Place des pharmaciens dans le parcours du patient cancéreux sous thérapie orale à l hôpital et en ville

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Place des pharmaciens dans le parcours du patient cancéreux sous thérapie orale à l hôpital et en ville"

Transcription

1 Place des pharmaciens dans le parcours du patient cancéreux sous thérapie orale à l hôpital et en ville Danielle PREBAY Pharmacien CENTRE PAUL STRAUSS STRASBOURG APHAL 22 novembre 2016

2 Contexte Organiser un parcours de santé ambulatoire et patient cancéreux au cœur de ce parcours Externaliser vers la ville : CT IV à domicile et développement de la voie orale Faire évoluer la pathologie cancéreuse en pathologie chronique Structurer la prise en charge ambulatoire afin de garantir la sécurité du patient Objectif 3 : Accompagner les évolutions technologiques et thérapeutiques Sécuriser l utilisation des chimiothérapies orales Action 3.3 : Impliquer le patient en développant l éducation thérapeutique en cancérologie

3 Contexte : développement des anti-cancéreuxoraux Soigner les cancers en 2020 : vers des séjours hospitaliers plus courts, des thérapies moins invasives et des traitements réalisés chez soi(unicancer, 2013) 50% de traitements anticancéreux oraux Changement des pratiques Pour le médecin hospitalier: Augmentation de la durée des consultations (modalités de traitement, gestion des effets indésirables, observance), sans augmentation des moyens? Pourlepharmacien: Délivrance complexe, donc plus longue (analyse pharmaceutique indispensable, nombreuses interactions médicamenteuses, modalités d administration, conseils pour les EI)

4 Analyse de Risques du parcours -patient sous Consultation médicale Prescription (47,2%) Suivi (2%) Oubli de dose 10 % IDE coordination anticancéreux oraux Laboratoire d analyse Erreur de dose 38,8 % Pharmacie hospitalière Secrétariat Erreur de médicaments 13,6 % Pharmacie Domicile Dispensation (31,1%) Administration (18,7%) Erreur sur le nb de jour 11 % Risques liés à l organisation des soins Weingart SN et al., Cancer 2010 (508 erreurs médicamenteuses, capécitabine, témozolomide, imatinib) Sophie Renet. Parcours de soins des patients traités par anticancéreux oraux: analyse des risques et intérêts de la mise en œuvre d un outil d e-learning. Thèse de Pharmacie. Paris: Université de Paris Descartes, 2014.

5 Analyse de Risques du parcours patient : Oncologue Prescription manuscrite Temps de consultation trop court Interruptions tâches Langage médical non compris Retard dans le courrier facteurs contributifs Médecin traitant Manque de formation Manque d information IDE annonce Langage médical non compris Manque de formation des IDE Secrétaire RDV tardif engendrant une panne Non compréhension des instructions médicales Questions posées par le patient sur le traitement Le patient Croyances et représentations Manque de connaissance Automédication Absence d interlocuteur Non adhérence Pharmacien Manque de formation Médicaments non disponible à la pharmacie Manque d information clinique Non-conformité de la prescription

6 Contexte au Centre Paul Strauss er Programme ETP en cancérologie autorisé et financé par l ARS d Alsace

7 L après cancer du sein : atelier de groupe sur l hormonothérapie Thèmes abordées Les différents traitements et leurs effets indésirables Hormonothérapie Objectifs Eviter les comparaisons entre patientes Définir les effets indésirables déjà ressentis par les patientes depuis le début de leur prise en charge Connaitre les mesures préventives et curatives prises par les patientes Définir les croyances et représentations sur l hormonothérapie Expliquer les objectifs de l hormonothérapie. Ménopause Effetsindésirables Définir les bénéfices et les risques de l hormonothérapie Définir les symptômes de la ménopause Apporter des conseils pour mieux tolérer les effets indésirables

8 N = 115 patients Sur 11 sessions L après cancer du sein : enquête de satisfaction «Merci pour votre bienveillance, tous les intervenants sont d'une grande gentillesse et une grande disponibilité. Après cette période de maladie nous sommes fragilisées et cela permet de se réconcilier avec soi-même et les autres, et se réapproprier son corps. Merci à toute l'équipe (en trois mois de programme, je me rends compte du chemin parcouru)» «Je souhaite remercier tous les intervenants à ces ateliers. Cela donne l impression de ne pas être lâchée tout de suite après la fin des traitements. Cela permet de rencontrer d autres femmes concernées par cette pathologie.» Evaluation quadriennale du programme d éducation thérapeutique «L après Cancer du sein». Octobre 2014.

