Groupe de travail 1 : Entreprises et nouvelle croissance

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1 Groupe de travail 1 : Entreprises et nouvelle croissance Réunion 2 14 novembre 2013 Ivry-sur-Seine Fiche synthèse

2 Réunion 2 Entreprises et nouvelle croissance Groupe animé par Alain TEISSIER, consultant, expert en développement des entreprises Rappel méthodologique La réflexion de préfiguration du second cycle Mutécos du groupe 1 «Entreprises et nouvelle croissance» s articule de la façon suivante : - Réunion 1 17 octobre 2013 : validation de la méthodologie de travail, identification des premiers thèmes à aborder dans MUTECOS 2, réflexion sur la vision du second cycle MUTECOS - Réunion 2 14 novembre 2013 : développement de la réflexion sur les thèmes identifiés lors de la réunion 1, proposition d autres thèmes - Réunion 3 19 décembre 2013 : validation des thèmes proposés, réflexion sur l approche et la forme du nouveau cycle MUTECOS Poursuite de la réflexion pour MUTECOS 2 1- Court terme versus long terme Comment concilier le besoin de réponses immédiates du terrain et la nécessité de développer des approches de long terme en anticipation des besoins futurs? Comment embarquer les décideurs, publics et privés, dans des stratégies d anticipation et de préparation du moyen-long terme? - Faire accepter la mise en œuvre de plans d action, immédiate et pour plusieurs années, par les dirigeants d entreprises menacées : Les interlocuteurs rencontrés dans le cadre d un projet de revitalisation, par exemple, acceptent difficilement de mettre en œuvre, en amont de cette revitalisation (3-4 ans), un plan d actions qui n aura pas de résultats à court terme. Pourtant les plans d action ont besoin de temps pour donner des résultats en temps voulu. «Parce que c est du long terme, il faut s y mettre tout de suite» (Foch). Pour convaincre ces acteurs d anticiper, il faut leur donner des perspectives de résultats à court terme ; les arguments de long terme ne suffisent pas. - Faire prendre conscience aux acteurs privés comme publics de l importance de l anticipation : Le plus souvent, le dirigeant d une entreprise en difficultés sait plusieurs années en amont si celle-ci est vouée à disparaître. Les acteurs privés comme les acteurs publics adoptent la politique de l autruche, craignant les réactions qu une annonce de fermeture pourrait susciter. Ce refus de se confronter à la situation en amont ne laisse aucune possibilité à l anticipation, alors que celle-ci permet souvent d éviter le pire. Comment les aider à gérer les 2

3 réactions qu ils appréhendent légitimement pour accepter d anticiper? - Faire en sorte que les mesures prises à court terme ne le soient pas au détriment du long terme : Les mesures prises pour répondre aux besoins de court terme doivent au moins commencer à aller dans le sens de la logique qui produira des résultats à plus long terme. Par exemple, les actions mises en œuvre pour sauver une entreprise au bord du dépôt de bilan doivent aussi servir au maintien du tissu de sous-traitants locaux. - Résoudre le manque de cohérence entre le vécu microéconomique des chefs d entreprise et la vision méso économique des institutions d aide à l entreprise - Croire et faire croire au succès possible des opérations d anticipation des restructurations ou des fermetures de sites : il existe des expériences réussies d anticipation de restructurations ou de fermetures de site. Elles reposent souvent sur les efforts collectifs du chef d entreprise et de ses salariés, qui s engagent ensemble à relever ce défi. Mots-clés : court, moyen et long terme anticipation possible réponses immédiates et visibles compatibilité entre actions de court et de long terme convaincre 2- Le réveil des territoires Au-delà des politiques publiques descendantes, les territoires s emparent de plus en plus des thématiques de développement économique, d innovation et d aménagement du territoire et mettent en œuvre des initiatives locales. Cette tendance ne doit toutefois pas devenir synonyme d isolationnisme et de repli sur soi. - Mieux maîtriser le phénomène de métropolisation et son impact économique sur les territoires : le contraste entre recentralisation urbaine et désertification rurale s aggrave et devient un sujet fort de préoccupation pour certaines régions. Le mouvement des smart city ou «villes intelligentes» (ou encore des Ecocity) qui se développe constitue une voie pour un développement plus fonctionnel des villes et plus équilibré des territoires. C est une transformation profonde à laquelle les acteurs de l aménagement et les acteurs territoriaux sont appelés, transformation qui doit pleinement intégrer la notion de réseau (humain, transport, numérique, etc.) dans une vision globale de la ville et du territoire. - Développer des modèles d aménagement et de développement mais laisser la place à la créativité : pour guider les territoires dans cette transformation, des modèles doivent être élaborés par exemple, par l Etat tout en leur laissant une marge de manœuvre. Cette place laissée à la créativité est importante pour leur permettre d adapter les modèles à leur situation propre et d éviter les situations de blocage. - Faire des territoires le lieu d expérimentation des innovations : les territoires doivent participer à l expérimentation des innovations et permettre leur test «grandeur réelle» (produit et service des entreprises, innovations organisationnelles telles que le partage de salariés, fiscalités, etc.). Mots-clés : métropolisation maîtrisée aménagement du territoire et des villes vision globale réseaux smart grids villes intelligentes expérimentation des innovations 3

