PROPHYLAXIE DE LA TRANSMISSION MATERNO FŒTALE DU VIH CONDUITE PRATIQUE
|
|
- Jean-Luc Cormier
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 version 1 page 1/5 Référence : RSN/PR/REA.P/018/A Date de 1 ère mise en service : 04/12/2008 N version Date de la modification Suivi des modifications Objet de la modification Faite par : Rédaction Mise à jour Vérification Approbation Nom et fonction Nom et fonction Nom et fonction Nom et fonction : CMS Date : Date : Date : Date : 04/12/2008 Signature : Signature : Signature : Signature : RATIONNEL: La transmission materno-foetale (TMF) constitue actuellement le mode quasi exclusif de contamination de l enfant par le virus de l immunodéficience humaine (VIH). En dehors de toute prise médicamenteuse à visée anti-rétrovirale par la mère ou l enfant, le taux de transmission est de l ordre de 20%. Ce taux est largement influencé par le statut immunitaire et virologique de la mère. L efficacité de la césarienne réglée est maintenant reconnue. Ses indications sont toutefois remises en question chez la femme dont le statut immunovirologique est optimal en fin de grossesse (charge virale indétectable, CD4 élevés). Les dernières données de l Enquête Périnatale Française rapportent un taux de transmission, en France de moins de 2%. Près de 1000 femmes sont incluses chaque année. On estime à moins de 20, le nombre d enfants naissant en France infectés chaque année cependant des problématiques demeurent ou apparaissent. La première concerne la toxicité sur l enfant des antirétroviraux administrés durant la grossesse. A ce titre le SUSTIVA est contre indiqué chez la femme enceinte. Il est responsable de malformations cérébrales chez le primate. L association VIDEX + ZERIT a également été rendu responsable de décès maternels lors de son administration durant la grossesse. Pour les autres molécules d utilisation plus ancienne et notamment les analogues nucléosidiques (AZT, 3TC, DDI, D4T, Abacavir, Emtricitabine) de la reverse transcriptase le risque de cytopathie mitochondriale semble se confirmer même si sa fréquence extrêmement basse ne remet pas en question le bien-fondé de cette prophylaxie. Le second problème émergeant est celui des femmes porteuses de virus (multi)résistant compromettant potentiellement les effets de la prophylaxie «standard». De nouvelles molécules voient régulièrement le jour (tipranavir, atazanavir, TMC114, TMC125). De nouvelles classes thérapeutiques (inhibiteur de l intégrase) sont désormais disponibles. Nous n avons aucune donnée sur leur tolérance durant la grossesse et la toxicité embryo-fœtale. La toxicité des anti retroviraux administrés durant la grossesse demeure une préoccupation importante. La vigilance doit être particulière pour les molécules les plus récentes Enfin la 3 ème problèmatique apparaissant avec l augmentation des femmes séropositives débutant une grossesse concerne les échecs de prophylaxie. Certains s expliquent par l existence de situations et/ou comportements à risque (grossesse non suivi, diagnostic tardif, etc), d autre par l existence de véritable situation d échec immuno-
