PerfEn. Amélioration de la qualité globale des bâtiments pour l optimisation de leurs Performances Energétiques finales.

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1 Siège Social NOBATEK 67, rue de Mirambeau ANGLET T F Site Ecocampus ENSAM Esplanade des Arts et Métiers TALENCE T F Fonds commun de coopération Aquitaine / Euskadi 2010 PerfEn Amélioration de la qualité globale des bâtiments pour l optimisation de leurs Performances Energétiques finales Rapport final Partenaires publics : Partenaire international :

2 REGISTRE DES VERSIONS Référence Version Date Changements 10Nobatek107 VF1 25/11/2011 Document original Rédacteurs Relecture Mr Benjamin LACLAU Mr Antoine DUGUE Projet réalisé dans le cadre du Fonds Commun Aquitaine-Euskadi 2010 soutenu par : Le Conseil Régional d Aquitaine Le Gouvernement Basque Page 2/48

3 SOMMAIRE 1. Introduction Les défauts de mise en œuvre Les facteurs socio-économiques favorisant les défauts de mise en œuvre Quelques données statistiques Les défauts de mise en œuvre ayant une influence sur les performances énergétiques du bâtiment Les facteurs ayant une influence sur la performance énergétique du bâtiment Les défauts de mise en œuvre : localisation, causes, corps d état et moyens de contrôles Les moyens de contrôles La qualité sur les chantiers La réglementation pour la mise en œuvre Les démarches de qualité et de contrôles sur chantiers : Les signes de la qualité dans le secteur du bâtiment Démarche pour la maîtrise de la qualité sur chantier Introduction, fonctionnement La démarche : les contrôles selon les grandes phases d un chantier La démarche : les check-lists des contrôles in-situ Démarches complémentaires pouvant participer à la maîtrise de la qualité sur chantier Expérience du Centre de Ressources Technologiques Nobatek Deux chantiers expérimentaux Les démarches mises en place sur ces chantiers...46 Page 3/48

4 1. Introduction Le secteur du bâtiment représente en France environ 45 % des consommations totales d énergie et environ un quart des rejets de CO 2. Ces chiffres pourraient être significativement diminués si les performances théoriques et réglementaires des bâtiments neufs ou rénovés étaient respectées. En effet, les défauts de mise en œuvre représenteraient sur ces constructions, en général, des surconsommations énergétiques supérieures de 20 % par rapport aux prévisionnels. Dans ce rapport, nous entendrons par défauts de mise en œuvre, les résultats des travaux de mise en œuvre ne respectant pas les exigences du marché (ex CCTP, normes, qualité) et générant des défauts esthétiques, mécaniques, physiques, thermiques et énergétiques sur la construction. Ces défauts peuvent être décelés ou pas. Côté économique (sans parler des surcoûts liés aux factures énergétiques), les non qualités représenteraient un coût annuel supérieur à 10 % du chiffre d'affaires du secteur. Ce coût se retrouvant majoritairement dans les travaux de réparation, les procédures engagées et les non paiements pour causes de non respect des exigences de marchés. Afin d illustrer ce constat, ci-dessous un graphique issu du rapport Sycodés de l AQC 2. Celui-ci met en avant le fait qu environ trois quarts des désordres observés sur les bâtiments sont imputables à la mise en œuvre. En Région Aquitaine, la tendance est similaire. Figure 1 : Origine des désordres en France et en région Aquitaine Nous comprenons ainsi l importance d une plus grande maitrise de la qualité de mise en œuvre des constructions pour répondre aux préoccupations environnementales actuelles et à la crise économique récente impactant les entreprises du secteur du bâtiment. Ce projet vise l amélioration de la maîtrise de la qualité sur les chantiers de bâtiments à travers les objectifs suivants : - Etude des aspects et des défauts ayant une influence sur les performances énergétiques des bâtiments - Listing des moyens de contrôles sur chantiers et méthodes de suivi existants - Estimations des écarts possibles entre performances théoriques et performances réelles après mise en œuvre - Développement de méthodes pour le contrôle de la qualité des bâtiments en phase chantier et le retour d expérience 1 SYstème de COllecte des DESordres. Données établies avec l AQC sur rapports d experts. 2 Agence Qualité Construction - Page 4/48

5 2. Les défauts de mise en œuvre 2.1. Les facteurs socio-économiques favorisant les défauts de mise en œuvre L environnement socio-économique a une influence directe sur et dans le secteur du bâtiment avec des répercutions sur la qualité de mise en œuvre des ouvrages. Ci-dessous des aspects générant des difficultés significatives : Certaines entreprises font l effort de mettre en place une démarche qualité pour leur entreprise et leurs chantiers. En revanche, celle-ci reste souvent bureaucratique et sa communication vers les techniciens de chantiers se fait mal. Ces derniers ne l appliquent donc pas. Le manque d explications et de communication ne permettent pas aux employés de bien comprendre le bien fondé de la démarche qualité. Que ce soit par les entreprises ou par la maîtrise d œuvre, la phase de préparation de chantier est souvent mal considérée et survolée. La mise en place d une démarche qualité efficace est couteuse pour les entreprises du secteur. Les entreprises et organismes manquent de moyens ou de financement pour ces travaux. Les marchés sont généralement attribués aux moins-disant ne favorisant pas ainsi la qualité du travail proposé par les entreprises. Les marchés publics n imposent généralement pas de démarches qualité particulières pour les chantiers. Les réglementations sont complexes, pas toujours accessibles, souvent interprétatives, entrainant ainsi des conflits entre les partis du chantier et des incompréhensions sources de défauts. Les DTU, documents techniques définissant les règles de mise en œuvre traditionnelles, sont onéreux et peu accessibles. La conjoncture économique a réduit significativement les budgets de construction forçant les entreprises à travailler plus vite, avec des ouvriers moins qualifiés et à rechercher des économies dans les fournitures de matériaux (souvent au détriment de la qualité). Toujours en lien avec la recherche d économies et une mise en œuvre rapide, les interfaces entre corps d états sont souvent négligées avec un manque de coopération entre entreprises. Le secteur du bâtiment est dans une tradition de transmission de l information très orale avec des méthodologies et des expériences non retranscrites. Bien que développant des méthodologies pour la maitrise de la qualité sur chantiers, les grandes entreprises du secteur ne sont pas motrices en ne communiquant pas leurs méthodes au secteur. Les coûts de certifications, de labellisation et de mise en avant des démarches positives sont élevés. Les projets sont modifiés inconsidérément peu de temps avant les travaux et pendant les travaux. Les manquements des entreprises aux exigences de qualité ne sont pas assez sanctionnés. Les entreprises de mise en œuvre font appel à de nombreux sous-traitants français ou étrangers sans en assurer la maîtrise. Etc 2.2. Quelques données statistiques Les défauts de mise en œuvre peuvent avoir de multiples conséquences sur les performances énergétiques, thermiques, acoustiques, esthétiques du bâti, mais aussi sur le confort des usagers et la durabilité de l ouvrage. Les défauts de mise en œuvre peuvent également concerner différentes parties du bâtiment, entrainer divers phénomènes de dégradations et de pertes énergétiques. Enfin, la récurrence d apparition des différents défauts n est pas la même selon les modes constructifs et bâtiments (collectifs, individuels, groupés ) Les données présentées dans ce chapitre sont issues des rapports Sycodés 2007 et 2011 de l AQC. La présentation de ces données nous a paru intéressante dans le cadre de l étude PERFEN. La base de données Sycodés exploite un échantillon de désordres signalés par les experts de la construction, constitué à 80 % de dommages déclarés en Dommages-Ouvrage (DO). Les désordres collectés par l'aqc sont ensuite appréciés en regard des causes techniques, pour établir la hiérarchie des éléments d'ouvrage à l'origine des désordres, et en regard des coûts moyens de réparation. (pour en savoir plus, site de l Agence Qualité Construction) Page 5/48

