Périartérite Noueuse
|
|
- Didier Lesage
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PériartériteNoueuse Xavier Puéchal, MD, PhD Centre National de Référence des Maladies Systémiques Auto-immunes rares Vascularites Nécrosantes et Sclérodermies systémiques Hôpital Cochin Paris
2 QCM -Périartérite noueuse Parmi les propositions suivantes, laquelle ne permet pas d exclure une périartérite noueuse : A/ l existence d une glomérulonéphrite B/ la constatation d un purpura C/ une atteinte des artérioles, capillaires ou veinules D/ une hémorragie alvéolaire E/ des ANCA de spécificité PR3 ou MPO
3 CLASSIFICATION
4 CRITÈRES DE CLASSIFICATION ACR DE LA PAN 1990 Amaigrissement > 4kg Livedo reticularis Douleur ou sensibilité testiculaire Mono- ou polyneuropathie TA diastolique > 90 mm Hg Elévation urémie ou créatininémie Marqueurs du virus de l hépatite B Biopsie d artère de petit ou moyen calibre : PNN 3 sur 10 critères doivent être présents chez patient avec vascularite Lightfoot RW Jr. Arthritis Rheum 1990
5 NOMENCLATURE RÉVISÉE DE LA CONFÉRENCE DE CONSENSUS DE CHAPELL HILL 2012 Taille des vaisseaux préférentiellement atteints Jennette. Arthritis Rheum 2013
6 NOMENCLATURE RÉVISÉE DE LA CONFÉRENCE DE CONSENSUS DE CHAPELL HILL 2012 Gros vaisseaux Moyens vaisseaux Petits vaisseaux Les vaisseaux de moyen calibre sont définis comme les artères viscérales principales et leurs branches de division initiale ainsi que leurs veines. Jennette. Arthritis Rheum 2013
7 NOMENCLATURE RÉVISÉE DE LA CONFÉRENCE DE CONSENSUS DE CHAPELL HILL 2012 Jennette. Arthritis Rheum 2013
8 EPIDEMIOLOGIE
9 EPIDÉMIOLOGIE DE LA PAN Incidence de 0,7/ h Prévalence 30.7/ h (95% CI : 21 40) Mahr Arthritis Care & Research, 2004 L incidence s effondre, possiblement grâce à une meilleure prévention des maladies virales Moins de 5nouveaux cas par an en France
10 PAN ETPAN-VHB DANS REGISTRE DUGFEV PAR TRANCHES DE3 ANS PAN 35 PAN VHB à à à à à à à à à à à à à à 2014
11 ANATOMIE PATHOLOGIQUE
12 ANATOMIEPATHOLOGIQUE DE LAPAN LÉSIONS ÉLÉMENTAIRES Panartérite segmentaire nécrose fibrinoïde de la média réaction cellulaire adventice hyperplasie intimale Formation de micro-anévrysmes Evolution vers l endartérite fibreuse Lésions d âge différent
13 Nécrose fibrinoïde de la média Infiltrat inflammatoire Thrombose
14
15 Alternance de zones ischémiques et normalement vascularisées
16 CLINIQUE
17 Manifestations (%) PAN (n=348) Age au diagnostic (ans) 51,2 Fièvre 63,8 Amaigrissement (% de pts, nombre de kg) 69,5; 6,3 Myalgies 58,6 Arthralgies 48,9 Neuropathie périphérique 74,1 Atteinte SNC 4,6 Hématurie 15,2 Protéinurie > 0,4 g/24h 21,6 HTA récente 34,8 Manifestations cutanées 49,7 Nodules cutanés 17,2 Purpura 22,1 Livedo 16,7 Douleur abdominale 35,6 Cardiomyopathie liée à vascularite 7,5 Péricardite 5,5 OPH 8,6 FFS 1996 > 0 40,2 BVAS 16,5 Pagnoux. Arthritis Rheum 2010
