISTE Les Cnidaires Association Flabelline Plongée Reproduction interdite Vente interdite Juin 2016 Association Flabelline Plongée : Siège Social : 5 Lot de Bella Vista Furiani Lieu d activité : Port de Toga Bastia Tel : Mail : Flabelline_5@hotmail.com Site :

2 Table des matières I. Introduction... 2 II. Classification... 2 III. Anatomie et morphologie... 3 IV. Comment vivent les Cnidaires?... 5 A. Nutrition...5 B. Reproduction...5 C. Prédateurs et relations avec d autres espèces...7 D. Biotope...9 E. Protection législative V. Comment reconnaît-on les Cnidaires en plongée? A. Anthozoaires B. Scyphozoaires C. Hydrozoaires VI. Sources et crédits

3 I. Introduction Le nom de cnidaire vient du grec "knidé" signifiant ortie. En effet, les espèces de cette famille sont urticantes à cause des cnidocytes 1, type de cellules urticantes, commun à toutes les espèces de cnidaires. Les cnidaires forment un embranchement du règne animal très diversifié comprenant les méduses, les coraux, les gorgones, les anémones pour les espèces connues des plongeurs. II. Classification Les cnidaires possèdent trois feuillets embryonnaires : l ectoderme, la mésoglée et l endoderme. Ce sont donc des diploblastiques. Depuis 600 millions d années et avec un grand nombre d évolutions, l embranchement s est fortement diversifié. Sa classification est donc différente d une source à l autre, et peu de mises à jour ont été faites suite aux avancées scientifiques. Dans toutes les classifications, seront retouvées les trois classes suivantes : Les anthozoaires : ce mot vient du grec «anthos» signifiant fleur. Ces organismes seront donc en forme de fleurs tels que les anémones, coraux et gorgones. Ils sont caractérisés par une vie benthique 2. Les scyphozoaires : ce mot vient du grec «scypho» signifiant coupe, donc ces animaux ressembleront à des coupes, comme les méduses pélagiques 3 généralement de grande taille. Les hydrozoaires : cnidaires au caractère très primitif. La cavité gastrique est simple et non closonnée comme chez les autres cnidaires. (ex : la Vélelle). Ils présentent la plupart du temps des formes de polypes coloniales fixes (hydraires sur les quels on retrouve les Flabellines par exemple). 1 Cnidocyte : cellule caractéristique des cnidaires. Cette cellule peut être urticante. 2 Benthique : qui vit sur le benthos, donc près du fond 3 Pélagique : qui vit dans le pélagos, donc dans la pleine eau 2

4 III. Anatomie et morphologie Grâce à leur diversité spécifique, les cnidaires peuvent avoir des formes diverses et certaines espèces adoptent plusieurs morphologies au cours de leur croissance. Les morphologies principales sont la forme méduse et la forme polype. La méduse est nageuse, en forme d ombrelle et sa bouche et tentacules sont orientés vers le bas. Le polype est fixé et sa bouche et ses tentacules sont orientés vers le haut (Figure 1 : Morphologies des Cnidaires Figure 2 1). gastrique gastrique Figure 1 : Morphologies des Cnidaires Il est possible d observer quatre caractéristiques communes à tous les cnidaires : Ce sont des animaux diploblastiques : ils constitués d un ectoderme (couche externe) et d un endoderme (couche interne). Entre ces deux feuillets, se trouve la mésoglée 4 (en bleu sur la Figure 1 : Morphologies des Cnidaires Figure 2). 4 Mésoglée : Zone entre les deux feuillets contenant de l eau et des protéines fibreuses à l origine de la structure gélatineuse (dans cette zone, quelques cellules ont évolué pour avoir des fonctions nerveuses et musculaires). 3

5 Ils possèdent tous un type de cellule qui les caractérisent : les cnidocytes, également appelés cnidoblastes. Ce sont des cellules urticantes que les Cnidaires projettent après activation d un cnidocil (Figure 2). Leur premier stade suivant la naissance, est un stade larvaire appelé «planula». Puis cette larve évoluera en polype (fixé) ou en méduse (libre). Ils possèdent généralement une symétrie radiale : structure anatomique organisée de façon circulaire. Figure 2 Le Cnidocyte et son activation 4

6 IV. Comment vivent les Cnidaires? A. Nutrition Les cnidaires sont des animaux majoritairement carnivores, et leur régime alimentaire est le plus souvent constitué de plancton. Ils peuvent percer ou empoisonner leurs proies grâce aux cnidocytes. La nourriture est ensuite transportée par les tentacules vers la cavité gastrique où des cellules sécrétrices d enzymes vont initier la digestion. Enfin, en cours de digestion, d autres cellules digestives capteront les éléments au moyen d un processus de phagocytose 5. B. Reproduction Beaucoup de cnidaires alternent une phase sexuée 6 et une phase asexuée 7. Les modes de reproduction asexués sont des divisions longitudinales et transversales (Figure 3A). De cette manière, un animal va se diviser pour former deux individus clones. Parfois, l animal peut bourgeonner de la même manière qu un arbre formant une nouvelle branche. Ce mode de reproduction est appelé bourgeonnement (Figure 3B). La phase sexuée peut donner lieu à une fécondation interne ou externe selon les espèces. La fécondation interne concerne majoritairement les organismes coloniaux fixés. Les gamètes mâles ne peuvent entrer à l intérieur de la femelle que si le mâle et la femelle sont proches. Il arrive que cette phase sexuée précède une phase asexuée durant laquelle a lieu une multiplication. Cette dernière se fait par division transversale multiple du polype : c est la strobilation (Figure 3C). La multiplication de méduses dans la gonothèque 8 reproduction. (figure 3D) est une autre méthode de 5 Phagocytose : processus d ingestion de particules étrangères solides. 6 Reproduction sexuée : fait intervenir un mâle et une femelle pour former un nouvel individu. 7 Reproduction asexuée : reproduction sans fécondation, l individu créé sera alors un clone de son parent 8 Gonothèque : Chez certains cnidaires, enveloppe d une cavité dédiée à la multiplication asexuée. 5

