BANQUE CENTRALE DE LA RÉPUBLIQUE DE GUINÉE. L HISTOIRE DE LA MONNAIE ET DE LA BANQUE CENTRALE GUINEENNES
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- Édouard Larouche
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1 BANQUE CENTRALE DE LA RÉPUBLIQUE DE GUINÉE. LHISTOIRE DE LA MONNAIE ET DE LA BANQUE CENTRALE GUINEENNES Par Claude Kory KONDIANO, Ancien Ministre, Ancien Directeur Général à la BCRG Facinet SYLLA, Directeur des Études, Statistiques et Relations Internationales: 1
2 Préliminaire Cette présentation est basée sur les travaux effectués par MM. Claude Kory KONDIANO et Elh. Sampring DIALLO, tous anciens Directeurs généraux à la BCRG. La BCRG a financé les recherches initiées par le Gouverneur Ibrahima Chérif BAH. Cela a permis de collecter en Guinée, mais surtout à l extérieur du pays notamment à Dakar, Paris et à Washington une masse considérable d informations, de documents historiques ainsi que les témoignages des acteurs de ces faits historiques. Ces travaux ont fait l objet d un ouvrage de plus de 400 pages qui sera présenté au grand public lors du Symposium qu organisera la BCRG au cours de cette année. 2
3 Sommaire 1 ère PARTIE : L HISTOIRE MONETAIRE GUINEENNE COMMUNE A CELLE DE TOUS LES TERRITOIRES DE L AFRIQUE OCCIDENTALE FRANÇAISE (AOF) JUSQU AU 29 FEVRIER ÈME PARTIE : LES CONSEQUENCES DU PASSAGE DU GENERAL DE GAULLE A CONAKRY LE 25 AOUT 1958 ET DU NON DU 28 SEPTEMBRE ÈME PARTIE : LA CREATION DE LA MONNAIE ET DE LA BANQUE CENTRALE GUINEENNES 4 ÈME PARTIE : LA RÉFORME MONÉTAIRE DE ÈME PARTIE : CONCLUSIONS 3
4 1 ère Partie : L HISTOIRE MONETAIRE GUINEENNE COMMUNE A CELLE DE TOUS LES TERRITOIRES DE L AOF JUSQU AU 29 FEVRIER 1960 A. LES MONNAIES MARCHANDISES OU INSTRUMENTS D ÉCHANGE LOCAUX SONT COMMUNS: sel, cola, huile de palme, cauris (venu des Maldives), bandes d étoffe, argent, or, guinzé et coquilles de plage. Ces instruments d échange n étaient pas des monnaies au sens plein du terme car ne remplissant pas les trois fonctions de la monnaie : Intermédiaire des échanges, Etalon de valeurs et Instrument de réserves. B. LES MONNAIES ÉTRANGÈRES (OU MONNAIES CONCURRENTES AVANT LA CONFÉRENCE DE BERLIN) SONT AUSSI COMMUNES: Les pièces anglaises (le shilling), Le thaler de Marie-Thérèse d Autriche, Les piastres espagnoles Les pièces portugaises Les pièces brésiliennes et mexicaines 4
5 C. LES MONNAIES ET BANQUES D ÉMISSION COLONIALES FRANÇAISES : Les pièces de monnaies françaises mises en circulation dans les colonies d Afrique de l Ouest sont : l Ecu, pièce de 5F appelée «gourde» distribuée au Sénégal à partir de 1820 les pièces de monnaies métropolitaines émises par le Trésor à partir de 1840, et les pièces spécialement conçues à partir de 1939 qui ont été étendues à l Afrique à partir de 1944 avec les mentions d identification «AOF, AEF» Les banques coloniales d émission ont aussi couvert toute l Afrique française. Il s agit de : Banque du Sénégal : Banque d Afrique Occidentale (BAO) : Banque de Madagascar : 1925 l Institut d émission d Afrique Occidentale et du Togo : er mars 1960 devenu BCEAO en
6 D. L APPARTENANCE À LA ZONE FRANC DE 1945 À FÉVRIER 1960 La Zone franc prit sa signification avec l imposition des monnaies françaises aux colonies et surtout l institution du contrôle des changes commun le 09 septembre Le mot Zone franc est utilisé pour la première fois après la dévaluation du 26 décembre 1945 du FF et la création des francs coloniaux. Les Banques opérant à l époque dans ces pays et en Guinée sont: BAO, BNCI, le Crédit Lyonnais, la Société Générale et la Banque Commerciale Africaine (BCA) Quelques Institutions spécialisées opérant dans chacun de ces pays avaient leurs équivalents en Guinée, à savoir : les Sociétés Indigènes de Prévoyance (SIP), la société Immobilière de Guinée (SIG), le crédit Agricole de Guinée, la Caisse Nationale d Epargne ou Caisse d Epargne Postale, les services financiers des PTT et du Trésor, 6
7 2 ème partie: LES CONSEQUENCES DU PASSAGE DU GL. DE GAULLE A CONAKRY ET DU NON DU 28 SEPTEMBRE 1958 A. LES CONSÉQUENCES DU PASSAGE DU GL. DE GAULLE À CONAKRY Le GL. De Gaulle considéra comme une agression à sa personne le ton et les termes du discours prononcé par Sékou Touré le 25 août 1958, et il ne le pardonnera jamais pour cet affront. L ombre de cette journée viendra fréquemment assombrir, pendant près de 25 ans, les relations politiques, diplomatiques, économiques et financières entre les deux pays. Avant la date du Référendum Cornut Gentille (Ministre de la France d Outre Mer) décide de faire évacuer les encaisses à concurrence de tous les montants dépassant les besoins courants de la colonie. Le 28 septembre 1958 en pleine journée électorale, le montant de 1,15 milliards de francs CFA est sorti de la Guinée par un commando de l armée française. 7
