Étude originale. Actinomycose pelvienne Expérience tunisienne : à propos de 5 cas. Résumé
|
|
- Rémy Éthier
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Étude originale Actinomycose pelvienne Expérience tunisienne : à propos de 5 cas doi: /san Dalenda Chelli Abdelwahed Hassini Fadhel Aloui Ezzeddine Sfar Béchir Zouaoui Héla Chelli Badis Chanoufi Service de gynécologie obstétrique A Centre de maternité et de néonatologie de Tunis 1002 Tunis Tunisie <dalendac@yahoo.fr> Tirés à part : D. Chelli Résumé L actinomycose est une maladie suppurative rare, due à une infection par un bacille Gram positif anaérobie du genre Actinomyces. Il s agit d un germe saprophyte de la sphère ORL et du tube digestif. Cette bactérie est considérée comme une bactérie commensale occasionnelle de la flore vaginale. L actinomycose génitale est une affection bactérienne rare de la femme dont les manifestations cliniques sont très variables, non spécifiques. Les tableaux cliniques peuvent être aigus ou chroniques rendant le diagnostic préopératoire difficile. La thérapeutique est controversée. Nous avons analysé tous les cas d actinomycose pelvienne pris en charge dans le service «A» de gynécologie obstétrique au Centre de Maternité de Tunis sur une période de huit ans ( ). Nous avons colligé cinq observations durant la période d étude. L âge moyen de nos patientes était de 39,2 ans. La contraception par stérilet était notée chez 4 patientes. Les principaux signes révélateurs de la maladie étaient dominés par les douleurs pelviennes. Le diagnostic d actinomycose n a été évoqué chez aucune patiente ni en préopératoire ni en peropératoire. Il a été posé à l examen anatomopathologique. Le traitement a été essentiellement chirurgical au prix de complications, surtout digestives. Cette série confirme l importance des difficultés rencontrées dans la prise en charge de l actinomycose pelvienne. Nous exposons, à travers une revue des données récentes de la littérature, les démarches diagnostiques et thérapeutiques actuellement préconisées. Mots clés : actinomycose, diagnostic, dispositif intra-utérin, pelvis, traitement. Abstract Pelvic actinomycosis in Tunisia: Five cases Actinomycosis is a rare suppurative disease due to Actinomyces species. These Grampositive, non-acid fast anaerobic filamentous bacteria are normal inhabitants of the human body, tending to reside in the oropharynx and bowel but are occasionally found in the vagina. Pelvic actinomycosis is a rare bacterial disease in women. Clinical manifestations are various and non specific and may be acute or chronic. No consensus exists for treatment. We reviewed files and identified all five cases of pelvic actinomycosis managed at Obstetrics and Gynaecology department A at the Maternity Center of Tunis over an eight-year period ( ). The women s average age was 39.2 years. One patient was menopausal and consulted for bleeding. The other four patients were younger and had all been using an intrauterine device (IUD) for contraception. They presented with acute clinical manifestations. Their main symptom was pelvic pain. Three women had fever, and two presented with urinary tract obstruction. All patients had surgery. A pelvic abscess was found in four cases. Laparoscopic management was possible in only one case. Laparotomy was necessary in the other four. Four women had adnexectomies, two with hysterectomy. Digestive complications occurred in three cases. Actinomycosis was diagnosed only after surgery, by the histological examination. This series confirms the difficulties encountered in the management of pelvic actinomycosis. We review the recent literature and describe the diagnostic and therapeutic procedures currently recommended. The relationship between pelvic actinomycosis and IUDs, the most common method of contraception in Tunisia, is clearly established. Clinical diagnosis of pelvic actinomycosis is difficult because the symptoms are non-specific. Laboratory tests can help by showing serious inflammation, however. Imaging findings are also non-specific and may suggest an abscess or an inflammatory or neoplastic process. Interventional radiology, specifically CT- or ultrasound-guided aspiration biopsy can facilitate diagnosis, which in any case requires a histological examination. Treatment of pelvic actinomycosis is not 77
