BANQUE. cahier de prospective bancaire & financière. DOSSIER L épargne salariale résiste face aux critiques

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "BANQUE. cahier de prospective bancaire & financière. DOSSIER L épargne salariale résiste face aux critiques"

Transcription

1 BANQUE n 306 Septembre 2012 ISSN Mensuel - 70 euros revue-banque.fr STRATÉGIE cahier de prospective bancaire & financière DOSSIER L épargne salariale résiste face aux critiques ux critiques Les fonds d épargne salariale seraient moins performants que les véhicules traditionnels ; les épargnants salariés ne seraient pas suffisamment protégés. Face à ces critiques, les acteurs de l épargne salariale répondent : ils justifient les écarts de performances, notent qu ils ne sont pas toujours en la défaveur de l épargne salariale, loin de là, et énumèrent les systèmes de protection et les outils d accompagnement dont bénéficient les épargnants salariés. 5 Sommaire VEILLE STRATÉGIQUE 29 Macroéconomie Le système financier joue-t-il un rôle face à la croissance économique? Ce que nous apprennent les crises et bulles financières Franklin ALLEN, Université de Pennsylvanie (Wharton School), et Pascal de LIMA, Altran Financial Services, Sciences Po Paris EN BREF 38 La vie des affaires

2

3 Dossier L épargne salariale résiste face aux critiques Dossier réalisé par Sophie Gauvent Le nombre d entreprises équipées d un dispositif d épargne salariale 1 ne cesse de croître, d après les chiffres de l AFG (Association française de gestion financière). Mais derrière la multiplication des PEE et autres PERCO se cachent plusieurs menaces. Des voix s élèvent pour dénoncer l absence de conseil en matière d épargne salariale. En effet, ces investissements échappant au champ d application de la directive MIF, les prestataires ne sont pas obligés de connaître le profil des épargnants salariés, ni de leur délivrer un conseil adapté. Un même individu serait donc moins bien protégé en investissant via un dispositif proposé par son entreprise qu en s adressant à une agence bancaire. La consultante Manuèle Pennera et l avocat Sylvestre Tandeau de Marsac relèvent cette dissymétrie. Toutefois, les prestataires d épargne salariale peuvent décider de se placer volontairement dans le champ d application de la MIF. C est ce qu a fait Générali Épargne Salariale par le passé : la filiale de l assureur avait décidé de délivrer du conseil aux épargnants [1] L épargne salariale est alimentée par l intéressement, la participation et des abondements éventuellement versés par l employeur et par des versements volontaires du salarié. Le premier dispositif dont s équipent les entreprises est le PEE (Plan d épargne entreprise) qui est bloqué 5 ans (sauf cas particuliers listés). Elles peuvent aussi proposer un PERCO (Plan d épargne pour la retraite collectif) aux salariés qui souhaitent investir en vue de leurs vieux jours. À l intérieur des deux dispositifs, les salariés peuvent choisir parmi différents fonds d investissement. salariés dès 2001 et d appliquer MIF quand elle est entrée en vigueur, fin Mais l expérience a tourné court Amundi, qui a repris depuis peu les encours de ce prestataire, explique : «À notre connaissance, les dirigeants de Générali sont eux-mêmes arrivés à la conclusion que cette activité de conseil n avait pas trouvé son public.» Pour un prestataire qui souhaite délivrer du conseil, le principal handicap est le renchérissement du prix de son offre. En effet, le conseil a un coût et rares sont les entreprises ou les salariés qui acceptent de passer à la caisse. De plus, selon Natixis Interépargne et Amundi, les épargnants salariés bénéficient d ores et déjà de nombreux appuis : surveillance paritaire des fonds, mise à disposition d outils permettant d effectuer des choix d investissement en toute connaissance de cause, etc. L autre reproche formulé porte sur les performances des fonds d épargne salariale, qui serait moins bonne que celle des véhicules traditionnels (voir l article de Winter & Associé-Groupe Optimind). Pour en avoir le cœur net, Banque & Stratégie a demandé à Europerformance d établir une comparaison. À y regarder de plus près, le résultat est parfois à l avantage de l épargne salariale ; c est le cas en gestion diversifiée. Et lorsque, à l inverse, les FCPE (Fonds communs de placement d entreprise) sont à la traîne, la prudence et l horizon de long terme sont mis en avant par les gérants pour justifier le résultat. & BANQUE STRATÉGIE 18, rue La Fayette Paris Fax : La reproduction totale ou partielle des articles publiés dans Banque & Stratégie, sans accord écrit de la société Revue Banque SARL, est interdite conformément à la loi du 11 mars 1957 sur la propriété littéraire et artistique. Directeur de la publication : Valérie Ohannessian Secrétaire général : Pierre Coustols Rédacteur en chef : Élisabeth Coulomb Rédacteurs : Sophie Gauvent (54 02) ; Séverine Leboucher (54 15) ; Annick Masounave (54 14) Secrétariat de rédaction : 1 er SR, Alain de Seze (54 17) ; Christine Hauvette (54 10). Maquette : 1 er maquettiste, Emmanuel Gonzalez (54 12) ; Alexandra Démétriadis (54 18) Conception graphique : Rampazzo & Associés Pour nous contacter, devant chaque numéro, ajouter l indicatif ABONNEMENTS : Revue Banque-NPAI 39 rue Marcelin-Berthelot Drancy Cedex Tél. : Fax : revue-banque.abo@npai.fr ISSN /CPPAP 0616 I Imprimé à Pulnoy (54) par SPEI - Dépôt légal 4 e trimestre BANQUE & STRATÉGIE Banque Stratégie n 306 septembre

4 La bibliothèque numérique de la banque et de la finance NOUVEAUTÉ revue-banque.fr/bibliotheque Un accès illimité aux ouvrages clés de la profession Plus de ouvrages spécialisés. Une sélection REVUE BANQUE en 6 thèmes clés : banques et marchés financiers, assurance, droit, économie, entreprise et patrimoine. Des titres en français et en anglais. Une utilisation simple et directe pour favoriser l accès à des contenus éditoriaux de qualité Une présentation claire des nouveautés. La possibilité de gérer des flux RSS. Mise en place très simple de sa propre sélection pour ensuite archiver, annoter, imprimer ou partager les titres choisis. Le prolongement naturel de votre abonnement ou de votre adhésion Cette offre vient en complément de votre abonnement à l une des revues du groupe REVUE BANQUE ou de votre adhésion au Club Banque. Elle est conçue pour toutes les familles d utilisateurs : entreprise, société de conseil ou de services, service documentation ou bibliothèque, responsable de formation, professionnel ABONNEZ-VOUS Tarif unitaire : 165 l abonnement annuel Tarif de 2 à 5 abonnements : 125 l abonnement annuel CONTACT : bibliotheque@revue-banque.fr Tél. :

5 Sommaire L épargne salariale résiste face aux critiques 6 Développement du marché Le succès de l épargne salariale menacé? Laure Delahousse, AFG 9 Protection de l investisseur L épargnant salarié moins bien protégé qu un épargnant individuel Manuèle Pennera, Karente 12 Teneur de compte «Nous ne souhaitons pas nous placer dans un environnement MIF» Dominique Coudert, Natixis Interépargne 14 Cadre juridique L employeur face à ses responsabilités Silvestre Tandeau de Marsac, Fischer, Tandeau de Marsac, Sur et associés 18 Gérant d actifs «En épargne salariale, la gestion se veut prudente et de long terme» Pierre Schereck, Amundi 20 Sélection Comment les entreprises choisissent leur prestataire? Richard Deville, WINTER & Associés, Groupe Optimind 22 Actionnariat salarié Une prise de risque maîtrisée Michèle Monavon, Safran SA 26 ISR Les épargnants salariés, des investisseurs responsables? Antoine Le Lann et Christel Bapt, Cedrus Partners Banque Stratégie n 306 septembre

