RAPPORT DU DIRECTEUR GÉNÉRAL SUR LE SUIVI DU SOMMET MONDIAL SUR LA SOCIÉTÉ DE L INFORMATION PRÉSENTATION
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- Alain Alarie
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1 35 C 35 C/46 18 août 2009 Original anglais Point 5.9 de l ordre du jour provisoire RAPPORT DU DIRECTEUR GÉNÉRAL SUR LE SUIVI DU SOMMET MONDIAL SUR LA SOCIÉTÉ DE L INFORMATION PRÉSENTATION Source : La résolution 33 C/52 et la décision 174 EX/13 ont indiqué à l UNESCO la voie à suivre pour la mise en œuvre et le suivi du Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI). Le Directeur général présente à la Conférence générale un rapport sur la participation de l Organisation au suivi du SMSI. Antécédents : Depuis les deux réunions du SMSI à Genève en 2003 et Tunis en 2005, l UNESCO a joué un triple rôle comme l un des chefs de file de la coordination globale des activités du SMSI, facilitateur de la mise en œuvre de six Grandes orientations du Sommet dans ses domaines de compétence et exécutant d activités concrètes dans le cadre de ses programmes et budgets. Elle a également joué un rôle croissant dans divers projets de suivi du SMSI, y compris dans le débat international sur la gouvernance de l Internet. Objet : Le présent document rend compte des mesures que l UNESCO a prises depuis la phase de Tunis du SMSI (2005) et a pour objet d obtenir de la Conférence générale qu elle approuve ces mesures et s engage de nouveau à faire en sorte que l UNESCO continue de participer, dans ses domaines de compétence, aux mécanismes de suivi et de mise en œuvre du SMSI. Décision requise : Paragraphe 39.
2 35 C/46 page 2 1. Le Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI), avec l adoption de la Déclaration de principes et du Plan d action de Genève (2003) et celle de l Engagement et de l Agenda de Tunis pour la société de l'information (2005), a été l un des moments forts de la tradition des sommets tenus par l ONU. Réunissant des représentants de gouvernements, d organisations intergouvernementales et non gouvernementales internationales, de la société civile et du secteur privé dans le cadre d une démarche inclusive sans précédent, le SMSI a permis aux participants de comprendre les fondements de la procédure à suivre pour exploiter le potentiel des TIC en définissant les principes et mesures à appliquer pour édifier une société de l information centrée sur la personne, inclusive et axée sur le développement, où chacun peut créer, consulter, utiliser et partager l information et le savoir. Il a fixé, sur la base des objectifs de développement convenus au niveau international, des buts indicatifs à atteindre d ici à A. Le concept de sociétés du savoir, contribution originale de l UNESCO au SMSI 2. La contribution originale de l UNESCO au SMSI a été de mettre en avant, au-delà de la connectivité et de l infrastructure, la dimension humaine de la société de l information, de souligner l importance de la liberté d expression, de l éducation, de la maîtrise de l information, des contenus et du plurilinguisme, et de préconiser l adoption, tout au long de ce processus, d une démarche pluridisciplinaire. 3. Pour sous-tendre sa démarche originale, l UNESCO a mis en avant le concept de sociétés du savoir, qui se fonde sur quatre principes essentiels : liberté d expression, éducation de qualité pour tous, accès de tous à l information et au savoir, et respect de la diversité culturelle et linguistique. Le concept de sociétés du savoir a été reconnu par la Déclaration de principes de 2003, qui a fait référence à la nécessité d édifier une «véritable société du savoir». Le Rapport mondial de l UNESCO intitulé «Vers des sociétés du savoir», publié en 2005 pour le Sommet de Tunis, a développé encore ce concept en analysant les problèmes rencontrés et en conseillant et recommandant des mesures pluridisciplinaire axées sur l avenir. 