2 standardized and depends on clinical form. Medical treatment is based on long-term penicillin G. It is always necessary and may be used alone in cases of preoperative diagnosis. Surgery should be offered only in resistant cases and should always be followed by long-term antibiotic treatment. The prognosis of correctly treated pelvic actinomycosis is generally good. Key words: diagnosis, intrauterine device, pelvic actinomycosis, treatment. est une maladie suppurative rare, due à une L actinomycose infection par un bacille Gram positif anaérobie du genre Actinomyces, germe surtout saprophyte de la sphère ORL et du tube digestif. Actinomyces israeli est l espèce la plus fréquemment rencontrée en pathologie humaine. Il est considéré comme une bactérie commensale occasionnelle de la flore vaginale. Le but de notre travail est de rapporter notre expérience en matière de diagnostic et de prise en charge de l actinomycose pelvienne (AP). Nous avons colligé, à partir des registres d anatomopathologie, toutes les observations de patientes traitées pour actinomycose dans le service «A» de gynécologie obstétrique du Centre de Maternité de Tunis sur une période de huit ans allant de janvier 1998 à décembre Nous avons recensé cinq observations avec des tableaux cliniques divers que nous allons détailler séparément. Dans un second temps, nous nous proposons d analyser les nouvelles données concernant les démarches diagnostiques et thérapeutiques récemment préconisées à travers une revue de la littérature. Observations Observation n o 1 Mme M.S., âgée de 58 ans, ménopausée depuis 12 ans a consulté pour métrorragies associées à des leucorrhées. Elle n avait pas d antécédents médicaux particuliers. Elle avait eu une ligature des trompes 20 ans auparavant. L examen clinique a trouvé un col utérin inflammatoire hémorragique avec des leucorrhées non spécifiques. Le frottis cervico-vaginal a montré une cytologie bénigne et inflammatoire. Une biopsie du col a conclu à une endocervicite aiguë ulcérée. L hystéroscopie objectivait des signes d endométrite. Le curetage biopsique de l endomètre était peu productif, non interprétable. Devant la persistance de la symptomatologie, une hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale a été pratiquée par voie abdominale. L examen anatomopathologique a conclu à des lésions d actinomycose endométriale et endocervicale. Un traitement par la pénicilline G à la dose de 10 millions d unités par jour par voie intraveineuse a été administré pendant un mois, relayé par la voie orale pour une durée de deux mois. La patiente, revue six mois plus tard, était en excellent état général. Observation n o 2 Mme S.N., âgée de 24 ans, primigeste, primipare, nous avait été transférée d un service de chirurgie générale pour un syndrome douloureux de la fosse iliaque gauche. Il n y avait pas d antécédents médicaux ni chirurgicaux notables. Elle avait eu une pose de stérilet, trois ans auparavant, retiré 15 jours avant sa consultation. L interrogatoire et l examen retrouvaient une altération de l état général. La palpation de l abdomen associée aux touchers pelviens notait une masse sensible latéro-utérine gauche de 10 cm environ, ferme, sensible et fixée aux structures tissulaires adjacentes. Le bilan biologique a objectivé une anémie sévère et un syndrome inflammatoire marqué. L échographie abdominopelvienne a montré une énorme masse pelvienne d échostructure hétérogène dont les rapports avec l utérus n étaient pas nets avec une dilatation bilatérale des cavités pyélocaclicielles. Une néoplasie ovarienne a été évoquée. La cœlioscopie exploratrice s est avérée insuffisante pour le diagnostic. Le pelvis était barré par de multiples adhérences empêchant l accès aux structures pelviennes. Après laparo-conversion, viscérolyse difficile et étendue, nous avons individualisé un abcès tubo-ovarien bilatéral à côté de multiples nodules péritonéaux. Une annexectomie bilatérale a été pratiquée. Une tuberculose génitale a été suspectée. Ce diagnostic a été rapidement éliminé par l examen anatomo-pathologique qui a conclu à une actinomycose tuboovarienne. Un traitement