Toujours évaluer l observance du traitement
|
|
- Emmanuelle Lavigne
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Toujours évaluer l observance du traitement
2 Quelques règles de base pour l administration d un traitement antalgique l administration d un antalgique est préférable à horaire régulier les effets pharmacologiques des substances utilisées doivent être maîtrisés les associations sont parfois très utiles mais demandent de vérifier les interactions médicamenteuses la voie orale ou éventuellement transcutanée (patch) sont à privilégier certains effets secondaires doivent être prévenus de manière systématique (constipation pour certains opiacés par exemple) Ces règles sont issues de la pratique et d avis d experts mais ne sont pas démontrées dans des études cliniques (EBM niveau C).
3 Défini7on des paliers
4
5 5.2. Échelle analgésique à 3 paliers de l OMS Lors de douleurs continues, prescrire des antalgiques à heures fixes, en fonction de la durée d action du médicament considéré Recourir à la voie orale chaque fois que possible Prescrire des antalgiques par paliers, en fonction de l intensité de la douleur «Start low, go slow» : commencez par de faibles doses, et les adapter lentement, en fonction d évaluations fréquentes et régulières des effets antalgiques et indésirables Les effets indésirables médicamenteux sont plus de 2 fois plus fréquents que chez les patients plus jeunes, et le risque augmente avec le nombre de médicaments (revoir régulièrement les traitements) Remarques concernant le palier 3 de l OMS : /documentation_rifvel/douleursteiner.php 6/8
6
7
8 Mode d action Des articles récents une nouvelle voie de recherche, celle des COX 3 en particulier intracérébrales qui pourraient expliquer l action du paracétamol. (WARNER 2002). Il n y a pas encore de répercussion clinique démontrée. Métabolite actif de la phénacétine. Il a une bonne biodisponibilité par voie orale (70 à 90 %), dépendant de la dose.
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21 Nefopam (Acupan) Le nefopam est un analgésique original, action centrale, agit probablement sur les voies sérotoninergiques inhibitrices de la douleur. Sans action anti-inflammatoire sans action sur les récepteurs opioïdes. propriétés anticholinergiques qui expliquent ces effets secondaires (nausées, vomissements, tachycardie) Doses : 30 à 60 mg, 3 x/24 h
22
23 Quand passer au palier III? Douleur sévère d emblée Douleur insuffisamment calmée par le palier II Fortes doses d antalgique de palier II ou associa7on d antalgiques de palier II
24 Opioïdes paliers III Administra7on: Orale Transdermique Parentérale sublinguale
25 Remarque sur les récepteurs morphiniques Les opioïdes agissent sur le système de contrôle de la douleur étant donné leur profonde similitude de forme avec les endomorphines («morphines naturelles»).
26 Les récepteurs aux endomorphines étant aussi appelés récepteurs opioïdes, c est-à-dire récepteurs aux substances opiacées et à leurs dérivés. Les principales endomorphines sont les endorphines, les enképhalines et les dynorphines.
27 Les interactions ligands récepteurs, que ce soit pour les opioïdes mineurs ou majeurs, aboutissent à une inhibition de la libération de la substance P et donc de la transmission de l influx nociceptif.
28 Les récepteurs sont de cinq types : mu, delta, bêta, sigma et kappa. Ces récepteurs sont localisés au niveau de structures anatomiques spinales et supra spinales impliquées dans le contrôle du message nociceptif : corne postérieure de la moelle, tronc cérébral, thalamus et système limbique. Les récepteurs mu semblent les plus impliqués dans la genèse de l analgésie.
29 RËc epteurs Agoniste Effets Effets des différents récepteurs opioides type Pharmacologiques µ morphine Effet antinociceptif µ1 DËpression respiratoire µ2 Bradycardie Myosis? EnkËphalines Effet a ntinociceptif Effets comportementaux (euphorie, convulsions) k Benzomorphane Effet antinociceptif Dynorphines Effets endocrines Effets comportementaux (sëdation)
30
31 Affinités des morphiniques pour les différents récepteurs R é c e p t e u r r e s p o n s a b l e d e l ' a c t i v i t é a g o n i s t e A g o n i s t e M o r p h i n e + + R é c e p t e u r r e s p o n s a b l e d e l ' a c t i v i t é a n t a g o n i s t e µ κ µ κ A n t a g o n i s t e N a l o x o n e + + A g o - A n t a g o p r é p o n d é r a n t P e n t a z o c i n e B u p r é n o r p h i n e N a l b u p h i n e
32 Agonistes purs des récepteurs mu Il n y a pas d effet plafond (induisent la totalité de l action du récepteur) morphine fentanyl oxycodone hydromorphone péthidine (dolosal) méthadone
33 Agonistes- antagonistes pentazocine (fortal) peu intéressant dans la pratique nalbuphine (nubain) agonistes des récepteurs delta et kappa, antagonistes des récepteurs mu et neutralisent l action de la morphine.