6 Dossier ÉPARGNE SALARIALE Développement du marché Le succès de l épargne salariale menacé? Le taux d équipement des entreprises en dispositifs d épargne salariale a été multiplié par quatre en 10 ans. Cet élan sera-t-il brisé par l augmentation du forfait social, décidée par le gouvernement le 1 er août dernier? LAURE DELAHOUSSE Directrice «gestion spécialisée et épargne retraite» AFG D epuis le début des années 2000, l épargne salariale s est développée à un rythme élevé. Entreprise par entreprise, les montants distribués individuellement aux salariés sont pourtant restés plutôt stables, autour de euros par personne en moyenne. La progression est donc due à sa diffusion dans un plus grand nombre d entreprises : à nouvelles sociétés s équipent chaque année. Aujourd hui, employeurs offrent un plan d épargne et près de 10 millions de salariés sont couverts, soit 60 % du secteur privé. Deux moteurs ont alimenté cette croissance : la loi a favorisé sa diffusion dans les PME et les entreprises ont répondu aux besoins de leurs salariés de se constituer une épargne de long terme pour leur retraite à travers le Plan d épargne retraite collectif (PERCO). Le récent durcissement du régime social risque-t-il de remettre en cause ces succès? Plus d épargne salariale dans les PME Les travaux préparatoires de la loi Fabius de 2001 sur l épargne salariale avaient souligné les vertus de cette forme d investissement, tout en regrettant sa faible diffusion dans les PME avec un taux d équipement de l ordre de 5 %. Dans leur rapport, Jean-Pierre Balligand et Jean-Baptiste de Foucauld proposaient donc de créer des outils simplifiés dédiés aux PME. Les plans d épargne salariale inter-entreprises furent donc autorisés et, grâce à la mobilisation des réseaux bancaires, leur succès a entraîné une multiplication par quatre du taux d équipement des PME en 10 ans, soit 20 % (voir Graphique 1). Parallèlement, les professionnels de 1. Nombre d entreprises équipées d un dispositif d épargne salariale Nombre total d entreprises Entreprises de plus de 250 porteurs Entreprise de 1 à 250 porteurs l épargne salariale ont considérablement amélioré leurs offres en investissant massivement dans leurs outils de communication avec les entreprises et les salariés. Par exemple, la plus grande partie des opérations (versements, retraits, modification des choix d investissement) se fait désormais sur des sites Internet sécurisés, où chaque salarié peut gérer ses avoirs. Des outils ont été conçus pour aider les salariés à faire leurs choix, en délivrant par exemple une Source : AFG. 6 Banque Stratégie n 306 septembre 2012

7 information sur les risques liés aux différentes classes d actifs. Ces outils très utiles sont encore malheureusement insuffisamment utilisés, mais ils montent eux aussi en puissance. Malgré cette progression assez spectaculaire de l épargne salariale, seulement 20 % des PME sont équipées. Pour atteindre un taux d équipement comparable à celui des grandes entreprises, supérieur à 90 %, il faudra encore beaucoup de temps. Cet enjeu n est d ailleurs pas typiquement français. Aux États-Unis, par exemple, les plans d épargne retraite ou les profit sharing plans ont bien plus de mal à se diffuser dans les PME que dans les grandes entreprises. Plusieurs difficultés expliquent ce phénomène, notamment : concentration du dirigeant d entreprise sur des problèmes plus directement liés à l exploitation de son entreprise ; manque d expertise ; quelquefois, réticence aux obligations de transparence comptable et financière vis-à-vis des salariés Un point très positif est que les nombreux patrons de PME qui ont surmonté ces réticences et adopté l intéressement et l épargne salariale en font souvent un élément majeur de leur politique sociale. Citons par exemple l entreprise Supratec, PME dans laquelle le président François Hollande s est rendu en juin dernier pour lancer le contrat de génération. L intéressement et l épargne salariale permettent d associer les salariés aux succès de l entreprise dans un cadre collectif négocié et sans mettre en risque l entreprise en cas de conjoncture économique difficile. En effet, dans un tel contexte, l intéressement n est pas versé. Le succès du PERCO et de l épargne retraite Le PERCO est un plan d épargne salariale dédié à la préparation de la retraite. Créé en 2003, il représente aujourd hui, selon les années, entre un quart et un tiers des flux nets qui alimentent l épargne salariale. Clairement conçu comme un outil de préparation à la retraite, il offre aussi une relative souplesse dans les modes de versement, les modes de sortie (capital ou rente) et peut être 2. L envolée du PERCO entreprises sont équipées d un PERCO En milliers d entreprises déc juin 2006 déc juin 2007 déc juin 2008 déc juin déc juin 2010 déc mobilisé pour acquérir sa résidence principale. Même s il est encore limité en encours globaux 5 milliards d euros à fin 2011, il a déjà été mis en place par entreprises et 3,4 millions de salariés sont couverts. Chaque année, la progression est très forte (+25 % en encours et +50 % en nombre de salariés en 2011). Les débats sur les retraites et les travaux de prévisions du Conseil d orientation des retraites (COR) ont provoqué le début d une prise de conscience par les salariés de la nécessité de préparer leur retraite : combien toucheront-ils une fois à la retraite? Grâce aux différentes vagues de consolidation des régimes par répartition, nos futures retraites seront heureusement sauvegardées. Mais les différentes vagues de révision des paramètres du régime général et des régimes complémentaires ARRCO et AGIRC, depuis 1993, vont inéluctablement provoquer une baisse du taux de remplacement, c est-à-dire du montant des retraites comparées au dernier salaire, de 15 à 20 points d ici à Ce creusement ne peut que s accentuer. En effet, malgré les différentes réformes, maintenir l équilibre financier des régimes actuels de retraite supposerait, selon le COR, de baisser les pensions de 30 % à l horizon Même si les salariés ont encore une idée très vague du niveau de leur future retraite, ils pressentent que l épargne juin 2011 déc Évolution de l encours des PERCO En milliards d euros 0,5 0,6 0,3 déc juin 2006 déc ,3 1,9 1,7 1,4 1,2 juin 2007 déc juin 2008 leur sera utile pour leurs vieux jours. Les entreprises en sont, elles aussi, conscientes et, comme leurs voisines européennes, elles proposent de plus en plus à leurs salariés des outils pour préparer leur retraite. Les plus fréquents en France sont les «articles 83» 1, souvent réservés aux cadres, et les PERCO, ouverts à tous les salariés. En France, avec un peu de retard par rapport à nos voisins européens, l épargne en vue de la retraite continuera à croître, faisant converger les intérêts des salariés de bien préparer leur retraite et les intérêts de l économie, qui a besoin de ressources stables. Grâce à son horizon de moyen/ long terme, l épargne salariale est investie à hauteur de 60 % en actions d entreprises majoritairement françaises. Elle représente aussi la moitié de l épargne solidaire française. 20 % de ses encours sont investis selon les principes de l investissement socialement responsable, dont les fonds sont très souvent labellisés par le Comité intersyndical de l épargne salariale. Les régimes par répartition vont sans doute devoir encore être retouchés pour sécuriser leur avenir. Plus de souplesse serait alors offerte aux salariés sur leur date de départ, moyennant une 1. Proposés par les compagnies d assurances, les articles 83 ne font pas partie de l épargne salariale stricto sensu. déc juin ,9 déc ,5 juin déc ,8 5 juin 2011 déc Source : AFG. Banque Stratégie n 306 septembre