4. Aujourd hui, malgré les progrès accomplis dans la réduction de la fracture numérique, y compris par le développement rapide du nombre et de l utilisation des appareils portables, la fracture du savoir demeure, tant au sein des pays qu entre eux. L objectif de l UNESCO consistant à édifier des sociétés du savoir, qui est l un des objectifs primordiaux de sa Stratégie à moyen terme pour (34 C/4), demeure plus valable que jamais. B. Rôle de l UNESCO dans le suivi du SMSI 5. Le rôle que l UNESCO joue dans le suivi du SMSI est triple. Elle (a) contribue à la coordination globale de l exécution du Plan d'action du SMSI, (b) facilite, dans ses domaines de compétence, la mise en œuvre de six Grandes orientations du SMSI ; et (c) met en œuvre le Plan d'action du SMSI. (a) Contribution à la coordination globale de l exécution du Plan d'action du SMSI 6. Le SMSI a confié à l UNESCO, à l Union internationale des télécommunications (UIT) et au Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) le soin de faciliter l exécution du Plan d'action de Genève. Ce rôle consiste notamment à faciliter la cohérence entre les équipes qui mettent en œuvre les 11 Grandes orientations du Plan d'action et à créer des synergies entre les facilitateurs pour maximiser les activités conjointes, éviter les redondances et accroître l efficacité des équipes de facilitateurs chargées de chaque Grande orientation. Il consiste également à organiser des réunions annuelles de facilitation autour de la Journée mondiale de la société de l'information, célébrée chaque 17 mai depuis Pour coordonner la résolution des questions de fond et de politique que pose la mise en œuvre des résultats du SMSI par le système des Nations Unies, le Conseil des chefs de secrétariat des organismes des Nations Unies pour la coordination (CCS) a créé le Groupe des Nations Unies sur la société de l'information avec, comme coprésidents, l UNESCO, l UIT, le
3 35 C/46 page 3 PNUD et la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED). En mai 2009, le Groupe a donné suite à la demande que lui avait adressée le CCS/HLCP de réviser son mandat initial afin d y inclure également la coordination des activités scientifiques et technologiques visant le développement (décision du CCS/HLCP). 8. Alors que les procédures officielles de coordination globale des mécanismes d exécution ont été mises en place, la principale difficulté a été de maintenir la dynamique de Genève et de Tunis et d engager la mise en œuvre pluridisciplinaire de mesures concrètes dans le cadre de projets conjoints. Pour accroître le niveau d engagement des intervenants, il a été adopté, en 2009, pour la réunion annuelle de facilitation, une nouvelle formule : le Forum SMSI. De l avis des participants, l accent placé sur des thèmes qui transcendent les Grandes orientations du SMSI (comme les TIC pour le développement), la participation de personnalités de haut niveau et les possibilités de création de réseaux structurés pouvaient grandement contribuer à relancer l intérêt pour la mise en œuvre du SMSI et à préparer l examen à mi-parcours de 2010 dans l optique de la réalisation des objectifs de Toujours pour améliorer la coordination pluridisciplinaire et faciliter la communication et la coopération également entre les réunions, l UNESCO a créé une plate-forme en ligne ( qui permet de former des réseaux sociaux élaborés. (b) Facilitation de la mise en œuvre de six Grandes orientations du SMSI 10. La deuxième tâche de l UNESCO, dans le cadre du suivi du Plan d action du SMSI, consiste à faciliter la mise en œuvre pluridisciplinaire de six Grandes orientations dans ses domaines de compétence, à savoir l accès à l information et au savoir (C3) ; le télé-enseignement (C7) ; la cyberscience (C7) ; la diversité et l identité culturelles, la diversité linguistique et les contenus locaux (C8) ; les médias (C9) et les dimensions éthiques de la société de l information (C10). Ces tâches consistent à faciliter la création de réseaux, l échange d informations, l échange d expériences et de bonnes pratiques, et la recherche de synergies entre les intervenants. 