|
|
- Flavien Thibodeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Compléments Nutritifs Oraux : du bon usage à l efficacité clinique Alain PRADIGNAC Unité de Nutrition Thérapeutique Médecine Interne et Nutrition Pôle MIRNED Hôpitaux Universitaires de Strasbourg : 1
2 Graduation de l'intervention nutritionnelle Aide aux repas Enrichissement des repas Suppléments nutritifs oraux Nutrition artificielle
3 Compléments Nutritifs Oraux : nature, précautions d emploi, conditions d utilisation
4 Les Compléments Nutritifs Oraux (CNO) CNO = produits diététiques apporter par voie orale, un surcroît de calories, de protéines, ou d autres nutriments faible volume («énergie concentrée») formes variables (liquides, solides) en dehors des repas habituels (compléments) : 4
5 SNO hypercaloriques équilibrés Caractéristiques nutritionnelles : énergie : 200 à 300 kcal / 200 ml ou 125 g protéines : 15 à 20 % AET lipides : 27 à 35 % AET ; glucides : 50 à 55 % AET ± fibres, ± lactose, ± saccharose, vitamines, minéraux
6 SNO hypercaloriques et hyperprotéiques Caractéristiques nutritionnelles : énergie : 160 à 300 kcal / 200 ml ou 125 g protéines : 25 à 40 % AET lipides : 20 à 25 % AET ; glucides : 40 à 55 % AET ± fibres, ± lactose, ± saccharose, vitamines, minéraux
7 SNO spéciaux SNO pour diabétiques : sans saccharose, édulcorants ± fructose SNO enrichis en ω-3 3 (746 mg EPA) : patients cancéreux SNO enrichi en arginine : escarres?
8 Autres produits Poudres épaississantes goût neutre Eau gélifiée : prête à l emploi Poudres de protéines goût neutre
9 Présentations des CNO Variées : nature : soupe, jus de fruits, desserts lactés emballages : bouteilles, tetrapack textures : liquides, flan nombreux parfums
10 Composition : Immunonutrition : Oral Impact (arrêté 5 octobre 2006) 334 kcal, Prot (22 %), Lip (25 %), Gluc (53 %) ω-3 3 (1.1 g), arginine (4.2 g), ARN (0.43 g) Indications : nutrition péri-opératoire d une chirurgie digestive carcinologique majeure 3 U / jour pdt 7 j, quel que soit l'état nutritionnel
11 Conditions de remboursement des CNO TIPS : ~ 0.80 / 100 kcal Patients dénutris : adultes de moins de 70 ans : IMC < 18.5 kg/m² perte de poids > 5 % en 1 mois ou > 10 % en 6 mois adultes de plus de 75 ans : IMC 21 kg/m² perte de poids > 5 % en 1 mois ou > 10 % en 6 mois MNA 17 albumine sg < 35 g/l
12 Pré-requis requis avant la prescription de CNO (1) Bilan calorique : évaluer les besoins caloriques du patient HB coefficient (activité physique / pathologie) évaluer les ingesta du patient ingesta > 60 % besoins différentiel calorique = Besoins Ingesta si < 400 à 600 kcal => compatible avec CNO si > 600 kcal => Nutrition Artificielle fixer des objectifs caloriques raisonnables 1 à 2 CNO / j 150 à 600 kcal
13 Pré-requis requis avant la prescription de CNO (2) Autres vérifications : évaluer les capacités de déglutition du patient => adapter la consistance du CNO au handicap résiduel vérifier l absence de trouble majeur de la conscience prise effective et «sécurisée» du CNO s assurer de la fonctionnalité du tube digestif
14 Mode d emploi des CNO (1) Servir les CNO à distance des repas : 90 à 120 mn avant ou après un repas horaires préférentiels : 14h 14h30, 20h30 21 h, 10h Servir et consommer les CNO frais : dans l heure qui suit sa sortie du réfrigérateur sinon => palatabilité du CNO (arômes artificiels) Éviter la lassitude du patient : varier la texture, les arômes, le type de CNO : 14
15 Mode d emploi des CNO (2) Vérifier l augmentation des ingesta sous CNO prise effective des CNO => calories ingérées analyser les causes de la non prise des CNO : horaires ou texture inadaptés, monotonie des arômes, lassitude, Limitations à l usage des CNO : troubles digestifs mineurs : diarrhées, nausées, ballonnements observance ; est d autant meilleure que : les objectifs caloriques sont raisonnables les enjeux de la PEC nutritionnelle auront été explicités au patient bénéfices attendus par la consommation des CNO implication de l entourage / personnels soignants : 15