6 A noter cependant que ces statistiques étant tirées de rapports d expertises, les défauts ne faisant pas l objet d interventions d experts ou n étant pas directement relevés ne sont pas pris en compte. A titre d exemple, les mesures d étanchéité à l air n étant à ce jour pas obligatoires (sauf sur opérations certifiées BBC ou valeur justifiée dans le calcul RT), les défauts d étanchéité à l air ne sont le plus souvent pas notés. Non visibles, les défauts d isolation dans les parois sont également peu repérés. Les systèmes énergétiques moins performants (par défauts d origine ou de mise en œuvre) sont également fréquents mais peu signalés. Enfin, un grand nombre de désordre apparaissent et sont résolus pendant le chantier générant ainsi des pertes économiques et de qualité sans pour autant être considérés dans les statistiques Sycodés. Ces exemples de désordres contribuent pour une part importante des déperditions thermiques des bâtiments. Figure 2 : Apparition des désordres selon les types de constructions (%) Source : Sycodés 2011 On note que les désordres apparaissent le plus souvent sur les logements, notamment les bâtiments collectifs et les logements individuels. Ces statistiques s expliquent en partie par les raisons suivantes : - plus de complexité d exigences pour le bâti des logements, - les bâtiments collectifs sont plus complexes (hauteurs, surfaces ) et font souvent partie de programmes de constructions importants avec de nombreuses entreprises et des prix serrés. Ils ont des délais de chantiers limités. Figure 3 : Apparition des désordres selon la localisation dans l'ouvrage (toutes constructions) (%) Source : Sycodés 2011 Les principaux points d apparition des défauts sont l enveloppe du bâtiment (façade et couverture), les revêtements et les équipements divers. Tous les désordres pris en compte n ont pas toujours d influence directe sur la performance énergétique du bâti. Bien qu objet du projet PERFEN, la performance énergétique ne doit cependant pas être le seul motif de la maîtrise de la qualité dans le bâtiment. La prise en compte systématique des défauts d étanchéité à l air augmenterait de manière très significative les chiffres concernant la menuiserie. De même les ponts thermiques survenus par oublis partiels ou dégradation de l isolation, augmenteraient les chiffres des désordres sur façades et couvertures. Page 6/48

7 Figure 4 : Fréquence et localisation des désordres selon les types de construction (%) Source : Sycodés 2011 Les réseaux de distribution d eau sont plus complexes dans les logements collectifs expliquant ainsi cette proportion élevée de défauts. Le grand nombre de désordres sur couverture en petits éléments et en façades sur blocs béton dans les maisons individuelles s explique en partie par l utilisation importante de ces systèmes dans la maison individuelle, par une part d auto-construction significative (propice aux désordres) et le manque de prise en compte des évolutions des règles techniques par certaines entreprises artisanales. La tendance est logiquement inversée pour les locaux d activités. En ce qui concerne les défauts sur fenêtres et portes fenêtres, on note une fréquence plus importante d apparition dans les locaux d activités. Pour les façades à base de béton banché, la fréquence d apparition est logiquement plus importante pour les logements collectifs. Ce mode constructif est en effet largement utilisé pour la construction des structures de bâtiments collectifs à étages. Figure 5 : Localisation des désordres sur maisons individuelles en France et en région Aquitaine (%) Source : Sycodés 2007 Les désordres sur façades à base de maçonnerie en blocs béton sont plus fréquents à l échelle nationale qu en Aquitaine en raison de la part importante de la construction bois et brique dans la région. La prise en compte systématique des défauts d étanchéité à l air entrainerait une hausse significative des chiffres sur les menuiseries. La fréquence plus élevée en Aquitaine de désordres sur plafonds est difficilement explicable. Nous pouvons cependant émettre l hypothèse d une plus grande proportion de charpentes bois et donc de faux plafonds suspendus. Page 7/48

8 Figure 6 : Localisation des désordres sur logements collectifs en France et en région Aquitaine (%) Source : Sycodés 2007 Les proportions de défauts sur réseaux d eau intérieurs sont plus importantes pour les logements collectifs que pour les maisons individuelles. Ceci-ci s explique en partie par une plus grande complexité des réseaux dans les constructions à étages. Les désordres sur revêtements de sols intérieurs sont également plus nombreux dans le cas des logements collectifs car ils y sont plus fréquemment utilisés dans ces constructions que dans la maison individuelle. Nous pouvons faire la même remarque que pour les maisons individuelles en ce qui concerne l étanchéité à l air des menuiseries. Figure 7 : Localisation des désordres sur locaux d'activités en France et en région Aquitaine (%) Source : Sycodés 2007 Les revêtements de sol intérieur présentent dans ce cas plus de désordres a priori en raison des plus grandes surfaces de sols réalisées et de la diversité des revêtements de sol installés. Les désordres sur menuiseries sont plus fréquents dans les locaux d activités que dans les logements en raison de plus grandes surfaces mises en œuvre, de chantiers à formes plus complexes et sur mesures. Le nombre de désordres sur façades en béton est négligeable en raison du faible emploi de cette technique pour les locaux d activités. Les désordres sur façades légères apparaissent en contre partie. Page 8/48

9 2.3. Les défauts de mise en œuvre ayant une influence sur les performances énergétiques du bâtiment Les facteurs ayant une influence sur la performance énergétique du bâtiment Tous les défauts de mise en œuvre n ont pas la même influence directe ou indirecte sur les performances énergétiques des bâtiments construits. Les principaux défauts de mise en œuvre et/ou phénomènes induits ayant une influence sont : Infiltrations d air sur l enveloppe extérieure. Par mauvaise mise en œuvre ou dégradation des systèmes d étanchéité à l air ou le résultat d autres désordres (fissuration des parois, vieillissement prématuré ) o en partie courante des parois verticales o autour des menuiseries o en toiture o au niveau des pénétrations de réseaux Figure 8 : schématisation d une infiltration d air Les surconsommations dues aux infiltrations d air sont estimées entre 5 et 10 kwh/m 2 /an par unité de Q 4 PaSurf 3. Les infiltrations d air ont également une influence négative sur la performance des isolants, sur le confort des usagers et sur la dégradation des parois. Infiltrations d eau sur l enveloppe extérieure. Par mauvaise mise en œuvre ou dégradation des systèmes d étanchéité à l eau ou le résultat d autres désordres (fissuration des parois, fuites d eau dans les réseaux, etc ). o en partie courante des parois verticales o autour des menuiseries o en toiture o au niveau des pénétrations de réseaux o au niveau des réseaux Figure 9 : illustrations de dégradations dues aux infiltrations d eau 3 Q4PaSurf, exprimé en m 3 /(h.m²), est le coefficient normalisé d infiltration d air dans un bâtiment sous une pression de 4 Pa. A titre d exemple, un logement individuel BBC doit avoir un coefficient de 0,6. Une augmentation d une unité amènerait le coefficient à 1,6. Page 9/48

10 Fonctionnement non optimal des systèmes de chauffage, de refroidissement et de ventilation par défauts d origine et/ou de mise en œuvre (branchements, non respect des règles techniques, oublis de calfeutrement de gaines, obstruassions). Manque d isolation et/ou création de ponts thermiques sur parois extérieures ou avec des locaux non chauffés. Défauts survenus par mise en œuvre défectueuse de l isolant, isolant ou matériaux d enveloppe nonconformes, oubli partiel ou total d isolant, dégradation de l isolant avant ou pendant la pose (pluie, tassement ou déchirure), fixation défectueuse. Les défauts peuvent également être le résultat d autres désordres par exemple, par infiltration d eau, déformation de parois, humidité excessive des locaux, attaques biologiques, défauts d isolation des réseaux, etc. Toute dégradation des systèmes d isolation entraine des pertes énergétiques. Figure 10 : illustrations d isolants dégradés Fissuration des parois extérieures provoquant des chemins préférentiels de déperditions thermiques (conduction, infiltrations d air et d eau). Figure 11 : illustrations de fissurations en façade Page 10/48

11 Les défauts de mise en œuvre : localisation, causes, corps d état et moyens de contrôles Le tableau présenté dans ce chapitre récapitule les différentes pathologies pouvant avoir un effet direct ou indirect sur les performances énergétiques des bâtiments. Pour chaque cas, le tableau reprend les causes de désordres lors de la mise en œuvre, le ou les corps d états concernés, à quel avancement du chantier les défauts de mise en œuvre arrivent-ils et enfin les contrôles (et moyens de contrôles) possibles pour éviter le désordre ou le repérer a posteriori. Le tableau peut représenter un tableau de bord ou mémo technique à l attention des équipes d encadrement pour le suivi et les contrôles des chantiers. Le tableau est présenté ci-après. Il fait également l objet d un document annexe indépendant. Page 11/48