11. L UNESCO a assumé son rôle de facilitateur en mettant au point, avec les différents intervenants et partenaires, le mandat, les méthodes de travail et les outils de base requis pour faciliter la mise en œuvre conjointe des six Grandes orientations ci-dessus. Elle a coorganisé des manifestations pluridisciplinaires en 2006, 2007, 2008 et 2009 en marge de la Journée mondiale de la société de l'information, qui se tient le 17 mai. Ces manifestations ont permis aux participants au SMSI de partager des informations, de prendre connaissance des derniers développements, de créer des réseaux et de former des partenariats, de satisfaire les besoins existants et d élaborer des stratégies communes (pour améliorer, par exemple, l accès à l information scientifique) pour atteindre les objectifs du SMSI d ici à (c) Mise en œuvre du Plan d'action de Genève 12. La troisième tâche de l UNESCO consiste à mettre en œuvre, dans ses domaines de compétence, des activités concrètes prévues dans le Plan d'action de Genève. Nombre de ces activités ont été reprises dans les stratégies de l UNESCO et intégrées dans les programmes et budgets biennaux successifs, y compris le projet de 35 C/5, en particulier dans le grand programme V «Communication et information», mais également dans les autres grands programmes, ce qui souligne la nature intersectorielle de la mise en œuvre du SMSI. Les principales réalisations 1 de l Organisation, à cet égard, sont les suivantes : Accès à l'information et au savoir (Grande orientation C3) 13. Dans le domaine de l accès à l information et au savoir, l UNESCO a mis en œuvre un large éventail d activités destinées à exploiter les TIC pour permettre à chacun d'entre nous, en tout 1 Pour tout complément d information, voir
4 35 C/46 page 4 point du monde, d'accéder quasi instantanément à l'information et au savoir 2. Dans le cadre du Programme Information pour tous (PIPT), par exemple, l UNESCO aide les États membres à élaborer des politiques nationales qui traitent de questions telles que la maîtrise, la préservation et l accessibilité de l information. Elle s est également attachée à renforcer le rôle des archives et des bibliothèques (infostructures) et celui des établissements d enseignement pour créer des sociétés qui maîtrisent l information. 14. Le Programme Mémoire du monde, qui est l une des initiatives phares de l UNESCO, a aidé à protéger et à mettre à disposition des documents originaux et à sensibiliser le public et les décideurs à l importance du patrimoine et de la mémoire. Les liens noués entre le Programme et la Bibliothèque numérique mondiale récemment lancée serviront de cadre au développement national et à une possible coopération régionale, y compris l offre de contenus divers et multilingues sur l Internet. 15. Dans le cadre de divers partenariats, l UNESCO a encouragé l élaboration de politiques d accès libre et de contenus ouverts ainsi qu une diversité de choix par l utilisation d outils à code source libre, en particulier pour l éducation et l information scientifique. Télé-enseignement (Grande orientation C7) 16. Dans le domaine du télé-enseignement, l UNESCO s est employée à démontrer l'intérêt des différents systèmes d'enseignement qui utilisent les TIC, en particulier pour ce qui est d atteindre les objectifs de l'éducation pour tous 3. Elle a appuyé, par exemple, des projets de téléenseignement en Afrique, dans les États arabes, en Asie-Pacifique, en Europe, en Amérique latine et dans les Caraïbes, cela pour l éducation tant formelle qu informelle. Des moyens de développement des capacités ont été offerts aux ministères de l éducation, aux établissements d enseignement supérieur et de formation d enseignants, et aux éducateurs de centres d apprentissage ou multimédia. 17. Comme exemples de projets de télé-enseignement, on citera le Cadre de compétences en TIC pour les enseignants, instrument qui a pour objet de définir les capacités d enseignant requises pour utiliser les TIC dans l enseignement et dans l apprentissage, et la Plate-forme de formation libre, plate-forme d apprentissage collaboratif en ligne qui possède près de outils de formation et de renforcement des capacités. 18. Comme autres exemples d activités que l UNESCO a mises en œuvre pour intégrer les TIC aux systèmes d éducation, on citera le développement et l application des TIC dans un référentiel destiné aux responsables de l éducation ( le développement des capacités des responsables et planificateurs de l éducation et une initiative qui vise à promouvoir les ressources éducatives libres pour permettre à des centaines d acteurs du monde entier d échanger des vues et de débattre régulièrement de thèmes importants. Cyberscience (Grande orientation C7) 19. Dans le domaine de la cyberscience, l UNESCO s est employée à mettre en œuvre des activités qui visent à rendre l information scientifique abordable et accessible dans tous les pays de façon équitable 4. On signalera, en particulier, les