antibiotique à base de pénicilline orale a été prescrit pendant 3 mois. Les suites opératoires ont été compliquées par l apparition d une fistule digestive externe qui a évolué favorablement après deux semaines d irrigationaspiration et d alimentation parentérale. Observation n o 3 Mme A.I., âgée de 33 ans, sixième gestite, troisième pare, a été admise en urgence pour des douleurs pelviennes associées à une fièvre à 40 C. On notait l antécédent d appendicectomie en bas âge et le port de stérilet depuis quatre ans. Outre la défense localisée au niveau pelvien, la patiente présentait des leucorrhées fétides et, aux touchers pelviens, un utérus douloureux à la mobilisation. Une échographie pelvienne a montré un épanchement pelvien associé à des formations hétérogènes rétro-utérines. Une pelvipéritonite a été suspectée. Après avoir retiré le stérilet, l exploration cœlioscopique a retrouvé du pus dans la cavité pelvienne. L utérus était ramolli et hyperhémié. L annexe gauche, pris dans un magma adhérentiel, était le siège d un énorme abcès (figure 1). Nous avons pratiqué un effondrement des logettes et un lavage abondant. L étude bactériologique du liquide de l épanchement prélevé était négative. Les suites opératoires étaient simples. La patiente a reçu une triple antibiothérapie associant pénicilline, aminosides et métronidazole pendant 10 jours. La patiente a été réhospitalisée 6 mois plus tard dans un tableau clinique similaire avec une altération nette de l état général. L échographie a montré en plus une dilatation pyélocalicielle droite. Une laparotomie a été réalisée avec adhésiolyse laborieuse entraînant des lésions digestives permettant de découvrir un abcès tubo-ovarien. Nous avons pratiqué une annexectomie. L examen extemporané était en faveur de l actinomycose annexielle ainsi que l histologie définitive (figure 2). Un traitement antibiotique à base de pénicilline G à la dose de 20 millions d unités par jour par voie intravei- 78
3 neuse a été administré pendant six semaines et relayé par 2 g d ampicilline par voie orale pendant 2 mois. Mme N.A., âgée de 38 ans, neuvième geste, cinquième pare, a été hospitalisée pour des douleurs pelviennes aiguës d intensité modérée associées à une fièvre à 38 C. L interrogatoire a trouvé un antécédent chirurgical d appendicectomie et de césarienne. Cette patiente avait eu comme moyen de contraception un dispositif intra-utérin (DIU) pendant 10 ans, retiré une semaine auparavant. À l examen, l utérus était douloureux à la mobilisation. Devant ce tableau clinique, le diagnostic d infection génitale haute a été évoqué. L échographie pelvienne a trouvé un ovaire gauche macropolykystique. La biologie objectivait un syndrome inflammatoire biologique. À la cœlioscopie, l annexe gauche, prise dans des adhérences, était enfouie dans le Douglas. L adhésiolyse difficile et le saignement ont nécessité une laparoconversion. Un abcès tubo-ovarien gauche a été retrouvé, et une annexectomie a été réalisée. L examen anatomopathologique a montré des lésions de tubo-ovarite suppurées d origine actinomycosique. Le traitement antibiotique à base de pénicillineaàladose de 3 g/j par voie orale a été prescrit pendant trois mois. L évolution a été favorable. été poursuivi pendant trois mois et l examen clinique ainsi que l échographie étaient normaux à la fin du traitement. Observation n o 4 Observation n o 5 Mme A.A., âgée de 48 ans, quatrième geste, deuxième pare non ménopausée, a consulté pour des douleurs pelviennes aiguës associées à des vomissements et une fièvre à 38 C. Il n y avait pas d antécédents médicaux particuliers. Elle avait un stérilet depuis 5 ans qu elle avait retiré trois jours auparavant. L examen physique a révélé une masse pelvienne de 15 cm environ, sensible, accolée à l utérus. L échographie pelvienne a montré une image bien circonscrite d échostructure hétérogène et paraissant aux dépens de l utérus. Le diagnostic de fibrome utérin en nécrobiose avait été évoqué en premier lieu. La patiente a bénéficié d un traitement antibiotique et anti-inflammatoire pendant une semaine. Par la suite, une laparotomie exploratrice a été effectuée. Après libération difficile des adhérences entraînant des lésions digestives, nous