Vulnérabilité intrinsèque des aquifères et des zones humides de la région Centre. Note de synthèse

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Vulnérabilité intrinsèque des aquifères et des zones humides de la région Centre. Note de synthèse"

Transcription

1 Vulnérabilité intrinsèque des aquifères et des zones humides de la région Centre Note de synthèse BRGM/RP FR décembre 2005

2

3 Vulnérabilité intrinsèque des aquifères et des zones humides de la région Centre Note de synthèse BRGM/RP FR décembre 2005 Étude réalisée dans le cadre des projets de Service public du BRGM 2005 EAU E 04 J.C Martin Vérificateur : Original signé par Th. Pointet Approbateur : Original signé par J.P. Leprêtre Le système de management de la qualité du BRGM est certifié AFAQ ISO 9001:2000.

4 Mots clés : Eaux souterraines, Vulnérabilité, région Centre. En bibliographie, ce rapport sera cité de la façon suivante : Martin J.C. (2005) - Vulnérabilité intrinsèque des aquifères et des zones humides de la région Centre. Note de synthèse. Rapport BRGM/RP FR. 21 p., 13 ill. BRGM, 2005, ce document ne peut être reproduit en totalité ou en partie sans l autorisation expresse du BRGM.

5 Sommaire 1. Introduction Objectif et méthodologie PROBLÉMATIQUE GÉNÉRALE Notion de vulnérabilité Cartographie du risque de pollution des eaux par les produits phytosanitaires MÉTHODOLOGIE DE L ÉTUDE Définition des paramètres hydrogéologiques Construction d un grille de calcul Choix d un système de pondération et de notation Les variables du calcul de la vulnérabilité FORMATIONS AQUIFÈRES ET COUVERTURES IMPERMÉABLES DE LA RÉGION CENTRE (VARIABLES V3 ET V4) Les ensembles hydrogéologiques Classe de perméabilité des aquifères (variable V4) Les couvertures imperméables (variable V3) Cas particuliers des zones humides PLUIE EFFICACE (VARIABLE V1) PENTE DU TERRAIN (VARIABLE V2) PROFONDEUR DES NAPPES (VARIABLE V5) Vulnérabilité intrinsèque des aquifères - Note par commune Conclusions BRGM/RP FR Note de synthèse - 3 -

6 Liste des illustrations Illustration 1 - Illustration 2 - Tableau synoptique de calcul et de cartographie du risque de pollution des eaux superficielles et des eaux souterraines... 9 Schéma de principe de l'étude de la vulnérabilité intrinsèque d'un aquifère. Les paramètres étudiés Illustration 3 - Paramètres intervenant dans la vulnérabilité d un aquifère et variables associées Illustration 4 - Formations aquifères et couvertures imperméables de la région Centre Illustration 5 - Échelle des perméabilités Illustration 6 - Quantification du critère classe de perméabilité (variable V4) Illustration 7 - Quantification du critère couverture imperméable (variable V3) Illustration 8 - Quantification du critère pluie efficace (variable V1) Illustration 9 - Quantification du critère pente du sol (variable V2) Illustration 10 - Quantification du critère épaisseur de la zone non saturée (variable V5) Illustration 11- Qualification des classes de vulnérabilité Illustration 12 - Nombre de communes par classe de vulnérabilité Illustration 13 - Carte de la vulnérabilité intrinsèque des aquifères de la région Centre (valeur par commune) BRGM/RP FR Note de synthèse - 4 -

7 1. Introduction Le GREPPPES réalise une cartographie du risque de pollution par les produits phytosanitaires à l échelle de la région Centre. Ce travail tient compte de tous les paramètres qui entrent en jeu dans le processus de vulnérabilité des eaux et qui sont étudiés par les organismes participant à cette cartographie, les chambres d agriculture, la DIREN et l INRA. Dans le cadre de cette cartographie régionale, le BRGM (Service géologique régional Centre) a réalisé la carte de vulnérabilité des aquifères et des zones humides de l ensemble de la région Centre. Les résultats de cette cartographie ont été présentés dans les rapports BRGM suivants : - rapport BRGM/RP FR (novembre 2004) : département de l Indre-et-Loire ; - rapport BRGM/RP FR (février 2005) : département du Cher ; - rapport BRGM/RP FR (septembre 2005) : départements de l'eure-et-loir, de l Indre, du Loir-et-Cher et du Loiret ; Cette note de synthèse rassemble les résultats obtenus pour l ensemble des six départements de la région Centre. Le financement de cette étude a été assuré conjointement par la DIREN, la DRAF, l Agence de l Eau Loire-Bretagne, l Agence de l Eau Seine-Normandie et le BRGM sur ses crédits de Service public. BRGM/RP FR Note de synthèse - 5 -

8

9 2. Objectif et méthodologie 2.1. PROBLÉMATIQUE GÉNÉRALE Notion de vulnérabilité a) Vulnérabilité intrinsèque La vulnérabilité intrinsèque correspond à une notion de vitesse de propagation de la pollution vers et dans la nappe d eau souterraine. Elle caractérise la plus ou moins grande capacité de «défense» d une nappe vis-à-vis d une pollution. À la différence de la vulnérabilité spécifique, elle est indépendante du polluant. Son évaluation prend en compte des facteurs physiques qui influencent le mouvement d un polluant jusqu à la nappe et sont peu susceptibles de varier dans le temps. La couverture végétale n intervient donc pas dans l appréciation de la vulnérabilité intrinsèque. Les facteurs physiques qui assurent une protection de la nappe ont pour effet : - de réduire la part d eau et de polluant qui s infiltre (pente du terrain importante, favorisant le ruissellement, capacité de rétention en eau du sol importante) ; - de ralentir la propagation du polluant (par exemple faible perméabilité du sol et du milieu non saturé) ; - de différer son arrivée à la nappe (par exemple épaisseur importante de la zone non saturée). b) Vulnérabilité et risques Certaines approches de la vulnérabilité font intervenir des critères relatifs à la propagation du polluant dans la nappe. En toute rigueur ces critères ne participent pas à la définition d une vulnérabilité mais constituent des éléments d évaluation d un risque défini par rapport à un polluant donné et par rapport à une cible (un captage) et à un usage donné de l eau (AEP, ). Contrairement à la vulnérabilité intrinsèque, le risque est évolutif. La vulnérabilité en est un élément d'évaluation. L analyse d un risque de pollution nécessite : - d identifier les sources de pollution : il est tenu compte du type de polluant, de sa toxicité, de sa concentration. - de définir l enjeu du risque. Il peut s agir d une nappe que l on souhaite protéger, auquel cas on ne fera intervenir que des critères relatifs à la zone non saturée, ou bien d un forage AEP, et interviennent donc des critères relatifs à la nappe. BRGM/RP FR Note de synthèse - 7 -

