La kétamine à faible dose pour l analgésie après une chirurgie cardiaque allonge-t-elle le temps d'intubation?
|
|
- Dominique Cloutier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La kétamine à faible dose pour l analgésie après une chirurgie cardiaque allonge-t-elle le temps d'intubation? Geneviève Lalumière R4 - Anesthésiologie Institut de Cardiologie de Montréal Directrice de Recherche : Dr. Jennifer Cogan
2 Introduction La kétamine = antagoniste des récepteurs NMDA Une perfusion de kétamine à dose subanesthésique en post-opératoire Améliore le soulagement de la douleur en post-opératoire Diminue la consommation de narcotique Aucun effet secondaire significatif Effet sur l analgésie plus marqué en chirurgie majeure Bell, Cochrane Database Syst Rev Jan 25;(1):CD Extpert Opin. Pharmacother. (2010) 11(14) Can J Anesth (2011) 58:
3 Introduction ICM Perfusion de kétamine à dose mcg/kg/h Questionnement du personnel médical Est-ce que les patients qui reçoivent une perfusion de kétamine en post-opératoire demeurent intubés plus longtemps? Objectif de cette étude : Répondre à cette question clinique
4 Intubation prolongée Associée à un augmentation des coûts Augmentation de la durée du séjour aux SI et intra-hospitalier Augmentation du risque de complications respiratoires Diminution de la fonction ciliaire de l arbre trachéo-bronchique Augmentation des infections nosocomiales Augmentation de l atélectasie et shunt intra-pulmonaire Effets hémodynamiques Diminution du retour veineux et du débit cardiaque Ann Thorac Cardiovasc Surg Vol. 14, No. 4 (2008)
5 Objectifs Objectif primaire Déterminer le temps d intubation entre deux groupes de patients : 1) Groupe qui ont reçu une perfusion de kétamine à dose subanesthésique en post-opératoire (Kétamine +) et 2) Groupe qui n a pas reçu de perfusion de Kétamine (Kétamine -) Objectifs secondaires Consommation de narcotique pour 96h post-op L incidence d effets secondaires Durée de séjour aux SI et hospitalier
6 Méthodologie Approbation par un comité d éthique Étude rétrospective Données collectées de façon prospective Étude cas-témoins appariées: âge, sexe, type de chirurgie, année de la chirurgie Revue systémique dossier mars janvier 2011 Patients ayant reçu une perfusion de kétamine à dose subanesthésique en post-opératoire Sélection des patient à l aide base de données SAPO
7 Méthodologie Critères d inclusion Sternotomie médiane 18 ans Infusion de kétamine à la sortie de la salle d opération Critères d exclusion Protocole d extubation standard non suivi Administration de kétamine PO en postopératoire Greffe cardiaque Protocole d anesthésie intra-opératoire par l anesthésiste Protocole d extubation et d analgésie post-opératoire standard aux soins intensifs Analyse statistique logiciel SAS version 9.2
8 Résultats 124 patients 1 dossier non disponible 8 patients exclus 115 patients avec infusion de kétamine en postopératoire (Kétamine +) 115 patients sans infusion de kétamine en postopératoire (Kétamine - ) PAC Valve Valve + PAC Autres
9 Données des patients et de la chirurgie Kétamine + Kétamine - p Nombre de patients ,0 Patient de sexe masculin 73,0 (84) 73,0 (84) 1,0 Âge moyen (années) 63,1 63,0 0,925 IMC moyen (kg/ m 2 ) 29,0 28,3 0,437 ASA 4 (%) 45,2 44,7 0,942 Grade d intubation 3 (%) 2,7 7,5 0,072 Durée chirurgie (heure) 4,76 4,85 0,566 Durée CEC (heure) 1,38 1,38 0,984 Type de chirurgie (%) 1. Pontage 51,3 52,2 NS 2. Remplacement de valve 20,9 24,4 NS 3. Pontage + remplacement de valve 13,0 11,3 NS 4. Autres 14,8 12,2 NS
10 Durée de l intubation PO, durée du séjour aux SI et intra-hospitalier Dure de de lõintuba tion en postopratoire (heures) Ktamine + Ktamine - p 9,69 8,60 0,079 Dure du sjour aux SI (heures) 51,8 58 0,54 Dure du sjour intra-hospitalier (jours) 6,98 7,54 0,276
11 Quantitde Narcotique en MS Equiv IV (mg/kg/jour) Consommation de narcotique en post-opératoire 0,5 0,4 * * p < 0,05 0,3 0,2 0,1 * Ktamine + Ktamine - 0 Jour 0 Jour 1 Jour 2 Jour 3 Jour 4
12 Incidence d effets secondaires Total Effets secondaires Regard v ide * * p < 0,01 Hallucination Perturbation v isuelle Ktamine - Diminution FR Ktamine + Perte contact Agitation Somnolence * %
13 Discussion Aucune différence significative sur la durée de l intubation post-opératoire entre les deux groupes Trois facteurs ayant un impact significatif sur la durée de l intubation Âge Durée de la chirurgie Dose de la perfusion de kétamine en post-opératoire (mcg/kg/h)
14 Discussion Augmentation de l incidence de sédation dans le groupe kétamine + Possiblement lié à la kétamine elle-même Profil pharmacologique intra-opératoire différent entre les deux groupes Augmentation de la quantité narcotique reçue dans le groupe Kétamine + 25% en intra-opératoire 30% en post-opératoire immédiat, avant l extubation Augmentation consommation narcotiques en post-opératoire dans le groupe kétamine + Protocole de kétamine sous - optimal? Hyperalgésie?