7 Division longitudinale Division transversale Bourgeonnement Reproduction sexuée et asexuée par strobilation Reproduction sexuée et asexuée avec multiplication de méduses dans une gonothèque Figure 3 Modes de reproduction des Cnidaires 6

8 C. Prédateurs et relations avec d autres espèces Les cnidaires peuvent avoir diverses formes et coloniser la plupart des habitats. Leurs prédateurs sont donc nombreux. Les formes «méduses» se déplaçant avec le courant, leurs prédateurs seront principalement des espèces du milieu pélagique. Ce sera donc le cas des tortues marines, du poisson-lune (Mola mola) et de nombreuses espèces de poissons. Chez certaines formes fixées, des mollusques gastéropodes 9 vivent directement sur l animal et s en nourrissent. C est le cas de la Simnie blanche qui se nourrit de gorgones. Les plongeurs utilisent même certaines espèces pour repérer les prédateurs. Par exemple, la Flabelline mauve ainsi que l Hervia processionnaire vivent, mangent et pondent sur l hydraire Eudendrium sp. (Voir Figure 4). Il suffit donc de rechercher l hydraire pour trouver la Flabelline. Les tentacules urticants servent parfois d abris pour d autres espèces. En Méditerranée, les anémones servent de cachette à de petits crustacés 10 et l ombrelle de certaines méduses abrite des alevins 11. De plus, le Bernard-l ermite nommée Grand Pagure peut placer des anémones sur sa carapace et les déménager lorsqu il change de coquille. Certains cnidaires vivent en symbiose avec des micro-algues nommées zooxanthelles, parfois responsables de la coloration de l animal. 9 Mollusque gastéropode : embranchement d organismes au corps mou se déplaçant sur son ventre, les limaces et escargots font partie de cette famille. 10 Crustacé : embranchement d organismes ayants une carapace articulée, des antennes et des pattes articulées. Les crabes et crevettes font partie de cet embranchement. 11 Alevin : poisson juvénile. 7

9 Parent Géry Figure 4 Quelques cnidaires A : Flabelline mauve sur Eudendrium sp. B : Hervia processionnaire sur Eudendrium sp C : Simnie blanche sur gorgone 8

10 D. Biotope Les cnidaires sont présents dans la majorité des biotopes. On les retrouve en milieux benthiques ou pélagiques, de l estran 12 aux abysses, en eaux douces ou salées. Les Cnidaires se déplacent généralement au grès des courants (cas de la forme méduse), c est pourquoi il existe un grand nombre d espèces cosmopolites. 12 Estran : Zone couverte par la mer ou découverte selon les marées. Bien que de très faible intensité, les marées existent en Méditerranée. 9

11 E. Protection législative Seule l exploitation du corail rouge (Corallium rubrum) peut être soumise à autorisation préfectorale (arrêté du 6 juillet 2006). Les autres cnidaires ne sont pas protégés par les lois françaises. La convention de Washington réglemente le commerce international de 1823 espèces d anthozoaires et de 258 espèces d hydrozoaires. Les espèces suivantes sont inscrites dans d autres textes : -Errina aspera -Astroides calycularis -Anémone buissonnante - Savalia savaglia -Corail noir - Antipathes sp. -Corail rouge - Corallium rubrum Pour ces espèces, les textes les mentionnant sont les suivants : La convention de Berne implique de la part de ses états signataires (dont la France) une mise en œuvre de mesures de conservation ainsi qu une considération de l Etat pour les espèces. Le protocole concernant les aires spécialement protégées et la diversité biologique en Méditerranée issu de la convention de Barcelone, a été signé par tous les pays Méditerranéens. Il vise à promouvoir la conservation des espèces et prévoit des mesures de gestions et de conservation notamment par la mise en œuvre d aires spécialement protégées. La directive européenne 92/43/CEE dite Directive Habitats-Faune-Flore, vise à promouvoir la conservation des espaces d intérêt communautaire. Dans cette directive, seul le corail rouge (Corallium rubrum) est inscrit. 10

12 V. Comment reconnaît-on les Cnidaires en plongée? Comme vu précédemment, les Cnidaires présentent des formes multiples. Il est possible de les reconnaître grâce à l existence de tentacules dépourvus de ventouses chez les méduses et polypes. Les colonies de gorgones, de coraux ou d hydraires se présenteront sous formes arborescentes. Les cnidaires peuvent être confondus avec les Cténaires (voir Figure 5). Mais ces animaux ne possèdent que deux tentacules et sont souvent bioluminescents 13. Les cténaires ne possèdent pas de cnidocytes mais des colloblastes : ce sont des cellules collantes qui engluent leurs proies. Les tuniciers pélagiques (voir chapitre sur les tuniciers) sont transparents comme des méduses mais ne possèdent pas de tentacules et ont une symétrie bilatérale. Les formes fixées peuvent être confondues avec des bryozoaires (voir chapitre sur les lophophoriens). Mais les bryozoaires ont un aspect duveteux. Figure 5 Cténaire, Mertensia ovum 13 Bioluminescent : se dit pour un organisme capable de produire de la lumière. 11

13 A. Anthozoaires L anémone verte Nom : Anemonia viridis Nom Corse : I bilorbi Figure 6 : Anémone verte, Anemonia viridis 12

14 Morphologie : Ses tentacules fins et verdâtres ne sont pas rétractables et mesurent environ 5 cm. La coloration verte est due à la présence d algues photosynthétiques 14 vivant dans les tentacules de l anémone. Ses tentacules, légèrement urticants, adhérent à la main du plongeur au point de se casser. Il est important de ne pas se frotter la bouche ou les yeux après avoir manipulé une Anémone verte, sous peine d irritations. Habitat : Cette espèce est présente de l estran à une vingtaine de mètres de profondeur. Elle s accroche généralement sur des substrats durs comme les rochers. C est une espèce méditerranéenne se trouvant aussi en Atlantique-Est. Nutrition : L Anémone verte est carnivore et se nourrit de petits animaux qui passent à la portée de ses tentacules : petits poissons, crabes, crevettes. Reproduction : La reproduction est sexuée, mais parfois, l anémone verte se reproduit par bourgeonnement. 14 Photosynthétique : qui fait de la photosynthèse qui produit de l oxygène à partir du gaz carbonique et de la lumière 13