travaux menés sur l accès au savoir scientifique et sur sa diffusion, un accent particulier étant placé sur les pays en développement et sur l élaboration de stratégies d accès libre pour la cyberscience. Pour promouvoir, par exemple, le savoir pour le développement durable par les TIC, l UNESCO a mis au point, en coopération avec l éditeur EOLSS, l Encyclopédie des systèmes permettant la vie, principale base de connaissances mondiale sur le développement durable, à laquelle les universités des pays les moins avancés et de nombreux établissements ont gratuitement accès Plan d'action de Genève, C3. Accès à l'information et au savoir, paragraphe 10. Plan d'action de Genève, C4. Renforcement des capacités, paragraphe 11 (f). Plan d'action de Genève, C3. Cyberscience, paragraphe 22 (b).
5 35 C/46 page Une autre activité a consisté à tenter de résoudre la pénurie d enseignants scientifiques qualifiés et formés, qui est un obstacle majeur à l enseignement des sciences, par exemple en Afrique. Le Campus virtuel africain en science et technologie s emploie, par conséquent, à accroître l aptitude des États membres d Afrique subsaharienne à former des enseignants scientifiques et techniques par le télé-enseignement. Deux centres opérationnels du Campus dotés d équipements multimédia ont été mis sur pied au Bénin et au Sénégal et utilisés pour dispenser une formation à la production de modules en ligne et de programmes de téléenseignement. 21. Pour promouvoir sur le long terme la collecte, la diffusion et la préservation systématiques et efficaces de données numériques scientifiques 5, l UNESCO a, par exemple, célébré l Année internationale de la planète Terre (2008), qui a mis en avant les possibilités d appliquer les TIC à l étude et à la compréhension du système terrestre et de ses ressources. Les activités ont notamment porté sur l application des techniques spatiales à la gestion des ressources en eau en Afrique, sur la mise au point d un système de surveillance des sécheresses pour l Afrique et sur l élaboration de l Atlas mondial des aquifères transfrontières. Diversité et identité culturelles, diversité linguistique et contenus locaux (Grande orientation C8) 22. Dans le domaine de la promotion de la diversité et de l identité culturelles, de la diversité linguistique et des contenus locaux dans le cyberespace, la contribution de l UNESCO se fonde sur la conviction que la diversité culturelle et linguistique, qui entraîne le respect de l'identité culturelle, des traditions et des religions, est essentielle au développement d'une société de l'information fondée sur le dialogue entre les cultures Les activités de l UNESCO ont porté, par exemple, sur la promotion de la diversité culturelle et du dialogue par la préservation de la diversité linguistique, la formulation de politiques linguistiques nationales et la diffusion de contenus locaux, également fondés sur les savoirs autochtones. Aux niveaux national et régional, l UNESCO s est employée à renforcer les capacités et à prodiguer des conseils de politique générale dans le cadre de partenariats pluridisciplinaires afin d appuyer l élaboration de politiques linguistiques régionales et nationales. 24. En tant qu organisation chef de file pour la coordination de l Année internationale des langues (2008), l UNESCO a sensibilisé les décideurs et le public à l importance de la diversité linguistique, y compris en organisant d importantes conférences sur les instruments normatifs qui promeuvent le plurilinguisme, la diversité linguistique et culturelle dans le cyberespace, et les liens qui existent entre la diversité linguistique, la mondialisation et le développement. 25. Pour assurer la représentation la plus large possible des communautés linguistiques et culturelles sur l Internet et étendre l accès à des contenus qui intéressent toutes les cultures et toutes les langues, l UNESCO a renforcé sa coopération avec l Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN). Les activités ont visé à contribuer, par des compétences linguistiques, à la mise en place de noms de domaine multilingues et multi-écritures, et à sensibiliser les États membres à cette importante évolution de l Internet. Médias (Grande orientation C9) 26. Dans le domaine des médias, l action de UNESCO tient compte du fait que les médias, sous toutes