Le contrôle des prix de transfert en Chine : une réalité plus que tangible

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Le contrôle des prix de transfert en Chine : une réalité plus que tangible"

Transcription

1 Alors qu en France, les premières lois sur les prix de transfert datent de 1933, l encadrement légal des prix de transfert en Chine est tout récent. Le principe de pleine concurrence a été introduit pour la première fois dans une loi fiscale publiée en 1991 «Income Tax law for Enterprises with Foreign Investment and Foreign Enterprises». Après la publication de quelques règlements, ce n est qu en 2007, que la Chine, par le biais d une nouvelle loi fiscale, a renouvelé son intention de contrôler les prix de transfert pratiqués par des sociétés appartenant à un même groupe. Il s agissait toujours d un dispositif sans efficacité réelle et finalement la multiplication des flux transfrontaliers depuis ou vers son territoire ces dernières années a incité la Chine continentale à prendre des mesures de contrôle strictes en la matière. L Administration fiscale a, finalement, publié la nouvelle circulaire fiscale «Guoshuifa» No.2 le 9 janvier dernier. Attention, celle-ci a un caractère rétroactif sa date d entrée en vigueur étant le 1er janvier 2008! Cette réforme marque une volonté claire et affichée des autorités fiscales chinoises d assurer un contrôle plus efficace que ceux qui avaient pu avoir lieu auparavant. Ces réglementations n ont pas été créées de toutes pièces et s inspirent bien entendu et avant tout des directives déjà établies par l OCDE. On le constate notamment dans la documentation demandée aux entreprises. La Chine bénéficie ici de l expérience et du vécu des pays européens qui, bien avant elle, ont eu à se poser ces questions et à formaliser les règles internationales en la matière. Nécessité a fait loi.

2 Un intérêt récemment renforcé pour le contrôle des pratiques de prix de transfert intragroupes Sachant que la Chine pourrait, d ici 2010, devenir le premier exportateur mondial, on peut comprendre que les autorités locales aient eu envie de renforcer leur système de contrôle en matière de prix de transfert. Les dernières évolutions du droit chinois montrent que la Chine continentale souhaite empêcher à tout prix les sociétés étrangères implantées (évidemment sont surtout ici visées les sociétés multinationales) sur son territoire, de réaliser leur marge hors de Chine du fait d une utilisation abusive des prix de transfert et de ce fait de réduire le niveau de taxes dont elles auraient dû normalement s acquitter. En illustration, prenons l exemple d une société française, fabricante d ordinateurs achetant une partie de ses composants à sa filiale localisée en Chine continentale. Le prix négocié et payé par la société française à sa filiale pour l achat de ses matières premières va déterminer le bénéfice déclaré par la filiale chinoise et de ce fait l impôt sur les sociétés qui va en découler. Si la société française paie un prix en dessous des prix du marché pour les produits achetés à sa filiale, cette dernière sera soit en difficulté financière soit verra son impôt sur les sociétés être inférieur à celui qu il aurait dû être. Bien que des règlements et circulaires soient parus depuis 1991, aucun(e) n a réussi avant celle de 2009 à mettre en place une politique claire sur le sujet. Les dernières circulaires relatives aux prix de transfert du 31 décembre 2008 (Guoshuifa 2008 No.114) et du 8 janvier 2009 (Guoshuifa 2009 No.2) annulent les circulaires précédentes (Guoshuifa 1998 No.59, Guoshuifa 2004 No.143, Guoshuifa 2004 No.118) et visent à compléter la loi «Corporate Income Tax Law» du 16 mars 2007 entrée en vigueur le 1er janvier Bien qu il y ait encore des zones d ombre, elle a au moins le mérite de donner davantage de précisions sur la nature des contrôles et la documentation à préparer. C est déjà un grand pas en avant. Les textes parus jusqu à aujourd hui sont finalement révélateurs du fait que la Chine avait conscience depuis cette époque et bien avant, de la problématique qui s annonçait mais ne savait pas encore comment ou ne voulait pas la gérer en pratique, avec en outil de contrôle des agents des taxes décentralisés n appliquant certainement pas les textes nationaux à l identique d une région à une autre et n ayant pas encore pu bénéficier de formation spécifique. La théorie commençait donc à se mettre en place mais la pratique posait encore quelques difficultés d organisation. Historique des textes de loi parus en matière de prix de transfert :

3 Les contrôles ont commencé à voir le jour après la publication de la loi de 1991 et des redressements ont été effectués depuis la publication de ces règlements. Les agents étaient à cette époque à leurs débuts et il s agissait davantage pour eux d un apprentissage sur le terrain. Cependant, on a pu noter au cours des années que la compétence des agents était chaque année plus grande et que la documentation demandée dans le cadre de ce type de contrôle est de plus en plus complexe. Les contrôles ne se sont pas multipliés depuis les dernières publications mais on note très clairement une professionnalisation des inspections et une demande plus détaillée d informations autrefois légèrement survolées. La Chine donne désormais les armes nécessaires à sa brigade de contrôle. Les montants des ajustements fiscaux de ces deux dernières années ci-dessous le prouvent : Indication des redressements de sociétés effectués sur 2006 & 2007 : Redressement sur les prix de transfert Taxe collectée sur ces redressements Nombre de sociétés auditées milliards RMB 679 millions RMB milliards RMB 987 millions RMB 173 L OCDE : Principale source d inspiration de la documentation chinoise en matière de prix de transfert La nécessité de se mettre en conformité avec les règles internationales en matière de fiscalité a également incité la Chine continentale à opter pour une documentation très inspirée de celle suggérée par l OCDE. Elle existait déjà et d autres pays l avaient déjà expérimentée. L inspiration n est malgré tout que partielle car la Chine se réserve une part de libre arbitre en s offrant la possibilité de demander toutes sortes de documentation qui pourraient s avérer nécessaires pour la compréhension, par l agent des taxes, de l organisation et des transactions effectuées. L introduction de la notion de «Benchmarking» est également un élément important, conférant plus de pouvoirs qu il n en résulte des textes européens. Elle signifie que l agent en charge a la possibilité d aller, si besoin est, récolter des informations dans une société qui n est pas encore soumise à un contrôle mais qui pourrait détenir des informations qui lui seraient nécessaires dans son audit en cours. Ainsi, l Administration fiscale s arroge le droit de développer une base de données à ses propres fins, ce qui lui permet également sans aucun doute d affiner le résultat ultérieur de ses contrôles.

