Histoire de la pensée économique. Licence 3 Economie Nathalie Sigot

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1 Histoire de la pensée économique Licence 3 Economie Nathalie Sigot

2 PARTIE 1 : LES CONDITIONS DE L EMERGENCE D UNE SCIENCE ECONOMIQUE Point d arrivée : - Proche des sciences dures - Modèle de la physique mécanique comme référence - Science neutre : apolitique et ahistorique.

3 PARTIE 1 : LES CONDITIONS DE L EMERGENCE D UNE SCIENCE ECONOMIQUE Point de départ? - Affranchissement, - de la philosophie morale - et de la politique

4 PARTIE 1 : LES CONDITIONS DE L EMERGENCE D UNE SCIENCE ECONOMIQUE Etapes de l affranchissement? 1. Antiquité - Références à Aristote (Marx, 1867 ; J.M. Keynes, 1906 ; Sen).

5 PARTIE 1 : LES CONDITIONS DE L EMERGENCE D UNE SCIENCE ECONOMIQUE Etapes de l affranchissement? 1. Antiquité - Références à Aristote (Marx, 1867 ; J.M. Keynes, 1906 ; Sen). - Contexte : développement des échanges => moyens financiers nécessaires (prêt à grosse aventure) => richesse recherchée...

6 PARTIE 1 : LES CONDITIONS DE L EMERGENCE D UNE SCIENCE ECONOMIQUE Etapes de l affranchissement? 1. Antiquité - Xenophon : L Economique (390 av. JC) => Règles de la bonne gestion de la grande propriété foncière.

7 PARTIE 1 : LES CONDITIONS DE L EMERGENCE D UNE SCIENCE ECONOMIQUE Etapes de l affranchissement? 1. Antiquité 2. Scolastiques 3. Renaissance

8 PARTIE 1 : LES CONDITIONS DE L EMERGENCE D UNE SCIENCE ECONOMIQUE Chapitre 1 : Economie et morale Chapitre 2 : Economie et politique Chapitre 3 : La société marchande d A. Smith

9 Section 1 : Les premières réflexions économiques Contexte? Aristote, Les politiques et L éthique à Nicomaque

10 Discussion sur la communauté des biens: Platon => une société de 5040 habitants Répartition égalitaire des richesses Objectif de Platon : Limiter le désir de richesse Aristote => critique

11 Discussion sur la communauté des biens: Platon => une société de 5040 habitants Répartition égalitaire des richesses Objectif de Platon : Limiter le désir de richesse Aristote => critiques

12 «On prend fort peu de soin de ce qui est commun à un très grand nombre ; les individus en effet s occupent principalement de ce qui leur est propre et moins de ce qui est commun, ou seulement dans la mesure où chacun est concerné» (Aristote, Les politiques, chap. III).

13 «ceux qui possèdent des biens en commun et en partagent la jouissance [...] ont beaucoup plus de différents que ceux qui ont un patrimoine propre» (Aristote, Les politiques, chap. V).

14 «Il est très agréable de combler et de secourir ses amis, ses hôtes, ses compagnons ; or cela ne peut être que si l on possède un patrimoine en propre» (Aristote, Les politiques, chap. V).

15 Points communs entre Aristote et Platon: - Condamnation de la recherche du gain en soi - Question de la justice, de la vertu des comportements => Economie subordonnée à la morale.

16 Objectif : recherche de l harmonie sociale - Harmonie sociale bonheur - Condition du bonheur = satisfaction des besoins physiques Grace à un travail, pénible esclavage

17 - Acceptation de l économie marchande limitée: Le gain commercial est condamné Bonne chrématistique Mauvaise chrématistique

18 Bonne chrématistique Mauvaise chrématistique Art naturel d acquérir la richesse Art d acquérir le richesse de manière non naturelle (immorale)

19 «la monnaie a été inventée en vue de l échange» (La politique) «Quoi de plus odieux, surtout, que le trafic de l argent, qui consiste à donner pour avoir plus, et par là détourne la monnaie de sa destination primitive?» (ibid., pp ).

