Risques liés à l eau : exemples nationaux
|
|
- Eric Lachapelle
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Risques liés à l eau : exemples nationaux Dr Bruno Coignard Unité Infections associées aux soins et résistance aux antibiotiques Département Maladies Infectieuses, Institut de veille sanitaire, Saint-Maurice 9èmes Journées de prévention des IAS Le Lamentin, Guadeloupe, 10 décembre 2010 L eau dans les établissements de santé Eau : élément essentiel au bon fonctionnement des établissements de santé Peut constituer une source d infections graves en cas de contamination En particulier pour les patients les plus fragiles Risques à connaître pour mieux les gérer 1
2 Risques liés à l eau : exemples nationaux Légionelloses Données de surveillance (MDO, signalements IN) Une épidémie hospitalière Infections à Pseudomonas spp. Une épidémie hospitalière Une épidémie communautaire Infections à mycobactéries atypiques Epidémies récentes, en particulier en médecine de ville Risques liés à l eau : exemples nationaux Légionelloses 2
3 Legionella Bactérie d origine hydrotellurique 64 espèces et sérogroupes (19 chez l'homme) Eaux naturelles : lacs, rivières, sols humides, Eaux artificielles +++ eaux chaudes (froides) sanitaires eaux systèmes de refroidissement des TAR conditions favorables : biofilm, température inférieure à 50 C, débit faible voire stagnation, amibes Légionellose Absence de tableau clinique spécifique Pneumopathie : 0,5 à 5% des pneumopathies communautaires de l adulte Incubation : 2 à 10 jours Létalité : 10 à 20% Agent responsable Legionella Confirmation biologique nécessaire Tan MJ et al. Chest 2000, 116:
4 Légionellose : définition (origine, cas groupés) Cas associé au soins (nosocomial) Certain : hospitalisation durant la totalité des 10 jours avant la date de début des signes cliniques Probable : hospitalisation pendant une partie des 10 jours avant la date de début des signes cliniques Cas groupés (cluster) : au moins 2 cas, survenus dans un intervalle de temps et d'espace géographique, susceptible d'impliquer une source commune de contamination Epidémie (outbreak) : cas groupés de 10 cas et plus Légionellose : mode de contamination Inhalation aérosols avec micro-gouttelettes d eau, diamètre<5µm Micro-aspiration discutée «Fausse route» eau de boisson (personnes âgées) opérés de la sphère ORL Contamination par ingestion: aucun argument en faveur Pas de transmission de personne à personne 4
5 Légionellose : systèmes de surveillance en France Notification et signalement obligatoire des légionelloses (ARS, ARS-DT / InVS St Maurice ) Signalement des infections nosocomiales (ARS, ARS-DT / InVS St Maurice ) Notification du Centre national de référence (CNRL - Lyon) Notification du réseau européen (ELDSNet* ECDC Stockholm) * EWGLI transféré le 1 er avril 2010 à l ECDC Organisation de la surveillance des légionelloses en France EOH CLIN CCLIN Médecins Laboratoires Cire ARS / ARS-DT InVS ELDSNet CNR Déclaration obligatoire Signalement des infections nosocomiales Centre National de Référence Surveillance Européenne (légionellose liée aux voyages) Soutien à l investigation des cas groupés 5
6 Nombre de cas Evolution du nombre de cas et de l incidence de la légionellose en France, N cas Taux d'incidence En 2009, 96% des diagnostics par Ag urinaire (culture : 18%, sérologie : 2%) 2009 = cas incidence 1,9 / décès ; létalité =11% 3 2 Taux d'incidence pour Expositions à risque parmi les cas de légionellose, France, 2009 Expositions N % Hôpital 98 8 Thermalisme 7 <1 Maison de retraite 60 5 Voyage Autre exposition* 69 5 Total * Pas de cas groupés > 10 cas 6
7 Cas groupés de légionellose en France et source probable Paris cas TAR identifiée Rennes cas TAR identifiée Meaux cas TAR hôpital identifiée Sarlat cas TAR hôpital identifiée Poitiers cas TAR identifiée Montpellier cas TAR source probable Lens cas TAR identifiée Soulac cas Réseau de distribution d eau identifiée Lyon Nord cas TAR? source probable Paris Austerlitz cas TAR identifiée Lorquin cas SPA source probable Nice cas TAR? source probable Courrières cas Bioréacteur suspecté Croisement des SIN avec les données MDO, SIN Date du 1 er cas Nom de l établissement DO Date des 1 er signe cliniques Nom de l établissement Durée d hospitalisation Rattachement d un SIN à une ou plusieurs DO Evaluation de l exhaustivité de la DO Evaluation de l exhaustivité du SIN Proportion des cas nosocomiaux certains et probables à partir de l ensemble des données 7