8 En bref La vie des affaires Investisseurs institutionnels La consolidation se poursuit La naissance récente d Harmonie Mutuelle, qui résulte de la fusion de cinq grandes mutuelles 1 de santé, marque une nouvelle étape dans le mouvement de rapprochements des investisseurs institutionnels. On ne compte plus les nouveaux ensembles : Vauban et Humanis en 2005, Réunica et Bayard en 2006, Malakoff et Médéric en 2008, Novalis et Taitbout en 2009, Apri et Ionis la même année, Réunica et Arpège en Et en 2011, le groupe Istya a été créé par la MGEN avec quatre autres mutuelles 2. En réunissant leurs forces, ces institutionnels se donnent les moyens d être plus compétitifs, d appliquer Solvabilité 2 dans de meilleures conditions, mais aussi de réaliser des économies. Ces rapprochements sont plutôt de mauvais augure pour les sociétés de gestion. En effet, les nouveaux ensembles négocient les frais de gestion à la baisse, au motif que leurs encours sont devenus plus importants. 1. Prévadiès, Harmonie Mutualité, Mutuelle Existence, Santévie et Sphéria Val de France. 2. MNH, MNT, MGET, MAE. financement de l économie Faut-il contraindre les banques à se recapitaliser davantage? La France serait menacée de credit crunch. C est l avis exprimé dans La Tribune du 31 août par Jacques Delpla 1, qui observe que les banques réduisent les montants prêtés, notamment pour respecter les ratios de solvabilité. Or, selon l économiste, les banques devraient augmenter leurs fonds propres et prêter davantage, faute de quoi il promet 5 ans de croissance zéro. Jacques Delpla estime que cette recapitalisation est d autant plus nécessaire qu une partie des crédits accordés par le passé de façon trop généreuse fera défaut. «La France n est pas la plus concernée par ce phénomène, mais elle ne sera pas épargnée», ajoute l économiste, contacté par Banque 1. L économiste Jacques Delpla fut l un des premiers à préconiser l émission d euro-obligations. Pays émergents Bientôt une crise brésilienne des subprime? En février 2011, Paul Marshall, dirigeant du hedge fund Marshall Wace 1, signait une longue tribune dans le Financial Times pour annoncer une probable crise des subprime au Brésil : «La situation au Brésil est dangereusement similaire à la crise des subprime aux États-Unis», écrivait Paul Marshall, estimant qu une masse importante de crédits assortis de taux élevés était accordée par les banques à des consommateurs dont il doutait 1. Basé à Londres, ce fonds investit notamment sur les marchés émergents. & Stratégie. Il estime que l État et le régulateur devraient contraindre les banques à utiliser l intégralité de leurs profits pour gonfler leurs fonds propres, mais aussi les forcer à émettre de nouvelles actions sur les marchés. Et si les banques ne parvenaient pas à lever des fonds sur le marché, l État devrait entrer au capital des établissements. Mais selon Cyril Meilland, responsable de l analyse bancaire chez Cheuvreux, une recapitalisation des banques françaises est inutile : «Certes, des défauts sont à prévoir sur les portefeuilles de prêts octroyés par le passé, mais le risque d une détérioration, même prononcée, de la situation est tout à fait gérable, grâce aux profits dégagés par les banques. Nous ne sommes donc pas inquiets, même en tenant compte de l exposition des banques des capacités de remboursement. Un an et demi plus tard, les craintes de Paul Marshall ne se sont pas (encore?) matérialisées. Est-ce une question de mois ou avait-il tort? Son analyse est loin de faire l unanimité. Par exemple, Chris Palmer, directeur des marchés émergents au sein de la société de gestion d actifs Henderson Global Investors, affirme sa divergence : «Par le passé, nous avons été relativement inquiets quant à la détérioration de la qualité de certains prêts offerts par certaines institutions, mais nous n avons jamais partagé ce point françaises à l Europe du Sud.» Concernant les crédits accordés actuellement, l analyste fait remarquer que «leur croissance s établit à 1 % en rythme annuel selon les derniers chiffres de la Banque de France, donc légèrement au-dessus de celle du PIB qui est de 0,8 %. Les banques répondent donc largement aux demandes de prêts ; les contraindre à prêter davantage les pousserait à assouplir leurs critères d octroi, ce qui les conduirait à prendre de mauvais risques.» Cyril Meilland admet toutefois qu il existe un frein à l offre de prêt à long terme : il s agit des ratios de liquidité de Bâle III. Mais, de ce point de vue, le renforcement des fonds propres n apporterait rien. Seul un assouplissement de ces ratios soulagerait les banques. S. G. de vue et n avons à aucun moment envisagé que le secteur bancaire brésilien se dirigeait vers une situation catastrophique similaire à celle qu ont connue les banques américaines entre 2007 et 2009.» Sans éluder les difficultés que doivent affronter les banques brésiliennes (charges fiscales importantes, lourde bureaucratie, omniprésence de l État, importants portefeuilles de prêts à taux faibles ), Chris Palmer estime qu «un investissement sur certaines banques brésiliennes peut être bénéfique». 38 Banque Stratégie n 306 septembre 2012

9 ISSN Mensuel - 70 euros revue-banque.fr Banque & Stratégie ABONNEMENTS 2012 Je choisis l abonnement à BANQUE & STRATÉGIE coché ci-dessous : DÉCOUVERTE 1 MOIS: 1 n o + accès online France (TTC) Étranger Quantité Total Nouveaux abonnés (offre réservée non renouvelable) 70,00 75, AN : 11 n os + accès online France (TTC) Étranger Quantité Total Tous abonnés 655,00 685, COUPLAGE REVUE BANQUE + BANQUE & STRATÉGIE 1 AN : 22 n os + 2 suppléments + accès online France (TTC) Étranger Quantité Total Offre réservée aux non abonnés 780,00 820, LA BIBLIOTHÈQUE NUMÉRIQUE (1) France (TTC) Quantité Total Abonnement annuel Tarif unitaire 165,00... Abonnement groupé Tarif de 2 à 5 125, TOTAL (TVA : 2,10 % incluse sur le tarif France) (1) Réservé aux abonnés à une des revues du groupe. Société... Nom... Prénom... Fonction... n 295 Septembre 2011 BANQUE STRATÉGIE cahier de prospective bancaire & financière dossier les institutions financières internationales se réinventent Qu elles aient pour vocation le financement du développement ou le maintien de la stabilité mondiale, les institutions financières internationales sont, avec la crise, sur le devant de la scène. Appréciées dans leur rôle de pompiers, elles essuient en revanche des critiques sur leur incapacité à prévenir la crise et résorber les déséquilibres macrofinanciers. Depuis leur création, elles ne cessent pourtant de se réinventer. 4 Sommaire veille STRATÉGIquE 28 Banque de détail Le moniteur des ventes : pour faciliter la conversion à une culture «relation-client» Yves Negro, Université Université Jean Moulin Lyon 3 En bref 38 La vie des affaires BANQUE & STRATÉGIE Le complément stratégique et prospectif de Revue Banque 70,00 le numéro Service... Adresse... Code postal/ville...pays... Code TVA (pour les pays de la CEE)... Téléphone...Télécopie... (indispensable)... En application de la loi du 6 janvier 1978, les informations ci-dessus sont indispensables au traitement de votre commande et sont communiquées aux destinataires aptes à les traiter. Elles peuvent donner lieu à l exercice du droit d accès et de rectification auprès de Revue Banque. Vous pouvez vous opposer à ce que vos nom et adresse soient cédés ultérieurement en le demandant par écrit au secrétariat général de Revue Banque. À retourner au SERVICE ABONNEMENTS REVUE BANQUE IGEDOC 39 rue Marcelin Berthelot DRANCY CEDEX Tél.: Fax : revue-banque.abo@igedoc.net Règlement à l ordre de La Revue Banque par chèque par carte bancaire* n Date limite de validité : _ / _ Notez les 3 derniers chiffres du cryptogramme visuel (au verso de votre carte) : _ * Sauf American Express et Diner s Club. Le règlement sur l étranger est à joindre impérativement à la commande et doit être effectué en euros, par chèque payable en France, net de frais. Pour les virements bancaires et CCP, nous consulter. DATE et SIGNATURE BS12 Vos abonnements se poursuivent on line sur revue-banque.fr Feuilletage, accès illimité aux archives de Banque & Stratégie