leurs formes, ont un rôle essentiel à jouer dans l'édification de la société de l'information et sont reconnus pour leur contribution importante à la liberté d'expression et au pluralisme de l'information 7. C est pourquoi, outre la promotion de la liberté d expression et de la liberté de la presse, l UNESCO a aidé les pays à encourager le développement de médias libres, indépendants et pluralistes en facilitant la formulation et l adoption de réglementations propices à la liberté Plan d'action de Genève, C3. Cyberscience, paragraphe 22 (d). Plan d'action de Genève, C8. Diversité et identité culturelles, diversité linguistique et contenus locaux, paragraphe 23. Plan d'action de Genève, C9. Médias, paragraphe 24.
6 35 C/46 page 6 d expression, en encourageant la pluralité et la diversité des médias et leur utilisation comme plates-formes de débat démocratique, en renforçant les moyens des professionnels des médias et en promouvant le développement de capacités d infrastructure. 27. Une autre contribution importante de l UNESCO à la mise en œuvre du SMSI dans le domaine des médias est la mise au point d indicateurs de développement des médias. En outre, avec l appui du Programme international pour le développement de la communication (PIDC), l UNESCO a mis en œuvre plus de 250 projets de partenariat pour le développement des médias dans le monde et a renforcé l enseignement du journalisme par des programmes types. Elle a aidé des écoles de journalisme d Afrique à respecter les critères convenus d excellence de la formation et a formé des formateurs à communiquer sur le développement durable. Elle a produit des directives concernant la prise en compte des spécificités hommes-femmes, a encouragé l égalité des sexes dans les médias et favorisé l accès des communautés à l information en créant, dans le monde, des centres multimédia communautaires (CMC). Dimensions éthiques de la société de l'information (Grande orientation C10) 28. En ce qui concerne les dimensions éthiques de la société de l'information, l UNESCO a travaillé avec tous les acteurs pour promouvoir les valeurs universelles et le bien commun 8 des TIC. Cette activité a bien entendu englobé celles que l UNESCO mène actuellement pour promouvoir le respect de la paix et préserver les valeurs fondamentales que sont la liberté, y compris la liberté d expression et la liberté d information, l'égalité, la solidarité, la tolérance, le partage des responsabilités et le respect de la nature. 29. Pour sensibiliser les acteurs à la déontologie des TIC, l UNESCO a par exemple facilité, chez les professionnels des médias et de l information, les décideurs et les experts de nombreux secteurs, sous l égide du PIPT, la réflexion, le débat et le partage d informations sur les aspects éthiques, juridiques et sociétaux de la société de l information, cela dans le cadre de plusieurs ateliers régionaux consacrés à l éthique tenus à ce jour en Amérique latine, en Afrique, en Europe et en Asie-Pacifique, y compris des réflexions sur l éthique de l information et sur la gouvernance en ligne. C. Participation aux initiatives internationales de suivi du SMSI 30. Outre son triple rôle de coordonnateur, de facilitateur et d exécutant des résultats du SMSI, l UNESCO a contribué, du point de vue stratégique, à d importants projets mis en œuvre suite au SMSI, mettant en avant le concept original de sociétés du savoir. Cette activité a englobé le Partenariat sur la mesure des TIC au service du développement et le débat mené autour de la gouvernance de l Internet. Partenariat sur la mesure des TIC au service du développement 31. L Institut de statistique de l'unesco a, sous l égide du Partenariat sur la mesure des TIC au service du développement, dirigé la mise au point d indicateurs internationalement comparables qui permettent de mesurer les progrès accomplis par les pays vers l intégration des TIC dans l éducation. L Institut a présenté, à la 40 e session de la Commission de statistique de l ONU, en février 2009, neuf indicateurs internationaux de base et a lancé un Groupe de travail sur les statistiques relatives aux TIC dans l'éducation avec la participation volontaire de plus de 20 pays, qui testent ces outils pour suivre les progrès réalisés dans la réalisation des objectifs du SMSI. Gouvernance de l'internet 32. Parmi les importants résultats de la phase du Tunis du SMSI, on citera la création, par le Secrétaire général de l ONU, dans le cadre d un processus ouvert et inclusif, du Forum de dialogue pluridisciplinaire sur la gouvernance de l'internet (FGI), qui a pour mandat, actuellement à 8 Plan d'action de Genève, C10. Dimensions éthiques de la société de l'information, paragraphe 25.