10 Le «risque» est principalement lié à la valeur de la cible : dans le cas d une nappe non exploitable du fait de sa mauvaise productivité ou qualité, ou si la nappe n'est pas exploitée, le risque peut être considéré comme faible par une méthode d'évaluation du risque pour la santé humaine. Par contre, la vulnérabilité intrinsèque de cette même nappe reste identique. La cartographie d un risque, pour un polluant ou une classe de polluants, s obtient donc en croisant une carte de vulnérabilité, une carte des pressions de pollution et une carte des enjeux Cartographie du risque de pollution des eaux par les produits phytosanitaires Un programme national d actions visant à réduire les pollutions des eaux par les produits phytosanitaires a été lancé, en août 2000, par les ministères chargés de l Agriculture et de l Environnement. Afin de définir des zones d action prioritaire, le GREPPPES de la région Centre a décidé de réaliser une cartographie du zonage du risque de pollution des eaux par les produits phytosanitaires. L objectif de ce diagnostic régional est de réaliser la cartographie, à l échelle de la région Centre, des zones ayant, a priori, un risque vis-à-vis de la pollution des eaux superficielles et souterraines par les produits phytosanitaires. Le diagnostic régional se base sur un «modèle» de transfert des produits phytosanitaires vers les eaux conçu pour être pertinent à l échelle de la région. En aucun cas, il ne peut être utilisé à la précision du bassin versant et encore moins celle de la parcelle. Il s agit de déterminer une probabilité de présence ou non d une pollution et non de constater une pollution effective. Les paramètres retenus pour déterminer le risque de pollution des eaux sont regroupés selon trois grands ensembles : la sensibilité du milieu (comportement hydrologique), la charge phytosanitaire et les enjeux environnementaux, alimentaires et touristiques. Leur combinaison, présentée sur l Illustration 1, compose le cœur du modèle. À partir de ce modèle, deux cartes seront réalisées : - une sur le risque de pollution des eaux superficielles par les produits superficielles, - une sur le risque de pollution des eaux souterraines par les produits phytosanitaires. La présente étude participe à la réalisation de la carte de risque de pollution des eaux souterraines. Son objectif est de caractériser la partie concernant la couche sensibilité du milieu en réalisant la carte de vulnérabilité des eaux souterraines. BRGM/RP FR Note de synthèse - 8 -

11 Source : document GREPPPES Illustration 1 - Tableau synoptique de calcul et de cartographie du risque de pollution des eaux superficielles et des eaux souterraines. BRGM/RP FR Note de synthèse - 9 -

12 2.2. MÉTHODOLOGIE DE L ÉTUDE Définition des paramètres hydrogéologiques La vulnérabilité des aquifères sera hiérarchiser en 5 classes. Une note sur l échelle de vulnérabilité des eaux souterraines sera attribuée à chaque commune. L'Illustration 2 présente le schéma de principe retenu pour l'étude de la vulnérabilité intrinsèque d'un aquifère et les paramètres étudiés. Illustration 2 - Schéma de principe de l'étude de la vulnérabilité intrinsèque d'un aquifère. Les paramètres étudiés. La décomposition sous forme cartographique des différents paramètres participant à la définition de la vulnérabilité d un aquifère présente l avantage de permettre une évaluation particulière de chaque paramètre, conduisant à une action sélective. BRGM/RP FR Note de synthèse

13 On distingue les paramètres suivants : - la pluie efficace qui va favoriser la dissolution des produits et leur infiltration dans la nappe sous-jacente ; - la pente du sol ; - la présence ou non d une couverture géologique imperméable ; - la perméabilité des aquifères (type de perméabilité, degré de karstification/fissuration, hétérogénéité) ; - l épaisseur de la zone non-saturée Construction d une grille de calcul Le calcul de la vulnérabilité a été réalisé sur un découpage géographique établi à partir d un maillage de 500 mètres de côté. Ce maillage, qui couvre l ensemble de la région Centre, contient l ensemble des données utilisées pour le calcul de la note de vulnérabilité Choix d un système de pondération et de notation Chaque paramètre retenu est divisé en plusieurs classes auxquelles ont été associées des notes, prises dans une échelle de 1 à N dont l'étendue est propre à chaque critère (dans cette étude, allant de 1 à 12 au maximum), la note étant d'autant plus élevée que la vulnérabilité est forte. Chaque critère retenu est ensuite affecté d un poids reflétant l'importance du critère dans l'évaluation globale de la vulnérabilité. Cette méthode est empirique. Le choix des coefficients, appliqués aux variables, a été décidé conjointement par le SRPV et le BRGM. Il pourra être revu éventuellement au cours de l avancement de l étude et des résultats obtenus. L Illustration 3 présente les correspondances entre les paramètres concourant à la définition de la vulnérabilité d un aquifère et les variables intervenant dans le calcul de vulnérabilité. PARAMÈTRES Pluie efficace Pente du sol Couverture imperméable Classe de perméabilité Épaisseur de la zone non saturée VARIABLES Variable V1 Variable V2 Variable V3 Variable V4 Variable V5 Illustration 3 - Paramètres intervenant dans la vulnérabilité d un aquifère et variables associées. À partir des cinq paramètres, la valeur numérique de la vulnérabilité de chacune des mailles du domaine est calculée par combinaison linéaire de ces cinq paramètres. BRGM/RP FR Note de synthèse

14 Combinaison linéaire des paramètres de calcul : Vulnérabilité = a1 x V1 + a2 x V2 + a3 x V3 + a4 x V4 + a5 x V5. Les coefficients a1, a2, a3, a4 et a5 étant à déterminer. La valeur de ces coefficients permet d'équilibrer le poids de chaque paramètre dans le calcul de la vulnérabilité des aquifères. Avec ce modèle, la vulnérabilité intrinsèque de l'aquifère est d autant plus élevée que la valeur calculée sera grande. Le modèle retenu conjointement par le BRGM et le GREPPPES est le suivant : Vulnérabilité = V1_recharge + V2_pente - 1 x V3_couv_imp x V4_K_aquif x V5_EP_ZNS Les coefficients retenus sont a1 = 1, a2 = 1, a3 = -1, a4 = 0,6 et a5 = 0,8. Le coefficient négatif (a3 = -1), affecté à la variable V3_couv_imp, permet de diminuer la valeur de la vulnérabilité lorsqu'il existe au droit de la maille considérée une couverture imperméable qui diminue la vulnérabilité de l'aquifère sous-jacent. Les coefficients a4 (0,6) et a5 (0,8) ont été fixés à des valeurs inférieures à 1, afin de pondérer les variables V4 et V5 dont les valeurs maximales (respectivement 10 et 12) sont les plus élevées. BRGM/RP FR Note de synthèse