10 Collection Les essentiels de la banque et de la finance Nouvelles parutions L INTRODUCTION EN BOURSE RÈGLES D ADMISSION ET D INFORMATION : EURONEXT, ALTERNEXT, MARCHÉ LIBRE Muriel Golberg-Darmon Les sociétés qui souhaitent accéder aux marchés financiers français ont aujourd hui le choix entre trois marchés distincts. Chacun de ces marchés est soumis à des régimes juridiques qui peuvent différer considérablement. Cette troisième édition offre une analyse globale synthétique. LBO MONTAGES À EFFET DE LEVIER : PRIVATE EQUITY Philippe Thomas Les opérations à effet de levier se sont fortement développées depuis vingt ans. Cette deuxième édition décrit comment l investissement en private equity, via une acquisition à effet de levier, est un mode spécifique de gouvernance et de financement des entreprises qui doit assurer le maintien et le développement des performances des sociétés ainsi acquises. PRINCIPES DE FINANCE D ENTREPRISE CORPORATE FINANCE, CRÉATION DE VALEUR Philippe Thomas Le modèle corporate finance dessine un cadre théorique et pratique pour l analyse financière des entreprises, indépendamment de leur mode de contrôle et de leur structure. Par son approche internationale, cette deuxième édition développe une vue globale et exhaustive de la finance d entreprise dans une optique de création de valeur, tout en respectant une rigueur technique dans l exposé des concepts financiers et de leur application. Cet Essentiel s inscrit dans la doctrine définie pour le CFA Program, dont il couvre une partie du programme Corporate Finance. STRATÉGIES D OPTIONS DE CHANGE COUVERTURE ET INVESTISSEMENT Alain Girardeau-Montaut et Isabelle Klein L ouvrage présente des stratégies d options de change plus ou moins complexes, de façon accessible et pédagogique. À chaque stratégie est associé un descriptif de la composition du produit, les conditions de marché adéquates lors de sa mise en place et les possibilités de restructuration en fonction de l évolution des différents paramètres du marché. Adopter une stratégie peut engendrer des risques, les auteurs se sont attachés à les présenter clairement. Les essentiels de la banque et de la finance 128 pages, 20,50 Commander ces ouvrages sur Internet : revuebanquelibrairie.com

BANQUE. cahier de prospective bancaire & financière

BANQUE. cahier de prospective bancaire & financière BANQUE n 295 Septembre 2011 ISSN 0762-4077 Mensuel - 70 euros revue-banque.fr STRATÉGIE cahier de prospective bancaire & financière dossier les institutions financières internationales se réinventent Qu

Plus en détail

BANQUE. cahier de prospective bancaire & financière. Le capital-investissement en manque d oxygène critiques

BANQUE. cahier de prospective bancaire & financière. Le capital-investissement en manque d oxygène critiques BANQUE n 309 Décembre 2012 ISSN 0762-4077 Mensuel - 70 euros revue-banque.fr STRATÉGIE cahier de prospective bancaire & financière DOSSIER Le capital-investissement en manque d oxygène critiques Les levées

Plus en détail

BANQUE. cahier de prospective bancaire & financière. Réduire le risque : la nouvelle obsession

BANQUE. cahier de prospective bancaire & financière. Réduire le risque : la nouvelle obsession BANQUE n 303 Mai 2012 ISSN 0762-4077 Mensuel - 70 euros revue-banque.fr STRATÉGIE cahier de prospective bancaire & financière 3 dossier Réduire le risque : la nouvelle obsession Les décisions prises pour

Plus en détail

Document N 10 Document de travail, n engage pas le Conseil Le PERCO en 2014

Document N 10 Document de travail, n engage pas le Conseil Le PERCO en 2014 CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 08 juillet 2015 à 9 h 30 «Le patrimoine des retraités et l épargne retraite» Document N 10 Document de travail, n engage pas le Conseil Le PERCO en

Plus en détail

Les mutations de l offre Epargne Retraite

Les mutations de l offre Epargne Retraite Les mutations de l offre Epargne Retraite Forum International de Paris sur la Gestion de l Epargne Retraite Monique TEZENAS du MONTCEL 10 Avril 2012 BANQUE - FINANCE - ASSURANCE PROTECTION SOCIALE 10,

Plus en détail

Laure DELAHOUSSE Directrice Epargne Retraite. Epargne Retraite, l heure des choix FIER Paris avril 2012

Laure DELAHOUSSE Directrice Epargne Retraite. Epargne Retraite, l heure des choix FIER Paris avril 2012 Laure DELAHOUSSE Directrice Epargne Retraite Epargne Retraite, l heure des choix FIER Paris avril 2012 Epargne retraite, l heure des choix > L épargne retraite en France : l histoire d un non choix l exception

Plus en détail

BANQUE STRATÉGIE. Innovation et nouvelles technologies : où en sont les banques? cahier de prospective bancaire & financière DOSSIER

BANQUE STRATÉGIE. Innovation et nouvelles technologies : où en sont les banques? cahier de prospective bancaire & financière DOSSIER BANQUE n 316 Juillet-août 2013 ISSN 0762-4077 Mensuel - 70 euros STRATÉGIE cahier de prospective bancaire & financière DOSSIER Innovation et nouvelles technologies : où en sont les banques? La plupart

Plus en détail

Dossier retraite. Profil 1B. Année de naissance. Profil 1A

Dossier retraite. Profil 1B. Année de naissance. Profil 1A Dossier retraite Mise à jour : 10/03/2014 Vos ressources De quelles ressources disposerez-vous lors de votre départ en retraite? Elles sont de 5 natures : - La retraite sécurité sociale dite retraite de

Plus en détail

FICHE PRATIQUE N 4. Plan d Epargne pour la Retraite COllective (PERCO)

FICHE PRATIQUE N 4. Plan d Epargne pour la Retraite COllective (PERCO) FICHE PRATIQUE N 4 Plan d Epargne pour la Retraite COllective (PERCO) Principes Grâce à l adhésion à un dispositif facultatif, le PERCO offre la possibilité aux salariés de Thales de se constituer un capital

Plus en détail

Livret d Epargne Salariale

Livret d Epargne Salariale Livret d Epargne Salariale Octobre 2012 BANQUE DE GRANDE CLIENTÈLE / épargne / services financiers spécialisés Livret d Épargne Salariale Pour savoir l essentiel sur l épargne salariale Il existe différents

Plus en détail

QU EST-CE QU UNE BANQUE? 1 RE PARTIE Questions et réponses sur le thème des banques

QU EST-CE QU UNE BANQUE? 1 RE PARTIE Questions et réponses sur le thème des banques Les banques en tant qu intermédiaires financiers Qu est-ce qu une banque? Une banque est une entreprise dont l activité principale consiste à recevoir l épargne en dépôt, à accorder des crédits et à fournir

Plus en détail

Comment mieux comprendre la communication financière?

