Contexte SIDA PATHOLOGIES. Dans le thème «Pathologies» Mortalité générale et espérance de vie. Mortalité prématurée. Maladies cardiovasculaires.

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1 PATHOLOGIES SIDA Dans le thème «Pathologies» Mortalité générale et espérance de vie. Mortalité prématurée. Maladies cardiovasculaires. Cancers : vue d ensemble. Cancers du poumon. Cancers du sein. Cancers du côlonrectum. Fiche 2.8 Novembre 2010 Contexte L épidémie de l infection par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) / sida qui a débuté en France au début des années quatre-vingts a marqué la fin du XX e siècle. Elle a connu une forte progression jusqu au milieu des années 90 où l introduction des multi thérapies antirétrovirales efficaces s est accompagnée d une forte baisse du nombre de nouveaux cas de sida et a permis d allonger considérablement la période entre contamination par le VIH et stade sida. Le dispositif de surveillance, reposant sur la notification obligatoire des diagnostics de sida depuis 1986, ne permettait alors plus de suivre la dynamique de l épidémie. La surveillance de l infection à VIH a donc été mise en place en mars 2003 avec une notification obligatoire des nouveaux diagnostics d infection par le VIH (sérologies confirmées positives). L Institut de veille Sanitaire (InVS) estime au 31 décembre 2009 le nombre total de cas de sida notifiés depuis le début de l épidémie en France (métropole et départements d Outre Mer) à personnes et le nombre de personnes ayant développé un sida et vivantes à cette même date à En 2008*, près d un nouveau cas de sida sur trois (32 %) concerne une femme (21 % en 1996) : la féminisation de l infection, amorcée entre 1996 et 2004, semble se stabiliser depuis. Près de six cas diagnostiqués en 2008* sur dix (57 %) ont été contaminés lors de rapports hétérosexuels. L âge moyen au diagnostic de sida est de 43 ans en 2008, 41 chez les femmes et 44 chez les hommes. Il a augmenté depuis 2003 (41 ans en moyenne). Même si le nombre annuel de cas de sida diminue depuis 10 ans chez les hommes contaminés par rapports homosexuels et chez les usagers de drogues, ils représentent encore respectivement 34 % (37 % en 1996) et 8 % (25 % en 1996) des cas de sida diagnostiqués en 2008*. La surveillance des nouveaux diagnostics d infection VIH a permis d estimer le nombre réel de découvertes de séropositivité à en France en 2008*. Ce nombre est en diminution depuis 2004 (7 000 cas, selon les estimations de l InVS). Le risque d infection demeure élevé parmi les hommes homosexuels qui constituent le seul groupe pour lequel on n observe pas de diminution des découvertes de séropositivité. Toutefois, le nombre de découvertes de séropositivité chez les homosexuels s est stabilisé en 2007 et 2008*, ce qui représente un constat encourageant, après l augmentation progressive de 2003 à Chez les personnes ayant découvert leur séropositivité en 2008*, 10 % ont été diagnostiquées tardivement, au stade sida. L essentiel à retenir en Languedoc-Roussillon Le Languedoc-Roussillon reste parmi les régions les plus touchées par l épidémie d infection par le VIH avec plus de 13 nouveaux cas par million d habitants en 2008*. Une contamination par voie hétérosexuelle qui devient aussi prédominante que par voie homo ou bisexuelle ou par usage de drogue parmi les nouveaux cas de sida. Par contre, elle est la première cause de contamination parmi les nouveaux cas de séropositivité au VIH. Des découvertes de séropositivité qui interviennent à un stade tardif (symptomatique non sida ou stade sida) dans un quart des cas. Une mortalité par sida toujours en baisse mais qui reste élevée par rapport à la moyenne nationale. Une spécificité en Languedoc-Roussillon... Dans le cadre du Plan Sida , une volonté des pouvoirs publics en Languedoc-Roussillon est de réduire la contamination par le sida, les hépatites et les infections sexuellement transmissibles et de veiller à une prise en charge de qualité. Plus particulièrement, il s agit de : améliorer les systèmes d information pour permettre notamment un meilleur suivi des personnes atteintes et mieux cibler les actions de prévention ; renforcer les actions de lutte contre le sida en direction des publics particulièrement vulnérables, consolider le dispositif de réduction des risques ; améliorer le dépistage et la prise en charge des malades en adaptant les stratégies à l évolution des modes de transmission ; améliorer la qualité de vie des personnes atteintes du sida. *Données provisoires non redressées pour les délais de déclaration au 31/12/09. 1