9 2011 Contexte au Centre Paul Strauss 1 er Programme ETP en cancérologie autorisé et financé par l ARS d Alsace 2013 Consultation Pharmaceutique

10 La Consultation Pharmaceutique à l hôpital Peut-elle répondre aux nouveaux enjeux de la PEC d un patient cancéreux sous thérapie orale? Comment se positionne-t-elle dans cette PEC? Existe-t-il des alternatives pour le patient? Doit-elle s inscrire dans un programme pluridisciplinaire? Comment s articule-t-elle avec la ville?

11 Consultation pharmaceutique : comment ça marche? Consultation médicale J0 Consultation pharmaceutique J0 Consultation pharmaceutique J30 Consultation médicale J30 Consultation pharmaceutique sur demande

12 Consultation pharmaceutique : quel apport pour le patient? Le patient: Qui est-il? Qu a-t-il? Que fait-il? Que sait-il? Qu a-t-il retenu? Évaluation du contexte, des connaissances, des croyances, des compétences d auto-soin, des facteurs de risques de non-adhésion Conciliation médicamenteuse et analyse pharmaceutique Identifier des contre-indications, des interactions médicamenteuses potentielles y compris traitements complémentaires et alimentation Adapter les posologies si besoin Réaliser le bilan médicamenteux Information sur le traitement oral Les modalités de prises Les effets indésirables et prévention Remise de documents

13 Ce qu on entend Ce qu on écoute Ce qu on retient Documents patients - RDV - Q? - Conseils (prise, EI, bilan biol) - Suivi EI -.. Carnet de suivi + Plan de prise

14 2011 Contexte au Centre Paul Strauss Programmes autorisés et financés par l ARS d Alsace Consultation Pharmaceutique

15 Programme de suivi anticancéreux oraux 2014 J0 J0 Consultation médicale Médecin Consultation Pharmaceutique Pharmacien Poste pharmacie 8701 Annonce du traitement Proposition du programme ETP - Analyse de la prescription - Suivi biologique prescrit Informations sur le médicament : Quelles questions du patient? Information sécuritaire sur le médicament Pharmacie officine : -Conciliation médicamenteuse -Liste des co-médications -Transmission de l ordonnance -Compte-rendu de la consultation pharmaceutique Compétences travaillées Compétences à travailler Accord pour le programme ETP Savoir Remise de fiches effets indésirables et du carnet patient Evaluation de l adhérence: Détection des comportements à risque Diagnostic éducatif : Connaitre les aides possibles pour la gestion des traitements Connaitre les adaptations alimentaires Connaitre les EI possibles Savoir être Gérer son stress et son angoisse Savoir faire Adapter le traitement Reconnaitre les EI Evaluer leur gravité

16 Programme de suivi anticancéreux oraux 2014 J15 Entretien téléphonique IDE Diagnostic éducatif (suite) et proposition de programme personnalisé Evaluation de l adhérence: Test de MoriskyGreen Détection et suivi des comportements à risque J30 Consultation médicale Médecin Atelier éducatif Pharmacien Suivi habituel par le médecin Gestion des traitements IDE IDE Diététicienne Poste ETP : 8691 Remise de fiches effets indésirables Gestion des effets indésirables Préparation à la consultation médicale Diététique

17 Entretien téléphonique Evaluation des compétences d autosoins et d adaptation

18 Evaluation de l adhérence Recueil des indicateurs (évaluation de l impact du processus)

19 Gestion des effets indésirables Objectifs pédagogiques: exprimer son ressenti, son vécu, ses représentations par rapport aux traitements identifier, reconnaitre les effets secondaires liés aux traitements identifier la conduite à tenir dans ses situations précises du quotidien Méthodes pédagogiques: Photo-langage Cartes symptômes Quizz : conduite à tenir Exemple d ateliers éducatifs Vous avez des diarrhées, quand appelez-vous votre médecin traitant? Vous avez des crevasses aux pieds, que faites-vous?