4 Tableau comparatif de la documentation requise par le «State Administration of Taxation» («SAT») et l OCDE : CHINE Structure organisationnelle Description des opérations et de l activité Détails des transactions entre les parties d un même groupe Analyse comparative Méthode de prix de transfert utilisée Documentation liée aux accords de partage de coûts Toute autre information pouvant soutenir l organisation mise en place dans le cadre de la politique de l entreprise OCDE Structure organisationnelle Information générale sur les investisseurs Description de l activité Montant des ventes Business stratégies / management stratégies Information comparative Information financière sur la société contribuable Documentation sur la politique de prix de l entreprise Conditions sectorielles et commerciales pouvant influencer le contribuable Les dernières circulaires du 31 décembre 2008 et du 8 janvier 2009 ont renforcé les obligations de constitution d une documentation relative aux prix de transfert pour toutes les sociétés chinoises imposables, sociétés à investissement étrangers comprises, ayant un volume annuel de transactions intragroupes soit supérieur ou égal à un seuil de 200 millions RMB dans le cadre d achats-ventes, soit supérieur ou égal à un seuil de 40 millions RMB pour les transactions de toute autre nature (par exemple : services, paiement d intérêts, de royalties, etc.). Des exemptions peuvent éventuellement être accordées si la société remplit l un des critères suivants : - Soit le volume annuel de transactions intragroupes (achat vente) est en dessous de 200 millions RMB et les transactions intragroupes autres représentent un volume inférieur à 40 millions RMB. L exemption ne joue que si la société remplit cumulativement les deux conditions énoncées précédemment. - Soit la société est couverte par un Advance Pricing Agreement préalablement négocié avec les autorités fiscales. Sur demande des entreprises, un accord préalable sur les prix de transfert («Advance Pricing Agreement») avec l Administration fiscale chinoise peut dorénavant être établi. Il s agit comme en France de la possibilité d obtenir un accord avec les autorités fiscales locales sur la méthode de valorisation des prix de transfert futurs. En effet, la fixation d un prix adéquat pouvant donner lieu à critique en cas de contrôle, les entreprises qui souhaitent sécuriser juridiquement leurs prix de transfert ont la possibilité de demander à l Administration un accord préalable de prix. Dans les faits, avant de pouvoir bénéficier d un tel accord, la société doit soumettre aux autorités fiscales une documentation tout aussi détaillée que celle requise dans le cadre d un contrôle et l obtention d un tel accord n interviendra que plusieurs mois après le dépôt du dossier.

5 - Soit la société a uniquement un volume de transaction intragroupe domestique et est détenue à moins de 50% par des investisseurs étrangers. L anticipation d un tel contrôle passe nécessairement par une préparation minutieuse et rigoureuse de la documentation relative aux prix de transfert. La production de documents tels que des contrats et/ou des accords est insuffisante. La documentation sur les prix de transfert doit être transmise à l Administration fiscale au moment où l entreprise déclare ses impôts pour l exercice en cours, c est-à-dire avant le 31 mai de l année suivante, et doit être conservée pour une durée de dix ans. En effet, l Administration fiscale («SAT») a le droit de demander aux sociétés la production de documents antérieurs à l entrée en vigueur de cette obligation mais sans toutefois pouvoir dépasser une limite maximale de dix ans. En cas de demande des autorités locales, l entreprise doit être en mesure de transmettre cette documentation dans les 20 jours suivant cette requête et en chinois. La SAT peut éventuellement accorder un délai supplémentaire à titre exceptionnel pour les documents relatifs à l année 2008 avec une date de remise au plus tard au 31 décembre Il est demandé aux entreprises éligibles de produire en langue chinoise le rapport annuel des transactions entre parties liées comportant nombre de formulaires et devant couvrir tout un ensemble d éléments. Quelles sociétés sont réellement susceptibles de subir un contrôle fiscal dans ces prochaines années? Quand bien même des sociétés ne seraient pas soumises à cette obligation documentaire, il convient de rappeler que, comme les autres, elles peuvent malgré tout être soumises à un contrôle fiscal. Donc, avant tout, ce sont toutes les sociétés ayant des transactions intragroupes qui sont concernées. La législation chinoise définit, de la même façon qu en Europe, la notion de groupe comme étant un ensemble d entreprises liées. Un groupe est ainsi constitué de filiales, de sociétés sœurs, de la société mère et des entreprises ayant des communautés d intérêt fortes. L Administration fiscale chinoise, la SAT reconnaît les notions de liens de dépendance juridique ou de fait à l instar des administrations fiscales européennes. Parmi celles-ci, certaines remplissant des facteurs déterminés vont être susceptibles d intéresser les autorités fiscales. Selon les dispositions de l article 13 de l ancienne loi FEIT et de la circulaire relative à l administration des activités commerciales entre entreprises affiliées (Guoshuifa 1992 No.237), les facteurs permettant à la SAT de déterminer l infraction fiscale sont les suivants : - Lorsque les prix, accordés pour des transactions entre des parties dépendantes, ne sont pas basés selon les règles du marché et entraînent de ce fait une réduction de l impôt de la société contribuable. - La définition de sociétés dépendantes n intègre pas seulement un critère de participation capitalistique ou d actionnariat (une des entreprises possède directement ou indirectement 25% ou plus des actions de l autre so-

6 ciété) mais également les autres interactions entre ces sociétés. La dépendance de fait est par exemple reconnue lorsqu il y a un lien entre les sociétés démontrant un contrôle effectif, un management commun, des prêts accordés, un contrôle des achats, des conditions et/ ou garanties particulières, etc. Ces principes restent encore d actualité. La circulaire No.2 de 2009 donne davantage de détails sur les critères utilisés par la SAT pour sélectionner les sociétés à auditer. En effet, certaines sociétés sont davantage exposées à un audit fiscal du fait de critères énoncés explicitement. Ainsi, l article 29 de la circulaire No.2 dispose que les sociétés cibles de l Administration fiscale chinoise sont : - les sociétés soumises à l obligation de documentation et qui ne la soumettent pas ; - les sociétés à faible profit ou pertes et ; - les sociétés ayant un large volume de transactions avec des sociétés basées dans des paradis fiscaux. Même si le président Hu JINTAO a défendu Hong Kong avec ardeur pour qu elle n entre pas dans la catégorie des paradis fiscaux, il est encore trop tôt aujourd hui pour assurer qu elle ne rentrera pas dans le cadre de l alinéa 3 de l article 29. Il est fort à parier qu une société étrangère implantée en Chine continentale ayant des volumes de transactions très élevés avec Hong Kong, perçue à ce jour comme la région la plus accueillante fiscalement de la zone Asie Pacifique, pourra être considérée comme une entreprise cible, susceptible de subir un contrôle fiscal. Mais Hong Kong est en Chine et il est encore plus probable que les sociétés étrangères qui auront de fort volumes de transactions avec Singapour, le Luxembourg, etc. seront encore plus sujettes à contrôle. Dans la pratique, il serait prudent de rajouter une liste de type de sociétés qui pourraient encore être regardées par l Administration chinoise comme des cibles potentielles d audit fiscal : - celles qui font des pertes depuis plusieurs exercices comptables ou qui font de faibles profits ; - celles qui font des profits inférieurs à ceux qui sont réalisés dans le même secteur pour une entreprise de même taille ; - celles qui ne remettent pas leur documentation sur les prix de transfert. Les sanctions en cas de contrôle fiscal Les sanctions ne sont pas clairement énoncées dans les réglementations actuelles, bien que l on sache d ores et déjà qu il est possible pour la SAT de procéder à un redressement rétroactif. Des ajustements seront effectués en fonction de ce qui a été versé comme impôt et ce qui aurait dû l être. Les pénalités de retard usuelles pourraient également s appliquer. Quelques pénalités sont mentionnées dans les circulaires mais elles sont relativement faibles et ne sont de loin pas ce qui pourrait résulter de pire d un contrôle fiscal. Par exemple, la SAT peut imposer une amende pouvant atteindre