15 3. Les variables du calcul de la vulnérabilité 3.1. FORMATIONS AQUIFÈRES ET COUVERTURES IMPERMÉABLES DE LA RÉGION CENTRE (VARIABLES V3 ET V4) Les ensembles hydrogéologiques À l échelle de la région Centre, on peut distinguer cinq grands ensembles qui sont représentées sur l Illustration 4 : - les aquifères sans couverture imperméable ; - les couvertures imperméables d épaisseurs inférieures à 5 mètres ; - les couvertures imperméables d épaisseurs supérieures à 5 mètres ; - les zones humides ; - le socle Classe de perméabilité des aquifères (variable V4) Un indice de perméabilité a été affecté à chaque entité hydrogéologique. Des regroupements ont été effectués en tenant compte du type de porosité des formations géologiques, en distinguant : - les formations à porosité matricielle dominante : milieux poreux continu. Ces formations seront codées A ; - les formations à porosité de fissure dominante : milieu discontinu (calcaires compacts fissurés, socle). Ces formations seront codées C ; - les formations présentant à la fois une porosité matricielle et une porosité de fissure : milieu «mixte». Ces formations seront codées B. Cette différenciation est indispensable pour juger de la vulnérabilité d'un aquifère, sachant que l'eau est filtrée et la circulation lente dans les sables, alors qu'il n'y a pas de filtration et la circulation de l'eau est rapide dans les fissures du calcaire. Pour chacun de ces milieux, quatre classes de perméabilité ont été considérées : très perméable (1), perméable (2), peu perméable (3), très peu perméable (4). L'échelle des perméabilités (Illustration 5) s'étend des valeurs inférieures à 10-8 m/s, pour les terrains imperméables (4), aux valeurs supérieures à 10-2 m/s, pour les terrains très perméables (1). Les deux autres classes correspondent au secteur 10-7 à 10-4 pour les terrains peu perméables (3), et au secteur 10-3 à 10-2 pour les terrains perméables (2). BRGM/RP FR Note de synthèse

16 Vulnérabilité intrinsèque des eaux souterraines de la région Centre Illustration 4 - Formations aquifères et couvertures imperméables de la région Centre. BRGM/RP FR Note de synthèse

17 Perméabilité Nature du milieu Continu (A) Mixte (B) Discontinu (C) Très perméable (1) A1 B1 C1 Perméable (2) A2 B2 C2 Peu perméable (3) A3 B3 C3 Imperméable (4) A4 B4 C4 Classification par ordre de perméabilité croissante (vulnérabilité croissante) et valeur des perméabilités (exprimées en m/s) à à 10-2 > 10-2 A4 B4 C4 A3 B3 C3 A2 B2 C2 A1 B1 C1 Illustration 5 - Échelle des perméabilités. On différencie ainsi douze classes de perméabilité (notées de 1 à 12) entre les terrains très peu perméables et les terrains très perméables discontinus (Illustration 6). Classe Description Note attribuée Classe 1 A4 1 Classe 2 B4 (absent en 28, 36, 41, 45) 2 Classe 3 C4 3 Classe 4 A3 4 Classe 5 B3 (absent en 28, 36, 41, 45) 5 Classe 6 C3 6 Classe 7 A2 7 Classe 8 B2 8 Classe 9 C2 9 Classe 10 A1 10 Classe 11 B1 (absent en 28, 36, 41, 45) 11 Classe 12 C1 12 Illustration 6 - Quantification du critère classe de perméabilité (variable V4) Les couvertures imperméables (variable V3) Plusieurs systèmes aquifères possèdent un recouvrement argileux ou marneux qui atténue leur vulnérabilité, mais qui ne paraît pas sur les documents numérisés des systèmes aquifères. On a donc recherché d autres documents spécifiques aux formations «imperméables». Pour les recouvrements imperméables d épaisseur supérieure à 5 mètres, on dispose de la carte élaborée dans le cadre de l'étude de la recherche des sites de stockage des déchets ultimes (rapport BRGM/R de 1994). Ces formations de couverture sont représentées selon leur nature : argiles et sables, argiles, sables, argiles et marnes. Cette carte est basée sur des critères sévères : - une faible perméabilité, inférieure à 1 x 10-9 m/s ; - une épaisseur supérieure à 5 m, indiquée sur les coupes géologiques archivées au BRGM. BRGM/RP FR Note de synthèse

18 Le résultat montre donc des surfaces réduites. L intérêt de cette carte est double : d une part, de différencier l ensemble des formations de surface selon leur épaisseur avec une valeur de 5 mètres prise comme repère et, d autre part, de permettre une mise en relation de ces couvertures imperméables avec les systèmes aquifères sous-jacents. On définit trois classes de vulnérabilité croissante (Illustration 7) : Classe Description Note attribuée Classe 1 avec couverture imperméable d épaisseur supérieure à 5 mètres 7 Classe 2 avec couverture imperméable d épaisseur inférieure à 5 mètres 2 Classe 3 sans couverture imperméable 0 Illustration 7 - Quantification du critère couverture imperméable (variable V3) Cas particuliers des zones humides Dans la région Centre, on compte 2 grandes zones humides : la Sologne et la Brenne. Dans cette étude, celles-ci ont été considérées comme étant des aquifères superficiels 3.2. PLUIE EFFICACE (VARIABLE V1) Par définition, la pluie efficace (exprimée en mm) correspond à la somme de la lame d'eau qui ruisselle et de la lame d'eau qui s'infiltre. En l'absence de quantification du ruissellement permettant d'accéder à l'infiltration, la pluie efficace peut être considérée comme un indicateur du flux d'eau infiltré. Cette variable ne s applique pas directement au calcul de la vulnérabilité intrinsèque des aquifères. Il a été néanmoins décidé de l associer à son calcul dans le cadre du groupe de travail GREPPPES. On retiendra, pour la détermination de la variable V1, la pluie efficace calculée par le ministère de l'écologie et du Développement Durable pour l'ensemble de la France, à partir des données de Météo France. Les données disponibles correspondent à une moyenne faite sur la période , en retenant une valeur moyenne par commune. Les classes de valeurs constituées, au nombre de cinq, et les notes attribuées sont les suivantes (Illustration 8) : Classe Description Note attribuée Classe 1 moins de 100 mm/an 1 Classe 2 de 100 à 150 mm/an 2 Classe 3 de 150 à 200 mm/an 3 Classe 4 de 200 à 250 mm/an 4 Classe 5 plus de 250 mm/an 5 Illustration 8 - Quantification du critère pluie efficace (variable V1). BRGM/RP FR Note de synthèse

19 3.3. PENTE DU TERRAIN (VARIABLE V2) La pente, en favorisant le ruissellement, réduit les possibilités d infiltration et donc les risques de pénétration d un polluant vers la nappe. Les données altitude du sol et pente ont été moyennées par maille de 500 m de côté. Ce sont ces données qui ont servi dans le calcul des pentes du sol (variable V2) et de la profondeur des nappes (variable V5). Les classes de valeurs constituées, au nombre de six, et les notes attribuées sont les suivantes (Illustration 9) : Classe Description Note attribuée Classe 1 plus de 6 degrés 1 Classe 2 de 4 à 6 degrés 2 Classe 3 de 2 à 4 degrés 3 Classe 4 de 1 à 2 degrés 4 Classe 5 de 0,5 à 1 degré 5 Classe 6 moins de 0,5 degré 6 Illustration 9 - Quantification du critère pente du sol (variable V2) 3.4. PROFONDEUR DES NAPPES (VARIABLE V5) Les profondeurs moyennes de la première nappe rencontrée au droit de chaque cellule des grilles de vulnérabilité (500 m x 500 m) sont réparties en six classes correspondant à des vulnérabilités croissantes, auxquelles des valeurs de notes sont affectées (Illustration 10) : Classe Description Note attribuée Classe 1 plus de 30 m 1 Classe 2 de 20 à 30 m 2 Classe 3 de 10 à 20 m 3 Classe 4 de 5 à 10 m 4 Classe 5 de 2,5 à 5 m 6 Classe 6 moins de 2,5 m 10 Illustration 10 - Quantification du critère épaisseur de la zone non saturée (variable V5). Le choix des classes de profondeur est volontairement non linéaire, afin de donner un poids plus fort aux faibles profondeurs. BRGM/RP FR Note de synthèse