15 Discussion Biais et limites de l étude Étude rétrospective avec les biais qui y sont inhérents Les patients n avaient pas le même profil de médicaments en intra-opératoire Biais d évaluation possible entre autre car le personnel infirmier semblait se montrer très réticent face à l administration de kétamine Plusieurs arrêt de perfusion n ont pas été clairement justifié Le protocole d analgésie post-opératoire non optimal pour évaluer les besoins en narcotiques Erreurs ayant été faites dans la collection des données ou ayant pu l influencer
16 Conclusion Cette étude nous a permis de répondre à notre question principale Impact sur la pratique anesthésique à l ICM: Arrêt de l utilisation systématique de kétamine en post-opératoire Réduction de la dose de narcotique utilisée en intra-opératoire Intérêt de faire une étude randomisée contrôlée pour évaluer l impact de la kétamine post-opératoire sur la douleur aiguë en chirurgie cardiaque
17 Références 1. Subramaniam K & al., Ketamine as Adjuvent Analgesic to Opio s: A Quantitative and Qualitative Systematic Review, Anesth Analg 2004; 99: Lahtinen & al. S(+)-ketamine as an analgesic adjunct reduces opioid consumption after cardiac surgery,anest Analg 2004; 99: Elia & al., Ketamine and postoperative pain - a quantitative systematic review of randomised trials, Pain Jan;113(1-2): Bell, Perioperative ketamine for acute postoperative pain, Cochrane Database Syst Rev Jan 25;(1):CD Nesher & al Ketamine spares morphine consumption after transthoracic lung and heart surgery without adverse hemodynamic effects. Pharmacological Research 58 (2008) Berti & al, Clinical Uses of Low-Dose Ketamine in Patient Undergoing surgery, Current Drug Target, 2009; 10: Nesher & al. Morphine with adjuvant ketamine vs higher dose of morphine alone for immediate postthoracotomy analgesia, CHEST 2009; 136: Cheng, Early Extubation after cardiac surgery decrease intensive care unit stay and cost, Journal of cardiothoracic ans Vascular Anesthesia, Vol 9, No4(August), 1995 pp Rashid, Analyzing the Outcome of Early versus Prolonged Extubation Following Cardiac Surgery, Ann Thorac Cardiovasc Surg Vol. 14, No4 (2008) 10. Laskowski, A systematic review of intravenous ketamine for postoperative analgesia, Can J Anesth (2011) 58:
18 Caractéristiques de la perfusion de kétamine Groupe Kétamine Durée moyenne de la perfusion de kétamine (heure) 26,8 Dose totale moyenne de la perfusion (mg) 169,9 Dose moyenne de la perfusion (mcg/kg/h) 86,2
19 Profil médicamenteux entre les deux groupes Mdication Ktamine Non-Ktamine p Equiv Morphine intra-op (mg) 299,0 248,3 < 0,001 Equiv Morphine intra-op (mcg/kg/h) 814,5 651,3 < 0,001 Ktamine intra-op (mg) 57,9 41,8 <0,001 Gabapentin pr-op (mg) 507,0 370,4 0,019 Actaminophne pr-op (mg) 791,3 469,0 < 0,001 Equiv Morphine post-op immd iat 1 (mg/kg) 0,39 0,29 0,005 1 Av ant lõextubation
20 Régression logistique Âge IMC ASA Grade d intubation Type de chirurgie Durée de la chirurgie Durée CEC Dose de narcotique intra-opératoire (mg/kg/h) Gabapentin pré-opératoire Dose de kétamine intra-opératoire (mcg/kg/h) Dose de magnésium intra-opératoire Dose de kétamine en perfusion (mcg/kg/h) Dose de narcotique reçu avant l extubation (mg/kg)