2 SIDA 21 nouveaux cas de sida diagnostiqués en 2008* en Languedoc-Roussillon Après avoir atteint un pic au début des années 90, plus précocement chez les hommes que chez les femmes, le nombre de nouveaux cas de sida découverts chaque année a fortement décru à partir de la fin des années 90. Il tourne actuellement autour de 15 cas par an chez les hommes et moins de 10 chez les femmes, alors qu il a atteint au plus fort de l épidémie 171 nouveaux cas masculins et 49 nouveaux cas féminins. Ainsi, le taux brut d incidence des nouveaux cas de sida a fortement décru. Il est maintenant inférieur au niveau national dans la région et dans chacun des départements à l exception du Gard qui a un taux supérieur au taux national. *Données provisoires non redressées pour les délais de déclaration. Nombre de nouveaux cas de sida diagnostiqués en 2008* Nombre de cas de sida cumulés depuis 1980 Taux brut d incidence des nouveaux cas de sida par million d habitants (en moyenne annuelle) Principaux indicateurs relatifs aux cas de sida au 31 décembre 2009 Aude Gard Hérault Lozère P.-O. L-R France métropolitaine Homme Femme TOTAL En 1999** 22,5 28,3 37,7-32,2 30,9 28,2 En 2005** 5,9 21,1 11,1 3,9 11,7 13,0 17,8 En 2006** 6,7 22,3 6,0 3,9 5,3 10,3 15,8 *Données provisoires non redressées pour les délais de déclaration au 31/12/09 **Année centrale pour le calcul de données lissées sur 3 ans Sources : InVS surveillance du sida. Données au 31/12/09 non corrigées pour la sous-déclaration, Insee, exploitation ORS L-R L épidémie de l infection par le VIH/Sida a débuté en région comme en France au début des années quatre-vingt. Elle a connu une forte progression jusqu au début des années quatre-vingt-dix où elle ralentit. En 1982, une surveillance du VIH/ Sida a été mise en place et est devenue obligatoire en Nouveaux cas de sida en Languedoc-Roussillon par année de diagnostic et par sexe au 31 décembre 2009 Unité : nombre de nouveaux cas *Données provisoires non redressées pour les délais de déclaration au 31/12/09 Source : InVS surveillance du sida. Données au 31/12/09 non corrigées pour la sous-déclaration, exploitation ORS L-R 2

3 Une région qui reste parmi les plus touchées par les cas de sida Avec 13,8 cas de sida par million d habitants en moyenne par an entre 2006 et 2008* chez les hommes et 4,5 chez les femmes. Le Languedoc-Roussillon se situe au 11 e rang des régions les plus touchées par l épidémie pour les hommes. Pour les femmes, elle occupe la 14 e place. Taux brut d incidence des nouveaux cas de sida diagnostiqués en * selon le sexe Unité : pour habitants du même sexe Chez les hommes 20,4 SIDA Chez les femmes 8,5 Sources : InVS, Insee - Exploitation ORS L-R *Données au 31/12/2009 non corrigées de la sous-déclaration et en 2008 du délai de déclaration 3

4 SIDA Des cas de sida liés à une contamination lors de relations hétérosexuelles qui rejoignent les cas liés à une contamination homosexuelle Chez les hommes, les cas de sida liés à une contamination lors de relations homo ou bisexuelles ont toujours été les plus nombreux jusqu en Mais en 2007 et 2008*, le nombre de ces cas semble du même ordre que celui lié à une contamination hétérosexuelle ou lors d usage de drogue par voie intraveineuse. Ce mode de contamination est en forte baisse depuis les années quatre vingt dix et représentent aujourd hui environ un cas sur trois en 2008*. Par contre, on observe une augmentation de la part