BANQUE. cahier de prospective bancaire & financière. DOSSIER L épargne salariale résiste face aux critiques
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- Rodolphe Grenier
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1 BANQUE n 306 Septembre 2012 ISSN Mensuel - 70 euros revue-banque.fr STRATÉGIE cahier de prospective bancaire & financière DOSSIER L épargne salariale résiste face aux critiques ux critiques Les fonds d épargne salariale seraient moins performants que les véhicules traditionnels ; les épargnants salariés ne seraient pas suffisamment protégés. Face à ces critiques, les acteurs de l épargne salariale répondent : ils justifient les écarts de performances, notent qu ils ne sont pas toujours en la défaveur de l épargne salariale, loin de là, et énumèrent les systèmes de protection et les outils d accompagnement dont bénéficient les épargnants salariés. 5 Sommaire VEILLE STRATÉGIQUE 29 Macroéconomie Le système financier joue-t-il un rôle face à la croissance économique? Ce que nous apprennent les crises et bulles financières Franklin ALLEN, Université de Pennsylvanie (Wharton School), et Pascal de LIMA, Altran Financial Services, Sciences Po Paris EN BREF 38 La vie des affaires
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3 Dossier L épargne salariale résiste face aux critiques Dossier réalisé par Sophie Gauvent Le nombre d entreprises équipées d un dispositif d épargne salariale 1 ne cesse de croître, d après les chiffres de l AFG (Association française de gestion financière). Mais derrière la multiplication des PEE et autres PERCO se cachent plusieurs menaces. Des voix s élèvent pour dénoncer l absence de conseil en matière d épargne salariale. En effet, ces investissements échappant au champ d application de la directive MIF, les prestataires ne sont pas obligés de connaître le profil des épargnants salariés, ni de leur délivrer un conseil adapté. Un même individu serait donc moins bien protégé en investissant via un dispositif proposé par son entreprise qu en s adressant à une agence bancaire. La consultante Manuèle Pennera et l avocat Sylvestre Tandeau de Marsac relèvent cette dissymétrie. Toutefois, les prestataires d épargne salariale peuvent décider de se placer volontairement dans le champ d application de la MIF. C est ce qu a fait Générali Épargne Salariale par le passé : la filiale de l assureur avait décidé de délivrer du conseil aux épargnants [1] L épargne salariale est alimentée par l intéressement, la participation et des abondements éventuellement versés par l employeur et par des versements volontaires du salarié. Le premier dispositif dont s équipent les entreprises est le PEE (Plan d épargne entreprise) qui est bloqué 5 ans (sauf cas particuliers listés). Elles peuvent aussi proposer un PERCO (Plan d épargne pour la retraite collectif) aux salariés qui souhaitent investir en vue de leurs vieux jours. À l intérieur des deux dispositifs, les salariés peuvent choisir parmi différents fonds d investissement. salariés dès 2001 et d appliquer MIF quand elle est entrée en vigueur, fin Mais l expérience a tourné court Amundi, qui a repris depuis peu les encours de ce prestataire, explique : «À notre connaissance, les dirigeants de Générali sont eux-mêmes arrivés à la conclusion que cette activité de conseil n avait pas trouvé son public.» Pour un prestataire qui souhaite délivrer du conseil, le principal handicap est le renchérissement du prix de son offre. En effet, le conseil a un coût et rares sont les entreprises ou les salariés qui acceptent de passer à la caisse. De plus, selon Natixis Interépargne et Amundi, les épargnants salariés bénéficient d ores et déjà de nombreux appuis : surveillance paritaire des fonds, mise à disposition d outils permettant d effectuer des choix d investissement en toute connaissance de cause, etc. L autre reproche formulé porte sur les performances des fonds d épargne salariale, qui serait moins bonne que celle des véhicules traditionnels (voir l article de Winter & Associé-Groupe Optimind). Pour en avoir le cœur net, Banque & Stratégie a demandé à Europerformance d établir une comparaison. À y regarder de plus près, le résultat est parfois à l avantage de l épargne salariale ; c est le cas en gestion diversifiée. Et lorsque, à l inverse, les