Les traitements médicamenteux utilisés en soins palliatifs : prise en charge de la douleur chez l enfant. Journée du réseau oncopédiatrique
|
|
- Marie-Noëlle Laperrière
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les traitements médicamenteux utilisés en soins palliatifs : prise en charge de la douleur chez l enfant Journée du réseau oncopédiatrique 17/09/2010
2 Introduction Démarche de soins palliatifs : substitue à l objectif de guérison les objectifs de confort et de qualité de vie Soulagement de la douleur est un des aspects essentiel de la PEC globale Méthodes pharmacologiques qu un outils parmis de nombreux autres
3 Caractéristiques des douleurs en fin de vie Prévalence 80% pour les enfants en phase terminale Intensité des douleurs Douleurs mixtes, nociceptives et neurogènes Causes multiples et associées
4 Objectifs Analgésie rapide Soulagement suffisant pour permettre des projets au jour le jour, pas forcément douleur 0 Prévenir Les effets secondaires Les douleurs liées aux soins (MEOPA)
5 Principes Privilégier la voie orale ou la moins invasive possible Horaires réguliers pour éviter la réapparition de la douleur, en respectant le rythme de l enfant Anticiper Évaluer, réévaluer, et réévaluer
6 Paliers de l OMS Palier 1 Non opioïdes Douleurs légères à modérées paracétamol salicylés AINS Si échec Palier 2 Opioïdes Faibles Douleurs modérées à sévère codéine tramadol dextropropoxyphène nefopam Si échec Palier 3 Opioïdes forts Douleurs sévères morphine fentanyl oxycodone hydromorphone pethidine + co-antalgiques à tous les paliers, + médicaments des douleurs neurogènes
7 Médicaments des douleurs neuropathiques Antidépresseurs Antiépileptiques Tramadol Morphine Kétamine, Xylocaïne IV (situations exceptionnelles)
8 Médicaments des douleurs neuropathiques Antidépresseurs Amitriptyline (Laroxyl ) Augmentation progressive => 0.3 à 1 mg/kg/jour suivant l efficacité et la tolérance En une prise le soir ou 2 prises/j Effets indésirables : somnolence, ralentissement, sédation prise de poids à long terme bouche sèche Possibilité IV
9 Médicaments des douleurs neuropathiques Anti épileptiques Efficacité du clonazépam (Rivotril )? : seul posible IV de 0,025 à 0,1 mg/kg/j Gabapentine (Neurontin ) Augmentation progressive => 10 à 30 mg/kg/jour en 3 prises Effets indésirables : sédation, vertiges, fragilité de l humeur Efficacité de la prégabaline (Lyrica )?
10 Co-antalgiques Corticoïdes Mannitol / Glycerotone Antispasmodiques : Spasfon, Débridat, Visceralgine Biphosphonates ex : Zometa 0,05 mg/kilo sur 20 toutes les 4 semaines avec vit et Ca pour douleurs métas osseuses Chimiothérapie
11 Prescription initiale douleur nociceptive Douleur légère EVA 1 3 / 10 Douleur modérée EVA 3 5 / 10 Douleur intense EVA 5 7 / 10 Douleur très intense EVA 7 10 / 10 Palier 1 Palier 1 ou 2 Palier 2 ou 3 Palier 3
12 Palier 1 Paracétamol Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
13 Paracétamol Action analgésique périphérique et centrale Voie orale/iv : 60 mg/kg/24h 15 mg/kg/6h 10mg/kg/4h +++ Proscrire IR Potentialise l effet des morphiniques Ne pas craindre de masquer une fièvre
14 AINS Anti-Inflammatoires Non Stéroïdiens Très rarement utilisés Potentiel anti-aggrégant En pratique si effet antiinflammatoire recherché => corticoïdes
15 Palier 2 Codéine Tramadol Nalbuphine Pas d AMM pour le dextropropoxyphène chez le moins de 15 ans Pas d AMM pour le nefopam (Acupan )
16 Codéine CYP2D6 Cycle entérohépatique? déméthylation Morphine 7% Codéine inchangée 12% Norcodéine 7% Codéine glucuronide 60%