des cas liés à une contamination lors de relations hétérosexuelles, cette cause de contamination rejoint des valeurs proches des cas liés à une contamination homo ou bisexuelle chez les hommes qui jusqu à présent était la première cause de contamination. *Données provisoires au 31/12/2009 Évolution des modes de contamination parmi les cas de sida déclarés parmi les hommes Unité : nombre de cas *Données provisoires non redressées pour les délais de déclaration au 31/12/09 Source : InVS surveillance du sida. Données au 31/12/09 non corrigées pour la sous-déclaration, exploitation ORS L-R Chez les femmes, le nombre de cas étant beaucoup moins élevé, l étude de l évolution des modes de contamination est plus difficile. La contamination par voie hétérosexuelle est le principale mode de contamination depuis le milieu des années 90, alors qu auparavant, c était l usage de drogues par voie intraveineuse. Évolution des modes de contamination parmi les cas de sida déclarés parmi les femmes Unité : nombre de cas *Données provisoires non redressées pour les délais de déclaration au 31/12/09 Source : InVS surveillance du sida. Données au 31/12/09 non corrigées pour la sous-déclaration, exploitation ORS L-R 4

5 Près de 100 nouveaux cas par an de séropositivité au VIH dans la région La mise en place de la déclaration obligatoire de séropositivité au VIH permet de disposer de données d incidence depuis Cependant, il existe une sous déclaration importante des cas, estimée à 25 à 35 %, nécessitant une interprétation prudente des chiffres. Après la phase de montée en charge du dispositif, le chiffre de nouvelles séropositivités déclarées chaque année en région varie autour de 100, les chiffres 2008 étant encore provisoires et sous-estimés. Cela correspondrait en réalité à un nombre de nouvelles séropositivités découvertes qui serait d environ 120 à 130 cas. La région se trouve ainsi placée au 8 e rang des régions françaises en ,9 Taux de découvertes de séropositivité en * Unité : taux pour d habitants (deux sexes) Sources : InVS, Insee - Exploitation ORS L-R *Données au 31/12/2009, non corrigées pour la sous-déclaration et non redressées pour les délais de déclaration pour 2008 SIDA 5 e Plan national de lutte contre le VIH/SIDA et les IST Le 5 e Plan national de lutte contre le VIH/SIDA et les IST est basé sur les avis et recommandations rendus en 2009 et 2010 par les différents experts du domaine. Il est également le fruit d une large concertation débutée en juin Le plan VIH/IST a été conçu pour être facilement intégré par les opérateurs nationaux et régionaux de santé et ses différentes composantes. Ainsi, son application en région, par les agences régionales de santé est facilitée. Ce plan s organise autour des objectifs généraux et opérationnels suivants : Objectifs généraux : infléchir en 5 ans la dynamique de l épidémie VIH : réduire de 50 % les nouveaux cas ; réduire la morbidité et la mortalité liées au VIH et au SIDA de 20 % ; combattre les autres infections sexuellement transmissibles. Objectifs opérationnnels : renforcer le dépistage en direction de la population générale, notamment pour atteindre et dépister les personnes qui ignorent les séropositivités ; renforcer la lutte contre la diffusion de l épidémie sur les populations les plus vulnérables et notamment chez les homosexuels de sexe masculin ; améliorer la qualité et la globalité de la prise en charge des personnes vivant avec le VIH. Pour répondre à ces objectifs, le plan est constitué de mesures déclinées en actions qui s organisent autour des cinq axes stratégiques suivants : prévention, information, éducation pour la santé ; dépistage ; prise en charge médicale ; prise en charge sociale et lutte contre les discriminations ; recherche et observation. Sources : Ministère de la santé et des sports - Plan national de lutte contre les VIH/SIDA et les IST

