OBSERVATOIRE DES HOTELIERS, RESTAURATEURS, CAFETIERS ET TRAITEURS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "OBSERVATOIRE DES HOTELIERS, RESTAURATEURS, CAFETIERS ET TRAITEURS"

Transcription

1 LETTRE TRIMESTRIELLE D INFORMATION OBSERVATOIRE DES HOTELIERS, RESTAURATEURS, CAFETIERS ET TRAITEURS Juillet 2017 Note 27 Un printemps décevant Après une année 2016 sinistrée, le printemps 2017 a été marqué par une reprise de l activité touristique en. Cette information a été largement relayée par la presse qui a mis en avant l augmentation des flux de passagers tant au niveau des vols internationaux que du transport ferroviaire. A noter que les mois de mai et juin ont profité d une météo particulièrement favorable à laquelle s ajoute un jeu calendaire propice au tourisme (nombreux week-end allongés et ponts). Malgré cet environnement porteur, l activité HCR reste globalement en très légère contraction au second trimestre 2017, dans le prolongement des résultats enregistrés en début d année Si la fréquentation des établissements s est stabilisée au printemps, les professionnels de ce secteur déplorent encore une réduction du ticket moyen. Ainsi, le chiffre d affaires global réalisé par les hôteliers, les restaurateurs, les cafetiers et les traiteurs se replie modérément, à hauteur de 1 entre le second trimestre 2017 et le second trimestre Sur l ensemble des douze derniers mois, la baisse est un peu plus prononcée, de l ordre de - 2,5 à l issue du printemps. Les évolutions d activité s avèrent très contrastées selon les régions. Les professionnels localisés dans le, dans le et en bénéficient d un regain d activité au printemps et leurs confrères des la Loire, de et d Ile de enregistrent une certaine stabilisation sur cette période. En revanche, les tensions restent vives dans le reste de l hexagone, notamment sur le pourtour méditerranéen ainsi que dans les. I - ENSEMBLE DE LA PROFESSION II - RESTAURATION III HOTELLERIE IV - DEBITS DE BOISSONS Ce repli modéré concerne notamment la restauration et l hôtellerie, l activité des débits de boissons s approchant de l équilibre ce trimestre. Plus précisément, le chiffre d affaires recule de 1,5 pour les restaurateurs et de 1 pour les traiteurs au printemps. Toujours impactée par la concurrence des plateformes de location entre particuliers, l activité de l hôtellerie ne rebondit pas au printemps et ce, en dépit du regain touristique. L activité des hôtels demeure stagnante ce trimestre et les hôtels-restaurants accusent une nouvelle baisse, qui tend toutefois à s atténuer (- 1,5 ). L activité des intervenants des débits de boissons, en baisse constante depuis les attentats qui ont frappé Paris en novembre 2015, se stabilise ce printemps, s établissant à + 0,5 pour les brasseries et - 0,5 pour les cafés-bars. Les tendances annuelles restent dans le rouge à l issue du second trimestre 2017 pour la quasi-totalité des grands corps de métiers de la filière HCR : proche de l équilibre pour les traiteurs, elles avoisinent - 1 pour les brasseries, - 2 pour les cafés-bars, les hôtels et les restaurants et - 4 pour les hôtels-restaurants. Les professionnels de la filière HCR se déclarent globalement confiants quant à la saison estivale à venir. Cet optimisme concerne surtout les restaurateurs et les hôteliers, les responsables des débits de boissons se montrent plus tempérés. Les professionnels localisés en Ile-de- sont les seuls à faire preuve d une certaine inquiétude quant à l évolution de leur activité pour les mois à venir. Sur le reste du territoire, la sérénité est de mise. Lettre trimestrielle d information - HOTELIERS, RESTAURATEURS, CAFETIERS ET TRAITEURS 2 ème trimestre /10

2 I - ENSEMBLE DE LA PROFESSION Activité profession modérée Le printemps 2017 a été marqué par le retour des touristes étrangers en, un très bel ensoleillement ainsi que des ponts et week-ends allongés. En dépit de ces facteurs favorables à l activité touristique, la filière HCR a fait face à de nouvelles difficultés. Le chiffre d affaires diminue modérément, de l ordre de - 1 (Fig.1) au second trimestre 2017 et ce comparé à un premier trimestre 2016 maussade. La tendance annuelle se dégrade de 2,5 (Fig.1) à l issue du trimestre étudié. L activité HCR évolue très différemment selon les régions (Fig.3). En effet, l activité s avère animée au printemps dans le, le et en et relativement stable dans les la Loire, en Nouvelle Aquitaine et en Ile de enregistrent une certaine stabilisation sur cette période. A l inverse, les tensions sont encore élevées sur le reste du territoire, notamment sur le pourtour méditerranéen ainsi qu en et dans les. Si la restauration et l hôtellerie voient toujours leurs chiffres d affaires s effriter au printemps 2017, l activité des débits de boissons s inscrit désormais à l équilibre (Fig.1). Détail de l évolution du trimestre (Fig.2) selon les métiers -1,5-1,5-0, ,5 2T 15 Evolution du chiffre d affaires de la profession (Fig.1) Brasseries Hôtels Cafés-bars Traiteurs 3T 4T 1T 16 Hôtels-restaurants Restaurants Tx évol. Tendance 2T 3T 4T 1T ,5 Evolution régionale (Fig.3) +1,5 Evolution du trimestre par rapport au même trimestre de l année précédente (en ) Tendance annuelle du chiffre d affaires des 4 derniers trimestres par rapport aux 4 mêmes trimestres de l année précédente +1-0,5-1 -2,5-4 2T -4 Bourgogne ,5 Lettre trimestrielle d information - HOTELIERS, RESTAURATEURS, CAFETIERS ET TRAITEURS 2ème trimestre /10