avons découvert un énorme abcès tubo-ovarien droit. Une hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale a été nécessaire. L histologie a conclu à une actinomycose tubo-ovarienne droite. Le traitement antibiotique par pénicilline Aàladose de 3 g/j par voie orale a Figure 1. Aspect laparoscopique d un abcès annexiel d origine actinomycosique. Figure 1. Laparoscopic appearance of an actinomycotic abscess. Discussion La localisation la plus fréquente de l actinomycose est cervicofaciale (50-60 %), thoracique (20-25 %) et plus rarement abdominale (15-20 %) et pelvienne (5 %) [1]. L actinomycose génitale est une infection très rare. Chaque auteur rapporterait en moyenne 1,46 cas par publication concernant la localisation pelvienne [2]. Physiopathogénie Malgré l absence d une évaluation exacte de la fréquence de l actinomycose génitale, les publications les plus récentes évoquent une augmentation de sa prévalence avec l utilisation croissante des DIU, premier moyen contraceptif dans de nombreux pays comme la Tunisie [3-5]. Le rôle des stérilets n est pas encore bien déterminé. C était en 1973 que Henderson a rapporté pour la première fois l association entre DIU et AP. Cette association est actuellement consolidée par la corrélation entre l élévation de l incidence de l AP et celle de l utilisation des DIU. Plusieurs mécanismes physiopathologiques ont été avancés. Le plus vraisemblable est le suivant : le stérilet crée une effraction de la muqueuse utérine. Il s en suit une infection ascendante en raison de la présence possible d Actinomyces dans le vagin. En pratique, la notion de contraception par DIU et surtout de retrait récent du DIU sont des facteurs de risque pour développer des abcès actinomycosiques d autant plus que la contraception mécanique est utilisée depuis plusieurs années et plus encore lorsqu ils sont négligés, parfois oubliés dans la cavité utérine. Dans notre série, le retrait récent de DIU a été noté dans 3 cas. Par ailleurs, l infection est favorisée par les états grabataires, l hygiène défectueuse et les déficits immunitaires [6, 7]. Enfin, nous rappelons qu il a été décrit des cas d AP sans présence de DIU [8, 9]. Dans notre série, une seule patiente n avait jamais utilisé de stérilet (observation n o 1). La relation entre les frottis cervicaux vaginaux (FCV) positifs à Actinomyces chez les femmes asymptomatiques portant des DIU et le développement ultérieur d une 79
4 Figure 2. Aspect histologique des lésions actinomycosiques. Figure 2. Histological appearance of actinomycosis. AP n est pas claire. Selon les données disponibles de la littérature, l incidence de l AP est très basse (< 0,001 %), comparativement à celle des FCV positifs (0-31 %) [2, 10]. La question portant sur la possibilité d une fréquence accrue de symptômes chez les utilisatrices de DIU avec frottis positifs est sujette à controverses. En considérant toutes ces incertitudes, il n est pas surprenant que les directives pour le traitement des utilisatrices de DIU asymptomatiques avec des frottis cervico-vaginaux positifs soient contradictoires. Il semblerait raisonnable de pratiquer l ablation du stérilet sous couverture antibiotique. Si le frottis revient négatif au contrôle quatre à six semaines plus tard, une réinsertion de DIU peut être envisagée. C est l attitude la plus reconnue malgré le risque surajouté d AP de l ablation et réinsertion du stérilet [11]. Le type de DIU semble aussi jouer un rôle. Cela a récemment été bien étudié. Merkifeld et al. [12] ont observé une incidence significativement moins élevée de FCV positifs à Actinomyces avec le DIU au lévonorgestrel, comparativement au DIU au cuivre (2,9 contre 20 %, p < 0,03). Toutefois, le type de DIU ne paraît pas un facteur important selon d autres auteurs [13]. Notons, dans notre série, que tous les DIU étaient au cuivre. Diagnostic Le diagnostic préopératoire de l actinomycose demeure très difficile. Néanmoins, il est indispensable afin d éviter des gestes mutilants chez des femmes jeunes. Cela a malheureusement été le cas de la patiente, âgée de 24 ans (observation n o 2), qui a eu une annexectomie bilatérale (ménopause iatrogène précoce!), compliquée d une fistule digestive externe. La présentation