Comment mieux comprendre la communication financière? Comment mieux comprendre la communication financière? AXA Group Solutions Web Shared Services/Digital Studio - Novembre 2012 Focus sur l Investor Day Contacts: Communication interne Groupe : comint@axa.com

Plus en détail

BANQUE STRATÉGIE. marketing bancaire. cahier de prospective bancaire & financière. dossier

BANQUE STRATÉGIE. marketing bancaire. cahier de prospective bancaire & financière. dossier BANQUE n 298 Décembre 2011 ISSN 0762-4077 Mensuel - 70 euros revue-banque.fr STRATÉGIE cahier de prospective bancaire & financière dossier marketing bancaire Internet et ses composantes ont un impact croissant

Plus en détail

Le Plan d Epargne Interentreprises

Le Plan d Epargne Interentreprises Le Plan d Epargne Interentreprises Sommaire Qu est ce qu un Plan d Epargne Interentreprises (PEI)? page 3 Que pouvez-vous verser dans le PEI? page 4 Comment votre épargne est-elle investie? page 6 Pouvez-vous

Plus en détail

Humanis PEE-PERCO. Un nouveau regard sur votre épargne salariale

Humanis PEE-PERCO. Un nouveau regard sur votre épargne salariale Humanis PEE-PERCO RETRAITE Prévoyance santé épargne Un nouveau regard sur votre épargne salariale Humanis PEE-PERCO Prendre toute la dimension de votre entreprise Parce que le bien-être de votre entreprise

Plus en détail

Retraite 83 euro. Retraite 83 euro. La retraite supplémentaire des salariés en toute sécurité

Retraite 83 euro. Retraite 83 euro. La retraite supplémentaire des salariés en toute sécurité Retraite 83 euro La retraite supplémentaire des salariés en toute sécurité Retraite 83 euro Les contrats de retraite article 83 sont désormais ouverts aux versements individuels et facultatifs des salariés.

Plus en détail

LIVRET D ÉPARGNE SALARIALE

LIVRET D ÉPARGNE SALARIALE LIVRET D ÉPARGNE SALARIALE Tout ce que vous devez savoir sur les dispositifs d épargne salariale 2 - Tout ce que vous devez savoir sur les dispositifs d épargne salariale Sommaire Les dispositifs de participation

Plus en détail

PRÉVOYANCE SANTÉ ÉPARGNE RETRAITE OFFRE CRÉATEURS TRAVAIL TEMPORAIRE

PRÉVOYANCE SANTÉ ÉPARGNE RETRAITE OFFRE CRÉATEURS TRAVAIL TEMPORAIRE PRÉVOYANCE SANTÉ ÉPARGNE RETRAITE OFFRE CRÉATEURS TRAVAIL TEMPORAIRE Regarder vers l avenir, c est essentiel VOUS REGARDEZ VERS L AVENIR Vous venez de créer votre entreprise de Travail Temporaire et nous

Plus en détail

Livret d epargne SaLariaLe

Livret d epargne SaLariaLe Livret d Epargne Salariale Chère collaboratrice, Cher collaborateur, En tant que salarié(e) de PAGE PERSONNEL, vous bénéficiez de l accord de participation en vigueur dans l entreprise. En complément de

Plus en détail

Guide pratique de l épargnant

Guide pratique de l épargnant Guide pratique de l épargnant Article 83 euro rendre votre contrat / Effectuer des versements individuels facultatifs / La vie de votre contrat en 8 questions / C otre complément de revenu / Consulter

Plus en détail

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications

Plus en détail

En 2003, la Fédération française des sociétés d assurance et la

En 2003, la Fédération française des sociétés d assurance et la L INVESTISSEMENT SOCIALEMENT RESPONSABLE : LE POINT DE VUE D UNE MUTUELLE SPÉCIALISTE EN ASSURANCE VIE L INVESTISSEMENT SOCIALEMENT RESPONSABLE : LE POINT DE VUE D UNE MUTUELLE SPÉCIALISTE EN ASSURANCE

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

Mutuelle Obligatoire : attention à bien vérifier la conformité de votre contrat

Mutuelle Obligatoire : attention à bien vérifier la conformité de votre contrat N U M E R O 2 - M A R S 2 0 1 5 LEGISLATION Mutuelle Obligatoire : attention à bien vérifier la conformité de votre contrat Dans le cadre de l Accord National Interprofessionnel du 11 janvier 2013, les

Plus en détail

Réforme du Code des assurances :

Réforme du Code des assurances : Réforme du Code des assurances : orienter l épargne des Français vers les entreprises Pierre Moscovici, ministre de l économie et des finances «Une des priorités de mon action est de réconcilier l épargne

Plus en détail

En 2013, 605 organismes pratiquent

En 2013, 605 organismes pratiquent j u i n Le marché de l assurance complémentaire santé : des excédents dégagés en 2013 En 2013, 33 milliards d euros de cotisations ont été collectés sur le marché de l assurance complémentaire santé en

Plus en détail

Vous bénéficiez d un dispositif d épargne dans votre entreprise. Il vous permet de vous constituer une épargne personnelle dans des conditions

Vous bénéficiez d un dispositif d épargne dans votre entreprise. Il vous permet de vous constituer une épargne personnelle dans des conditions Vous bénéficiez d un dispositif d épargne dans votre entreprise. Il vous permet de vous constituer une épargne personnelle dans des conditions financières particulièrement favorables : intéressement aux

Plus en détail

Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites

Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites ÉPARGNE SALARIALE SOLIDAIRE Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites BANQUE DE FINANCEMENT & D INVESTISSEMENT / ÉPARGNE / SERVICES FINANCIERS SPÉCIALISÉS Avec un encours de 3,15 milliards

Plus en détail

Communiqué de presse CONFERENCES REGIONALES LOI SUR LA SECURISATION DE L EMPLOI:

Communiqué de presse CONFERENCES REGIONALES LOI SUR LA SECURISATION DE L EMPLOI: Communiqué de presse CONFERENCES REGIONALES LOI SUR LA SECURISATION DE L EMPLOI: METTRE EN EVIDENCE LES CONDITIONS DE REUSSITE DE LA GENERALISATION DE LA COMPLEMENTAIRE SANTE A L ENSEMBLE DES SALARIES,

Plus en détail

Monnaie, banques, assurances

Monnaie, banques, assurances Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d

Plus en détail

Gestion pilotée du Plan d Épargne pour la Retraite Collectif (PERCO) Guide de bonnes pratiques GUIDE PROFESSIONNEL MAI 2012 A N N E X E S

Gestion pilotée du Plan d Épargne pour la Retraite Collectif (PERCO) Guide de bonnes pratiques GUIDE PROFESSIONNEL MAI 2012 A N N E X E S GUIDE PROFESSIONNEL A N N E X E S Gestion pilotée du Plan d Épargne pour la Retraite Collectif (PERCO) Guide de bonnes pratiques Gestion pilotée du Plan d Epargne pour la Retraite Collectif (PERCO) 1 au

Plus en détail

SUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION

SUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION DOSSIER RETRAITES: MAI 2003 SUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION 1. LE SYSTEME DE RETRAITES PAR REPARTITION 1.1. INTRODUCTION Les régimes de retraites des travailleurs

Plus en détail

Epargne. Bien comprendre l épargne-retraite en entreprise. L offre globale. Assurances et Services pour le développement des entreprises.

Epargne. Bien comprendre l épargne-retraite en entreprise. L offre globale. Assurances et Services pour le développement des entreprises. entreprises Epargne Bien comprendre l épargne-retraite en entreprise L offre globale Groupama Assurances et Services pour le développement des entreprises. epargne Comment maintenir le niveau des retraites?

Plus en détail

Le dispositif est accessible à tous les salariés bénéficiant d'au moins trois mois d'ancienneté.

Le dispositif est accessible à tous les salariés bénéficiant d'au moins trois mois d'ancienneté. Introduction SAFRAN a décidé de vous faire bénéficier d un dispositif d épargne salariale. Il est composé : - d un volet 5 ans, le Plan d Epargne Groupe (PEG*), formule d épargne pour financer vos projets

Plus en détail

4. Quels sont les investissements réalisés par les fonds de private equity?

4. Quels sont les investissements réalisés par les fonds de private equity? 1. Qu est ce que le private equity? Le private equity ou capital investissement désigne une forme spécifique d investissement institutionnel dans des entreprises privées avec comme objectif de financer

Plus en détail

L actualité financière Les performances nettes de vos supports d investissement au 30/08/2013

L actualité financière Les performances nettes de vos supports d investissement au 30/08/2013 La Lettre Epargne et Retraite en Entreprise L actualité financière Les performances nettes de vos supports d investissement au 30/08/2013 Septembre 2013 Les chiffres cités ont trait aux années écoulées.