20 Evaluation rétrospective de la CS ± ETP depuis 2013 Population 210 patients / 93 Age moyen : 65 ans [24-93] Nb moyen de comédications : 6 [1-20] Durée moyenne de suivi : 2,8 mois [0 12] Thérapies ciblées : 41% Cancers digestifs : 53% Néo-adjuvant : 42%, adjuvant : 14%, métastatique: 44% Quels Scores de MG? 488 tests entre J15 et J90 Score 0 pour 88% des tests Stable pour 80% patients Quels facteurs de risques de non-adhérence détectés? facteurs sociaux déficit cognitif troubles psychologiques absence de symptôme durée du traitement invalidité situation familiale (3) temps depuis le diagnostic > 1ère ligne co-morbidités femme age (>65ans) sur-médication (2) effets indésirables (1) 4% 4% 8% 11% 11% 13% 16% 31% 32% NbFDR/patient: 3.8 [1 10] 0 2 : 27% (42) 3 5 : 51% (81) 6 10 : 22% (35) 36% 46% (3) Habitude de vie / entourage - (2) > 5 médicaments 56% 56% (1) Peurdes EI / EI percus 95% 0% 20% 40% 60% 80% 100% Sécurisation Consultation pharmaceutique : 164 pb médicamenteux 43% interactions 43% patients Suivi IDE : 18 adaptations posologique - 8% patients 23 arrêts temporaires de traitement 10% patients La CS + ETP permet une détection plus précoce des FDR de Non- Adhérence et des problèmes médicamenteux Sécurisation du parcours du patient

21 Questionnaire de satisfaction (perception de l utilité du programme) Programme d ETP: Enquête de satisfaction 73%des patients sont satisfaits des informations transmises par le pharmacien lors de la consultation pharmaceutique 94% des patients sont satisfaits du suivi infirmier Les effets indésirables n ont pas d impact sur la qualité de vie pour 67% des patients 85%des patients n'ont pas ressenti de difficultés avec leur traitement oral 96% des patients ont une bonne opinion générale sur le programme d ETP Patients inclus dans le programme d ETP de juin 2014 à fin oct 2016

22 Place des pharmaciens d officine dans la PEC et Lien Ville-Hôpital

23 Bilan à fin 2014 Les points forts : Travail pluridisciplinaire: médecin, pharmacien, IDE, diététicien, Amélioration de la coordination au CPS Satisfaction patients et soignants Homogénéisation des informations données au patient au CPS Les difficultés : Logistique: salle consultation, gestion des planning Financement Coordination ville hôpital Comment réaliser le suivi? Comment homogénéiser les informations données au patient? Quelle place du médecin traitant dans cette prise en charge? Suivi de effets indésirables? Quelle coordination?

24 En interne : Lien ville-hôpital : quels outils? Informatique : Logiciels dossier médical + prescriptions CT et hors CT Documents de support à la CP : guide de l entretien Compte-rendu informatique de la CP En externe : Informatique : DP Télésuivi(ex : Santinel-MoovCare) Système de partage régional dématérialisé Applications - Documents transversaux : Carnets de liaison Fiches destinées au patient : médicaments -plan de prise -effets indésirables Fiches d aide à la dispensation pour les pharmaciens d officine Fiche de liaison avec les médecins généralistes Téléphone Fax

25 Enquête sur les pratiques de dispensation des anticancéreux oraux 2014

26 Enquête: Objectifs et méthodes OBJECTIFS : Evaluer les pratiques de dispensation Faire un état des lieux des besoins nécessaires aux pharmaciens de ville pour un accompagnement des patients traités par un anticancéreux oral METHODOLOGIE : Enquête : auto-évaluation Pharmaciens officine avant formation CPS N = 17

27 Résultats : fréquence de dispensation en officine

28 Résultats : difficultés rencontrées Manque d information sur le protocole prescrit Manque d information sur la pathologie traitée Manque d information sur les données cliniques (âge, poids, taille)

