GRIPPE et personnes âgées
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- Edith Beaudoin
- il y a 8 ans
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1 GRIPPE et personnes âgées DES Gériatrie Mai 2012 Dr Elodie CURLIER Maladies Infectieuses
2 PLAN DE L EXPOSÉ La grippe Intérêt de la vaccination anti-grippale? Gestion d une épidémie de grippe saisonnière en EHPAD
3 PLAN DE L EXPOSÉ La grippe 1) généralités 2) chez le sujet âgé Intérêt de la vaccination anti-grippale? Gestion d une épidémie de grippe saisonnière en EHPAD
4 Le virus grippal Myxovirus influenzae Virus à ARN monocaténaire Comporte plusieurs genres : A, B, C. Seuls les genres A et B sont pathogènes pour l homme Chaque genre est divisé en sous types selon la composition de 2 protéines Hémaglutinine (H) Neuraminidase (N) Potentiel de mutation élevé
5 Les virus grippaux Type A : Existent chez l homme et chez l animal Sous types généralement différents et distincts Types B et C : presque exclusivement chez l homme. Réservoirs animaux : Oiseaux aquatiques, Porcs Localisation dans le tractus digestif (transmission fécale) Présence de nombreux sous-types pour M. influenza A : 15 HA 9 NA Réservoirs humains : Seulement 3 sous-types circulent H1N1, H1N2 et H3N2. H1 ayant une meilleur affinité pour le récepteur cellulaire que H3.
6 Mutations du virus grippal Glissement antigénique : mutations ponctuelles H (et/ou N) => Epidémie Modifications antigéniques mineures. L'immunité acquise dans la population humaine lors des précédentes épidémies va sélectionner le virus mutant. Ce dernier peut alors se multiplier et causer une épidémie. Immunité croisée entre deux variants consécutifs. Le virus de la grippe B se modifie exclusivement par glissement antigénique. Cassure : recombinaison entre gènes H (et/ou N) de virus humains et de virus animaux => Pandémie Modifications antigéniques majeures Nécessitent l'infection simultanée d'un même individu par 2 virus distincts. Pas ou peu d immunité croisée entre deux sous-types A Ne concerne que le type A
7 Recombinaison entre sous types humains et animaux Favorisée par promiscuité humains-animaux Facilitée par hôte intermédiaire : le porc Sensible à la grippe aviaire et à la grippe humaine Peut aussi se produire directement chez l homme en cas de co-infection
8 Mécanisme théorique de réassortiment pour l émergence d un virus pandémique A(H 1 N 1 ) Virus PB1 HA NA PB1 HA
9 Les Virus Influenza Pandémiques Année Sous-type viral Lieu d origine 1889 A/H2N2 Europe 1898 A/H3N2 Europe 1918 A/H1N1 «grippe espagnole» 1957 A/H2N2 «grippe asiatique» 1968 A/H3N2 «grippe de Hong Kong» 2009 A/H1N1v Mexique
10 Épidémiologie de la Grippe 10
11 Les Pandémies Grippales du XX ème et XXI ème Siècle Pandémie Date Décès Grippe espagnole Grippe asiatique Grippe de Hong Kong Grippe A/H1N1v à 100 millions à 1,5 millions 0,75 à 1 millions Virus impliqué Index de sévérité A/H1N1 5 A/H2N2 2 A/H3N ? A/H1N1 1 11
12 La grippe : une maladie infectieuse contagieuse Incubation : 1 à 7 jours Signes (toux, fièvre, courbatures) : 5 à 10 jours. Contagiosité : maximum de 12 jours 24 à 48 heures avant l apparition des signes pendant la période symptomatique Transmission : Essentiellement par voie aérienne (respiratoire) Aussi par contact => surfaces de contacts souillées Lors des contacts rapprochés Favorisée par le confinement
13 Pouvoir pathogène des virus grippaux Transmission du virus par aérosols, gouttelettes et contact (aviaire : déjection, plumes, viande crue, eau souillée,...) Production dans les sécrétions respiratoires pendant 5-10 jours, occasionnellement jusqu à 21 jours (enfants). La période de production virale est constamment plus étendue dans le cas des souches aviaires (enfants et adultes)