4 3- Des efforts d innovation mais quels résultats? Les politiques publiques et les efforts de soutien à l innovation ont été très importants. Mais, hormis dans quelques territoires, les résultats en termes de compétitivité, de croissance, de création d emplois, etc. n ont pas été à la hauteur des attentes et de l investissement. - Considérer l innovation comme un moyen de créer de la richesse : le fait que l innovation ait été considérée comme une finalité (notamment au sein même des pépinières d entreprises) a conduit au soutien de nombreux projets hautement technologiques certes, mais qui n ont pas été transformés en entreprises ni permis la création de richesse et d emplois. Jusqu à peu, le critère économique (valeur ajoutée, nombre d emplois créés, etc.) était peu considéré parmi les critères de sélection des projets d innovation par les pôles de compétitivité. Même s il est difficile à évaluer au stade du projet, il est le plus important. - Augmenter les capacités publiques de financement de l innovation : les crédits disponibles pour le financement de l innovation sont insuffisants et monopolisés par des projets de recherche publique d un haut niveau scientifique mais qui ne sont pas les plus innovants ni les plus prometteurs en termes de création de richesse et d emplois. Aux Etats-Unis, l innovation fonctionne bien grâce au système de clusters qui y consacre beaucoup d argent et soutient de très nombreux projets, même concurrents, pour multiplier les chances qu au moins une start-up se développe. - Développer le financement des entreprises en croissance : selon une évaluation du Fonds stratégie d investissement (FSI) en termes de retombées commerciales, de création de brevets et d emplois, etc., le financement des entreprises en croissance (qui ne sont plus des start-up et pas encore des Entreprises de taille intermédiaire ETI) est très insuffisant. Les Petites et moyennes entreprises (PME) en croissance ne peuvent pas compter non plus sur les investisseurs privés français, peu enclins à faire du capital-investissement. - Favoriser la transformation d une innovation technologique en business : le savoir-faire qui consiste à trouver des marchés possibles pour une innovation technologique est très peu développé en France et c est l une des raisons pour lesquelles les projets d innovation technologique atteignent rarement le stade de la commercialisation. - Rapprocher les chercheurs et les entrepreneurs au bon moment et au bon endroit : les projets de recherche doivent être considérés en termes de business potentiels mais cette valorisation de marché ne doit pas pour autant intervenir trop tôt dans le processus de recherche au risque de freiner le chercheur. Des lieux de présentation entre l idée et les usages possibles, et de rencontre entre chercheurs, banquiers et industriels, doivent être développés, à l image du Centre européen des textiles innovants (CETI). - Développer des lieux de recherche et d innovation multisectoriels : les usages les plus pertinents et novateurs d une innovation ne relèvent pas toujours du secteur d origine de cette même innovation. Mots-clés : innovation création de richesse emplois induits critère économique financement public insuffisant business capacités marketing financement des entreprises en croissance ETI 4

5 4- Les normes et les règlements La bibliothèque de normes et de règlements s accroît et les entrepreneurs peinent à suivre les évolutions en la matière (manque de temps, exigences trop élevées, surcoût, etc.). L excès de normes et de règlements n est-il pas un frein au développement des entreprises et à la croissance? - Développer l influence normative de la France et de ses entreprises à l international : au-delà de son utilité technique, la norme est un outil d influence stratégique (Cf. rapport de Claude Revel 1 ). On définit des normes qui nous conviennent (par exemple, pour verrouiller des positions acquises et freiner des concurrents) et non pas pour servir le bien commun. La France doit prendre conscience de cette utilisation qui est faite des normes et développer sa présence à l international pour peser davantage dans l établissement des normes, notamment européennes. - Appliquer la norme avec plus de souplesse : les entreprises européennes sont soumises aux mêmes normes et règlements mais leur application diffère selon les Etats membres. En France, l administration s assure de la stricte application des normes et des règles mettant certaines entreprises en difficultés, tandis que d autres pays comme la Belgique les appliquent avec souplesse et aident les entreprises à s y conformer. Ces différences de traitement induisent une distorsion de concurrence entre les entreprises des Etats membres (par exemple, différences de délais d autorisation d unités SEVESO). En outre, la sur-réglementation ne garantit pas davantage la sécurité. - Lutter contre la lourdeur administrative : le quotidien d une entreprise en France est bien plus difficile et complexe qu ailleurs où les contraintes administratives sont moins nombreuses. Alors que les réglementations européennes sont les mêmes, il faut un an pour créer une entreprise en France, alors que trois jours suffisent en Belgique. Plus l on s approche du terrain, plus les choses sont faciles en Belgique ; en France, c est tout l inverse. Mots-clés : normes et règlements lobbies influence à l international application hétérogène surréglementation distorsion de concurrence lourdeur administrative 5- Aspects socioculturels Les manques d appétence, d esprit d innovation, de culture de l entreprise et de l industrie, à différents niveaux (y compris dans les écoles), sont peu traités mais figurent certainement parmi les freins à la croissance et au développement des entreprises. - Faire du chef d entreprise le héros des jeunes générations : le héros des séries ou films français actuels est un juge, un instituteur, un policier, etc. mais jamais un chef d entreprise. Pire, le chef d entreprise est souvent représenté comme «le méchant». Cette image négative (ou tout au moins non positive) du chef d entreprise et du monde de l entreprise en général qui ne serait pas une voie intéressante ni source d enrichissement personnel a un impact sur l orientation des jeunes sur le marché du travail. Même parmi les étudiants sortant de grandes écoles de commerce, rares sont ceux qui se lancent dans la création d entreprise. 1 A la demande de Nicole Bricq, ministre du Commerce extérieur, Claude Revel a élaboré un rapport intitulé Développer une influence normative internationale stratégique pour la France dans lequel elle propose sept priorités d action 5