15 Le grand cérianthe Nom : Cerianthus membranaceus Figure 7 : Le grand Cérianthe, Cerianthus membranaceus 14

16 Morphologie : Cette espèce est très semblable à une anémone de mer, mais ses tentacules sont organisés en plusieurs rangées concentriques. Le Cérianthe peut se rétracter totalement dans le tube qu il sécrète au fil de sa croissance. Habitat : C est une espèce méditerranéenne mais visible en Atlantique-Est, observable sur fonds sableux ou meubles. L espèce est plutôt sciaphile 15. En eaux troubles, le Cérianthe est visible à moins d un mètre de fond. Tandis que dans des eaux plus limpides, il est observable à plus de 40m de profondeur. Nutrition : vers la bouche. C est un animal généralement suspensivore 16. Sa nourriture est acheminée par les tentacules Reproduction : La reproduction du Cérianthe est sexuée. Ce sont des animaux hermaphrodites successifs ce qui signifie qu ils changent de sexe au cours de leur vie. Plus précisément, ils sont protérandriques : les jeunes sont de sexe masculin et en grandissant, ils deviennent des individus de sexe féminin. La fécondation est externe et se déroule de janvier à juillet. 15 Sciaphile : espèce qui apprécie l ombre. 16 Suspensivore : organisme qui se nourrit des particules en suspension. 15

17 Figure 8 : L'anémone charnue, Cribrinopsis crassa Figure 9 : Tomate de mer, Actinia equina Figure 10 : Aiptasie verte, Aiptasia mutabilis Figure11: Anémone encroûtante jaune, Parazoanthus axinellae 16

18 Le corail rouge Nom : Corallium rubrum Nom Corse : U curallu Espèce protégée Figure 12 : Corail rouge, Corallium rubrum 17

19 Morphologie : Cet animal, longtemps considéré comme étant un végétal, vit sous la forme d une colonie de polypes blancs logés dans un squelette externe minéralisé de couleur rouge (parfois plus claire). Les colonies sont souvent cylindriques et pourvues de ramifications irrégulières. Elles sont percées de petites loges nommées calices, dans lesquelles siègent les polypes blancs d environ 5 mm pourvus de huit tentacules. La colonie peut atteindre exceptionnellement 50cm mais sa croissance est très lente, le corail ne grandit seulement que de quelques millimètres par an. Habitat : C est une espèce endémique à la Méditerranée mais elle a déjà été signalée localement en Atlantique-Est. Le corail rouge se fixe sur un substrat souvent rocheux. Son habitat peut se situer entre 5m et 150m de fond (400m maximum). A une profondeur modérée, cette espèce s abritera d une trop forte luminosité en se réfugiant sous des surplombs rocheux, des grottes sous-marines, ou des crevasses. Nutrition : Le corail rouge est un filtreur passif, car il est dépourvu de système de pompage. Sa nourriture est constituée de matière organique en suspension et sera acheminée dans sa bouche par ses tentacules. Reproduction : La reproduction de ce corail est sexuée à fécondation interne et se déroule principalement en été. Durant cette période, les colonies mâles émettent leurs gamètes qui rejoindront ensuite le polype femelle. Quelques jours plus tard, les larves sont expulsées par le polype femelle et subiront une série de métamorphose. La colonie se développera par bourgeonnement. 18

20 La gorgone rouge Nom : Paramuricea clavata Nom Corse : U curallu bastardu Figure 13 : La gorgone caméléon, Paramuricea clavata 19

21 Morphologie : La gorgone rouge est formée d une colonie de polypes logés dans un squelette externe plutôt souple. Sa couleur est rouge, jaune ou bicolore. Cependant, une détermination stricte de l espèce ne peut se faire qu à l aide d une observation au microscope. Même si les gorgones sont plutôt communes et ont une morphologie caractéristique, les espèces de gorgones ne peuvent être reconnues indiscutablement qu après observation des sclérites 17. Habitat : Cette espèce présente une quasi-endémicité au bassin méditerranéen. Elle est surtout présente dans le bassin occidental de la mer Méditerranée et sur les côtes Atlantiques proches de la Méditerranée. C est une espèce sciaphile, vivant fixée sur les fonds rocheux de quelques mètres à environ 100m de profondeur, souvent sur les parois verticales pour se nourrir des particules et microorganismes amenés par les courants. Nutrition : La gorgone est microphage 18. Elle capte sa matière organique à l aide de ses tentacules. Les polypes sont très nombreux dans la colonie (plusieurs milliers) et sont reliés entre eux. Ainsi, quelques individus vont distribuer leurs nutriments à l ensemble de la colonie. Reproduction : Les gorgones ont une reproduction sexuée à fécondation interne. Les gamètes mâles sont largués en pleine eau et pénètrent dans la cavité gastrique de la femelle. Cette cavité sera le siège de la fécondation et du développement de l œuf en une larve planula, ensuite éjectée par la femelle. Après quelques jours de transport, la larve se développe sur un fond favorable à son mode de vie. La larve se multipliera par bourgeonnement afin de former une nouvelle colonie. 17 Sclérites : éléments calcaires qui constituent le squelette de la gorgone. 18 Microphage : se nourrit de matière organique d une taille microscopique. 20

22 B. Scyphozoaires La pélagie Nom : Pelagia noctiluca Nom Corse : A carnazza pugnitoghja Figure 14 : La pélagie, Pelagia noctiluca 21

23 Morphologie : La Pélagie est une méduse facilement reconnaissable à l aide de son ombrelle d une couleur bleutée à rose, en passant parfois par le violet. Elle possède deux types de "tentacules". Les plus gros sont au nombre de quatre et portent le nom de bras buccaux. Les plus fins sont des tentacules rétractables au nombre de huit. Habitat : C est une espèce cosmopolite retrouvée en Méditerranée ainsi que dans les eaux tempérées à tropicales. Elle nage généralement près de la surface, n excédant guère les 10m de profondeur. C est un organisme commun du large, mais qui peut être régulièrement ramené près du littoral par les vents et courants marins. Nutrition : La Pélagie capture ses proies à l aide de ses filaments très urticants. Reproduction : La Pélagie est sexuée avec une fécondation interne. Cependant, les mâles libèrent leurs spermatozoïdes en pleine eau pour féconder les œufs situés sous l ombrelle de la femelle. Ensuite les œufs fécondés sont largués en pleine eau par la femelle. Particularité : La Pélagie est une espèce urticante pouvant occasionner des brûlures et des allergies chez certaines personnes. Prenez garde à éviter les petits filaments. 22