7 35 C/46 page 7 l étude, d examiner pendant cinq ans les questions de politique publique que pose cette gouvernance. 33. La création du FGI est née de la reconnaissance du fait que l Internet est un outil public mondial dont il faut régler la question de la gouvernance si l on veut mettre en place une société de l information. La gestion internationale de l Internet devrait être un processus transparent, démocratique et multilatéral, avec la participation des gouvernements, du secteur privé, de la société civile et des organisations internationales, dans leurs rôles respectifs Ayant contribué aux réunions du FGI en 2006, 2007 et 2008 et préparant sa contribution à la quatrième réunion, qui doit se tenir en novembre 2009, l UNESCO a constamment mis en avant le fait qu il faudrait fonder les mécanismes de gouvernance de l Internet sur le principe d «ouverture», qui englobe l interopérabilité, la liberté d expression inhérente aux sociétés du savoir, et la résistance à toute tentative de censurer les contenus. Il ne devrait y exister, dans les mécanismes de gouvernance de l Internet, rien qui entrave la libre circulation de l information et des idées. 35. L absence de diversité linguistique, en termes de contenus et de conception technique, est l un des principaux obstacles à l utilisation de l Internet. Comme cet aspect essentiel de la gouvernance de l Internet est au coeur de sa propre mission, l UNESCO continuera de contribuer à la mise en place de noms de domaine multilingues qui permettront aux utilisateurs de créer et d utiliser des domaines dans leur propre langue et écriture, ce qui développera le potentiel de l Internet en tant qu espace véritablement accessible à tous. D autres domaines qui revêtent de l importance pour l UNESCO sont la liberté d expression, l accès à l information et la protection des données et de la vie privées. D. Engagement continu de l UNESCO 36. L accès à la technologie et la connectivité s étant développés de manière exponentielle depuis les deux réunions du SMSI tenues à Genève et à Tunis, la vision des participants au Sommet, qui était d'édifier une société de l'information à dimension humaine, inclusive et privilégiant le développement et, en fait, des sociétés du savoir, semble se concrétiser de plus en plus malgré les fractures qui subsistent dans le domaine numérique et dans celui du savoir. Dans ce contexte en rapide évolution, l UNESCO continuera d aider ses partenaires à exploiter le potentiel de la technologie pour développer l accès à l information et au savoir, encourager, en particulier, l éducation, la recherche, l innovation et la diversité culturelle, et mettre en œuvre son concept de sociétés du savoir. 37. L UNESCO s efforcera également d appliquer les principes énoncés par le SMSI et d atteindre, dans son triple rôle de coordonnateur, facilitateur et exécutant, les objectifs de son Plan d action. Ce faisant, elle s efforcera de recentrer la mise en œuvre globale du SMSI sur l obtention de résultats concrets. 38. Pour atteindre les objectifs du SMSI, cependant, il faut renforcer les partenariats et obtenir un engagement renouvelé de toute la communauté internationale compte tenu, en particulier, des multiples crises qui exacerbent actuellement les difficultés de suivi et de mise en œuvre du Sommet. L UNESCO continuera d encourager l inclusion et la participation active de nombreux acteurs à la mise en œuvre et à d autres initiatives de suivi du SMSI, de faciliter systématiquement la mise en œuvre du SMSI aux niveaux régional et national, y compris en défendant l inclusion des questions liées au SMSI dans la programmation par pays de l ONU, en encourageant la coordination et la facilitation internationales et en analysant, avec ses partenaires, les principales tendances nouvelles qui se sont fait jour, en matière d édification de sociétés du savoir, depuis les Sommets de Genève et de Tunis. 9 Agenda de Tunis pour la société de l'information, paragraphe 61.