3 Fréquentation et ticket moyen Avec un afflux de touristes sur le sol français, la fréquentation des hôtels, restaurants et cafés s est raffermie au printemps En effet, les professionnels se répartissent désormais équitablement entre ceux remarquant une hausse, une baisse ou une stabilisation de la fréquentation de leur établissement (Fig.4). En revanche, le ticket moyen continue de se réduire sur ce second trimestre 2017 : les intervenants jugeant d une baisse de cet indicateur demeurent plus nombreux que ceux jugeant d une hausse (Fig.5) Fréquentation des établissements (Fig.4) Ticket moyen (Fig.5) T 15 4T 1T 16 Source: Perspectives d activité Une saison estivale favorable Si la reprise attendue lors du précédent baromètre ne s est pas confirmée au printemps, les professionnels conservent néanmoins leur optimisme et comptent sur une saison estivale favorable (Fig.6). Anticipations d activité (Fig.6) T 3T 4T 1T 17 2T 3T GNI/I+C 2 1 Evolution du trimestre par rapport au même trimestre de l année précédente (en ) Evolution du trimestre par rapport au trimestre précédent (en ) Hautsde Bourgogne +41 Source: Cette confiance se retrouve sur une grande partie du territoire (Fig.7). Seuls les professionnels localisés en Ile-de- se montrent plus prudents. +19 Détail régional (Fig.7) (solde d opinions ) Lettre trimestrielle d information - HOTELIERS, RESTAURATEURS, CAFETIERS ET TRAITEURS 2ème trimestre /10

4 II - RESTAURATION Activité des restaurateurs et des traiteurs Nouveau repli Rapporté à un second trimestre 2016 sous vives tensions, l activité des restaurateurs continue de se détériorer un an après. Le chiffre d affaires recule de 1,5 entre le printemps 2017 et le printemps 2016 (Fig.8). Le rythme annuel d évolution se dégrade ainsi de près de 2,5 (Fig.8) à l issue du printemps. Dans la lignée du début de l année, l activité des traiteurs se dégrade modérément au second trimestre 2017, à hauteur de - 1 (Fig.9) à un an d intervalle. Sur l ensemble des douze derniers mois, le taux d évolution s inscrit à l équilibre pour les traiteurs (Fig.9). Si l activité des restaurateurs des la Loire, du, d Ile-de- et du tend vers une certaine stabilité, la baisse est de mise sur l ensemble des autres régions. Les difficultés sont particulièrement marquées ce trimestre en, dans les, en Bourgogne- et en. Evolution du chiffre d affaires des restaurateurs (Fig.8) Tx évol. Tendance -1,5-2,4 Source: -1-0,5 Evolution du chiffre d affaires des traiteurs (Fig.9) Evolution régionale (Fig.10) - -1,5-0,5-1 -4,5-3,5-0,5 Bourgogne- -3 Evolution du trimestre par rapport au même trimestre de l année précédente (en ) Tendance annuelle du chiffre d affaires des 4 derniers trimestres par rapport aux 4 mêmes trimestres de l année précédente Tx évol. -3-2,5 Tendance -1-0,1 Lettre trimestrielle d information - HOTELIERS, RESTAURATEURS, CAFETIERS ET TRAITEURS 2ème trimestre /10

5 Fréquentation et ticket moyen des restaurateurs et des traiteurs Désormais, les restaurateurs faisant état d une baisse de la fréquentation de leur établissement sont à peine plus nombreux que ceux faisant état d une hausse (37 versus 33 ) (Fig.11). Si les clients retrouvent peu à peu le chemin des restaurants, en revanche, ils ont tendance à restreindre leur dépense. En effet, plus d un quart des restaurateurs soulignent une baisse du ticket moyen alors que seuls 16 d entre eux notent une augmentation de cet indicateur (Fig.12) Fréquentation des établissements (Fig.11) T15 4T 1T16 2T 3T 4T 1T17 2T 3T GNI/I+C T15 4T 1T16 2T 3T 4T 1T17 2T 3T GNI/I+C Lettre trimestrielle d information - HOTELIERS, RESTAURATEURS, CAFETIERS ET TRAITEURS 2ème trimestre / Ticket moyen (Fig.12) Perspectives d activité des restaurateurs et des traiteurs Perspectives encourageantes Les restaurateurs restent très optimistes quant à l évolution de leur activité pour les mois à venir. Près de la moitié d entre eux (Fig.13) misent sur une amélioration de leur situation au cours de l été. Les traiteurs sont moins tranchés et comptent majoritairement sur une stabilisation de leur activité (Fig.14). Anticipations d activité des restaurateurs (Fig.13) Anticipations d activité des traiteurs (Fig.14) Ces perspectives encourageantes se retrouvent sur l ensemble du territoire. A noter que les intervenants du, de et du font preuve d une très grande confiance pour la saison estivale. Détail régional des anticipations d activité (Fig.15) (solde d opinions (3) ) Bourgogne- +20 Evolution du trimestre par rapport trimestre précédent (en ) Evolution du trimestre par rapport au même trimestre de l année précédente (en ) (3) Solde d opinions : différence entre le pourcentage d établissements déclarant une hausse et le pourcentage d établissements déclarant une baisse