24 La méduse œuf au plat Nom : Cotylorhiza tuberculata Figure 15 : Méduse oeuf au plat, Cotylorhiza tuberculata 23

25 Morphologie : La méduse œuf au plat est une méduse inoffensive dont la reconnaissance est aisée grâce à sa forme caractéristique. Elle possède une ombrelle blanche à jaune, dont le centre est convexe et d une couleur plus foncée par rapport au reste de l ombrelle. Ses tentacules ont leurs extrémités distales souvent colorées d un violet intense, il semble que cette coloration soit due à la présence de microorganismes photosynthétiques : les zooxanthelles. Habitat : Cette espèce vit surtout en Méditerranée et est peut-être endémique (ne peut être confirmé car l espèce se déplace au gré des courants et peut donc voyager hors de la Méditerranée). La méduse œuf au plat évolue généralement près de la surface, mais peut aussi se retrouver dans la zone pélagique à la nuit tombée. Pour l observer, il est possible de la trouver en bord de mer surtout en été. Nutrition : Cette méduse est microphage. Reproduction : Elle se fait selon deux phases : la phase sexuée et la phase asexuée. Lors de la phase sexuée, les méduses se reproduisent par fécondation externe. Les œufs fécondés donnent naissance à une larve de type planula qui se fixera au substrat et évoluera en polype, appelé scyphostome. Selon les conditions climatiques, ce scyphostome se reproduira spontanément de manière asexuée (en se "clonant") et donne naissance à des formes juvéniles pélagiques de méduses nommées ephyrules. 24

26 C. Hydrozoaires La vélelle Nom : Velella velella Nom Corse : U ruzu Figure 16 : La Vélelle, Velella velella 25

27 Morphologie : La forme de cette espèce évoque celle d un petit bateau dont la voile transparente prend sa base sur un disque bleu cernée d autres disques coaxiaux. La Vélelle est organisée en une colonie d organismes différenciés selon leur rôle dans la colonie. Ces colonies font environ 5 cm de large pour environ 3 cm de haut. Habitat : La Vélelle est une espèce cosmopolite des mers et océans tropicaux et tempérés. Généralement, cette espèce vit en pleine mer. Au printemps et en été, les forts coups de vents poussent ces colonies d organismes près des côtes. Ces petites bêtes seront alors observables depuis le bateau lorsqu elles flottent en surface, ou sur la plage, échouées. Nutrition : La Vélelle se nourrit de microplancton qu elle capture à l aide de ses tentacules organisés en cercle sous son disque. Pour combler ses apports nutritionnels, elle s aide de petits organismes photosynthétiques qui vivent dans la colonie et appelés les zooxanthelles. Reproduction : Le cycle de reproduction de la Vélelle se fait sur deux phases. Une phase sexuée avec une morphologie de type méduse et une phase asexuée avec une morphologie de type polype. Les polypes reproducteurs émettent des méduses de quelques millimètres. Ces méduses émettent des gamètes qui après fécondation forment des larves de polypes qui en se multipliant de manière asexuée, forment une nouvelle colonie. 26

28 VI. Sources et crédits Bibliographie : Bonnefis J. et Pathé M., Le monde s sous-marin du plongeur biologiste en Méditerranée, Ed. Gap, Cubells J-F., Connais-tu le bord de mer?, Ed. Albiana, Deffrennes B., La nature en bateau Tome 2 Méditerranée, Ed. Tétras, Arrêté du 6 juillet 2006 portant réglementation de la pêche du corail dans les eaux territoriales de la République française en Méditerranée NOR: AGRM A Webographie : Crédits photos : Figure 1: biologie.ffessm.fr...3 Figure 2 : biologie.ffessm.fr...4 Figure 3: biologie.ffessm.fr...6 Figure 4: A-Public domainparent Géry B-CC BY-SA Figure 5 :Public domain oceanexplorer.noaa.gov Figure 6: doris.ffessm.fr Chantal COLOMBET Figure 7: doris.ffessm.fr Frédéric ANDRE Figure 8: doris.ffessm.fr Thomas DESVIGNE Figure 9 : doris.ffessm.fr Jean-Pierre MIQUEL Figure 10 : doris.ffessm.fr Alain-Pierre SITTLER Figure 11 : doris.ffessm.fr Michel DUNE Figure 12: doris.ffessm.fr Alain-Pierre SITTLER Figure 13 : doris.ffessm.fr Vincent MARAN Figure 14 : doris.ffessm.fr Thomas VIGNAUD Figure 15 : doris.ffessm.fr Stéphane SANDON Figure 16: doris.ffessm.fr Cyrille BOLLARD

Les vers marins. Deux embranchements représentent les vers marins de nos côtes littorales: les vers plats (plathelminthes) et les vers segmentés

Les vers marins. Deux embranchements représentent les vers marins de nos côtes littorales: les vers plats (plathelminthes) et les vers segmentés Les vers marins A partir des vers marins, les animaux se complexifient dans l organisation de leur tissus. Nous avons vu qu avec les coraux, les organismes possédaient deux feuillets séparés d une gelée.