20 Mauvaise chrématistique naturel d acquérir la richesse Art d acquérir le richesse de manière non naturelle (immorale) Commerce extérieur Prêt à intérêt Travail salarié

21 Economie : administration familiale Production des biens nécessaires Acquisition des biens nécessaires Esclavage Chrématistique Chasse, pêche, guerre Bonne chrématistique Mauvaise chrématistique Echange Monnaie

22 Section 2 : Première évolution : les scolastiques Saint Thomas d Aquin, Somme théologique ( ) Contexte? Moyen-Age => restauration du pouvoir royal

23

24 Section 2 : Première évolution : les scolastiques Saint Thomas d Aquin, Somme théologique Contexte? Moyen-Age => restauration du pouvoir royal Accroissement de la production agricole Développement des villes Emancipation de l Etat vis-à-vis de l Eglise

25 «Notre intention est donc, dans cet ouvrage, d exposer ce qui concerne la religion chrétienne de la façon la plus convenable à la formation des débutants [...] nous tenterons, confiants dans le pouvoir divin, de présenter la doctrine sacrée brièvement et clairement, autant que la matière le permettra.» (Thomas d'aquin, Somme Théologique, Prologue)

26 1. «Est-il permis de vendre une chose plus cher qu'elle ne vaut? - 2. La vente injuste en ce qui concerne la marchandise Le vendeur est-il tenu de dire les défauts de sa marchandise? - 4. Est-il permis, dans le commerce, de vendre une marchandise plus chère qu'on ne l'a achetée?» (Thomas d'aquin, Somme Théologique, Question 77)

27 1. «Est-il permis de vendre une chose plus cher qu'elle ne vaut? - 2. La vente injuste en ce qui concerne la marchandise Le vendeur est-il tenu de dire les défauts de sa marchandise? - 4. Est-il permis, dans le commerce, de vendre une marchandise plus chère qu'on ne l'a achetée?» (Thomas d'aquin, Somme Théologique, Question 77)

28 4. Est-il permis, dans le commerce, de vendre une marchandise plus chère qu'on ne l'a achetée?» Oui si : - Le gain est limité - L intention du vendeur est louable

29 Le commerce «favorise la cupidité, laquelle n'a pas de bornes et tend à acquérir sans fin. Voilà pourquoi le négoce, envisagé en lui-même, a quelque chose de honteux, car il ne se rapporte pas, de soi, à une fin honnête et nécessaire.»

30 «Cependant si le gain, qui est la fin du commerce, n'implique de soi aucun élément honnête ou nécessaire, il n'implique pas non plus quelque chose de mauvais ou de contraire à la vertu. Rien n'empêche donc de l'ordonner à une fin nécessaire, ou même honnête. Dès lors le négoce deviendra licite.»

31 «C'est ce qui a lieu quand un homme se propose d'employer le gain modéré qu'il demande au négoce, à soutenir sa famille ou à secourir les indigents, ou encore quand il s'adonne au négoce pour l'utilité sociale, afin que sa patrie ne manque pas du nécessaire, et quand il recherche le gain, non comme une fin mais comme salaire de son effort.»

32 «C'est ce qui a lieu quand un homme se propose d'employer le gain modéré qu'il demande au négoce, à soutenir sa famille ou à secourir les indigents, ou encore quand il s'adonne au négoce pour l'utilité sociale, afin que sa patrie ne manque pas du nécessaire, et quand il recherche le gain, non comme une fin mais comme salaire de son effort.»

33 «C'est ce qui a lieu quand un homme se propose d'employer le gain modéré qu'il demande au négoce, à soutenir sa famille ou à secourir les indigents, ou encore quand il s'adonne au négoce pour l'utilité sociale, afin que sa patrie ne manque pas du nécessaire, et quand il recherche le gain, non comme une fin mais comme salaire de son effort.»

34 «C'est ce qui a lieu quand un homme se propose d'employer le gain modéré qu'il demande au négoce, à soutenir sa famille ou à secourir les indigents, ou encore quand il s'adonne au négoce pour l'utilité sociale, afin que sa patrie ne manque pas du nécessaire, et quand il recherche le gain, non comme une fin mais comme salaire de son effort.»

35 Même inflexion par rapport au paiement d un taux d intérêt : - Condamnation du prêt à intérêt - Mais :

36 «Le débiteur qui retient l'argent de son créancier au-delà du terme fixé lui fait tort de tout ce qu'il aurait pu gagner avec cet argent» (Question 62, «De la restitution»).

37 «Celui qui consent un prêt peut, sans péché, stipuler à titre obligatoire pour l'emprunteur une indemnité pour la perte que lui ôterait quelque chose de ce qui lui revient. Ceci n'est pas vendre l'usage de l'argent, c'est se garantir d'une perte.» (Question 78, «Du péché d'usure»).

38 Coût d opportunité? «Quant à une indemnité pour le dommage résultant de ce qu'il ne tire pas profit de son argent, le prêteur ne peut en imposer l'obligation, parce qu'il ne doit pas vendre ce qu'il ne possède pas encore et qu'il peut en mille manières être empêché de posséder» (Question 78, «Du péché d'usure»).

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