FCPE (Fonds communs de placement d entreprise) sont à la traîne, la prudence et l horizon de long terme sont mis en avant par les gérants pour justifier le résultat. & BANQUE STRATÉGIE 18, rue La Fayette Paris Fax : La reproduction totale ou partielle des articles publiés dans Banque & Stratégie, sans accord écrit de la société Revue Banque SARL, est interdite conformément à la loi du 11 mars 1957 sur la propriété littéraire et artistique. Directeur de la publication : Valérie Ohannessian Secrétaire général : Pierre Coustols Rédacteur en chef : Élisabeth Coulomb Rédacteurs : Sophie Gauvent (54 02) ; Séverine Leboucher (54 15) ; Annick Masounave (54 14) Secrétariat de rédaction : 1 er SR, Alain de Seze (54 17) ; Christine Hauvette (54 10). Maquette : 1 er maquettiste, Emmanuel Gonzalez (54 12) ; Alexandra Démétriadis (54 18) Conception graphique : Rampazzo & Associés Pour nous contacter, devant chaque numéro, ajouter l indicatif ABONNEMENTS : Revue Banque-NPAI 39 rue Marcelin-Berthelot Drancy Cedex Tél. : Fax : revue-banque.abo@npai.fr ISSN /CPPAP 0616 I Imprimé à Pulnoy (54) par SPEI - Dépôt légal 4 e trimestre BANQUE & STRATÉGIE Banque Stratégie n 306 septembre
4 La bibliothèque numérique de la banque et de la finance NOUVEAUTÉ revue-banque.fr/bibliotheque Un accès illimité aux ouvrages clés de la profession Plus de ouvrages spécialisés. Une sélection REVUE BANQUE en 6 thèmes clés : banques et marchés financiers, assurance, droit, économie, entreprise et patrimoine. Des titres en français et en anglais. Une utilisation simple et directe pour favoriser l accès à des contenus éditoriaux de qualité Une présentation claire des nouveautés. La possibilité de gérer des flux RSS. Mise en place très simple de sa propre sélection pour ensuite archiver, annoter, imprimer ou partager les titres choisis. Le prolongement naturel de votre abonnement ou de votre adhésion Cette offre vient en complément de votre abonnement à l une des revues du groupe REVUE BANQUE ou de votre adhésion au Club Banque. Elle est conçue pour toutes les familles d utilisateurs : entreprise, société de conseil ou de services, service documentation ou bibliothèque, responsable de formation, professionnel ABONNEZ-VOUS Tarif unitaire : 165 l abonnement annuel Tarif de 2 à 5 abonnements : 125 l abonnement annuel CONTACT : bibliotheque@revue-banque.fr Tél. :
5 Sommaire L épargne salariale résiste face aux critiques 6 Développement du marché Le succès de l épargne salariale menacé? Laure Delahousse, AFG 9 Protection de l investisseur L épargnant salarié moins bien protégé qu un épargnant individuel Manuèle Pennera, Karente 12 Teneur de compte «Nous ne souhaitons pas nous placer dans un environnement MIF» Dominique Coudert, Natixis Interépargne 14 Cadre juridique L employeur face à ses responsabilités Silvestre Tandeau de Marsac, Fischer, Tandeau de Marsac, Sur et associés 18 Gérant d actifs «En épargne salariale, la gestion se veut prudente et de long terme» Pierre Schereck, Amundi 20 Sélection Comment les entreprises choisissent leur prestataire? Richard Deville, WINTER & Associés, Groupe Optimind 22 Actionnariat salarié Une prise de risque maîtrisée Michèle Monavon, Safran SA 26 ISR Les épargnants salariés, des investisseurs responsables? Antoine Le Lann et Christel Bapt, Cedrus Partners Banque Stratégie n 306 septembre
6 Dossier ÉPARGNE SALARIALE Développement du marché Le succès de l épargne salariale menacé? Le taux d équipement des entreprises en dispositifs d épargne salariale a été multiplié par quatre en 10 ans. Cet élan sera-t-il brisé par l augmentation du forfait social, décidée par le gouvernement le 1 er août dernier? LAURE DELAHOUSSE Directrice «gestion spécialisée et épargne retraite» AFG D epuis le début des années 2000, l épargne salariale s est développée à un rythme élevé. Entreprise par entreprise, les montants distribués individuellement aux salariés sont pourtant restés plutôt stables, autour de euros par personne en moyenne. La progression est donc due à sa diffusion dans un plus grand nombre d entreprises : à nouvelles sociétés s équipent chaque année. Aujourd hui, employeurs offrent un plan d épargne et près de 10 millions de salariés sont couverts, soit 60 % du secteur privé. Deux moteurs ont alimenté cette croissance : la loi a