Thermodynamique et diffusion

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Thermodynamique et diffusion"

Transcription

1 Colles semaine 6 Sujet A D Arsonval, PSI Thermodynamique et diffusion Question de cours Établir l équation de la diffusion thermique à une dimension radiale sphérique. Exercice 1 : Circuit secondaire d une centrale nucléaire REP [adapté Centrale MP 2016] La France compte 19 centrales nucléaires en exploitation, dans lesquelles tous les réacteurs (58 au total) sont des réacteurs à eau pressurisée REP. Actuellement, ces installations fournissent près de 80 % de l électricité produite en France. Le cycle thermodynamique décrit par l eau du circuit secondaire est un cycle ditherme moteur où la turbine d un alternateur est mise en mouvement. L eau liquide sera supposée incompressible et de capacité thermique massique isobare supposée constante. Le tableau en fin d énoncé donne diverses données thermodynamiques relatives à l équilibre liquide vapeur de l eau. L eau du circuit secondaire suit le cycle thermodynamique de Rankine, fait des transformations suivantes, représentées figure 1 : de A à B : dans le générateur de vapeur, échauffement isobare du liquide à la pression P 2 = 55 bar jusqu à un état de liquide saturant (état A ), puis vaporisation totale isobare jusqu à un état de vapeur saturante sèche (état B) ; de B à C : détente adiabatique réversible dans la turbine, de la pression P 2 à la pression P 1 = 43 mbar ; en C, le fluide est diphasé ; de C à D : liquéfaction totale isobare dans le condenseur, jusqu à un état de liquide saturant ; de D à A : compression adiabatique réversible, dans la pompe d alimentation, de la pression P 1 à la pression P 2, du liquide saturant sortant du condenseur. On négligera le travail consommé par cette pompe devant les autres énergies mises en jeu, ce qui permet de considérer T A T D. Tout au long de l exercice, on négligera les variations d énergie cinétique et potentielle dans les bilans énergétiques. B Turbine Axe moteur GV A Pompe D condenseur C Figure 1 Cycle de Rankine. 1 - Représenter dans le diagramme de Clapeyron (P, v) l allure de la courbe de saturation de l eau, ainsi que les isothermes T B, T D et T cr, cette dernière température étant celle du point critique de l eau. Préciser les domaines du liquide, de la vapeur, de la vapeur saturante. Représenter sur ce même diagramme l allure du cycle décrit par l eau du circuit secondaire. Indiquer le sens de parcours du cycle et placer les points A, A, B, C et D. 2 - D après l extrait de table thermodynamique donné en annexe, quelles sont les valeurs des températures, des enthalpies massiques et des entropies massiques aux points A, B et D? On pourra donner les valeurs sous forme de tableau. 3 - En fin d énoncé figure le diagramme enthalpique (P, h) de l eau. Placer, avec soin et à l échelle, les points A, B, C, D du cycle. On explicitera la méthode. 4 - Exprimer le travail massique w BC reçu par l eau dans la turbine. Donner sa valeur numérique, en s aidant du diagramme enthalpique. 5 - Exprimer le transfert thermique massique q AA reçu par l eau liquide quand elle passe de manière isobare de la 1/11 Étienne Thibierge, 6 novembre 2017,