Plus en détail

Protection sociale des expatriés: l évolution de l approche des entreprises. Congrès RéaVie 14 16 octobre 2009

Protection sociale des expatriés: l évolution de l approche des entreprises. Congrès RéaVie 14 16 octobre 2009 Protection sociale des expatriés: l évolution de l approche des entreprises Congrès RéaVie 14 16 octobre 2009 Introduction La couverture santé et prévoyance des expatriés Les tendances actuelles chez les

Plus en détail

Sous la direction de Laurent Faibis avec la collaboration de Jean-Michel Quatrepoint. Actes du Colloque Xerfi

Sous la direction de Laurent Faibis avec la collaboration de Jean-Michel Quatrepoint. Actes du Colloque Xerfi Sous la direction de Laurent Faibis avec la collaboration de Jean-Michel Quatrepoint Finance emploi relocalisations Actes du Colloque Xerfi Michel Aglietta Eric Bourdais de Charbonnière Jérôme Cazes Louis

Plus en détail

Contrat de prévoyance complémentaire et de retraite supplémentaire

Contrat de prévoyance complémentaire et de retraite supplémentaire Contrat de prévoyance complémentaire et de retraite supplémentaire Décret n 2012-25 du 9 janvier 2012 Circulaire du 25 septembre 2013 Circulaire du 4 février 2014 Petit Déjeuner RH CCI Maître Marie-Laure

Plus en détail

actionnariat salarié

actionnariat salarié actionnariat salarié L Actionnariat Salarié est un outil d épargne collective permettant aux salariés d acquérir directement ou indirectement des actions de leur entreprise au travers du Plan d Épargne

Plus en détail

19 èmes Rencontres parlementaires sur l Épargne

19 èmes Rencontres parlementaires sur l Épargne 19 èmes Rencontres parlementaires sur l Épargne Organisées et présidées par Philippe MARINI Sénateur de l Oise Rapporteur général de la Commission des finances, du contrôle budgétaire et des comptes économiques

Plus en détail

ARIAL Obligations. Notice d Information

ARIAL Obligations. Notice d Information ARIAL Obligations Fonds Commun de Placement d Entreprise (FCPE) - Code valeur : 990000061419 Compartiment oui non Nourricier oui non Notice d Information Un Fonds Commun de Placement d Entreprise (FCPE)

Plus en détail

L activité financière des sociétes d assurances

L activité financière des sociétes d assurances L activité financière des sociétes d assurances Les marchés boursiers ont repris au cours de l année 2003. Par conséquent, les plus-values latentes sur actifs des sociétés d assurances augmentent. Les

Plus en détail

Groupe Crédit-Mutuel CIC

Groupe Crédit-Mutuel CIC ATELIER SOLUTION L ingénierie sociale au service des entreprises de leurs dirigeants de l expert- comptable Groupe Crédit-Mutuel CIC P.1 L ingénierie sociale au service des entreprises, de leurs dirigeants,

Plus en détail

«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»

«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» 39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE 10 mai 2011. 5 mutuelles créent le groupe Istya, premier groupe mutualiste français de protection sociale complémentaire

COMMUNIQUÉ DE PRESSE 10 mai 2011. 5 mutuelles créent le groupe Istya, premier groupe mutualiste français de protection sociale complémentaire 5 mutuelles créent le groupe Istya, premier groupe mutualiste français de protection sociale complémentaire Le 6 mai 2011, le groupe MGEN, le groupe MNH, la MNT, la MGET et la MAEE se sont réunis en assemblée

Plus en détail

Dares Analyses. Participation, intéressement et épargne salariale en 2010 : une hausse de 14 % des montants distribués

Dares Analyses. Participation, intéressement et épargne salariale en 2010 : une hausse de 14 % des montants distribués Dares Analyses septembre 2012 N 055 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques, intéressement et épargne salariale en 2010 : une hausse de 14 % des montants

Plus en détail

Rendre accessibles les aides auditives à un plus grand nombre : Harmonie Mutuelles et Malakoff Médéric s engagent

Rendre accessibles les aides auditives à un plus grand nombre : Harmonie Mutuelles et Malakoff Médéric s engagent Communiqué de presse Paris, le 24 mai 12 Malakoff Médéric et Harmonie Mutuelles lancent Kalivia Audio, leur deuxième réseau de soins commun, pour faciliter l accès de leurs bénéficiaires aux aides auditives

Plus en détail

Baromètre 2014 Club de l Epargne Salariale - Harris Interactive

Baromètre 2014 Club de l Epargne Salariale - Harris Interactive Baromètre 2014 Club de l Epargne Salariale - Harris Interactive La perception des salariés sur l épargne salariale Toute diffusion de résultats tirés de cette étude doit être accompagnée de la mention

Plus en détail

Le produit diversifié comme nouvelle solution d Epargne

Le produit diversifié comme nouvelle solution d Epargne Le produit diversifié comme nouvelle solution d Epargne Congrès Institut des Actuaires 2013 Jean-Pierre DIAZ, BNP Paribas Cardif Emmanuelle LAFERRERE, BNP Paribas Cardif Gildas ROBERT, Optimind Winter

Plus en détail

Communiqué de presse. Fonds Stratégique de Participations : un nouvel investissement de long terme dans le capital d un fleuron industriel français

Communiqué de presse. Fonds Stratégique de Participations : un nouvel investissement de long terme dans le capital d un fleuron industriel français Communiqué de presse Paris le 1 er juin 2015 Fonds Stratégique de Participations : un nouvel investissement de long terme dans le capital d un fleuron industriel français Le Fonds Stratégique de Participations

Plus en détail

ARIAL Monétaire ISR. Notice d Information

ARIAL Monétaire ISR. Notice d Information ARIAL Monétaire ISR Fonds Commun de Placement d Entreprise (FCPE) - Code valeur : 990000061409 Compartiment oui non Nourricier oui non Notice d Information Un Fonds Commun de Placement d Entreprise (FCPE)

Plus en détail

Les caractéristiques du secteur bancaire français

Les caractéristiques du secteur bancaire français Les caractéristiques du secteur bancaire français Fiche 1 Objectifs Découvrir le poids du secteur bancaire en France et ses intervenants Prérequis Aucun Mots-clefs Produit intérieur brut (PIB), organismes

Plus en détail

Actionnaires. Lettre d information. 32,6 Md. 1 Md 78,90. Rencontre avec Gilles Benoist, Directeur général. Chiffres clés au 31/12/2009

Actionnaires. Lettre d information. 32,6 Md. 1 Md 78,90. Rencontre avec Gilles Benoist, Directeur général. Chiffres clés au 31/12/2009 Numéro 42 Avril 2010 Lettre d information Actionnaires Rencontre avec Gilles Benoist, Directeur général Grâce à l ensemble de nos partenaires, nous avons développé l activité sur toutes les zones où nous

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE ÉTOILE pei 2 ÉTOILE percoi 2

GUIDE PRATIQUE ÉTOILE pei 2 ÉTOILE percoi 2 GUIDE PRATIQUE ÉTOILE pei 2 ÉTOILE percoi 2 SOMMAIRE Composez votre dispositif sur mesure 4 Étoile PEI 2 - Étoile PERCOI 2 Principales caractéristiques 5 Conseils d optimisation pour le dirigeant et les

Plus en détail

Les rachats de contrats d assurance-vie après 60 ans en 2012 FFSA

Les rachats de contrats d assurance-vie après 60 ans en 2012 FFSA CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 8 Document de travail, n engage pas le Conseil Les

Plus en détail

MODE D EMPLOI LOI POUR LE POUVOIR D ACHAT : Rachat de jours de repos, déblocage anticipé de la participation, prime exceptionnelle...