favorisé sa diffusion dans les PME et les entreprises ont répondu aux besoins de leurs salariés de se constituer une épargne de long terme pour leur retraite à travers le Plan d épargne retraite collectif (PERCO). Le récent durcissement du régime social risque-t-il de remettre en cause ces succès? Plus d épargne salariale dans les PME Les travaux préparatoires de la loi Fabius de 2001 sur l épargne salariale avaient souligné les vertus de cette forme d investissement, tout en regrettant sa faible diffusion dans les PME avec un taux d équipement de l ordre de 5 %. Dans leur rapport, Jean-Pierre Balligand et Jean-Baptiste de Foucauld proposaient donc de créer des outils simplifiés dédiés aux PME. Les plans d épargne salariale inter-entreprises furent donc autorisés et, grâce à la mobilisation des réseaux bancaires, leur succès a entraîné une multiplication par quatre du taux d équipement des PME en 10 ans, soit 20 % (voir Graphique 1). Parallèlement, les professionnels de 1. Nombre d entreprises équipées d un dispositif d épargne salariale Nombre total d entreprises Entreprises de plus de 250 porteurs Entreprise de 1 à 250 porteurs l épargne salariale ont considérablement amélioré leurs offres en investissant massivement dans leurs outils de communication avec les entreprises et les salariés. Par exemple, la plus grande partie des opérations (versements, retraits, modification des choix d investissement) se fait désormais sur des sites Internet sécurisés, où chaque salarié peut gérer ses avoirs. Des outils ont été conçus pour aider les salariés à faire leurs choix, en délivrant par exemple une Source : AFG. 6 Banque Stratégie n 306 septembre 2012
7 information sur les risques liés aux différentes classes d actifs. Ces outils très utiles sont encore malheureusement insuffisamment utilisés, mais ils montent eux aussi en puissance. Malgré cette progression assez spectaculaire de l épargne salariale, seulement 20 % des PME sont équipées. Pour atteindre un taux d équipement comparable à celui des grandes entreprises, supérieur à 90 %, il faudra encore beaucoup de temps. Cet enjeu n est d ailleurs pas typiquement français. Aux États-Unis, par exemple, les plans d épargne retraite ou les profit sharing plans ont bien plus de mal à se diffuser dans les PME que dans les grandes entreprises. Plusieurs difficultés expliquent ce phénomène, notamment : concentration du dirigeant d entreprise sur des problèmes plus directement liés à l exploitation de son entreprise ; manque d expertise ; quelquefois, réticence aux obligations de transparence comptable et financière vis-à-vis des salariés Un point très positif est que les nombreux patrons de PME qui ont surmonté ces réticences et adopté l intéressement et l épargne salariale en font souvent un élément majeur de leur politique sociale. Citons par exemple l entreprise Supratec, PME dans laquelle le président François Hollande s est rendu en juin dernier pour lancer le contrat de génération. L intéressement et l épargne salariale permettent d associer les salariés aux succès de l entreprise dans un cadre collectif négocié et sans mettre en risque l entreprise en cas de conjoncture économique difficile. En effet, dans un tel contexte, l intéressement n est pas versé. Le succès du PERCO et de l épargne retraite Le PERCO est un plan d épargne salariale dédié à la préparation de la retraite. Créé en 2003, il représente aujourd hui, selon les années, entre un quart et un tiers des flux nets qui alimentent l épargne salariale. Clairement conçu comme un outil de préparation à la retraite, il offre aussi une relative souplesse dans les modes de versement, les modes de sortie (capital ou rente) et peut être 2. L envolée du PERCO entreprises sont équipées d un PERCO En milliers d entreprises déc juin 2006 déc juin 2007 déc juin 2008 déc juin déc juin 2010 déc mobilisé pour acquérir sa résidence principale. Même s il est encore limité en encours globaux 5 milliards d euros à fin 2011, il a déjà été mis en place par entreprises et 3,4 millions de salariés sont couverts. Chaque année, la progression est très forte (+25 % en encours et +50 % en nombre de salariés en 2011). Les débats sur les retraites et les travaux de prévisions du Conseil d orientation des retraites (COR) ont provoqué le début d une