17 Palier 2 : codéine 0,5 à 1 mg / kg 4 à 6 heures maximum 6 mg / kg / jour 1ère dose 0,5 mg/kg (ultramétaboliseurs) Risque d être inefficace Codéine = morphine Effets secondaires : nausées, sédation
18 Palier 2 : Tramadol Contramal Topalgic Action mixte : douleurs nociceptives et neurogènes Agoniste récepteurs µ Inhibe la recapture sérotonine et noradrénaline Formes retards : comprimés ; AMM 12 ans Formes «normales» : effet antalgique en 30 min durée : 4 heures Tramadol gouttes AMM 3 ans ; Europe 1 an
19 Tramadol 1 à 2 mg/kg/6h sans dépasser 8 mg/kg/j Maxi 400 mg/j même si poids>50kg 1 goutte = 2,5 mg En général très bien supporté Effets indésirables : digestifs 20%, identiques aux opioïdes plus risque convulsif théorique
20 Palier 2 : nalbuphine (Nubain ) Agoniste antagoniste (récepteurs delta) Produit tout terrain, grande marge de sécurité Effet plafond Sédation initiale souvent observée Effet «flash» Très peu d'effets indésirables AMM 18 mois, souvent utilisé avant
21 Nalbuphine I.V 0,2 mg/kg (5-10 minutes/4h) toutes les 4 à 6 heures perfusion continue : 1,2mg/kg/j après la dose initiale de 0,2 mg/kg Maxi 2 (3?) mg/kg/j Nalbuphine IR : peu de place en SP
22 Passage nalbuphine - morphine Pas de délai Dose de charge de morphine 0,1 mg/kg iv Quand douleur malgré nalbuphine : ne pas «traîner» morphine 1 mg/kg/j iv
23 Palier 3 La morphine PO (LI, LP), IV, SC Oxycodone PO (LI,LP), IV, SC Hydromorpone PO (LP) Fentanyl IV, transdermique, transmuqueux, instillation nasale Pethidine IV
24 Palier 3 : La Morphine Chef de file Aucune contre indication liée à l'âge Métabolisme connu dans toutes les tranches d'âge Dès l'âge de 3 mois données pharmacologiques superposables à celles du grand enfant et de l'adulte
25 Morphine orale Libération «immédiate» Actiskénan gél ouvrables Sevredol cp sécables Oramorph gouttes Morphine Aguettant sirop Libération prolongée Skénan Moscontin H1 T0 H4 H12
26
27 Morphine orale libération immédiate Sevredol Actiskenan 5mg 10mg 20mg Oramorph sol buvable : 1 gtte = 1,25mg Délai d action: min ; durée d action : 4 heures 0,2 mg/kg initialement, puis strictement toutes les 4 heures si efficace Si non efficace, nouvelle prise 30 à 60 min plus tard (titration morphine)
28 Titration morphine orale Actiskénan ou Sévrédol : 0,2 mg/kg une heure plus tard 0,1 à 0,2 mg/kg une heure plus tard 0,1 mg/kg jusqu à analgésie correcte puis dose obtenue = dose des 4 heures Douleur aiguë ++ : dose de charge 0,5 mg/kg
29 Morphines retard Skenan Moscontin 10, 30, 60, 100, 200 mg Délai d action : 2-3 heures ; durée 12 heures Posologie/j identique à celle de la morphine à LI Toujours penser aux interdoses (de 1/6 è à 1/10 è de la dose quotidienne)
30 Equianalgésie 1 morphine PO = 1/2 morphine SC = 1/3 morphine IV =1/2,4 fentanyl transdermique =1/7,5 hydromorphone orale =1/2 oxycodone orale Issu des études adultes et de l expérience clinique, pas d étude pédiatrique
31
32 Morphine I.V Titration 0.1 mg/kg puis 0.05 mg/kg/10 min => dose des 4 heures? Perfusion DC mg/kg/h Augmentation par palier de %
33 PCA chez l enfant QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. A partir de 6-7 ans Explications, informations parents/enfants Débit continu +/- Bolus : 20 mcg/kg à 100µg/kg Question : bolus efficace? Débit continu : 20 mcg/kg/h à Période réfractaire : 6 à 8 minutes
34 PCA : précautions Branchement au plus près du site de perfusion Valve antiretour Pas d interposition de robinet entre ce site et la ligne de morphine Débit de perfusion régulier Toujours même dilution (1mg/ml) Narcan à proximité Protocole de service