21 Conclusion Dans notre étude, une perfusion kétamine a dose subanesthésique n a pas augmenté de façon significative la durée de l intubation post-opératoire Aucun impact sur la durée du séjour aux SI et intrahospitalier L augmentation de l incidence de somnolence dans le groupe kétamine peut être attribué à la kétamine ellemême et à l augmentation de la quantité de narcotique reçue
22 Durée de l intubation selon la dose de la perfusion Ketamine Infusion doses (mcg/kg/h) 0 n = 115 ²100 n = n = 30 ³ 150 n = 8 Length of Intubation (hours) Aucune différence significative dans le temps d intubation selon la dose de kétmine IV en perfusion reçue en post-opératoire (en mg/kg/h)
23 Incidence d effets secondaires dans les deux groupes Incidence of Sides Effects % (n) Ketamine N = 115 Name of Groups Non-Ketamine N = 115 Drowsiness 15,65 (18) 4,35 (5) 0,007 Agitation 9,57 (11) 4,35 (5) 0,0635 Diminish contact 0,87 (1) 1,74 (2) 1 Decreased of respiratory frequency 0 0,87 (1) 1 Visuals disturbances 4,35 (5) 0 0,06 Empty stare 0,87 (1) 0 1 Hallucinations 10,43 (12) 6,09 (7) 0,338 Total of sides effects 33,91 (39) 13,91 (16) <0,001 p
24 Incidence d effets secondaires selon la dose de la perfusion de kétamine Incidence of Sides Effects % (n) Dose of Ketamine perfusion (mcg/kg/min) 0 N = 115 ²100 N = N = 30 ³ 150 N = 8 Drowsiness 4,4 (5) 14,3 (11) 16,7 (5) 25 (2) Ag itation 4,4 (5) 13,0 (10) 3,3 (1) 0 Lack of contact 1,7 (2) ,5 (1) Decreased of respiratory 0,9 (1) frequency Fixe regard 0 1,3 (1) 0 0 Visual disturbances Hallucinations 6,1 (7) 9,1 (7) 10,0 (3) 25,0 (2) Total # of sides effects 13,9 (16) 31,2 (24)** 30,0 (9) 75,0 (8)** ** Différence significative significative par rapport au groupe Non-Ketamine
25 Equivalent de morphine IV dans 3 sous groupes de patients
26 Consommation de Tylénol en mg/j chez groupes de patient Kétamine et Non-Kétamine Name of the Groups Tylenol dose mg/d Ketamine Non Ketamine p Tylenol dose Day Tylenol dose Day ,904 Tylenol dose Day ,11 Tylenol dose Day ,0218 Tylenol dose Day ,473 On observe une différence significative dans le consommation de Tylénol au jour 3 seulement
27 Consommation moyenne d AINS en mg/j dans les groupes de patient Kétamine et Non-Kétamine Name of Groups NSAI d ose mg/d Ketamine Non Ketamine p NSAID dose Day 0 24,3 27, NSAID dose Day 1 126, 1 135, 7 0,618 NSAID dose Day 2 107, 9 90,4 0,236 NSAID dose Day 3 58,26 45,2 0,324 NSAID dose Day 4 31,5 25,2 0,460 Aucune différence significative entre les deux groupes pour la consommation d AINS
28 Consommation moyenne de Gabapentin en mg/j dans le groupes de patient Kétamine et Non-Kétamine Name of Groups Gabapentin mg/d Ketamine Non Ketamine p Gabapentin dose Day 0 15,2 2,6 0,185 Gabapentin dose Day 1 48,3 20,9 0,237 Gabapentin dose Day 2 50,4 35,2 0,550 Gabapentin dose Day 3 50,9 36,5 0,562 Gabapentin dose Day 4 56,0 39,3 0,533
