DIFFICILE SORTIE DE CRISE POUR L INDUSTRIE MARS 2014 FRANÇAISE

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1 DIFFICILE SORTIE DE CRISE POUR L INDUSTRIE MARS 2014 FRANÇAISE

2 ENQUÊTES DE CONJONCTURE 115 moyenne de long terme = variation sur un an en % PIB (échelle de droite) Indice PMI des directeurs d achat Indice Insee du climat des affaires (échelle de gauche) 0, Sources : Insee, Markit

3 Les enquêtes de conjoncture, publiées chaque mois par plusieurs instituts, témoignent du difficile rebond de l activité en France. L indice du climat des affaires auprès des industriels, mesuré par l Insee, est stabilisé à 100 depuis trois mois, niveau équivalent à la moyenne relevée ces dernières décennies. Il était monté à 111 à la mi-2011 et à 112 avant le déclenchement de la crise de Les directeurs d achat interrogés par Markit ne sont guères plus optimistes. L indice PMI est en effet installé sous le seuil d accroissement de l activité (50) depuis plus de deux ans et demi. Le rebond du début 2014 efface seulement les mauvais résultats de la fin du dernier exercice. L indice de la Banque de France, non représenté ici, se révèle lui aussi hésitant, revenant de 101 en novembre à 98 en février.

4 SECTEUR MANUFACTURIER ET MÉTALLURGIQUE début 2008 = Industrie manufacturière 90 Production manufacturière Métallurgie Production métallurgique Source : Insee

5 La production manufacturière, qui s était redressée en , a rechuté les deux années suivantes, avant de plafonner tout au long de Dans les industries métallurgiques, le profil est identique, même si la correction intervenue pendant la crise avait été plus impressionnante. En janvier 2014, l activité se situe en retrait de 19 % par rapport au pic d il y a six ans. Sur la même période, le recul de l emploi métallurgique a été moins marqué (- 13 %). Dans l attente du retour de la croissance, les entreprises ont en effet différé l ajustement de leurs effectifs. L écart entre les deux séries est en cours de normalisation. Depuis quelques mois, l emploi continue de baisser, alors que la production stagne. Cette normalisation devrait perdurer tout au long de l année.

6 PRODUCTION MÉTALLURGIQUE Biens d équipement début 2008 = 100 mm3 m Informatiques et électroniques (4,2 %) Autres biens Construction aéronautique, navale et ferroviaire (5,2 %) Électriques(4,4 %) Réparation et installation (9,9 %) Automobile (5,9 %) Autres machines et équipements (7,1 %) Métallurgie et produits métalliques (17,9 %) Source : Insee

7 Parmi les sept sous-secteurs de la métallurgie, seul celui de l aéronautique bénéficie d un niveau de production supérieur à celui observé au début L activité s y est envolée tout au long de 2013, avant de marquer le pas en fin de période. Parallèlement, la production se redresse dans l automobile après la chute de , restant néanmoins inférieure de plus de 30 % à son record. La situation demeure inchangée depuis de nombreux mois pour les produits métalliques, de même que pour la réparation de machines, peu sensible aux cycles conjoncturels. Dans les biens d équipement, une quasi-stagnation est enregistrée depuis trois ans. L inflexion positive de la fin de période dans l électronique est interrompue.

8 110 SECTEURS MANUFACTURIER ET MÉTALLURGIQUE début 2008 = Industrie manufacturière Métallurgie Source : Douanes

9 La contraction des échanges mondiaux au plus fort de la crise avait été d une ampleur exceptionnelle. Elle a été suivie d un rebond, de sorte que les exportations françaises ont retrouvé leur point haut antérieur courant En moyenne annuelle 2013, les ventes à l étranger de produits manufacturés ont diminué de 1,7 % et celles des seuls produits métallurgiques de 2,5 %. La demande en provenance des pays européens reste à la peine, tandis que celle des pays tiers baisse après trois excellents exercices.

10 ENTREPRISES NON FINANCIÈRES Investissements Immatriculations 100 début 2008 = milliers en rythme annuel Véhicules utilitaires de moins de 5 tonnes Sources : Insee, CCFA

11 Les investissements des entreprises non financières n ont cessé de reculer entre 2011 et l été 2013, affectés à la fois par la récession européenne et l alourdissement de la fiscalité. Ils se situent à un niveau inférieur de près de 12 % à leur pic de Une éclaircie est intervenue à la fin de l année, les investissements progressant de 0,9 %. Toutefois celle-ci relève pour une large part d un aléa favorable, les entreprises anticipant l achat de véhicules avant la mise en œuvre d une nouvelle réglementation du bonus-malus écologique au 1 er janvier De surcroît, une nouvelle norme anti-pollution sera appliquée à cette date pour les poids lourds.

12 ENTREPRISES NON FINANCIÈRES 105 début 2008 = En services marchands En produits industriels En construction Source : Insee

13 Le profil des investissements des entreprises diffère selon le type de dépenses. Celles en construction, en repli quasi continu depuis six ans, sont les plus affectées. Le reflux des permis de construire ces derniers mois laisse craindre une poursuite du mouvement. Les investissements en produits industriels (35 % du total), qui avaient particulièrement souffert pendant la crise, ont rechuté en sous l effet de la réduction des achats de véhicules utilitaires. En revanche, celles en biens d équipement ont plutôt résisté. Enfin, les investissements en services marchands, qui relèvent pour l essentiel de dépenses en logiciels et en conseil informatique, n évoluent guère depuis trois ans et demi.

14 La production industrielle française reste très en deçà de son niveau d avant-crise, alors que l Allemagne l a retrouvé. En outre, les enquêtes ne présagent pas d un rebond au cours des prochains mois. La France ne parvient pas à bénéficier de la forte demande mondiale, en raison d une compétitivité insuffisante. Ce cercle vicieux peut être brisé par un rebond de l investissement industriel, créateur de gain de productivité et de montée en gamme de notre production. Les emplois qualifiés, liés à ces activités, ne doivent donc pas être écartés des allègements du coût du travail.

15 Les séries statistiques sont issues de la banque de données Thomson Reuters Datastream.

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