35 QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image.
36 Quelle surveillance? L'analgésie La sédation La fréquence respiratoire Les autres effets indésirables
37 Surveillance de la sédation Savoir la respecter parfois fonction du contexte Premier signe de surdosage Échelle de sédation La naloxone (Narcan ) est utilisée pour antagoniser aux doses de 2 à 5 µg/kg renouvelables
38 Dépression respiratoire La douleur augmente le seuil de D.R => Un sujet douloureux nécessite beaucoup plus de produit pour atteindre une D.R Survient chez les patients naifs de morphine Interêt saturomètre dans le cadre des SP? La naloxone (Narcan ) est utilisée pour antagoniser la DR aux doses de 2 à 5 µg/kg renouvelables.
39 Effets indésirables Digestifs =>nausées, vomissements, constipation Urinaires =>rétention d'urine Cutanés =>prurit Centraux =>hallucinations, vertiges Tout effet indésirable n'est pas lié à la morphine...
40 Prise en charge des effets indésirables Lutter contre la constipation Traitement standard : antagonistes Narcan en IV continu sur 24 h : 0,25 à 1µg/kg/h diminue les effets indésirables sans gêner l action antalgique ; prurit, nausées et rétention d urine Nubain 0,2mg/kg/j Droleptan (Dropéridol 2,5 mg pour 50 mg de morphine en PCA) : surtout efficace sur nausées et vomissements
41 Palier 3 : Oxycodone Oxycodone : Oxycontin (LP) Oxynorm Oxynormoro (LI) Posologie : 1/2 morphine Effets secondaires idem Intêret dans la rotation des morphiniques
42 Palier 3 : Hydromorphone Hydromorphone LP : Sophidone gélules à 4, 8 16 et 24 mg Retard : efficacité 2 heures ; durée 12 heures Agoniste mu, opioïde pur AMM à 7 ans pour les douleurs cancéreuses résistantes à la morphine En pratique pour la rotation des opioïdes Equivalence : 4 mg de Sophidone = 30 mg de morphine orale Prévoir des interdoses en morphine orale
43 Palier 3 : Fentanyl Fentanyl transdermique : Durogesic patch 12, 25, 50, 75 et 100 microgrammes/h 2007 : AMM à partir de 2 ans pour le patch de Durogésic 12 Relais de la morphine, traitement antalgique équilibré, délai et durée d action très longs (12h/3j) => pas en première intention, Laisser initialement les antalgiques préalables à la même dose lorsque le premier patch est appliqué.
44 Palier 3 : Fentanyl Fentanyl transdermique : Appliquer en zone saine, non irradiée, sur de nouvelles zones à chaque changement. Absorption majorée en cas de fièvre Résorption moins bonne lorsque cachexie entraîne plus souvent des phénomènes de tolérance Toujours prévoir des interdoses de morphine orale
45 Palier 3 : Pethidine Pethidine (anciennement Dolosal ) Interressant dans les douleurs viscérales, Posologie : 5 à 10 mg/kg IVC Risque convulsif (souvent associé au Rivotril)
46 Que proposer en cas de douleurs rebelles? Échec = mauvaise indication mettre en place un ttt adapté (co antalgiques, douleur neuropathiques, ) Échec = contrôle insuffisant de la douleur voir pour réévaluer les doses Échec = survenue d effets secondaires inacceptables avec ou sans contrôle de la douleur envisager changement de morphiniques (rotation) ou changement de voie d administration.