34 Agonistes partiels des récepteurs mu buprénorphine (temgésic) Il existe un effet «plafond» : au-delà d une certaine dose (qui peut être très élevée pour la buprénorphine), on n obtient pas d augmentation d activité et même une possible inversion de l effet thérapeutique
35 Effet analgësique Morphiniques : Relation Dose/Effet Fentanyl Sufentanil Morphine Effet plateau des Ago-antagonistes ou Agonistes partiels CodËine DextropropoxyphÁne Dose d íopiacë
36 Comment obtenir la bonne dose? Prévoir des interdoses avec la morphine à libéra7on immédiate (1/10 à 1/6 de la dose quo7dienne toutes les 4 à 6 heures) Quelle que soit la forme choisie, toujours associer la morphine à libéra7on immédiate (ac7skénan, sevredol )
37 Prescrip7on d un traitement par morphine orale Pa?ent recevant 180 mg de codéïne associé à 3 g de paracétamol/jour Dose équianalgésique de Morphine LP = 30 mg/j Pa?ent non soulagé 2fois la dose équianalgésique de morphine LP 60 mg:j
38
39
40
41 Morphine : effets secondaires dépression respiratoire : faux problème cons7pa7on nausées vomissements Séda7on (penser à la de,e de sommeil) prurit
42 Morphine : effets secondaires Hallucina?ons, confusion Dysphorie, sensa?on ver?gineuses, cauchemars, réveil en sursaut myoclonies
43 Le surdosage morphinique bradypnée troubles de la vue troubles de la vigilance et de la personnalité flapping
44 Equivalences Analgésiques Relai morphine per os vers injectable per.os.24 h/3=iv / 24 h per.os.24 h/2 = SC / 24 h arrêter la prise orale et débuter la forme injectable SE continue 3 H après la derniére P O arrêter la prise orale et débuter la premiére injection SC sans délai après la drniére prise orale attention relai IV = malade qui souffre donc augmenter la dose sur 24 h par rapport à la dose habituelle reçue
45 Equivalences Analgésiques Équivalences 2 relais morphine injectable vers PO morphine IV 24 h x 3= morphine PO 24 h arréter la SE ou les SC 3 h après la prise du comprimé (prise à 8h ou 20 h) attention relai PO malade calmé donc respecter l'équianalgésie relais morphine injectable vers patch PO vers patch poser le patch et arréter la SE ou la derniére injection à la 6 e heure après la pose du patch (50% de la dose du patch active à la 16 e heure) poser le patch et donner en même temps le dernier comprimé LP attention relai par patch malade calmé donc respecter l'équianalgésie
46 Equivalences Analgésiques Équivalences 3 relais morphine patch vers injectable 150 mg de morphine orale = 50 mg morphine IV = 1000 microg de fentanyl patch 25 µg/h 600 µg/24 h enlever le patch (il reste 50% de fentanyl à la 16e heure après l'ablation du patch calmer une douleur immédiate faire une 1/2 amp de chlor. De morphine en SC relai IV : débuter par 1/4 de la dose IV /24 h à la 8 e heure à la SE, passer à 50 % de la dose IV /24 h à la 16 e heure passer à 100 % de la dose IV à la 24 e heure attention relai IV = malade qui souffre donc augmenter la dose sur 24 h par rapport à la dose habituelle reçue par patch
47 morphine per os 20 mg 10 mg 1 mg 30 mg 150 mg dextropropoxyphéne 200 mg codeïne 100 mg dihydrocodéïne 60 mg tramadol 100 mg opium per os 10 mg chlor. Hydromorphone 4 mg fentanyl patch 1 mg(100µg)
48
49 Fentanyl trans dermique Morphinique d administra7on transcutané Agoniste sélec7f et puissant (150 fois la morphine) Concentra7on efficace obtenue en 12 heures
50 Douleur de fond Morphine/ 24H en mg interdoses orale s.c i.v /µg p.o sc iv Patch Durogésic Si nècessité de 3 interdoses sup réadapter dose totale de morphine /24H de 30 à 50%
51 Comment placer le patch? Peau glabre, non irritée, non irradiée De préférence sur le torse ou le bras Varier les emplacements toutes les 72 heures NE PAS DECOUPER Rapporter au pharmacien
52
53 Méthadone Agoniste pure des récepteurs mu et également agoniste des récepteurs delta et kappa. Antagoniste des récepteurs NMDA, ce qui explique son efficacité dans les douleurs réfractaires, en particulier neuropathiques. Sa demi-vie est longue (de 10 à 75 heures, avec une moyenne de 20 heures), imprévisible et variable suivant les individus. Ceci augmente considérablement le risque d effets secondaires (NICHOLSON 2004). Ces deux notions sont importantes pour la titration et expliquent la difficulté de la surveillance adéquate du traitement par méthadone en médecine ambulatoire.