7 2.000 RMB et en cas de sanction grave, RMB. Si la société entrave un contrôle fiscal, elle risque une amende pouvant atteindre RMB. En cas de contrôle et de non-production de la documentation requise pour les sociétés soumises à cette obligation, une pénalité supplémentaire de 5% s ajoute aux amendes. Si une société refuse de fournir la documentation requise et/ou communique des informations erronées, fausses ou incomplètes, la SAT peut, en cas de redressement, ordonner à la société d effectuer des ajustements sur la politique de prix puis de payer le montant de l impôt dû dans une période déterminée. Outre le fait d apparaître sur une liste noire, les sociétés auditées et redressées se verraient amener à réajuster leur niveau de taxe, voire révoquer leur licence d activité dans certains cas. L Administration du Commerce et de l Industrie locale («State Administration of Industry and Commerce») peut notamment la révoquer si la société auditée ne s est pas mise en conformité dans le délai imparti. Le vide juridique laissé volontairement par les autorités fiscales nous laisse présager un panel de sanctions au cas par cas ce qui pourrait conduire à des excès de la part des autorités locales. Conclusion Par la mise en place de telles réglementations, les autorités chinoises affirment leur volonté d assurer un contrôle plus soutenu en accentuant la lutte contre les transferts de bénéfices de la Chine vers l étranger. De 2004 à 2009, les contrôles d audits ont été moins multipliés que renforcés. Et il est certain que ceux-ci vont s accentuer dans les prochaines années. Les sociétés contribuables sont donc invitées à revoir leurs politiques de prix de transfert existantes et à modifier leur documentation afin de se conformer aux exigences locales. Dans la pratique et dans les cas où les entreprises mères disposent déjà d une documentation détaillée pour répondre aux attentes des autorités fiscales de leur pays d origine, il est souvent recommandé de la reprendre et de l adapter aux besoins de la Chine continentale.

8 Contacts Paul-Emmanuel Benachi Avocat associé Tél. : Fanny Nguyen Senior legal and tax advisor fnguyen@lpalaw.asia Tél. : Lefèvre Pelletier & associés est l un des premiers cabinets d avocats en France. Nos équipes, fortes de plus de 150 avocats, accompagnent nos clients en s appuyant sur la complémentarité de leurs compétences en toutes matières du droit des affaires.

ACQUISITIONS EN CHINE : ACHAT D ACTIFS OU PRISE DE PARTICIPATION?

ACQUISITIONS EN CHINE : ACHAT D ACTIFS OU PRISE DE PARTICIPATION? Le marché chinois des fusions-acquisitions offre chaque année davantage d opportunités aux investisseurs étrangers: en 2010, le montant de transactions impliquant des entreprises étrangères s élevait à

Plus en détail

Débats et Prospectives

Débats et Prospectives Débats et Prospectives CONSOLIDATION DE LA TVA : UNE PREMIERE ETAPE VERS LE «GROUPE TVA» Très tôt dans le droit communautaire de la TVA est apparue la notion de «groupe», consistant à considérer comme

Plus en détail

POLITIQUE RELATIVE AUX LOIS ANTI CORRUPTION D ALCOA, INC.

POLITIQUE RELATIVE AUX LOIS ANTI CORRUPTION D ALCOA, INC. POLITIQUE RELATIVE AUX LOIS ANTI CORRUPTION D ALCOA, INC. CONTEXTE : Alcoa Inc. («Alcoa») et sa direction se sont engagés à mener toutes leurs activités dans le monde entier, avec éthique et en conformité

Plus en détail

LA NOUVELLE LEGISLATION BELGE RELATIVE AUX PARIS SPORTIFS

LA NOUVELLE LEGISLATION BELGE RELATIVE AUX PARIS SPORTIFS LA NOUVELLE LEGISLATION BELGE RELATIVE AUX PARIS SPORTIFS Présentation, Points principaux, Analyse, Fiscalité Bruxelles, 18.11.2010 Thibault Verbiest www.ulys.net Avocat aux barreaux de Bruxelles et de

Plus en détail

Hong Kong: Sociétés offshore à Hong Kong :

Hong Kong: Sociétés offshore à Hong Kong : Hong Kong: Le territoire de Hong Kong est situé sur les côtes Sud Est de la Chine et regroupe un grand nombre d îles. Ce territoire compte, à ce jour, près de sept millions d habitants. Hong Kong est revenu

Plus en détail

Régime de l utilisation de terres en Chine

Régime de l utilisation de terres en Chine Régime de l utilisation de terres en Chine La première Constitution chinoise en 1954 a stipulé qu en Chine le sol en milieu urbain appartient à l État, en milieu rural il appartient aux collectivités locales.