prise de conscience par les salariés de la nécessité de préparer leur retraite : combien toucheront-ils une fois à la retraite? Grâce aux différentes vagues de consolidation des régimes par répartition, nos futures retraites seront heureusement sauvegardées. Mais les différentes vagues de révision des paramètres du régime général et des régimes complémentaires ARRCO et AGIRC, depuis 1993, vont inéluctablement provoquer une baisse du taux de remplacement, c est-à-dire du montant des retraites comparées au dernier salaire, de 15 à 20 points d ici à Ce creusement ne peut que s accentuer. En effet, malgré les différentes réformes, maintenir l équilibre financier des régimes actuels de retraite supposerait, selon le COR, de baisser les pensions de 30 % à l horizon Même si les salariés ont encore une idée très vague du niveau de leur future retraite, ils pressentent que l épargne juin 2011 déc Évolution de l encours des PERCO En milliards d euros 0,5 0,6 0,3 déc juin 2006 déc ,3 1,9 1,7 1,4 1,2 juin 2007 déc juin 2008 leur sera utile pour leurs vieux jours. Les entreprises en sont, elles aussi, conscientes et, comme leurs voisines européennes, elles proposent de plus en plus à leurs salariés des outils pour préparer leur retraite. Les plus fréquents en France sont les «articles 83» 1, souvent réservés aux cadres, et les PERCO, ouverts à tous les salariés. En France, avec un peu de retard par rapport à nos voisins européens, l épargne en vue de la retraite continuera à croître, faisant converger les intérêts des salariés de bien préparer leur retraite et les intérêts de l économie, qui a besoin de ressources stables. Grâce à son horizon de moyen/ long terme, l épargne salariale est investie à hauteur de 60 % en actions d entreprises majoritairement françaises. Elle représente aussi la moitié de l épargne solidaire française. 20 % de ses encours sont investis selon les principes de l investissement socialement responsable, dont les fonds sont très souvent labellisés par le Comité intersyndical de l épargne salariale. Les régimes par répartition vont sans doute devoir encore être retouchés pour sécuriser leur avenir. Plus de souplesse serait alors offerte aux salariés sur leur date de départ, moyennant une 1. Proposés par les compagnies d assurances, les articles 83 ne font pas partie de l épargne salariale stricto sensu. déc juin ,9 déc ,5 juin déc ,8 5 juin 2011 déc Source : AFG. Banque Stratégie n 306 septembre
8 En bref La vie des affaires Investisseurs institutionnels La consolidation se poursuit La naissance récente d Harmonie Mutuelle, qui résulte de la fusion de cinq grandes mutuelles 1 de santé, marque une nouvelle étape dans le mouvement de rapprochements des investisseurs institutionnels. On ne compte plus les nouveaux ensembles : Vauban et Humanis en 2005, Réunica et Bayard en 2006, Malakoff et Médéric en 2008, Novalis et Taitbout en 2009, Apri et Ionis la même année, Réunica et Arpège en Et en 2011, le groupe Istya a été créé par la MGEN avec quatre autres mutuelles 2. En réunissant leurs forces, ces institutionnels se donnent les moyens d être plus compétitifs, d appliquer Solvabilité 2 dans de meilleures conditions, mais aussi de réaliser des économies. Ces rapprochements sont plutôt de mauvais augure pour les sociétés de gestion. En effet, les nouveaux ensembles négocient les frais de gestion à la baisse, au motif que leurs encours sont devenus plus importants. 1. Prévadiès, Harmonie Mutualité, Mutuelle Existence, Santévie et Sphéria Val de France. 2. MNH, MNT, MGET, MAE. financement de l économie Faut-il contraindre les banques à se recapitaliser davantage? La France serait menacée de credit crunch. C est l avis exprimé dans La Tribune du 31 août par Jacques Delpla 1, qui observe que les banques réduisent les montants prêtés, notamment pour respecter les ratios de solvabilité. Or, selon l économiste, les banques devraient augmenter leurs fonds propres et prêter davantage, faute de quoi il promet 5 ans de croissance zéro. Jacques Delpla estime que cette recapitalisation est d autant plus nécessaire qu une partie des crédits accordés par le passé de façon trop généreuse fera défaut. «La France n est pas la plus concernée par ce phénomène, mais elle ne sera pas épargnée», ajoute l économiste, contacté par Banque 