14 PLAN DE L EXPOSÉ La grippe 1) généralités 2) chez le sujet âgé Intérêt de la vaccination anti-grippale? Gestion d une épidémie de grippe saisonnière en EHPAD
15 Grippe : Populations à risque 15
16 Personnes à Risque Accru de Complications et de Décès Liés à la Grippe Nourrissons < 2 ans. Personnes âgées > 65 ans. Sujets avec maladies chroniques sous-jacentes: Insuffisance respiratoire (en particulier asthme chronique), rénale, cardiaque. Affection neurologique ou musculo-squelettique avec répercussions sur la fonction cardiaque, pulmonaire ou rénale Hépatopathie Troubles métaboliques avec répercussions sur la fonction cardiaque, pulmonaire ou rénale (par exemple diabète) Asplénie ou dysfonction splénique (y compris hémoglobinopathies) Immunodéprimés (infection VIH, cancer, traitement immunosuppresseur) 16
17 Dans le monde, 20% des enfants et 5% des adultes ont une grippe symptomatique chaque année Prise en charge de la grippe, recommandations d experts, MMI, 2005
18 Grippe : morbi-mortalité Dans le monde, 20% des enfants et 5% des adultes ont une grippe symptomatique chaque année Mortalité : 7600 décès / an en moyenne chez les plus de 75 ans Soit 216 / Morbidité : Populations à risque : enfants de moins de 1 an (taux d hospitalisation de 1%) Sujets 65 ans avec facteur de risque (taux d hospitalisation de 1,8%) Prise en charge de la grippe, recommandations d experts, MMI, 2005
19 Reconnaître la grippe (1) adulte sain Forme non compliquée Signes cliniques : En période de circulation grippale, les facteurs prédictifs de grippe sont : la fièvre > 37,8 C et la toux VPP de 79 à 87 % VPN de 40 à 49 % Se de 64 à 77 % Sp de 55 à 67 % Prise en charge de la grippe, recommandations d experts, MMI, 2005
20 Reconnaître la grippe (2) personnes âgées Présentation clinique souvent modifiée : signes respiratoires absents ou minimes symptômes non respiratoires : changement d humeur, agitation, confusion anorexie, troubles digestifs : diarrhée / vomissements / douleurs abdominales Déshydratation aiguë Décompensation de tares (cardiaque) Fièvre isolée
21 Reconnaître la grippe (3) Objectifs : => diagnostic précoce pour traitement précoce => diminution de la durée des signes fonctionnels => diminution de la durée de contagiosité => diminution de la morbi-mortalité => diminution des coûts de santé induits par la grippe
22 Bénéfice d un traitement précoce Durée de la maladie chez les patients traités selon le délai entre les premiers signes et la première prise médicamenteuse 48 h 36 h j 24 h j 12 h j 0 h j Durée de la maladie (jours) Etude IMPACT : Modélisation en fonction du début du traitement p < Réduction de la durée de la maladie comparée à un début de traitement à 48 h Dia: C Chidiac
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24 La grippe : une maladie contagieuse Réplication virale Voies aériennes supérieures ET Incubation : 1-3 j Portage viral : - 24 h avant les symptômes j après le début des symptômes Voies respiratoires inférieures Plus important chez l enfant Prolongé chez l immunodéprimé Contagiosité = période de portage
25 Suspecter le diagnostic de grippe chez un sujet âgé Syndrome grippal de début brutal : Fièvre Et au moins 2 des symptômes suivants : céphalée, myalgies, toux, asthénie marquée, coryza, anorexie Autres symptômes ou signes fréquents : dyspnée, confusion mentale, vomissements, chutes, déshydratation Durant une période de circulation du virus de la grippe Attention : le fait d avoir été vacciné durant la même saison hivernale ne permet pas d écarter le diagnostic de grippe => signes cliniques non spécifiques La Revue de Gériatrie, Tome 30, sept 2005