2 version 1 page 2/5 virologique. Les experts pédiatres et obstétriciens se sont particulièrement préoccupé de ces situations. La notion d intensification de la prophylaxie du nouveau-né est désormais proposée dans certaines situations. L édition 2008 des recommandations nationales (1) stipule que : 1. La santé de la mère demeure primordiale 2. Seul l AZT a, à ce jour, démontré son efficacité dans la prophylaxie de la TMF chez la femme européenne 3. Il est nécessaire d intensifier le traitement de l enfant lorsque : a. la mère n a reçu AUCUN traitement anti-retroviral durant la grossesse et/ou l accouchement b. La durée du traitement pendant la grossesse a été d une durée inférieure à 8 semaines c. la charge virale maternelle est élevée à l accouchement i. plus de copies/ml si césarienne ii. plus de 1000 copies/ml si VB d. il s agit d un accouchement à risque i. naissance à domicile ii. chorio amniotite avérée iii. prématurité < 33 SA Les seules molécules administrables en renforcement thérapeutique chez le nouveau-né sont : 3TC (Epivir ), Névirapine (Viramune ), (Viracept ) et Lopinavir (Kaletra ). Leur prescription est du ressort d un «spécialiste» rompu à la manipulation de ces molécules chez l enfant CETTE NOTION D INTENSIFICATION DE LA PRISE EN CHARGE DU NOUVEAU-NE EST LA VERITABLE NOUVEAUTE DE CES RECOMMANDATIONS. SOYEZ VIGILANT! IL EST SOUHAITABLE QUE L INTENSIFICATION DE PROPHYLAXIE CHEZ LE NOUVEAU-NE SOIT PRESCRITE PAR UN PEDIATRE HABITUE À LA MANIPULATION DES ANTIRETROVIRAUX CHEZ L ENFANT Le traitement prophylactique est une urgence thérapeutique. Il doit être démarré le plus tôt possible, idéalement dans les six premières heures de vie (jamais au-delà de 72 h)
3 version 1 page 3/5 EN PRATIQUE 1. Vérifier si la maman est sous un protocole particulier (dossier obstétrique) 2. Rechercher un /des facteurs justifiant ou non de l intensification de la prophylaxie chez le nouveau-né 3. Examen clinique du nouveau-né par un pédiatre sénior. Les examens au sang du cordon (NFS plaquettes, bilan hépatique ne sont plus à demander) 4. Si OK démarrer la prophylaxie (Gold Standard : AZT seul 2 mg/kg/h6 qsp 4 semaines) prendre un rendez-vous en Hôpital de jour de Pédiatrie le plus tôt possible (2) 5. Si problème sans relation avec VIH ou traitement (ex: prématurité) = hospitalisation en néonatalogie ou réanimation pédiatrique anomalie clinique et surtout nécessité d intensification de la prophylaxie du nouveau-né = contacter Monpoux F ou Deville A : service d hématologie pédiatrique ( ) ou pédiatre sénior de garde en réanimation ( ). Dans le doute, actuellement seul l AZT en monothérapie et quelque soit le traitement maternel, a démontrer son efficacité et innocuité chez le nouveau-né à la posologie de 2 mg/kg/h6 per os (1.5 mg/kg/h6 IVL60 minutes si impossibilité d alimentation). NB et FONDAMENTAL : Si la sérologie maternelle n est découverte qu à la naissance de l enfant, il est salvateur de démarrer une prophylaxie (intensifiée) chez le nouveau-né MEME si la mère n en a pas reçu. La SEULE condition est de démarrer dans les 48 premières heures de vie. LES EXAMENS AU CORDON ET LE BILAN DES PREMIERS JOURS, HORS PROTOCOLE PARTICULIER (IP2 par exemple) NE SONT PLUS A REALISER En revanche, dès la première semaine de vie, ne pas oublier de doser chez l enfant la PCR-RNA HIV et le DNA pro-viral.