Plus en détail

Loi modifiant la Loi sur l assurance automobile

Loi modifiant la Loi sur l assurance automobile DEUXIÈME SESSION TRENTE-SIXIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 37 Loi modifiant la Loi sur l assurance automobile Présentation Présenté par Madame Pauline Marois Ministre des Finances Éditeur officiel du

Plus en détail

ACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE

ACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE ACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE CONCERNANT LA COOPERATION RECIPROQUE ET L ECHANGE D INFORMATIONS POUR LE CONTROLE BANCAIRE ET PRUDENTIEL 1. Considérant que certaines

Plus en détail

Niger. Régime général des mutuelles de santé

Niger. Régime général des mutuelles de santé Régime général des mutuelles de santé Loi n 2008-10 du 30 avril 2008 [NB - Loi n 2008-10 du 30 avril 2008 portant régime général des mutuelles de santé en République du ] Titre 1 - Dispositions générales

Plus en détail

Latham & Watkins Département Tax. des investisseurs

Latham & Watkins Département Tax. des investisseurs Numéro 360 14 Janvier 2004 Client Alert Latham & Watkins Département Tax La loi de finances pour 2004 ainsi que la loi pour l Initiative Economique votée l été dernier prévoient de nombreuses mesures en

Plus en détail

Guide d accompagnement à l intention des entreprises désirant obtenir ou renouveler une autorisation pour contracter/souscontracter avec un organisme

Guide d accompagnement à l intention des entreprises désirant obtenir ou renouveler une autorisation pour contracter/souscontracter avec un organisme Guide d accompagnement à l intention des entreprises désirant obtenir ou renouveler une autorisation pour contracter/souscontracter avec un organisme public Juin 2015 1 INTRODUCTION... 4 À QUI S ADRESSE

Plus en détail

LES NOUVEAUX MODES DE DISTRIBUTION EN CHINE :

LES NOUVEAUX MODES DE DISTRIBUTION EN CHINE : LES NOUVEAUX MODES DE DISTRIBUTION EN CHINE : LA VENTE EN LIGNE Raphaël Chantelot, Avocat associé, Responsable China Desk à Paris Ran HU Avocat PRC, Juriste China Desk à Paris AFCDE 26 Juin 2012 136 avenue

Plus en détail

Rencontres Economiques. Septembre 2012

Rencontres Economiques. Septembre 2012 Rencontres Economiques Septembre 2012 Développement des Sociétés Chinoises en France France = 3 ème partenaire en Europe 90 s : Emergence des Investissements Chinois Banque, Ressources Naturelles Secteur

Plus en détail

Les pièges de la TVA intracommunautaire

Les pièges de la TVA intracommunautaire Les pièges de la TVA intracommunautaire Ordre des Experts-comptables Paris Ile de France Commission Europe 28 novembre 2006 Olivier BOURDEAU Avocat à la Cour Hervé KRUGER Expert-comptable PRESENTATION

Plus en détail

Guide de travail pour l auto-évaluation:

Guide de travail pour l auto-évaluation: Guide de travail pour l auto-évaluation: Gouvernance d entreprise comité d audit Mars 2015 This document is also available in English. Conditions d application Le Guide de travail pour l auto-évaluation

Plus en détail

www.fidusuisse-offshore.com

www.fidusuisse-offshore.com www.fidusuisse-offshore.com Une relation basée sur la «rencontre» Chez Fidusuisse, nous pensons que la création d une société, doit provenir d une réflexion mûrie à laquelle nous voulons nous associer.

Plus en détail

Objet: Traitement fiscal des sociétés exerçant des transactions de financement intra-groupe

Objet: Traitement fiscal des sociétés exerçant des transactions de financement intra-groupe Circulaire du directeur des contributions L.I.R. n 164/2 du 28 janvier 2011 L.I.R. n 164/2 Objet: Traitement fiscal des sociétés exerçant des transactions de financement intra-groupe 1. Définitions Par

Plus en détail

Aspects juridiques de la conduite des affaires en Chine Plusieurs pièges à éviter

Aspects juridiques de la conduite des affaires en Chine Plusieurs pièges à éviter Aspects juridiques de la conduite des affaires en Chine Plusieurs pièges à éviter Chambre de commerce du Montréal métropolitain 10 avril 2015 Vivian Desmonts Avocat (Guangzhou, Chine) Quelques rappels

Plus en détail

Aperçu du rôle que tient EDC dans le succès canadien à Hong Kong et en Chine élargie

Aperçu du rôle que tient EDC dans le succès canadien à Hong Kong et en Chine élargie Aperçu du rôle que tient EDC dans le succès canadien à Hong Kong et en Chine élargie Exportation et développement Canada Juin 2012 Quelques mots sur EDC Organisme de crédit à l exportation du Canada créé

Plus en détail

RECOMMANDATIONS COMMISSION

RECOMMANDATIONS COMMISSION L 120/20 Journal officiel de l Union européenne 7.5.2008 RECOMMANDATIONS COMMISSION RECOMMANDATION DE LA COMMISSION du 6 mai 2008 relative à l assurance qualité externe des contrôleurs légaux des comptes

Plus en détail

CIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2011-06. Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit.

CIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2011-06. Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit. Tunis, le 20 mai 2011 CIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2011-06 Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit. Le Gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie,

Plus en détail

Fiscalité de l épargne et financement des entreprises. Eléments de constat et propositions

Fiscalité de l épargne et financement des entreprises. Eléments de constat et propositions Le 11 février 2013 Fiscalité de l épargne et financement des entreprises Eléments de constat et propositions Les lois de finances adoptées au cours de ces deux dernières années ont appréhendé les revenus

Plus en détail

Règlement d INTERPOL sur le traitement des données

Règlement d INTERPOL sur le traitement des données BUREAU DES AFFAIRES JURIDIQUES Règlement d INTERPOL sur le traitement des données [III/IRPD/GA/2011(2014)] REFERENCES 51 ème session de l Assemblée générale, résolution AGN/51/RES/1, portant adoption du

Plus en détail

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement

Plus en détail

Luxembourg, le 9 mars 2011

Luxembourg, le 9 mars 2011 Luxembourg, le 9 mars 2011 Lettre circulaire 11/5 du Commissariat aux Assurances portant modification de la lettre circulaire 09/7 relative au dépôt des valeurs mobilières et liquidités utilisées comme

Plus en détail

Principales dispositions du projet de règlement

Principales dispositions du projet de règlement Principales dispositions du projet de règlement (TEXTE VOTÉ PAR LA COMMISSION JURI LE 21 JANVIER 2014) Février 2014 1 Honoraires d audit (article 9) (1/3) Limitation des services non audit Si un contrôleur

Plus en détail

LES LOIS ANTI-CORRUPTION

LES LOIS ANTI-CORRUPTION LES LOIS ANTI-CORRUPTION UNE APPROCHE COMPARÉE EN DROIT FRANCAIS ET EN DROIT ANGLAIS 15 Janvier 2013 Dr. Nathalie Moreno Partner, Avocat et Solicitor Technology Laurie-Anne Ancenys Avocat et Solicitor,

Plus en détail

Examiner les risques. Guinness Asset Management

Examiner les risques. Guinness Asset Management Examiner les risques Guinness Asset Management offre des produits d investissement à des investisseurs professionnels et privés. Ces produits comprennent : des compartiments de type ouvert et investissant

Plus en détail

Point sur la régularisation fiscale des avoirs non déclarés situés à l étranger.