26 Prise en charge et traitement Mesures générales Lutte contre l hyperthermie et ses complications (déshydratation, confusion, tachycardie) => PARACETAMOL +/- ASPIRINE Prévention de la déshydratation => privilégier la voie orale Attention aux traitements au long cours : AVK Alitement, diminution de la mobilité => prophylaxie de la TVP, prévention des escarres de pression Kinésithérapie respiratoire Éviter les muco-fluidifiants Traitement des décompensations de tares / co-morbidités (insuffisance cardiaque / insuffisance respiratoire) Traitement curatif anti-viral : Oseltamivir (TAMIFLU ) Antibiothérapie des infections bactériennes secondaires («surinfections») La Revue de Gériatrie, Tome 30, sept 2005
27 Oseltamivir (TAMIFLU ) Les médicaments antiviraux Inhibiteur neuraminidase Médicament de choix Actif sur les virus A et B Rapport bénéfice risque satisfaisant en prophylaxie et curatif Posologie curatif : 2 cp 75 mg pdt 5 jours prophylactique : 1 cp 75 mg pdt 10 jours En cas insuffisance rénale (Cl créat < 30 ml/min) : poso diminuée de moitié Intérêt traitement débuté moins de 48 h après le début des symptômes Amantadine (MANTADIX ) Inhibiteur de la protéine virale M2 Active sur virus A, inactive sur virus B Tolérance neuropsychiatrique médiocre chez les sujets âgés Zanamivir (RELENZA ) Inhibiteur neuraminidase Administration par inhalation difficile à utiliser chez les personnes âgées dépendantes La Revue de Gériatrie, Tome 30, sept 2005
28 PLAN DE L EXPOSÉ La grippe Intérêt de la vaccination anti-grippale? Gestion d une épidémie de grippe saisonnière en EHPAD
29 Objectifs de la Vaccination Antigrippale Protection individuelle directe Prévenir le risque de survenue de grippe et la morbimortalité liée à la grippe: chez les sujets < 60 ans vaccinés, efficacité de l ordre de 70% sur les grippes documentées virologiquement (Monto AS N Engl J Med 2009 ;361:1260-7) Protection collective indirecte Diminuer la transmission en particulier vers les sujets fragiles : jeunes enfants, sujets âgés, personnes hospitalisées 29
30 Efficacité de la Vaccination Antigrippale Avant 1960 : en France, environ à décès par an directement liés à la grippe En 2005 : décès liés à la grippe Diminution d un facteur 10 du nombre de décès imputables à la grippe: - succès de la vaccination - mais aussi de l amélioration du niveau d hygiène et de la prise en charge médicale
31 Efficacité de la vaccination antigrippale chez les patients Méta-analyse (20 cohortes) Diminue le risque de : Maladies respiratoires (- 56%) Pneumonies (- 53%) Hospitalisations (- 50%) Décès (- 68%) Chez les plus de 65 ans Diminue le risque de : Hospitalisations pour maladies respiratoires (- 32%) Pneumonie et grippe (- 39%) Insuffisance cardiaque (- 27%) Décès (- 50%) Gross et al, Ann Intern Med Couch et al, NEJM 2000
32 Mortalité attribuée à la grippe et couverture vaccinale patients 75 ans en France à Réseau GROGs (Open Rome) - Données : INSERM (SC8), INSEE, CNAMTS, GEIG
33 Vacciner les soignants protège les patients Etude randomisée Intérêt de la vaccination systématique des soignants Institutions de personnes âgées Mortalité chez les résidents 102/749 (13,6%) si soignants vaccinés 154/688 (22,4%) si soignants non vaccinés Carman et al, Lancet 2000
34 Une immunisation des résidents > 89% Une immunisation du staff > 55% Diminution de 60% du risque d avoir une pathologie grippale J Am Med Dir Assoc 2006
35 Efficacité de la Vaccination des Soignants sur la Mortalité des Personnes Agées en EHPAD Essai randomisé en clusters: personnes âgées en institution dans le bras vaccination dans le bras contrôle Couverture vaccinale - bras contrôle : 31.8% (0-69%) - bras vaccinés: 69.9% (49-98%) Lemaitre M et al J Am Geriatr Soc 2009; 57:
36 Vaccin antigrippal : couverture vaccinale études en France en gériatrie Etude pilote (2002) 2315 soignants : 31.2% Etude VESTA (2005) 2485 soignants 62 services ; 53 exploités ; 5916 lits Âge moyen = 38.9 ans SSR/SLD Couverture globale = 23.4% Rothan tondeur ORIG Aging clin Res 2006 ; Gavazzi G Vaccine
37 La Vaccination Antigrippale 37
38 Les Vaccins Antigrippaux Souche vaccinale produite sur œuf embryonné de poule. Virus inactivé, fragmenté. Administré sans adjuvant. (sauf Gripguard dispensé par Novartis, AMM pour les personnes > 65 ans, contient un adjuvant de type squalène : le MF59) 3 souches (2 sous-types A, 1 sous-type B). Composition revue tous les ans adaptée à la surveillance épidémiologique. Pour 2011 : - A/H1N1/California/7/2009 (sous type pandémique) - A/H3N2/Perth/16/ B/Brisbane/60/2008A 38
39 Vaccins Antigrippaux Saisonniers Disponibles en France Nom commercial Industriel Technologie Préparation Agrippal Novartis Ag surface Œuf Influvac Solvay Ag surface Œuf Immugrip Pierre Fabre Virus fragmenté Œuf Mutagrip Sanofi Pasteur Virus fragmenté Œuf Previgrip Novartis Virus fragmenté Œuf Fluarix GSK Bio Virus fragmenté Œuf Vaxigrip Sanofi Pasteur Virus fragmenté Œuf Gripguard Novartis Ag surface + adjuvant Œuf Tetagrip (Sanofi Pasteur) : vaccin combiné grippal tétanique
40 Les Vaccins Antigrippaux Effets secondaires du vaccin : Fréquents (1-10%) Locaux : douleur, œdème, erythème Généraux : malaise, céphalées, fièvre, myalgies Rares Syndrome de Guillain-Barré Contre-indications : Allergie à l œuf Réaction allergique sévère à une vaccination antérieure Syndrome de Guillain et Barré = complication exceptionnelle de la grippe saisonnière : Fréquence habituelle : 2,8 cas pour habitants Après grippe naturelle : 4 à 7 cas pour grippés Après vaccin grippal saisonnier : 1 cas pour un million de vaccinés 40
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42 Recommandations du HCSP Déclaration de l OMS de fin de Pandémie Situation épidémiologique de l hémisphère Sud : cocirculation des virus A(H1N1)v, A(H3N2) et B Stabilité de A(H1N1) : pas de nouveaux facteurs de virulence Retour aux recommandations usuelles pour la grippe saisonnière : Utilisation du Vaccin Trivalent 42
43 Vaccination Antigrippale : Recommandations Personnes âgées de 65 ans et plus. Enfants (à partir de l âge de 6 mois) et adultes, y compris les femmes enceintes présentant des facteurs de risque pour la grippe saisonnière : - Affections bronchopulmonaires chroniques, dont asthme, dysplasie bronchopulmonaire et mucoviscidose. - Cardiopathies congénitales mal tolérées, insuffisances cardiaques graves et valvulopathies graves. - Néphropathies chroniques graves, syndromes néphrotiques purs et primitifs. - Drépanocytoses, homozygotes et doubles hétérozygotes S/C, thalassodrépanocytose. - Diabète insulinodépendant ou non insulinodépendant ne pouvant être équilibré par le seul régime. - Dysfonctionnement du système immunitaire. - Personnes âgées de 6 mois et plus infectées par le VIH, quels que soient leur âge et leur statut immuno-virologique.
44 Vaccination Antigrippale : Recommandations Personnes séjournant dans un établissement ou service de soins de suite ainsi que dans un établissement médico-social d hébergement, quel que soit leur âge. Enfants et adolescents (de 6 mois à 18 ans) dont l état de santé nécessite un traitement prolongé par l acide acétylsalicylique. Entourage familial des nourrissons de moins de 6 mois présentant des facteurs de risque de grippe grave ainsi définis : - prématurés, notamment ceux porteurs de séquelles à type de bronchodysplasie - et enfants atteints de cardiopathie congénitale, de déficit immunitaire congénital, de pathologie pulmonaire, neurologique ou neuromusculaire ou d une affection longue durée.