6 III - HOTELLERIE Activité des hôtels et des hôtels-restaurants Une divisée Affectée par la concurrence des plateformes de location entre particuliers, l activité de l hôtellerie continue de se détériorer quelque peu au printemps 2017, alors même que l activité touristique connaît un nouvel essor en. Le chiffre d affaires des hôtels sans restaurant reste atone au second trimestre 2017 (Fig.16). Comparé à un printemps 2016 maussade, le chiffre d affaires des hôtels-restaurants recule de 1,5 au printemps 2017 (Fig.17). Les tendances annuelles restent en berne à l issue du trimestre étudié, à hauteur de - 2 (Fig.16) pour les hôtels et - 4 (Fig.17) pour les hôtels-restaurants. L activité des hôteliers se révèle très disparate selon les régions. La crise se maintient dans le quart sud-est alors que les intervenants implantés dans la moitié nord profitent d un printemps dynamique (sauf dans les et en ) Evolution du chiffre d affaires des hôtels (Fig.16) Tx évol. Tendance -2,2-1,5 +1, ,5 +0,5 Evolution du chiffre d affaires des hôtels-restaurants (Fig.17) Tendance ,5 Tx évol. Bourgogne ,5-5 -1,5 Evolution régionale (Fig.18) Evolution du trimestre par rapport au même trimestre de l année précédente (en ) Tendance annuelle du chiffre d affaires des 4 derniers trimestres par rapport aux 4 mêmes trimestres de l année précédente -3,9 Lettre trimestrielle d information - HOTELIERS, RESTAURATEURS, CAFETIERS ET TRAITEURS 2ème trimestre /10

7 Fréquentation et ticket moyen des hôtels et des hôtels-restaurants La reprise de l activité touristique en permet à la fréquentation des hôtels de se redresser nettement au printemps. De fait, les professionnels jugeant d une hausse de cet indicateur sont deux fois plus nombreux que ceux jugeant d une baisse (40 versus 20 ) (Fig.19). En parallèle, le ticket moyen diminue encore ce trimestre : cet indicateur est noté à la baisse par un tiers des intervenants (Fig.20), contre moins d un quart d opinions contraires T15 4T 1T16 2T 3T 4T 1T17 2T 3T GNI/I+C 3T 15 Fréquentation des établissements (Fig.19) 4T 1T T 3T 4T 1T 17 2T 3T GNI/I+C Ticket moyen (Fig.20) Perspectives d activité des hôtels et des hôtels-restaurants Hôteliers encore confiants Malgré un printemps décevant, les professionnels de l hôtellerie gardent un certain optimisme quant à l évolution à court terme de leur activité. De fait, près de quatre responsables sur dix des hôtels (Fig.21) et des hôtelsrestaurants (Fig.22) prévoient un redressement de leur activité lors du troisième trimestre Anticipations d activité des hôtels (Fig.21) Anticipations d activité des hôtels-restaurants (Fig.22) Bourgogne Cette sérénité concerne la quasi-totalité de l hexagone (Fig.23), seuls les intervenants implantés en Ile-de- et en s avèrent inquiets pour la saison estivale. Les avis sont divisés dans les et dans le alors qu en et en Bourgogne, les professionnels s accordent presque tous sur un regain de leur activité au cours des prochains mois. Détail régional des anticipations d activité (Fig.23) (solde d opinions ) Evolution du trimestre par rapport trimestre précédent (en ) Evolution du trimestre par rapport au même trimestre de l année précédente (en ) (3) Solde d opinions : différence entre le pourcentage d établissements déclarant une hausse et le pourcentage d établissements déclarant une baisse. +12 Lettre trimestrielle d information - HOTELIERS, RESTAURATEURS, CAFETIERS ET TRAITEURS 2ème trimestre /10

8 IV DEBITS DE BOISSONS Activité des débits de boissons Un printemps plutôt stable En crise depuis les attentats qui ont frappé Paris en novembre 2015, l activité des débits de boissons s inscrit à l équilibre au printemps Dans le détail, le chiffre d affaires baisse très légèrement (- 0,5 ) dans les cafésbars (Fig.24) et se ressaisit partiellement (+ 0,5 ) dans les brasseries (Fig.25). Les rythmes annuels d évolution restent dégradés, à hauteur de - 2 (Fig.24) pour les cafés-bars et de - 1 (Fig.25) pour les brasseries. Cette stabilisation globale masque d importantes disparités selon les régions. Les professionnels implantés dans la moitié ouest de l hexagone ainsi que dans le, le Grand-est, en Bourgogne et en affichent de bons résultats ce trimestre. A contrario, les intervenants localisés sur le pourtour méditerranéen, en Ile-de- et dans les voient leur chiffre d affaires se dégrader encore au printemps Evolution du chiffre d affaires des cafés-bars (Fig.24) Tx évol. Tendance -0,5 Source: +1,5 +2,5-1 Lettre trimestrielle d information - HOTELIERS, RESTAURATEURS, CAFETIERS ET TRAITEURS 2ème trimestre / Evolution du chiffre d affaires des brasseries (Fig.25) Evolution régionale (Fig.26) -1, Bourgogne +2 Evolution du trimestre par rapport au même trimestre de l année précédente (en ) Tendance annuelle du chiffre d affaires des 4 derniers trimestres par rapport aux 4 mêmes trimestres de l année précédente -2, Tx évol. Source: 0,5 Tendance -1,2