29 Consommation moyenne d Magnésium en mg/j dans le groupes de patient Kétamine et Non-Kétamine Name of Groups Magnesium dose mg/d Ketamine Non Ketamine p Magnesium dose Day 0 678, ,8 0,003 Magnesium dose Day ,0 1356,5 0,496 Magnesium dose Day , 0 0,830 Magnesium dose Day 3 834, 8 782, 6 0,830 Magnesium dose Day 4 463, 0 523, 4 0,749
30 Protocole d extubation ICM 1. Saignement < 100 ml/h pour > 2h consécutives 2. Ramsay < 4 3. Température centrale > 36 C 4. Décurisation confirmée TOF = 4/4 5. PaO 2 / FiO 2 > Grade d intubation I ou II 7. Radiologie pulmonaire vérifiée par médecine 8. Médecin avisé de la condition hémodynamique
31 Analgésie post-opératoire Morphine 0.2 mg/ml ml/h IV Bolus 2 mg IV q5 min. PRN pour maximum 10 mg Fentanyl 5 mcg/ml ml/h IV Bolus 25 mcg IV q5 min. PRN pour maximum 100 mcg Morphine PO via levine (5-10 mg) administré avant sevrage de la sédation
32 Analgésie post-extubation Morphine 5 ou10 mg PO q4h rég. X 48h Si douleur > 3/10 au pic d action Morphine 2 mg IV q5 min. PRN ad maximum 20 mg Si non soulagé après plus de 2 x 20 mg dans 24h avisez anesthésiologiste Par la suite Morphine PO PRN
33 Coanalgésie Acétaminophène Naprosyn Prégabaline
34 Douleur post-opératoire Conséquences Bien-être du patient $ Activation sympathique Augmentation mortalité/ morbidité Favorise état immunosuppression Réhabilitation du patient Risque de douleur chronique CRPS QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image.
35 Kétamine 2-(2-chlorophényl)-2-(methylamino)-cyclohexane Synthétisée par Stevens, 1962 Indications Anesthésie (dissociative) Analgésie Anti-inflammatoire Prévention/ traitement de la douleur chronique/ neuropathique Prévention délirium Prévention/ traitement dépression QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image.
36 Kétamine Mécanisme action Bloqueur non compétitif récepteurs NMDA Agit également sur de multiples autres récepteurs (σ,κ,u, ) Durée d action courte ou moyenne action Demi-vie 2-3 h Mélange racémique Enantiomère (S+) Analgésie plus puissante (2x) Moins d effets secondaires $$$ QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image.
37 Kétamine: mécanisme d action Kétamine = antagoniste NMDA NMDA = récepteur glutaminergique au niveau SNC État de repos: bloqué par Mg+ Anesthésie dissociative Dissociation entre le thalamus et le système lymique Action également au niveau récepteur opioïdes u et HCN1 (cellules cardiaques) QuickTime and a decompressor are needed to see this picture.
38 Mécanisme d action Stimulus douloureux soutenu Relâche de glutamate Activation récepteur NMDA Influx Ca++ et Na+ Augmentation de la décharge au niveau de la corne postérieure entraîne une augmentation de la perception douloureuse
39 Mécanisme d action Activation prolongée des récepteurs NMDA provoque un changement plastique au niveau de la moelle épinière entraînant une «uprégulation» des récepteurs NMDA et une sensibilisation au niveau centrale ce qui contribue au phénomène de chronification de la douleur
40 Mécanisme d action Kétamine permet de maintenir le récepteur NMDA à son état de repos et de diminuer la propagation des signaux pro-nociceptifs vers le cerveau
41 QuickTime and a decompressor are needed to see this picture. QuickTime and a decompressor are needed to see this picture.