20

21 4. Vulnérabilité intrinsèque des aquifères Note par commune Les notes de vulnérabilité obtenues par combinaison linéaire des variables V1 à V5 ont été réparties en cinq classes (Illustration 11). Classe Note attribuée Qualificatif Classe 1 inférieure à 5 non vulnérable Classe 2 de 5 à 10 faiblement vulnérable Classe 3 de 10 à 15 moyennement vulnérable Classe 4 de 15 à 20 fortement vulnérable Classe 5 supérieur ou égal à 20 très fortement vulnérable Illustration 11 - Qualification des classes de vulnérabilité Les résultats des calculs de la vulnérabilité des communes de la région centre sont présentés dans le tableau de l Illustration 12 et la carte de l Illustration 13. Illustration 12 - Nombre de communes par classe de vulnérabilité. Plus de la moitié des communes de la région Centre (55 %) est en zone de vulnérabilité jugée comme moyennement vulnérable. Les autres communes se répartissent entre des zones fortement vulnérables (26 %) ou faiblement vulnérables (17 %). Peu de communes sont en zone de vulnérabilité extrême comme très fortement vulnérable (3 %) ou non vulnérable (0 %). Le département du Cher apparaît comme le département ayant le plus de zones aquifères vulnérables, tandis que le département de l Eureet-Loir comme le département ayant le moins de zones aquifères vulnérables. BRGM/RP FR Note de synthèse

22 Vulnérabilité intrinsèque des eaux souterraines de la région Centre Illustration 13 - Carte de la vulnérabilité intrinsèque des aquifères de la région Centre (valeur par commune). BRGM/RP FR Note de synthèse

23 5. Conclusions Les traitements numériques et le calcul de la vulnérabilité intrinsèque des aquifères des départements de la région Centre ont été réalisés par l'intermédiaire d'une méthode basée sur un découpage géographique des départements en mailles de 500 m de côté et en combinant sur cette grille cinq critères de vulnérabilité retenus pour leur importance dans la détermination de la vulnérabilité intrinsèque d'un aquifère. Un indice de vulnérabilité a été calculé dans chacune des mailles et cartographié avec une échelle de vulnérabilité comprenant cinq classes. Une moyenne de cet indice a ensuite été réalisée par commune (valeur moyenne des indices affectés aux mailles situées dans la commune) ce qui a engendré une homogénéisation de la notation. La carte construite doit être interprétée non pas en tant que reflet d une vulnérabilité absolue, mais en tant que construction d une hiérarchie des systèmes et domaines relativement à leur vulnérabilité (échelle relative), hiérarchie permettant de cibler les zones prioritaires en matière de protection de la ressource. BRGM/RP FR Note de synthèse

24 Centre scientifique et technique 3, avenue Claude-Guillemin BP Orléans Cedex 2 France Tél. : Service géologique régional Centre 3, avenue Claude-Guillemin BP Orléans Cedex 2 France Tél. :

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier

Plus en détail

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace 3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de

Plus en détail

BRGM. Commune de VILLE-sur-ILLON (Vosges) Avril 1993 R 37123 NAC 4S 93. Lieu-dit "Varachamp" M. ALLEMMOZ J. CHEVALIER B. POLLET. Document non public

BRGM. Commune de VILLE-sur-ILLON (Vosges) Avril 1993 R 37123 NAC 4S 93. Lieu-dit Varachamp M. ALLEMMOZ J. CHEVALIER B. POLLET. Document non public BRGM Commune de VILLE-sur-ILLON (Vosges) Etude d'aptitude des sols pour la réalisation d'un lagunage Lieu-dit "Varachamp" M. ALLEMMOZ J. CHEVALIER B. POLLET Avril 1993 R 37123 NAC 4S 93 Document non public

Plus en détail

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE

Plus en détail

1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE 2. DESCRIPTION DE LA MASSE D'EAU SOUTERRAINE CARACTERISTIQUES INTRINSEQUES

1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE 2. DESCRIPTION DE LA MASSE D'EAU SOUTERRAINE CARACTERISTIQUES INTRINSEQUES 1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE Codes entités aquifères Code entité V1 Code entité V2 concernées (V1) ou (V2) ou secteurs hydro à croiser : 532a 532b Type de masse d'eau souterraine : Imperméable

Plus en détail

Eîude réalisée dans le cadre des actions de Service Public du BRGM 02PIR115. E. Equilbey, J.F. Vernoux. mars 2002 BRCMIRPB 1576-FR

Eîude réalisée dans le cadre des actions de Service Public du BRGM 02PIR115. E. Equilbey, J.F. Vernoux. mars 2002 BRCMIRPB 1576-FR Avis hydrogéologique sur des dossiers de demande de reconnaissance de l état de catastrophe naturelle liée à une remontée de nappe phréatique - Communes de Marcoussis et du Val-Sain t-germain (Essonne)

Plus en détail

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important

Plus en détail

DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement

DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement Liieu--diitt «lle Cognett» Commune de VAUX--SUR--SEULLES

Plus en détail

Appui SIE :Développement de services web ADES/SIE

Appui SIE :Développement de services web ADES/SIE Appui SIE :Développement de services web ADES/SIE Rapport final BRGM/ RP-55128-FR Décembre 2006 Appui SIE : Développement de services web ADES/SIE Rapport final BRGM/ RP-55128-FR décembre 2006 Étude réalisée

Plus en détail

Avant d aller à la recherche d un terrain

Avant d aller à la recherche d un terrain Choisir un terrain Bien choisir un terrain pour construire une maison solide Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité de la construction.

Plus en détail

RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS

RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS a RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS Synthèse de l'inventaire des accidents pour le secteur d'activité de la société MARIE DIDIER AUTOMOBILES Il ressort de l inventaire des accidents technologiques

Plus en détail

Atlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre

Atlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre Atlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre Rapport final BRGM/RP-55088-FR mars 2007 Atlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre Rapport final BRGM/RP-55088-FR mars 2007

Plus en détail

AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE

AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES GEOSPATIALE CREATION A D UNE L ECHELLE BANQUE NATIONAL DE DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE 1 AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. P O Box 3463

Plus en détail

Surveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique

Surveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,

Plus en détail

Chapitre 5 Mesures géophysiques

Chapitre 5 Mesures géophysiques Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable

Plus en détail

Référentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités. Rapport final

Référentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités. Rapport final Référentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités Rapport final BRGM/RP-52261-FR janvier 2003 Référentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités

Plus en détail

«Bases de données géoréférencées pour la gestion agricole et environnementale en Roumanie»