47 Que proposer en cas de douleurs rebelles? Kétamine (Ketalar ) IV Le plus souvent associé à la morphine Risque de dysphorie surtout lors des bolus. Dose habituelle 1 à 2 gamma/kg/mn (0,05-0,2 mg/kilo/heure) Dans douleurs neuropathiques chroniques 0.3mg/kilo/3 heures IV En PCA on peut mettre dans la solution de la pompe 2 mg de morphine pour 1 mg de kétamine
48 Que proposer en cas de douleurs rebelles? Lidocaïne (Xylocaïne) IV douleur viscérale et neurologique rebelle Posologie : 2 mg/kilo en 20 puis 2 mg/kilo en 1 heure, efficace 9 jours dans échec morphine Attention si nausées, vomissements, pyrosis, gout métallique dans la bouche, sensations de malaise, bourdonnements d oreille, myoclonies, convulsions Sédation
49 Conclusion Ne pas avoir peur de la morphine Penser aux douleurs neuropathiques Association avec co-antalgiques évaluer réévaluer et réévaluer, écoute +++ Prévenir, anticiper, notament lors des soins
CAPACITE DE GERIATRIE
TRAITEMENT DE LA DOULEUR CHEZ LE SUJET AGE CAPACITE DE GERIATRIE 11.03.2009 Dr Françoise ESCOUROLLE-PELTIER Unité de Soins Palliatifs - Équipe Mobile Hôpital BRETONNEAU CONSEQUENCES DE LA PRISE EN CHARGE
Plus en détailSPÉCIFICITÉS ET PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR CANCÉREUSE CHEZ L ADULTE
SPÉCIFICITÉS ET PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR CANCÉREUSE CHEZ L ADULTE Dr Cécile BESSET Equipe Mobile de Soins Palliatifs CHRU Besançon 23/01/2015 DÉFINITION, GÉNÉRALITÉS «Expérience sensorielle et émotionnelle
Plus en détailI. Palier 1 : douleurs légères à moyennes Les médicaments de différentes classes palier 1 peuvent être prescrits en association.
Chap ii ttrree 9 TRAITEMENT de la DOULEUR Les injections ne sont pas nécessaires lorsque la voie orale est possible. Le recours à la morphine est recommandé d emblée en cas de douleur très intense y compris
Plus en détailRecommandations de bonne pratique PRISE EN CHARGE MEDICAMENTEUSE DE LA DOULEUR AIGUË ET CHRONIQUE CHEZ L ENFANT RECOMMANDATIONS
Recommandations de bonne pratique PRISE EN CHARGE MEDICAMENTEUSE DE LA DOULEUR AIGUË ET CHRONIQUE CHEZ L ENFANT Partie 1 : Prise en charge de la douleur en milieu hospitalier et situations particulières
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailDOULEURS NEUROPATHIQUES. André Muller
DOULEURS NEUROPATHIQUES André Muller La douleur, ce n est pas ce que sent l individu, c est ce qu il fait de la sensation. Il fait avec ce qu il est. Il est ce que les autres et lui-même ont fait de lui.
Plus en détailRecommandations après le retrait des associations dextropropoxyphène/paracétamol et dextropropoxyphène/paracétamol/caféine
Groupe Référent Médecins Généralistes de l Afssaps Mise au point Prise en charge des douleurs de l adulte modérées à intenses Recommandations après le retrait des associations dextropropoxyphène/paracétamol
Plus en détailDOULEUR AIGUË. La prise en charge de la douleur aigue commence par une écoute attentive, une évaluation détaillée
Département de médecine communautaire, de premier recours et des urgences Service de médecine de premier recours DOULEUR AIGUË S. Pautex¹, V. Piguet² Service de médecine de premier recours¹, HUG Service
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailMédicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés
Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Developé pour le Centre
Plus en détailMEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL :
REPUBLIQUE FRANÇAISE Juin 2009 MEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL : Recommandation de l EMEA de retrait de ces médicaments à la suite de l évaluation européenne et avis
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailMaladie d Alzheimer et fin de vie : aspects évolutifs et stratégies thérapeutiques
Médecine palliative Soins de support Accompagnement Éthique (2011) 10, 230 244 DOSSIER THÉMATIQUE «GÉRIATRIE» Maladie d Alzheimer et fin de vie : aspects évolutifs et stratégies thérapeutiques Alzheimer
Plus en détailMigraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?
Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et
Plus en détailDU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE
DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailÉVALUATION ET PRISE EN CHARGE THÉRAPEUTIQUE DE LA DOULEUR CHEZ LES PERSONNES ÂGÉES AYANT DES TROUBLES DE LA COMMUNICATION VERBALE
ÉVALUATION ET PRISE EN CHARGE THÉRAPEUTIQUE DE LA DOULEUR CHEZ LES PERSONNES ÂGÉES AYANT DES TROUBLES DE LA COMMUNICATION VERBALE OCTOBRE Tous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction par
Plus en détailSoins Inrmiers aux brûlés
Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter
Plus en détailLES ANTIMIGRAINEUX. Médicaments de la crise et médicaments de fond
LES ANTIMIGRAINEUX Migraine : maladie qui peut être handicapante selon fréquence, durée, intensité des crises, signes d accompagnement (digestifs), retentissement sur la vie quotidienne, professionnelle,
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailPrise en charge des patients adultes souffrant de douleur chronique
Guide pratique à l usage des infirmier(ère)s à domicile et des médecins généralistes Prise en charge des patients adultes souffrant de douleur chronique Table des matières Introduction 1 Classification
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailCEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX
CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX Groupe de travail du RRDBN Y.Perier, A.S.Sergent, E.Touchard, V.Lepelletier, S.Sladek FMC 2009 1 PLAN Migraine sans aura Epidémiologie Critères
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailLa douleur de l enfant : stratégies soignantes de prévention et de prise en charge
Groupe infirmier La douleur de l enfant : stratégies soignantes de prévention et de prise en charge ATDE Pédiadol Association pour le traitement de la douleur de l enfant www.pediadol.org La douleur de
Plus en détailGestion de la douleur chez les enfants
Gestion de la douleur chez les enfants Il faut avoir lu le premier article sur la douleur qui s adresse aux adultes car ce texte se base sur celui-ci. La douleur chez l enfant c est un peu plus compliqué.
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailLa dépendance aux médicaments
La dépendance aux médicaments 3 ème Forum Citoyen Espace Mendès-France 28 novembre 2013 Denis Richard Pharmacien Hôpital Henri-Laborit, Poitiers Qu est la dépendance? (1) «Perte de la liberté de s asbtenir»
Plus en détailSemaine Sécurité des patients
Bienvenue dans le «mystère de la chambre des erreurs»! Découvrez le tableau de synthèse des réponses du matériel nécessaire à la mise en place de la chambre des erreurs ainsi que les réponses attendues
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailPatchs contre la douleur contenant des dérivés de morphine. Réponses aux questions les plus fréquentes
Patchs contre la douleur contenant des dérivés de morphine Réponses aux questions les plus fréquentes Introduction Quel objectif? Ce document constitue une aide dans la gestion au quotidien de votre douleur.