6 - Développer l appétence pour l entreprenariat mais aussi pour la croissance : un récent sondage a montré que 74 % des dirigeants de PME et créateurs d entreprise français n avaient pas envie de développer leur entreprise, et ce pour des raisons patrimoniales mais aussi de gestion du personnel : ils ne veulent pas s embêter à gérer des salariés. Ce manque d appétence pour la croissance semble être une caractéristique des chefs d entreprise français. Peut-être faut-il lier ce manque d appétence aux insuffisances managériales des dirigeants des PME français. - Mieux tester l acceptabilité sociale d une innovation avant sa mise sur le marché : il faut développer les tests produits et services auprès des usagers avant leur mise sur le marché pour multiplier les chances de succès commercial. Mots-clés : modèle de héros image négative appétence pour la croissance capacités managériales acceptabilité sociale test consommateurs 6- Innovation et identité main dans la main Les territoires qui gèrent le mieux leur identité (patrimoniale, économique, etc.) sont ceux qui sont les plus tournés vers l innovation et sont les plus performants dans ce domaine. Il faut être conscient de ces liens entre capacité d innovation d un territoire et facteurs culturels. - Développer la culture de l innovation et de l entreprenariat dans les territoires : certains territoires français sont particulièrement propices à l entreprenariat, par exemple en Vendée où le chef d entreprise y est très favorablement considéré. Cette culture est historiquement ancrée dans le territoire. Comment la susciter dans d autres? Mots-clés : identité culture de l innovation territoires 7- Lanceurs d alerte et big data Les rapports faisant état de signes précurseurs de mutations industrielles profondes existent et sont même nombreux, mais l information n est pas partagée ni utilisée pour anticiper et éviter les restructurations ou fermeture de sites. - Améliorer la visibilité des rapports et études sectorielles : les rapports et études sectorielles sont nombreux notamment ceux du ministère du Redressement productif et constituent une source d informations qui pourrait être utile pour les dirigeants d entreprise et les acteurs du soutien à l entreprise. Il faut améliorer leur visibilité et faciliter l accès des acteurs à ces documents qui pourraient les aider à anticiper le déclin d entreprises et à trouver des solutions. - Intégrer et prendre en compte les connaissances tacites en plus des connaissances explicites : au-delà des connaissances explicites facilement communicables, les connaissances tacites implicites, intériorisées et donc peu communicables sont autant voire plus informatives sur la situation de telle ou telle entreprise ou filière. Le système qui sera créé pour organiser la collecte et la diffusion de l information devra intégrer cette catégorie de connaissances. 6

7 - Aider les dirigeants d entreprise à traduire les rapports et études sectorielles en plan d actions pour leur entreprise : les dirigeants d entreprise ont besoin d interlocuteurs (CCI 2, pôles de compétitivité, etc.) pour les aider à traduire ces informations en plan d actions, puis en chiffre d affaires, etc. - Tenir compte du développement des technologies de congruence et technologies immersives. Mots-clés : rapports et études sectorielles visibilité source d informations anticipation accès à l information traduction en place d actions 2 Chambre de commerce et d industrie 7

8 Sigles CETI : Centre européen des textiles innovants ETI : Entreprise de taille intermédiaire FSI : Fonds stratégique d investissement PME : Petites et moyennes entreprises Synthèse Groupe 1 Mutécos Réunion 2 14 novembre 2013 Mutécos 8

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