MODE D EMPLOI LOI POUR LE POUVOIR D ACHAT : Rachat de jours de repos, déblocage anticipé de la participation, prime exceptionnelle... MODE D EMPLOI Valérie Coutteron LOI POUR LE POUVOIR D ACHAT : Rachat de jours de repos, déblocage anticipé de la participation, prime exceptionnelle... LA LOI N 2008-111 DU 8 FÉVRIER 2008 pour le pouvoir

Plus en détail

BIG Expert. Simulateur. Epargne professionnelle

BIG Expert. Simulateur. Epargne professionnelle BIG Expert Simulateur Epargne professionnelle Epargne salariale et épargne retraite Ł Un contexte favorable un système de retraite en difficulté une fiscalité des revenus dissuasive une perte de vitesse

Plus en détail

LA PROTECTION SOCIALE DU DIRIGEANT

LA PROTECTION SOCIALE DU DIRIGEANT LA PROTECTION SOCIALE DU DIRIGEANT Christian RIEUTORT Didier TEXIER Conseils en Protection Sociale et Financière des Dirigeants 5-7, ave des Frères Lumière 93370 Montfermeil Protection sociale du Dirigeant

Plus en détail

Compte Titres Cardif Plan d'épargne en Actions Cardif Livret Cardif

Compte Titres Cardif Plan d'épargne en Actions Cardif Livret Cardif A joindre à votre demande d'ouverture de compte complétée et signée : un chèque personnel du 1 er titulaire, à son ordre et endossé, un RIB de son compte principal, la photocopie d un justificatif d identité

Plus en détail

Présentation du corps de contrôle des assurances LE MÉTIER DE COMMISSAIRE-CONTRÔLEUR

Présentation du corps de contrôle des assurances LE MÉTIER DE COMMISSAIRE-CONTRÔLEUR Présentation du corps de contrôle des assurances LE MÉTIER DE COMMISSAIRE-CONTRÔLEUR L Assurance : un secteur clé de la vie économique Le secteur de l assurance est un acteur majeur de la vie économique

Plus en détail

LIVRET D EPARGNE SALARIALE, Livret individuel à l entrée dans l entreprise

LIVRET D EPARGNE SALARIALE, Livret individuel à l entrée dans l entreprise LIVRET D EPARGNE SALARIALE, Livret individuel à l entrée dans l entreprise ARTICLE L.3341-6 DU CODE DU TRAVAIL Conformément à l'article L. 3341-6 du Code du travail «Tout salarié d'une entreprise proposant

Plus en détail

Plan stratégique 2012-2016 Vision du marché

Plan stratégique 2012-2016 Vision du marché 2013 Plan stratégique 2012-2016 Vision du marché Table des matières 1 Actualisation de la vision du marché w p. 3 2 Impact de l ANI du 11 janvier 2013 pour le marché de la complémentaire p. 14 santé 2

Plus en détail

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles.

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Un groupe de travail se réunit sous la Présidence de Pierre BURBAN au

Plus en détail

TOUT SAVOIR SUR LE COMPTE ÉPARGNE TEMPS

TOUT SAVOIR SUR LE COMPTE ÉPARGNE TEMPS CET épargne salariale TOUT SAVOIR SUR LE COMPTE ÉPARGNE TEMPS Sommaire Compte épargne temps 3 Historique 4 Mise en place 6 Alimentation 8 Utilisation 10 Optimiser le CET 14 COMPTE ÉPAR- GNE TEMPS Le Compte

Plus en détail

Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret

Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire L analyse de la MNT sur le projet de décret Patrick DOS Vice-Président de la MNT Participation des employeurs

Plus en détail

Épargne salariale et actionnariat salarié : des outils de rémunération globale

Épargne salariale et actionnariat salarié : des outils de rémunération globale INTRODUCTION Épargne salariale et actionnariat salarié : des outils de rémunération globale 1 Les différents dispositifs d épargne salariale sont généralement présentés en plusieurs strates, auquel il

Plus en détail

0 821 231 123 ou sur notre site Internet, www.coiffure-epargne.fr

0 821 231 123 ou sur notre site Internet, www.coiffure-epargne.fr Pour en savoir plus sur COIFFURE Épargne, contactez-nous vite au 0 821 231 123 ou sur notre site Internet, www.coiffure-epargne.fr (1) (1) 0,12 TTC/min depuis un poste fixe. Les Institutions de la Coiffure

Plus en détail

L Info sociale réservée aux dirigeants d entreprise présentée par RV Assurance & Courtage

L Info sociale réservée aux dirigeants d entreprise présentée par RV Assurance & Courtage L Info sociale réservée aux dirigeants d entreprise présentée par RV Assurance & Courtage N 2 Edito Cher partenaire, La fin du premier semestre 2013 s achève dans une ambiance économique et sociale morose

Plus en détail

BANQUE. cahier de prospective bancaire & financière

BANQUE. cahier de prospective bancaire & financière BANQUE n 297 Novembre 2011 ISSN 0762-4077 Mensuel - 70 euros revue-banque.fr STRATÉGIE cahier de prospective bancaire & financière dossier Gestion alternative Les hedge funds dans la tourmente Parfois

Plus en détail

Guide retraite complémentaire Agirc et Arrco L essentiel en quatre points. n o 9. Majorations pour enfants et retraite complémentaire

Guide retraite complémentaire Agirc et Arrco L essentiel en quatre points. n o 9. Majorations pour enfants et retraite complémentaire Guide retraite complémentaire Agirc et Arrco L essentiel en quatre points Guide salariés n o 9 avril 2014 Majorations pour enfants et retraite complémentaire Sommaire La retraite, en bref... 3 Points clés...

Plus en détail

Communiqué 8 novembre 2012

Communiqué 8 novembre 2012 Communiqué 8 novembre 2012 Les conditions du déploiement de l Internet à très haut débit en France et en Europe Coe-Rexecode mène depuis plusieurs années un programme de recherche approfondi sur l impact

Plus en détail

64% des actifs font confiance aux mutuelles : La France Mutualiste se mobilise pour répondre à leurs attentes

64% des actifs font confiance aux mutuelles : La France Mutualiste se mobilise pour répondre à leurs attentes DOSSIER DE PRESSE CONFÉRENCE DE PRESSE DU 14 SEPTEMBRE 2010 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Enquête exclusive La France Mutualiste/IFOP : Les Français et la retraite 64% des actifs font confiance aux mutuelles :

Plus en détail

LES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1

LES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1 LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et

Plus en détail

Le compte épargne temps

Le compte épargne temps Le compte épargne temps La loi n 2008 789 du 20 août 2008 portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps de travail procède à une profonde clarification des modalités de mise en place

Plus en détail

AG2R LA MONDIALE - RÉUNICA - VIASANTÉ 1 AG2R LA MONDIALE - RÉUNICA - VIASANTÉ

AG2R LA MONDIALE - RÉUNICA - VIASANTÉ 1 AG2R LA MONDIALE - RÉUNICA - VIASANTÉ 1 AG2R LA MONDIALE - - VIASANTÉ AG2R LA MONDIALE - - VIASANTÉ SOMMAIRE LE RAPPROCHEMENT 5 L union fait la force 6 Les grandes étapes 7 UN NOUVEL ENSEMBLE COMPLET 9 Un Groupe équilibré en retraite complémentaire

Plus en détail

Décision n 11-DCC-11 du 27 janvier 2011 relative au rapprochement du Groupe Aprionis et du Groupe Vauban Humanis