18 Manifestations (%) Manifestations (%) PAN (n=348) PAN (n=348) PAN non liée au VHB (n=225) PAN non liée à HBV (n=225) PAN-VHB (n=123) PAN-HBV (n=123) Age au diagnostic (ans) 50,9 50,9 51,7 0,66 Fièvre 60,4 60,4 69,9 0,08 Amaigrissement(% (% de de pts, nombre de de kg) kg) 66,2 66,2 ; 5,4; 5,4 75,6 ; 7,9 0,001 Myalgies 61,8 61,8 52,8 0,11 Arthralgies 47,1 47,1 52,0 0,38 Neuropathie périphérique 68,0 68,0 85,4 < 0,001 Atteinte SNC 4,9 4,9 4,1 0,73 Hématurie 15,1 15,1 15,4 0,93 Protéinurie > 0,4 0,4 g/24h g/24h 20,4 20,4 23,6 0,5 HTA HTA récente récente 27,1 27,1 48,8 < 0,001 Manifestations Manifestations cutanées cutanées 57,8 57,8 35,0 < 0,001 Nodules cutanés Nodules cutanés 23,6 23,6 5,7 < 0,001 Purpura Purpura 24,4 24,4 17,9 0,16 Livedo Livedo 20,0 20,0 10,6 0,02 Douleur abdominale Douleur abdominale 27,6 27,6 50,4 < 0,001 Cardiomyopathie liée à vascularite Cardiomyopathie liée à vascularite 4,4 4,4 13,0 0,004 Péricardite 4,9 Péricardite 4,9 6,5 0,53 OPH 7,6 OPH 7,6 10,6 0,34 FFS 1996 > 0 33,3 FFS 1996 > 0 33,3 52,9 0,002 BVAS 15,1 BVAS 15,1 19,1 < 0,001 Pagnoux. Arthritis Rheum 2010 P P
19 ATTEINTE RÉNALE Néphropathie vasculaire (infarctus ou hématome) Infarctus rénaux : - parfois silencieux - parfois hématurie µ ou macroscopique (15%) - parfois protéinurie discrète à modérée (20-25%) HTA rénine-dépendante (27,1-48,8 %) Jamais de glomérulonéphrite La fonction rénale est habituellement préservée sauf si infarctus multiples ou HTA non contrôlée Exceptionnelle sténose urétérale
20 EXAMENS BIOLOGIQUES NOUEUSE Inflammation non spécifique Pas d inflammation dans 20 % des cas Parfois hyperéosinophilie Une hématurie et une protéinurie peuvent s observer sans GN, mais infarctus rénal Créatininémie moyenne 110 µmol/l Il n y a pas d ANCA en ELISA dans la PAN La présence d ANCA est un critère d exclusion pour le diagnostic de PAN
21 IMAGERIE
22
23 Infarctus rénaux
24 La recherche des anévrysmes est optimale au temps tardifs de l angiographie
25
26
27 PAN DUE AU VHB
28 PÉRIARTÉRITE NOUEUSE LIÉE AU VHB Contamination : 95 patients 40 % 15 % 14 % 4 % 17 % 10 % SEXUAL IV DRUGS TRANSFUSION SURGERY? OTHERS? UNKNOWN
29 PÉRIARTÉRITE NOUEUSE LIÉE AU VHB Sur 95 patients Délai d incubation entre infection et PAN 405 +/-519 jours Hépatite identifiée chez 37 patients Chez 5 patients, la PAN est survenue lors ou immédiatement après l hépatite Elévation des transaminases au diagnostic de PAN 64% vs 15,6 % PAN non HBV
30 Manifestations (%) PAN (n=348) PAN non liée au VHB (n=225) PAN-VHB (n=123) Age au diagnostic (ans) 50,9 51,7 0,66 Fièvre 60,4 69,9 0,08 Amaigrissement (% de pts, nombre de kg) 66,2 ; 5,4 75,6 ; 7,9 0,001 Myalgies 61,8 52,8 0,11 Arthralgies 47,1 52,0 0,38 Neuropathie périphérique 68,0 85,4 < 0,001 Atteinte SNC 4,9 4,1 0,73 Hématurie 15,1 15,4 0,93 Protéinurie > 0,4 g/24h 20,4 23,6 0,5 HTA récente 27,1 48,8 < 0,001 Manifestations cutanées 57,8 35,0 < 0,001 Nodules cutanés 23,6 5,7 < 0,001 Purpura 24,4 17,9 0,16 Livedo 20,0 10,6 0,02 Douleur abdominale 27,6 50,4 < 0,001 Cardiomyopathie liée à vascularite 4,4 13,0 0,004 Péricardite 4,9 6,5 0,53 OPH 7,6 10,6 0,34 FFS 1996 > 0 33,3 52,9 0,002 BVAS 15,1 19,1 < 0,001 Pagnoux. Arthritis Rheum 2010 P
31 AUTRES ETIOLOGIES VIRALES Périartérite noueuse due au VHB -jusqu à 50 % des PAN avant les mesures de santé publique -une nouvelle toutes les 6 semaines en France il y a 30 ans PAN due au VHC : exceptionnelle PAN due au VIH : rare < 1% Co-infectionsVIH/VHC/VHB Parvovirus B19 EBV
32 EVOLUTION ET PRONOSTIC
33 EVOLUTION ET PRONOSTIC DE LA PAN La PAN est une maladie aiguë parfois mortelle initialement mortalité tardive due aux séquelles iatrogénie