6 SIDA La contamination hétérosexuelle, première cause à l origine des nouveaux cas de séropositivité au VIH Sur l ensemble des 679 nouveaux cas de séropositivité découverts depuis 2003 en région, la contamination lors de relations hétérosexuelles constitue la première cause de contamination, retrouvée dans deux cas sur cinq. Avec plus d un tiers des cas, la contamination lors de relations homo ou bisexuelles vient en deuxième position. La part des modes de contamination inconnus (ou non renseignés) est importante avec près d un cas sur cinq. L usage de drogue par voie intraveineuse est un mode de contamination beaucoup plus rare, environ 5 %. Par rapport au niveau national, on relèvera la part importante des contaminations homo ou bisexuelles ou hétérosexuelles en région ainsi que celles liées à l usage de drogues par voie intraveineuse. Les nouveaux cas de séropositivité au VIH selon le mode de contamination Données cumulées * Unité : % *Données au 31/12/2009 non corrigées pour la sous-déclaration et données provisoires pour 2008 et 2009 non redressées pour les délais de déclaration Source : InVS - Exploitation ORS L-R Dans un cas sur sept, la découverte de la séropositivité se fait au stade sida Dans près de trois cas sur cinq (57,9 %), la découverte de la séropositivité au VIH se fait au stade de la primo-infection (qui suit immédiatement la contamination) ou pendant la phase de latence asymptomatique. Cette proportion est légèrement plus élevée en région qu en moyenne nationale : 57,9 % contre 53,8 %. Dans un quart des cas, en région comme au niveau national, cette découverte se fait à un stade symptomatique, c est-à-dire où des signes de l infection s expriment cliniquement, soit à un stade symptomatique pré sida, soit au stade sida lui-même lorsque l immunodépression est profonde. Dans plus d un cas sur six en région, et plus fréquemment (un sur cinq) au niveau national, ce stade n est pas précisé. Stade de découverte de la séropositivité au VIH Données cumulées * Unité : % *Données au 31/12/2009 non corrigées pour la sous-déclaration et données provisoires pour 2008 et 2009 non redressées pour les délais de déclaration Source : InVS - Exploitation ORS L-R 6

7 Une forte baisse de la mortalité liée au sida depuis les années quatre-vingt-dix Avec un taux standardisé de 4,1 décès pour hommes en moyenne annuelle sur la période , la région reste particulièrement touchée par les décès liés à cette infection : elle occupe la troisième place après les régions Provence- Alpes-Côte d Azur et Île-de-France. Pour les femmes, ce taux est quatre fois plus faible : 1,1 décès pour femmes. Le Languedoc-Roussillon fait également partie des régions les plus touchées pour les femmes à la 4 e place en métropole. La Corse, Provence-Alpes-Côte d Azur et Île-de-France sont les trois régions présentant les taux les plus élevés. Cependant, entre et , soit en 13 ans, la mortalité par sida a fortement baissé, aussi bien pour les hommes que pour les femmes. Ainsi, chez les hommes, la baisse de la mortalité enregistrée en région est de 70,5 %, légèrement moindre que celle notée au niveau national : 78,5 %. Pour les femmes, la baisse est de 60,0 % en Languedoc- Roussillon et de 72,1 % au niveau national. Chez les hommes 2,0 Taux comparatif de mortalité par maladies dues au VIH en (moyenne annuelle) Unité : nombre de décès pour personnes de même sexe Chez les femmes 0,6 1,7-2,1 0,6-1,6 0,3-0,5 0,1-0,2 SIDA Sources : Inserm CépiDc, Insee - Exploitation ORS L-R Près de 300 nouvelles admissions en affection de longue durée en lien avec l infection à VIH en 2007 Pour l ensemble des 3 principaux régimes de sécurité sociale, ce sont 295 personnes qui ont bénéficié d une admission en affection de longue durée du fait d une infection par le VIH en Le groupe d âge le plus représenté avec plus de 100 cas est celui des ans, représentant 37,6 % des nouvelles admissions en 2007 pour cette infection. Viennent ensuite les ans dans plus d un quart des cas (27,5 %). Les moins de 30 ans représentent une part importante également 16,3 % ainsi que les ans (12,5 %). Au-delà de 60 ans, l entrée en ALD pour ce motif est beaucoup plus rare (6,1 %). À eux seuls, le Gard et l Hérault regroupent 224 de ces 295 cas, soit trois quarts des cas, alors que ces deux départements ne représentent que les deux tiers de la population régionale. Nombre d admissions en ALD pour déficit immunitaire grave nécessitant un traitement prolongé en lien avec l infection par le VIH en 2007 Languedoc- Roussillon Aude Gard Hérault Lozère Pyrénées- Orientales < 30 ans ans dont ans ou plus TOTAL Sources : Cnam, CCMSA et RSI, ALD 2007, exploitation ORS L-R 7