«Bases de données géoréférencées pour la gestion agricole et environnementale en Roumanie» «Bases de données géoréférencées pour la gestion agricole et environnementale en Roumanie» Dr. Alexandru BADEA Directeur Applications Spatiales Agence Spatiale Roumaine Tél : +40(0)744506880 alexandru.badea@rosa.ro

Plus en détail

Commune d Aillevillers et Lyaumont CC du Val de Semouse

Commune d Aillevillers et Lyaumont CC du Val de Semouse Commune d Aillevillers et Lyaumont CC du Val de Semouse Département de la Haute Saône Zonage d assainissement Renaud LADAME Chargé d Affaires Géoprotech Agence Franche Comté Hôtel dentreprises ZA les Charrières

Plus en détail

Le risque sismique : ce qui change

Le risque sismique : ce qui change Le risque sismique : ce qui change Conséquences de la publication des décrets Intervenant Service Date Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement www.developpement-durable.gouv.fr

Plus en détail

ANALYSE DE RISQUE AVEC LA MÉTHODE MEHARI Eric Papet e.papet@dev1-0.com Co-Fondateur SSII DEV1.0 Architecte Logiciel & Sécurité Lead Auditor ISO 27001

ANALYSE DE RISQUE AVEC LA MÉTHODE MEHARI Eric Papet e.papet@dev1-0.com Co-Fondateur SSII DEV1.0 Architecte Logiciel & Sécurité Lead Auditor ISO 27001 ANALYSE DE RISQUE AVEC LA MÉTHODE MEHARI Eric Papet e.papet@dev1-0.com Co-Fondateur SSII DEV1.0 Architecte Logiciel & Sécurité Lead Auditor ISO 27001 PLAN Introduction Générale Introduction MEHARI L'analyse

Plus en détail

Optimisation du réseau piézométrique de la Nappe d Alsace

Optimisation du réseau piézométrique de la Nappe d Alsace Optimisation du réseau piézométrique de la Nappe d Alsace Rapport final BRGM/RP-58670-FR Octobre 2010 Optimisation du réseau piézométrique de la Nappe d Alsace Rapport final BRGM/RP-58670-FR Octobre 2010

Plus en détail

FOIRE AUX QUESTIONS PPRn GT de la côte d'ile de France secteur vallée de la Marne

FOIRE AUX QUESTIONS PPRn GT de la côte d'ile de France secteur vallée de la Marne FOIRE AUX QUESTIONS PPRn GT de la côte d'ile de France secteur vallée de la Marne Direction départementale des Territoires SOMMAIRE GÉNÉRALITÉS Qu'est ce que la prévention des risques? Qu'est ce qu'un

Plus en détail

Le Parc naturel régional des SIG. Restructuration d un SIG et diffusion des données dans le cadre de la directive Inspire

Le Parc naturel régional des SIG. Restructuration d un SIG et diffusion des données dans le cadre de la directive Inspire SIG Restructuration d un SIG et diffusion des données dans le cadre de la directive Inspire Comment utiliser la directive Inspire à l échelle d un SIG historique pour en assurer la refonte? Claire Devaud

Plus en détail

Détermination des enjeux exposés

Détermination des enjeux exposés RAPPORTS CETE de LYON Centre d'études Techniques de LYON Département Laboratoire de Clermont-Ferrand Affaire 19526 Détermination des enjeux exposés au risque inondation de l'oeil à Cosne d'allier novembre

Plus en détail

Fonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source

Fonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source Régionale Orléans Tours Visualiser cette sortie dans Google Earth Fonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source Position géographique

Plus en détail

Présentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013

Présentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI

Plus en détail

POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE

POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE COMMENT REHABILITER UN CHATEAU D EAU? INTRODUCTION Historique de la construction: Construits entre 1920 et 1980, mais depuis 1950 pour 70% du parc actuel.

Plus en détail

Elaboration d un Plan Local d Urbanisme / d un Agenda 21

Elaboration d un Plan Local d Urbanisme / d un Agenda 21 Elaboration d un Plan Local d Urbanisme / d un Agenda 21 Phase diagnostic Par : P. Mordelet, Université Toulouse 3 C. Aschan-Leygonie, Université Lyon 2 F. Boussama, Université Montpellier 1 C. Mathieu,

Plus en détail

Révision de la numérotation des règlements

Révision de la numérotation des règlements Révision de la numérotation des règlements Veuillez prendre note qu un ou plusieurs numéros de règlements apparaissant dans ces pages ont été modifiés depuis la publication du présent document. En effet,

Plus en détail

Cartes de bruit stratégiques

Cartes de bruit stratégiques RAPPORTS CETE Normandie Centre LRB Laboratoire Régional de Blois Affaire 131550 Cartes de bruit stratégiques Réseau routier national de l'eure Résumé non technique Article 3 du décret du 24 mars 2006 Novembre

Plus en détail

les outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir

les outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE

Plus en détail

d'une EXTRACTION AVEC RABATTEMENT DE NAPPE

d'une EXTRACTION AVEC RABATTEMENT DE NAPPE ENTREPRISE CHAPELLE S.A. ROUTE DE RIOTTER - LIMAS 69400 - VILLEFRANCHE SUR SAONE /DOCUMENT NON PUBLIC/ PROJET D'IfPLAmTION D'UE GRAVIERE A CRECHES SUR SAOE (71) EXA^EN DE L INCIDENCE SUR DES OUVRAGES DE

Plus en détail

MINISTÈRE DE L'INDUSTRIE BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES. Boite Postale 6009-45018 ORLÉANS CEDEX - Tél. (38) 63.80.01

MINISTÈRE DE L'INDUSTRIE BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES. Boite Postale 6009-45018 ORLÉANS CEDEX - Tél. (38) 63.80.01 MINISTÈRE DE L'INDUSTRIE BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES SERVICE CEOLOCIQUE NATIONAL Boite Postale 6009-45018 ORLÉANS CEDEX - Tél. (38) 63.80.01 A.S.A. DES PRODUCTEURS DE SEMENCES DE MAIS

Plus en détail

Logiciel pavages drainants mode d emploi

Logiciel pavages drainants mode d emploi Logiciel pavages drainants mode d emploi FEBESTRAL a développé, en collaboration avec le Centre de Recherches Routières (CRR), un logiciel de calcul pour pavages drainants. Ce programme vous guide lors

Plus en détail

STRICTEMENT CONFIDENTIEL

STRICTEMENT CONFIDENTIEL MOIS / ANNEE ETUDE DE VALORISATION Société «EDIVAL» STRICTEMENT CONFIDENTIEL BUREAUX 31, Rue de Brest 69002 LYON Tél : +33 (0)8 71 55 11 98 SIÈGE SOCIAL 94, Rue Saint Lazare 75009 PARIS Tél : +33 (0)1

Plus en détail

M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y

M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES

Plus en détail

RAPPORT DE TRANSPARENCE ORCOM SCC

RAPPORT DE TRANSPARENCE ORCOM SCC RAPPORT DE TRANSPARENCE ORCOM SCC INTRODUCTION Le présent rapport de transparence est rédigé et publié en application de l article R 823-21 du Code Commerce aux termes duquel «les commissaires aux comptes