Décision n 11-DCC-11 du 27 janvier 2011 relative au rapprochement du Groupe Aprionis et du Groupe Vauban Humanis RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 11-DCC-11 du 27 janvier 2011 relative au rapprochement du Groupe Aprionis et du Groupe Vauban Humanis L Autorité de la concurrence, Vu le dossier de notification adressé

Plus en détail

Retraite Prévoyance Santé. Créateurs / Repreneurs d entreprises. Gérez l essentiel, nous nous. chargeons du reste

Retraite Prévoyance Santé. Créateurs / Repreneurs d entreprises. Gérez l essentiel, nous nous. chargeons du reste Retraite Prévoyance Santé Créateurs / Repreneurs d entreprises Gérez l essentiel, nous nous chargeons du reste Vous venez de créer votre entreprise? Vauban Humanis vous guide dans vos démarches POUR TOUS

Plus en détail

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses

Plus en détail

La référence pour maîtriser votre risque. Guide de référence. de la cotation

La référence pour maîtriser votre risque. Guide de référence. de la cotation La référence pour maîtriser votre risque Guide de référence de la cotation MARS 2015 Sommaire 1. LA COTATION : UN PROCESSUS D APPRÉCIATION DE LA SITUATION FINANCIÈRE DES ENTREPRISES 1 1.1. POURQUOI LA

Plus en détail

AIDES SOCIALES 2015 Cocher la case correspondante à l aide concernée

AIDES SOCIALES 2015 Cocher la case correspondante à l aide concernée Pour tout renseignement, contacter le Centre de la Relation Clients : Tél. 01 44 90 13 33 Fax 01 44 90 20 15 Formulaire de contact accessible sur notre site Internet www.crpcen.fr AIDES SOCIALES 2015 Cocher

Plus en détail

Note de présentation générale. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites

Note de présentation générale. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES 11 mai 2010 «Variantes de durée d assurance et d âges de la retraite» Dossier technique préparé par le secrétariat général du COR Document N 1 Document de travail, n

Plus en détail

Fonds Commun de Placement dans l Innovation. innovation pluriel 2. Les atouts de la multigestion au service de vos placements en FCPI

Fonds Commun de Placement dans l Innovation. innovation pluriel 2. Les atouts de la multigestion au service de vos placements en FCPI Fonds Commun de Placement dans l Innovation Fcpi innovation pluriel 2 Les atouts de la multigestion au service de vos placements en FCPI Qu est-ce qu un FCPI? Créé par la Loi de finances de 1997, le Fonds

Plus en détail

Augmentez votre Epargne, Optimisez votre fiscalité Epargne salariale. 16 juin 2011

Augmentez votre Epargne, Optimisez votre fiscalité Epargne salariale. 16 juin 2011 Augmentez votre Epargne, Optimisez votre fiscalité Epargne salariale 1 16 juin 2011 En tant que professionnels, n avez-vous jamais pensé à Optimiser vos revenus, augmenter votre Epargne sans augmenter

Plus en détail

Régimes complémentaires de retraite et prévoyance

Régimes complémentaires de retraite et prévoyance Régimes complémentaires de retraite et prévoyance Textes de référence : Article L242-1 et L 871-1 du code de la Sécurité sociale. Article D242-1, R 871-1 et R 871-2 du code de la Sécurité sociale. Loi

Plus en détail

santé Nos expertises au service des salariés et des entreprises LE GUIDE PRATIQUE SANTÉ

santé Nos expertises au service des salariés et des entreprises LE GUIDE PRATIQUE SANTÉ santé Nos expertises au service des salariés et des entreprises LE GUIDE PRATIQUE SANTÉ 2 INTRODUCTION LE GROUPE AG2R LA MONDIALE, UNE EXPERTISE COMPLÈTE EN ASSURANCE DE PROTECTION SOCIALE ET PATRIMONIALE

Plus en détail

Pourquoi nous avons créé Mirova

Pourquoi nous avons créé Mirova Par Philippe Zaouati, directeur général délégué de Natixis Asset Management et responsable du pôle d expertise Mirova. Pourquoi nous avons créé Mirova Directeur du développement et membre du comité exécutif

Plus en détail

Demande d'ouverture de compte d'instruments financiers

Demande d'ouverture de compte d'instruments financiers Gérer son patrimoine Demande d'ouverture de compte d'instruments financiers axabanque.fr Demande d ouverture de compte d intruments financiers Toutes les informations doivent être renseignées pour le traitement

Plus en détail

Introduction : pour une refonte générale de notre système de retraite

Introduction : pour une refonte générale de notre système de retraite Introduction : pour une refonte générale de notre système de retraite Conséquence de l empilement des régimes et de modes de calculs complexes, nul ne sait exactement quels seront ses droits à la retraite.

Plus en détail

DEPART EN RETRAITE DU LCL : QUE FAUT-IL SAVOIR?

DEPART EN RETRAITE DU LCL : QUE FAUT-IL SAVOIR? DEPART EN RETRAITE DU LCL : QUE FAUT-IL SAVOIR? Le départ de l entreprise est obligatoirement le dernier jour d un mois. La date de retraite se situe obligatoirement le 1 er jour du mois, en général, le

Plus en détail

La cotation Banque de France

La cotation Banque de France ENTREPRISES PROFESSION BANCAIRE La cotation Banque de France Guide de référence 2011 Une référence pour le dialogue entre la banque et l entreprise Sommaire LA COTATION BANQUE DE FRANCE 1.1. UNE COTATION

Plus en détail

Norme comptable internationale 33 Résultat par action

Norme comptable internationale 33 Résultat par action Norme comptable internationale 33 Résultat par action Objectif 1 L objectif de la présente norme est de prescrire les principes de détermination et de présentation du résultat par action de manière à améliorer

Plus en détail

Pour en savoir plus : http://www.cabinetfeurgard.com/_infos/dossiers/article.asp?rub=social&sousrub=ct2&art=k4_5380587

Pour en savoir plus : http://www.cabinetfeurgard.com/_infos/dossiers/article.asp?rub=social&sousrub=ct2&art=k4_5380587 L environnement social de votre entreprise va être profondément modifié dans les six prochains mois. Nous souhaitons vous en parler et vous expliquer ces nouvelles mesures et leurs impacts. La mutuelle

Plus en détail

Services en ligne : Leader du conseil SICAV & FCP sur internet, Compte-titres, Assurance-vie

Services en ligne : Leader du conseil SICAV & FCP sur internet, Compte-titres, Assurance-vie Choisir l avenir Distribution de produits financiers : Conseil et optimisation du patrimoine privé et professionnel Ingénierie Financière pour PME : Introduction en Bourse, levées de fonds, LBO Private

Plus en détail

Dares. Analyses PARTICIPATION, INTÉRESSEMENT ET ÉPARGNE SALARIALE EN 2008 : une baisse de près de 7 % des montants distribués

Dares. Analyses PARTICIPATION, INTÉRESSEMENT ET ÉPARGNE SALARIALE EN 2008 : une baisse de près de 7 % des montants distribués Dares Analyses Octobre 2 010 N 071 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques PARTICIPATION, INTÉRESSEMENT ET ÉPARGNE SALARIALE EN 2008 : une baisse de près

Plus en détail

Allianz Retraite TNS / Agricole

Allianz Retraite TNS / Agricole Professionnels indépendants Allianz Retraite TNS / Agricole Épargnez pour votre retraite tout en profitant de déductions fiscales *. www.allianz.fr Avec vous de A à Z * Selon la législation en vigueur

Plus en détail

Finance pour non financiers

Finance pour non financiers Finance pour non financiers Managers non financiers Responsables opérationnels ayant à dialoguer avec les comptables et les financiers Savoir communiquer avec les financiers dans l entreprise : comptabilité,

Plus en détail