9 Fréquentation et ticket moyen des cafés-bars et brasseries La baisse de la fréquentation des débits de boissons qui a fait suite aux attentats de novembre 2015 laisse place à une stabilisation au cours du printemps En effet, les intervenants notant une hausse de cet indicateur sont désormais aussi nombreux que ceux notant une baisse (Fig.27). Le ticket moyen se stabilise également ce trimestre. Plus précisément, une majorité de responsables jugent d une stabilisation de cet indicateur (Fig.28) et ils sont autant à souligner une baisse qu une hausse de cet indicateur Fréquentation des établissements (Fig.27) Perspectives d activité des cafés-bars et brasseries Stabilisation encore prévue pour cet été Les intervenants des débits de boissons s avèrent un peu plus prudents que leurs confrères de la restauration et de l hôtellerie pour la saison estivale. Aussi bien au sein des cafés-bars que des brasseries, les responsables sont à peine plus nombreux à miser sur une reprise de leur activité qu à craindre une nouvelle baisse lors des prochains mois (Fig.29&30) Anticipations d activité des cafés-bars (Fig.29) GNI/I+C T15 4T 1T16 2T 3T 4T 1T17 2T 3T Anticipations d activité des brasseries (Fig.30) Lettre trimestrielle d information - HOTELIERS, RESTAURATEURS, CAFETIERS ET TRAITEURS 2ème trimestre /10 +2 Ticket moyen (Fig.28) Selon les régions, les avis se révèlent radicalement différents (Fig.50). S ils sont septiques en Ile-de- et dans le, les responsables des débits de boissons se montrent très confiants en, dans les la Loire, en et plus encore en Bourgogne. Détail régional des anticipations d activité (Fig.31) (solde d opinions ) Bourgogne T15 4T 1T16 2T 3T 4T 1T17 2T 3T GNI/I+C Evolution du trimestre par rapport trimestre précédent (en ) Evolution du trimestre par rapport au même trimestre de l année précédente (en ) (3) Solde d opinions : différence entre le pourcentage d établissements déclarant une hausse et le pourcentage d établissements déclarant une baisse

10 METHODOLOGIE L approche méthodologique se décompose en trois phases principales : 1. La collecte d informations sur la base d un questionnaire pré-établi porté à la connaissance d un échantillon de professionnels, d abord par voie postale, puis par relance téléphonique. L échantillon retenu est le suivant : Restaurants 655 Traiteurs 160 Hôtels 150 Hôtels-restaurants 340 Cafés-bars 295 Brasseries 200 Ensemble Le traitement de l information à travers la méthode statistique des quotas pondérés. 3. La restitution des résultats observés via l Observatoire des Hôteliers, Restaurateurs, cafetiers et Traiteurs. DEFINITIONS Evolution : Il s agit de l évolution d un indicateur sur un trimestre étudié relativement au même trimestre de l année précédente. Perspectives d activité : Les perspectives d activité sont déduites des anticipations des professionnels traduisant soit une hausse soit une baisse du chiffre d affaires exprimé hors taxe. Tendance annuelle : Il s agit de l évolution des quatre derniers trimestres en glissement annuel. Lettre trimestrielle d information - HOTELIERS, RESTAURATEURS, CAFETIERS ET TRAITEURS 2ème trimestre /10

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1 er et 2 ème trimestres 2010 Note semestrielle N 1 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1. CHIFFRE D AFFAIRES TOTAL DES CENTRES D AFFAIRES Chiffre d affaires total / surface totale

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

CONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance

CONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance CONJONCT URE estre NOTE DE conjoncture TRIMESTRIELLE de L APEC N Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance Les recruteurs font toujours preuve de prudence dans leurs

Plus en détail

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1 er et 2 ème trimestres 2012 Note semestrielle N 5 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES Une activité dynamique qui pourrait s essouffler L activité d hébergement d entreprises au premier

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée

Plus en détail

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT DES PAYS DE LA LOIRE 2nd semestre 2013 - Edition Janvier 2014 Au cours du second semestre, l activité a été contrastée. Même si le nombre d artisans déclarant une hausse

Plus en détail

Un climat des affaires incertain

Un climat des affaires incertain AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.

Plus en détail

Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février

Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février 25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée

Plus en détail

Toujours pas de reprise

Toujours pas de reprise 2 ème TRIMESTRE JUILLET 2015 CHIFFRE D AFFAIRES 2 ème TRIM 2015 Toujours pas de reprise La conjoncture est encore une fois perçue par près de 80 % de nos dirigeants comme défavorable voire très défavorable.

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

Artiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013)

Artiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013) Observatoire des Métiers et de l Artisanat Région Centre Juin 214 Artiscope Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 213 (2ème Semestre 213 - Année 213) La révision

Plus en détail

L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013

L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES 25 ème rapport annuel Tableau de bord Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 La photographie des ménages détenant des crédits que propose la 25 ième

Plus en détail

UN REGAIN D OPTIMISME

UN REGAIN D OPTIMISME 2015 UN REGAIN D OPTIMISME Activité : reprise en pente douce Emploi : renforcement des effectifs Comme pressenti en novembre dernier, les chefs d entreprise de la région Rhône- Alpes anticipent un développement

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel Janvier 2015 Avertissement : les indicateurs mensuels repris dans le «Tableau de bord» ne deviennent définitifs

Plus en détail

La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai

La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai 25-5-27 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - mai 25 La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai Le baromètre de