clinique est variable allant des formes aiguës péritonéales aux formes chroniques pseudotumorales. En outre, les signes cliniques ne sont pas spécifiques. Fiorino [2] a analysé 92 cas d AP associés à l utilisation de DIU. Les douleurs pelviennes étaient présentes dans 85 % des cas, la fièvre dans 60 % des cas, l amaigrissement dans 44 % des cas et les leucorrhées dans 24 % des cas. Dans notre série, les algies pelviennes et la fièvre étaient les symptômes les plus fréquents. L obstruction urétérale est extrêmement rare. Bercovich et al. [14] ont rapporté, dans une revue de la littérature, 14 cas d obstruction urétérale secondaire à une AP. Nous en avons observé deux dans notre étude. Les examens radiologiques (échographie, scanner, imagerie par résonance magnétique) ne sont pas spécifiques [3, 15, 16]. Ils évoquent surtout les diagnostics de tumeurs ovariennes, de pelvi-péritonite et de tuberculose génitale. Ces examens ont un intérêt particulier dans la surveillance des lésions chez les patientes traitées médicalement. Nos patientes ont bénéficié uniquement de l échographie abdominopelvienne, à titre diagnostic. Un syndrome inflammatoire biologique marqué est constant selon certains auteurs [3]. Les marqueurs tumoraux sont variables. Dans notre série, le syndrome inflammatoire était présent chez deux patientes (cas n os 2 et 4). La détection d Actinomyces par les FCV dans un contexte particulier doit pousser le praticien à plus d investigations. Les techniques de détection par immunofluorescence et la mise en culture élèvent la sensibilité du frottis jusqu à 90 % [3, 6]. Dans le cas n o 1 de notre série, deux frottis ont été réalisés, et ils étaient négatifs. La radiologie interventionnelle constitue une aide diagnostique récente et intéressante. Dans un contexte particulier évoquant l AP comme la présence d un stérilet ou son retrait récent ou même la présence d Actinomyces sur le FCV, la ponction d une collection à l aiguille fine ou la biopsie d une masse pelvienne sous échographie ou scanner sont de plus en plus réalisées [13, 17]. Ces méthodes de diagnostic préopératoire paraissent, à l heure actuelle, comme simples et fiables [16]. Néanmoins, l examen bactériologique du liquide de ponction est souvent non contributif au diagnostic à cause de la fragilité du germe et de sa culture difficile [18]. Concernant nos patientes, aucune n a bénéficié de ces nouvelles méthodes diagnostiques. L accès à la radiologie interventionnelle n est pas encore aisé dans nos structures sanitaires. Un prélèvement de collection pelvienne a été effectué au cours d une cœlioscopie (cas n o 3). L examen bactériologique était négatif. À la lumière de l anamnèse, de la clinique, de la biologie, de la radiologie et du FCV, l AP doit être évoquée comme dia- 80
5 gnostic différentiel, essentiellement, des cancers ovariens et de la tuberculose urogénitale. L enquête diagnostique doit être poussée en ayant recours aux progrès de la radiologie interventionnelle. Après une revue de la littérature, Fiorino [2] a trouvé que l AP a été diagnostiquée en préopératoire dans seulement 17 % des cas. Kayikcioglu et al. [19] ont porté le diagnostic chez trois patientes parmi cinq. Ces auteurs ont établi le diagnostic d AP en se basant sur le FCV qui représente en réalité un élément d orientation et ne permet pas le diagnostic. Ce dernier doit être étayé par les explorations sus-décrites [3, 7, 13, 19]. Dans notre série, le diagnostic préopératoire d AP n avait été évoqué chez aucune patiente. Le diagnostic peropératoire par l examen extemporané est aussi important que le diagnostic préopératoire. L extemporané montre un tissu inflammatoire avec les grains jaunes actinomycosiques caractéristiques connus sous le nom de «grains de soufre» (figure 3). Cet examen dépend largement de l anatomopathologiste et de son expérience [20], il contribue au diagnostic dans la plupart des cas [21]. Il est généralement demandé devant des découvertes opératoires atypiques comme une tumeur ovarienne de stade avancé sans ascite ou un pelvis inflammatoire prenant l aspect de frozen pelvis. Il permet l instauration rapide d une antibiothérapie adaptée. Un seul examen extemporané a été demandé dans notre série, et il était