16 Compléments Nutritifs Oraux : Résultats cliniques
17 CNO et maladie d Alzheimer Étude randomisée, prospective, 3 mois : 2715 (Lauque S, J Am Geriatr Soc, 2004; 52: 1702) CNO ( kcal/j) vs pas CNO évaluations : prises caloriques, composition corporelle (DEXA) MMS, degré de dépendance Résultats : ingesta dans gr CNO (+ 220 kcal, + 16 g/j protéines) poids (+1.9 kg), masse maigre ( kg) pas d amélioration cognitive et/ou dépendance : 17
18 CNO et personnes âgées hospitalisées (1) 445 PA, > 65 ans, hospitalisées Prospective, 6 sem, randomisation Contrôles (n = 222) CNO (n = 223) : 8h + 12h 995 kcal /j Résultats : folates + Vitamine B 12 DMS : 0,7 j (ns) 32 % réadmissions à l hôpital (6 mois) Gariballa S, Am J Med, 2006; 119: : 18
19 CNO et personnes âgées hospitalisées (2) Qualité de vie Dépression capacités physiques scores d insertion sociale Gariballa S, J Am Geriatr Soc, 2007; 55: 2030 Gariballa S, Clin Nutr, 2007; 26: : 19
20 CNO et poly-pathologie pathologie de la personne âgée Méta-analyse, analyse, 55 essais, 9187 patients, intervention CNO pendant 10 j à 18 mois : 175 à 1000 kcal + 10 à 63 g protéines Résultats : poids ( %) ; CMB ( %) décès : OR = 0.66 ( ) dénutris (0.73), > 75 ans (0.64), > 400 kcal/j (0.85) complications : OR = 0.72 ( ) fracture col fémoral (0.48) DMS : j (ns) 2552 pas de modification de la Qualité de Vie Milne AC, Ann Intern Med, 2006; 144: : 20
21 CNO et AVC 4023 pts, hospitalisés pour AVC multicentrique, prospective randomisation CNO (~ 530 kcal g P) vs contrôles (alimentation hôpital) morbi-mortalité mortalité à 6 mois 314 (8%) dénutris à l admission FOOD Trial, Lancet, 2005; 26: : 21
22 CNO et Chirurgie Orthopédique 181 patients, 72 ans, 67 % F prothèses hanche + genou 2 CNO /j, post-op op jusqu à RAD (9h - 18 h) - lacté (300 kcal, 10 g Prot) - jus fruit (300 kcal, 9,5 g Prot Évaluation : complications DMS, coûts d hospitalisation Résultats : ingesta ~ 278 kcal / j, + 9,3 g/j prot. compliance médiocre : - 14,9 % ( 4 CNO pdt 4 j) gr CNO : ex compl,, sang,, ATB. Complications CNO (n = 84) Contrôles (n = 97) Anémie sévère 0 7 Pseudarthrose 0 4 Infection locale Escarre 1 4 Embolie pulmonaire 1 3 Pneumonie 3 6 Autres 6 9 Total (* p < 001) 22* 55 CNO Contrôles Delta Coût hospitalisation Coûts additionnels Lawson RM, Clin Nutr, 2003; 22: 39
23 CNO et fracture du fémur Méta-analyse analyse (Cochrane Database Syst Rev 2004) 17 RCT, CNO chez 1266 pts après fracture du fémur résultats : morts + complications : OR = 0.52 ( ) ( infections) pas d effet sur mortalité : OR = 0.85 ( ) pour enregistrer des résultats positifs : protéines > 20 g/j, pendant 3-4 semaines
24 CNO et chirurgie digestive (1) 152 patients, 60 ans, chirurgie digestive sous méso-colique randomisation : CNO (1.5 kcal / ml) pas CNO (n = 32) (gr CC) CNO pré-op (n = 41) (gr SC) ~ 1.5 CNO - 15 j CNO post-op op (n = 35) (gr CS) ~ 1 CNO, 4 sem ap RAD CNO pré+post-op op (n = 32) (gr SS) Smedley F, Br J Surg, 2004; 91: 983
25 CNO et chirurgie digestive (2) Smedley F, Br J Surg, 2004; 91: 983
26 CNO et chirurgie digestive (3) 305 patients, chirurgie carcinologique digestive, immuno-nutrition, nutrition, perte de poids pré-op < 10 % randomisation : pas CNO, pas NE (n = 102) (gr C) CNO pré-op (n = 102) (gr 1) ~ 1 L Oral Impact pdt 5 j CNO pré-op + NE post-op op (n = 101) (gr 2) ~ Gr 1 + Entéral Impact Oral Impact ** * ** * ,0 Oral + Entéral Impact Contrôle 5 0 Infections DMS Gianotti L, Gastroenterology, 2002; 122: 1763
27 CNO et patients à risque d escarres Méta-analyseanalyse 4 études, 1224 patients CNO hyperprotéinés vs routine kcal/j, pdt 2 à 26 sem Stratton RJ, Ageing Res Rev, 2005; 4: 422