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18 3. Les moyens de contrôles Ce chapitre présente les principaux moyens de contrôles utilisés sur les chantiers de bâtiment. Rappelons que bien qu elle ne permette pas de tout déceler, l observation visuelle reste un moyen simple et efficace pour repérer un grand nombre de désordres sur chantier. Elle ne doit pas être négligée par les équipes de mise en œuvre ni d encadrement. Elle doit également être faite de manière détaillée et très réglulière. Portes soufflantes (mesure d étanchéité à l air) Possibilités : - Mesure du niveau d étanchéité à l air d une construction - Détection des défauts d étanchéité à l air. Destination : - Tous types de bâtiments mis hors d eau hors d air. - Les systèmes de portes soufflantes sont différents selon les volumes de bâtiments à mesurer. Figure 12 : Les portes soufflantes selon les volumes et types de bâtiments - Source CETE Réglementation : - Les systèmes de mesures et les mesures doivent respecter la norme NF EN : Performance thermique des bâtiments - Détermination de la perméabilité à l'air des bâtiments - Méthode de pressurisation par ventilateur. Celle-ci détermine les conditions de mesures, les critères de validation des tests, l expression des résultats. - Exigences en terme de perméabilité à l air : La réglementation thermique actuelle (RT2005) n impose pas une mesure de validation du niveau d étanchéité à l air des bâtiments. La mesure peut être réalisée de manière volontaire ou afin de justifier d une meilleure valeur de calcul que celle prise par défaut. La réglementation RT2012 imposera la mesure d étanchéité à l air des constructions neuves avec pour exigences des valeurs 0,6 m 3 /h/m 2 pour les maisons individuelles et 1 m 3 /h/m 2 pour les immeubles d habitation. Actuellement, ces valeurs sont demandées pour le label BBC (Bâtiment Basse Consommation). Page 18/48

19 Principe de la mesure : Le principe de la Blower door ou porte soufflante consiste à remplacer un des ouvrants de l enveloppe par un dispositif étanche disposant d un ventilateur à vitesse variable assurant l extraction ou le soufflage de l air ; le local mesuré est ainsi mis en pression ou en dépression. La porte soufflante peut posséder un à plusieurs ventilateurs selon les débits d air et pressions à atteindre. Un minimum de 50 Pa de différence de pression entre l intérieur et l extérieur du local est recommandé pour effectuer les mesures avec une dérogation possible pour les bâtiments à grand volume (supérieur à 4000 m 3 ). Pour effectuer l essai, la vitesse et le débit du ventilateur sont augmentés progressivement et par paliers de pression de 5 ou 10 Pa (généralement de 10 à 70 Pa). A chaque palier, les pressions indiquées par le manomètre sont relevées en conditions stationnaires. Sont mesurés simultanément les différences de pression entre l'intérieur et l'extérieur et le débit afin d'obtenir une série de couples {débits /dépressions}. Le micro-ordinateur crée alors une courbe de débit par rapport à la dépression. Cette courbe indique les valeurs de fuites par m 2 à différentes pressions. Les valeurs à 4 Pa et 50 Pa sont données par interpolation. Figure 13 : Exemple de courbe obtenue lors de la mesure d'étanchéité à l'air Repérage des fuites : Pour le repérage des fuites, le local est mis en pression ou en dépression stationnaire. Les entrées d air froid et fuites d air chaud sont ainsi forcées. Le repérage peut ensuite se faire manuellement par stylet incandescent, poire ou générateur de fumée non toxique, anémomètre ou avec un équipement tel qu une caméra infrarouge (dans ce cas, l idéal est que la température extérieure soit sensiblement plus basse que l intérieur). Stylet incandescent Poire à fumée Générateur à fumées Anémomètre Caméra Infra Rouge Systèmes de mesures : Sur le marché des bâtiments d habitation, les deux principaux systèmes utilisés sont la Blower Door de Mineapolis et la porte Retrotec. On retrouve ensuite des systèmes de ventilateurs des marques Ageka, Infiltec, Wincon ProClima, Isov Air d Isover et enfin le perméascope d Aldès. Pour des volumes plus importants on retrouve le Banc Grand Volume et la MégaFan du CETE. Acteurs : - Les mesures de contrôles peuvent être réalisées par les entreprises elles-mêmes ou tout prestataire proposant des mesures. (Nobatek propose la réalisation de mesures sur site et du conseil pour la maitrise de l étanchéité à l air des bâtiments. Voir également le rapport ESTEFIE 4 ) - Les mesures certifiantes doivent être réalisées par des prestataires accrédités. 4 Télécharger le rapport ESTEFIE de NOBATEK sur l étanchéité à l air du bâtiment. Valeurs, explications, liens utiles, guide ; sur le site internet de nobatek Page 19/48

20 Thermographie infrarouge Possibilités : - Détection des ponts thermiques - Détection des zones à isolation défectueuse (manque ou dégradation) - Détection des défauts d étanchéité à l air - Détection des infiltrations d eau - Détection des désordres sur chauffage au sol Domaine d application : Tous types de bâtiments isolés et chauffés/refroidits. Conditions : Afin que les observations soient probantes, il est nécessaire que l écart de température entre l extérieur et l intérieur soit significatif, le plus important possible. Dans l idéal, le bâtiment est chauffé et les mesures sont réalisées en hiver sans ensoleillement. Réglementation : Il n existe pas de réglementation particulière pour l observation des bâtiments par caméra infrarouge. Principe : La caméra infrarouge ou thermique enregistre les différents rayonnements infrarouges émis par les corps qui varient en fonction de leur température et de leur émissivité. Les défauts d isolation, infiltrations d air ou d eau, fuites de réseaux de chaleurs provoquent des zones froides ou chaudes observables. L opérateur pointe donc sa caméra thermique vers les zones à inspecter. Les défauts apparaitront sous une couleur différente que les parties courantes. Les systèmes : De nombreuses caméras thermiques existent pour des usages industriels avec des niveaux de précision importants. Pour le secteur du bâtiment plusieurs fabricants proposent des caméras portables à précision moyenne. Leur prix reste cependant relativement élevé (1000 à environ) Les principaux fournisseurs sont FLIR Systems, DRAEGER, TROTEC, TESTO, CHAUVIN ARNOUX, FLUKE TIR. Acteurs : Les observations peuvent être réalisées par les entreprises de construction elles-mêmes, les maîtres d ouvrage et d œuvre. La réalisation des observations et l interprétation des images demandent cependant une certaine formation et expérience. Elles sont donc le plus souvent confiées à des bureaux d études spécialisés ou formés. Page 20/48

21 Sondes et testeurs d humidité Possibilités : - Contrôle du taux d humidité des éléments bois avant leur pose - Contrôle du taux d humidité des isolants avant/pendant/après la mise en œuvre. (vérification par exemple qu ils n ont pas pris la pluie) - Contrôle du taux d humidité des supports de revêtements. Destination : Tous types de bâtiments, plutôt utilisés pour la construction bois et les charpentes. Réglementation : - Le taux d humidité est estimé à l'aide d'un appareil de mesure à résistance électrique étalonné conformément à l EN Des mesures de contrôles peuvent cependant être réalisées librement sur le chantier par les entreprises ou l équipe d encadrement. - Le DTU 31-1 Charpente et escaliers en bois exige un taux d humidité de la charpente 22 % en moyenne. - Le DTU 31-2 Construction de maisons et bâtiments à ossature en bois exige un taux d humidité à la mise en œuvre 18 %. Figure 14 : taux d'humidités préconisés selon l'emploi des éléments en bois Principe : Les équipements le plus souvent portables sont munis de broches. Les broches sont mises en contact avec l élément ou le matériau à tester. La résistance électrique entre les broches permet d indiquer le taux d humidité. La mesure est simple et quasi instantanée. Les sondes, installées définitivement dans un matériau ou une paroi, sont en général utilisées pour des expérimentations ou des suivis particuliers. Elles permettent des mesures à plusieurs profondeurs de la paroi. Les systèmes : Les mesures de taux d humidité peuvent être réalisées avec différents équipements : testeurs à contact, à broches, sondes. Plusieurs systèmes existent donc et peuvent être adaptés à un type de matériau (bois, béton, fibres) ou à des mesures superficielles ou profondes. Les principaux fournisseurs sont : STANLEY, VAISALA, Hygropartner, PCE, TROTEC, PLASTIROLL, MOISTEC, FARTOOLS, etc Leur prix est accessible, généralement < 100. Page 21/48