29 Résultats : Questions les plus fréquentes des patients La posologie 100% pharmaciens estiment ne pas la maitriser Les modalités de prise 70% pharmaciens estiment ne pas les maitriser Les effets indésirables 50% connaissent les EI usuels 82% ne connaissent pas les mesures préventives 76% ne connaissent pas les mesures curatives 76% ne savent pas évaluer le de gravité d un EI

30 Résultats : Interventions pharmaceutiques les plus fréquentes + Conseil sur les thérapies complémentaires et sur les recommandations alimentaires Maitrisé par 50% des pharmaciens + Suivi de l adhérence au traitement - Le suivi des interactions médicamenteuses Non maitrisé par 76% des pharmaciens - Le suivi des modalités de prises Non maitrisé par 70% des pharmaciens - Le suivi des effets indésirables 76% ne savent pas évaluer le de gravité d un EI

31 Lien ville-hôpital : cas clinique Mr SCH LE est vu en Consultation médicale le 18 janvier 2016 Age : 60 ans Diagnostic : cancer du rectum Traitement néo-adjuvant RT-CT + capécitabine Prescription : Xéloda 1500mg 2X/j 5 jours sur 7

32 Instauration du traitement Prescription Compte-rendu interne et externe Lien ville-hôpital Courrier : Compte-rendu Avec Bilan Médt en cours Consultation Pharmaceutique Bilan éducatif Conciliation Médt Bilan Médt Compte-rendu interne Consultation d annonce Programme d ETP Carnet de suivi Fiches patient Si besoin Prise en charge personnalisée et pluridisciplinaire 1.Téléphone Liste des médicaments en cours Informations Commande 2.FAX Ordonnance Bilan Médt Fiche d aide à la dispensation

33 Lien ville-hôpital : Consultation Médicale ordonnance

34 Consultation Pharmaceutique Identification des freins et leviers pour l adhérence : bonne compréhension de la maladie et du traitement proposé Traitements pris par le patient à domicile : pas de problème de gestion Pas de traitements complémentaires ni d auto-médication Problème de modalité de prise Traitement AK prescrit : reprise des informations médicales Allopurinol 200mg 1 soir Janumet 1 matin + 1 soir Esoméprazole 1 soir Kétoprofène si besoin

35 Documents remis au patient

36 Lien ville-hôpital : pharmacie d officine Appel téléphonique après accord du patient Listes des médicaments en cours : + Dafalgan + tramadol50mg + Tardyféron 80mg + Gavisconnell Traitement AK : informations à donner : schéma posologiquenon conforme au RCP (explication du protocole CT-RT)

37 Interventions pharmaceutiques Réalisation à postériori mais dans les quelques heures qui suivent la Consultation Conciliation Médicamenteuse : 4 divergences non intentionnelles Analyse : évidence 2 interactions médicamenteuses avec Xéloda Allopurinol : arrêt traitement allopurinol après avis oncologue Gavisconnell : arrêt du traitement et recommandations si reprise nécessaire Alimentation : pas d interventions Interventions pharmaceutiques enregistrées dans le dossier médical informatisé

38 Lien ville-hôpital : Pharmacie d officine ordonnance par FAX

39 Lien ville-hôpital : compte-rendu au pharmacien d officine par FAX

40 Lien ville-hôpital : quelle information?

41 Après accord du patient Programme ETP

42 Lien ville-hôpital : quelles formations? 1993 : formations au CPS dédiées aux pharmaciens d officine 2013 : Faculté de Pharmacie de Strasbourg par DU «Accompagnement du patient cancéreux à l officine» 2014 : Par le Département de Formation du CPS : «Les thérapies orales dans le traitement des cancers» (Programme DPC)

43 Prise en charge du patient cancéreux sous thérapies orales : conclusion Une bonne adhérence = enjeu de santé publique Conséquences pour le patient, pour les professionnels de santé et pour le système de santé Pour toutes les maladies chroniques Le patient acteur de sa prise en charge

44 Prise en charge du patient cancéreux sous thérapies orales : conclusion Il faut créer un parcours thérapeutique avec de nouveaux acteurs pour garantir efficacité et sécurité Mais parcours = complexe car pilotage médical hospitalier Repositionnement du médecin traitant et du pharmacien d officine qui doit jouer un rôle majeur Réussite à partir d un travail multidisciplinaire Traitements mulwples chimiovigilance Formation et information de tous les acteurs