Plus en détail

Végétaux Exemples d individus

Végétaux Exemples d individus Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»

Plus en détail

Antony Subaquatique Commission Bio Vidéo. Les Vers

Antony Subaquatique Commission Bio Vidéo. Les Vers Antony Subaquatique Commission Bio Vidéo Les Vers C est quoi un vers? La notion de vers est dénuée de sens pour les puristes de la classification des espèces. Mais pour nous, plongeurs, on range dans ce

Plus en détail

GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES

GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES CRIME EN EAUX PROFONDES LE MOBILE DU CRIME ET LE COMPLICE Parce qu on pêche trop, trop loin, trop profond, nos océans sont en train de mourir, tout spécialement

Plus en détail

SOMMAIRE CYCLE 1. Des jeux tout prêts. Des activités à préparer. Les solutions

SOMMAIRE CYCLE 1. Des jeux tout prêts. Des activités à préparer. Les solutions CYCLE 1 SOMMAIRE Des jeux tout prêts Colorie les animaux Le pelage des animaux Mères et petits Les modes de locomotion Animaux mélangés Plumes, poils et écailles Ranger les familles par ordre de taille

Plus en détail

Calopteryx vierge Mâle et femelle ne se ressemblent pas. Le mâle du Calopteryx vierge a des ailes brun noir foncé veinées de bleu. Ce redoutable prédateur reste perché sur des plantes de la berge ou sur

Plus en détail

Réserve Naturelle BAIE DE SAINT-BRIEUC

Réserve Naturelle BAIE DE SAINT-BRIEUC Réserve Naturelle BAIE DE SAINT-BRIEUC Les petits tortillons éparpillés sur la plage signalent la présence d'un ver : l'arénicole (Arenicola marina). Bien connu des pêcheurs comme très bon appât, des biochimistes

Plus en détail

Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966

Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 MON VISAGE A LA MANIERE DE JEAN DUBUFFET OBJECTIFS - utiliser son expérience sensorielle visuelle pour produire une œuvre picturale. - réaliser une œuvre s'inspirant

Plus en détail

L ombre commun dans le canton de Vaud

L ombre commun dans le canton de Vaud Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557

Plus en détail

CORRIGES Plan de la séance

CORRIGES Plan de la séance CORRIGES Plan de la séance 1. Corriges Compréhension écrite 2. Corriges Compréhension orale 3. Corriges Syntaxe 4. Corriges Vocabulaire 5. Corriges Conjugaison 6. Corriges Lecture d'élargissement 7. Corriges

Plus en détail

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE...

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... Éditions Mariko Francoeur Miguel Hortega IL Y A DES ANIMAUX? 1 Mon école est à Montréal, rue Berri. C est une belle école primaire toute faite de briques. En temps

Plus en détail

Le Crabe commun des eaux côtières du Québec

Le Crabe commun des eaux côtières du Québec Pêches et Océans Canada Sciences Fisheries and Oceans Canada Science MPO Sciences Région Laurentienne Rapport sur l état des stocks C-2 (21) 5 16B 16A 17A-C D 16C 16D 16E YZ E-X A-C Le Crabe commun des

Plus en détail

Qui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires.

Qui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires. Qui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires. Tous les êtres vivants ont besoin d énergie pour vivre,

Plus en détail

EN QUÊTE DU MONDE. Les nids de fourmis rousses. Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés...

EN QUÊTE DU MONDE. Les nids de fourmis rousses. Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés... Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés... 2 Contenus... 3 niveaux, disciplines, compétences... 3 notions... 4 Vocabulaire... 4 découpage du film... 5 Suggestions

Plus en détail

- 1320 - Cordonniers, sigans

- 1320 - Cordonniers, sigans click for previous page - 1320 - Cordonniers, sigans Corps ovale, très comprimé latéralement et couvert de petites écailles. Bouche petite, avec une seule rangée serrée de petites dents incisiformes. Nageoire

Plus en détail

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:

Plus en détail

Céphalothorax. Doigt mobile Pinces = 1 ière paire thoracique Pinces (1 ière paire thoracique) Abdomen replié. Abdomen replié

Céphalothorax. Doigt mobile Pinces = 1 ière paire thoracique Pinces (1 ière paire thoracique) Abdomen replié. Abdomen replié ÉCLAIRAGE 6 : QUELQUES ASPECTS DE LA BIOLOGIE DES CRUSTACÉS Les crustacés constituent avec les Insectes ou Hexapodes, le groupe des Pancrustacés qui est défini sur la base de caractères génétiques donc

Plus en détail

Niveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus

Niveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus Niveau CEl CE2 Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus INTRODUCTION: non un poisson. Le dauphin souffleur ou grand dauphin est un mammifère marin, et Comme tous les mammifères il suivantes

Plus en détail

CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION POUR LA PROTECTION DE NOTRE PATRIMOINE MARITIME & TERRESTRE DOSSIER DE PRESENTATION

CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION POUR LA PROTECTION DE NOTRE PATRIMOINE MARITIME & TERRESTRE DOSSIER DE PRESENTATION CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION POUR LA PROTECTION DE NOTRE PATRIMOINE MARITIME & TERRESTRE DOSSIER DE PRESENTATION LES STANDS DES PARTENAIRES DE FAMILLES DE FRANCE Les partenaires de Familles de

Plus en détail

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.

Plus en détail

CHARTE INTERNATIONALE DU PLONGEUR RESPONSABLE

CHARTE INTERNATIONALE DU PLONGEUR RESPONSABLE CHARTE INTERNATIONALE DU PLONGEUR RESPONSABLE Entrez dans l aventure! Soyez responsables. Devenez les Ambassadeurs de la plongée du 3ème millénaire... Albert Falco : Ancien chef plongeur et capitaine de

Plus en détail

>Si j ai réussi, je suis capable de

>Si j ai réussi, je suis capable de Fiche 10 Rechercher des informations sur Internet La plupart des informations disponibles sur Internet sont gratuites à la consultation. Elles sont présentées par des personnes ou des organisations qui

Plus en détail

Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE

Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE Séminaire récifs artificiels en Languedoc : bilan et perspectives. 20 novembre 2008 Sète Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE Frédéric BACHET & Eric CHARBONNEL,

Plus en détail

La microfaune aquatique de la vallée de l'orge

La microfaune aquatique de la vallée de l'orge La microfaune aquatique de la vallée de l'orge Sources : "la hulotte" - Guide des insectes, les Compagnons du Naturaliste Les Batraciens Grenouilles et têtards La grenouille passe beaucoup de temps dans

Plus en détail

Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu

Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu (TP multiposte : groupes de 4 élèves qui se répartissent sur les 4 postes une fois chaque poste travaillé, un bilan sera établi

Plus en détail

La petite poule qui voulait voir la mer

La petite poule qui voulait voir la mer Découverte Complète la carte d identité du livre. Titre du livre Nom de l auteur Nom de l illustrateur Editeur Que voit- on sur la 1 ère page de couverture? C est l histoire q d un poisson q d une souris

Plus en détail

1 les caractères des êtres humains.