8 SIDA Novembre 2010 Méthodologie Le système de surveillance des infections à VIH animé par l Institut de veille sanitaire (InVS) repose sur la notification obligatoire des nouveaux diagnostics d infection à VIH devenue obligatoire en mars Depuis cette date, chaque biologiste confirmant une sérologie positive au VIH pour la première fois dans son laboratoire doit en faire la déclaration à la délégation territoriale de l Agence régionale de la santé (ARS). Le médecin prescripteur du test doit également en faire la déclaration à partir d un questionnaire médical adressé également à la délégation territoriale de l ARS qui apparie les volets du biologiste et du médecin. Un système permet d éliminer les sérologies multiples réalisées pour une même personne lorsque les deux volets biologiste et médical sont parvenus à l InVS. Ces deux volets recueillent de nombreuses informations sur les caractéristiques de la personne, les conditions de la prescription, les facteurs de risques, etc. À partir de 2008, l InVS a décidé de prendre en compte les diagnostics positifs au VIH lorsque les biologistes seuls ont fait la déclaration (voir BEH n 45-48), ce qui a pour effet de prendre en compte quelques diagnostics multiples. La sous déclaration des nouveaux diagnostics d infection au VIH est de l ordre de 30 % en France et peut varier d une région à une autre. Une correction de la sous déclaration pour l année 2007 a été faite pour toutes les régions et pour certaines régions pour les années Les nouvelles découvertes de séropositivité d une année ne correspondent pas aux contaminations de cette année. Ce serait le cas si tous les diagnostics d infection au VIH étaient réalisés dans un délai court après la contamination. Taux d incidence du sida ou d infection par le VIH. C est le rapport, pour une période donnée, du nombre de nouveaux cas de sida ou d infection par le VIH, à la population totale au milieu de la même période. Le taux comparatif (ou taux standardisé direct) est le taux que l on observerait dans la région (ou le département) si elle (ou il) avait la même structure par âge que la population de référence (population de France entière au recensement de 2006). Affection de longue durée (ALD) : affection nécessitant un traitement prolongé et une thérapeutique coûteuse prise en charge à 100 % par l assurance maladie. Précisions L infection par le VIH (virus de l immunodéficience humaine), c est-à-dire séropositivité au VIH, précède la maladie qu est le Sida (syndrôme d immunodéficience acquise). Quatre phases définissent l évolution de l infection par le VIH, les trois premières étant pré-sida et la dernière correspondant au sida : - la phase de séroconversion qui suit la contamination durant laquelle le virus se dissémine dans l organisme ; elle se manifeste dans 50 à 75 % des cas par une primo-infection mais peut rester sans symptôme, - une phase de latence avec peu de signes cliniques, - une phase avec des symptômes, - la phase d immunodépression profonde ou stade sida symptomatique. Les décès directement causés par des maladies dues au VIH (cause initiale) sont codés B20 à B24 dans la classification internationale des maladies - dixième révision. Les décès associés au VIH comprennent également le code Z21. Les admissions en ALD sont codées B20-B24, Z20.6 et Z21 dans la classification internationale des maladies -dixième révision. Pour en savoir plus : Base de données Score santé, Fnors Dossiers thématiques : infection à VIH et sida. INVS, mise