45 Prise en charge du patient cancéreux sous thérapies orales : conclusion Lien ville-hôpital = Indispensable à la qualité et la sécurisation du parcours de soins du patient cancéreux Entretiens pharmaceutiques à l officine? Relais de la consultation pharmaceutique hospitalière Enjeu majeur pour le patient mais aussi un sacré défi pour notre système d assurance maladie étant donné le coût de ces médicaments et les conséquences du taux d adhérence aux traitements Intérêt porté par l INCa, la DGOS, les ARS au travers des OMEDIT, les Réseaux, les Sociétés Savantes, le Conseil de l ORDRE des pharmaciens, les groupements des pharmaciens d officine,

46 Remerciements à l équipe d ETP : M. Ben Abdelghani, Oncologue On va tous dans la même direction, E. Petit-Jean, Pharmacien On prend juste des chemins différents F. Pfeil, Cadre Infirmier, B. Button Coordonnatrice du Programme ETP Ch. Roudot, IDE B. Poirot, IDE Et les Pharmaciens intervenants : N. Etienne-Selloum P. Coliat D. Exinger

47 Merci de votre attention

Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC

Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations

Plus en détail

La formation comme levier de changement des pratiques

La formation comme levier de changement des pratiques Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude

Plus en détail

Conseils pour réaliser un tableau de sortie

Conseils pour réaliser un tableau de sortie Conseils pour réaliser un tableau de sortie Ne pas oublier d adapter le langage au patient ou à l institution! Attention au langage trop scientifique ; mais rester cependant clair et précis ; faire passer

Plus en détail

Le guide du bon usage des médicaments

Le guide du bon usage des médicaments Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour

Plus en détail

FMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36

FMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36 FMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36 PROJET RÉGIONAL «ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE ET MALADIES CHRONIQUES» DÉBUT EN 2007 DANS LE LOIRET, LE

Plus en détail

FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques

FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES Promouvoir les soins pharmaceutiques PRÉSENTATION DE LA FORMATION Contexte Le métier du pharmacien est en pleine évolution. Un concept qui va

Plus en détail

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE.

2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE. 2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS Avec le Haut Patronage de Madame Roselyne BACHELOT-NARQUIN, Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative CANCER ET ACCOMPAGNEMENT

Plus en détail

"Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse"

Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse "Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse" Journées Franco-Suisses de Pharmacie Hospitalière 23 avril 2015, Mâcon Dr Vera Jordan-von Gunten Pharmacien d hôpital,

Plus en détail

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence

Plus en détail

Education Thérapeutique (ETP)

Education Thérapeutique (ETP) Education Thérapeutique (ETP) Enfant diabétique type I Marie Caron Infirmière puéricultrice référente en éducation thérapeutique Maryse Tamburro Cadre puéricultrice Centre initiateur de pompes à insuline

Plus en détail

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE

Plus en détail

La formation dans tous ses états. Programme et méthode de formation continue sur la

La formation dans tous ses états. Programme et méthode de formation continue sur la La formation dans tous ses états Programme et méthode de formation continue sur la «Préparation des médicaments anticancéreux» Répond à (Art R 950-4 al 1 du Code du Travail) Par qui, Comment et Pourquoi.

Plus en détail

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

Coordination Ville Hôpital

Coordination Ville Hôpital Coordination Ville Hôpital Lien entre pharmaciens et utilisation d une banque de données Bassin sanitaire alésien 2 juin 2015 Jean-Pierre CORNUT, Pharmacien d officine, URPS Pharmaciens LR Vincent BOUIX,

Plus en détail

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date

Plus en détail

L adhésion au traitement: les clés du succès

L adhésion au traitement: les clés du succès L adhésion au traitement: les clés du succès Dr Marie P. Schneider, pharmacienne Policlinique Médicale Universitaire Lausanne CHUV avril 005 Mme W.M. 970 Patiente d origine angolaise, en Suisse depuis

Plus en détail

Contrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais. Synthèse des résultats

Contrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais. Synthèse des résultats Contrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais Synthèse des résultats Septembre 2013 Etude coordonnée par Dispositif soutenu et financé par Le

Plus en détail

DE LA FORMATION CONTINUE À L OFFICINE

DE LA FORMATION CONTINUE À L OFFICINE Notre mission : Chaque pharmacien est unique, UTIP Innovations propose partout en métropole et dans les DOM les solutions de formation adaptées Notre ambition : Devenir acteur de référence du DPC UTIP

Plus en détail

Comment la proposer et la réaliser?