Plus en détailDominique MONNIN Anesthésiste Réanimateur Institut BERGONIE CRLCC BORDEAUX
Dominique MONNIN Anesthésiste Réanimateur Institut BERGONIE CRLCC BORDEAUX Douleurs rebelles en Soins palliatifs Fréquentes Souvent provoquées par des cancers Complexes associant : origine nociceptive
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailDouleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au
Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement
Plus en détailA healthy decision LA DOULEUR
A healthy decision Mieux vivre avec LA DOULEUR Tout à propos de la douleur, de ses causes et de ses possibilités de traitement. Parlez-en avec votre médecin ou pharmacien. Contenu Qu est-ce que la douleur
Plus en détailPrévalence des céphalées à travers l enquête décennale Santé 2002-2003
Ministère de l Emploi, de la cohésion sociale et du logement Ministère de la Santé et des Solidarités Près d une personne sur deux âgée de 15 ans et plus déclare être sujette à des maux de tête. Ceux-ci
Plus en détailMIGRAINE - TRAITEMENT
MIGRAINE - TRAITEMENT Restauration d une bonne qualité de vie Adapté à chaque patient Reposant sur trois axes : éviction des facteurs déclenchants traitement de crise traitement prophylactique ANAES 2002
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailConseils pour le traitement des douleurs persistantes
Page -1- Conseils pour le traitement des douleurs persistantes Ce qu'il faut savoir avant tout, c'est que les douleurs persistantes sont des "douleurs particulières", qui doivent donc être traitées en
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Flunarizine
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR SIBELIUM 10 mg, comprimé sécable Flunarizine Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 23 mai 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 23 mai 2012 SEGLOR 5 mg, gélule B/30 (CIP: 321 899-8) SEGLOR LYOC 5 mg, lyophilisat oral B/30 (CIP: 334 062-4) Laboratoire UCB PHARMA dihydroergotamine (mésilate de)
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailPlacebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes
Placebo Effet Placebo Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Plan Définitions Placebo dans les essais thérapeutiques Effet placebo Médicaments
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailModalités de prise en charge de l'adulte nécessitant des soins palliatifs
RECOMMANDATIONS POUR LA PRATIQUE CLINIQUE Modalités de prise en charge de l'adulte nécessitant des soins palliatifs Décembre 2002 Recommandations Service des recommandations et références professionnelles
Plus en détaild a n s l e t r a i t e m e n t d e
La buprénorphine d a n s l e t r a i t e m e n t d e la dépendance aux opioïdes Lignes directrices du Collège des médecins du Québec et de l Ordre des pharmaciens du Québec juin 2009 table des matières
Plus en détailSemaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!»
Semaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!» Vous avez été X à prendre le risque d entrer dans notre chambre des erreurs, à présent découvrez les erreurs ou risques potentiels
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailKARDEGIC 75 mg, poudre pour solution buvable en sachet-dose Acétylsalicylate de DL-Lysine
KARDEGIC 75 mg, poudre pour solution buvable en sachet-dose Acétylsalicylate de DL-Lysine Veuillez lire attentivement cette notice avant d'utiliser ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailEt de 10! Numéro 10, Juin 2002. Bulletin des CEIPs de Caen et Nantes
Bulletin des CEIPs de Caen et Nantes Numéro 10, Juin 2002 Et de 10! epuis novembre 1997, ce n est pas moins de 10 bulletins du Nord-Ouest dépendance que nous avons eu le plaisir de vous présenter. C'est
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailUtilisation des patchs d opioïdes dans les douleurs chroniques chez les patients en rémission oncologique
mise au point Utilisation des patchs d opioïdes dans les douleurs chroniques chez les patients en rémission oncologique Rev Med Suisse 2015 ; 11 : 1385-9 L. Oberlé C. Luthy A. Pugliesi S. Pautex V. Piguet
Plus en détailDouleurs et Neuropathies
Douleurs et Neuropathies J-Y SALLE Service de médecine physique et de réadaptation P VERGNE-SALLE Service de Rhumatologie et consultations de la douleur CHU Limoges Selon l IASP: douleur neuropathique
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailDoit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?
Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR MS Direct 10 mg comprimé enrobé MS Direct 20 mg comprimé enrobé sulfate de morphine
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR MS Direct 10 mg comprimé enrobé MS Direct 20 mg comprimé enrobé sulfate de morphine Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament.