8 35 C/46 page 8 E. Projet de résolution proposé 39. À la lumière de ce qui précède, la Conférence générale souhaitera peut-être adopter la résolution ci-après : La Conférence générale, Reconnaissant l importance des engagements du Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI) pour la réalisation, d ici à 2015, des objectifs de développement convenus au niveau international et l importance des technologies de l'information et de la communication (TIC) pour le développement, Rappelant la résolution 33 C/52 et la décision 174 EX/13, consacrées au rôle que doit jouer l UNESCO dans le suivi du SMSI, Notant le rôle important que la communauté internationale a confié à l UNESCO dans la mise en œuvre du Plan d'action du SMSI en tant que l un des chefs de file de la coordination globale, facilitateur de la mise en œuvre de six Grandes orientations du SMSI dans ses domaines de compétence, et exécutant du Plan d'action du SMSI, Se félicitant des mesures prises par le Directeur général pour la mise en œuvre du Plan d'action du SMSI, 1. Invite les États membres et les Membres associés à : (a) participer activement à la mise en œuvre du Plan d'action du SMSI ; (b) fournir des fonds extrabudgétaires à l appui des activités de suivi et de mise en œuvre du SMSI que mène l UNESCO ; 2. Invite les organisations non gouvernementales qui entretiennent des relations officielles avec l UNESCO, le secteur privé et la société civile à : (a) (b) collaborer étroitement avec les gouvernements, d autres acteurs et l UNESCO à la mise en œuvre du Plan d'action du SMSI ; renforcer la coopération avec le Secrétariat de l UNESCO au Siège et sur le terrain pour mettre en œuvre le Plan d'action du SMSI ; 3. Prie le Directeur général de : (a) (b) continuer à développer le concept de «société du savoir» en vue de l appliquer aux niveaux régional et national, notamment en incluant des objectifs correspondants dans les Plans-cadres des Nations Unies pour l'aide au développement (PNUAD) ; faire en sorte que l UNESCO continue de jouer, de manière intersectorielle et interdisciplinaire, son rôle de coordonnateur, facilitateur et exécutant ; (c ) renforcer la participation de l UNESCO au débat international sur la gouvernance de l Internet ; (d) continuer à développer le concept de «société du savoir» en vue de l appliquer aux niveaux régional et national de façon qu il soit pleinement mis en œuvre dans les Plans-cadres des Nations Unies pour l'aide au développement (PNUAD) ;
9 35 C/46 page 9 (e) (f) inclure, dans les plans de travail du 35 C/5, des dispositions qui permettent à l UNESCO de continuer à contribuer à la mise en œuvre du Plan d'action de Genève ; faire en sorte que le Projet de programme et de budget pour (36 C/5) contienne des dispositions qui permettent à l UNESCO de contribuer à la réalisation des objectifs du SMSI d ici à Ce document est imprimé sur du papier recyclé.
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