42 QuickTime and a decompressor are needed to see this picture.
43 QuickTime and a decompressor are needed to see this picture.
44 Infusion? Conclusion des dernières méta-analyses tendent à préconiser l utilisation de perfusion continue Concentration «constante» de la molécule au niveau du récepteur NMDA Suzuki, Current Opinion in Anesthesiology 2009, 22: Chirurgie majeure nécessitant haute dose analgésique, effet sédatif additif de la kétamine nuit à la bonne utilisation ACP Quelle dose administrer? Tucker & al. BMC Anesthesiol Apr 2;5(1): RCT double-insu, 10 sujets sains Kétamine potentialiste l effet antinociceptif du fentanyl à la stimulation électrique sans augmentater l effet sédatif à des concentrations sériques ng/l
45 Kétamine à dose subanesthésique Plusieurs études Grande hétérogénéité Dose Mode d administration (Bolus, infusion, ACP, épidural, infiltration locale, patch ) Durée d administration Mode d évaluation de la douleur et des effets secondaires Aucun consensus bien défini quant à son utilisation
46 Méta - analyse Subramaniam & al., Anesth Analg 2004;99: Méta analyse études 51 groupes Classification qualité études selon échelle Oxford 1 à 5 Moyenne 4.1 pour études + et - Outcome Consommation opiacés ou autre analgésie «ajustement» Score de douleur à 24h post-opératoire Effets secondaires
47 Méta - analyse Subramaniam & al., Anesth Analg 2004;99: ACP morphine: kétamine, 6 études (ratio 1:1) 5 études : Aucun bénéfice sur score de douleur et consommation d opiacé 2 études avec effets secondaires notables Infusion continue (péri-opératoire) = Mode d utilisation à préconiser EVA 4 / 7 études positives ; 3 NS Dose mg/kg/h Pas d augmentation du risque d effet secondaire sauf à dose plus élevée (20mg/h)
48 Méta - analyse Subramaniam & al., Anesth Analg 2004;99: Infusion IV kétamine avec anesthésie épidurale (4 groupes ) Diminution des scores de douleur et consommation opiacés 2/4 groups Dose 0,5 mg/kg/h avec épidural morphine Pas d augmentation significative des effets secondaires Bolus unique de kétamine (11 groupes étudiés) Diminution des scores de douleurs (10/11 groupes) Diminution de narcotiques consommés 6/9 groupes) Dose bolus efficace mcg/kg Pas de d augmentation significative des effets secondaires
49 Méta - analyse Subramaniam & al., Anesth Analg 2004;99: Méta-analyse Grande hétérogénéité entre les études Score de qualité variable autant dans les études positives que négatives Patient à risque d hyperalgésie plus enclin à bénéficier de doses de kétamine La kétamine à dose subanesthésique Effet plus marqué dans les chirurgies majeures nécessitant de haute dose de narcotiques en post-opératoire Effet modéré sur la diminution des scores de douleurs (en moyenne moins de 10% à 24 h post-op)
50 Subramaniam & al., Anesth Analg 2004;99: QuickTime and a decompressor are needed to see this picture.
51 Méta - Analyse Elia & al, Pain Jan;113(1-2): études RCT avec placebo Tous les groupes d âges Doses de kétamine converties en mg/kg «Outcome» spécifiques évalués Consommation de narcotique à 24h Score de douleur post-op Présence d effets secondaires Dose moyenne de Kétamine 0.4 mg/kg
52 Méta - Analyse Elia & al, Pain Jan;113(1-2):61-70 Infusion IV de Kétamine durant AG chez adulte Diminution VAS jusqu à 48h (< 10%) Diminution des doses cumulatives de morphine à 24h post-op (27 à 47%) 1 étude semble montrer diminution de sensibilité douloureuse au niveau de la plais à 6 mois chez patient ayant reçu perfusion kétamine par rapport morphine seul Ketamine en ACP Autant d études positives que négatives Kétamine épidurale Grande variabilité des modes d administration, méta-analyse impossible
53 Elia & al., Pain Jan;113(1-2):61-70 Effets secondaires Dysphorie/ Hallucination 7.4%, (NNH 27) Cauchemars 2.4%, (NNH 62) Rêves plaisants 18.2% (NNH 12) Troubles visuels 6.2% (NNH 28) Diplopie/ Nystagmus
54 Méta - Analyse Bell, Cochrane Database Syst Rev Jan 25;(1):CD Revision des bases de données jusqu à études, 53 «groupes», RCT double-insu Bolus Kétamine pré ou post-opératoire Infusion péri et post-opératoire ACP Voie épidurale Outcomes Consommation opiacés ou autre forme analgésie concomitante à 48h Temps avant la première demande d analgésie de support Effets secondaires
55 Bell, Cochrane Database Syst Rev Jan 25;(1):CD Bolus pré-incisionnel mg/kg 8/13 groupe d études avec diminution besoin opiacés ou analgésie d appoint 30 à 50% de réduction VAS diminué 7/13 groupes à l études Études très hétérogènes, pas de méta-analyse possible Infusion ou bolus IV répété (ACP) en post opératoire (dose variable, mcg/kg/min) 9/ 13 réduction significative analgésie d appoint ou opiacés VAS diminué groupes à l étude 7/13
56 Méta - Analyse Bell, Cochrane Database Syst Rev Jan 25;(1):CD Aucune évidence de diminution de la consommation d analgésique ou de diminution significative des scores de douleur lorsque la kétamine est administrée via: ACP Voie épidurale Pas d augmentation significative des effets secondaires avec kétamine Réduction N/V
57 Infusion? Conclusion des dernières méta-analyses tendent à préconiser l utilisation de perfusion continue Concentration «constante» de la molécule au niveau du récepteur NMDA Suzuki, Current Opinion in Anesthesiology 2009, 22: Chirurgie majeure nécessitant haute dose analgésique, effet sédatif additif de la kétamine nuit à la bonne utilisation ACP Quelle dose administrer? Tucker & al. BMC Anesthesiol Apr 2;5(1): RCT double-insu, 10 sujets sains Kétamine potentialiste l effet antinociceptif du fentanyl à la stimulation électrique sans augmentater l effet sédatif à des concentrations sériques ng/l
58 Doses : Infusion Berti & al, Current Drug Target, 2009; 10: QuickTime and a decompressor are needed to see this picture.