34 TAUX DE SURVIE GLOBALE DE348 PAN Survie globale : 87,9 % à 5 ans Pagnoux. Arthritis Rheum 2010
35 TAUX DE SURVIE DE 348 PAN EN FONCTION DE DIFFÉRENTS PARAMÈTRES PAN non VHB Age 65 ans PAN-VHB Age > 65 ans Survie globale : 87,9 % à 5 ans Abdomen non CHIR Pas d HTA récente FFS = 0 Abdomen CHIR HTA récente FFS = 1 ou 2 Pagnoux. Arthritis Rheum 2010
36 TAUX DE SURVIE DE 348 PAN EN FONCTION DE DIFFÉRENTS PARAMÈTRES PAN non VHB Age 65 ans PAN-VHB Age > 65 ans Survie globale : 87,9 % à 5 ans Abdomen non CHIR Pas d HTA récente FFS = 0 Abdomen CHIR HTA récente FFS = 1 ou 2 Analyse multivariée de la survie -Age > 65 ans : P < 0,001 ; HR 4,49 (2,82-7,32) -HTA récente : P = 0,003 ; HR 1,90 (1,23-2,95) -Abdomen nécessitant CHIR : P < 0,001 ; HR 6,46 (3,77-11,1) Pagnoux. Arthritis Rheum 2010
37 TAUX DE RECHUTE À5 ANS DANS LAPAN-VHB % % 25 % 28 % ,6 % GPA MPA GEPA PAN non HBV PAN - HBV Pagnoux. Arthritis Rheum 2010
38 TAUX DE RECHUTE À5 ANS DANS LAPAN % % 25 % 28 % ,6 % GPA MPA GEPA PAN non HBV PAN - HBV Pagnoux. Arthritis Rheum 2010
39 TAUX DE RECHUTE À5 ANS DANS LESVASCULARITES % % 25 % 28 % ,6 % GPA MPA GEPA PAN non HBV PAN - HBV Données des essais prospectifs du Groupe Français d Etude des Vascularites
40 TAUX DE RECHUTE À8 ANS DANS LESVASCULARITES 70% 63,9 % 58,3 % 60% 50% 40% 36,7 % 41 % 46,4 % 30% 20% 10,6 % 10% 0% GPA MPA FFS0 MPA FFS>1 GEPA PAN NON HBV PAN-HBV Données à long terme des essais prospectifs du GFEV Samson. Journal of Autoimmunity 2013 Samson. Autoimmun Rev 2014 Puéchal. WEGENT long term
41 FACTEURS PRÉDICTIFS DE RECHUTE À5 ANS DE PAN % % 25 % 28 % ,6 % GPA MPA GEPA PAN non HBV PAN - HBV Analyse multivariée des facteurs prédictifs de rechute -PAN non HBV ; HR 2,27 (1,11-4,63) - Manifestations cutanées au diagnostic ; HR 1,85 (1,08-3,23) (surtout nodules) Pagnoux. Arthritis Rheum 2010
42 TRAITEMENT DE LA PAN
43 TRAITEMENT DE LAPAN NON LIÉE AUVHB Formes sans critère de mauvais pronostic (FFS = 0) - CS seule : 1 mg/kg/j pendant 21 jours puis décroissance progressive - IS uniquement si : - Aggravation et/ou corticodépendance > 20 mg/j - Intolérance aux corticoïdes - FFS = 0 : AZA (2 mg/kg/j) pendant mois - voire MTX (0,3 mg/kg/7j) par analogie avec VAA - voire MMF (2 g/j) - FFS 1 : aggravation => CYC IV J0, J14, J28 puis / 4 semaines PNDS HAS
44 TRAITEMENT DE LAPAN NON LIÉE AUVHB Formes avec critère de mauvais pronostic (FFS 1) - CS : 1 mg/kg/j pendant 21 jours puis décroissance progressive - CYC IV J0, J14, J28 puis / 4 semaines à posologie adaptée à la fonction rénale et à l âge. - 0,6 g/m 2 puis 0,7 g/m 2 en l absence d IR et < 65 ans mg dose fixe si clairance créat< 30 ml/mn ou 65 ans - Après 6 bolus : -RC : AZA (2 mg/kg/j) ou MTX PO ou SC ou IM (0,3 mg/kg/7j) pendant 12 à 18 mois supplémentaires par analogie aux VAA (durée IS : 18 à 24 mois) -RI : 3 bolus supplémentaires - RC : AZA ou MTX pendant mois supplémentaires - Non RC : discussion CYC PO ou autre (RTX?) PNDS HAS