8 Croisement des SIN avec les données MDO, établissements 78 % publics, 13 % privés, 9 % privés à but non lucratif SIN moyen par établissement : 1.61 [1-6] 398 SIN entre 2002 et 2009 (5 % des SIN reçus au total) 386 SIN analysés Environ 48 signalements par an [37-58] 469 cas d infection [1-35] Variation du nombre de SIN selon les interrégions 36 % Sud-Est 33 % Nord 12 % Est 12% Ouest 7 % Sud-Ouest SIN légionellose (N=386) et SIN totaux (N=7 733) par an, France, SIN Legio SIN Totaux
9 Caractère nosocomial et origine de l infection A partir du SIN Caractère nosocomial 41 % nosocomial certain 50 % nosocomial probable 9 % non renseigné Origine de l infection 60 % acquise 10 % importée 30 % non renseignée Après croisement des données de la DO Caractère nosocomial 50 % nosocomial certain 50 % nosocomial probable Origine de l infection 89 % acquise 9 % importée 2 % non renseignée Cas groupés de légionelloses nosocomiales A partir du SIN 386 SIN 285 renseignés dont 12 % de cas groupés 30 Effectif Après croisement des données de la DO 386 SIN 37 % de cas groupés Nombre de cas groupés en diminution Année Cas groupés de légionelloses nosocomiales, (N= 143) 9
10 Actions mises en place par les établissements (pour 342 signalements de cas acquis) Investigations réalisées ou en cours au moment du signalement : 99% (317 réponses renseignées) Mesures immédiate : 90 % (312 réponses renseignées) Mesures à long terme : 65 % (194 réponses renseignées) Besoin d expertise extérieure : 17% (311 réponses renseignées) Quelques épidémies hospitalières (TAR) 10
11 Cas groupés à l HEGP, CRISE Cas groupés à l HEGP, : synthèse 9 cas : 5 M - 4 F Age moyen : 59 ± 10 ans (extrêmes: ans) Diagnostic fait à l HEGP: 7 cas fait à l extérieur: 2 cas Origine des cas 6 cas: nosocomial HEGP certain (chirurgie cardiaque: 5; Néphrologie: 1) 3 cas: nosocomial HEGP probable (chirurgie cardiaque : 2; chirurgie thoracique : 1) Source : G. Kac et al
12 HEGP, : tableau synoptique oct 1-15 nov nov 1-15 déc déc 1-15 jan jan fév fév cas 1 cas 2 cas 3 cas 4 cas 5 cas 6 cas 7 cas 8 cas 9 4CD? D S 7B D CD S D S 3CD D S D 3CD S S D 3 CD CD S D 3 CD D 3 CD S? Source : G. Kac et al HEGP, : origine de la contamination Eau chaude sanitaire (douches) Arguments épidémiologiques douches : 8 cas (dont 6 douches pré-opératoires) indéterminée : 1 cas (pas de douche-séjour en réa) Arguments microbiologiques intensité de contamination 48 % de points d usage positifs à L. pneumophila 1 35% de points > à 1000 UFC/l Source : G. Kac et al
13 HEGP, : hypothèse contamination ECS T insuffisante de production (< 60 C) Sous-dimensionnement de l installation Absence d équilibrage Stagnation de l eau Bras morts Zones défavorisées dans la boucle basse (3è CD) ++ Source : G. Kac et al HEGP, : typage moléculaire des souches (CNR Lyon) Souche Paris Souches environnement HEGP = souche Paris Souches cliniques 6 malades HEGP Souches environnement HEGP = souche Paris Source : G. Kac et al Souches Mondial 98 Souches Montparnasse 99 13
14 Patients HEGP, : mesures de contrôle immédiates Suppression des douches (sauf pré-opératoire) Installation de douches «sécurisées» Limitation des admissions Arrêt des transplantations Antibioprophylaxie de la légionellose (ID) Recherche de cas additionnels (Ag U systématique pour toute pneumonie nosocomiale) Techniques Choc thermique En théorie 3 jours En pratique séquentiel : 21 jours, 22 ETP Chloration continue Purges quotidiennes Source : G. Kac et al HEGP, : autres mesures Arrêt de la TAR immeuble France Television (50m) contaminée à L. pneumophila sérogroupe 1 souche Paris similaire aux souches cliniques A l HEGP augmentation puissance échangeurs équilibrage du réseau ajout 3è production dépose anti-béliers filtres (07/2001) : un cas de légionellose additionnelle Source : G. Kac et al
15 Risques liés à l eau : exemples nationaux Infections à Pseudomonas spp. Signalements d IN à P. aeruginosa Analyse de 332 signalements reçus d août 2001 à juin (21%) correspondaient à des cas groupés Contamination environnementale parfois rapportée Investigation complexe pratiques prélèvements environnementaux typage des souches 15