Plus en détail

Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris

Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris Sondage Ifop pour la FFSE Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Anne-Sophie Vautrey Département Opinion et Stratégies d Entreprise 01 45 84 14 44 prenom.nom@ifop.com

Plus en détail

Un climat des affaires conforté

Un climat des affaires conforté JUILLET 2015 Un climat des affaires conforté Même si une part toujours importante de TPE/PME enregistre un recul du chiffre d affaires, le bilan du 2 e trimestre marque une amélioration sensible, confirmée

Plus en détail

Enquête sur les perspectives des entreprises

Enquête sur les perspectives des entreprises Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,

Plus en détail

L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES

L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES 22ème rapport annuel de L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES présenté par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université de Paris X - Nanterre - Mardi 16 mars 2010 - Les faits marquants en 2009

Plus en détail

Le présent chapitre porte sur l endettement des

Le présent chapitre porte sur l endettement des ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

Bulletin trimestriel de conjoncture n 59

Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 2 ème trimestre 2013 Repli accentué au 2 ème trimestre (-2%) du volume de travaux d entretienrénovation de logements Cette baisse d activité correspond à une baisse

Plus en détail

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses

Plus en détail

Enquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique

Enquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique Enquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique Ministère de la Culture et de la Communication Direction générale des médias et des industries culturelles Service du livre et de

Plus en détail

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière

Plus en détail

Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011

Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre établi à partir des sources suivantes: 2010 - Données transmises par la Direction

Plus en détail

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success. Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien

Plus en détail

Restauration Etat du Marché ->La consommation de cigarettes en CHR en 2008. Rapport Online CHD Expert

Restauration Etat du Marché ->La consommation de cigarettes en CHR en 2008. Rapport Online CHD Expert Panel online Conso CHD - L Hôtellerie Restauration Etat du Marché ->La consommation de cigarettes en CHR en 2008 Rapport Online CHD Expert Méthodologie Contexte de l étude et de l état du marché produit

Plus en détail

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse

Plus en détail

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? 1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%

Plus en détail

UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE

UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE 2015 UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE Activité : reprise modérée Emploi : contraction des effectifs Contrairement à leurs prévisions de novembre dernier, les PME de la région anticipent un développement

Plus en détail

Territoires et Finances

Territoires et Finances Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et des intercommunalités Bilan 2 14 et projections 215-217 214 : une forte baisse de l épargne brute et des investissements qui cristallisent

Plus en détail

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6 NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE Décembre 2014 - N 6 ENQUETE DU 2 nd SEMESTRE 2014 SOMMAIRE Tendance générale Tendance par département Tendance par grand secteur Focus sur les conjoints

Plus en détail

OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE

OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE Edition 2013 Perception du risque et comportement d investissement (point 5) 16 octobre 2013 Pourquoi un Observatoire UFF/IFOP de la clientèle patrimoniale?

Plus en détail

MEUBLES LABELLISES (CLEVACANCES ET GITES DEE FRANCE HORS CENTRALES DE RESERVATION)

MEUBLES LABELLISES (CLEVACANCES ET GITES DEE FRANCE HORS CENTRALES DE RESERVATION) BILAN DE LA SAISON MEUBLES LABELLISES (CLEVACANCES ET GITES DE FRANCE HORS CENTRALES DE RESER RVATION) Le bilan de la fréquentation touristique de la saison en Aquitaine est le fruit d un dispositif d

Plus en détail

la création d entreprise en nord-pas de calais

la création d entreprise en nord-pas de calais Nord-Pas de Calais N 184 SEPTEMBRE 2014 la création d entreprise en nord-pas de calais Près de 24 000 créations d entreprise en 2013 en Nord-Pas de Calais En 2013, les créations ont légèrement baissé en

Plus en détail

Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 2014

Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 2014 Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 214 L élevage Galop : reprise de la production en 214 Trot : légère baisse de la production en 214, comme en 213 Selle : après trois années de baisse sévère, le

Plus en détail

LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT. Bilan des immatriculations / radiations d entreprises artisanales. Solde net 1 002 entreprises 74%

LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT. Bilan des immatriculations / radiations d entreprises artisanales. Solde net 1 002 entreprises 74% n 6 - JANVIER 21 LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT 23 629 c est * le nombre d entreprises 2 inscrites au Répertoire des métiers de l Essonne. dirigeants d entreprise artisanale ont été interrogés à la fin

Plus en détail

FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise

FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise 35 rue de la gare 75019 Paris Tél : 01 45 84 14 44 Fax : 01 45 85 59 39 pour Les Français

Plus en détail

Evolution des risques sur les crédits à l habitat

Evolution des risques sur les crédits à l habitat Evolution des risques sur les crédits à l habitat n 5 février 2012 1/17 SOMMAIRE 1. PRINCIPALES CARACTÉRISTIQUES DE LA PRODUCTION... 4 2. ANALYSE DÉTAILLÉE DES INDICATEURS DE RISQUE... 8 2.1 Montant moyen

Plus en détail

4 CHIFFRES À RETENIR

4 CHIFFRES À RETENIR Une baisse continue mais atténuée 4 CHIFFRES À RETENIR Recettes publicitaires totales (médias historiques + Internet + mobile + courrier publicitaire et ISA) 1 ER SEMESTRE 2014-2,6% S1 2014 vs S1 2013

Plus en détail

Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives

Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives CB Richard Ellis 16 septembre 2008 Contexte économique Environnement international o L économie mondiale tourne au ralenti (incertitudes financières, inflation,