59 Extubation Précoce Amélioration de la fonction ciliaire de l arbre trachéo-bronchique Diminution des infections nosocomiales Diminution du séjour au SI/ intra-hospitalier Associé à une diminution du coûts des soins Diminution de l atélectasie et shunt intrapulmonaire Diminution effets de de la ventilation mécanique sur l hémodynamie Amélioration du retour veineux et du débit cardiaque
60 Score de douleur Résultats des données SAPO EVA 0-10 Plus de la moitié des données incomplètes Aucune conclusion ne peut être tirée des données recensées
61 Patients Exclus Saignement post-opératoire ayant retardé l extubation et/ou nécessité un retour en salle d opération 4 patients AVC post-opératoire 3 patients Sédation prolongée (plusieurs jours) malgré arrêt de la kétamine et des narcotiques 1 patient
62 Can J Anesth (2011) 58: Revue de la littérature RCT double insu administration de kétamine IV Montre que la kétamine IV Diminue la quantité d opiacés consommés à 24 h postopératoire Prolonge le temps avant la première demande d analgésie Effet plus marqué en chirurgie thoracique, chirurgie abdominale haute et orthopédique majeure
63 QuickTime and a decompressor are needed to see this picture.
64 Plan Introduction Méthode Résultats Discussion Conclusion
65 Analyse statistique Données quantitatives (ordinale continue) Test égalité des variances (F-Folded test) Équivalente : Student T Non équivalente : Welch s T test Donnés multimodales et binaires (nominale) Test de chi-carré Fisher s exact test Régression logistique et «stepwise» afin d identifier facteurs ayant pu influencer le temps d intubation
66 Étude rétrospective Facteurs confondants Biais de sélection Biais d information
67 Étude cas-témoins
68 Discussion: temps d intubation Lahtinen 2004, perfusion de S(+)-Kétamine post-chirurgie cardiaque Pas d augmentation du temps intubation (objectif secondaire) (341 vs 347 min.) Tendance vers un temps d intubation augmenté dans groupe avec Kétamine Non significatif N a pas sembler avoir un impact clinique Trois facteurs ayant un impact significatif sur la durée de l intubation Âge Durée de la chirurgie Dose de la perfusion de kétamine en post-opératoire (mcg/kg/h)
69 Discussion Consommation narcotique PO Augmentation de la consommation de narcotiques PO Doses de kétamine ont pu être sous optimales Hyperalgésie secondaire à une dose plus élevée de narcotique en post-opératoire pourrait être la cause d un besoin en narcotique augmenté dans le groupe kétamine Protocole d analgésie PO
70 Tableau Équivalence morphine Liste des mdicame nts narcotiques CODE DRUG NAME ROUTE TYPE MG AMOUNT CONVERSION FACTOR Morphine IV 1 1 mg 1 to 1 Morphine S/C 1 1 mg 1 to 1 Morphine PO 1 2 mg Divide by 2 Morphine IM 1 1mg 1 to 1 Demerol PO 1 30 mg Divide by 30 Demerol IM mg Divide by 7.5 Demerol IV 1 4 mg Divide by 4 Fentanyl IV 1 10 mcg Divide by 10 Empracet (Acetaminophen plus Codeine) PO 1 20 mg Divide by 20 Oxycodone (OxyContin, Supeudol) PO 1 2 mg Divide by 2 Hydromorphone(Dilaudid) PO 1.5 mg Multiply by 2 Hydromorphone(Dilaudid) S/C 1.2 mg Multiply by 5 Hydromorphone(Dilaudid) IM 1.2 mg Multiply by 5 Hydromorphone(Dilaudid) IV 1.2 mg Multiply by 5 Codeine PO 1 20 mg Divide by 20 Codeine S/C 1 13 mg Divide by 13 Sufentanyl IV 1 1 mcg 1 to 1