4 version 1 page 4/5 PROTOCOLE DE PROPHYLAXIE En ce qui concerne le mode d accouchement, le rapport Yéni (1) recommande de ne pas pratiquer de césarienne systématique lorsque la femme reçoit une multithérapie ayant permis d obtenir une charge virale indétectable à la fin du 8 ème mois ; la césarienne programmée reste conseillée en cas d indication obstétricale ou de charge virale > 400 copies/ml. POSOLOGIES : AZT (Rétrovir ) Analogue nucléosidique Mère : 500 mg/j durant la grossesse, perf AZT dès le travail (dose de charge : 2mg/Kg en 1 heure puis 1 mg/kg/h) Enfant (terme > 35 SA) : 2 mg/kg/h6 (sirop à 10 mg/ml) (IV : 1.5 mg/kg/h6) Prématuré (terme < 35 SA) : 2 mg/kg/h12, (IV : 1.5 mg/kg/h12) 3TC (Epivir ) Analogue nucléosidique Mère/adultes : 300 mg par jour pas de forme injectable Enfant : 2 mg/kg/h12 NEVIRAPINE (Viramune ) Analogue non nucléosidique Mère : 200 mg dès le début du travail ou 4 heures avant césarienne Enfant : 2 mg/kg en prise unique entre H48 et H72 de vie (indication : mère traitée par Viramune ) LOPINAVIR+RITONAVIR (Kaletra ) Anti protéase Mère : 2 comprimés (200 / 50 mg) matin et soir Enfant : posologie de 15 mg/kg/h12 en cours de validation Le Nelfinavir (Viracept ) a été retiré du marché (Juin 2007) A ce titre il est indispensable qu un flacon d Epivir et de Névirapine soit en permanence disponible pour la salle de Naissance REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES : (1) : Rapport Yéni Juillet 2008 : Prise en charge médicale des personnes infectées par le VIH : rapport 2008-sous la direction du Professeur Patrick Yeni ; Médecine-Sciences Flammarion. Site : (2) : IDE, CHU de Nice ( )
5 version 1 page 5/5 ANTIRETROVIRAUX CHEZ LE NOUVEAU-NE Posologies, Effets indésirables connus, contre indications biologiques au démarrage du traitement NOM POSOLOGIE EFFETS INDESIRABLES CONTRE INDICATION AZT (Rétrovir) 2 mg/kg/h6 per os 1.5 mg/kg/h6 IVL 60 minutes Préma < 35 SA : 2 mg/kg/h mg/kg/h12 IV Anémie Neutropénie cytopathie mitochondriale Hb< 5 mmol/l Neutro<1000 /ml creat>130µmol/l 3TC (Epivir) Névirapine (Viramune) 2 mg/kg/h12 per os pas de forme injectable 2 mg/kg 1 prise entre H48 et H72 si la mère en a reçu à l accouchement Anémie pancréatite hyperkalimie Toxidermie cholestase Hb< 5 mmol/l lipase > 250 K>6.5 (non hémolysé) Bilirubine > 200 J1 cordon gamma GT>200 cordon
Infection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailPrise en charge du. Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil
Prise en charge du nouveau-né de mère m HIV Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil GROSSESSE Chez une femme infecté par le VIH,la grossesse est a risque = prise en charge multidisciplinaire
Plus en détailAvis 6 novembre 2013
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 6 novembre 2013 ISENTRESS, comprimé à croquer 25 mg Flacon de 60 comprimés (CIP : 3400926992408) ISENTRESS, comprimé à croquer sécable 100 mg Flacon de 60 comprimés (CIP
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailHIV et Soins Intensifs. Colloque SMIA 06.09.2007 Dr Pierre Voirol - PHA
HIV et Soins Intensifs Colloque SMIA 06.09.2007 Dr Pierre Voirol - PHA HIV et Soins Intensifs: pourquoi? Interactions Effets secondaires Risques Suivi du traitement 2 Patients HIV en soins intensifs: causes
Plus en détailLE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE
DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE KALLE A.D A (1), BENGALY L (2)., KONE D ( 1), COULIBALY S.M (2). DIAKITE A.S. (2) DIAMOUTENE A (2) (1) Service de Pharmacie Hôpital Gabriel
Plus en détailTraitement des hépatites h chroniques virales B et C
Traitement des hépatites h chroniques virales B et C Dr Joanna POFELSKI Service d hépatod pato-gastroentérologierologie CH d Annecyd Particularités? Virus hépatotropes / cytopathogènes : lésions hépatiques
Plus en détailLecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique
Lecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique Clotilde Allavena NANTES Symposium JANSSEN JNI 2011, Toulouse Jusqu en 1996, la montée en puissance Bithérapie 2 NUCs Trithérapie 2 NUCs
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailCours de Mme Ollivier. Le 17.12.2008
Pharmacologie de la pathologie VIH : Les anti-rétroviraux Rôle infirmier dans la prise en charge du patient sous ARTV : éducation, prévention et gestion des effets secondaires Cours de Mme Ollivier Le
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailPLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE
Royaume du Maroc Ministère de la Santé PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Fin du Compte à rebours 2015 Avec l appui de Contexte En souscrivant aux
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailCo-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC
Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Abdelfattah CHAKIB Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca Service des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd 06 61 42 91 64 afchakib@gmail.com
Plus en détailSuivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées
Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées Grossesse a priori «normale» Quelle prise en charge? Sécurité médicale RPC EBM Opinion des usagers
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailLettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?
Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailLes médicaments anti-vih
Les médicaments anti-vih 2012 Deuxième édition In collaboration with: Remerciements Edité par Keith Alcorn, Selina Corkery et Greta Hughson Deuxième édition française: 2012 Adaptée de la onzième édition
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailMaladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS
Plus en détailL investigation chez la personne infectée par le VIH
P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailPrise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH
Prise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH 2004 Prise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH Rapport 2004 Recommandations du groupe d experts Sous la direction
Plus en détailVotre développement professionnel continu
Les cahiers Vol. 10 Nº 4 10 mars 2010 Votre développement professionnel continu Sont représentés au conseil de rédaction de MedActuel DPC L Association des médecins de langue française du Canada La faculté
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailwww.aidsmap.com Les effets secondaires Français Première édition 2009
www.aidsmap.com Les effets secondaires Français Première édition 2009 Remerciements Ecrit par Michael Carter Première édition française 2009 Adaptée de la première édition anglaise 2009 Remerciements à
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailNormes canadiennes pour la lutte antituberculeuse
Normes canadiennes pour la lutte antituberculeuse 7 ième édition Chapitre 10 : La tuberculose et le virus de l immunodéficience humaine Normes canadiennes pour la lutte antituberculeuse, 7 ième édition
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailImplication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA
Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailSélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005
Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative Références Sélection
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailMise à jour VIH Revue des données récentes concernant les nouveaux traitements antiviraux
Mise à jour VIH Revue des données récentes concernant les nouveaux traitements antiviraux Soutenu par une bourse indépendante de formation de ViiV Healthcare. www.medscape.org/viewarticle/826417 Mise à
Plus en détailCRIXIVAN 400mg. Indinavir, IDV. IP inhibiteurs de la protéase
CRIXIVAN 400mg Indinavir, IDV IP inhibiteurs de la protéase Info-médicaments anti-vih en LSQ Octobre 2011 Français : LSQ : Il faut prendre 2 comprimés de Crixivan à jeun d avoir mangé aux 8 heures (trois
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailActualités sur le Virus de l'hépatite C
CBP CHRU Lille Actualités sur le Virus de l'hépatite C 2.0 ANNE GOFFARD UNIVERSITÉ LILLE 2 DROIT ET SANTÉ FACULTÉ DES SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES DE LILLE 2012 Table des matières I - Épidémiologie
Plus en détailL adhésion au traitement: les clés du succès
L adhésion au traitement: les clés du succès Dr Marie P. Schneider, pharmacienne Policlinique Médicale Universitaire Lausanne CHUV avril 005 Mme W.M. 970 Patiente d origine angolaise, en Suisse depuis
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009
PRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009 CHU BAB EL OUED DR OSMANE DR MAHIOU PR NAKMOUCHE Evolution du traitement de hépatite c Découverte du génome de l HVC 1989 1989 1989 Evolution du traitement
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailMédicaments anti-vih. 2015 Troisième édition. In collaboration with:
Médicaments anti-vih 2015 Troisième édition In collaboration with: Remerciements Edité par Greta Hughson Troisième édition française 2015 Adaptée de la 13ème édition anglaise 2015 Remerciements à Sylvie
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailHépatite C, les nouveaux traitements
Hépatite C, les nouveaux traitements Dr Ghassan Riachi CHU de Rouen QDN 2014 Revue de presse p L hépatite C est une maladie curable Peginterferon + DAAs 2011 Standard Interferon 1991 + Ribavirin 1998 2001
Plus en détailBilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.
Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailRésistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires
Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Jade GHOSN Laboratoire de Virologie CHU Necker-Enfants Malades EA MRT 3620 Paris 5 Réservoirs anatomiques du VIH:
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition sexuelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition sexuelle Introduction Ce document concerne l évaluation de l adulte et de la femme enceinte, il ne concerne pas l enfant ni l adolescent. Il se limite à la prise
Plus en détailTRAIT FALCIFORME. Clinique spécialisée d hématologie pédiatrique
TRAIT FALCIFORME Clinique spécialisée d hématologie pédiatrique Une analyse sanguine a été effectuée chez votre enfant, soit à la naissance, soit à la demande de votre médecin. Cette analyse a démontré
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détailAoût 2010. a thérapie. antirétrovirale. pour les adultes infectés par le VIH. Guide pour les professionnels de la santé du Québec
Août 2010 a thérapie antirétrovirale pour les adultes infectés par le VIH Guide pour les professionnels de la santé du Québec Août 2010 a thérapie antirétrovirale pour les adultes infectés par le VIH
Plus en détailProfil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple
Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Aline Voidey Soirée de la Société de Médecine de Franche-Comté Jeudi 27 novembre 2014 L hématopoièse Une seule et unique
Plus en détailVIH/SIDA 2009. Dr. Rémi De Champlain Omnipraticien 30 septembre 2009
VIH/SIDA 2009 Dr. Rémi De Champlain Omnipraticien 30 septembre 2009 1 2 Objectifs Revoir les principales lignes directrices du traitement du VIH/SIDA les plus récentes Réviser les nouveaux médicaments
Plus en détailPlace de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH
Place de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH Lionel PIROTH CHU Dijon, Université de Bourgogne Tours juin 2012 Un problème? VIH-VHB Piroth L et al, J Hepatol,
Plus en détailLes médicaments anti-vih. Ce que je devrais savoir sur la thérapie 1
Les médicaments anti-vih Ce que je devrais savoir sur la thérapie 1 LES MÉDICAMENTS ANTI-VIH Ce livret offre un premier aperçu pour tous ceux qui souhaitent s informer sur les traitements contre le VIH.
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailPrise en charge. Accident d'exposition au Sang (AES) Accident d Exposition au risque Viral (AEV)
Prise en charge Accident d'exposition au Sang (AES) Accident d Exposition au risque Viral (AEV) 1 S O M M AI R E 1. Introduction 3 1.1 Premières mesures 3 1.2 Définitions 4 2. Observation Médicale 5 3.
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailMALI MEDICAL. Echec virologique aux antirétroviraux
ETUDE DE DEUX CAS D ECHEC VIROLOGIQUE AUX ANTIRETROVIRAUX A L INSTITUT D HYGIENE SOCIALE (IHS) DE DAKAR Study of two cases of virological failure of the antiretroviral in the Institute of Social Hygiene(ISH)
Plus en détailFrench Version. Aciclovir Labatec 250 mg (For Intravenous Use Only) 02/2010. Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v.
Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v. 250 mg French Version Aciclovir Labatec i.v. Composition Principe actif: Aciclovirum ut Acicloviri natricum (Praeparatio cryodesiccata). Excipients:
Plus en détailGuide clinique pour la prise en charge antirétrovirale des personnes déplacées Afrique du Sud
Guide clinique pour la prise en charge antirétrovirale des personnes déplacées Afrique du Sud Southern African HIV Clinicians Society / UNHCR, 2007.Tous droits réserves. La reproduction et la distribution
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailÉzin Jocelyn Come Alex AK.AKPO
Ézin Jocelyn Come Alex AK.AKPO LES DETERMINANTS DE L'OBSERVANCE A LA TRITHERAPIE ANTIRÉTROVIRALE CHEZ LES PATIENTS INFECTÉS PAR LE VIH A COTONOU, BENIN Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures
Plus en détailVIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV)
VIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV) En 1999, dans le monde, plus de 33 millions de sujets dont 43% de femmes étaient infectés par le virus de l'immunodéficience humaine ou HIV. L'épidémie progresse
Plus en détailSélection des Médicaments pour la Prise en Charge des PVVIH/SIDA
Sélection des Médicaments pour la Prise en Charge des PVVIH/SIDA Dr Vincent HABIYAMBERE, OMS/ Département du VIH/SIDA Dr Bianca Kamps, IDA HIV Group Dakar, Sénégal, Mars 2006 Plan de la Présentation Éléments
Plus en détailTraitement des hépatites virales
Traitement des hépatites virales Philippe Sogni Hépato-gatroentérologie gatroentérologie,, Hôpital Cochin et Faculté de Médecine Paris 5 Sogni 1 Hépatite chronique C Sogni 2 Prévalence en France des Ac..
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailPoitou-Charentes. Commission Sécurisation du circuit du médicament Groupe informatisation du circuit
Observatoire Régional du MEdicament et des Dspositifs Médicaux Stériles Page 1 sur 17 Ce document a été élaboré par le groupe (informatisation du circuit du médicament) travaillant dans le cadre de l ORMEDMS.
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détail1. Différentes hépatites/ différents traitements
III. Traitements 55 1. Différentes hépatites/ différents traitements Se faire soigner 1.1 Traitements des hépatites virales D après les expériences pratiques et la littérature scientifique, le traitement
Plus en détailPrise en charge médicale des personnes vivant avec le VIH - Actualisation 2014 du rapport 2013
1 2 Sommaire Avant-propos... 7 Groupe des experts «Prise en charge médicale des personnes infectées par le VIH»... 9 Participants aux commissions de travail... 10 Commission «Traitement antirétroviral»...
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailMyron S. Cohen, MD (Président) Ouverture de la séance
Myron S. Cohen, MD (Président) Ouverture de la séance Bienvenue à tous, je m appelle Myron (Mike) Cohen; je suis le directeur du centre des maladies infectieuses à l Université de Caroline du Nord à Chapel
Plus en détailLes hépatites virales chroniques B et C
Les hépatites virales chroniques B et C www.aqodad.ma Service d hépato-gastroentérologie CHU HASSAN II; Fès 6èmes journées médicales d Al Hoceima; Le 28 09 2013 1 Introduction Problème majeur de santé
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailSemaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!»
Semaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!» Vous avez été X à prendre le risque d entrer dans notre chambre des erreurs, à présent découvrez les erreurs ou risques potentiels
Plus en détailDonnées récentes sur les nouveaux TAR : incidence sur la gestion du VIH dans la pratique clinique
Données récentes sur les nouveaux TAR : incidence sur la gestion du VIH dans la pratique clinique Supported by an independent educational grant from WebMD Global, LLC This document is for educational purposes
Plus en détailComment mesurer la résistance aux antiviraux???
Comment mesurer la résistance aux antiviraux??? Dr Marie-Laure Chaix Laboratoire de Virologie Hôpital Necker DIU de physiopathologie et thérapeutique des maladies infectieuses et tropicales (Module 1)
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailCERTIFICATION MÉDICALE RAPPORT MÉDICAL POUR LE DROIT DE SÉJOUR
Prévu à l article L313-11 11 du Code de l entrée et du séjour des étrangers et du droit d asile (Ceseda), le droit au séjour pour raison médicale concerne les étrangers atteints de maladie grave qui ne
Plus en détail