1 les caractères des êtres humains. Quelques rappels des classes précédentes ACTIVITÉ livre pages 8 et 9 : apprendre le bilan de la page 9 Les êtres vivants sont répartis en espèces. Chaque être vivant est formé de cellules. schéma d une

Plus en détail

Exposition photographique de l Ifremer

Exposition photographique de l Ifremer Exposition photographique de l Ifremer SCIENCES BLEUES, COULEURS OUTRE-MER Composition de l exposition 1. Liste des photographies 34 photographies : 24 photos de dimension 5 photos de dimensions 30x40

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

4-7 GRAND CONCOURS. ans 2014-20. Les poissons

4-7 GRAND CONCOURS. ans 2014-20. Les poissons 4-7 GRAND CONCOURS ans 15 2014-20 Les poissons ÉDITO par Clara Recordier, rédactrice en chef de Wakou. Tu es un petit curieux de nature et tu aimes beaucoup les poissons? Alors, ce concours est fait pour

Plus en détail

Infestation par Dipylidium caninum,

Infestation par Dipylidium caninum, Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

LA MARE : APPORTS THEORIQUES

LA MARE : APPORTS THEORIQUES LA MARE : APPORTS THEORIQUES LES ETRES VIVANTS DE LA MARE 1 - LES ANIMAUX Vertébrés et des invertébrés peuplent les mares de la Guadeloupe. Les plus faciles à rencontrer et à reconnaître sont les suivants.

Plus en détail

- Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants - Lecture de textes documentaires

- Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants - Lecture de textes documentaires Titre de l atelier : Les vers de terre Domaines d activité Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants Lecture de textes documentaires Motsclés Vers de terre Vie du sol Compétences

Plus en détail

La petite poule qui voulait voir la mer

La petite poule qui voulait voir la mer La petite poule qui voulait voir la mer Ecris les mots suivants au bon endroit : le titre l auteur - l illustration - l illustrateur - l éditeur Exercices couverture Décris la première de couverture. Que

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

Sarcelle d été. Anas querquedula

Sarcelle d été. Anas querquedula Sarcelle d été Anas querquedula Neil Fifer Sarcelles d été Hong Kong. R.P de Chine Principaux caractères spécifiques La sarcelle d été est un canard de petite taille, un peu plus massif que la sarcelle

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

LE POINT DE VUE DE FNE

LE POINT DE VUE DE FNE LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés

Plus en détail

A l heure de Pâques Equipe rouge : Les «monsieur et madame» branchés

A l heure de Pâques Equipe rouge : Les «monsieur et madame» branchés A l heure de Pâques Equipe rouge : Les «monsieur et madame» branchés Temps de Préparation : 2 h environ RECAPITULATIF Monsieur moustache : Œuf noir pulvérisé au flocage noir, moustache pâte amande orange

Plus en détail

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices

Plus en détail

Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement.

Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble

Plus en détail

Les vers de nos compagnons

Les vers de nos compagnons Les vers de nos compagnons Il se peut que votre animal de compagnie soit contaminé par des vers sans que vous ne vous en rendiez compte. Près d'un animal de compagnie sur deux (chat et chien) est porteur

Plus en détail

Nicolas DEPRUGNEY Julien CARTON 1 SA TPE 1 S. Les Phéromones de la Fourmi

Nicolas DEPRUGNEY Julien CARTON 1 SA TPE 1 S. Les Phéromones de la Fourmi Nicolas DEPRUGNEY Julien CARTON 1 SA TPE 1 S Les Phéromones de la Fourmi 1 Introduction... p.3 Comment les fourmis communiquent-elles entre elles? I. Mise en évidence des phéromones p.4 Expérience avec

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

Voile à l école : développer le sens marin

Voile à l école : développer le sens marin Voile à l école : développer le sens marin Météo Activités possibles Sujets d étude Compétences visées Dans le centre nautique Pour et à l école Température Nuages Bulletin météo Différencier la température

Plus en détail

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT:

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT: Panneaux de terrasse TimberStar Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2 Veuillez lire l intégralité de la notice de pose avant de commencer le montage! Les panneaux de terrasse TimberStar peuvent être sciés,

Plus en détail

SVP ISO - Sécurité & Protection

SVP ISO - Sécurité & Protection SVP ISO - Sécurité & Protection ETUDE PRESTATION-FOURNITURE / INDUSTRIE & SECURITE Site web: www.svp-securite.fr - E-mail: svptouati@caramail.com 04, rue LARBI TEBESSI. 31200. Arzew - Oran - Tel / Fax:

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Prendre les empreintes des chapeaux de champignons ou comment faire une sporée

Prendre les empreintes des chapeaux de champignons ou comment faire une sporée Prendre les empreintes des chapeaux de champignons ou comment faire une sporée Choisir les champignons Figure 1 Dès l'arrivée du printemps et jusqu'à l'automne, les champignons font partie de notre environnement,

Plus en détail

Qui mange quoi? Filtrer avec des fanons

Qui mange quoi? Filtrer avec des fanons Filtrer avec des fanons Malgré leur taille gigantesque, les baleines se nourrissent de petites proies : du krill ou des petits poissons qu elles piègent à travers leurs fanons. Ces «peignes» peuvent faire

Plus en détail

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un

Plus en détail

Photos et Droit à l image

Photos et Droit à l image Photos et Droit à l image 1) Le droit à l image (photos-vidéos) L atteinte au droit à l image n est pas caractérisée dès lors que la personne photographiée n est pas identifiable et que sa vie privée n

Plus en détail

Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»

Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait

Plus en détail

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage 2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits

Plus en détail

Conseils au masculin, l harmonie des couleurs et des proportions selon Byraub

Conseils au masculin, l harmonie des couleurs et des proportions selon Byraub Conseils au masculin, l harmonie des couleurs et des proportions selon Byraub Extraits de l excellent blog du célèbre tailleur BYRAUD rue d Alger à Paris -1. Site : http://bespoke.blog.lemonde.fr/ «Si