45 TRAITEMENT DE LAPAN LIÉE AUVHB Association de : - CS initiale et brève pendant 15 jours de 0,5-1 mg/kg/j pour contrôler les manifestations les plus sévères, éventuellement après bolus de MP (7,5 mg/kg à 15 mg/kg x 1 à 3) si gravité. - Antiviraux: lamivudine, entécaviret/ou adéfovir, seul ou en combinaison, par analogie et en référence avec le traitement des formes chroniques d HBV. - Echanges plasmatiques visant à épurer les CIC pathogènes : - échanges de 60 ml/kg, - de préférence sur voies veineuses périphériques, - 3 à 4 fois par semaine pendant 3 semaines, - puis sevrage progressif (3 fois par semaine pdt 1 à 2 semaine(s) puis 2 fois par semaine pdt 2 semaines, par ex). - Ce n est qu en cas d échec qu un IS est envisagé. PNDS HAS
46 ACTUALITÉS GÉNÉTIQUES AU COURS DE LA PAN
47 March 6, 2014
48 PAN SYSTÉMIQUES OU CUTANÉES FAMILIALES À DÉBUT JUVÉNILE Navon Elkan. NEJM 2014
49 PAN SYSTÉMIQUES OU CUTANÉES FAMILIALES À DÉBUT JUVÉNILE Navon Elkan. NEJM 2014
50 WHOLE EXOME SEQUENCING American Consortium Exome Project in 2009 to develop approach based on exome sequencing Exome = coding regions of the genome Exome representing 1% of the whole genome but containing 85% of mutations in Mendelian genetic diseases
51 WHOLE EXOME SEQUENCING-BASED STRATEGIES Identification d une famille candidate ou de sujets ayant un phénotype homogène Séquençage de l exome(wes) Analyse bioinformatique afin de générer une liste de candidats Confirmer l absence de la mutation chez les sujets sains Test fonctionnel de la mutation
52 PAN SYSTÉMIQUES OU CUTANÉES FAMILIALES À DÉBUT JUVÉNILE Navon Elkan. NEJM 2014
53 March 6, 2014
54 FIÈVRE INTERMITTENTE, VASCULOPATHIE ET AVC À DÉBUT JUVÉNILE Zhou. NEJM 2014
55 FIÈVRE INTERMITTENTE, VASCULOPATHIE ET AVC À DÉBUT JUVÉNILE Zhou. NEJM 2014
56 FIÈVRE INTERMITTENTE, VASCULOPATHIE ET AVC À DÉBUT JUVÉNILE Zhou. NEJM 2014
57 ETUDE FONCTIONNELLE Diminution de l activité plasmatique de ADA2 chez les patients par rapport aux contrôles Plasma Zhou. NEJM 2014
58 ETUDE FONCTIONNELLE Mesure de l activité ADA dans les monocytes : Conservation de l activité ADA1 et déficit de l activité ADA2 Zhou. NEJM 2014
59 INVALIDATION D ADA2 CHEZ LE ZEBRAFISH Hémorragie intracrânienne par injection de morpholinos(mo) modifiant l expression génétique de cecr1b. L hémorragie est prévenue par la co-injection d ARNm human de CECR1 non muté. L hémorragie n est pas bloquée par la co-injection d ARNm human de CECR1 muté. Zhou. NEJM 2014
60 DÉGÂTS ENDOTHELIAUX ET ACTIVATION Brain Skin Skin Brain Skin Skin Mais CECR1 n est pas exprimé et ADA2 est non détectable dans culture humaine endothéliales => Intervention d autres populations cellulaires Zhou. NEJM 2014
61 ANOMALIES DE LA DIFFÉRENCIATION DES MACROPHAGES Zhou. NEJM 2014
62 DIFFÉRENTIATION DE MONOCYTES EN MØ ANTI-INFLAMMATOIRES M2 M2 M1 Zhou. NEJM 2014
63 INTERRUPTION ET DÉGÂTS DE LA BORDURE DE CELLULES ENDOTHÉLIALES Zhou. NEJM 2014
64 RÉSUMÉ DES ÉTUDES DE SÉQUENÇAGE WHOLE EXOME Nouvelle anomalie génétique impliquant une mutation perte de fonction de CECR1 (Cat-Eye Syndrome Chromosome egion, candidat 1) codant pour ADA2(adénosine déaminase 2). Les mutations de ADA2 semblent entraîner des dégâts endothéliaux et une moindre maturation des Mø en M2 antiinflammatoires. ADA2 apparait être un facteur de croissance pour le développement et la différenciation des cellules endothéliales et leucocytaires. Le spectre clinique des vascularites associées à ces mutations reste à démanteler: - formes familiales de PAN à début pédiatrique - formes fébriles de vasculopathie avec AVC à début pédiatrique - autres? Navon Elkan. NEJM 2014 ; Zhou. NEJM 2014