Plus en détail

Le Crédit Coopératif, partenaire des entreprises et autres organisations dans leur démarche environnementale

Le Crédit Coopératif, partenaire des entreprises et autres organisations dans leur démarche environnementale Octobre 2012 Le Crédit Coopératif, partenaire des entreprises et autres organisations dans leur démarche environnementale Convaincu de l impérieuse nécessité pour les entreprises de prendre en compte les

Plus en détail

Constitution d'un réseau écologique sur la commune de Muttersholtz

Constitution d'un réseau écologique sur la commune de Muttersholtz Identité du territoire Structure porteuse de l'action : Ligue pour la Protection des Oiseau Alsace Entrée Thématique Agriculture Espèces et habitats naturels Milieu aquatiques et humides Localisation :

Plus en détail

BNPE, Banque Nationale des Prélèvements d Eau un outil fédérateur pour la connaissance des pressions quantitatives sur la ressource en eau

BNPE, Banque Nationale des Prélèvements d Eau un outil fédérateur pour la connaissance des pressions quantitatives sur la ressource en eau BNPE, Banque Nationale des Prélèvements d Eau un outil fédérateur pour la connaissance des pressions quantitatives sur la ressource en eau L. Chery 1, C. Nowak 2, A. Mauclerc 1, B. Hypolyte 3, S. Bareyre

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE

CAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE Cahier des charges pour l évolution des réseaux de surveillance des eaux souterraines en France CAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE Version complétée

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

Cartes de bruit stratégiques

Cartes de bruit stratégiques Département de la Sarthe Cartes de bruit stratégiques Grandes infrastructures de transports Réseau autoroutier COFIROUTE Résumé non technique Article R 572-5 du code de l environnement Vu pour être annexé

Plus en détail

Présenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF

Présenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF Efficacité du semis direct à contrer l érosion hydrique en milieu agricole : mise en évidence à l'aide des techniques de radioéléments, de modélisation et de mesures aux champs (MAROC-CANADA) Présenté

Plus en détail

LA TRAME VERTE ET BLEUE DU NORD-PAS DE CALAIS

LA TRAME VERTE ET BLEUE DU NORD-PAS DE CALAIS LA TRAME VERTE ET BLEUE DU NORD-PAS DE CALAIS 1 Les objectifs opérationnels de la Trame Verte et Bleue Connaître Observer Evaluer Restaurer, préserver et gérer les cœurs de nature La Trame Verte et Bleue,

Plus en détail

I partie : diagnostic et proposition de solutions

I partie : diagnostic et proposition de solutions Session 2011 BTS assistant de manager Cas Arméria: barème et corrigé Remarque: la 1 ère partie doit être cohérente avec les éléments déterminants du contexte décrit dans cet encadré, qui n est pas attendu

Plus en détail

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure : OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques

Plus en détail

SELLE Masse d'eau AR51

SELLE Masse d'eau AR51 SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution

Plus en détail

Demande d Autorisation pour l ouverture d une Installation de Stockage de Déchets Inertes (ISDI)

Demande d Autorisation pour l ouverture d une Installation de Stockage de Déchets Inertes (ISDI) Demande d Autorisation pour l ouverture d une Installation de Stockage de Déchets Inertes (ISDI) Commune d Alixan - 26 Lieu-dit «Les Garennes» Rapport n R1307502 bis Décembre 2013 Demande d Autorisation

Plus en détail

Les enjeux de la métrologie dans le domaine de l environnement 30 novembre 2010. Réseau des Pôles Eco Tech

Les enjeux de la métrologie dans le domaine de l environnement 30 novembre 2010. Réseau des Pôles Eco Tech Les enjeux de la métrologie dans le domaine de l environnement 30 novembre 2010 Table ronde 4 : animation pôle ADVANCITY, Thierry DELARBRE, Directeur Général Réseau des Pôles Eco Tech Marchés émergents

Plus en détail

Système de Gestion Informatisée des. Exploitations Agricoles Irriguées avec Contrôle de l Eau

Système de Gestion Informatisée des. Exploitations Agricoles Irriguées avec Contrôle de l Eau MINISTERE DE L AGRICULTURE DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE DIRECTION DU GENIE RURAL PROJET DE RENFORCEMENT DES CAPACITES NATIONALES DE SUIVI DES RESSOURCES EN EAU AXE SUR LA GESTION DE L EAU AGRICOLE Système

Plus en détail

Présentation : A. A. TOSSA

Présentation : A. A. TOSSA LA BANQUE DE DONNEES INTEGREE (BDI) DE LA DIRECTION GENERALE DE L HYDRAULIQUE Un Outil pour la Gestion des ressources en eau Présentation : A. A. TOSSA 1- Le Service de la Banque de Données Intégrée (SBDI)

Plus en détail

Trait de côte Histolitt v1.0 Descriptif technique Version du document 1.0 *** Sommaire

Trait de côte Histolitt v1.0 Descriptif technique Version du document 1.0 *** Sommaire Trait de côte Histolitt v1.0 Descriptif technique Version du document 1.0 *** Sommaire 1 Producteurs 2 Dénomination du produit 3 Protection militaire 4 Abréviations 5 Description générale 1. Définition

Plus en détail

LA RECONFIGURATION DES SERVICES D'EAU ET D'ASSAINISSEMENT A L'ECHELLE DES AGGLOMERATIONS G. CANNEVA R. DE LAAGE

LA RECONFIGURATION DES SERVICES D'EAU ET D'ASSAINISSEMENT A L'ECHELLE DES AGGLOMERATIONS G. CANNEVA R. DE LAAGE LA RECONFIGURATION DES SERVICES D'EAU ET D'ASSAINISSEMENT A L'ECHELLE DES AGGLOMERATIONS G. CANNEVA R. DE LAAGE CONTEXTE NATIONAL DES PRISES DE COMPETENCES INTERCOMMUNALITE ET SERVICES D'EAU La généralisation

Plus en détail

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 L eau dans les documents d urbanisme L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 Pourquoi ce guide? Participer à «décloisonner» les services «Environnement Eau» et «Urbanisme»

Plus en détail

Union des Coopératives Agricoles de l ALlier Approuvé par :

Union des Coopératives Agricoles de l ALlier Approuvé par : Manuel Qualité et HACCP Indice : I Union des Coopératives Agricoles de l ALlier Approuvé par : Jacky COURRIER Directeur de COOPACA Jean-Claude MICHEL Directeur de Val limagne.coop La force d un groupe

Plus en détail

L expertise numérique pour un aménagement durable des territoires

L expertise numérique pour un aménagement durable des territoires L expertise numérique pour un aménagement durable des territoires 2 Le numérique pour aménager les territoires de demain La démocratisation du numérique et l émergence des objets connectés, le big data

Plus en détail

UML (Paquetage) Unified Modeling Language

UML (Paquetage) Unified Modeling Language UML (Paquetage) Unified Modeling Language Sommaire Introduction Objectifs Paquetage Espace de nommage d un paquetage Dépendances entre paquetages 2 Notion introduite véritablement par UML car superficiellement