54 La rotation des opioïdes permet d améliorer le confort des patients dans un certain nombre de situations difficiles. Le concept s est développé en lien avec différents éléments : 1) L apparition d opioïdes forts, différents de la morphine : fentanyl, hydromorphone, méthadone, oxycodone. 2) La toxicité potentielle, chez certains individus, de certains morphiniques et pas d autres: absence d intolérance croisée. 3) La réponse insuffisante de certains patients à un traitement morphinique par ailleurs bien conduit. Il peut s agir dans ce cas de douleurs neuropathiques, mais aussi de douleurs réfractaires à la morphine. Elle peut apporter un bénéfice en douleur chronique. Cette affirmation a été validée par une méta-analyse de la Cochrane (QUIGLEY 2004). (EBM niveau A)
55 Rota7on des opioïdes Changement systéma7que à dose équianalgésique d un opioïde à l autre, à intervalle régulier, selon une boucle sans fin, chez un pa7ent donné Fentanyl trans dermique hydromorphone morphine Buts éviter l apparifon d une accoutumance diminuer l incidence des effets secondaires
56 Avantages avec l alternance d opiacés dans 10 à 15 % des cas, évite l escalade posologique
57 Deux indica7ons Augmenta7on de la posologie sans gain antalgique Sensibilité variable Tous les opioïdes n ont pas le même effet chez le même individu (recepteur µ d un sous type) Effets indésirables importants
58 Accumula?on métabolites Risques effets secondaires Opioïde (morphine ex.) Autre opioïde Sous type recept.µ Insuffisance ou épuisement antalgie Métabolites différents recepteurs µ d un autre sous type Moins effets secondaires Effet antalgique sa?sfaisant
59 Echelle visuelle analogique 60% des pa?ents présentent des pics algiques D o u l e u r d e f o n d Temps
60 Mr.X,sous 2 SKENAN 30 +Ac7skénan 10 passage à DUROGESIC 25 Echelle Visuelle Analogique 2 SKENAN 30 CONTROLE CONTINU de la DOULEUR de FOND H 12 H 24 H 48 H 72 Temps Le dernier SKENAN 30 DUROGESIC 25 + Inter- doses : Ac7skénan 10
61 Les opioïdes ne résument pas le traitement des douleurs cancéreuses Il est souvent utile aux patients de savoir prendre avec eux des risques raisonnés B Rioult CNAM mars
62 Le cannabis Une revue de 34 études randomisées, double aveugle avec placebo a été publiée en 2004 dans le domaine de la douleur chronique. L efficacité et les effets secondaires sont comparables aux autres substances psycho actives utilisées. Ces premières expériences d utilisation des cannabinoides ouvrent à des études plus étendues et plus détaillées (NOTCUTT 2004) (EBM niveau A).
63 Traiter fort Mul7plier les moyens Abord du patient Professionnalisme Antalgiques niveau 1 AINS incisifs Psychologique Immobilisation Chaud, froid AL ALR DOULEUR AG Kétamine N2O/O2 Analgésiques "centraux" Adjuvants de l'analgésie "Analgésie balancée"
64
65
66
67
68
69 " Sensibilité normale à la douleur " Sensa?on douloureuse Analgésie («médicaments anti-nociceptifs») [Intensité s?muli ] S?muli non nocicep?fs S?muli nocicep?fs
70 Hyperalgesie " Sensibilité normale à la douleur " Sensa?on douloureuse Processus de sensibilisa?on Allodynie Anti- hyperalgesie Analgésie [Intensité s?muli] S?muli non nocicep?fs S?muli nocicep?fs
71 Dual effects of opioids: a neurobiological proposal Opioids + R µ Inhibitory systems + R µ PKC + + Ca 2+ R-NMDA + + Facilitatory systems * Neuropathy * Inflammation *Surgery Nociception + Analgesia Hyperalgesia / Allodynia Short-lasting effects Long-lasting effects
72 Dual effects of opioids: a neurobiological proposal Opioids + PKC + + R µ + R µ Inhibitory systems Ca 2+ + R-NMDA + Facilitatory systems * Neuropathy * Inflammation * Surgery Nociception + Analgesia Hyperalgesia / Allodynia Short-lasting effects Result Long-lasting effects
73 La kétamine, antagoniste des récepteurs NMDA, peut diminuer les effets de sensibilisation centrale secondaires au «wind-up». C est par ce phénomène que les anti-nmda seraient actifs sur l hyperalgésie. De plus, les récepteurs NMDA semblent jouer un rôle dans les phénomènes de tolérance aux opioïdes La kétamine à faible dose peut partiellement rendre réversibles ces phénomènes. Son utilisation en association avec la morphine semble donc augmenter l antalgie au prix d effets secondaires modérés.