16 Une épidémie hospitalière, 2005 (1) 8 infections sur cathéter à Pseudomonas en 3 mois P. aeruginosa (n=5), P. putida (n=3) Souches sensibles ceftazidime, imipénème, amikacine, ciprofloxacine 2 services concernés oncologie pédiatrique réanimation néonatale Investigation recensement des cas audit des pratiques prélèvements environnementaux caractérisation des souches Une épidémie hospitalière, 2005 (2) Résultats : épidémie d origine hydrique en oncologie pédiatrique P. aeruginosa dans l eau des douches de 3 chambres plusieurs profils de souches : certains identiques à ceux des cas cliniques perte d étanchéité des pansements occlusifs de KT dont la taille avait été diminuée P. putida dans l eau d un pulvérisateur, rincé à l eau non stérile souche identique à celle d un des cas contamination par le pulvérisateur utilisé pour décontaminer les flacons de perfusion en réanimation néonatale Pseudomonas dans poche de nutrition parentérale et bain préparé avec une eau non filtrée, non stérile souches de profil identique à celles des cas contamination par le bain utilisé pour décontaminer les poches et flacons de perfusion 16
17 Une épidémie hospitalière, 2005 (3) Mesures de contrôle réseau d eau chloration, pose de filtres arrêt d utilisation des points d eau non filtrés mise en place d une boucle de production d eau maîtrisée en onco-pédiatrie avec filtres terminaux expertise du réseau pour comprendre l origine de la contamination distale pratiques arrêt de la préparation dans le service des poches de nutrition parentérale modification des pratiques pour la préparation des flacons de perfusion arrêt de l utilisation des pulvérisateurs en onco-pédiatrie audit des pratiques à distance par le CClin renforcement de l usage des PHA Une épidémie communautaire en Corse, cas de folliculites à P. aeruginosa du 7 au 16 novembre 2004 parmi les clients d un hôtel corse Origine = fréquentation du Spa par une personne atteinte de folliculite, forte fréquentation et entretien insuffisant eau du réseau conforme eau de la piscine et du spa dégradée Etude de cohorte rétrospective (59 clients) : association très significative entre durée de fréquentation du Spa et folliculite Peut concerner aussi des SSR! 17
18 Risques liés à l eau : exemples nationaux Infections à mycobactéries atypiques Mycobactéries atypiques (MA) ou non tuberculeuses Bactéries environnementales (sols, poussières, eau, ) Multiplicité des espèces : chelonae, abcessus, xenopi, fortuitum, marinum Infections sur un terrain d immunodépression locale ou générale (pulmonaires, ganglionnaires, cutanées, ostéoarticulaires, rarement disséminées ) Infections liées aux soins à visée thérapeutique : chirurgicaux ou non à visée esthétique : chirurgicaux ou non 18
19 Epidémie de la Clinique du Sport Exposition des patients entre janvier 1988 et mai 1993 chirurgie du rachis Mauvaises procédures d entretien du matériel chirurgical (rinçage du nucléotome à l eau du réseau) 58 cas diagnostiqués entre 1993 et 1998 dépistage de tous les patients exposés (> 3300) en 1997 Autres cas d infections à mycobactéries atypiques Investigations de 13 signalements d infection nosocomiale de 2001 à 2010 (A. Carbonne et al, CClin Paris-Nord, SFHH 2010) rapports d investigation CClin (PN, SE) et Ddass données du CNR Différents types de procédures thérapeutiques chirurgicales (n=5) thérapeutiques non chirurgicales (n=3) esthétiques chirurgicales (n=2) esthétiques non chirurgicales (n=3) 19
20 Procédures thérapeutiques chirurgicales (n=5) Date Cas Bactérie Localisation Soins associés Hypothèse Jan M. xenopi Genou Arthroscopie Clinique du sport (suites) Information des patients (arthroscopies entre 88 et 93) par l ES : > 4000 patients, pas d autre cas Avr M. wolinskyi Hanche Prothèse? Origine indéterminée Investigation : traçabilité de la stérilisation (RAS), recherche d autres cas similaires (0) Mai M. fortuitum Oreille Implant cochléaire? Août M. fortuitum Bactériémie (7 HC +) Prothèse ilio-fémorale? Origine indéterminée Investigation : envoi au CNR, audit des pratiques, recherche de contacts hydriques dans le mode de vie du patient. Contamination à la piscine? Origine indéterminée Contamination exogène à la piscine (kiné)? Instruments ou solutions