Point sur la régularisation fiscale des avoirs non déclarés situés à l étranger. Olivier HOEBANX Associé BMH Avocats Point sur la régularisation fiscale des avoirs non déclarés situés à l étranger. Introduction Depuis quelques années, de nombreux pays se sont engagés dans des démarches

Plus en détail

Banking Business Consulting SYNTHESE SUR LES ENJEUX LIES A LA MISE EN PLACE DE FATCA. 1 P a g e. 1. Objectif de FATCA

Banking Business Consulting SYNTHESE SUR LES ENJEUX LIES A LA MISE EN PLACE DE FATCA. 1 P a g e. 1. Objectif de FATCA 1. Objectif de FATCA En mars 2010, le Sénat américain a adopté la loi "Foreign Account Tax Compliance Act" aux termes de laquelle les établissements financiers et les fonds étrangers sont appelés à collaborer

Plus en détail

ASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA. Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1

ASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA. Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1 ASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1 Association des comptables généraux accrédités du Canada 100 4200 North Fraser Way Burnaby

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Rapport au Président de la République relatif à l ordonnance n o 2015-378 du 2 avril 2015 transposant la directive

Plus en détail

Dispositions de la loi de finances 2014 relatives à la contribution libératoire

Dispositions de la loi de finances 2014 relatives à la contribution libératoire Groupement Professionnel des Banques du Maroc Dispositions de la loi de finances 2014 relatives à la contribution libératoire Guide pratique de place 0 Préambule I- CONTEXTE GENERAL Le Maroc a adhéré le

Plus en détail

Assurance et capital-investissement Directive AIFM et utilité de l assurance RC Professionnelle

Assurance et capital-investissement Directive AIFM et utilité de l assurance RC Professionnelle Assurance et capital-investissement Directive AIFM et utilité de l assurance RC Professionnelle Cahiers les d'acp ASSURANCE & CAPITAL PARTNERS (ACP) est le Département spécialisé du Groupe SIACI SAINT

Plus en détail

POLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT D ACTIONS INCITATIVES

POLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT D ACTIONS INCITATIVES POLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT Champ d application de la politique Les options d achat d actions incitatives servent à récompenser les titulaires d option pour les services qu ils fourniront à l émetteur.

Plus en détail

R È G L E M E N T I. Agence

R È G L E M E N T I. Agence R È G L E M E N T I Agence IKO Centre de renseignements sur le crédit à la consommation Badenerstrasse 701 Case postale 1108 8048 Zurich Tél. 043 311 77 31 Fax 043 311 77 33 E-mail: info@iko.ch www.iko-info.ch

Plus en détail

TPE et PME : comment me situer et justifier de mon statut?

TPE et PME : comment me situer et justifier de mon statut? DRC- 10-107725 - 03911 A mars 2010 TPE et PME : comment me situer et justifier de mon statut? Vérification du statut de PME par les micro, petites et moyennes entreprises au sens du règlement REACH Ce

Plus en détail

Appel d offres pour la mise en place de cursus intégrés franco-allemands binationaux et trinationaux à compter de l année universitaire 2015-2016

Appel d offres pour la mise en place de cursus intégrés franco-allemands binationaux et trinationaux à compter de l année universitaire 2015-2016 Appel d offres pour la mise en place de cursus intégrés franco-allemands binationaux et trinationaux à compter de l année universitaire 2015-2016 Date limite pour l annonce du dépôt d une demande de soutien

Plus en détail

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Objectif Les informations concernant les flux de trésorerie d une entité sont utiles aux utilisateurs des états financiers car elles leur

Plus en détail

F Planificateur financier A2 Bruxelles, le 27 mars 2014 MH/SL-EDJ/JP 717-2014 AVIS. sur

F Planificateur financier A2 Bruxelles, le 27 mars 2014 MH/SL-EDJ/JP 717-2014 AVIS. sur F Planificateur financier A2 Bruxelles, le 27 mars 2014 MH/SL-EDJ/JP 717-2014 AVIS sur UN PROJET DE LOI RELATIF AU STATUT ET AU CONTRÔLE DES PLANIFICATEURS FINANCIERS INDEPENDANTS ET A LA FOURNITURE DE

Plus en détail

Typologies sur la fraude fiscale

Typologies sur la fraude fiscale Typologies sur la fraude fiscale Les transactions suspectes et les anomalies dans le fonctionnement des comptes peuvent révéler des infractions sous-jacentes relevant tant de la fraude fiscale que d autres

Plus en détail

Turquie. Date d adoption de la Loi : 9 novembre 2007 CHAPITRE 1. Objectif, Champ d application, Définitions et Abréviations

Turquie. Date d adoption de la Loi : 9 novembre 2007 CHAPITRE 1. Objectif, Champ d application, Définitions et Abréviations Turquie Traduction non officielle 1 de la Loi n o 5710 2 relative à la construction et à l exploitation de centrales nucléaires et à la vente de l énergie produite par ces centrales Date d adoption de

Plus en détail

Continent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses

Continent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses Tribune Paris, le 19 janvier 2015 Continent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses Par Gildas de Muizon (Directeur associé)

Plus en détail

Principes anti-blanchiment de Wolfsberg pour les banques correspondantes

Principes anti-blanchiment de Wolfsberg pour les banques correspondantes Principes anti-blanchiment de Wolfsberg pour les banques correspondantes 1 Préambule Le groupe de Wolfsberg d établissements financiers internationaux 1 s est accordé sur ces Principes qui constituent

Plus en détail

HONG KONG 香 港 GUANGZHOU 广 州 SHANGHAI 上 海 BUREAUX D ASIE

HONG KONG 香 港 GUANGZHOU 广 州 SHANGHAI 上 海 BUREAUX D ASIE HONG KONG 香 港 GUANGZHOU 广 州 SHANGHAI 上 海 BUREAUX D ASIE LPA UNE PRESENCE FORTE EN CHINE Shanghai Francfort PARIS Guangzhou Hong Kong AlgER CASABLANCA Créé il y a 25 ans, Lefèvre Pelletier & associés (LPA)

Plus en détail

TABLE DES MATIERES. Section 1 : Retrait... 20-22 Section 2 : Renonciation... 23-25 Section 3 : Nullité... 26-28

TABLE DES MATIERES. Section 1 : Retrait... 20-22 Section 2 : Renonciation... 23-25 Section 3 : Nullité... 26-28 Ordonnance n 03-08 du 19 Joumada El Oula 1424 correspondant au 19 juillet 2003 relative à la protection des schémas de configuration des circuits intégrés TABLE DES MATIERES Articles Titre I : Dispositions