45 Vaccination Antigrippale : Recommandations Risques professionnels : Professionnels de santé et tout professionnel en contact régulier et prolongé avec des sujets à risque de grippe sévère. Personnel navigant des bateaux de croisière et des avions et personnel de l industrie des voyages accompagnant les groupes de voyageurs (guides).
46 Modalités de la Vaccination Antigrippale Seringue unidose : 0,5 ml adulte, 0,25 ml enfant < 3 ans IM ou sous-cutanée profonde, Adulte : 1 injection tous les ans, Enfant < 8 ans jamais vacciné : 2 doses à 1 mois d'intervalle Peut être prescrite et pratiquée par une infirmière diplômée d état à partir de la 2 ème injection
47 PLAN DE L EXPOSÉ La grippe Intérêt de la vaccination anti-grippale? Gestion d une épidémie de grippe saisonnière en EHPAD Recommandations 2004 (CHSPF et circulaire DGS) Recommandations CAT devant infections respiratoires basses dans les collectivités de personnes âgées (DGS, octobre 2008)
48 En période de circulation grippale (1) I : DÉPISTAGE ET DIAGNOSTIC 1er cas de syndrome grippal (cas 1) => pas de prélèvement Si 2ème cas dans les 3 jours qui suivent le 1er cas (cas 2) => Test de diagnostic rapide de la grippe (TDR grippe) Si 3ème cas dans les 3 j qui suivent le 2ème cas (cas 3) => TDR grippe si cas 2 et 3 positifs: prophylaxie par oseltamivir pour personnes à risque si cas 2 négatif et cas 3 positif : Si autre cas positif dans les 3j : prophylaxie si cas 2 positif et cas 3 négatif : Si autre cas positif dans les 3j : prophylaxie Si flambée épidémique régionale : TDR dès le 1er cas.
49 En période de circulation grippale (2) II : TRAITEMENT Oseltamivir (TAMIFLU ) Traitement curatif des patients symptomatiques Si indication prophylaxie : au max dans les 48 h suivant contage Pas recommandé dans ce contexte pour les personnels TTT CURATIF : TAMIFLU 75 mg x 2 /jour pendant 5 jours TTT PROPHYLACTIQUE : TAMIFLU 75 mg x 1 /jour pendant 10 jours Mesures symptomatiques : antalgiques, antipyrétiques, hydratation, O2 Isolement, masques, gants Mise à jour vaccination III : PREVENTION Vaccin préventif grippe recommandé tous les ans
50 Mesures préventives dans l'entourage d'un malade Patient Isolement dans une pièce, en limitant les contacts avec les personnes à risques, avec une aération régulière de la pièce. Couvrant la bouche chaque fois qu il tousse, le nez chaque fois qu il éternue, puis se lavant les mains Mouchant ou crachant dans un mouchoir en papier à usage unique jetés dans une poubelle recouverte d un couvercle, puis se lavant les mains Entourage Visites et regroupements limités pendant l épidémie Hygiène des mains après chaque contact avec le malade / le matériel utilisé par lui ou ses effets => lavage des mains au savon ou utilisation de SHA Nettoyage des objets courants du sujet (serviettes, couverts, linge ) : lavage au savon et à l eau chaude. Déchets ménagers jetés dans sac plastique fermé ou sac jaune DASRI Personnel de soins en contact avec les personnes à risque Application rigoureuse des mesures d hygiènes Personnel non vacciné : port du masque (et rappel sur intérêt vaccination!!!) Personnel malade : arrêt de travail ou à défaut port du masque (idem!!!)