contaminées? Fev M. xenopi Genou Arthroscopie? Origine indéterminée Interventions du genou en 1991 et 1998 dans 2 ES différents? Source : A. Carbonne et al. SFHH 2010 Procédures thérapeutiques non chirurgicales (n=3) Date Cas Bactérie Localisation Soins associés Hypothèse Sep M. chelonae Bactériémie KTC? Origine indéterminée Patient leucémique, source inconnue (hospitalisation, soins à domicile?) Dec M. chelonae Cutanée (abcès main, pied, spondylodiscite?) Bains antiseptiques pour eczéma? Origine indéterminée Patient hémodialysé, corticothérapie percutanée étendue (eczéma diffus). Investigations : pratiques (bains antiseptiques : dilution de la bétadine avec l eau du réseau et en concentration insuffisante), CNR (prélèvements eau de dialyse (+ dans 1ES) et du robinet de 2 autres ES en dermato et SSR(+); souches différentes) Aou M. chelonae Cutanée Hémodialyse? Origine indéterminée Patient hémodialysé. Infection communautaire? Investigation : prélèvements eau du robinet et circuit de dialyse (+ mais souche différente) Souche patient différente du cas précédent Source : A. Carbonne et al. SFHH
21 Procédures esthétiques chirurgicales (n=2) Date Cas Bactérie Localisation Soins associés Hypothèse Dec M. fortuitum Cutanée Lifting facial? Origine indéterminée Investigation : envoi au CNR, prélèvements d eau bloc opératoire et salle d hospitalisation (-), audit des pratiques : préparation cutanée insuffisante, maquillage préalable, contamination post-op? Avr M. fortuitum Sein Prothèse? Origine indéterminée Contamination exogène de la cicatrice (retard de cicatrisation) lors des douches à domicile ou lors des soins de toilette à l'hôpital? Investigation : envoi au CNR, revue des pratiques de soins postchirurgicaux, prélèvements d eau (?) Source : A. Carbonne et al. SFHH 2010 Procédures esthétiques non chirurgicales (n=3) Date Cas Bactérie Localisation Soins associés Hypothèse Jan C 5 P M. chelonae M. frederiksbergense Abcès Mésothérapie Nettoyage du pistolet injecteur à l eau du robinet Investigation : envoi au CNR, prélèvements de l eau du robinet (+), du pistolet (-), de solutions et crèmes cutanées (-), enquête sur 111 patients, audit des pratiques Source : A. Carbonne et al. SFHH
22 Procédures esthétiques non chirurgicales (n=3) Date Cas Bactérie Localisation Soins associés Hypothèse Mar C 5 P M. chelonae Abcès Mésothérapie Rinçage à l eau du robinet de la pissette d alcool utilisée pour l antisepsie cutanée Investigation : envoi au CNR, audit des pratiques, prélèvements de l eau (+), souches différentes eau et les 2 cas, courriers d information aux patients (104) Source : A. Carbonne et al. SFHH 2010 Procédures esthétiques non chirurgicales (n=3) Date Cas Bactérie Localisation Soins associés Hypothèse Sep C 7 P M. chelonae Abcès Carboxythérapie Fragilité cutanée due à des soins Aquatiques ; défaut de précaution standard ; ombre élevé d injections Investigation : envoi au CNR, audit des pratiques CCLIN SE, prélèvements eau du réseau (+ 1 million de MA /L mais souches différentes), recherche d épisodes Antérieurs. Mesures : arrêt de l activité, fermeture du centre Source : A. Carbonne et al. SFHH
23 Conclusion Risques liés à l eau multiples et généralement bien maîtrisés par la plupart des établissements de santé Des épidémies peuvent toujours survenir vigilance constante nécessaire investigations complexes, faisant intervenir plusieurs corps de métier (EOH, centre de référence, ingénieur spécialiste des réseaux d eau, ) En dehors du risque «Légionellose», le plus évident et probablement le mieux contrôlé, penser aux autres risques Pseudomonas et apparentés mycobactéries atypiques à tous les types de «soins», y compris hors de l hôpital tubulures, douches, balnéothérapie, maisons de retraite, médecine de ville en particulier pour les patients les plus fragiles Remerciements Aux organisateurs de cette journée! Institut de veille sanitaire Jean-Michel Thiolet, Isabelle Poujol, Sophie Alleaume (DMI/NOA) Christine Campèse, Didier Che (DMI/TILE) CClin Paris-Nord Anne Carbonne HEGP Guillaume Kac Site web InVS : (dossiers thématiques) Site web ECDC : 23
Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailOuverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement
Plus en détailRecommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation
Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation
Plus en détailProgramme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012
Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National
Plus en détailAUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON
AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction «Prévention des risques liés à l environnement et à l alimentation» Bureau «Qualité des
Plus en détailEVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD
EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections
Plus en détailGestion du risque lié aux légionelles
CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE Section des eaux Section des milieux de vie Section des maladies transmissibles Gestion du risque lié aux légionelles Novembre 2001 Gestion du risque lié
Plus en détailGESTION DU RISQUE INFECTIEUX D ORIGINE ALIMENTAIRE DANS LES UNITES DE SOINS
GESTION DU RISQUE INFECTIEUX D ORIGINE ALIMENTAIRE DANS LES UNITES DE SOINS C. DECADE -Dr L. MARTY -D. DEMONTROND Dr C.MANUEL - Dr R.CABRIT - Dr G.MANN Centre Médical de Forcilles 77150 FEROLLES-ATTILLY
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailInfections nosocomiales
Infections nosocomiales NOUVELLES RECOMMANDATIONS 2001-2002 NORD-AMÉRICAINES CONCERNANT LA PRÉVENTION DES INFECTIONS SUR CATHÉTER Aux États-Unis, environ 145 millions de cathéters périphériques et 5 millions
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailSurveillance des toxi-infections alimentaires collectives
Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2012 En 2012, 1 288 foyers de toxi-infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés en France,
Plus en détailMise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire
Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailSurveillance épidémiologique : application à la détection et la prédiction des épidémies
Surveillance épidémiologique : application à la détection et la prédiction des épidémies Philippe Vanhems Service Hygiène Hospitalière, Epidémiologie et Prévention Pôle Santé, Recherche, Risques et Vigilances
Plus en détailPRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE
PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium
Plus en détaildes réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires w w w. s o g o b a. c o m
Equilibrage & Maintenance des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires G R K N E T E v o l u t i o n La solution
Plus en détailPrésentation générale du Programme
Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme
Plus en détailSYSTEM O. Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire
SYSTEM O Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire CONCEPTION, CHOIX DES MATÉRIAUX ET MAINTENANCE : La sécurité des réseaux passe par une bonne conception,
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailBILLON, C. BURNAT, S.DELLION C. FORTAT, M. PALOMINO O. PATEY
Gestion d une épidémie de Klebsiella pneumoniae (Kpn) productrice de carbapénèmase OXA 48 dans un service de Maladies nfectieuses et Tropicales francilien. C. BLLON, C. BURNAT, S.DELLON C. FORTAT, M. PALOMNO
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailLa stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand
La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand 1 Quelles questions se poser? 1. La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle efficace? 2. Combien coûtent les colonisations/infections
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailSurveillance des toxi infections alimentaires collectives
Nombre de foyers Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2011 En 2011, 1 153 foyers de toxi infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés
Plus en détailL alimentation. du patient. paration et de service? Emilie GARDES - Xavier VERDEIL - Nicole MARTY CHU de Toulouse
L alimentation du patient greffé de moelle osseuse Quelle nourriture? Quel contenant? Quel environnement de préparation paration et de service? Emilie GARDES - Xavier VERDEIL - Nicole MARTY CHU de Toulouse
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailRECOMMANDATIONS POUR LA PREVENTION DES INFECTIONS A LEGIONELLA DANS LES ETABLISSEMENTS DE SOINS. Groupe de travail Legionella.