négatif. Traitement Le traitement de l AP n est pas standardisé. Deux volets thérapeutiques coexistent : médical et chirurgical. Le traitement médical constitue l élément essentiel. Il repose sur une antibiothérapie prolongée à base de pénicilline poursuivie pendant plusieurs mois, voire une année. La pénicilline G est reçue par voie intraveineuse à la dose de 10 à 20 millions d unités pendant quatre à six semaines puis relayée par la voie orale. À cause de la fréquence des associations multibactériennes, les aminosides et les imidazolés sont utiles au début du traitement antibiotique [3]. En pratique, la chirurgie est la plus souvent utilisée, étant donné l absence d un diagnostic préopératoire. L antibiothérapie est allégée en postopératoire immédiat, tant au niveau de la dose (3 g d amoxicilline) que de la durée (environ 1 mois), sans risque excessif de rechute [7, 22]. Dans notre série, la chirurgie avait été pratiquée dans tous les cas avec un taux élevé de complications digestives. Avec les possibilités récentes de diagnostic préopératoire, la plupart des auteurs insistent sur l efficacité du traitement médical pris seul à dose très élevée, jusqu à 30 millions d unités de pénicilline G par jour [19]. La stratégie thérapeutique est en train de se transformer en faveur du traitement médical. Cette attitude est dictée par la réponse excellente aux pénicillines, d une part, et par les difficultés opératoires d autre part. En effet, il existe souvent une absence des plans chirurgicaux de clivage habituels à côté des adhérences inflammatoires multiples. Cela explique la fréquence des complications opératoires surtout digestives et urinaires, et postopératoires comme la création de fistule à la peau. Par ailleurs, il s ensuit souvent des gestes d exérèse extensive inappropriée. En fait, la chirurgie ne devrait constituer qu un complément à l antibiothérapie. Elle devrait se limiter à des gestes de drainage des collections abcédées ou de dérivations urinaires (sonde double J) ou digestives (colostomie). Elle serait aussi préconisée dans les formes résistantes aux antibiotiques [5]. Le pronostic est généralement favorable sous traitement antibiotique bien suivi. Toutefois, des complications graves par diffusion locale ou généralisation par atteinte viscérale à distance ont été rapportées. Les récidives peuvent être observées jusqu à un an après l intervention. Elles justifient une surveillance prolongée [6]. Conclusion Figure 3. Aspect histologique caractéristique des «grains de soufre» actinomycosiques entourés par une réaction inflammatoire ; HEX 20. Figure 3. Characteristic histological appearance of sulphur granules surrounded by inflammatory cells, HEX 20. L AP est une maladie granulomateuse suppurative souvent méconnue. Elle doit être évoquée en présence d une tuméfaction pelvienne infiltrante évoluant dans un contexte infectieux surtout chez une patiente porteuse de stérilet. Le diagnostic préopératoire est possible par les ponctions-biopsies radioguidées dans les zones abcédées permettant d adopter une attitude thérapeutique adaptée et non agressive évitant des gestes chirurgicaux lourds, sources de complications. Le traitement se base sur l antibiothérapie au long cours. La chirurgie est un complément thérapeutique pour la mise à plat de larges collections abcédées et pour le traitement des formes persistantes 81
6 Références 1. Bittar I, Cohen Solal JL, Cabanis P. L actinomycose abdominopelvienne. Ann Chir 2001 ; 126 : Fiorino AS. Intrauterine contraceptive device-associated actinomycotic abscess and actinomyces detection on cervical smear. Obstet Gynecol 1996 ; 87 : Sergent F, Marpeau L. Actinomycose abdominopelvienne : un syndrome tumoral lié à une bactérie. J Chir (Paris) 2004 ; 141 : Tedeschi A, Di Mezza G, D Amico O, et al. A case of pelvic actinomycosis presenting as cutaneous fistula. Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol 2003 ; 108 : Michel P. Actinomycose pelvienne révélée par une pelvipéritonite. Ann Chir 2004 ; 129 : Salvat J, Slamani L, Knopf JF, et al. Actinomycose tubo-ovarienne, stérilet et chimiothérapie pour cancer du sein. J Gynecol Obstet Biol Reprod (Paris) 1998 ; 27 : Atallah D, Salet Lizee D, Van Den Akker M, et al. Actinomycose génitale : difficultés diagnostiques et thérapeutiques. Ann Chir 1999 ; 53 : Collard O, Perraud P, Melani C, et al. Actinomycose pelvienne pseudo-tumorale. Presse Med 1996 ; 25 : Boutboul R, Launey F, Prost J, et al. Quand penser à l actinomycose génitale? Presse Med 1996 ; 25 : Lippes J. Pelvic actinomycosis : a review and preliminary look at prevalence. Am J Obstet Gynecol 1999 ; 180 : Farley TMM, Rosenberg MJ, Rowe PJ, et al. Intrauterine devices and pelvic inflammatory disease : an international perspective. Lancet 1992 ; 339 : Merkifeld GS, Lebeda E, Hogg B, et al. The incidence of Actinomyces-like organisms in Papanicolaou-stained smears of copper- and levonorgestrel-releasing intra-uterine devices. Contraception 2000 ; 61 : Lee YC, Min D, Holcomb K, et al. Computed tomography guided core needle biopsy diagnosis of pelvic actinomycosis. Gynecol Oncol 2000 ; 79 : Bercovich A, Guy M, Karayiannakis AJ, et al. Ureteral obstruction and reconstruction in pelvic actinomycosis. Urology 2003 ; 61 : 224iv-4vii. 15. Balleyguier C, Bazot M, Eiss D, et al. Diagnostic radiologique d une algie pelvienne de la femme. Feuillets de radiologie 2004 ; 44 : Guinier D, Mathieu P, Baulard R, et al. Une pseudo-carcinose péritonéale. Ann Chir 2005 ; 130 : Longchampt E, Vessieres A, Fabre M. How fine needle aspiration biopsy make it possible to avoid extensive surgery. A case of abdominopelvic actinomycosis. Ann Pathol 2000 ; 20 : Hamid D, Baldauf JJ, Cuenin C, et al. Treatment strategy for pelvic actinomycosis : case report and review of the literature. Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol 2000 ; 89 : Kayikcioglu F, Akif Akgul M, Haberal A, et al. Actinomyces infection in female genital tract. Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol 2005 ; 118 : Garbin O, Bongain A, Hofman P, et al. Actinomycose pelvienne : intérêt du diagnostic préopératoire. J Gynecol Obstet Biol Reprod (Paris) 1994 ; 23 : Noomene F, Zouari K, Kallel W, et al. L actinomycose abdominale : 3 observations. Presse Med 2003 ; 32 : Atad J, Hallak M, Sharon A, et al. Pelvic actinomycosis. Is long-term antibiotic therapy necessary? J Reprod Med 1999 ; 44 :
ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailINTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE
INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF
PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailIl importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au
Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au 15 août 2011. Toutefois, ces recommandations n ont aucunement
Plus en détailUn avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système
Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes Système Nouvelle norme en résection hystéroscopique Truclear apporte une précision, une clarté et une efficacité sans précédents pour réséquer
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailLes cancers de l appareil génital féminin
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers de l appareil génital féminin (col et corps de l utérus, ovaires) G R A N D P U B L I C Janvier 2009
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailComprendre le cancer de l ovaire Guide d information et de dialogue à l usage des patientes et de leurs proches
Comprendre le cancer de l ovaire Guide d information et de dialogue à l usage des patientes et de leurs proches 2002 Sommaire Introduction 4 1 Le cancer de l ovaire 10 2 Le diagnostic 21 3 Les traitements
Plus en détail19 thèmes dans 10 villes
SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailUn test Pap pourrait vous sauver la vie
Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailLes fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive
ROLE DE LA SAGE FEMME DANS LA PREVENTION, LE DIAGNOSTIC ET ORIENTATION DES FISTULES Présenté par Mme Atchoumi Annie Hortense Sage-femme DU épidémiologie-bordeaux CHU de Yaoundé Introduction Définition
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailPrésenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie
Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:
Plus en détailLe Centre de documentation du C.H.T. Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa.