Plus en détail

Construction de logements

Construction de logements COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n 640 Mai 2015 Construction de logements Résultats à fin avril 2015 (France entière) OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Rappel À compter des

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

Accès au financement des entreprises artisanales en Haute-Normandie

Accès au financement des entreprises artisanales en Haute-Normandie Décembre 2012 Accès au financement des entreprises artisanales en Haute-Normandie La situation financière des entreprises artisanales et le recours aux banques Région Haute-Normandie Depuis novembre 2011,

Plus en détail

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Opportunités de croissance ou créations d entreprise, plus de 44 000 commerces ou industries

Plus en détail

ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION

ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION ANNEE 2011 1 ANANTA PATRIMOINE S.A. (Genève) est une société de gestion affiliée à l O.A.R.G. (Organisme d Autorégulation des Gérants de patrimoine) sous le numéro d agrément

Plus en détail

BaroJOB. Une priorité : Donner Envie aux Jeunes. Le Baromètre des Compétences Informatique/TIC en Pays de Loire Edition #5 / Mars-Avril 2014

BaroJOB. Une priorité : Donner Envie aux Jeunes. Le Baromètre des Compétences Informatique/TIC en Pays de Loire Edition #5 / Mars-Avril 2014 BaroJOB Une priorité : Donner Envie aux Jeunes Le Baromètre des Compétences Informatique/TIC en Pays de Loire Edition #5 / MarsAvril 2014 Filière IT : Confirmations et paradoxes 2 Filière IT : Confirmations

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Evolution des commerces à Paris. Inventaire des commerces 2014 et évolutions 2011-2014

DOSSIER DE PRESSE. Evolution des commerces à Paris. Inventaire des commerces 2014 et évolutions 2011-2014 DOSSIER DE PRESSE Evolution des commerces à Paris Inventaire des commerces 2014 et évolutions 2011-2014 Contacts presse : Ville de Paris : Marie Francolin : presse@paris.fr / 01.42.76.49.61 CCI Paris :

Plus en détail

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 3C HAPITRE 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties 54 3 < L ÉVOLUTION MONÉTAIRE EN 2008 L ÉVOLUTION

Plus en détail

Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise

Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise Stabilité de la confiance des dirigeants de PME-ETI Paris, 17 octobre 2013 La Banque Palatine, banque des moyennes

Plus en détail

Benchmark Email marketing

Benchmark Email marketing Benchmark Email marketing Une étude Experian Marketing Services - Premier Semestre 2012 Septembre 2012 Table des matières Méthodologie usages et bonnes pratiques de l'objet d'un email Focus sur les objets

Plus en détail

1 ER BAROMÈTRE DES PRIX DE L IMMOBILIER DE PARKING

1 ER BAROMÈTRE DES PRIX DE L IMMOBILIER DE PARKING 1 ER BAROMÈTRE DES PRIX DE L IMMOBILIER DE PARKING Inédit en France, MonsieurParking.com, société spécialisée dans l achat, la vente et la location de places de parking, crée le 1 er baromètre de l immobilier

Plus en détail

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ 3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit

Plus en détail

Baromètre: les Français et la confiance numérique Vague 2

Baromètre: les Français et la confiance numérique Vague 2 Baromètre: les Français et la confiance numérique Vague 2 Juin 2014 Contact - BVA Opinion Erwan LESTROHAN, directeur d études erwan.lestrohan@bva.fr - 01 71 16 90 9 Victor CHAPUIS, chargé d études Victor.chapuis@bva.fr

Plus en détail

Gestion de comptes. - Rapport d étude. Auteur Pôle Banque Finance et Assurance. N étude 1400127. Février 2014. Gestion de comptes

Gestion de comptes. - Rapport d étude. Auteur Pôle Banque Finance et Assurance. N étude 1400127. Février 2014. Gestion de comptes Gestion de comptes - Rapport d étude Auteur Pôle Banque Finance et Assurance N étude 1400127 Février 2014 1 Gestion de comptes Sommaire 1. La méthodologie 3 2. Les résultats de l étude 6 3. Annexes 12

Plus en détail

L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier.

L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier. L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier. Sommaire Synthèse 1 Arrivées hôtelières par pays 2 Nuitées

Plus en détail

Avec près des deux tiers des

Avec près des deux tiers des Les Dossiers de l Observatoire Régional du Tourisme n 42 - mars 2012 Le poids économique de l hôtellerie de plein air en Pays de la Loire Plus de 600 campings Un chiffre d affaires annuel de 230 millions

Plus en détail

Estimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans

Estimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Estimations des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Stanislas Spilka, Olivier Le Nézet et François Beck Note 2015-02 du 21 avril 2015 L enquête ESCAPAD Cette note présente les premières exploitations

Plus en détail

Conjoncture Filière cheval N 16 Septembre 2014

Conjoncture Filière cheval N 16 Septembre 2014 Conjoncture Filière cheval N 16 Septembre 214 L élevage Galop : des saillies en baisse à mi-année 214 Trot : hausse marquée de la production à mi-année 214 Selle : nouvelle baisse du nombre de juments

Plus en détail

RAPPORT. Sur la situation financière des organismes complémentaires assurant une couverture santé

RAPPORT. Sur la situation financière des organismes complémentaires assurant une couverture santé MINISTÈRE DE L'ÉCONOMIE ET DES FINANCES MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L'EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL RAPPORT Sur la situation