RECOMMANDATIONS POUR LA PREVENTION DES INFECTIONS A LEGIONELLA DANS LES ETABLISSEMENTS DE SOINS Groupe de travail Legionella N o CSH: 7509 Edition janvier 2002 Editeur responsable G. De Backer, président
Plus en détailLa réglementation quelques incontournables
Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailStratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA
Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailL entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?
L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.
Plus en détailCentre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37
Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)
Plus en détailGUIDE TECHNIQUE. Maîtrise du risque de développement des légionelles dans les réseaux d eau chaude sanitaire. Maîtrise du risque de développement
Maîtrise du risque de développement des légionelles dans les réseaux d eau chaude sanitaire Ce document vise à apporter au chef d établissement ou au responsable gestionnaire, une meilleure lisibilité
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailHygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD. Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage. Jeudi 28 mai 2009
Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage Jeudi 28 mai 2009 Alain LEFEBVRE - Cadre supérieur de santé Hygiéniste 1 Le bio nettoyage
Plus en détailSYSTEM O. Contrôler la température sur l ensemble de votre réseau...
SYSTEM O Contrôler la température sur l ensemble de votre réseau... Contexte réglementaire La prévention des risques sanitaires est une priorité pour les maitres d ouvrage en particulier dans les Etablissements
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailHygiène de l eau potable avec Geberit Toujours en mouvement.
Hygiène de l eau potable avec Geberit Toujours en mouvement. Pour un système d'eau potable fiable SIMPLEMENT BIEN APPROVISIONNÉ Un risque méconnu. Les légionnelles. Lorsqu'il s'agit des dangers de la douche,
Plus en détailARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailPrésentation des intervenants et modérateurs
«NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur
Plus en détailSecteur Protégé d Hématologie
INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de
Plus en détailVous allez être opéré du coeur
LIVRET D ACCUEIL Coordonnateur de Département Pr. Bernard ALBAT Chirurgie cardiaque et vasculaire Vous allez être opéré du coeur Pôle Coeur-Poumons CŒUR POUMONS Hôpital Arnaud de Villeneuve 2 ème étage
Plus en détailLA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?
LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la sante et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la sante et des droits des femmes Direction générale de l offre de soins Personne chargée du dossier : Valérie Salomon mél. : valerie.salomon@sante.gouv.fr Sous-direction
Plus en détailCARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU
CARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU (Indiquer le nom de l installation) Directions Régionale et Départementales des Affaires Sanitaires et Sociales du Nord-Pas-de-Calais Ministère de l emploi,
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailPrévalence du portage digestif des entérocoques résistants aux glycopeptides (ERG) dans les établissements de santé de la région Lorraine, juin 2007
Maladies infectieuses Prévalence du portage digestif des entérocoques résistants aux glycopeptides (ERG) dans les établissements de santé de la région Lorraine, juin 2007 MINISTÈRE DE LA SANTÉ, DE LA JEUNESSE,
Plus en détailPrépration cutanée de l opéré
Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de
Plus en détailDTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau olivier.correc@cstb.fr Nouveaux Documents Techniques Unifiés DTU 60.1 Plomberie sanitaire pour
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailva être opéré d un hypospadias
Votre enfant va être opéré d un hypospadias Introduction Le chirurgien urologue pédiatrique vous a confirmé le diagnostic d hypospadias et expliqué les avantages ainsi que les risques et complications
Plus en détailLa campagne québécoise des soins sécuritaires volet prévention et contrôle des infections
La campagne québécoise des soins sécuritaires volet prévention et contrôle des infections Annie Laberge, CSSS Drummond et INSPQ Lise-Andrée Galarneau, CSSSTR présidente du CINQ Congrès annuel de l OIIQ,
Plus en détailGESTION DES RISQUES EN MILIEU HOSPITALIER : LE POINT DE VUE DE L HYGIÉNISTE Bizerte, le 3 décembre 2005 Prof. Njah Mansour Service d hygiène hospitalière CHU F. Hached Sousse. Plan Introduction Définitions
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailQue savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE?