22 Equipements de mesure métriques Selon les niveaux de précision désirés et la facilité de mesure, plusieurs équipements existent : les simples mètres à ruban manuels, les lasers (télémètres) et enfin les équipements à visée tels que les théodolites. Possibilités de contrôles : - Dimensions brutes et emplacements des ouvertures avant la pose des menuiseries - Dimensions des encadrements de menuiseries livrées sur chantier - Dimensions/sections des éléments d ossature bois ou de charpente - Epaisseurs d isolants - Epaisseurs d enduits - Niveaux : seuils, arases, allèges - Ecartements d éléments d ossature ou de charpente - Recouvrement des lès de membranes, pare-vapeur ou pare-pluie - Disposition des armatures de béton armé - Côtes générales du gros œuvre - Distances entre fixations d ITE, de faux plafond - Hauteur des relevés en toiture terrasse Domaine d application : Tous types de bâtiments. Réglementation : - Il n existe pas de réglementation spécifique aux mesures métriques sur chantier. - Les tolérances de réalisation sont définies dans le CCTP (Cahier des Clauses Techniques Particulières), les DTU (Documents Techniques Unifiés), les DTA (Document Technique d Application), dans les fiches techniques produits. Elles sont différentes selon les modes constructifs (maçonnerie, industrialisée bois ou métal ) et les éléments concernés (structure, menuiseries). Acteurs : Equipes d encadrement du chantier, de contrôle ou les entreprises elles-mêmes. Les systèmes : Les marques de télémètres sont : BOSCH, RollMaster, HILTI, METLAND, STANLEY, LEICA, WURTH, etc.. Ceux utilisés dans le bâtiment ont généralement une précision de 1 mm et pour des distances de 0.05 à 200 m. Les prix vont de 100 à 650 en fonction des niveaux de précision et distances d utilisation. Page 22/48

23 Equipements pour contrôles de planéité, pentes, aplombs Les contrôles de planéité peuvent être réalisés le plus simplement avec des règles de maçon jusqu à 2 m. Celles-ci sont accompagnées de mètre à ruban (pour mesurer les écarts) et de niveaux à bulle. Des équipements comme niveaux laser + perche peuvent également être utilisés. Possibilités de contrôles : - Planéité et pente des dalles, chapes - Absence de flashs (cuvettes) sur dalle ou toiture plane - Planéité des appuis de menuiseries et des arases - Verticalité des parois et des éléments de charpente/ossature - Verticalité des tableaux d ouvertures - Pente des réseaux d évacuation - Pente des balcons extérieurs et terrasses en dur - Qualité de mise en œuvre des parois maçonnées - Planéité et régularité du doublage plâtre (en plaques) Destination : Tous types de bâtiments. Equipements : - Règle de maçon - Niveau à bulle et mètre - Niveau laser. Réglementation : - Il n existe pas de réglementation spécifique aux mesures de niveau sur chantier. - Les tolérances de réalisation sont définies dans le CCTP, les DTU, les DTA, dans les fiches techniques produits. Acteurs : Equipes d encadrement du chantier, de contrôle ou les entreprises elles-mêmes. Page 23/48

24 Testeur d étanchéité à l eau pour menuiseries Possibilités de contrôles : - Etanchéité à l eau des menuiseries Destination : Tous types de bâtiments avec menuiseries. Réglementation : - Dans le cas de façades rideaux, il est préconisé de réaliser le test en respect de la norme NF EN : Façade rideaux - Étanchéité à l'eau - Essai sur site - Il n existe pas de norme spécifique pour des essais sur petites menuiseries. Cependant, certaines conditions normalisées (de la NF EN 13051) telles que le débit d arrosage et l orientation des jets peuvent être prises. Acteurs : Il n existe pas d organismes certifiés pour ces mesures. Elles peuvent être réalisées par l équipe d encadrement du chantier, de contrôle ou les entreprises de mise en œuvre. Généralement, ces essais sont proposés par les industriels fournisseurs de menuiseries. Principe : Un système d arrosage contrôlé reproduisant une pluie type est placé à l extérieur et en partie haute de la menuiserie. L arrosage est réalisé pendant environ 15 min avec une certaine inclinaison. A l issue du test, l étanchéité de la menuiserie est contrôlée visuellement. L eau du test provient du branchement du chantier ou d une pompe plus citerne. Figure 15 : testeur d étanchéité à l eau des menuiseries in-situ. Systèmes : Il n existe pas de système clef en main vendu sur le marché. A l heure actuelle, les entreprises se fabriquent elles-mêmes leurs propres systèmes à partir d une partie du cahier des charges de la norme NF EN Page 24/48

25 Endoscope L endoscope est généralement utilisé pour des diagnostics de pathologies difficilement observables (en canalisation, derrière un parement) sur des bâtiments existants. Il est peu utilisé pour des observations sur chantiers neufs. Possibilités de contrôles : - Présence d isolant ou observation de son état derrière le doublage intérieur, sur faux plafond. - Présence et état d un pare-pluie derrière un bardage ou une couverture. - Non encombrement de la lame d air derrière le doublage intérieur. - Présence et état de la membrane d étanchéité. - Etat des réseaux derrière les parements ou dans les cloisons, faux plafonds. Destination : Tous types de bâtiments quasi terminés ou existants. Réglementation : Il n existe pas de réglementation autour des observations par endoscope. Acteurs : Il n existe pas d organismes certifiés pour ces observations. Cependant, les observations par endoscope sont délicates et l équipement est couteux ; des entreprises spécialisées d inspection proposent leurs services. Des endoscopes existent également en location. Principe : L endoscope est une petite caméra disposée au bout d un câble permettant de visualiser des zones/objets derrière des parements, dans des cavités. La caméra est munie d une led éclairant l objet à observer. L image est visualisée en temps réel par l opérateur sur un petit écran. Systèmes : Les endoscopes sont des équipements relativement onéreux. Page 25/48

26 Cône d abrams Le cône d abrams est l équipement utilisé pour l essai d affaissement (slump test). Possibilités de contrôles : - Ouvrabilité du béton livré ou réalisé sur chantier. - Ségrégation du béton livré ou réalisé sur chantier. Destination : Tous types de bâtiments utilisant du béton. Réglementation : - L essai d affaissement est réalisé selon la norme NF EN L équipement est conforme à la norme NF P Acteurs : Cet essai est généralement réalisé par des laboratoires d essais béton. Il est également réalisé par les fournisseurs de béton et les entreprises de gros œuvre à la réception des camions toupie. Cet essai peut être réalisé très simplement par les entreprises de mise en œuvre ou par l équipe d encadrement du chantier. Il demande cependant de respecter un protocole réglementaire. Principe : L essai est simple. Ci-dessous un schéma donnant les étapes de l essai : La mesure A est l affaissement. Systèmes : De nombreux fournisseurs proposent la vente du cône d abrams. Son prix est d environ 350. Page 26/48

27 Monitoring Le monitoring consiste en l enregistrement des données sur le chantier ou sur le bâtiment fini. Les données généralement enregistrées sont la température, l humidité, la vitesse du vent, l ensoleillement, la pluviométrie, les débits de sortie en toiture et enfin les consommations énergétiques. Ce type d équipements n est utilisé que sur des chantiers spécifiques. Le suivi a posteriori sur bâtiment fini est lui plus courant. Possibilités de contrôles : - Conditions météorologiques sur chantier : ensoleillement, pluviométrie, humidité, température. - Evolution des conditions de température et d humidité dans un matériau (isolant, béton ). - Séchage des dalles et chapes. - Conditions dans le bâtiment après réalisation. (Suivi par exemple pendant 1 an). - Performances de rétention des toitures végétalisées. Destination : Tous types de bâtiments. Réglementation : Il n existe pas de réglementation pour le monitoring sur site. Acteurs : Ces mesures nécessitent des compétences et des équipements spécifiques. Elles sont réalisées par des entreprises spécialisées ou possédant une équipe dédiée. (Le Centre de Ressources Technologiques NOBATEK propose des projets de monitoring sur site avec établissement des critères selon les besoins, mise en place des équipements, mesures, traitement des données et réalisation) Systèmes : Les mesures sont réalisées avec : - des stations météo complètes - des thermocouples externes liés à des enregistreurs de données (dataloggers) - des enregistreurs de données intérieurs et extérieurs. NOBATEK développe ses propres systèmes de monitoring (Powerlogger, EcoLogger, Thai, TEHOR). Des capteurs du commerce peuvent être utilisés Figure 16 : exemples de courbes de températures obtenues par monitoring dans les deux cellules expérimentales du centre de ressources technologiques NOBATEK Page 27/48