Plus en détail

Quand le QCA va. DTZ Research PROPERTY TIMES. Paris QCA T4 2014. Sommaire. Auteur. Contacts

Quand le QCA va. DTZ Research PROPERTY TIMES. Paris QCA T4 2014. Sommaire. Auteur. Contacts DTZ Research PROPERTY TIMES Quand le QCA va Paris QCA T4 214 8 Janvier 215 Sommaire Contexte économique 2 Demande placée et valeurs locatives 3 Offre 4 Définitions 5 Auteur Pierre d Alençon Chargé d Etudes

Plus en détail

Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes

Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes Le tableau de bord trimestriel Le bilan de l année 2014 Les taux des crédits immobiliers aux particuliers ENSEMBLE DES MARCHÉS - Prêts bancaires (taux

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

Agence Thomas Marko & Associés. Du 3 au 8 septembre 2010.

Agence Thomas Marko & Associés. Du 3 au 8 septembre 2010. Octobre 00 Nobody s Unpredictable Sondage effectué pour : Agence Thomas Marko & Associés Echantillon : 000 personnes, constituant un échantillon national représentatif de la population française âgée de

Plus en détail

1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales

1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales Quinzième inventaire Édition 2013 La production d électricité d origine renouvelable dans le monde Collection chiffres et statistiques Cet inventaire a été réalisé par Observ ER et la Fondation Énergies

Plus en détail

Les atouts de la France pour surmonter la crise

Les atouts de la France pour surmonter la crise Les atouts de la France pour surmonter la crise Institut CSA pour RTL Juin 01 Fiche technique Sondage exclusif CSA / RTL réalisé par Internet du 1 au mai 01. Echantillon national représentatif de 100 personnes

Plus en détail

Panorama 2004 du véhicule d entreprise et de la mobilité automobile professionnelle

Panorama 2004 du véhicule d entreprise et de la mobilité automobile professionnelle Avec la collaboration de vous présente Panorama 2004 du véhicule d entreprise et de la mobilité automobile professionnelle 25 mars 2004 1 Contexte 2ème vague du baromètre Observatoire du Véhicule d'entreprise/tns

Plus en détail

Observatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012. OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges

Observatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012. OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges Observatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012 OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges OpinionWay, 15 place de la République, 75003 Paris. Méthodologie Étude quantitative

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

Amundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique

Amundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique Trimestriel 27 Janvier 214 nº2 Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 213 Tendances > Progressif redémarrage de l activité attendue au 4 e trimestre 213, mais l évolution du PIB devrait rester

Plus en détail

Un moyen de limiter les risques

Un moyen de limiter les risques du Bâtiment er Trimestre Aquitaine de votre Centre de Gestion Agréé édito Dans ce nouveau numéro de l Observatoire du bâtiment, votre Centre de gestion fait le point sur le nouveau régime d Entrepreneur

Plus en détail

Étude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles

Étude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles Étude auprès de la génération X Le paiement virtuel et la gestion des finances Rapport Présenté à Madame Martine Robergeau Agente de Développement et des Communications 11 octobre 2011 Réf. : 1855_201109/EL/cp

Plus en détail

LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015

LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015 LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015 LES ÉTABLISSEMENTS 31 748 COMMERCES EN REGION LE COMMERCE DE DÉTAIL, REPRÉSENTE 1/3 DES ÉTABLISSEMENTS DE LA RÉGION

Plus en détail

D un tsunami à l autre. Etat des lieux de la générosité des français. «Défricher les nouveaux champs de la générosité» 3 décembre 2009

D un tsunami à l autre. Etat des lieux de la générosité des français. «Défricher les nouveaux champs de la générosité» 3 décembre 2009 D un tsunami à l autre. Etat des lieux de la générosité des français Antoine Vaccaro Chris Olivier Les sources L étude annuelle du CerPhi réalisée à partir des données de la Direction Générale des Finances

Plus en détail

LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER SEPTEMBRE 2012 N 4. www.objectif-lr.

LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER SEPTEMBRE 2012 N 4. www.objectif-lr. SEPTEMBRE 2012 N 4 4 LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER - Photos : Nicolas Bouzou, Peter Allan - 09/2012 EN PARTENARIAT AVEC www.objectif-lr.com

Plus en détail

Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas

Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de

Plus en détail

Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire

Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire Résultats de l enquête Ifop/Wincor sur les relations des Français à leur agence bancaire Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire -

Plus en détail

E-ASSURÉS RECHERCHE LE PROFIL DES PERSONNES ASSURANCE SANTÉ DES A LA SUR INTERNET D UNE PUBLIÉ PAR. 23 e ÉDITION

E-ASSURÉS RECHERCHE LE PROFIL DES PERSONNES ASSURANCE SANTÉ DES A LA SUR INTERNET D UNE PUBLIÉ PAR. 23 e ÉDITION L OBSERVATOIRE PUBLIÉ PAR LE PROFIL DES PERSONNES A LA RECHERCHE DES D UNE E-ASSURÉS 23 e ÉDITION SEPTEMBRE NOVEMBRE 2014 ASSURANCE SANTÉ SUR INTERNET QUI SOMMES-NOUS? PRÉSENTATION DE cmonassurance est

Plus en détail

Institut de la Protection Sociale

Institut de la Protection Sociale IPS 2012 Proposition 8 Institut de la Protection Sociale Proposition Auteur : BC Création : 31/12/2009 Modif. : 22/11/2012 Responsable rédaction Bruno CHRETIEN Contributeur Patrick ROY Sujet traité Repenser