74 Antagonisme des recepteurs NMDA des les plus faibles doses
75 Points "gâchette" de la douleur _ Les points l' gâchette" ou points de déclenchement de la douleur sont des zones distinctes, focales et hyper-irritables, situées sur des zones de recouvrement des muscles squelettiques, Les traumatismes aigus, ainsi que les microtraumatismes répétés, peuvent provoquer un stress des fibres musculaires et la formation de points de déclenchement de la douleur. Ces points de déclenchement, ou " gâchette ", se situent dans les muscles de la posture, notamment les muscles du cou et de l'épaule. La présence de points de déclenchement de la douleur peut se manifester par des céphalées de tension, des acouphènes, une tension dans l'articulation temporomandibulaire et une douleur lombaire, La palpation d'un nodule douloureux dans la fibre musculaire est un critère essentiel pour l'identification des points de déclenchement de la douleur 1191(20),...46 Miniallos Muscle oblique externe de l'abdomen --""--.-- L. dbui~ul47...
76 La douleur chronique : quelle définition? La douleur chronique : quelle définition? Douleur chronique : quelle defini7on La symptomatologie douloureuse évolue et se modifie au cours du La temps symptomatologie douloureuse évolue et se modifie au cours du temps Douleur aiguë brève : cause unique Douleur aiguë brève : cause unique Douleur chronique : douleur persistante rebelle Douleur chronique : douleur persistante rebelle Répercussions familiales /socioprofessionnelles Dépression Anxiété Répercussions familiales /socioprofessionne Insomnie Dépression Fatigue Anxiété Inactivité Insomnie Contracture musculaire Fatigue Lésion Inactivité Contracture musculaire Lésion D après Boureau, Dimensions de la douleur. In Pratique du traitement de la douleur. Doin, Paris, 1988.
77 Modèle BioPsychoSocial : 3 composantes à prendre en compte Approche multidimentionnelle permettant une prise en charge globale Douleurs nociceptives Derrière la plainte douloureuse Douleurs neuropathiques Facteurs familiaux Facteurs environnementaux Sensoridiscriminative Cognitive Comportementale Affective et émotionnelle Facteurs sociaux et culturels Facteurs professionnels
78 Douleur chronique _ La douleur chronique persiste après que la lésion périphérique qui ra déclenchée a disparu. En général, elle commence de la même manière que la douleur aiguë, mais à la différence de celle-ci, elle n'a pas d'intérêt sur le plan réactionnel ou comportemental et elle entraîne un handicap physique, psychologique et social. La douleur chronique est durable, persistant après que la lésion a guéri, et il n'existe apparemment pas de rapport entre l'importance de la lésion et l'intensité de la douleur ressentie. La douleur chronique ne s'accompagne pas systématiquement de signes en rapport avec une atteinte du système nerveux autonome, mais dans certains cas, elle est associée des signes végétatifs {troubles du sommeil, diminution de la libido). La douleur chronique provoque principalement l'apparition d'un état dépressif, mais aussi d'un état anxieux ~2)(3).... _"'re At>sence d'ur><>rellonse ehective pour la ccn.ervatk>n da l'intégrité pll)'sique AA"'" ~ Dépression Troubles du sommeil el de la libido.. 44 Miniatlas LI ~nul!ui45,.
79 Optimiser en pratique notre approche du patient douloureux chronique En pratique, l'has recommande un entretien semi-structuré en 10 points 1. Ancienneté de la douleur 2. Mode de début 3. Profil évolutif du syndrome douloureux 4. Traitements effectués et actuels 5. Antécédents et pathologies associées 6. Description de la douleur actuelle 7. Contexte familial, psychosocial, médico-légal et incidences 8. Facteurs cognitifs 9. Facteurs comportementaux 10. Analyse de la demande Mais cet entretien doit laisser le patient s'exprimer librement, tout en le réorientant vers les informations recherchées
80 Optimiser en pratique notre approche du patient douloureux chronique Les 3 points clés de la communication avec le patient douloureux chronique Établir un contact empathique Harmoniser les points de vue Expliquer la maladie et les mécanismes de la douleur, ainsi que la prise en charge proposée Rendre le patient acteur de sa prise en charge : mise en place d'un contrat thérapeutique d'objectifs et de moyens
81 Optimiser en pratique notre approche du patient douloureux chronique L'évaluation est indispensable pour constituer le socle d'une prise en charge personnalisée Éléments à recueillir en priorité : Intensité de la douleur Impact sur la qualité de vie Attentes du patient pour établir un contrat thérapeutique d'objectifs et de moyens En pratique, les outils permettant de recueillir ces éléments, doivent : Être d'utilisation simple et rapide Permettre la participation active du patient Favoriser l'expression de ses attentes 1. HAS / Service des bonnes pratiques professionnelles / Décembre Douleur chronique : reconnaître le syndrome douloureux chronique, l'évaluer et orienter le patient. 2. ANAES / Service des Recommandations et Références Professionnelles / Février 1999 : évaluation et suivi de la douleur chronique chez l'adulte en médecine ambulatoire.