71 Poster SCA - Mai 2011; CAS - Juin 2011 QuickTime and a decompressor are needed to see this picture.
72 QuickTime and a decompressor are needed to see this picture.
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailLa ventilation non invasive aux soins intensifs
La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailMédicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés
Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Developé pour le Centre
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailSédation et analgésie aux soins intensifs ou comment calmer intensivement!
L E S S O I N S I N T E N S I F S Sédation et analgésie aux soins intensifs ou comment calmer intensivement! par Jocelyn Brunet 3 Vous êtes de garde aux soins intensifs d un hôpital régional. M me Agitée,
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailNAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc.
NAVA pourquoi pas Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. 7e Symposium en thérapie respiratoire HSCM 1 décembre 2012 Le mode NAVA o Neurally Adjusted Ventilatory Assist Neuro-Asservissement
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailAnesthésiologie CONFÉRENCES SCIENTIFIQUES
2007 Volume 6, numéro 1 Anesthésiologie CONFÉRENCES SCIENTIFIQUES MD TEL QUE PRÉSENTÉ DANS LE DÉPARTEMENT D ANESTHÉSIOLOGIE, FACULTÉ DE MÉDECINE, UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL Douleurs aiguës et chroniques après
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailLe donneur en vue d une transplantation pulmonaire
Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire Nicola Santelmo Chirurgie Thoracique Groupe de Transplantation Pulmonaire de Strasbourg Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Coordinateur: Pr Gilbert
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailDU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE
DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,
Plus en détailquelques points essentiels
actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile
Plus en détailDES NOUVELLES DU COMITÉ DE PHARMACOLOGIE
Le mardi 30 octobre 2012 Bulletin no 1 / 2012-2013 DES NOUVELLES DU COMITÉ DE PHARMACOLOGIE La première réunion du Comité de pharmacologie de l année 2012-2013 a eu lieu le 30 octobre 2012. RÉSUMÉ EN QUELQUES
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailInformations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md )
Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Préambule Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailAvis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 avril 2014 BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA DCI Code ATC (2012) Motif de l
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailINDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT
INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT I. PROMOTEUR Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé. II. SOURCE Recommandations de pratique clinique de 1997 sur les «Indications de l adénoïdectomie
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailUne étude randomisée contrôlée
L application d une anesthésie locale topique au triage permet de réduire le temps de traitement d une lacération chez les enfants Une étude randomisée contrôlée L application d une anesthésie locale topique
Plus en détailActualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailGUIDE D'ENSEIGNEMENT PRÉOPÉRATOIRE Pour la clientèle admise avant l'opération
GUIDE D'ENSEIGNEMENT PRÉOPÉRATOIRE Pour la clientèle admise avant l'opération Voici un petit guide qui vous renseignera sur tous les éléments à connaître concernant votre chirurgie. AVANT L OPÉRATION Les
Plus en détailLa gestion des risques en hygiène hospitalière
La gestion des risques en hygiène hospitalière Rappels des fondamentaux Dr J-L. Quenon Comité de Coordination de l Évaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine Séminaire de la SF2H, 19 novembre 2013,
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détailMigraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?
Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailEn considérant que l effet anticoagulant du dabigatran débute dans les 2 heures suivant la prise du médicament :
Informations sur le dabigatran (Pradaxa md ) Préambule : Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du dabigatran (Pradaxa md ). L
Plus en détailÉquivalence et Non-infériorité
Équivalence et Non-infériorité Éléments d Introduction Lionel RIOU FRANÇA INSERM U669 Mars 2009 Essais cliniques de supériorité Exemple d Introduction Données tirées de Brinkhaus B et al. Arch Intern Med.