28 CNO et escarres Revue systématique (Reddy M, JAMA, 2009; 300: 2647) Reddy M, JAMA, 2009; 300: études, 358 patients CNO hypercaloriques ± hyperprotidiques, 1 à 24 sem => vitesse de guérison de l escarre traitement local de l escarre = facteur confondant + +
29 CNO et escarres : rôle des nutriments (1) Arginine + Vit C + Zinc 16 patients, ans randomisation : contrôles 2 CNO hyperprotéinés 2 CNO hyperprotéinés + arginine (9 g) + Vit C (500 mg) + Zn (30 mg) étude 3 semaines Desneves KJ, Clin Nutr 2005; 24: 979
30 CNO et escarres : rôle des nutriments (2) α-cétoglutarate d ornithine multicentrique, européenne 165 patients, 81 ans -0,01 randomisation, double aveugle : -0,02-0,03 cm²/j placebo (n = 76) -0,04 10 g Cétornan -0,05 (n = 89) étude 6 semaines 0-0,06-0,07 *** C P -0,04-0,07 Escarres < 8 cm² Meaume S, J Nutr Heatth Aging, 2009; 13: 623
31 CNO et BPCO (1) Revue systématique : (Ferreira I, Cochrane Database, 2005) 14 RCT, 487 patients, > 2 semaines intervention = CNO seuls vs pas supplémentation absence de résultats positifs sur : paramètres anthropométriques (poids, MM) capacité physique à l effort fonction respiratoire résultats positifs sur qualité de vie
32 CNO et BPCO (2) Etude IRAD2 : 122 patients IRC 66 ans, IMC = 21,5 kg/m², Masse Non Grasse = 43,6 kg, pré-alb = 0,21 g/l intervention : CNO (560 kcal / j) + réentraînement effort + testostérone 3 mois, mortalité à 15 mois Résultats à 3 mois : 2,5 % IMC, 3,6 % Masse Non Grasse biologie : 16,3 % pré-albumine fonction : 29 % périmètre de marche 6 Mortalité à 15 mois : 10,0 % gr intervention vs 19,3 % gr contrôle 2552 Pison C, JFN Brest, : 32
33 CNO et cancer (1) 1585 Méta-analyse analyse CNO (J Potter BMJ 1998; 317 : 495 (J Potter BMJ 1998; 317 : ) 501) 17 essais contrôlés randomisés : 454 gr CNO vs 503 contrôles résultats : prise calorique poids % ( ) mortalité : OR = 0.58 ( ) (ns) pour les patients cancéreux CNO d'autant plus efficaces que : apport calorique > 400 kcal/j durée du CNO > 35 j âge > 70 ans persistance d'une alimentation orale associée : 33
34 CNO et cancer (2) Les CNO augmentent la prise calorique : si l alimentation résiduelle est non nulle => conseil diététique et si les CNO sont consommés durablement Problème essentiel = observance au long cours manque d appétit / aversion pour le CNO ne pas proposer de nouveau CNO pendant les cures de chimiothérapie / radiothérapie : 34
35 CNO, ω-3 3 et cancer CNO enrichis en ω-3 (Fearon KCH, Gut, 2003; 52: ) 1486) 200 patients, 8 sem, cancer pancréas 600 kcal, 32 g prot., ± 2.2 EPA résultats : CNO ω 3 : poids + MM qualité de vie // EPA sg survie (~ 140 j vs 128 j) : 35
36 CNO et autres pathologies Dialyse : études courtes, peu de patients résultats positifs état nutritionnel peu de données sur la morbi-mortalité mortalité Insuffisance hépatocellulaire : CNO + AACR résultats : complications, albumine, QoL (SF-36) écueil = faible compliance (palatabilité) Insuffisance cardiaque : très peu de données : 36
37 CNO et dialyse Amélioration de l état nutritionnel par les CNO : (Stratton RJ, Am J Kid Dis, 2005; 46: 387) 14 études ± contrôlées, 8 à 108 pts dialysés, cross-overover CNO ± spécifiques, pdt 1 à 11 mois kcal, 6 12 g protéines compliance : ~ 50 % à 3 mois paramètres améliorés : poids, masse maigre, ± force musculaire albumine, pré-albumine : 37
38 Conclusions CNO permettent d améliorer l état nutritionnel et de diminuer la morbi-mortalitémortalité personnes âgées, chirurgie (digestive, orthopédique), escarres CNO simples à mettre en œuvre, effets II res mineurs Principal écueil des CNO = observance à moyen ou long terme. D autant meilleure que : respect des conditions d emploi des CNO (horaires, T, variété) objectifs nutritionnels réalistes ( 1 à 2 CNO /j) motivation du patient à prendre les CNO est plus importante : 38
39 Merci de votre attention
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailCLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE
CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement
Plus en détailDENUTRITION : UN RISQUE MAJEUR EN INSTITUTION. Un exemple de prise en charge réussie sur 2009 au sein d un EHPAD de 63 lits
Université René Descartes-Paris Faculté Cochin Port Royal DENUTRITION : UN RISQUE MAJEUR EN INSTITUTION Un exemple de prise en charge réussie sur 2009 au sein d un EHPAD de 63 lits Docteur Françoise Waignier
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailDOSSIER DE SOINS INFIRMIERS
DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailFortimel Extra (neutre, abricot, fraise, vanille, chocolat, moka, fruits de la forêts) Fortimel sans lactose (vanille, chocolat, moka, caramel)
Fortimel Extra (neutre, abricot, fraise, vanille, chocolat, moka, fruits de la forêts) 300 20 200 ml HP Fortimel sans lactose (vanille, chocolat, moka, caramel) Fresubin 2Kcal Drink (neutre, vanille, cappuccino,
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailBesoins Nutritionnel. Besoins. ANC / Besoin. 3 niveaux : Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes
Besoins Nutritionnel N 110 - Besoins nutritionnels et apports alimentaires de l adulte. Évaluation de l état nutritionnel. Dénutrition. Exposer les besoins nutritionnels de l adulte, de la personne âgée,
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»
Plus en détail«Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments»
1 «Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments» Magali Marchand, Chef de service Diététique RHMS Diététicienne agréée ABD 12.01.2012 - Maison du
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailQui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils?
Qui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils? Les glucides sont des éléments nutritifs indispensables au bon fonctionnement de l organisme. Ils sont présents dans les aliments aux côtés des protéines (viande,
Plus en détailRentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne
Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne L alimentation : partie intégrante de la prise en charge de l enfant et de l adolescent diabétique base du traitement avec l insulinothérapie et l activité
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailDémence et fin de vie chez la personne âgée
Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailAVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Le directeur général Maisons-Alfort, le 27 novembre 2014 AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à l évaluation de deux aliments diététiques
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détail«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?»
Le FIGARO du 21/10/2013, page 13 : Cet article est un document culturel qui témoigne à quel degré l establishment médical français ignore le jeûne. À mettre au frigo, pour le ressortir le jour où l'essai
Plus en détailLogiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailLa consultation diététique réalisée par un diététicien
Recommandations pour la pratique clinique La consultation diététique réalisée par un diététicien Recommandations Janvier 2006 Avec le partenariat méthodologique et le soutien financier de la Tous droits
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailBoughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF
Organisation Tunisienne pour L Éducation et de la Famille Elaboré par Diabète infantile Boughanmi Hajer Encadré par : Licence appliquée en Biotechnologie JAOUA Noureddine Membre du bureau exécutif de l
Plus en détailSONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES
Page 1 of 10 SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Le Groupe de travail canadien sur la malnutrition (GTCM) a mené une étude à l échelle nationale de 2010 à 2013 afin de déterminer la prévalence de la malnutrition
Plus en détailSANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT!