8 B. LES CONSÉQUENCES DU «NON» DU 28 SEPTEMBRE Mesures de rétorsion de la France après le référendum Contrairement à sa promesse de ne pas créer d obstacles à la Guinée au cas où elle opterait pour l indépendance, dès le matin du 29 septembre la France prit une liste de mesures de représailles qui furent immédiatement ou progressivement appliquées au pays, à savoir : L enlèvement des archives importantes qui furent expédiées à Dakar et en France ; L arrêt des travaux d équipement en cours (projet du barrage du Konkouré dont le dossier technique fut confisqué) L évacuation programmée du personnel français de l administration Le gel des avoirs guinéens en France L arrêt des subventions d équilibre du budget et des dépenses d investissement La remise en cause de l admission des marchandises guinéennes en France. 8
9 2. Réactions de la Guinée La Guinée, par la voix de son président, réagit en disant «Notre volonté d indépendance ne doit pas être interprétée comme une volonté de rupture avec la France Notre ferme intention est de rester dans le système français et le nouvel Etat de Guinée entend rester dans la Zone franc Le divorce d avec la France, nous ne le voulons pas ; et s il doit être consommé un jour ce ne sera pas de notre fait». 3. Accord Monétaire franco-guinéen Les tractations diplomatiques aboutirent à la signature d un Accord monétaire, le 7 janvier 1959 prévoyant pour la Guinée la possibilité de créer une Banque centrale et une monnaie propres. Cet Accord maintenait les règles traditionnelles de la Zone franc, à savoir : La libre convertibilité entre la future monnaie de la Guinée et les autres monnaies de la Zone franc Le versement des recettes en devises de la Guinée au Fonds de stabilisation des changes de Paris La participation de la Guinée aux organes de coordination de la politique monétaire de la Zone franc Le principe des préférences et franchises réciproques en matière commerciale. Compte tenu des tensions de plus en plus vives entre les deux pays, l Accord monétaire ne sera jamais mis en œuvre malgré l implication active de la Banque de France (BROUSSE) et du PNUD (BELLEC). 9
10 3 ème partie: LA CREATION DE LA MONNAIE ET DE LA BANQUE CENTRALE GUINEENNES A. LES RAISONS DE L INDÉPENDANCE MONÉTAIRE SONT D ORDRE POLITIQUE ET ÉCONOMIQUE Raisons politiques : Renforcer l indépendance nationale Faire pression sur la France pour qu elle tempère ses hostilités pour préserver ainsi les intérêts des français résidant en Guinée. Raisons économiques : Eviter les tentatives d étranglement de l économie guinéenne de la part des maisons de commerce et des banques coloniales (refus de la CFAO et de la SCOA de participer à la commercialisation, refus de la BAO d accorder au Trésor guinéen un crédit de 300 millions de francs CFA pour la même commercialisation). Préparer le lancement du premier plan de développement ( ) Eviter l échec de la campagne de commercialisation des produits agricoles. 10
11 B. LA PROCLAMATION DE L INDÉPENDANCE MONÉTAIRE Compte tenu de vives tensions, les autorités politiques guinéennes ont passé outre les travaux de préparation des experts mis à leur disposition par le PNUD (BELLEC) et la Banque de France (BROUSSE) pour proclamer la l indépendance monétaire le 1 er mars 1960 avec la création du Franc et de l Institut d Emission guinéens. La Guinée a pris seule et en toute indépendance cette décision. C. LES RÉACTIONS DE LA BCAO ET DE LA FRANCE Suspension des transferts bancaires et postaux entre la France et la Guinée dès le 1 er mars. Restrictions des échanges commerciaux et monétaires. Consignes de la BCAO à ses agences de surveiller les versements de grosses coupures de billets CFA provenant de Guinée. Renforcement, par la France, du gel à son niveau,des avoirs de la Guinée et des pensions surtout. 11
12 D. LES CONTRE-RÉACTIONS DE LA GUINÉE L utilisation des francs CFA échangés pour faire face aux problèmes de trésorerie en devises auxquels le pays était confronté. La mise en veilleuse de la liquidation du contentieux avec la BCAO. Le blocage des négociations pour la liquidation du contentieux relatif aux prêts de la Caisse Centrale de la Coopération Economique à la Colonie ainsi les créances de citoyens français ayant quitté le pays après le Référendum du 28 septembre L ensemble des ces actions et réactions alimenteront plus tard le contentieux franco-guinéen de