82 Traitements medicamenteux Classifica?ons des traitements pharmacologiques Classification de l OMS (1986) Première classification des antalgiques sur la base de l intensité de la douleur cancéreuse par excès de nociception. Apparition de la notion des paliers 1, 2 et 3 Classification de l OMS (1997) Notion de classes thérapeutiques Non-opioïde ± adjuvants Opioïdes faibles pour douleur faible à modérée ± non-opioïdes ± adjuvants Opioïdes forts pour douleur modérée à sévère ± non-opioïdes ± adjuvants
83 Classifica?ons des traitements pharmacologiques Nouvelle classification des antalgiques* (Lussier & Beaulieu, IASP 2010) Antalgiques anti-nociceptifs Non-opioïdes (paracétamol, AINS), opioïdes Anti-hyperalgiques Antagonistes NMDA, gabapentinoïdes (gabapentine, prégabaline), nefopam, NO, coxibs Modulateurs des contrôles inhibiteurs et excitateurs descendants Antidépresseurs tricycliques, Inhibiteur de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline Modulateurs de la transmission et de la sensibilisation périphérique Lidocaïne, carbamazépine, capsaïcine Mixte : antalgique anti-nociceptif et modulateur des contrôles inhibiteurs et excitateurs descendants Tramadol Autres
84 Traitements non-pharmacologiques Dans le cadre d une prise en charge multimodale les traitements nonpharmacologiques doivent être associés aux traitements pharmacologiques Les traitements non-pharmacologiques doivent faire partie intégrante du projet thérapeutique établi avec le patient Éducation thérapeutique du patient, Thérapies Comportementales et Cognitives, Kinésithérapie Rééducation fonctionnelle Activités physiques, Neurostimulation électrique transcutanée (TENS), Relaxation Hypnose, Stratégies de gestion du stress, Acupuncture,
85 Traitements pharmacologiques : un équilibre bénéfice-risque parfois difficile à trouver et fragile à préserver Exemple d une situation d efficacité initiale insuffisante 4 Inefficacité Réduction de la dose 3 Diminution prioritaire des doses Efficacité insuffisante Efficacité Effets indésirables Effets indésirables inacceptables 1 Augmentation prioritaire des doses Augmentation de la dose 2 Risque de survenue d'effets indésirables additionnels sinon emballement du système Baisse de l observance et arrêt de traitement
86 Facteurs à rechercher et à prendre en charge en priorité pour éviter une efficacité initiale insuffisante Traitement Pharmacologique Efficacité initiale insuffisante Effets indésirables Efficacité insuffisante à moyen et long termes - Dose insuffisante - Composante non diagnostiquée (telle une composante neuropathique) - Mauvaise indication - Profil du patient - Facteurs génétiques - Molécule - Profil patient - Interactions médicamenteuses - Évolution de la maladie non prise en compte - Réduction injustifiée des doses par le médecin ou par le patient - Facteurs métaboliques - Interactions médicamenteuses - Mauvaise observance Anticiper pour prévenir
87 Prescription des AINS et iatrogénie Les AINS représentent : 2 à 5% des médicaments prescrits 20 à 25% de la iatrogénie en France
88 Arrêts prématurés des traitements par opioïdes dans les douleurs chroniques non cancéreuses % d'arrêt des opioïdes Moore and McQuay n = Kalso et al n = 698 Des arrêts de traitement fréquents
89 Les raisons d'arrêts prématurés de traitement par opioïdes dans les douleurs chroniques non cancéreuses X 3 X 2 Arrêt (%) Arrêt (%) Manque d efficacité n = Effets indésirables n = Moore and McQuay 2005 Manque d efficacité n = 558 Kalso E et al Effets indésirables n = 677 Effets indésirables 2 à 3 fois plus souvent incriminés que le manque d'efficacité
90 Recommandations de Limoges 2010 : Opioïdes forts dans les douleurs ostéo-articulaires non cancéreuses 1. Les médecins sont fréquemment confrontés à des douleurs rhumatologiques résistantes aux antalgiques classiques de paliers 1 et Les OF peuvent être utiles dans certaines douleurs ostéo-articulaires chroniques, dans le respect de bon usage Les objectifs d un traitement par OF pour les douleurs rhumatologiques sont de diminuer la douleur et de réactiver la fonction de patients non améliorés par des traitements pharmacologiques et non-pharmacologiques bien menés (Reco 2). Les modalités de prescription peuvent être adaptées en fonction de l horaire des douleurs ( ), de l activité des patients ou de la survenue d accès douloureux paroxystiques ( ) (Reco 16).