Comment la proposer et la réaliser? RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme

Plus en détail

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan

Plus en détail

Pascal LACHAISE Paul TORNER. Matthieu PICARD

Pascal LACHAISE Paul TORNER. Matthieu PICARD La communication médecins/ pharmaciens/patients Enquête sur les attentes des différents acteurs. Quelles solutions pour améliorer la concertation médecin/pharmacien pour le bénéfice du patient? Pascal

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière

Plus en détail

Université Saint-Joseph

Université Saint-Joseph Université Saint-Joseph Faculté de pharmacie Actuellement, le métier de pharmacien est un métier polyvalent, ouvert à plusieurs activités dans le domaine de la santé individuelle et publique. Mis à part

Plus en détail

La politique pharmaceutique à l hôpital (PPH) : élémentaire pour la dispense globale de soins

La politique pharmaceutique à l hôpital (PPH) : élémentaire pour la dispense globale de soins La politique pharmaceutique à l hôpital (PPH) : élémentaire pour la dispense globale de soins Eléments pour une note de politique Introduction Les médicaments prennent une place de plus en plus importante

Plus en détail

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,

Plus en détail

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS

Plus en détail

STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE

STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE FACULTÉ DE MÉDECINE FACULTÉ DE CHIRURGIE DENTAIRE Université de Strasbourg STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE JUILLET ou AOUT ou SEPTEMBRE 2012

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une

Plus en détail

Parcours du patient cardiaque

Parcours du patient cardiaque Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

RECOMMANDATIONS DU COLLEGE A PROPOS DU PHARMACIEN ADJOINT MAITRE DE STAGE ADJOINT

RECOMMANDATIONS DU COLLEGE A PROPOS DU PHARMACIEN ADJOINT MAITRE DE STAGE ADJOINT RECOMMANDATIONS DU COLLEGE A PROPOS DU PHARMACIEN ADJOINT MAITRE DE STAGE ADJOINT L agrément de maître de stage repose à la fois sur des critères liés à l officine d une part et à son titulaire d autre

Plus en détail

L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé

L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé 3 e conférence sur les traitements de la dépendance aux opioïdes Genève, 19 octobre 2012 Nicolas Bonnet, directeur du Respadd Anne

Plus en détail

Infirmieres libérales

Infirmieres libérales Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites

Plus en détail

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute

Plus en détail

PLAN NATIONAL D ACTION POUR UNE POLITIQUE DU MEDICAMENT ADAPTEE AUX BESOINS DES PERSONNES AGEES

PLAN NATIONAL D ACTION POUR UNE POLITIQUE DU MEDICAMENT ADAPTEE AUX BESOINS DES PERSONNES AGEES PLAN NATIONAL D ACTION POUR UNE POLITIQUE DU MEDICAMENT ADAPTEE AUX BESOINS DES PERSONNES AGEES 1 Introduction Dans le cadre des travaux de préparation de la Loi d orientation et de programmation pour

Plus en détail

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie

Plus en détail

Le dispositif d annonce. Information destinée aux patients atteints de cancer. édition actualisée Octobre 2009

Le dispositif d annonce. Information destinée aux patients atteints de cancer. édition actualisée Octobre 2009 Le dispositif d annonce Information destinée aux patients atteints de cancer G R A N D P U B L I C 2 édition actualisée Octobre 2009 Sommaire Introduction 1 Le dispositif d annonce 2 Le temps médical L

Plus en détail

Poitou-Charentes. Commission Sécurisation du circuit du médicament Groupe informatisation du circuit

Poitou-Charentes. Commission Sécurisation du circuit du médicament Groupe informatisation du circuit Observatoire Régional du MEdicament et des Dspositifs Médicaux Stériles Page 1 sur 17 Ce document a été élaboré par le groupe (informatisation du circuit du médicament) travaillant dans le cadre de l ORMEDMS.