1. L économiste Jacques Delpla fut l un des premiers à préconiser l émission d euro-obligations. Pays émergents Bientôt une crise brésilienne des subprime? En février 2011, Paul Marshall, dirigeant du hedge fund Marshall Wace 1, signait une longue tribune dans le Financial Times pour annoncer une probable crise des subprime au Brésil : «La situation au Brésil est dangereusement similaire à la crise des subprime aux États-Unis», écrivait Paul Marshall, estimant qu une masse importante de crédits assortis de taux élevés était accordée par les banques à des consommateurs dont il doutait 1. Basé à Londres, ce fonds investit notamment sur les marchés émergents. & Stratégie. Il estime que l État et le régulateur devraient contraindre les banques à utiliser l intégralité de leurs profits pour gonfler leurs fonds propres, mais aussi les forcer à émettre de nouvelles actions sur les marchés. Et si les banques ne parvenaient pas à lever des fonds sur le marché, l État devrait entrer au capital des établissements. Mais selon Cyril Meilland, responsable de l analyse bancaire chez Cheuvreux, une recapitalisation des banques françaises est inutile : «Certes, des défauts sont à prévoir sur les portefeuilles de prêts octroyés par le passé, mais le risque d une détérioration, même prononcée, de la situation est tout à fait gérable, grâce aux profits dégagés par les banques. Nous ne sommes donc pas inquiets, même en tenant compte de l exposition des banques des capacités de remboursement. Un an et demi plus tard, les craintes de Paul Marshall ne se sont pas (encore?) matérialisées. Est-ce une question de mois ou avait-il tort? Son analyse est loin de faire l unanimité. Par exemple, Chris Palmer, directeur des marchés émergents au sein de la société de gestion d actifs Henderson Global Investors, affirme sa divergence : «Par le passé, nous avons été relativement inquiets quant à la détérioration de la qualité de certains prêts offerts par certaines institutions, mais nous n avons jamais partagé ce point françaises à l Europe du Sud.» Concernant les crédits accordés actuellement, l analyste fait remarquer que «leur croissance s établit à 1 % en rythme annuel selon les derniers chiffres de la Banque de France, donc légèrement au-dessus de celle du PIB qui est de 0,8 %. Les banques répondent donc largement aux demandes de prêts ; les contraindre à prêter davantage les pousserait à assouplir leurs critères d octroi, ce qui les conduirait à prendre de mauvais risques.» Cyril Meilland admet toutefois qu il existe un frein à l offre de prêt à long terme : il s agit des ratios de liquidité de Bâle III. Mais, de ce point de vue, le renforcement des fonds propres n apporterait rien. Seul un assouplissement de ces ratios soulagerait les banques. S. G. de vue et n avons à aucun moment envisagé que le secteur bancaire brésilien se dirigeait vers une situation catastrophique similaire à celle qu ont connue les banques américaines entre 2007 et 2009.» Sans éluder les difficultés que doivent affronter les banques brésiliennes (charges fiscales importantes, lourde bureaucratie, omniprésence de l État, importants portefeuilles de prêts à taux faibles ), Chris Palmer estime qu «un investissement sur certaines banques brésiliennes peut être bénéfique». 38 Banque Stratégie n 306 septembre 2012
9 ISSN Mensuel - 70 euros revue-banque.fr Banque & Stratégie ABONNEMENTS 2012 Je choisis l abonnement à BANQUE & STRATÉGIE coché ci-dessous : DÉCOUVERTE 1 MOIS: 1 n o + accès online France (TTC) Étranger Quantité Total Nouveaux abonnés (offre réservée non renouvelable) 70,00 75, AN : 11 n os + accès online France (TTC) Étranger Quantité Total Tous abonnés 655,00 685, COUPLAGE REVUE BANQUE + BANQUE & STRATÉGIE 1 AN : 22 n os + 2 suppléments + accès online France (TTC) Étranger Quantité Total Offre réservée aux non abonnés 780,00 820, LA BIBLIOTHÈQUE NUMÉRIQUE (1) France (TTC) Quantité Total Abonnement annuel Tarif unitaire 165,00... Abonnement groupé Tarif de 2 à 5 125, TOTAL (TVA : 2,10 % incluse sur le tarif France) (1) Réservé aux abonnés à une des revues du groupe. Société... Nom... Prénom... Fonction... n 295 Septembre 2011 BANQUE STRATÉGIE cahier de prospective bancaire & financière dossier les institutions financières internationales se réinventent Qu elles aient pour vocation le financement du développement ou le maintien de la stabilité mondiale, les institutions financières internationales sont, avec la crise, sur le devant de la scène. Appréciées dans leur rôle de pompiers, elles essuient en revanche des critiques sur leur incapacité à prévenir la crise et résorber les déséquilibres macrofinanciers. Depuis leur création, elles ne cessent pourtant de se réinventer. 