Plus en détail

Tarif des clés USB et POWER BANKS semaines 37 / 38

Tarif des clés USB et POWER BANKS semaines 37 / 38 10/09/2015 1/17 Tarif des clés USB et POWER BANKS semaines 37 / 38 JEMA SARL N 10 Les Roudiers 33220 Eynesse Sarl au capital de 10 000 APE : 4619B Siret : 79406183800015 Lionel FAVEREAU : Céline FAVEREAU

Plus en détail

La Vinification en Alsace

La Vinification en Alsace La Vinification en Alsace La grande caractéristique des Vins d Alsace est qu ils sont tous élaborés à partir de cépages très aromatiques. Le vinificateur n aura de cesse, tout au long des vendanges et

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt

Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre

Plus en détail

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ 1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à

Plus en détail

Comment créer votre propre lampes LED

Comment créer votre propre lampes LED Comment créer votre propre lampes LED Intro Un tutorial pour faire fabriqué des ampoules LED comme à l usine. Après de nombreuses tentatives pour faire toutes sortes de conversions LED, j ai enfin trouvé

Plus en détail

Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré

Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Rencontre du groupe RAP Maïs sucré, 3 avril 2013 Jean-Philippe Légaré, M. Sc., biologiste-entomologiste, Laboratoire de diagnostic en

Plus en détail

Clé de détermination des invertébrés d eau douce

Clé de détermination des invertébrés d eau douce Clé de détermination des invertébrés d eau douce Cette clé permet d identifier les invertébrés d eau douce les plus répandus, en particulier ceux vivant dans les eaux stagnantes (mares et étangs). Les

Plus en détail

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est

Plus en détail

1S9 Balances des blancs

1S9 Balances des blancs FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.

Plus en détail

Le projet de révision du Règlement sur l éclairage extérieur de la Ville de Sherbrooke. 11 décembre 2012

Le projet de révision du Règlement sur l éclairage extérieur de la Ville de Sherbrooke. 11 décembre 2012 Le projet de révision du Règlement sur l éclairage extérieur de la Ville de Sherbrooke 11 décembre 2012 Sherbrooke, ville sous les étoiles HISTORIQUE 2003 Création du Comité de lutte contre la pollution

Plus en détail

Surligne les phrases si elles sont justes :

Surligne les phrases si elles sont justes : 1) L escargot a besoin de chaleur. Entoure : L escargot est un : 2) Il sort de sa coquille quand l atmosphère est sèche. VERTEBRE - INVERTEBRE 3) Sans coquille, l escargot meurt. OISEAU REPTILE - MOLLUSQUE

Plus en détail

Punaise des lits. À quoi ressemblent-elles? Cycle de vie. Alimentation

Punaise des lits. À quoi ressemblent-elles? Cycle de vie. Alimentation Punaise des lits À quoi ressemblent-elles? Lorsqu elle est à jeun, la punaise des lits présente une coloration allant du brun au brun jaunâtre. Une fois gorgée de sang, elle devient brune rougeâtre et

Plus en détail

TOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE

TOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE TOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE Les poux existent depuis toujours et ne sont pas près de disparaître. Heureusement, ils ne sont pas dangereux, mais ils sont dérangeants. Le saviez-vous? Les poux de tête

Plus en détail

La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S.

La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S. La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S. Activité proposée : La notion de croissance est abordée en classe de 6 ème et elle est traitée en première S. Montrez sur cet exemple qu

Plus en détail

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»

Plus en détail

55 Combien d œufs peut pondre une femelle. Punaise se nourrissant d'œufs de doryphore. Combien d œufs peut pondre une femelle d insecte?

55 Combien d œufs peut pondre une femelle. Punaise se nourrissant d'œufs de doryphore. Combien d œufs peut pondre une femelle d insecte? Combien d œufs peut pondre une femelle d insecte? LA REPRODUCTION ET LA CROISSANCE DES INSECTES Punaise se nourrissant d'œufs de doryphore Le chorion des œufs d insectes apparaît la plupart du temps lisse,

Plus en détail

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les

Plus en détail

Les îles Éparses. A bord du navire océanographique Marion Dufresne. du 16 avril au 15 mai 2009

Les îles Éparses. A bord du navire océanographique Marion Dufresne. du 16 avril au 15 mai 2009 Les îles Éparses A bord du navire océanographique Marion Dufresne du 16 avril au 15 mai 2009 Mer et Voyages 9 rue notre Dame des Victoire 75002 Paris T : 01 49 26 93 33 F : 01 42 96 29 39 info@mer-et-voyages.com

Plus en détail

Notice d installation sur le véhicule

Notice d installation sur le véhicule Boîtier TACHYCOMGPRS Système de transfert automatique et à distance des données issues des chronotachygraphes numériques (Fichiers au format réglementaire DDD) Notice d installation sur le véhicule Antenne

Plus en détail

Crédit d impôt en faveur de l agriculture biologique

Crédit d impôt en faveur de l agriculture biologique Crédit d impôt en faveur de l agriculture biologique Note d information et d analyse FNAB Paris, le 10 avril 2014 Mode d emploi du dispositif CI-Bio pour les exercices 2011 à 2014 (pour les déclarations

Plus en détail

# 1. PERSONNES ASSURÉES 1.1 PERSONNES VISÉES PAR L'ACCORD

# 1. PERSONNES ASSURÉES 1.1 PERSONNES VISÉES PAR L'ACCORD Services internes 1. PERSONNES ASSURÉES # 1. PERSONNES ASSURÉES 1.1 PERSONNES VISÉES PAR L'ACCORD Cet accord vise tous les résidents canadiens qui reçoivent des services internes dans un établissement

Plus en détail

Séverine Chevalier RECLUSES. Écorce / noir

Séverine Chevalier RECLUSES. Écorce / noir 2 Séverine Chevalier RECLUSES Écorce / noir 3 Éditions Écorce, 2011 4 5 6 7 Je suis le monstre Sniffez-moi 8 C est joli. C est clair c est propre. C est certain. Le poissonnier a une tête de poissonnier,

Plus en détail

Mythe : Le chien est un omnivore. C'est faux!!