Plus en détail

REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL

REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL L important développement à l international du groupe OVH et de ses filiales, conduit à l adoption des présentes règles internes en matière

Plus en détail

Étapes Nécessaires Pour Créer Un Bureau Ou Une Présence Aux États Unis:

Étapes Nécessaires Pour Créer Un Bureau Ou Une Présence Aux États Unis: SPOTT, LUCEY & WALL, INC. CERTIFIED PUBLIC ACCOUNTANTS CRISTA M. LUCEY (415) 217-6902 IRINA A. BENDA (415) 217-6943 CHARLOTTE R. WALL (415) 217-6903 MICHELLE PIGNATARO (415) 217-6905 601 MONTGOMERY STREET

Plus en détail

ACTUALITÉS ASSURANCES & RISQUES FINANCIERS

ACTUALITÉS ASSURANCES & RISQUES FINANCIERS Le pôle Assurances du cabinet Lefèvre Pelletier & associés vous souhaite une très bonne année 2009 ainsi qu une agréable lecture de cette troisième Newsletter. Assurances Assurance en général Assurance

Plus en détail

Un contrôle citoyen avec les entreprises

Un contrôle citoyen avec les entreprises Un contrôle citoyen avec les entreprises mai 2014 2 L objectif du plan d action La grande majorité des entreprises s inscrivent dans une démarche citoyenne et veillent à acquitter correctement leurs impôts.

Plus en détail

Formation continue obligatoire

Formation continue obligatoire Formation continue obligatoire POLITIQUE (Organismes) Version décembre 2010 S E R V I C E D U D É V E L O P P E M E N T P R O F E S S I O N N E L Table des matières Section 1 : Information générale 3 1.

Plus en détail

2.3. Toute modification ou tout complément apporté au contrat nécessite impérativement un accord préalable écrit entre les deux parties.

2.3. Toute modification ou tout complément apporté au contrat nécessite impérativement un accord préalable écrit entre les deux parties. CONDITIONS générales de vente Poelmann Huizen B.V. Siège social : 7 Handelsweg - 1271 EJ Huizen Pays-Bas. I. GENERALITES Article 1 Applicabilité des conditions générales de vente 1.1. Ces conditions générales

Plus en détail

NEWSLETTER 1/2015. Mesdames et Messieurs,

NEWSLETTER 1/2015. Mesdames et Messieurs, NEWSLETTER 1/2015 NEWSLETTER 1/2015 Mesdames et Messieurs, Nous revenons vers vous pour vous apporter un résumé des changements importants intervenus dans différents domaines de droit en début de l année

Plus en détail

PROJET DE LOI. NOR : MAEJ1123829L/Bleue-1 ------ ÉTUDE D IMPACT

PROJET DE LOI. NOR : MAEJ1123829L/Bleue-1 ------ ÉTUDE D IMPACT RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère des affaires étrangères et européennes PROJET DE LOI autorisant l approbation de l avenant à la convention entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement

Plus en détail

RECUEIL DE LEGISLATION. S o m m a i r e PROFESSIONELS DU SECTEUR DES ASSURANCES

RECUEIL DE LEGISLATION. S o m m a i r e PROFESSIONELS DU SECTEUR DES ASSURANCES MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 2697 1623 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 129 110 22 22 juillet mai 2009 2013 S o m m a i r e PROFESSIONELS

Plus en détail

Guide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation

Guide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation Guide sur les mutuelles de formation Règlement sur les mutuelles de formation ÉDITION AVRIL 2008 Dans le cadre d une entente de délégation prévue par la Loi sur le ministère de l Emploi et de la Solidarité

Plus en détail

TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut?

TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut? TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut? Vérification du statut de PME par les micro, petites et moyennes entreprises au sens du règlement REACH Ce document est traduit et librement adapté

Plus en détail

Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière

Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière IFRS 1 Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière Objectif 1 L objectif de la présente Norme est d assurer que les premiers

Plus en détail

Demande de permis Candidats du cheminement CPA, CA

Demande de permis Candidats du cheminement CPA, CA 5, Place Ville Marie, bureau 800, Montréal (Québec) H3B 2G2 T. 514 288.3256 1 800 363.4688 www.cpaquebec.ca Demande de permis Candidats du cheminement CPA, CA N.B. Il est inutile de présenter une demande

Plus en détail

Codes des banques 9 septembre 2009

Codes des banques 9 septembre 2009 Codes des banques 9 septembre 2009 1/16 PREAMBULE Le Code des banques a été établi par l Association des banques néerlandaises (NVB) en réponse au rapport intitulé Naar herstel van vertrouwen (vers le

Plus en détail

Une saisie européenne des avoirs bancaires Éléments de procédure

Une saisie européenne des avoirs bancaires Éléments de procédure Une saisie européenne des avoirs bancaires Éléments de procédure Ce projet est cofinancé par l Union européenne 2 Europe Une saisie européenne des avoirs bancaires Éléments de procédure Prise de position

Plus en détail

ACTUASSURANCE LA REVUE NUMERIQUE EN DROIT DES ASSURANCES Publication n 22 SEPT-OCT 2011

ACTUASSURANCE LA REVUE NUMERIQUE EN DROIT DES ASSURANCES Publication n 22 SEPT-OCT 2011 ACTUASSURANCE LA REVUE NUMERIQUE EN DROIT DES ASSURANCES Publication n 22 SEPT-OCT 2011 L actualité fiscale de l assurance-vie par M. Leroy Assurance vie - fiscalité L actualité fiscale de l assurance

Plus en détail

Activité des programmes de médicaments

Activité des programmes de médicaments Chapitre 4 Section 4.05 Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Activité des programmes de médicaments Suivi des vérifications de l optimisation des ressources, section 3.05 du Rapport annuel

Plus en détail

Règlement du Programme de bourse de démarrage de cabinet de l AJBM. 1- Objectifs

Règlement du Programme de bourse de démarrage de cabinet de l AJBM. 1- Objectifs Règlement du Programme de bourse de démarrage de cabinet de l AJBM 1- Objectifs Le programme de bourse de démarrage de cabinet de l AJBM a pour but de promouvoir l entreprenariat chez les jeunes avocats

Plus en détail

CONSIDÉRATIONS SUR LA MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE

CONSIDÉRATIONS SUR LA MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE Nicolae Cochinescu Juge à la Cour constitutionnelle de la Roumanie CONSIDÉRATIONS SUR LA MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE 1. Conformément à l article 146 de la Constitution de la

Plus en détail

NC 35 Norme comptable relative aux états financiers consolidés

NC 35 Norme comptable relative aux états financiers consolidés NC 35 Norme comptable relative aux états financiers consolidés Champ d'application 1. La présente norme doit être appliquée à la préparation et à la présentation des états financiers consolidés d'un groupe

Plus en détail

Evaluation de l impact des indicateurs du. Cost of Doing Business sur le taux de croissance de Maurice

Evaluation de l impact des indicateurs du. Cost of Doing Business sur le taux de croissance de Maurice Evaluation de l impact des indicateurs du Cost of Doing Business sur le taux de croissance de Maurice Janvier 205 TABLE DE MATIERES I. Introduction... II. La Méthodologie... 3 III. Analyse Empirique...