SANTÉ stop cholesterol diabete hypertension E-BOOK équilibre Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! un peu d histoire... Il y a 200 ans, un Français faisait en moyenne entre
Plus en détailNutrition et santé : suivez le guide
Prévention ALIMENTATION PLAISIR ET ÉQUILIBRE ALIMENTAIRE Nutrition et santé : suivez le guide Nous savons tous que l alimentation joue un rôle essentiel pour conserver une bonne santé. En voici quelques
Plus en détailSADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détailStratégie de prise en charge en cas de dénutrition protéino-énergétique chez la personne âgée
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Stratégie de prise en charge en cas de dénutrition protéino-énergétique chez la personne âgée RECOMMANDATIONS Avril 2007 1 L argumentaire scientifique de ces recommandations
Plus en détailLes définitions des saignements ACS/PCI
Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailFiches techniques Alimentation par sonde Nutrison
Fiches techniques Alimentation par sonde Nutrison 2 Fiches techniques Alimentation par sonde Nutrison Renseignements téléphoniques : 0844 844 802 Commandes téléphoniques : 0844 844 808 Version : juillet
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailFactsheet Qu est-ce que le yogourt?
Factsheet Qu est-ce que le yogourt? Description du produit: Le yogourt est un produit laitier acidulé de consistance plus ou moins épaisse. Le yogourt est fabriqué grâce à la fermentation du lait par les
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailMAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES
MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES Par Marie-Christine Parent, stagiaire en diététique AU MENU Retour sur le sondage Vision de la saine alimentation Qu est-ce que l étiquetage nutritionnel?
Plus en détailLe soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé
Recommandations pour la pratique clinique Le soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé Recommandations Mai 2011 Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 35 allée
Plus en détailAllégations relatives à la teneur nutritive
Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailEvaluation gériatrique standardisée
Evaluation gériatrique standardisée Dr Karim GALLOUJ Service de médecine gériatrique Pôle de gérontologie CH Dron Tourcoing Capacité de gérontologie Lille, le 7 décembre 2012 EGS ou Comprehensive Geriatric
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailPLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE
Journée Club NeuroVasculaire Ile-de-France 27 mai 2014 PLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE Eric PAUTAS Hôpital Charles Foix UFR Médecine G.H. Pitié-Salpêtrière-Ch.Foix Inserm U765
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailAvantages - Voordelen. Organisation - Organisatie. Mutualité socialiste et syndicale de la province de Liège 319. Rue Douffet, 36 4020 Liège
Organisation Organisatie Mutualité socialiste et syndicale de la province de Liège 319 Acupuncture Avantages Voordelen Assistance à l'étanger Biotélévigileance Détails Details Remboursement de 10 par séance,
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailI. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile
, le programme de retour à domicile Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer le suivi post hospitalisation Optimiser le retour à domicile et
Plus en détailFONC N T C IONN N E N L E S
BONBONS FONCTIONNELS SOLPIDIS est une entreprise espagnole située en Valence. Elle née avec l objectif d offrir a ses clients des produits innovants et fonctionnels. On est constamment en mouvement pour
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailL équilibre alimentaire.
L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter
Plus en détailHôpitaux de Jour. Accueils de Jour. Hôpitaux de Jour et Accueils de Jour. «Un programme pour la Gériatrie»
Hôpitaux de Jour Accueils de Jour B. Durand-Gasselin Capacité de Gériatrie Janvier 2007 Hôpitaux de Jour et Accueils de Jour Hôpitaux de Jour Historique Définition Les HJ en France : l AP HJ PA Preuves
Plus en détailCompléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011
Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailCORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION :
CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : OJECTIFS : 1/ Evaluer le degré des connaissances acquises nécessaires à l administration des médicaments à diluer. 2/ Evaluer les capacités
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES. Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA
ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA Mars 2014 des garanties d assurance Assurance vie de base Adhérent Option 1 : 1 fois le salaire annuel
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailFiches techniques nutrition orale. Numéro 2013
Fiches techniques nutrition orale Numéro 2013 Fiches techniques nutrition orale Sommaire Introduction 5 Informations produit Alimentation Orale. Équilibrée. Comme seule source d alimentation Fortimel Compact
Plus en détailEvaluation gériatrique standardisée. Dr Karim GALLOUJ Service de médecine gériatrique Pôle de gérontologie CH Dron Tourcoing
Evaluation gériatrique standardisée Dr Karim GALLOUJ Service de médecine gériatrique Pôle de gérontologie CH Dron Tourcoing DESC,Capacité de gérontologie Lille, le 18 décembre 2014 EGS ou Comprehensive
Plus en détailProtéines. Pour des Canadiens actifs. De quelle quantité avez-vous besoin?