91 Stratégie de prise en charge thérapeutique Le risque Idéalement Syndrome Syndrome Symptômes Symptômes Mécanismes physiopathologiques sous-jacents Décision thérapeutique en fonction des symptômes Décision thérapeutique en fonction des mécanismes physiopathologiques La stratégie idéale de prise en charge consiste à évaluer les symptômes MAIS aussi à traiter la douleur en fonction des mécanismes physiopathologiques sous-jacents Diminution du seuil d activation et augmentation des réponses Woolf CJ. Mannion RJ. Neuropathic pain : aetiology, symptoms, mechanisms, and management. Lancet 1999;353: Woolf CJ. Max MB. Mechanism-based pain diagnosis. Am. Soc. Anesthesiol. 2001;95:
92 De l approche multimécanistique à l optimisation thérapeutique En conlusion : La prise en charge de la douleur chronique doit reposer sur la prise en compte des mécanismes physiopathologiques En pratique, l association de 2 molécules à mécanismes d action différents, dans les douleurs présentant des composantes nociceptives et neuropathiques Peut augmenter l efficacité antalgique Mais parfois au détriment de la tolérance
93 TRAITEMENT MÉDICAMENTEUX de la douleur aiguë étiologique thérapeutique médicamenteuse le plus souvent efficace pour traiter le symptôme. Lorsque la douleur devient chronique, cette même approche peut rester pertinente. Par contre, si la douleur s inscrit dans un cadre de syndrome de douleur chronique, une approche médicamenteuse isolée des différentes dimensions déjà décrites doit être remise en question. En fonction des mécanismes physiopathologiques, le traitement de la douleur peut se situer à différents niveaux : blocage ou diminution de la sensibilité des récepteurs nociceptifs (inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines) modification de la transmission spinale et action sur les voies descendantes inhibitrices (antidépresseurs tricycliques) activation des récepteurs opioïdes au niveau du système nerveux central
94 Pinces moi, je rêve..
Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailConseils pour le traitement des douleurs persistantes
Page -1- Conseils pour le traitement des douleurs persistantes Ce qu'il faut savoir avant tout, c'est que les douleurs persistantes sont des "douleurs particulières", qui doivent donc être traitées en
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailSPÉCIFICITÉS ET PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR CANCÉREUSE CHEZ L ADULTE
SPÉCIFICITÉS ET PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR CANCÉREUSE CHEZ L ADULTE Dr Cécile BESSET Equipe Mobile de Soins Palliatifs CHRU Besançon 23/01/2015 DÉFINITION, GÉNÉRALITÉS «Expérience sensorielle et émotionnelle
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailCAPACITE DE GERIATRIE
TRAITEMENT DE LA DOULEUR CHEZ LE SUJET AGE CAPACITE DE GERIATRIE 11.03.2009 Dr Françoise ESCOUROLLE-PELTIER Unité de Soins Palliatifs - Équipe Mobile Hôpital BRETONNEAU CONSEQUENCES DE LA PRISE EN CHARGE
Plus en détailMédicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés
Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Developé pour le Centre
Plus en détailCEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX
CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX Groupe de travail du RRDBN Y.Perier, A.S.Sergent, E.Touchard, V.Lepelletier, S.Sladek FMC 2009 1 PLAN Migraine sans aura Epidémiologie Critères
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailDouleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au
Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement
Plus en détailDU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE
DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,
Plus en détailA healthy decision LA DOULEUR
A healthy decision Mieux vivre avec LA DOULEUR Tout à propos de la douleur, de ses causes et de ses possibilités de traitement. Parlez-en avec votre médecin ou pharmacien. Contenu Qu est-ce que la douleur
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailDoit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?
Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailMigraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?
Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailMEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL :
REPUBLIQUE FRANÇAISE Juin 2009 MEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL : Recommandation de l EMEA de retrait de ces médicaments à la suite de l évaluation européenne et avis
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailMIGRAINE - TRAITEMENT
MIGRAINE - TRAITEMENT Restauration d une bonne qualité de vie Adapté à chaque patient Reposant sur trois axes : éviction des facteurs déclenchants traitement de crise traitement prophylactique ANAES 2002
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailPlacebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes
Placebo Effet Placebo Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Plan Définitions Placebo dans les essais thérapeutiques Effet placebo Médicaments
Plus en détailRecommandations après le retrait des associations dextropropoxyphène/paracétamol et dextropropoxyphène/paracétamol/caféine
Groupe Référent Médecins Généralistes de l Afssaps Mise au point Prise en charge des douleurs de l adulte modérées à intenses Recommandations après le retrait des associations dextropropoxyphène/paracétamol
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailSOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775
SOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775 Hôpital Cochin - Service Médecine Interne du Pr Le Jeunne 27, rue du Faubourg Saint Jacques - 75014 PARIS
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailDOULEUR AIGUË. La prise en charge de la douleur aigue commence par une écoute attentive, une évaluation détaillée
Département de médecine communautaire, de premier recours et des urgences Service de médecine de premier recours DOULEUR AIGUË S. Pautex¹, V. Piguet² Service de médecine de premier recours¹, HUG Service
Plus en détailLa migraine : quelle prise de tête!