Plus en détail

Comment réduire mes impôts tout en diversifiant mon patrimoine?

Comment réduire mes impôts tout en diversifiant mon patrimoine? Épargne Comment réduire mes impôts tout en diversifiant mon patrimoine? AXA Entrepreneurs & Croissance 2013 Fonds Commun de Placement dans l Innovation Durée de blocage : 6 ans minimum pouvant aller jusqu

Plus en détail

un état de changement

un état de changement un état de changement Bulletin bimestriel à l intention des organismes sans but lucratif Février 2013 Dans ce numéro Nouvelles normes comptables pour les organismes sans but lucratif Introduction Les organismes

Plus en détail

Politique de conformité relative à la lutte contre la corruption et la Loi sur les manœuvres frauduleuses étrangères

Politique de conformité relative à la lutte contre la corruption et la Loi sur les manœuvres frauduleuses étrangères Politique de conformité relative à la lutte contre la corruption et la Loi sur les manœuvres frauduleuses étrangères Crawford & Compagnie et toutes ses filiales à travers le monde sont soumises à certaines

Plus en détail

Intervenir à l étranger Une revue des règlements canadiens ayant trait aux activités à l étranger

Intervenir à l étranger Une revue des règlements canadiens ayant trait aux activités à l étranger Intervenir à l étranger Une revue des règlements canadiens ayant trait aux activités à l étranger ORDRE DU JOUR 10 h Introduction 10 h 10 Aperçu des organismes de bienfaisance et des organismes sans but

Plus en détail

Klako Group. Intégration, Comptabilité et Conseils fiscaux. Optimisation d Achat et Contrôle de Qualité

Klako Group. Intégration, Comptabilité et Conseils fiscaux. Optimisation d Achat et Contrôle de Qualité Klako Group Intégration, Comptabilité et Conseils fiscaux Optimisation d Achat et Contrôle de Qualité Beijing Hong Kong Shanghai Shenzhen Visitez notre site web à http://www.klakogroup.com Notre société

Plus en détail

ASSOCIATION CANADIENNE DES COURTIERS DE FONDS MUTUELS

ASSOCIATION CANADIENNE DES COURTIERS DE FONDS MUTUELS Le 12 septembre 2013 Introduction ASSOCIATION CANADIENNE DES COURTIERS DE FONDS MUTUELS PRINCIPE DIRECTEUR N O 2 DE L ACFM NORMES MINIMALES DE SURVEILLANCE DES COMPTES Le présent Principe directeur fixe

Plus en détail

Les rendez-vous Risk Advisory La lettre des professionnels du risque et de la finance

Les rendez-vous Risk Advisory La lettre des professionnels du risque et de la finance Risk Advisory Février 2014 Les rendez-vous Risk Advisory La lettre des professionnels du risque et de la finance Des points de vue sur vos sujets de préoccupation dans les domaines de la gestion des risques,

Plus en détail

Présentation de la consolidation

Présentation de la consolidation Chapitre I Présentation de la consolidation Établir les comptes consolidés d un groupe consiste à présenter son patrimoine, sa situation financière et les résultats de l ensemble des entités qui le constituent

Plus en détail

RAPPORT DE 2010 SUR L ATTRIBUTION DE BÉNÉFICES AUX ÉTABLISSEMENTS STABLES

RAPPORT DE 2010 SUR L ATTRIBUTION DE BÉNÉFICES AUX ÉTABLISSEMENTS STABLES ORGANISATION DE COOPÉRATION ET DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUES RAPPORT DE 2010 SUR L ATTRIBUTION DE BÉNÉFICES AUX ÉTABLISSEMENTS STABLES 22 juillet 2010 CENTRE DE POLITIQUE ET D ADMINISTRATION FISCALES AVANT-PROPOS

Plus en détail

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE

Plus en détail

CHARTE DU CORRESPONDANT MODELE TYPE

CHARTE DU CORRESPONDANT MODELE TYPE CHARTE DU CORRESPONDANT MODELE TYPE CHAPITRE 1: CONDITIONS DANS LESQUELLES LE BUREAU LUXEMBOURGEOIS ACCORDE, REFUSE OU RETIRE SON AGREMENT A UN CORRESPONDANT 1.1 Comment remplir la fonction de correspondant

Plus en détail

Communauté de Communes du Val de l Ailette LA TAXE DE SEJOUR GUIDE D APPLICATION

Communauté de Communes du Val de l Ailette LA TAXE DE SEJOUR GUIDE D APPLICATION Communauté de Communes du Val de l Ailette LA TAXE DE SEJOUR GUIDE D APPLICATION PRÉSENTATION Pourquoi la taxe de séjour sur tout le territoire du Val de l Ailette? La Communauté de Communes du Val de

Plus en détail

Congo. Loi règlementant l exercice de la profession de commerçant en République du Congo

Congo. Loi règlementant l exercice de la profession de commerçant en République du Congo Loi règlementant l exercice de la profession de commerçant en République du Loi n 19-2005 du 24 novembre 2005 Titre 1 - Dispositions générales Art.1.- La présente loi définit les conditions d exercice

Plus en détail

entreprises. Ensuite, la plupart des options d achat d actions émises par Corporation

entreprises. Ensuite, la plupart des options d achat d actions émises par Corporation 28RE_chap_EP4.qx:quark de base 7/16/09 7:37 PM Page 858 Troisième partie : Le financement des ressources Les principales caractéristiques des travaux suggérés Questions de révision (N os 1 à 25) Exercices

Plus en détail

Politique en matière de traitement des demandes d'information et des réclamations

Politique en matière de traitement des demandes d'information et des réclamations Politique en matière de traitement des demandes d'information et des réclamations Validée formellement par le comité exécutif le 21 août 2014; mise en application dès le 1 er juillet 2014. Le présent document

Plus en détail

Focus sur quelques points des lois de finances rectificatives de juillet et septembre 2011