Plus en détail

PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3

PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 ECOLE SPECIALE DES TRAVAUX PUBLICS PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 AUTEUR : GABILLAT Arnaud PACAUD Fabien BUSSUTIL Clothilde TAN Vincent B3 1 IMPLANTATION DU PROJET Programme : Réalisation

Plus en détail

Elaboration d une base de données des décharges non autorisées

Elaboration d une base de données des décharges non autorisées Elaboration d une base de données des décharges non autorisées Rapport intermédiaire BRGM/RP-53747-FR mars 2005 Elaboration d une base de données des décharges non autorisées Rapport intermédiaire BRGM/RP-53747-FR

Plus en détail

Ingénierie administrative Gestion financière Gestion documentaire

Ingénierie administrative Gestion financière Gestion documentaire Ingénierie administrative Gestion financière Gestion documentaire Des solutions d externalisation performantes, du diagnostic au suivi complet de vos projets. Oralys, une filiale du Groupe Ortec. Nos équipes

Plus en détail

Projet IGGI. Infrastructure pour Grappe, Grille et Intranet. Fabrice Dupros. CASCIMODOT - Novembre 2005. Systèmes et Technologies de l Information

Projet IGGI. Infrastructure pour Grappe, Grille et Intranet. Fabrice Dupros. CASCIMODOT - Novembre 2005. Systèmes et Technologies de l Information Projet IGGI Infrastructure pour Grappe, Grille et Intranet CASCIMODOT - Novembre 2005 Fabrice Dupros CONTEXTE > Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial (EPIC) Sous la tutelle des Ministères

Plus en détail

PREAMBULE. Le réseau d Alimentation en Eau Potable (A.E.P.) de la commune de SAINT- SAUVEUR est exploité en régie communale.

PREAMBULE. Le réseau d Alimentation en Eau Potable (A.E.P.) de la commune de SAINT- SAUVEUR est exploité en régie communale. 1 PREAMBULE Le réseau d Alimentation en Eau Potable (A.E.P.) de la commune de SAINT- SAUVEUR est exploité en régie communale. Les élus souhaitent disposer d'une analyse exacte de la situation actuelle,

Plus en détail

OBSERVATOIRE DES SERVICES PUBLICS D EAU ET D ASSAINISSEMENT RAPPORT NATIONAL DES DONNEES SISPEA - SYNTHESE EDITION DE JUILLET 2015 DONNEES 2012

OBSERVATOIRE DES SERVICES PUBLICS D EAU ET D ASSAINISSEMENT RAPPORT NATIONAL DES DONNEES SISPEA - SYNTHESE EDITION DE JUILLET 2015 DONNEES 2012 OBSERVATOIRE DES SERVICES PUBLICS D EAU ET D ASSAINISSEMENT RAPPORT NATIONAL DES DONNEES SISPEA - SYNTHESE EDITION DE JUILLET 2015 DONNEES 2012 Face à la diversité du paysage des services publics d eau

Plus en détail

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre

Plus en détail

Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon

Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon Schéma Régional de Cohérence Écologique (SRCE) Réunion commission EauBiodiversité-Déchets 22 janvier 2015 DGALN - Direction de l'eau et de la Biodiversité 1 Ordre du jour

Plus en détail

Bureau de la Commission Locale de l Eau. Olivet le 25 novembre 2014

Bureau de la Commission Locale de l Eau. Olivet le 25 novembre 2014 Bureau de la Commission Locale de l Eau Olivet le 25 novembre 2014 1. Portage du contrat territorial 2. Projets 2015 / Formations 2015 3. Points divers Ordre du jour 1. Portage du contrat territorial Portage

Plus en détail

Cahier des Clauses techniquesparticulières

Cahier des Clauses techniquesparticulières ARCHES PUBLICS MAIRIE DE BASTIA Avenue Pierre Guidicelli 20410 BASTIA CEDEX MARCHE D ETUDES A MAITRISE D OUVRAGE EN VUE DE L ORIENTATION ET DU DEVELOPPEMENT DU SYTEME D INFORMATION GEOGRAPHIQUE SERVICE

Plus en détail

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports

Plus en détail

L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques. Ordre du jour

L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques. Ordre du jour L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques Ordre du jour 1. Le cadre réglementaire 2. Les exigences organisationnelles et leurs applications

Plus en détail

COLLOQUE : LES RESSOURCES EN EAU EN RÉGION KARSTIQUE

COLLOQUE : LES RESSOURCES EN EAU EN RÉGION KARSTIQUE Association Scientifique Européenne pour l Eau et la Santé Université de Rouen COLLOQUE : LES RESSOURCES EN EAU EN RÉGION KARSTIQUE ORGANISÉ A ROUEN LE JEUDI 4 et le VENDREDI 5 MAI 2OO6 par : - L'Association

Plus en détail

Sécurité Sanitaire des Aliments. Saint-Pierre, le 19 novembre 2013. Olivier BOUTOU. Les outils de la qualité sanitaire dans les pays du sud

Sécurité Sanitaire des Aliments. Saint-Pierre, le 19 novembre 2013. Olivier BOUTOU. Les outils de la qualité sanitaire dans les pays du sud Sécurité Sanitaire des Aliments Saint-Pierre, le 19 novembre 2013 Olivier BOUTOU Les outils de la qualité sanitaire dans les pays du sud Faisons connaissance Missions au sein d AFNOR Animation de formation

Plus en détail

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds

Plus en détail

Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007

Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007 Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE LA QUALITE DES PLATES-FORMES FERROVIAIRES : CAS DU RACCORDEMENT D UNE LIGNE NOUVELLE A GRANDE VITESSE SUR UNE LIGNE CLASSIQUE ANCIENNE

DIAGNOSTIC DE LA QUALITE DES PLATES-FORMES FERROVIAIRES : CAS DU RACCORDEMENT D UNE LIGNE NOUVELLE A GRANDE VITESSE SUR UNE LIGNE CLASSIQUE ANCIENNE DIAGNOSTIC DE LA QUALITE DES PLATES-FORMES FERROVIAIRES : CAS DU RACCORDEMENT D UNE LIGNE NOUVELLE A GRANDE VITESSE SUR UNE LIGNE CLASSIQUE ANCIENNE RAILWAY TRACK QUALITY ASSESSMENT: CASE STUDY OF A NEW

Plus en détail

La Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt

La Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt La Charte forestière du Pilat Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt Réalisation Jecom - RCS 493 898 043 - Avril 2011 - Imprimé sur papier issues de forêts françaises et belges gérées

Plus en détail

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations

Plus en détail

ÉTAT DES LIEUX. Les questions que vous vous posez. Gardez juste l essentiel!