51 Pratique «crescendo» de la prise en charge de la grippe en EHPAD Précautions d hygiène standards 1er cas d infection respiratoire aiguë => Précautions gouttelettes Identification de cas groupés => déclaration ARS Enquête microbiologique => Grippe? (diagnostics différentiels cas groupés infections respiratoires aiguës en collectivité : VRS? Coqueluche? Légionellose? PNP Pneumocoque ) Confirmation épidémie grippe Mesures spécifiques : isolement, masques Traitements curatifs patients symptomatiques Traitements prophylactiques des sujets contacts Sortie de l épidémie
52 Mesures d hygiène (1) Au quotidien : respect des précautions standards Hygiène des mains : Avant et après tout contact direct avec un résident Après contact avec des liquides biologiques ou des objets potentiellement contaminés Après retrait de gants Avant de préparer, de manipuler ou de servir des aliments et de nourrir un résident Produits hydro-alcooliques (PHA ou SHA) A privilégier Doivent être facilement accessibles. Si mains visiblement souillées ou au retrait de gants poudrés : lavage avec savon liquide. Puis, si nécessaire, friction avec SHA (sur mains correctement séchées) Les instructions d hygiène des mains doivent être affichées pour les résidents et les visiteurs Le port de gants Une paire de gant = un geste = un résident Cette mesure ne remplace pas le lavage des mains!!! Port de gant = contacts avec liquides biologiques, muqueuse, peau lésée et si lésions sur les mains Le port de masque chirurgical Si risque de projection de sang ou de liquides biologiques (aspiration, crachats...) Informer les visiteurs de reporter leur visite si ils ont une infection respiratoire aiguë ou sinon de porter un masque
53 Mesures d hygiène (2) Dès le premier cas d infection respiratoire aiguë... Précautions complémentaires de type «gouttelettes» A mettre en place autour du résident malade dès le début des symptômes : Renforcement de l hygiène des mains Maintien/isolement dans sa chambre, si possible, et limitation des visites Port du masque chirurgical, si possible, lorsqu il quitte sa chambre Port du masque chirurgical par le personnel lors des contacts étroits (toilettes, changes,...) Aération régulière de la chambre Personnel malade : arrêt de travail ou à défaut port du masque Mouchage, éternuement, expectoration Se couvrir la bouche et le nez à chaque fois que l on tousse ou éternue, puis se laver les mains Se moucher et cracher dans des mouchoirs en papier à usage unique, puis se laver les mains Jeter mouchoirs et masques usagés dans sac en plastique, présent dans la chambre, hermétiquement fermé avant transport
54 Détection de nouveaux cas L identification précoce de cas groupés est un point clef Le médecin diagnostiquant l infection doit en informer le médecin coordonnateur ou le directeur de l établissement afin de prévenir et détecter la survenue de cas groupés
55 Devant plusieurs cas d infections respiratoires aiguës... Précautions complémentaires Mesures «gouttelettes» autour de chaque cas Arrêt ou limitation des activités collectives Recherche active de nouveaux cas Chez les résidents et le personnel Signalement de l épisode Cas groupés patients => A l ARS Si personnel malade => à la médecine du travail Par : Le médecin coordonnateur ou l infirmière référente si l établissement ne dépend pas d un établissement de santé Le professionnel chargé du signalement des IN si l établissement est géré par un établissement de santé Si au moins trois IRAB (hors pneumonies de déglutition) en 8 jours chez les personnes partageant les mêmes lieux (résidant au même étage, même service,...) Résidents ou personnels A formaliser par des procédures claires Recherches étiologiques Nombreuses étiologies possibles. Recherche des pathogènes les plus fréquents pour mesures de contrôle spécifiques.