28 4. La qualité sur les chantiers 4.1. La réglementation pour la mise en œuvre La construction est réglementée par un ensemble de textes permettant de définir des exigences de performances, de conception des ouvrages pour assurer la qualité, l accessibilité et la sécurité des ouvrages bâtis. Des textes réglementaires définissent également certaines méthodes de mise en œuvre traditionnelles sur chantiers afin d en assurer leur maîtrise. Le Code de la Construction et de l habitation. C est le texte le plus général. Il regroupe les dispositions législatives et réglementaires relatives à la construction, à la promotion immobilière, aux logements sociaux et à d'autres questions relatives à l'immobilier. Il est disponible gratuitement sur le site LégiFrance à l adresse suivante : Les DTU, Documents Techniques Unifiés Les DTU sont des documents contenant les règles techniques à respecter dans des travaux de construction, de rénovation, de réhabilitation. Ils reprennent les modes de mise en œuvre traditionnels. Bien que représentant une bonne base technique pour la mise en œuvre sur chantiers, les DTU ne traitent pas des systèmes et matériaux innovants et limitent donc parfois l utilisation de solutions nouvelles et performantes. Dans le cas où les maîtres d ouvrages et/ou d œuvre ont la volonté d utiliser des matériaux ou systèmes nouveaux performants, ils sont soit sous Avis Technique (pour les solutions les plus abouties), soit sous Atex ou Pass Innovation, ou enfin sont totalement expérimentaux et le chantier sert de pilote. Ci-dessous la liste des DTU existants : Enveloppe Sols et fondations DTU Fondations superficielles. DTU Règles de calcul pour les fondations superficielles. DTU 13.2 Fondations profondes (XP P ). DTU 14.1 Travaux de cuvelage (NF P ). Maçonnerie - Béton DTU 20.1 Ouvrages en maçonnerie de petits éléments - Parois et murs (XP P ). DTU Gros oeuvre en maçonnerie des toitures destinées à recevoir un revêtement d étanchéité (NF P ). DTU 21 Exécution des travaux en béton (NF P ). DTU 22.1 Murs extérieurs en panneaux préfabriqués de grandes dimensions du type plaque pleine ou nervurée en béton ordinaire (NF P ). DTU 23.1 Murs en béton banché (NF P ). Construction métallique DTU 32.1 Construction métallique : charpente en acier. DTU 32.2 Construction métallique : charpente en alliages d aluminium (NF P ). Construction en bois DTU 31.1 Charpente et escaliers en bois (NF P ). DTU 31.2 Construction de maisons et bâtiments à ossature en bois (NF P ). DTU 31.3 Charpentes en bois assemblées par connecteurs métalliques ou goussets (NF P ). DTU 51.3 Planchers en bois ou en panneaux dérivés du bois (NF P ). Façades - Revêtements de façades DTU 33.1 Façades rideaux, façades semi-rideaux, façades-panneaux (XP P ). DTU 33.2 Tolérances dimensionnelles du gros oeuvre destiné à recevoir des façades rideaux, semirideaux ou panneaux (XP P ). DTU 41.2 Revêtements extérieurs en bois (NF P ). DTU 42.1 Réfection des façades en service par revêtements d imperméabilité à base de polymères (NF P ). DTU 44.1 Etanchéité des joints de façade par mise en oeuvre des mastics (NF P ). DTU 55.2 Revêtements muraux attachés en pierre mince (NF P ). Page 28/48

29 DTU 26.1 Enduits aux mortiers de ciments, de chaux et de mélange plâtre et chaux aérienne (NF P ) Menuiserie - Fermeture DTU 36.1 Menuiserie en bois (NF P ). DTU 37.1 Menuiseries métalliques (NF P ). DTU 36.1/37.1 Choix des fenêtres et de portes extérieures en fonction de leur exposition (FD P ). DTU 37.2 Menuiseries métalliques en rénovation sur dormant existant (NF P ). DTU 34.1 Ouvrages de fermeture pour baies libres (NF P ). Miroiterie - Vitrerie DTU 39 Travaux de miroiterie - vitrerie (NF P ). Couverture DTU Couverture en ardoises (NF P ). DTU Couverture en bardeaux bitumés (NF P ). DTU Couverture en tuiles de terre cuite à emboîtement ou à glissement à relief (NF P ). DTU Couvertures en tuiles de terre cuite à emboîtement à pureau plat (NF P ). DTU Couverture en tuiles canal de terre cuite (NF P ). DTU Couvertures en tuiles plates de terre cuite (NF P ). DTU Couverture en tuiles en béton à glissement et à emboîtement longitudinal (NF P ). DTU Couvertures en tuiles planes en béton à glissement et à emboîtement longitudinal. DTU Couverture en tuiles plates en béton. DTU Couverture en plaques ondulées métalliques. DTU Couverture en plaques nervurées issues de tôles d acier revêtues (NF P ). DTU Couverture en plaques nervurées d aluminium prélaqué ou non (NF P ). DTU Couverture par éléments métalliques en feuilles et longues feuilles en zinc. DTU Couvertures par éléments métalliques en feuilles et longues feuilles en acier inoxydable étamé (XP P ). DTU Couvertures par éléments métalliques en feuilles et longues feuilles en cuivre (NF P ). DTU Couverture en plomb sur support continu (NF P ). DTU 40.5 Travaux d évacuation des eaux pluviales (XP P ). Etanchéité DTU 43.1 Travaux d étanchéité des toitures-terrasses avec éléments porteurs en maçonnerie (NF P ). DTU 43.2 Etanchéité des toitures avec éléments porteurs en maçonnerie de pente 5 % (NF P ). DTU 43.3 Mise en œuvre des toitures en tôles d acier nervurées avec revêtement d étanchéité (NF P ). DTU 43.4 Toitures en éléments porteurs en bois et panneaux dérivés du bois avec revêtement d étanchéité (NF P ). DTU 43.5 Réfection des ouvrages d étanchéité des toitures-terrasses ou inclinées (NF P ). Aménagements intérieurs : Enduits et projections DTU 25.1 Enduits intérieurs en plâtre (NF P ). DTU 26.1 Enduits aux mortiers de ciments, de chaux et de mélange plâtre et chaux aériennes (NF P ). DTU 27.1 Réalisation de revêtements par projection pneumatique de fibres minérales avec liant (NF P ). DTU 27.2 Réalisation de revêtements par projection de produits pâteux (NF P ). Cloisons et doublages DTU 20.1 Ouvrages en maçonnerie de petits éléments - Parois et murs (XP P ). DTU Ouvrages verticaux de plâtrerie ne nécessitant pas l application d un enduit au plâtre - Exécution des cloisons en carreaux de plâtre (NF P ). DTU Ouvrages en plaques de parement en plâtre (plaques à faces cartonnées) (NF P ). DTU Ouvrages de doublage et habillage en complexes et sandwiches plaques de parement en plâtre-isolant (NF P ). DTU 35.1 Cloisons amovibles et démontables (NF P ) Page 29/48