Que savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE? VOUS ALLEZ ETRE OPERE(E) A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE D UNE CURE DE HERNIE DE LA LIGNE
Plus en détailC. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.
Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM
Plus en détailÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance
ÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance Définition Un accident corporel (mortel ou non mortel) de
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailPREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE. Marcelle Haddad
PREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE Marcelle Haddad PLUSIEURS CATEGORIES DE CHIRURGIE 1-Perte d un d organe ou d une fonction Ex: cholecystectomie,appenticectomie 2-Ablation d une tumeur,, d un d
Plus en détailDE QUALITE GESTION DES RISQUES DEVELOPPEMENT DURABLE
PROJET DE QUALITE / GESTION DES RISQUES / DEVELOPPEMENT DURABLE
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailCoordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme
Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances
Plus en détailSUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES
SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES
Plus en détailSoins infirmiers et gestion des risques
Soins infirmiers et gestion des risques I. Principe de précaution Hippocrate disait «soulager le malade et ne pas lui nuire» Cet adage «primun non cere» est le principe de la base de la médecine II. La
Plus en détailNiveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007
Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes
Plus en détailCOMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE
COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE
Plus en détailLA PROTHESE TOTALE DE GENOU
LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette
Plus en détailEnseignements d exploration de seconde. Sciences de l Ingénieur. Création et Innovation Technologiques
Enseignements d exploration de seconde Sciences de l Ingénieur Création et Innovation Technologiques SI et CIT enseignements complémentaires pour un développement durable CIT Comprendre comment évoluent
Plus en détailRecommandations pour la chirurgie de la CATARACTE en ambulatoire
Recommandations pour la chirurgie de la CATARACTE en ambulatoire AVANT L INTERVENTION : 1) Un rendez-vous en consultation d anesthésie au moins 8 jours avant l intervention vous a été donné. Venez ce jour-là
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction de la recherche, des études, de l évaluation et des statistiques _ Sous-direction observation de la santé et de l assurance maladie _ Bureau établissements
Plus en détailDocteur José LABARERE
UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 6 : Risque iatrogène Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Emergence
Plus en détailDe ces considérations résulte l importance de la gestion du risque infectieux dans les EHPAD du fait de la grande fragilité des résidents.
INTRODUCTION Il y aurait en France environ 650 000 résidents hébergés, répartis dans une dizaine de milliers d EHPAD. Environ 40% des résidents ont au moins 85 ans avec une majorité de femmes (70%) [résultats
Plus en détailMéthode et exemples d application. Congrès SFSE - Jeudi 15 décembre 2011
Exploitation des données de remboursement de médicaments de la Cnam-TS pour l'investigation rétrospective d'épidémie de Gastro-Enterites Aigues d origine hydrique Méthode et exemples d application Congrès
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détaileduscol Santé et social Enseignement d'exploration
eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailLa principale cause du développement
LES AUTRES thèmes LA MAÎTRISE DU RISQUE LEGIONELLES Gestion de la problématique Legionella dans les réseaux d eau chaude sanitaire : conception, maintenance et surveillance biologique Jacques Naitychia,
Plus en détailRésultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014
Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2014, dans le cadre du monitoring actif, 3.036 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailDASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006
DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006 Place des Nouveaux Tests de Dosage de L INTERFERON GAMMA dans le diagnostic de la Tuberculose Fadi ANTOUN, Cellule Tuberculose DASES Le Quotidien du Médecin 2005
Plus en détail