Focus sur quelques points des lois de finances rectificatives de juillet et septembre 2011 Focus sur quelques points des lois de finances rectificatives de juillet et septembre 2011 La pluralité des lois de finances rectificatives en 2011 nécessite de s attarder sur certains points «sensibles»

Plus en détail

Responsabilité sociale et pratiques des banques face à l'optimisation et l'évasion fiscales

Responsabilité sociale et pratiques des banques face à l'optimisation et l'évasion fiscales Responsabilité sociale et pratiques des banques face à l'optimisation et l'évasion fiscales Constats tirés de l analyse sectorielle de Vigeo Fouad Benseddik, 2 juin 2014 Risque d évasion fiscale: un changement

Plus en détail

Gestion des identités et des risques

Gestion des identités et des risques Gestion des identités et des risques Se préparer à un monde nouveau À PROPOS DE CETTE ARTICLE Dans le domaine de la gestion des identités et des risques, l époque du statu quo est révolue. La vitesse croissante

Plus en détail

ALERTE AIFM - 23 AVRIL 2013

ALERTE AIFM - 23 AVRIL 2013 ALERTE AIFM - 23 AVRIL 2013 Consultation publique sur les textes de transposition de la directive AIFM Le 17 avril 2013, la Direction du Trésor a soumis à consultation publique 1 les projets de mesures

Plus en détail

Orientations sur la solvabilité du groupe

Orientations sur la solvabilité du groupe EIOPA-BoS-14/181 FR Orientations sur la solvabilité du groupe EIOPA Westhafen Tower, Westhafenplatz 1-60327 Frankfurt Germany - Tel. + 49 69-951119-20; Fax. + 49 69-951119-19; email: info@eiopa.europa.eu

Plus en détail

Responsabilité civile des administrateurs et des réviseurs d une société anonyme : questions choisies

Responsabilité civile des administrateurs et des réviseurs d une société anonyme : questions choisies Responsabilité civile des administrateurs et des réviseurs d une société anonyme : questions choisies A. Introduction Les organes d une société anonyme de droit suisse sont le plus souvent recherchés en

Plus en détail

Crowdfunding. Présentation conférence EIFR -18 décembre2014

Crowdfunding. Présentation conférence EIFR -18 décembre2014 Crowdfunding Présentation conférence EIFR -18 décembre2014 Marie-Agnès NICOLET Présidente fondatrice de Regulation Partners marieagnes.nicolet@regulationpartners.com +33.6.58.84.77.40 / +33.1.46.22.65.34

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. 1 er TRIMESTRE 2015 : LA DYNAMIQUE DE CROISSANCE DES ACTIVITES COMMUNICATION & SHIPPING SOLUTIONS SE POURSUIT

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. 1 er TRIMESTRE 2015 : LA DYNAMIQUE DE CROISSANCE DES ACTIVITES COMMUNICATION & SHIPPING SOLUTIONS SE POURSUIT CHIFFRE D AFFAIRES PREMIER TRIMESTRE 2015 1 er TRIMESTRE 2015 : LA DYNAMIQUE DE CROISSANCE DES ACTIVITES COMMUNICATION & SHIPPING SOLUTIONS SE POURSUIT Forte croissance du chiffre d affaires Communication

Plus en détail

Aperçu des 37 principes directeurs

Aperçu des 37 principes directeurs Département fédéral des finances DFF Administration fédérale des finances AFF Gouvernement d entreprise de la Confédération Aperçu des 37 principes directeurs Principe n o 1 En principe, il convient d

Plus en détail

Art. 2. Les vérificateurs environnementaux, tels que définis à l article 2, point 20) du règlement (CE), relèvent du régime suivant :

Art. 2. Les vérificateurs environnementaux, tels que définis à l article 2, point 20) du règlement (CE), relèvent du régime suivant : Projet de loi portant certaines modalités d application et sanction du règlement (CE) no 1221/2009 du Parlement européen et du Conseil du 25 novembre 2009 concernant la participation volontaire des organisations

Plus en détail

Exposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012

Exposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012 Exposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012 Introduction Le Groupe Co-operators limitée est détenu et dirigé par 45 membres-propriétaires de tout le Canada, issus

Plus en détail

Règlement des Offres de Remboursement Microsoft Février/Mars 2014

Règlement des Offres de Remboursement Microsoft Février/Mars 2014 Règlement des Offres de Remboursement Microsoft Février/Mars 2014 Article 1. Présentation de l Opération 1.1 L Offre de remboursement (l «Offre») est organisée par la société Microsoft Ireland Operations

Plus en détail

SOCIÉTÉ AU CANADA. Présentation du pays. Une place onshore. Page 1 1 CAD = 0.99. Délai de création : 5 jours. Sociétés pré-constituées : Oui

SOCIÉTÉ AU CANADA. Présentation du pays. Une place onshore. Page 1 1 CAD = 0.99. Délai de création : 5 jours. Sociétés pré-constituées : Oui INFORMATIONS GÉNÉRALES Présentation du pays Délai de création : 5 jours Sociétés pré-constituées : Oui Comptabilité : Obligatoire Secrétariat : Obligatoire Actionnariat anonyme : Oui Directeur nominé :

Plus en détail

Pourquoi choisir un Conseiller en Gestion de Patrimoine Indépendant?

Pourquoi choisir un Conseiller en Gestion de Patrimoine Indépendant? Pourquoi choisir un Conseiller en Gestion de Patrimoine Indépendant? Sommaire Le Conseiller en Gestion de Patrimoine Indépendant, p. 1 qui est-il? L indépendance p. 2 Faire appel à un Conseiller en Gestion

Plus en détail

La surveillance Sid Noma Murielle Minougou

La surveillance Sid Noma Murielle Minougou La surveillance Sid Noma Murielle Minougou La lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme, objectif phare de la 3 ème Directive de 2005 transposée en 2009, prévoit un certain nombre d obligations

Plus en détail

Protocole n 15 portant amendement à la Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des Libertés fondamentales (STCE n 213) Rapport explicatif

Protocole n 15 portant amendement à la Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des Libertés fondamentales (STCE n 213) Rapport explicatif Protocole n 15 portant amendement à la Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des Libertés fondamentales (STCE n 213) Introduction Rapport explicatif 1. La Conférence de haut niveau sur l avenir

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES Auto / Habitation assurance franchise

CONDITIONS GENERALES Auto / Habitation assurance franchise CONDITIONS GENERALES Auto / Habitation assurance franchise Table des matières Table des matières 2 Introduction 3 DSA Europe 3 Assureur 3 En quoi consiste cette police? 3 Limites monétaires 3 Période de

Plus en détail