30 Plafonds DTU Plafonds constitués par un enduit en plâtre (NF P ). DTU Plafonds fixés. Plaques de plâtre à enduire. Plaques de plâtre à parement lisse (NF P ). DTU Plafonds suspendus en éléments de terre cuite (NF P ). DTU Plafonds suspendus. Plaques de plâtre à enduire. Plaques de plâtre à parement lisse directement suspendues (NF P ). DTU Ouvrages en plaques de parement en plâtre (plaques à faces cartonnées) (NF P ). DTU Plafonds en staff (NF P ). DTU 58.1 Travaux de mise en oeuvre - Plafonds suspendus (NF P ). Revêtements de sols chapes planchers surélevés DTU 51.1 Parquets massifs et contrecollés (NF P ). DTU Pose flottante des parquets et revêtements de sol contrecollés à parement bois (NF P ). DTU 51.2 Parquets collés (NF P ). DTU 51.3 Planchers en bois ou en panneaux dérivés du bois (NF P ). DTU 52.1 Revêtements de sol scellés (NF P ). DTU 26.2 Chapes et dalles à base de liants hydrauliques (NF P ). DTU 26.2/52.1Mise en oeuvre de sous-couches isolantes sous chape ou dalle flottantes et sous carrelage (NF P ). DTU 53.1 Revêtements de sol textiles (NF P ). DTU 53.2 Revêtements de sol plastiques collés (NF P ). DTU 57.1 Planchers surélevés (à libre accès) - Eléments constitutifs - Exécution (NF P ) Peinture et revêtements de finitions DTU 59.1 Travaux de peinture des bâtiments (NF P ). DTU 59.2 Revêtements plastiques épais sur béton et enduits à base de liants hydrauliques (NF P ). DTU 59.3 Peinture de sols (NF P ). DTU 59.4 Mise en oeuvre des papiers peints et de revêtements muraux (NF P ). Equipements techniques : Plomberie - Assainissement DTU 40.5 Travaux d évacuation des eaux pluviales (XP P ). DTU 60.1 Plomberie sanitaire pour bâtiments à usage d habitation (NF P ). DTU Règles de calcul des installations de plomberie sanitaire et d évacuation des eaux pluviales. DTU 60.2 Canalisations en fonte, évacuations d eaux usées, d eaux pluviales et d eaux vannes (NF P ). DTU Canalisations en chlorure de polyvinyle non plastifié - Eau froide avec pression (NF P ). DTU Canalisations en polychlorure de vinyle non plastifié - Evacuation des eaux pluviales (NF P ). DTU Canalisations en polychlorure de vinyle non plastifié - Evacuation d eaux usées et d eaux vannes (NF P ). DTU 60.5 Canalisations en cuivre - Distribution d eau froide et chaude sanitaire, évacuation d eaux usées, d eaux pluviales, installations de génie climatique (NF P ). DTU 64.1 Mise en oeuvre des dispositifs d assainissement autonome - Maisons d habitation individuelle (XP P ). DTU Canalisations d eau chaude ou froide sous pression et canalisations d évacuation des eaux usées et des eaux pluviales à l intérieur des bâtiments (NF P ). Gaz DTU 61.1 Installations de gaz (NF P ). Chauffage DTU 60.5 Canalisations en cuivre - Distribution d eau froide et chaude sanitaire, évacuation d eaux usées, d eaux pluviales, installations de génie climatique (NF P ). DTU 65.3 Installations de sous-stations d échange à eau chaude sous pression (NF P ). DTU 65.4 Chaufferies au gaz et aux hydrocarbures liquéfiés. DTU 65.6 Exécution de panneaux chauffants à tubes métalliques enrobés dans le béton (NF P ). Page 30/48

31 DTU 65.7 Exécution de planchers chauffants par câbles électriques enrobés dans le béton (NF P ). DTU 65.8 Exécution de planchers chauffants à eau chaude utilisant des tubes en matériau de synthèse noyés dans le béton (NF P ). DTU 65.9 Installations de transport de chaleur ou de froid et d eau chaude sanitaire entre productions de chaleur ou de froid et bâtiments (NF P ). DTU Canalisations d eau chaude ou froide sous pression et canalisations d évacuation des eaux usées et des eaux pluviales à l intérieur des bâtiments (NF P ). DTU Dispositifs de sécurité des installations de chauffage central concernant le bâtiment (NF P ). DTU Réalisation des installations de capteurs solaires plans à circulation de liquide pour le chauffage et la production d eau chaude sanitaire (NF P ). DTU Isolation des circuits, appareils et accessoires. Température de service supérieure à la température ambiante (NF P ). Fumisterie DTU 24.1 Travaux de fumisterie (NF P ). DTU Cheminées à foyer ouvert équipées ou non d un récupérateur de chaleur utilisant exclusivement le bois comme combustible (NF P ). DTU Cheminées équipées d un foyer fermé ou d un insert utilisant exclusivement le bois comme combustible (NF P ). DTU Cheminées équipées d un foyer fermé ou d un insert conçu pour utiliser les combustibles minéraux solides et le bois comme combustibles (NF P ). Ventilation DTU 68.1 Installations de ventilation mécanique contrôlée (XP P ). DTU 68.2 Exécution des installations de ventilation mécanique (NF P ). Froid DTU 45.1 Isolation thermique des locaux et bâtiments frigorifiques et des locaux à ambiance régulée (NF P ). DTU 67.1 Isolation thermique des circuits frigorifiques (NF P ). Equipements divers DTU 63.1 Installations de vide-ordures (NF P ). DTU 75.1 Principes d établissement du programme d ascenseurs dans les bâtiments à usage d habitation. DTU 90.1 Equipement de cuisine (blocs-éviers et éléments de rangement) (NF P ) Les démarches de qualité et de contrôles sur chantiers : Les démarches qualité ou Plans d Assurance Qualité (PAQ) sont généralement prévus à l échelle de l entreprise et ne sont pas spécifiques aux phases de mise en œuvre sur chantiers. La référence pour l établissement du système qualité des entreprises est la norme internationale ISO 9001 : Systèmes de management de la qualité. De par sa relative complexité de mise en place, la certification ISO 9001 concerne généralement les moyennes et grandes entreprises. De même, les grands groupes de construction possédant des services qualité internes et des ressources dédiées, ont mis en place des démarches qualité, de contrôles et de retour d expérience spécifiques aux phases de chantiers et pour leurs opérations. Ces démarches restent internes aux entreprises et ne sont pas communiquées. Page 31/48

32 La norme ISO 9001 : Systèmes de management de la qualité. (Dernière version : 2008) «La ( ) Norme internationale spécifie les exigences relatives au système de management de la qualité lorsqu un organisme ( ) doit démontrer son aptitude à fournir régulièrement un produit conforme aux exigences des clients et aux exigences réglementaires applicables.» La norme ISO 9001 repose sur le concept appelé «Roue de Deming» permettant une recherche d amélioration continue de la qualité (ci-contre). Le système qualité au sens de la ISO 9001 implique l ensemble des employés de l entreprise dans la maîtrise des activités et l atteinte des résultats. Figure 17 : Roue de Deming La dernière version (2008) a été allégée en ne demandant que certains processus exigés par la norme : Maitrise des documents (gestion documentaire), Maitrise des enregistrements (gestion des résultats de processus, données d indicateurs ), Audit Interne, Maitrise du Produit Non Conforme, Actions correctives, Actions préventives. L objectif principal de la démarche qualité est de garantir la satisfaction du client. La qualité du produit n est donc pas garantie par la norme ISO, mais les dispositions que prend une entreprise pour répondre aux exigences du client et de garantir sa satisfaction doivent logiquement influer sur celle-ci. Un produit de qualité peut être la conséquence directe de la mise en place d un Système de Management de la Qualité efficace. Dans notre cas, l ouvrage ou la partie d ouvrage réalisé sur chantier peut être le «produit». L établissement d un système qualité sur la base de l ISO 9001 pour une entreprise de construction, même non spécifique aux phases de mise en œuvre, peut théoriquement avoir un impact sur la maîtrise de la qualité sur les chantiers. Dans la réalité, nous observons que les procédures qualité de l ISO 9001 sont peu appliquées aux travaux de terrain (chantiers) et restent généralement bureaucratiques. Des systèmes de maîtrise de la qualité plus simples, applicables et directs sont donc à concevoir pour les phases de mise en œuvre. Démarches et initiatives pour la maîtrise de la qualité pour les chantiers : On retrouve là des initiatives pour la maîtrise de la qualité sur les chantiers. Recommandations T1-87 et T1-89 du GEM. Recommandations aux maîtres d ouvrage publics à propos de la gestion de la qualité lors de la passation et de l exécution des marchés de travaux. Elle s applique à la procédure d appel d offre pour les maîtres d ouvrage désireux de développer la pratique de la gestion et de l assurance qualité sur les marchés de travaux. Il est possible de retrouver à l adresse suivante toutes les recommandations du GEM "ouvrages, travaux, maîtrise d œuvre" : Exemples de recommandations importantes dans les TI-87 et 89 : «Le maître d ouvrage doit signaler à son maître d œuvre dès le début de la mission son désir de prendre en compte dans le jugement des offres la valeur de la gestion de la qualité de l entreprise et de l assurance qualité donnée par celle-ci» Au stade de la remise des offres : Les entreprises devront un Plan Qualité (PQ) : contrôles, gestion des sous-traitants. Après signature du contrat. Etablissement su Schéma directeur de la qualité avec - les PQ des entreprises - l organisation du contrôle extérieur - le recensement des points critiques - les dispositions acceptées pour démontrer la qualité des matériaux et des produits. - Etc Page 32/48