Plus en détailTraitement actuel de la migraine
Traitement actuel de la migraine Pr M. AIT- KACI - AHMED Chef du Service de Neurologie E.H.S Ali Aït Idir (Alger) Alger, 04 Juin 2009 Importance du sujet 1. Sur le plan médical - 12 à 15 % de la population
Plus en détailProtéger. son animal. la gamme FRONTLINE. grâce à la gamme. Contre les puces et les tiques. Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie,
la gamme Frontline Contre les puces et les tiques Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie, aux bains et aux shampooings (2) Protéger son animal grâce à la gamme FRONTLINE La gamme FRONTLINE
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailCarnet de suivi Lithium
Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous
Plus en détailDiagnostiquer et traiter une céphalée récurrente de l'enfant
Diagnostiquer et traiter une céphalée récurrente de l'enfant Elisabeth Fournier-Charrière CETD, CHU Bicêtre avec la participation de l'équipe du centre de la migraine de l enfant de Trousseau 2015 Tom,
Plus en détailProjet aquitain de surveillance alternée des cancers du sein localisés traités
Projet aquitain de surveillance alternée des cancers du sein localisés traités Formation des médecins généralistes et gynécologues EFFETS INDESIRABLES ET COMPLICATIONS DES TRAITEMENTS DANS LE CANCER DU
Plus en détailLes triptans. quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre. Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit!
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Les triptans quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit! Les triptans, des agonistes sélectifs
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailSédation et analgésie aux soins intensifs ou comment calmer intensivement!
L E S S O I N S I N T E N S I F S Sédation et analgésie aux soins intensifs ou comment calmer intensivement! par Jocelyn Brunet 3 Vous êtes de garde aux soins intensifs d un hôpital régional. M me Agitée,
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailCORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION :
CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : OJECTIFS : 1/ Evaluer le degré des connaissances acquises nécessaires à l administration des médicaments à diluer. 2/ Evaluer les capacités
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. AVIS 1 er février 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er février 2012 Le projet d avis adopté par la Commission de la Transparence le 16 novembre 2011 a fait l objet d une audition le 1 février 2012 XEPLION 25 mg, suspension
Plus en détailSUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault
ATELIER THEMATIQUE : APPLICATIONS POUR TABLETTES ET SMARTPHONES SUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault INTRODUCTION La santé mobile, c
Plus en détailDOULEUR ET FIN DE VIE
9. Docteur Bernard Wary La douleur chez les personnes âgées en fin de vie présente plusieurs particularités, tant sur le plan épidémiologique que physiopathologique, pharmacologique, psychologique et éthique.
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailLa migraine M BOULIN 2014
La migraine M BOULIN 2014 Cas clinique Mlle B Q1 Mlle B, 28 ans se dit migraineuse mais ne sait pas trop quoi prendre au moment de ses crises. Que lui dire? Réponse 1 Sans être médecin, vous devez quand
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailCLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE
CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement
Plus en détailAVIS DE LA COMMISSION. 30 juin 2004
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE REPUBLIQUE FRANÇAISE AVIS DE LA COMMISSION 30 juin 2004 BIPERIDYS 20 mg, comprimé pelliculé sécable (Boîtes de 20 et 40) Laboratoires PIERRE FABRE MEDICAMENT dompéridone Liste
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailCatherine Prost Squarcioni Centre de Références Maladies Rares NET-DBAI-IDF Hôpital Saint Louis et hôpital Avicenne
1 PREVENTION DES COMPLICATIONS DE LA CORTICOTHERAPIE GENERALE DANS LES PEMPHIGUS DE L ADULTE Catherine Prost Squarcioni Centre de Références Maladies Rares NET-DBAI-IDF Hôpital Saint Louis et hôpital Avicenne
Plus en détailLA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!
LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailLes medicaments contre l arthrite. Un guide de référence. SeRIE TRAITEMENTS. arthrite.ca
Les medicaments contre l arthrite Un guide de référence SeRIE TRAITEMENTS arthrite.ca Table des matières REMARQUE : Le masculin est utilisé pour faciliter la lecture. Mot de bienvenue 4 Introduction à
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailLES MÉDICAMENTS de la MIGRAINE PLAN
LES MÉDIAMETS de la MIGAIE PLA A LA MIGAIE (rappels) A 1 ISTIQUE A 2 DESIPTI A 3 FMES de la MALADIE A 4 SYMPTÔMES A 5 AUSES A 6 DIAGSTI A 7 ÉVLUTI B TAITEMETS B 1 DES PUSSÉES : * Antalgiques et AIS * Alcaloïdes
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détail