La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailDouleur. et maladies neuromusculaires REPÈRES JANVIER 2012 SAVOIR ET COMPRENDRE
ktsdesign-fotolia.com AFM / L. Audinet AFM / L. Audinet Douleur et maladies neuromusculaires JANVIER 2012 La douleur est une sensation complexe qui est propre à chacun. Sa perception dépend d un système
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Flunarizine
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR SIBELIUM 10 mg, comprimé sécable Flunarizine Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailFACE A LA DOULEUR QUI PERSISTE
FACE A LA DOULEUR QUI PERSISTE AVANT-PROPOS Cette brochure est destinée aux patients souffrant de douleurs persistantes, mal soulagées par les méthodes habituelles de traitement. Son but est de les aider
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailLes triptans. quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre. Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit!
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Les triptans quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit! Les triptans, des agonistes sélectifs
Plus en détaild a n s l e t r a i t e m e n t d e
La buprénorphine d a n s l e t r a i t e m e n t d e la dépendance aux opioïdes Lignes directrices du Collège des médecins du Québec et de l Ordre des pharmaciens du Québec juin 2009 table des matières
Plus en détailFIBROMYALGIE. MIEUX VIVRE avec une DOULEUR
MIEUX VIVRE avec une DOULEUR la FIBROMYALGIE Dr V. BLANCHET Dr F. BOUREAU Dr F. LAROCHE Centre d évaluation et de traitement de la douleur Hôpital Saint-Antoine, Paris, Réseau Ville-Hôpital Lutter contre
Plus en détailtestez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!
: t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43
Plus en détailPrise en charge des patients adultes souffrant de douleur chronique
Guide pratique à l usage des infirmier(ère)s à domicile et des médecins généralistes Prise en charge des patients adultes souffrant de douleur chronique Table des matières Introduction 1 Classification
Plus en détailLES ANTIMIGRAINEUX. Médicaments de la crise et médicaments de fond
LES ANTIMIGRAINEUX Migraine : maladie qui peut être handicapante selon fréquence, durée, intensité des crises, signes d accompagnement (digestifs), retentissement sur la vie quotidienne, professionnelle,
Plus en détailEt de 10! Numéro 10, Juin 2002. Bulletin des CEIPs de Caen et Nantes
Bulletin des CEIPs de Caen et Nantes Numéro 10, Juin 2002 Et de 10! epuis novembre 1997, ce n est pas moins de 10 bulletins du Nord-Ouest dépendance que nous avons eu le plaisir de vous présenter. C'est
Plus en détailTRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ
TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailPatchs contre la douleur contenant des dérivés de morphine. Réponses aux questions les plus fréquentes
Patchs contre la douleur contenant des dérivés de morphine Réponses aux questions les plus fréquentes Introduction Quel objectif? Ce document constitue une aide dans la gestion au quotidien de votre douleur.
Plus en détailLa migraine chronique
La migraine chronique - Céphalées chroniques quotidiennes -Abus médicamenteux Avec le soutien des laboratoires Novartis Un concept en évolution 1ère classification IHS 1988 : pas de mention 1982: Mathew
Plus en détailLa dépression qui ne répond pas au traitement
La dépression qui ne répond pas au traitement Mise à j our Wilfrid Boisvert, MD Présenté dans le cadre de la conférence : À la rencontre de l humain, Collège québécois des médecins de famille, novembre
Plus en détailLE JEU EXCESSIF. Dr Christine Davidson M.Philippe Maso. Décembre 2011
LE JEU EXCESSIF Dr Christine Davidson M.Philippe Maso Décembre 2011 Qu est-ce qu un Joueur Occasionnel? Joue pour le plaisir Accepte de perdre l argent misé. Ne retourne pas pour se refaire. Joue selon
Plus en détailLes soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques
Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques France MARCHAND Nagi MIMASSI Psychologue clinicienne stagiaire doctorante Praticien hospitalier Consultation des douleurs chroniques
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailSoins Inrmiers aux brûlés
Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter
Plus en détailEfficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien
Société vaudoise de pharmacie, février 2008 Efficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien Olivier Bugnon, Professeur adjoint en Pharmacie communautaire, Ecole de Pharmacie Genève-Lausanne;
Plus en détailDOULEURS NEUROPATHIQUES. André Muller
DOULEURS NEUROPATHIQUES André Muller La douleur, ce n est pas ce que sent l individu, c est ce qu il fait de la sensation. Il fait avec ce qu il est. Il est ce que les autres et lui-même ont fait de lui.