13 E. LA GESTION DE LA MONNAIE AINSI CRÉÉE De 1960 à 1964, la Guinée a mis en œuvre une politique monétaire classique qui n était en rien différente de celle des pays à économie libérale. De 1964 à 1985, la Banque Centrale a dû adapter sa politique monétaire avec un système économique fortement centralisé. Elle a ainsi conçu et appliqué une politique monétaire originale combinant instruments classiques et instruments spécifiques de politique monétaire (changements de signes et ponctions monétaires). Comme institutions de la politique monétaire en Guinée de 1960 à 1985, on a : L Institut d Emission de la République de Guinée (Banque Centrale) Les banques françaises Les institutions bancaires et financières créées sous la première république (BNDA, BGCE, CNCIH, SNAR, Bourse du Diamant, BNED, BCG, BIG ) 13
14 4 ème partie : LA RÉFORME MONÉTAIRE DE 1986 Suite à la prise du pouvoir par l armée, le 03 avril 1984, le CMRN engage le pays, avec l aide du PNUD, dans un programme de redressement économique appelé Programme Intérimaire de Redressement National (PIRN). Ce programme engageait, de façon immédiate et brutale, le pays sur la voie d un libéralisme après plus d un quart de siècle de gestion centralisée. En décembre 1985, avec le soutien des Institutions de Bretton Woods et de nombreux bailleurs de fonds, le Programme de Réforme Economique et Financière (PREF) est lancé. Ces réformes ont touché essentiellement: Le système bancaire avec la fermeture de toutes les banques d Etat et la création de nouvelles banques; La monnaie avec une dévaluation doublée d une réforme monétaire; Les finances publiques dont la réforme a consisté à unifier les deux composantes du budget de l Etat; Les prix ; et Autres structures. 14
15 A. RÉFORME BANCAIRE ET FINANCIÈRE : FERMETURE D INSTITUTIONS ÉTATIQUES BANCAIRES ET FINANCIÈRES ET MISE EN PLACE DE MESURES INCITATIVES POUR LA CRÉATION DE NOUVELLES BANQUES À SAVOIR : Les banques commerciales mixtes ou privées; Les compagnies d assurances mixtes ou privées; Les institutions de microfinance. B. RÉFORME DE LA POLITIQUE MONÉTAIRE AXÉE SUR : La dévaluation du syli de 92,5% en 1986; L échange du syli contre le franc guinéen en 1986; La politique active d achats d or par la Banque Centrale pour conforter ses réserves de change; La création de marchés aux enchères de devises (MED 1986, MID 1994, MED nouvelle formule 1999); Autorisation des Bureaux de change privés; Nouvelle réglementation des changes avec plus de libéralisation. 15
16 CONCLUSIONS Le mérite d avoir opté pour une souveraineté monétaire intégrale dès l indépendance doit être apprécié par les historiens et autres scientifiques. Le nouvel Etat guinéen avait-il d autres options? D autres pays africains ont également choisi la souveraineté monétaire dès l indépendance; la différence fondamentale en termes de réussite ou d échec est à chercher dans le choix du régime économique et la rigueur dans la gestion. Il faut dire qu en Guinée, la gestion centralisée de l économie est à la base de la mise en place d un système de subvention qui a entrainé d énormes déficits budgétaires essentiellement financés par la création monétaire. Sous la Première République, ce sont les entreprises d Etat qui furent les principales sources de déficit budgétaire et, par conséquent, de la dégradation de la valeur de la monnaie guinéenne. 16
17 L option d un régime économique libéral par la Guinée n a jamais été accompagnée par une gestion transparente et efficace des finances publiques. De même, la réglementation des changes n a jamais été mise en œuvre avec rigueur. C est pour quoi la politique monétaire n a pas permis d avoir les résultats escomptés. A partir de 1986, on a assisté à un transfert de source de déficit budgétaire des entreprises d Etat, privatisées ou fermées, au Trésor Public. On peut donc conclure que: 1. En dépit d une forte implication du politique dans la gestion monétaire, le bilan de sa mise en œuvre reste globalement satisfaisant. Néanmoins, cette immixtion du politique dans sa mise en œuvre n a pas permis de renforcer durablement la valeur interne et externe de la monnaie. 2. La monétisation d énormes déficits et de dépenses extra budgétaires a souvent obéré les capacités de la Banque Centrale. 3. Aujourd hui, une réflexion devrait être menée afin de trouver la voie qui convient en matière de gestion monétaire et de rigueur dans la gestion budgétaire. C est une démarche qui doit être encouragée par les autorités et c est la Banque Centrale qui devrait prendre l initiative d un tel travail de réflexion. 17
18 Nous vous remercions pour votre aimable attention 18
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