Plus en détail

La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation

La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation Céline Michel, pharmacien hospitalier clinicien Charline Artoisenet, pharmacien hospitalier clinicien Université Catholique de Louvain, Cliniques

Plus en détail

OBSERVATOIRE DE LA m-santé

OBSERVATOIRE DE LA m-santé OBSERVATOIRE DE LA m-santé La m-santé, de nouvelles perspectives pour le bien-être et la santé Qu il s agisse de surveiller son poids ou son alimentation, d arrêter de fumer, de mesurer son activité physique

Plus en détail

Ordonnance collective

Ordonnance collective Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant

Plus en détail

Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux. Au Centre hospitalier de Valenciennes

Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux. Au Centre hospitalier de Valenciennes Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux Au Centre hospitalier de Valenciennes 1 Le centre hospitalier de Valenciennes MCO Psychiatrie SSR Soins de longue durée Maison de retraite

Plus en détail

Soutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie

Soutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie APPEL A CANDIDATURES 2011 Soutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie Action 1.2 Date limite de soumission en ligne du dossier : 06 décembre 2010 http://www.e-cancer.fr/aap/for2011

Plus en détail

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS

Plus en détail

La raison d être des systèmes d information

La raison d être des systèmes d information La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi

Plus en détail

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

Réflexe Prévention Santé. Réflexe Prévention Santé

Réflexe Prévention Santé. Réflexe Prévention Santé Réflexe Prévention Santé Bien utiliser votre contrat Réflexe Prévention Santé Prenez votre santé en main Des spécialistes vous accompagnent Vous bénéficiez d un programme diététique Ce service est un programme

Plus en détail

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation

Plus en détail

Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1

Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,

Plus en détail

La prise en charge. de votre affection de longue durée

La prise en charge. de votre affection de longue durée La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin

Plus en détail

Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT

Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT ATELIER PROJETS REGIONAUX DEMONSTRATION Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT 1 I. CONTEXTE L Agence Régionale

Plus en détail

Adapter et apprivoiser sa chimiothérapie Une application smartphone au service des patients

Adapter et apprivoiser sa chimiothérapie Une application smartphone au service des patients Paul Becquart, Journaliste Santé Le petit Site Santé www.lepetitsitesante.fr A la source de l'information Santé L'actualité de la Santé et de la Recherche médicale Adapter et apprivoiser sa chimiothérapie

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

REFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES

REFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES REFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES Le médecin et le pharmacien bien que fréquentant souvent des facultés

Plus en détail

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre

Plus en détail

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les

Plus en détail

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085 Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013

Plus en détail

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

LE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE

LE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE KALLE A.D A (1), BENGALY L (2)., KONE D ( 1), COULIBALY S.M (2). DIAKITE A.S. (2) DIAMOUTENE A (2) (1) Service de Pharmacie Hôpital Gabriel

Plus en détail

Un métier en évolution pour répondre aux nouvelles. Face à ces évolutions, un nouveau métier

Un métier en évolution pour répondre aux nouvelles. Face à ces évolutions, un nouveau métier Les métiers de la pharmacovigilance Des métiers en évolution dans une industrie de haute technologie et d'innovation Une mission d'évaluation et de gestion des risques liés à l'utilisation des médicaments

Plus en détail

Catalogue des formations

Catalogue des formations Catalogue des formations FORMATION INTER Mise à disposition de l apprentissage par l exemple Mesure de l évolution et de la performance du groupe des participants Travail en atelier par petits groupes.

Plus en détail

Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?

Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se

Plus en détail

Le DMP en Bretagne. Assemblée générale ANIORH. Vendredi 7 Décembre 2012

Le DMP en Bretagne. Assemblée générale ANIORH. Vendredi 7 Décembre 2012 Le DMP en Bretagne Assemblée générale ANIORH Vendredi Ordre du Jour 1- Présentation du DMP 2- Déploiement du DMP en Bretagne 3- Présentation de la démarche en établissement 4- Présentation de la démarche

Plus en détail

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics) Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)

Plus en détail

Montréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare

Montréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique

Plus en détail

OUVERTURE ET MISE EN PLACE

OUVERTURE ET MISE EN PLACE OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite

Plus en détail

Fédération des Syndicats Pharmaceutiques de France

Fédération des Syndicats Pharmaceutiques de France Fédération des Syndicats Pharmaceutiques de France Note de synthèse relative à la formation pharmaceutique continue en Présenta Plus de 150 000 personnes travaillent dans les 23 006 pharmacies d'officine

Plus en détail

Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale

Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale Ma mutuelle paye un montant fixe chaque mois à ma maison médicale LE FORFAIT est un contrat entre patient, maison médicale et

Plus en détail

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail

Plus en détail

Exposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments?

Exposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments? 5 avril 2011 «Pharmaco-épidémiologie» Exposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments? Dr Philippe Tcheng Vice-Président Affaires Publiques et Gouvernementales France

Plus en détail

LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN

LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN définition Démarche de soins = processus de soins Processus intellectuel, Mode de pensée logique et rigoureux, Résolution de problème

Plus en détail

Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)

Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins»

CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins» CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins» La Bourse Mutualiste pour la Recherche Infirmière et Paramédicale LE CONTEXTE GÉNÉRAL La recherche infirmière et paramédicale - c est-à-dire l étude

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

ROYAUME DU MAROC. Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique

ROYAUME DU MAROC. Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique ROYAUME DU MAROC Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique UNIVERSITE : Hassan II ETABLISSEMENT : Faculté de Médecine &

Plus en détail

Journées de formation DMP

Journées de formation DMP Journées de formation DMP Le DMP dans l écosystème Chantal Coru, Bureau Etudes, ASIP Santé Mardi 26 juin 2012 Processus de coordination au centre des prises en charge Quelques exemples Maisons de santé

Plus en détail

Dossier Patient Informatisé : L expérience Valaisanne

Dossier Patient Informatisé : L expérience Valaisanne Dossier Patient Informatisé : L expérience Valaisanne Hélène Hertzog Responsable du dossier patient informatisé Hôpital du Valais Sommaire L hôpital du Valais en quelques chiffres 1 ère ère : du papier

Plus en détail

Information au patient

Information au patient Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même

Plus en détail

La prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous?

La prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? La prise en charge de votre affection de longue durée Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? Sommaire Edito Votre prise en charge à 100 % Comment cela

Plus en détail

Unité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012

Unité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012 Visite de pré-sélection Visite de Mise en place Murielle COURREGES-VIAUD, ARC Laurence GUERY, ARC responsable Assurance Qualité Véronique JOUIS, Coordinatrice des ARCs Responsable Logistique Unité de Recherche

Plus en détail

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014 Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA

Plus en détail

L articulation Hôpital de jour Accueil de jour

L articulation Hôpital de jour Accueil de jour les hôpitaux de jour dans les filières de soin : un dispositif en marche L articulation Hôpital de jour Accueil de jour Dr Nathalie SCHMITT Dr Jacques HILD CH Colmar L articulation Hôpital de jour Accueil

Plus en détail

Edition et intégration de logiciels médicaux. Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS. Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25

Edition et intégration de logiciels médicaux. Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS. Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25 Edition et intégration de logiciels médicaux Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25 LOGICIEL AXILA Le dossier médical informatisé pour les

Plus en détail

Institut de FORMATION

Institut de FORMATION Institut de FORMATION plaquette.indd 1 28/11/2012 20:52:47 edito L INSTITUT DE FORMATION J.LEPERCQ Fondé en 1946, l institut de formation est un établissement situé dans le centre ville, à taille humaine

Plus en détail

Le système d information (bases de données) l évaluation de la qualité des soins.

Le système d information (bases de données) l évaluation de la qualité des soins. www.inami.be www.coopami.org Le système d information (bases de données) l évaluation de la qualité des soins. Nouakchott 3 février 2011 Michel Vigneul Cellule Expertise&COOPAMI Se doter d un système d

Plus en détail

Développez vos compétences et votre savoir-faire avec les Formations Continues du CFPP Programme 2015 2016

Développez vos compétences et votre savoir-faire avec les Formations Continues du CFPP Programme 2015 2016 avec les Formations Continues du CFPP Programme 20 2016 CQP Dermo-Cosmétique Pharmaceutique CQP Vente conseil de produits cosmétiques & d hygiène en officine (ouvert aux salariés non diplômés) La Phytothérapie

Plus en détail