Le Centre de documentation du C.H.T Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa Horaires : Ouvert du lundi au Jeudi : 8h00-16h00 et le vendredi : 8h00-15h00 Pour
Plus en détailCet article a été transmis par le Pr Madélénat à l association EndoFrance pour une utilisation qui lui réservée
PRISE EN CHARGE DE L'ENDOMETRIOSE Patrick Madélénat Hôpital Bichat Juin 2007 L'endométriose est une maladie difficile. Avant tout elle est difficile à vivre pour celles qui en souffrent, mais elle est
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailDes soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6
Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailCet article a été remis à EndoFrance par le Pr Madélenat pour une utilisation réservée à l association EndoFrance
Faut-il coelioscoper les adolescentes? Patrick Madélénat Juin 2008 La difficulté de vivre avec une endométriose est admise de toutes celles qui en souffrent. En parallèle la difficulté de son traitement
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailLa déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure
Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailCOMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES COMPÉTENCES GÉNÉRALES. Le médecin de famille est un clinicien compétent et efficace
À la fin de sa résidence, le résident : COMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES 1. Prodigue à une clientèle adulte (homme et femme) des soins de santé globaux (préventifs et curatifs) et continus avec comme objectifs
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE
LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailCENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN. Prolapsus génital
CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN Prolapsus génital Qu est-ce que c est? Le prolapsus génital est une affection féminine. Il se définit par une saillie des organes pelviens (vessie, utérus, rectum) à travers
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailLa maladie de Verneuil Hidrosadénite suppurée
Hidrosadénite suppurée La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailChirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?
HigHligHts 2012: CHiRURgiE Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? Lukasz Filip Grochola a, Hubert John b, Thomas Hess c, Stefan Breitenstein d a Clinique de chirurgie
Plus en détailChirurgie prophylactique des cancers avec prédisposition génétique
traitements, soins et innovation août 2009 recommandations professionnelles Chirurgie prophylactique des cancers avec prédisposition génétique Cancer DE L OVAIRE COLLECTION recommandations & référentiels
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailnfocancer Le cancer de l'ovaire www.infocancer.org Une initiative bénévole universitaire
Le cancer de l'ovaire Informations médicales clés Options thérapeutiques et leur suivi Recherche clinique Infos pratiques et carnet d'adresses Démarches à suivre, les administrations Une initiative bénévole
Plus en détailComprendre l impact de l utilisation des réseaux sociaux en entreprise SYNTHESE DES RESULTATS : EUROPE ET FRANCE
Comprendre l impact de l utilisation des réseaux sociaux en entreprise SYNTHESE DES RESULTATS : EUROPE ET FRANCE 1 Objectifs de l étude Comprendre l impact des réseaux sociaux externes ( Facebook, LinkedIn,
Plus en détailExemple de recherche documentaire
Exemple de recherche documentaire Étape 1 : Préparer le plan de recherche Démarrez votre recherche en écrivant clairement votre sujet (formuler une question si nécessaire), en identifiant les concepts
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détail-Médecin-Résident de Chirurgie Oncologique au Centre anti-cancereux de Caen: 1972
CURRICULUM VITAE Docteur Jack, Andre, Pierre MOUCHEL Né le 26 Mars 1945 à Cherbourg ( FRANCE ) Médecin spécialiste en Gynécologie-Obstétrique Installation en pratique libérale au Mans le 1er Octobre 1975.
Plus en détailDIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement :
DIU de rééducation pelvi-périnéale DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE Responsables de l enseignement : Pr. Gérard AMARENCO (UPMC), Pr. Michel COSSON (CHU Lille), Pr. Gilberte ROBAIN (UPMC) 1. Cible La
Plus en détail1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns.
1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns.! Marie t invite au théâtre?!! Oui, elle m invite au théâtre.! Elle te parle au téléphone?!! Oui, elle me parle au téléphone.! Le prof vous regarde?!!!
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailIncontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris
Incontinence urinaire DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris INCONTINENCE URINAIRE : DEFINITION 2002 ICS (Internationnal Contience Society) : perte involontaire d urine, on distingue Symptôme : élément décrit
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailBUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale
Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale QUESTIONNAIRE PROPOSITION PROFESSIONNELS DE SANTE Document général CONTRAT EN COURS : DATE DE FIN DES GARANTIES :.. NOM DE L'ASSUREUR :..
Plus en détailFaut-il encore traiter les cancers prostatiques?
Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Pr Arnauld Villers Université Lille2 -France AFCOR 2013 Quelles données? Notion de lésions indolentes ou à risque Etudes observationnelles de patients traités
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin. Lévonorgestrel
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin Lévonorgestrel Ce médicament fait l objet d une surveillance supplémentaire qui permettra l identification rapide
Plus en détail