Plus en détailAVEC LE SOUTIEN INSTITUTIONNEL DE
AVEC LE SOUTIEN INSTITUTIONNEL DE Rédaction Dr Françoise LAROCHE Rhumatologue, Centre d évaluation et de traitement de la douleur, Hôpital Saint-Antoine Réseau Lutter contre la douleur (LCD), Paris (75)
Plus en détailINNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro
INNOVATION De la rééducation au sport santé LPG crée le Neuro Physical Training! Bouger pour sa santé, une évidence pour les français? Bien que Faire du sport soit, chaque année, une des résolutions prioritaires
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailAGRES Hugues IADE RD LA ROCHE / YON
Douleurs neuropathiques périphériques de l adulte non diabétique : De l étiologie au rôle de l infirmier AGRES Hugues IADE RD LA ROCHE / YON La douleur neuropathique Définition [1] C est est une douleur
Plus en détailPrévalence des céphalées à travers l enquête décennale Santé 2002-2003
Ministère de l Emploi, de la cohésion sociale et du logement Ministère de la Santé et des Solidarités Près d une personne sur deux âgée de 15 ans et plus déclare être sujette à des maux de tête. Ceux-ci
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailJournal de la migraine
Sandoz Pharmaceuticals SA Hinterbergstrasse 24 6330 Cham 2 Tél. 041 748 85 85 Fax 041 748 85 86 www.generiques.ch a Novartis company 50001252/mars 2008 Journal de la migraine avec le questionnaire sur
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailUtilisation des patchs d opioïdes dans les douleurs chroniques chez les patients en rémission oncologique
mise au point Utilisation des patchs d opioïdes dans les douleurs chroniques chez les patients en rémission oncologique Rev Med Suisse 2015 ; 11 : 1385-9 L. Oberlé C. Luthy A. Pugliesi S. Pautex V. Piguet
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailLa fibromyalgie Mieux l'évaluer pour mieux la traiter
La fibromyalgie Mieux l'évaluer pour mieux la traiter Dr Patrick GINIES, Anesthésiste, Centre d'évaluation et de traitement de la douleur CHU MONTPELLIER Patient partenaire et soignant partenaire Le rôle
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD
PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD Douleurs du post-partum : Douleurs cicatricielles (déchirures ou épisio) Dyspareunies orificielles
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailles DOULEURS INEXPLIQUÉES
MIEUX VIVRE avec une DOULEUR les DOULEURS INEXPLIQUÉES Dr F. LAROCHE Dr E. SOYEUX Centre d évaluation et de traitement de la douleur Hôpital Saint-Antoine, Paris, Réseau Ville-Hôpital Lutter Contre la
Plus en détailSociété d étude et de traitement de la douleur. Ministère de la Santé et de la Protection sociale
Société d étude et de traitement de la douleur Ministère de la Santé et de la Protection sociale Avant-propos........................ 3 Introduction........................ 5 Pourquoi La Douleur en questions?................
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailmal de tête d installation subite 12/10 Éliminer une céphalée secondaire
LES CÉPHALÉES 4 e Forum Département de médecine familiale et de médecine d urgence St-Georges de Beauce le 29 mai 2009 Les céphalées: objectifs Appliquer un algorithme diagnostique des céphalées Reconnaître
Plus en détailLA MIGRAINE PRESENTATION. Qu est-ce que c est? Différents types : La migraine se rencontre avec ou sans aura : Fiche 13
Fiche 13 LA MIGRAINE PRESENTATION Qu est-ce que c est? La migraine est une maladie caractérisée par de fréquents accès de maux de tête, souvent violents et parfois accompagnés d'autres symptômes : nausées,
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailParmi ces recommandations, la cure thermale tient une place prépondérante dans le traitement et la prise en charge de la maladie.
CHAINE THERMALE DU SOLEIL - S.A.S au capital de 8.129.638,30 - SIREN 310 968 540 - APE 741 j - Directeur de la publication : Biche Barthélémy - Coordination édition : Anne Mascarou Photos : Chaîne Thermale
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailLa fibromyalgie. La maladie. l Qu est-ce que la fibromyalgie? l Combien de personnes sont atteintes de la maladie? l Qui peut en être atteint?
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la fibromyalgie.
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 31 janvier 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 31 janvier 2007 NEUPRO 2 mg/24 h dispositif transdermique Sachet-dose, B/30 : 377 209-7 Sachet-dose, B/90 : 570 143-4 NEUPRO 4 mg/24 h dispositif transdermique Sachet-dose,
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailDossier d information sur les bêtabloquants
Dossier d information sur les bêtabloquants Septembre 2014 I. Rappel sur les récepteurs bêta-adrénergiques Il y a actuellement 3 sortes de récepteurs bêta-adrénergiques connus: - Les récepteurs 1 qui sont
Plus en détailSUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault
ATELIER THEMATIQUE : APPLICATIONS POUR TABLETTES ET SMARTPHONES SUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault INTRODUCTION La santé mobile, c
Plus en détail