Mythe : Le chien est un omnivore. C'est faux!! Mythe : Le chien est un omnivore C'est faux!! Les chiens sont des carnivores et non des omnivores. La théorie selon laquelle les chiens sont omnivores reste à être prouvée, alors que le fait que les chiens

Plus en détail

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et

Plus en détail

Ressources pour l école élémentaire

Ressources pour l école élémentaire Ressources pour l école élémentaire éduscol Découverte du monde Progressions pour le cours préparatoire et le cours élémentaire première année Ces documents peuvent être utilisés et modifiés librement

Plus en détail

Module Les animaux Animation Le monde de l étang

Module Les animaux Animation Le monde de l étang Module Les animaux Animation Le monde de l étang Animations nature à l école de Pinchat, Veyrier, février à juin 2014, classes de 8P AVANT L ANIMATION 1. Préparation des élèves avant l animation - Lire

Plus en détail

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions

Plus en détail

LISTE DE PROTECTION DES ESPÉCES

LISTE DE PROTECTION DES ESPÉCES LISTE DE PROTECTION DES ESPÉCES Le caractère natif ou introduit des espèces a été défini à partir des considerations de Pascal et al (Pascal M, Lorvelec O, Vigne JD, Keith P, Clergeau P eds (2003) évolution

Plus en détail

A chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.

A chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde. CC4 LA SPECTROPHOTOMÉTRIE I) POURQUOI UNE SUBSTANCE EST -ELLE COLORÉE? 1 ) La lumière blanche 2 ) Solutions colorées II)LE SPECTROPHOTOMÈTRE 1 ) Le spectrophotomètre 2 ) Facteurs dont dépend l'absorbance

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

Ecran : Processeur : OS : Caméra : Communication : Mémoire : Connectique : Audio : Batterie : Autonomie : Dimensions : Poids : DAS :

Ecran : Processeur : OS : Caméra : Communication : Mémoire : Connectique : Audio : Batterie : Autonomie : Dimensions : Poids : DAS : SMARTPHONE - DUAL-CORE - NOIR 3483072425242 SMARTPHONE - DUAL-CORE - BLEU XXXX SMARTPHONE - DUAL-CORE - BLANC 3483072485246 SMARTPHONE - DUAL-CORE - ROSE 3483073704131 SMARTPHONE - DUAL-CORE - ROUGE XXXX

Plus en détail

Lunettes et Maquillage TECHNIQUE MAQUILLAGE

Lunettes et Maquillage TECHNIQUE MAQUILLAGE TECHNIQUE MAQUILLAGE 20 Lunettes et Maquillage Comment se maquiller quand on porte des lunettes ou des lentilles? Quelle monture privilégier en fonction de sa forme de visage? Quelles couleurs choisir?

Plus en détail

Compléments et commentaires liés à l outil d initiation à la biodiversité à destination du secteur privé

Compléments et commentaires liés à l outil d initiation à la biodiversité à destination du secteur privé Compléments et commentaires liés à l outil d initiation à la biodiversité à destination du secteur privé Afin de parfaire la présentation «Initiation à la biodiversité à destination du secteur privé»,

Plus en détail

BipBatlula, monitoring autonome en haute fréquence

BipBatlula, monitoring autonome en haute fréquence BipBatlula, monitoring autonome en haute fréquence Premiers essais 2009 Observateurs : Fabien Berhault Arnaud Le Houédec Chloé Thomas Rédacteur : Arnaud Le Houédec Présentation du matériel Le matériel

Plus en détail

Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring»

Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring» Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring» Mise à jour Aout 2013 Identifiant :... Mot de passe :.. Lorsque vous mettez les colliers aux animaux prenez garde à la petite flèche gravée (colorée en noir

Plus en détail

BC LABEL Location de bornes photos numériques

BC LABEL Location de bornes photos numériques BC LABEL Location de bornes photos numériques Mise a jour le 11-09-2014 page 1 / 63 Clé USB Pivotante Couleur Délais de livraison : 10 2, 32Go, 64 Go Tampographie, Gravure Laser Rouge, Vert, Jaune, Bleu

Plus en détail

Cosmétique, perfection de couleur et délicatesse sont les principes fondamentaux de DousColor.

Cosmétique, perfection de couleur et délicatesse sont les principes fondamentaux de DousColor. DousColor Effet couleur ton sur ton Douscolor signifie la couleur douce et couvrante ton sur ton, résultat d'une récente recherche scientifique. Il ne contient pas d'ammoniaque et n'éclaircit pas les cheveux.

Plus en détail

Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux

Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Comment font les végétaux pour s installer dans un nouveau milieu alors qu ils ne peuvent pas se déplacer? I/ L installation des végétaux dans un nouveau milieu

Plus en détail

Changement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française

Changement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française Les tempêtes L expert Avec la crise climatique, les rivages subissent plus durement les assauts de la mer et les crues de fleuves. Pour anticiper et prévenir des risques d érosion et d inondation, il est

Plus en détail

Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés

Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés Actualités gemmologiques Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés Dr. Erel Eric 1 Développés depuis les années 50 pour leurs applications dans les domaines des abrasifs,

Plus en détail

Table des matières IDENTIFICATION DE VOS SALARIÉS ET VISITEURS IDENTIFICATION POUR VOS ÉVÈNEMENTS ET CONFÉRENCES OUTILS DE PERFORATIONS DE TABLE

Table des matières IDENTIFICATION DE VOS SALARIÉS ET VISITEURS IDENTIFICATION POUR VOS ÉVÈNEMENTS ET CONFÉRENCES OUTILS DE PERFORATIONS DE TABLE Table des matières IDENTIFICATION DE VOS SALARIÉS ET VISITEURS Porte badges rigides 1 cartes Porte-badges rigides 2 cartes Porte-badges rigides protection 1 face Porte-badges pour vos manutentionnaires

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

Consigne : je remplis le tableau en tenant compte des informations de la ligne supérieure et de la colonne de gauche (droite pour les gauchers)

Consigne : je remplis le tableau en tenant compte des informations de la ligne supérieure et de la colonne de gauche (droite pour les gauchers) Découverte du monde : traiter deux informations Compétence : Savoir utiliser un tableau à double entrée. Matériel : - un plateau de jeu quadrillé : cinq lignes et cinq colonnes, - quatre pièces "couleur",

Plus en détail