33 INOVPAC Démarche mise en place à partir de 2007 au sein de l entreprise NORPAC filiale du groupe Bouygues Construction. La démarche vise à garantir la livraison des opérations de construction dans des délais et niveaux de qualité fixés. L objectif d INOVPAC est de livrer des chantiers sans réserves. L entreprise NORPAC a été contactée afin d avoir plus de précisions sur la méthodologie développée. Elle n a pas désiré donner suite. Projet de fin d étude (PFE) INSA de Mr Martial DAUNIS : Développement d un système qualité pour les phases chantier pour l entreprise PARISOT Projet. Le système qualité développé en 2010 dans le cadre de ce projet de fin d étude INSA est basé sur la norme ISO 9001 et est dédié aux phases de travaux. Les données concernant le système mis en place ne sont pas publiques. Projet de fin d étude de Mr Christophe POROT : Création d un processus de suivi et de contrôle de la qualité sur un chantier, en vue de la certification ISO 9001 PFE réalisé avec l entreprise Eiffage Construction et axé sur le développement d outils de contrôle et de gestion de la qualité sur chantiers. «Le premier outil est un système permettant au conducteur de travaux de contrôler l exécution des travaux et d anticiper les problèmes d interfaces entre corps d état. Le second outil est un tableau permettant de calculer le salaire moyen horaire de la main d œuvre employée, afin de mieux gérer les délais et les coûts. Le troisième est un tableau de ventilation des déboursés. Il permet au service études de prix de réajuster les ratios qu il utilise pour établir ses offres, et au chef de chantier de mieux gérer la ventilation des heures de main d oeuvre et du matériel. Le quatrième outil est un journal de chantier second œuvre comprenant une feuille de relevé du personnel sous-traitant et un document d avancement des travaux par logement. Il permet le contrôle et la traçabilité des travaux. A terme, mon travail devra aider les conducteurs de travaux à améliorer la qualité sur leur chantier, et à aborder avec plus de sérénité les chantiers TCE.» Process MS BAT Le process MS BAT a été développé dans le cadre du PFE 2011 de Mr Maxime FOURREY au sein de la société ELAN, Filiale du groupe Bouygues spécialisée dans le Management de projets. Le PFE a consisté à l élaboration d un process de suivi et de pilotage des chantiers. Le process est basé sur l application de la norme ISO 9001 et les systèmes déjà en place au sein de l entreprise. Commentaires : Les initiatives ou démarches ont été développées par les entreprises, le plus souvent à l échelle globale de l entreprise (sur la base ISO9001 et non spécifique aux chantiers) et sont des outils internes pour la maîtrise de la qualité des travaux réalisés par chaque entreprise individuellement. Le secteur manque de démarches communes de contrôles, de maîtrise de la qualité spécifiques aux phases de mise en œuvre sur chantier et pouvant être prévues, par les équipes d encadrement de chantiers, sur tous les chantiers. Les grandes entreprises du BTP ont initié des démarches de qualité démontrant l intérêt à le faire. La mise en place de ces démarches internes de qualité est généralement coûteuse et nécessite du personnel qualifié pour son suivi. Ces contraintes limitent de fait l accès à ces démarches par les PME et TPME. Page 33/48

34 4.3. Les signes de la qualité dans le secteur du bâtiment Un grand nombre de signes de qualité (marques, marquages, certifications, labels, classements) ont été développés pour le secteur du BTP. Ces signes sont à plusieurs niveaux : - les produits et systèmes - les entreprises - le personnel et les qualifications - les chantiers - les bâtiments construits Le recours à des produits, à des entreprises ou à des services bénéficiant de ces signes peut théoriquement permettre d envisager une certaine maîtrise de la qualité finale de l ouvrage bâti. Nous pouvons cependant signaler qu il arrive régulièrement que des entreprises «certifiées» ne soient pas irréprochables sur les phases de mise en œuvre sur chantiers et à l inverse, de petites entreprises ou artisans non certifiés proposent des travaux maîtrisés et de qualité. Ce constat permet de mettre en garde sur le fait que la simple recherche de certifications/signes/labels pour les entreprises de mise en œuvre ou de services ne suffit pas à garantir la qualité finale du bâtiment. Des démarches simples de reconnaissance et de recherches d entreprises de qualité (connues sur d autres chantiers ou par l intermédiaire de collaborateurs) peuvent s avérer efficaces. Rappelons également qu il est rare que des propositions de prix de travaux sous évaluées correspondent à des travaux de qualité satisfaisante. Les signes les plus courants pour les produits et des systèmes constructifs : Marques, Certifications, marquages Marquage CE Produit concerné Organismes Commentaires Tous les produits de construction Fabricants et organismes notifiés Obligatoire Porte sur les exigences essentielles du produit sur la santé et la sécurité. Attribué sous forme d ATE (Agrément Technique Européen) en cas d absence de norme harmonisée européenne. Informations : Marque NF Produits de construction possédant un référentiel NF. Réseau d organismes d AFNOR Certification Volontaire. Conformité à des caractéristiques de sécurité et/ou de qualité définies dans le référentiel de certification correspondant. Informations : La marque NF concerne également les services et maisons individuelles. Avis Technique (ATEC) Produit, famille de produits ou système innovants non définis dans une norme mais bénéficiant d une certaine expérience. CSTB Volontaire. A ce jour, l ATec est vu comme une référence. Son obtention demande cependant une démarche longue et coûteuse. Informations : Avis Technique Expérimental (ATEx) Produit, famille de produits ou système innovants non définis dans une norme. CSTB Volontaire. Appréciation technique du produit. Valable seulement pour un chantier ou une durée précisée. Plus rapide qu un ATEC : env 2 à 3 mois. Il permet de rassurer les assureurs, préparer un Atec, convaincre une maîtrise d ouvrage. Informations : Page 34/48

35 Pass Innovation Produits innovants. CSTB Volontaire. Première évaluation technique du produit ou du procédé. Trois résultats possibles : Feu vert : risque très limité Feu orange : risque réservé Feu rouge : risque non maîtrisé, technique non aboutie Informations : CSTBat Liste de produits CSTB Volontaire. Atteste de la conformité à l'avis Technique des produits innovants Informations et liste de produits : Certifié CSTB Certified Liste de produits CSTB Volontaire. Atteste de la conformité des produits de construction, des produits de construction et les services associés et des éléments d'ouvrage de construction, à des spécifications techniques définies dans les référentiels de certification Informations et liste de produits : CTB Qualité certifiée Liste de produits, structures, éléments en bois FCBA Volontaire. Informations et liste : ACOTHERM Menuiseries CSTB FCBA Volontaire. Performances acoustiques et thermiques Informations et liste : et QUALIF - IB Eléments préfabriqués en béton CERIB Volontaire. Informations et liste : ACERMI Isolants en vrac, rouleaux et panneaux fabriqués en usine. ACERMI (CSTB + LNE) Volontaire. Informations : A2P Liste de produits et systèmes industriels, par exemple : serrures, bloc-portes, fenêtres, etc CNPP Volontaire. Certification de produits industriels et de systèmes. Informations et liste : Géotextile certifié Géomembrane certifiée Géotextiles et géomembranes ASQUAL Volontaire. Informations : CEKAL Vitrages CEKAL Volontaire. Informations : SNJF Joints de façades, de sanitaires, mastics de collage de vitrages, de calfeutrement. SFJF Volontaire. Informations : Page 35/48