56 Algorithme applicable pour les résidents et les personnels
57 Mesures de lutte spécifiques a prendre dans la collectivité: grippe Résidents Renforcement des précautions «gouttelettes» autour du/des cas Maintien en chambre levé dès que possible (au plus tard 8j après début des symptômes) Limitation des visites et des regroupements pendant l épidémie Si cas groupés (au moins 2 cas, confirmés par TDR, en 3 jours): Prophylaxie post-exposition (par oseltamivir) chez les résidents, vaccinés ou non, dans les 48 h qui suivent le contage Prescrit jusqu'au septième jour après le début des symptômes du dernier cas Personnel Si malade: Arrêt de travail jusqu à guérison ou à défaut port de masque chirurgical Sans oublier, en amont Vaccination antigrippale annuelle des résidents et des personnels Evoquer avec les visiteurs réguliers l intérêt de leur vaccination contre la grippe
58 Comment faire un prélèvement nasal? Geste techniquement simple et peu invasif. Plus le prélèvement est effectué précocement (dans les 48 premières h du début des symptômes), plus il permet l'identification du virus grippal. Pour TDR de la grippe au lit, utiliser les écouvillons fournis dans le kit. Pour une analyse réalisée en laboratoire, utiliser un écouvillon stérile qui sera ensuite placé dans un tube contenant un milieu de transport pour virus. Rassurer le patient. En position assise, lui faire incliner légèrement la tête en arrière en lui maintenant le menton. Insérer l écouvillon dans la narine et prélever le plus possible de cellules en grattant les parois internes des fosses nasales. Retirer l écouvillon en effectuant un mouvement circulaire afin de ramener le maximum de cellules. Le liquide du TDR ou le milieu de transport du kit de prélèvement virologique doivent devenir troubles quand l écouvillon est mis dans le flacon. Ecouvillon du kit de prélèvement virologique à adresser le plus rapidement possible au laboratoire et à conserver à + 4 C en attendant.
59 Pandémie grippale A(H1N1)2009 Société Française de Pédiatrie
60 Pandémie 2009 Début identifié 26/04/09: 38 cas dans 2 pays Au 26/05/09: cas 92 DC 43 pays Létalité apparente: 0,7% > grippe saisonnière: 0,1-0,3% Touche plutôt des gens jeunes
61 Aspects cliniques Dans la très grande majorité des cas, évolution spontanée vers la guérison en 7-10 jours Particularités - Données internationales : incidences les plus élevées chez les personnes de 5 à 50 ans, les plus faibles chez les personnes de 65 ans ou plus - Formes graves, notamment, chez des sujets présentant certains facteurs de risques de complications liées à une infection grippale (FDR) - La très grande majorité des cas graves et des décès sont enregistrés chez des sujets âgés de moins de 60 ans - Certains décès sont observés chez des personnes sans FDR La nécessité d une vigilance particulière pour un virus nouveau
62 Spécificités à prendre en compte La grossesse constitue un terrain prédisposant aux complications pour la grippe A et notamment pour le (H1N1)2009 ; le risque maternel est plus élevé à partir du 2 ème trimestre. Quelques décès par pneumonie virale ont été observés chez des femmes enceintes. Quelques décès ont également été observés en cas d obésité (avec IMC>30) ou d obésité morbide (IMC>40). Cependant la part de l obésité et des comorbidités qui y sont fréquemment associées reste à déterminer
63 Cas et décès 50% des cas chez les ans 65% des décès chez les ans Nombre de Cas Décès Nombre de cas Nombre de décès Distribution par classe d âge de cas confirmés et 222 décès confirmés (documentés pour l âge) au Mexique et létalité par classe d âge au 21/09/2009 (Source MinSa)
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66 Ordre de priorité de la vaccination en France lors pandémie grippe A (H1N1)v Personnels médical et paramédical des établissements de santé, médecins et infirmiers du secteur ambulatoire exposés à des patients grippés ou en contact avec des patients porteurs de facteurs de risque Femmes enceintes (à partir du 2nd trimestre) Entourage des nourrissons de moins de 6 mois Professionnels chargés de l'accueil de la petite enfance (jusqu'à 3 ans) Nourrissons âgés de 6-23 mois révolus avec des facteurs de risque puis Sujets âgés de 2 à 64 ans avec facteurs de risque Autres professionnels de santé, professionnels de secours et transporteurs sanitaires Nourrissons de 6-23 mois révolus sans facteur de risque Personnels d'accueil des pharmacies et personnels des établissements médico-sociaux (ne faisant pas partie des catégories précédentes) Plus de 65 ans avec facteurs de risque 2-18 ans sans facteur de risque Plus de 18 ans sans facteur de risque
67 Recommandations grippe H1N1 pour EHPAD: La grippe A(H1N1) est une grippe: => Même modes de transmission et de prévention que la saisonnière Précautions contact + gouttelettes. Contact Hygiène des mains (SHA) Blouse si soins Gouttelettes Masques Chirurgical pour les patients FFP2 pour le personnel
68 Merci de votre attention
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