Plus en détailEvidence-based medicine en français
Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailD-52589-2012. Gardez votre objectif en vue DRÄGER SMARTPILOT VIEW
D-52589-2012 Gardez votre objectif en vue DRÄGER SMARTPILOT VIEW 02 DRÄGER SMARTPILOT VIEW Passer des données aux décisions Comme une image peut en dire bien plus que mille mots, une nouvelle technologie
Plus en détailDominique MONNIN Anesthésiste Réanimateur Institut BERGONIE CRLCC BORDEAUX
Dominique MONNIN Anesthésiste Réanimateur Institut BERGONIE CRLCC BORDEAUX Douleurs rebelles en Soins palliatifs Fréquentes Souvent provoquées par des cancers Complexes associant : origine nociceptive
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailLA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!
LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles
Plus en détailCéphalée post-rachis: Mythes et Réalités. Dr Maxime Côté CHUL-CHUQ
Céphalée post-rachis: Mythes et Réalités Dr Maxime Côté CHUL-CHUQ Objectifs Connaître mécanisme et les moyens de prévenir la CPPD Connaitre les différents traitements existants Devenir l expert en CPPD
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailMédicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie
Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie Adapté d un article approuvé de l Alliance canadienne des organismes de réglementation de la physiothérapie (2012) Le CPTNB
Plus en détailSOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775
SOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775 Hôpital Cochin - Service Médecine Interne du Pr Le Jeunne 27, rue du Faubourg Saint Jacques - 75014 PARIS
Plus en détailSommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010
Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 23 mai 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 23 mai 2012 SEGLOR 5 mg, gélule B/30 (CIP: 321 899-8) SEGLOR LYOC 5 mg, lyophilisat oral B/30 (CIP: 334 062-4) Laboratoire UCB PHARMA dihydroergotamine (mésilate de)
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détailLa chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE
La chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE OCDE OCDE : Organisation de Coopération et de Développement Economique 30 pays membres : Allemagne, Australie, Autriche, Belgique, Canada,, Communauté Européenne,
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailLe Centre de documentation du C.H.T. Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa.
Le Centre de documentation du C.H.T Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa Horaires : Ouvert du lundi au Jeudi : 8h00-16h00 et le vendredi : 8h00-15h00 Pour
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailPROGRAMME (Susceptible de modifications)
Page 1 sur 8 PROGRAMME (Susceptible de modifications) Partie 1 : Méthodes des revues systématiques Mercredi 29 mai 2013 Introduction, présentation du cours et des participants Rappel des principes et des
Plus en détailQu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA)
Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA) Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? La fibrillation auriculaire (FA) est le trouble du rythme le plus répandu. Certains signaux du cœur deviennent
Plus en détail«La Revue de presse»
«La Revue de presse» Nerf Sciatique du rat Prochaine biblio INTERNE! Anesth Analg. 2010 Nov;111(5):1308-15. STAFF ALR Nord ALR Anticoagulants et Antiagrégants plaquettaires Guidelines Regional
Plus en détailSoins Inrmiers aux brûlés
Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailDoit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?
Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de
Plus en détailPrésenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie
Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détailAprès l intervention des varices. Informations et conseils sur les suites du traitement. Réponses aux questions fréquemment posées
Brochure à l attention du patient Après l intervention des varices Informations et conseils sur les suites du traitement Réponses aux questions fréquemment posées Les suites de l intervention En résumé
Plus en détailLes défibrillateurs cardiaques implantables
Les défibrillateurs cardiaques implantables Etudes d'évaluation économique Etudes d'évaluation technologique Avant-propos Cette étude a été réalisée, à la demande de la Caisse Nationale de l'assurance
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailDouleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au
Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement
Plus en détailNouveautés dans Asthme & MPOC
Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailDOULEUR et SOINS INFIRMIERS
DOULEUR et SOINS INFIRMIERS Certificate of Advanced Studies (CAS) - 2015 Agir en tant que professionnel ressource dans le domaine de la prise en charge de la personne souffrant de douleur aiguë ou chronique,
Plus en détailSTAFF ALR. 21 février 2013
STAFF ALR 21 février 2013 «La Revue de presse» 1 2 3 4 1 2 3 Approche du nerf suprascapulaire Au niveau du bloc supraclaviculaire Yan Buntinx «La Revue de presse» SUITE CWI: Bolus :10ML Débit :10mL/h
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailLa buprénorphine transdermique L état actuel dans les domaines clinique et pharmacologique
La buprénorphine transdermique L état actuel dans les domaines clinique et pharmacologique M.E. Faymonville (1), D. Libbrecht (2) RÉSUMÉ : Nos connaissances sur les mécanismes physiopathologiques des douleurs
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détail