4 Sommaire veille STRATÉGIquE 28 Banque de détail Le moniteur des ventes : pour faciliter la conversion à une culture «relation-client» Yves Negro, Université Université Jean Moulin Lyon 3 En bref 38 La vie des affaires BANQUE & STRATÉGIE Le complément stratégique et prospectif de Revue Banque 70,00 le numéro Service... Adresse... Code postal/ville...pays... Code TVA (pour les pays de la CEE)... Téléphone...Télécopie... (indispensable)... En application de la loi du 6 janvier 1978, les informations ci-dessus sont indispensables au traitement de votre commande et sont communiquées aux destinataires aptes à les traiter. Elles peuvent donner lieu à l exercice du droit d accès et de rectification auprès de Revue Banque. Vous pouvez vous opposer à ce que vos nom et adresse soient cédés ultérieurement en le demandant par écrit au secrétariat général de Revue Banque. À retourner au SERVICE ABONNEMENTS REVUE BANQUE IGEDOC 39 rue Marcelin Berthelot DRANCY CEDEX Tél.: Fax : revue-banque.abo@igedoc.net Règlement à l ordre de La Revue Banque par chèque par carte bancaire* n Date limite de validité : _ / _ Notez les 3 derniers chiffres du cryptogramme visuel (au verso de votre carte) : _ * Sauf American Express et Diner s Club. Le règlement sur l étranger est à joindre impérativement à la commande et doit être effectué en euros, par chèque payable en France, net de frais. Pour les virements bancaires et CCP, nous consulter. DATE et SIGNATURE BS12 Vos abonnements se poursuivent on line sur revue-banque.fr Feuilletage, accès illimité aux archives de Banque & Stratégie
10 Collection Les essentiels de la banque et de la finance Nouvelles parutions L INTRODUCTION EN BOURSE RÈGLES D ADMISSION ET D INFORMATION : EURONEXT, ALTERNEXT, MARCHÉ LIBRE Muriel Golberg-Darmon Les sociétés qui souhaitent accéder aux marchés financiers français ont aujourd hui le choix entre trois marchés distincts. Chacun de ces marchés est soumis à des régimes juridiques qui peuvent différer considérablement. Cette troisième édition offre une analyse globale synthétique. LBO MONTAGES À EFFET DE LEVIER : PRIVATE EQUITY Philippe Thomas Les opérations à effet de levier se sont fortement développées depuis vingt ans. Cette deuxième édition décrit comment l investissement en private equity, via une acquisition à effet de levier, est un mode spécifique de gouvernance et de financement des entreprises qui doit assurer le maintien et le développement des performances des sociétés ainsi acquises. PRINCIPES DE FINANCE D ENTREPRISE CORPORATE FINANCE, CRÉATION DE VALEUR Philippe Thomas Le modèle corporate finance dessine un cadre théorique et pratique pour l analyse financière des entreprises, indépendamment de leur mode de contrôle et de leur structure. Par son approche internationale, cette deuxième édition développe une vue globale et exhaustive de la finance d entreprise dans une optique de création de valeur, tout en respectant une rigueur technique dans l exposé des concepts financiers et de leur application. Cet Essentiel s inscrit dans la doctrine définie pour le CFA Program, dont il couvre une partie du programme Corporate Finance. STRATÉGIES D OPTIONS DE CHANGE COUVERTURE ET INVESTISSEMENT Alain Girardeau-Montaut et Isabelle Klein L ouvrage présente des stratégies d options de change plus ou moins complexes, de façon accessible et pédagogique. À chaque stratégie est associé un descriptif de la composition du produit, les conditions de marché adéquates lors de sa mise en place et les possibilités de restructuration en fonction de l évolution des différents paramètres du marché. Adopter une stratégie peut engendrer des risques, les auteurs se sont attachés à les présenter clairement. Les essentiels de la banque et de la finance 128 pages, 20,50 Commander ces ouvrages sur Internet : revuebanquelibrairie.com
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