Protéines Pour des Canadiens actifs De quelle quantité avez-vous besoin? 1 Protéines 101 Les protéines sont les principaux éléments fonctionnels et structuraux de toutes les cellules du corps. Chaque protéine
Plus en détaillire les Étiquettes et trouver les sucres cachés
lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés Objectif : Sensibiliser les élèves à ce qui se trouve dans leur nourriture et les aider à se méfi er des sucres cachés. Matériel Feuille à imprimer : Chaîne
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailLes grandes études de télémédecine en France
Les grandes études de télémédecine en France Optimisation de la Surveillance ambulatoire des Insuffisants CArdiaques par Télécardiologie De Midi-Pyrénées au Sud de la France M Galinier, A Pathak Pôle Cardio-Vasculaire
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailComment bien s hydrater pendant l été?
Comment bien s hydrater pendant l été? C est bien connu, il faut boire davantage en été pour ne pas se déshydrater, notamment en cas de forte chaleur. Il faut en effet être vigilant dès que la température
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailDIPLÔME UNIVERSITAIRE
CANCER QUALITE DE VIE Université Montpellier 1 UFR STAPS Montpellier Centre d accueil et de bien-être pour les femmes atteintes de cancer ET DIPLÔME UNIVERSITAIRE Activité physique et nutrition Etincelle
Plus en détaild importantes quantités de CO,. Summary. Influence of diet on respiratory quotients and fat deposition in growing pigs.
Influence du régime sur les quotients respiratoires chez le porc en croissance Geneviève CHARLET-LERY Marie-Thérèse MOREL Laboratoire de Physiologie de la Nutrition LN.R.A., 78350 Jouy-en-Josas Summary.
Plus en détailApport hydrique et boissons
Besoin hydrique de l organisme L eau représente chez l homme adulte 60% de la masse corporelle, 50% chez la femme adulte et jusqu à 80% chez le nouveau-né. Par exemple un homme qui pèse 80 kilos est constitué
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailREMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN
REMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN En Belgique, chaque mutuelle est libre de choisir sa "politique de remboursement". Tout dépend donc de la mutualité à laquelle vous (votre patient)
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailVue d ensemble de la prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë (PCMA)
Vue d ensemble de la prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë (PCMA) 1 Module 1. Objectifs d apprentissage Discuter de la malnutrition aiguë et des mesures à prendre en réponse Identifier
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailProposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché
IP/03/1022 Bruxelles, le 16 juillet 2003 Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché Aujourd'hui la
Plus en détailCharte nutritionnelle
Charte nutritionnelle NOTRE MISSION : CONSTRUIRE ET PRESERVER LE CAPITAL SANTE L équilibre alimentaire est un enjeu majeur de santé publique. De ce contexte, Nutrisens s engage à maintenir et à renforcer
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE
Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détaildeux années en raison d un manque d efficacité. A contrario, de véritables innovations
68 Bananastock Nutrition : les nouvelles tendances Le marché de la nutrition ne cesse d innover. 2010 a été marquée par le succès des probiotiques et de la stevia qui devraient continuer à se développer.
Plus en détailProgramme. Programme Activ. Dossier de presse Juin 2013. Dossier de presse Programme Activ 1
Programme Programme Activ Dossier de presse Juin 2013 Dossier de presse Programme Activ 1 01 UN DISPOSITIF AMBITIEUX POUR RÉDUIRE LES RISQUES DE RÉCIDIVE DE CANCERS DU SEIN 2 Une phase pilote a été menée
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détail