ÉTAT DES LIEUX. Les questions que vous vous posez. Gardez juste l essentiel! ÉTAT DES LIEUX Les nouvelles technologies annoncent depuis 15 ans le règne du zéro papier et du gain de temps. Dans la réalité, l entreprise et l administration ont vu leur consommation de papier exploser

Plus en détail

Distribution d électricité et réseaux souterrains

Distribution d électricité et réseaux souterrains Distribution d électricité et réseaux souterrains Cabos 09-2 - 3 octobre 2009 Maceió, Alagoas, Brésil Les réseaux de distribution : un enjeu essentiel Les réseaux de distribution constituent une infrastructure

Plus en détail

UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL

UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 01/017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL Les présentes règles s inscrivent dans le cadre réglementaire national défini par les tetes

Plus en détail

EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS

EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS MARTIN S. *, DELAHAYE F. ** Bureau d études E3C 2 rue Léon Patoux CS 50001 51664 REIMS CEDEX * Mr Stéphane MARTIN, Directeur

Plus en détail

Modalités de Contrôle des Connaissances A partir de septembre 2014

Modalités de Contrôle des Connaissances A partir de septembre 2014 Master 1 semestre 1 1 2 3 4 5 6 Intitulé précis de l Communication, bases de données et projet professionnel personnel Domaine Sciences, Techniques et Santé 1 Session 1 / Contrôle continu Note plancher

Plus en détail

Les versants sous-cavés

Les versants sous-cavés RAPPORT D ÉTUDE 15/01/2014 DRS-13-135675-12706A Les versants sous-cavés Contraintes réglementaires, caractérisation détaillée de site et validation de la méthodologie d évaluation de l aléa. Les versants

Plus en détail

Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino

Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino RAPPORT TECHNIQUE Evacuation des eaux et alimentation en eau potable Dossier 10N026 Version 001 26 novembre 2010 RWB Holding SA Aménagement du territoire

Plus en détail

CAISSE D EPARGNE Pour toutes les actions débutant le 19/02/2015

CAISSE D EPARGNE Pour toutes les actions débutant le 19/02/2015 CAISSE D EPARGNE Pour toutes les actions débutant le 19/02/2015 1 2 Période de professionnalisation 3 Tutorat 4 Compte Personnel de Formation ATTENTION : CES CRITÈRES SONT SUSCEPTIBLES D'ETRE MODIFIÉS

Plus en détail

P.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE

P.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Commune du Département de l'oise P.L.U Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Document Établi le 20 septembre 2013 Le

Plus en détail

Commune de Saint-Etienne-de-Crossey (Isère) CAHIER DES PRESCRIPTIONS SPECIALES

Commune de Saint-Etienne-de-Crossey (Isère) CAHIER DES PRESCRIPTIONS SPECIALES Réalisation Assistance Maître d Ouvrage Commune de Saint-Etienne-de-Crossey (Isère) CAHIER DES PRESCRIPTIONS SPECIALES Cahier des prescriptions spéciales accompagnant le zonage des risques Date Avancement

Plus en détail

LE PROGRAMME D AUTO ASSISTANCE DE L AMBASSADE DOSSIER DE DEMANDE

LE PROGRAMME D AUTO ASSISTANCE DE L AMBASSADE DOSSIER DE DEMANDE AMBASSADE DES ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE LE PROGRAMME D AUTO ASSISTANCE DE L AMBASSADE DOSSIER DE DEMANDE UN INSTRUMENT POUR APPUYER LES INITIATIVES LOCALES PAR LES COMMUNAUTES POUR

Plus en détail

collection mise au point état initial et prévision d impact dans les documents d incidences milieu aquatique

collection mise au point état initial et prévision d impact dans les documents d incidences milieu aquatique collection mise au point milieu aquatique état initial et prévision d impact dans les documents d incidences 1 PRINCIPES DE LA DEMARCHE.. 10 1.1. CHAMP D APPLICATION.... 12 1.2. UNE DEMARCHE EN QUATRE

Plus en détail

Votre installation septique l essentiel à savoir!

Votre installation septique l essentiel à savoir! Votre installation septique l essentiel à savoir! Saviez-vous que... les eaux usées des résidences non raccordées à un réseau d égout doivent être évacuées et traitées par une instal lation septique aussi

Plus en détail

ÉDITORIAL. Chiffres Clés. 29% des emplois. 11% des établissements employeurs de la région

ÉDITORIAL. Chiffres Clés. 29% des emplois. 11% des établissements employeurs de la région ÉDITORIAL Les mutations environnementales, économiques et sociales n ont de cesse et depuis quelques années nous ressentons que cette vitesse d évolution tend à devenir exponentielle Que sera demain? Cette

Plus en détail

Formation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION

Formation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION mail: d2geo@yahoo.fr Page 1/6 PLAN DE FORMATION Formation réalisée en deux partie distinctes Durée totale de la formation 2 jours Présentation Cette première partie est enseignée en trois modules: a) Notions

Plus en détail

Le contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2

Le contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2 Le contexte global Superficie : 41 526Km 2 Population: 16,34M.(89,6% urbaine: / 10,4% rurale:) 2006 PIB/hab 2007: 35 576 USD Divisions administratives: 12 provinces et 467 communes en nombre variable Régime:

Plus en détail

Bachelors Technologiques

Bachelors Technologiques Bachelors Technologiques Mines et Carrières - Gestion et Maintenance de Parc de Matériels de Travaux Publics - QHSE Qualité Hygiène Sécurité Environnement www.2ie-edu.org Institut International d Ingénierie

Plus en détail

Etude sur l équipement des TPE / PME. en complémentaire santé

Etude sur l équipement des TPE / PME. en complémentaire santé Département Évaluation des Politiques Sociales Etude sur l équipement des TPE / PME en complémentaire santé Synthèse des résultats Léopold GILLES Pauline JAUNEAU Juillet 2012 1 Contexte et objectifs Dans

Plus en détail

Quelles pistes pour rendre vos réseaux plus intelligents?

Quelles pistes pour rendre vos réseaux plus intelligents? Quelles pistes pour rendre vos réseaux plus intelligents? Maeve de France (Direction Technique, chef de projet métier SIG) Simon Le Grand (Direction Technique régionale IDF, service SIG/gestion patrimoniale)

Plus en détail

Céline Blanc (BRGM) Avec la collaboration de P.Bodenez, A.Margueret (MEDDE, DGPR/B3S) L.Rouvreau, M.Scamps (BRGM)

Céline Blanc (BRGM) Avec la collaboration de P.Bodenez, A.Margueret (MEDDE, DGPR/B3S) L.Rouvreau, M.Scamps (BRGM) Actualités sur la mise en place de la méthodologie de réutilisation hors site des terres excavées : Bilan de la mise en place au bout d un an, mise en place de nouveaux GT, rédaction de nouveaux guides,

Plus en détail

CONSEIL I INGÉNIERIE I MANAGEMENT DE LA CONSTRUCTION I EXPLOITATION I MAINTENANCE

CONSEIL I INGÉNIERIE I MANAGEMENT DE LA CONSTRUCTION I EXPLOITATION I MAINTENANCE L Excellence en Stockage Souterrain CONSEIL I INGÉNIERIE I MANAGEMENT DE LA CONSTRUCTION I EXPLOITATION I MAINTENANCE La maîtrise du stockage souterrain Un acteur majeur Geostock est une société internationale,

Plus en détail

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la

Plus en détail

overmind La solution précède le problème 2008 Overmind - All rights reserved

overmind La solution précède le problème 2008 Overmind - All rights reserved La solution précède le problème Société Overmind vous propose des solutions d optimisation, d anticipation, de pilotage global capables de prendre en compte l interdépendance des variables en terme de

Plus en détail