à jour 2010/07, Dossiers de la santé de A à Z : sida Ministère de la santé et des sports, mise à jour 2010/04, fr/sida-sommaire.html Dépistage de l infection par le VIH en France, Cazein F., Le Vu S., Pillonel J. et al. Bulletin épidémiologique hebdomadaire, n 45-46, 2010, pp Surveillance du dépistage et du diagnostic de l infection VIH et du sida, France, Cazein F., Pillonel J., Imounga L., et al. BEHWeb, INVS, n 2, 2009, pp. 1-5 Caractéristiques des personnes diagnostiquées avec une infection à VIH ou un sida, France, Cazein F., Pillonel J., Bousquet V., et al. BEHWeb, INVS, n 2, 2009, pp. 1-5 Les maladies transmissibles dans les régions de France : Sida VIH, autres infections sexuellement transmissibles, hépatites virales, tuberculose, grippe, maladies infectieuses intestinales, les vaccinations. Fnors, 2009, 108 p. Rapport d information fait au nom de la commission des affaires sociales sur l étude de la Cour des comptes relative à la politique de lutte contre le VIH/sida. Jeannerot C. Sénat, 2010, 181 p. Avis conjoint du 17 juin 2010 relatif au projet et aux enjeux du futur plan national de la lutte contre le VIH et les IST. Conseil national du sida, Conférence nationale de santé, 2010, 19 p. Population-based HIV-1 incidence in France, : a modelling analysis. Le Vu S., Barin F., Pillonel J., et al. The lancet, vol 10, n 10, 2010, pp Prise en charge médicale des personnes infectées par le VIH. Yeni P. Ministère de la santé et des sports, 2010, 417 p. Les 3 guides de la collection information = pouvoir. Sida, un glossaire. Sida, des bases pour comprendre. Sida, guide des droits sociaux. Act up Paris, 2010, 200 p. Estimation de l incidence de l infection par le VIH en France à l aide d un test d infection récente. Le Vu S., Le Strat Y., Cazein F. et al. INVS, Inserm, CHRU Tours, ANRS, 2009/11, 4 p. Dépistage du VIH : Aides, l ANRS et le Conseil général des Bouches-du-Rhône font bouger les lignes! Dossier de presse : lancement de la recherche ANRS DRAG TEST, 2010/03, 9 p. Comment appeler SIDA INFO SERVICE? Tous les jours, 24 heures sur 24 Anonyme, confidentiel et gratuit à partir d un poste fixe «Où faire un test de dépistage anonyme et gratuit en région?» Aude CH 19 - Avenue Monseigneur de Langle Castelnaudary - Tél CH A. Gayraud CIDAG-CIDDIST - Rte de Saint Hilaire Carcassonne - Tél CIDAG-CIDDIST - 11 rue Pierre Germain Carcassonne - Tél CIDDIST - 5 bis rue du Bois Rolland Narbonne - Tél Maison du département - Avenue André Chénier Limoux - Tél Gard CDAG et DAV - 40 bd Victor Hugo Nîmes - Tél CH Louis Pasteur CIDDIST - 38 av. Alphonse Daudet Bagnols sur Cèze - Tél CH Médecine av. du Dr Jean Goubert Alès - Tél Hérault CDAG-CIDDIST - Hôpital St-Eloi - 80 av. Augustin Fliche Montpellier - Tél CH du Bassin de Thau - Médecine A - Bd Camille Blanc Sète - Tél Espace Perreal - CDAG - 2 boulevard Ernest Perreal Béziers - Tél Lozère CH - CDAG - 8 av. du 8 Mai Mende - Tél Pyrénées-Orientales CDAG - 25 rue Petite la Monnaie Perpignan - Tél CH St Jean - Maladies infectieuses et tropicales - 20 av. du Languedoc BP Tél Maison sociale du Conflent - 32 av. Pasteur Prades - Tél Plus d infos sur l annuaire de Sida Info Service: php?rubrique570 L actualisation de cette fiche a été financée par l ARS. La réalisation de l atlas régional de la santé observée en Languedoc-Roussillon a été initiée par le Conseil régional et l État (Drass). Comité de relecture : Pauline Buffard (ARS) et Béatrice Rougy (Conseil régional). Rédaction de la fi che : Inca Ruiz, chargée d études, Hafid Boulahtouf, technicien d études (ORS L-R) sous la direction du Dr Bernard Ledésert, directeur (ORS L-R). 8 Agence régionale de santé du Languedoc-Roussillon 28 Parc-Club du Millénaire 1025, rue Henri Becquerel CS Montpellier cedex 2 Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon Parc Euromédecine 209 rue des Apothicaires Montpellier cedex 5 Conseil régional Hôtel de Région 201 avenue de la Pompignane Montpellier cedex 2

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