Plus en détail

Conjoncture Filière cheval N 15 Juin 2014

Conjoncture Filière cheval N 15 Juin 2014 Conjoncture Filière cheval N 15 Juin 214 L élevage : premières tendances 214 Course : baisse des juments saillies en galop, contrairement au trot Selle et poneys : la baisse des juments et ponettes saillies

Plus en détail

Rapport Final. Etude Action «Illettrisme en entreprise, les salariés de bas niveau de qualification»

Rapport Final. Etude Action «Illettrisme en entreprise, les salariés de bas niveau de qualification» Rapport Final Etude Action «Illettrisme en entreprise, les salariés de bas niveau de qualification» Février 2001 Note méthodologique Rappel des objectifs Nous devons au terme de cette étude avoir : Cerné

Plus en détail

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»

Plus en détail

CA CEBATRAMA. 10 décembre 2014 PRESENTATION

CA CEBATRAMA. 10 décembre 2014 PRESENTATION CA CEBATRAMA 10 décembre 2014 CONJONCTURE TP 2014 2 TRAVAUX REALISES : L ACTIVITE POURSUIT SA BAISSE AU 3T 2014/13 12,0 11,5 11,0 milliards d'euros constants - prix 2013 2011 2012 2013 2014 +4,3% -1,7%

Plus en détail

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES

Plus en détail

LE SYSTÈME BANCAIRE COM DU PACIFIQUE ET FINANCIER DANS LES

LE SYSTÈME BANCAIRE COM DU PACIFIQUE ET FINANCIER DANS LES IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 LE SYSTÈME BANCAIRE ET FINANCIER DANS LES COM DU PACIFIQUE Trois catégories d établissements de crédit 1 sont implantées dans les collectivités d outremer du Pacifique : les banques

Plus en détail

CROISSANCE ET SANTÉ DES ENTREPRISES ACCOMPAGNÉES EN CAPITAL-TRANSMISSION EN 2012

CROISSANCE ET SANTÉ DES ENTREPRISES ACCOMPAGNÉES EN CAPITAL-TRANSMISSION EN 2012 CROISSANCE ET SANTÉ DES ENTREPRISES ACCOMPAGNÉES EN CAPITAL-TRANSMISSION EN 2012 Le AFIC Etudes 2014 www.afic.asso.fr MÉTHODOLOGIE Étude d impact économique et social (2013) Les statistiques sont établies

Plus en détail

[ les éco_fiches ] Situation en France :

[ les éco_fiches ] Situation en France : Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d

Plus en détail

A 13,3 jours, les retards de paiement des entreprises françaises sont au plus haut depuis dix ans.

A 13,3 jours, les retards de paiement des entreprises françaises sont au plus haut depuis dix ans. 1/6 COMMUNIQUE DE PRESSE ALTARES PRESENTE SON ETUDE SUR LES COMPORTEMENTS DE PAIEMENT DES ENTREPRISES EN FRANCE ET EN EUROPE AU 1 ER TRIMESTRE 2015. A 13,3 jours, les retards de paiement des entreprises

Plus en détail

Synthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires

Synthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires L0Z-Secrétaires Synthèse En moyenne sur la période 2007-2009, 484 000 personnes exercent le métier de secrétaire, assurant des fonctions de support, de coordination, de gestion et de communication. Les

Plus en détail

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège

Plus en détail

Flash économique. Agglomération de Montréal. Faits saillants. Septembre 2011

Flash économique. Agglomération de Montréal. Faits saillants. Septembre 2011 Septembre 2011 Faits saillants Selon les données émises par la Chambre immobilière du Grand Montréal, la revente de résidences dans l agglomération de Montréal a atteint les 16 609 transactions en 2010,

Plus en détail

1- Résultats généraux Consommations moyennes pour l ensemble des voitures particulières * Unité : litre/100 km

1- Résultats généraux Consommations moyennes pour l ensemble des voitures particulières * Unité : litre/100 km CONSOMMATIONS DE CARBURANTS DES VOITURES PARTICULIERES EN FRANCE 1988-2005 Direction Générale de l'énergie et des Matières Premières Observatoire de l économie de l énergie et des matières premières Observatoire

Plus en détail

Enquête sur les investissements dans l industrie

Enquête sur les investissements dans l industrie Note Méthodologique Dernière mise à jour : 30-08-2010 Enquête sur les investissements dans l industrie Avertissement : depuis mai 2010, les résultats de l enquête trimestrielle sur les investissements

Plus en détail

8 èmes Rencontres de l Épargne Salariale

8 èmes Rencontres de l Épargne Salariale Palais du Luxembourg 8 èmes Rencontres de l Épargne Salariale 18 octobre 2010 8 èmes Rencontres de l Épargne Salariale Palais du Luxembourg 18 octobre 2010 1 Palais du Luxembourg 8 èmes Rencontres de l

Plus en détail

«Extrait du cahier de l OPEQ n 148»

«Extrait du cahier de l OPEQ n 148» «Extrait du cahier de l OPEQ n 148» LE CONTEXTE ECONOMIQUE DU PRF 2006-2007 PREQUALIFICATION, QUALIFICATION, ACCES A L EMPLOI En 2007, l emploi salarié privé en région tend à la hausse sur l ensemble des

Plus en détail

Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison?

Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? 2013 : scénarios pour l économie française Scénario central 80% de probabilité

Plus en détail