65 PAN : CONCLUSIONS La PAN est une maladie aiguë, devenue très rare, touchant préférentiellement les vx de moyen calibre. Elle est souvent (toujours?) d origine infectieuse, à priori virale. Savoir évoquer une mutation CECR1/ADA2 en cas de début juvénile, de vascularite fébrile avec AVC récurrents ou de PAN familiale mais spectre inconnu. La PAN rechute peu lorsqu elle est associée au VHB et relève d un traitement adapté (CS+AV+EP). Hors VHB, ses rechutes (46 % à 8 ans) incitent à ttt d entretien.
66 QCM -Périartérite noueuse Parmi les propositions suivantes, laquelle ne permet pas d exclure une périartérite noueuse : A/ l existence d une glomérulonéphrite B/ la constatation d un purpura C/ une atteinte des artérioles, capillaires ou veinules D/ une hémorragie alvéolaire E/ des ANCA de spécificité PR3 ou MPO
67 QCM -Périartérite noueuse Parmi les propositions suivantes, laquelle ne permet pas d exclure une périartérite noueuse : A/ l existence d une glomérulonéphrite B/ la constatation d un purpura C/ une atteinte des artérioles, capillaires ou veinules D/ une hémorragie alvéolaire E/ des ANCA de spécificité PR3 ou MPO - Réponse : B
La périartérite noueuse Maladie de Küssmaul-Maier
Maladie de Küssmaul-Maier La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailVASCULARITES NÉCROSANTES SYSTÉMIQUES
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE VASCULARITES NÉCROSANTES SYSTÉMIQUES Protocole national de diagnostic et de soins Novembre 2007 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailGROSSESSE et lupus/sapl
GROSSESSE et lupus/sapl Nathalie Costedoat-Chalumeau Centre de référence maladies autoimmunes et systémiques rares Service Médecine Interne Hôpital Cochin Paris Rappels et définitions Critères cliniques
Plus en détailLa maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes
Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailConférence De néphrologie. Lille Internat DCEM3 E. Faure
Conférence De néphrologie Lille Internat DCEM3 E. Faure 219 : Anomalies du bilan de l eau et du sodium (DCEM3 conf 2) 219 : Anomalies du bilan du potassium (DCEM3 conf 1) 219 : Désordres de l équilibre
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailLa maladie de Wegener La granulomatose de Wegener
La granulomatose de Wegener La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailSyndrome de Churg et Strauss
Syndrome de Churg et Strauss Auteurs : François Lhote*, Pascal Cohen**, Philippe Guilpain**, Loïc Guillevin** * Service de médecine interne, centre hospitalier de Saint-Denis, 93200 Saint-Denis. ** Département
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailTraitement des hépatites h chroniques virales B et C
Traitement des hépatites h chroniques virales B et C Dr Joanna POFELSKI Service d hépatod pato-gastroentérologierologie CH d Annecyd Particularités? Virus hépatotropes / cytopathogènes : lésions hépatiques
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailPROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres
COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailLES HEPATITES VIRALES
LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailMaladies systémiques et auto-immunes rares. Actes du Colloque de la Fondation Groupama pour la santé Paris, le 12 mai 2009
Maladies systémiques et auto-immunes rares Actes du Colloque de la Fondation Groupama pour la santé Paris, le 12 mai 2009 Éditeur : Fondation d entreprise Groupama pour la santé Siège social : 8-10 rue
Plus en détailCRPP. Syndrome MYH9. Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires. Livret destiné au patient
CRPP Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires Syndrome MYH9 Macrothrombocytopénies constitutionnelles liées à MYH9 (Anomalie de May-Hegglin, Syndrome de Sebastian, d Epstein, de Fechtner, d Alport-like
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailSyndromes coronaires aigus
CONGRES American College of Cardiology J.P. COLLET Service de Cardiologie, Hôpital Pitié-Salpêtrière, PARIS. Syndromes coronaires aigus L American College of Cardiology a encore montré le grand dynamisme
Plus en détailHépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach
Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailLES CONTUSIONS DU REIN
LES CONTUSIONS DU REIN Table des matières Table des matières 3 I - Épidémiologie 9 II - Mécanismes lésionnels 11 A. 1. Choc direct...11 B. 2. Lésions indirectes...11 C. 3. Plaies pénétrantes...11 D. 4.
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailActualités sur le Virus de l'hépatite C
CBP CHRU Lille Actualités sur le Virus de l'hépatite C 2.0 ANNE GOFFARD UNIVERSITÉ LILLE 2 DROIT ET SANTÉ FACULTÉ DES SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES DE LILLE 2012 Table des matières I - Épidémiologie
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailrhumatoïde DES de Biologie médicale Cours d immunologie 2012-2013 Vincent Elsermans
Polyarthrite rhumatoïde DES de Biologie médicale Cours d immunologie 2012-2013 Vincent Elsermans Plan Notions cliniques Démarche diagnostique Les facteurs rhumatoïdes : techniques, performances Les anticorps
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailPrincipales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2
Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailII - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE
II - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE I. ÉPIDÉMIOLOGIE En France, le diabète de type 1 touche 0,38 % de la population totale et environ 10 % des diabétiques.
Plus en détailLe Comité Scientifique a traité les questions suivantes : «Association reconnue d utilité publique» - 1 -
- 1 - Prise de position de l'association Française pour l'etude du Foie (AFEF) sur les trithérapies (Peg-IFN + ribavirine + inhibiteur de protéase) dans la prise en charge des malades atteints d'hépatite
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailL INSUFFISANCE CARDIAQUE
L INSUFFISANCE CARDIAQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance cardiaque n ait encore
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détail1289($8;75$,7(0(176 '(69$6&8/$5,7(6
1289($8;75$,7(0(176 '(69$6&8/$5,7(6 M De Bandt. La découverte de la présence des ANCA, au cours de certaines formes de vascularites systémiques a il y a une quinzaine d année, a provoqué de nombreux travaux
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détail