36 Classement Produit concerné Organismes Commentaires Volontaire. UPEC Revêtements de sols CSTB Informations : Acotherm A*E*V* Menuiseries extérieures Menuiseries extérieures CSTB FCBA CEBTP CSTB FCBA Volontaire. Performances thermiques et acoustiques Volontaire. Perméabilité à l air, étanchéité à l eau, résistance au vent. CEKAL Vitrages CEKAL VEMCROS Volets roulants et battants, persiennes coulissantes CSTB A2P Serrures, verrous, blocs portes CNPP ISOLE Produits isolants thermiques du bâtiment manufacturés ACERMI REVETIR Bardage extérieur CSTB Volontaire. Thermique, acoustique, protection antieffraction, protection contres les armes. Volontaire. Volontaire. Volontaire. Propriété mécaniques, mouvements différentiels, comportement à l eau, cohésion et flexion, perméance à la vapeur d eau Volontaire. Isolation des bardages extérieurs. Réaction et résistance au feu Résistance au feu Tous produits de la construction. Structures et protections, éléments de compartimentage, désenfumage CSTB, FCBA, LNE, IFTH, TECNALIA et autres organismes notifiés européens CSTB, CTICM Fait par exemple dans le cadre du marquage CE. Classement européen et/ou français. Fait par exemple dans le cadre du marquage CE. Classement européen et/ou français. Les signes les plus courants pour les entreprises : Signe Entreprises et qualifications concernées Commentaires ISO 9001 Toutes les entreprises Certification du système de l entreprise pour le management de la qualité. Plusieurs organismes peuvent délivrer cette certification : AFNOR (AFAQ), Bureau Véritas QUALIBAT Entreprises de travaux du bâtiment QUALIFELEC Entreprises d installation du génie électrique et énergétique QUALIClimaFroid Installateurs de climatisation, de conditionnement d air et d installations frigorifiques Qualicert SGS Toutes les entreprises MPRO Agences d architectures Engagement au respect des critères de maîtrise SOCOTEC Qualité Toutes les entreprises de la qualité de l association SOCOTEC Qualité. Maisons QUALITE Label pour constructeur. Engagement au respect d une charte qualité Page 36/48

37 Les signes les plus courants pour les personnes : Signe Personnes et qualifications concernées Commentaires ACQPA Personnel en peinture et revêtements anticorrosion CNPP Certification d experts évaluateurs et d assurance FCBA Compétence certifiée Certification d experts en pathologies du bois dans la construction CSTB Compétence Expert Construction Expert en construction ERE Expert en rénovation énergétique Les signes les plus courants pour les services : Marque, Certification Services concernés Commentaires AFNOR. AFAQ Liste de services NF Services CSTBat Services Liste de services Organismes de formation à la mise en œuvre des chevilles, procédés de traitement des eaux AFNOR. CSTB. A+ Traitement des bois en œuvre FCBA AFCAB Pose d armatures en béton AFCAB APSAD Liste de services CNPP Géomembrane certifiée Application des géo membranes : soudage et responsabilité de chantier ASQUAL VeriSelect Entreprises générales de BTP Bureau Veritas Certification CERTIBAT Offre globale de travaux de rénovation énergétique de bâtiment Certibat OCMS Charpente, menuiserie, agencement, couverture, plomberie, chauffage, maçonnerie, carrelage, métiers de la pierre, électricité, peinture, OCMS revêtements, vitrerie, miroiterie, plâtrerie, métallerie, serrurerie, travaux publics Qualicert SGS Activités d aménagement, rénovation, construction : organisation et coordination. Maintenance en chauffage et ECS. Chartes d engagement Services concernés Commentaires AB5 Artisans CAPEB QUALISOL QUALIBOIS QUALIPV Label Efficacité énergétique Eco Artisan Entreprises de solaire thermique, de photovoltaïque raccordé, chauffage bois énergie. Entreprises de génie électrique et climatique Artisans Qualit EnR SERCE. CAPEB, QUALIBAT Eval thermique globale, réalisation des travaux et contrôle qualité, conseil global en matière d économie d énergie. Page 37/48

38 Les signes les plus courants pour les ouvrages Certification Ouvrages concernés Commentaires NF Maison Individuelle Maisons individuelles neuves CEQUAMI, AFNOR Organisation du constructeur Caractéristiques des ouvrages Qualité des services NF Maison rénovée NF Logement NF Bâtiment tertiaires QUALITEL Maisons individuelles rénovées Logements neufs collectifs et individuels groupés Bâtiments tertiaires neufs ou rénovés Logements neufs collectifs et individuels groupés CEQUAMI, AFNOR Organisation du constructeur Caractéristiques des ouvrages Qualité des services CERQUAL, AFNOR Qualité technique de l opération et la qualité de services apportés à l acquéreur. Système de management du promoteur CERTIVEA, AFNOR Organisation des acteurs Caractéristiques des ouvrages CERQUAL Confort acoustique et thermique Qualité des équipements Maîtrise des charges Patrimoine Habitat PROMOTELEC Logements collectifs et individuels rénovés Logements neufs individuels ou collectifs neufs et rénovés CERQUAL, Organisation du projet, chantier propre, gestes verts, sécurité incendie, qualité des sanitaires, qualité d usage, façades et toitures, équipements techniques des logements, performance énergétique, confort acoustique. Promotelec. Isolation thermique, ventilation, chauffage et sa gestion, production d ECS Certification de performance énergétique Ouvrages concernés Commentaires Label HPE Maisons individuelles, logements et bâtiments tertiaires bénéficiant d une certification accréditée CEQUAMI, CERQUAL, CERTIVEA, PROMOTELEC Label HPE rénovation Maisons individuelles, logements et bâtiments tertiaires rénovés bénéficiant d une certification CEQUAMI, CERQUAL, CERTIVEA, PROMOTELEC accréditée Effinergie Maisons individuelles, logements et bâtiments EFFINERGIE, CEQUAMI, CERQUAL, CERTIVEA, tertiaires PROMOTELEC Effinergie rénovation Maisons individuelles, logements et bâtiments EFFINERGIE, CEQUAMI, CERQUAL, CERTIVEA, tertiaires rénovés PROMOTELEC Passiv-Haus Logements neufs Association Maison Passive France Minergie Bâtiments neufs ou rénoves Page 38/48

39 5. Démarche pour la maîtrise de la qualité sur chantier 5.1. Introduction, fonctionnement Le projet a visé à développer les bases d une démarche générale et adaptable spécifique à la maîtrise de la qualité des phases de mise en œuvre sur chantiers de bâtiment. Cette démarche est centrée sur des tâches de contrôles insitu et check-lists de contrôles. C est une démarche est prévue à l échelle du chantier et non d une entreprise. Elle est destinée aux équipes d encadrement de chantier (maîtrise d œuvre et d ouvrage) et peut être prévue dès le DCE en partie ou de manière complète. Une démarche de contrôle, quelle qu elle soit, assurant une certaine qualité de mise en œuvre, peut représenter des coûts supplémentaires (mais évitera le plus souvent des surcoûts supérieurs liés à des défauts de mise en œuvre) qui doivent être prévus au plus tôt pour le chantier, idéalement dès la phase programmation. Les check-lists présentées au point 5.3 seront utilisées par la maîtrise d œuvre et/ou d ouvrage qui répartira les différents contrôles à réaliser (selon les choix faits) aux acteurs du chantier. Certains contrôles pourront être réalisés par les entreprises de mise en œuvre, d autres par l équipe d encadrement et enfin certains par des prestataires extérieurs spécialisés. Les check-lists permettront à l équipe de maîtrise d œuvre, pendant le chantier, de suivre les contrôles réalisés et de proposer des contrôles «jalons» à valider avant la poursuite des tâches du chantier. Afin d être applicable, la démarche ne prévoit pas l ensemble des contrôles qui pourraient être réalisés sur un chantier. Selon les moyens du chantier, ses exigences, la connaissance et la qualité des entreprises intervenant sur le chantier, le nombre de contrôles peut être plus ou moins important. Les check-lists de contrôles prévus dans la démarche sont en effet adaptables selon le contexte du chantier et l ordonnancement particulier des travaux. Le plan de contrôle défini par l équipe d encadrement, basé sur les check-lists proposées ci-après, devra être communiqué aux différents responsables d entreprises du chantier afin que la démarche soit transparente et acceptée. Nous distinguerons dans la démarche proposée, deux grandes familles de contrôles : - les contrôles simplement visuels - les contrôles demandant des mesures, équipements, tests Afin de limiter les déplacements et interventions de personnel d encadrement, en accord avec les entreprises, certains contrôles dits visuels pourront être faits par les entreprises elles-mêmes avec preuve par photographie à transmettre. Page 39/48

40 Ci-après l organigramme de la démarche : Page 40/48

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