2 Colles semaine 6, sujet A : Thermodynamique et diffusion D Arsonval, PSI température T A à la température T A dans le générateur de vapeur. Donner sa valeur numérique : on considérera T A T D. 6 - Exprimer le transfert thermique massique q A B reçu par l eau quand elle se vaporise complètement dans le générateur de vapeur. Donner sa valeur numérique. 7 - Calculer alors le rendement de Rankine de l installation. Comparer au rendement de Carnot et commenter. 8 - Sachant qu un réacteur REP fournit à l eau du circuit secondaire, via le générateur de vapeur, une puissance thermique P th = 2785 MW, que vaut le rendement thermodynamique réel de l installation? Comparer au rendement de Rankine et commenter. 9 - Dans quel état se trouve l eau à la fin de la détente de la turbine? Donner le titre massique en vapeur à l aide du diagramme enthalpique. En quoi est-ce un inconvénient pour les parties mobiles de la turbine? Annexe : Extrait de table thermodynamique relatif à l eau θ P sat v L h L s L v V h V s V ( C) (bar) (m 3 kg 1 ) (kj kg 1 ) (J K 1 kg 1 ) (m 3 kg 1 ) (kj kg 1 ) (J K 1 kg 1 ) 30 0,043 1, ,22 0, , ,92 8, , ,18 2,1395 0, ,84 6, , ,10 2,9853 0, ,46 5,9226 L indice L indique les propriétés du liquide saturant pur et V celles de la vapeur saturante sèche. v volume massique ; θ température ; h enthalpie massique ; P sat pression de vapeur saturante ; s entropie massique. Capacité thermique massique isobare de l eau liquide : c = 4,18 kj K 1 kg 1. i Éléments de correction de l exercice 1 : 1 Le diagramme est représenté figure 3. L allure des isothermes dans le diagramme de Clapeyron est connue, elles sont donc tracées grâce à la connaissance des pressions. On place ensuite le point A (sur la courbe de saturation) puis le point B grâce au fait que A B est isobare. Le point C est placé approximativement dans le domaine diphasé connaissant sa pression, et on en déduit la position du point D le long de l isobare et sur la courbe de saturation. On note enfin que A se trouve sur l isotherme T D d après l hypothèse de l énoncé. 2 Au point A, on a du liquide saturant sous pression P A = P sat = 55 bar, d où on déduit par lecture de la table T A = 270 C h A = 1190,10 kj kg 1 s A = 2,9853 J K 1 kg 1. Au point B, le fluide est dans l état de vapeur saturante sous la même pression. Il faut donc lire la colonne relative à la vapeur de la même ligne de la table que précédemment, d où T B = 270 C h B = 2788,46 kj kg 1 s B = 5,9226 J K 1 kg 1. Enfin, au point D, le fluide est dans l état de liquide saturant sous pression 43 mbar égale à la pression de vapeur saturante, ce qui donne T D = 30 C h D = 125,22 kj kg 1 s D = 0,4348 J K 1 kg 1. 3 Voir figure 4. Les points A, B et D se placent directement à partir des valeurs de pression et enthalpie massique lues à la question précédente, ou tout simplement à partir des valeurs de pression et en les plaçant sur la courbe de saturation. Pour placer le point C, on utilise le fait que B C est une adiabatique réversible et C D une isobare : C se trouve à l intersection de l isentrope passant par B et de l isobare passant par D. Enfin, on sait que A B est une isobare et que D A est une isenthalpique (cf. question 1), d où on déduit la position de A, à l intersection de l isobare (horizontale) passant par B et de l isenthalpe (verticale) passant par D. Au cas où cet argument échapperait au candidat, il est indiqué question 5. 4 L évolution dans la turbine est par hypothèse adiabatique, d où h C h B = w BC + 0 soit w BC = 990 kj kg 1. 5 Le générateur de vapeur n apporte aucun travail utile au fluide, donc h A h A = 0 + q AA = c P (T A T A ) d où q AA = 1000 kj kg 1. 2/11 Étienne Thibierge, 6 novembre 2017,

3 Colles semaine 6, sujet A : Thermodynamique et diffusion D Arsonval, PSI Figure 2 Diagramme enthalpique de l eau. Les températures sont exprimées en degrés Celsius. 3/11 Étienne Thibierge, 6 novembre 2017,

4 Colles semaine 6, sujet A : Thermodynamique et diffusion D Arsonval, PSI Figure 3 Cycle de Rankine représenté dans le diagramme de Clapeyron. Figure 4 Cycles de Rankine et de Rankine étagé représentés dans le diagramme des frigoristes. Le plus simple est d utiliser la lecture du diagramme, mais la formulation de la question laisse penser que les concepteurs du sujet souhaitent exploiter la relation avec les températures. En plus, cela permet d éviter toute erreur éventuelle de placement du point A sur le diagramme. 6 L évolution A B a toujours lieu dans le générateur de vapeur et sans travail, donc exactement comme à la question précédente, h B h A = 0 + q A B d où q A B = 1600 kj kg 1. Attention cette fois l eau est diphasée, il n est donc pas question d utiliser une capacité thermique. Pour exprimer différemment ce transfert thermique, c est une enthalpie de changement d état (non donnée ici) qu il faudrait faire intervenir. 7 Le rendement du cycle de Rankine s exprime à partir du travail massique w turb cédé à la turbine et du transfert thermique massique q GV apporté par le générateur de vapeur sous la forme η Rankine = w turb w BC q GV d où η Rankine = = 0,40. q AA + q A B Le rendement de Carnot d un cycle fonctionnant entre les mêmes sources thermiques, de températures respec- 4/11 Étienne Thibierge, 6 novembre 2017,

5 Colles semaine 6, sujet A : Thermodynamique et diffusion D Arsonval, PSI tives T ch = T B = 270 C et T fr = T D = 30 C, serait η Carnot = 1 T fr T ch = 0,44. Conformément au second principe, le rendement du cycle de Rankine est inférieur au rendement de Carnot, mais il demeure relativement proche, signe que le cycle est correctement optimisé. Attention toutefois, la modélisation des transformations de compression et détente comme étant réversibles surestime ce rendement. 8 Enfin, le rendement réel de la centrale vaut η réel = P e P th = 0,32 ce qui est nettement inférieur au rendement de Rankine. La modélisation du cycle est à remettre en cause, et même si elles sont faibles, il ne faut pas oublier non plus les pertes lors de la conversion d énergie mécanique en énergie électrique par l alternateur, qui diminuent le rendement. 9 À la fin de la détente, l état de l eau se trouve décrit par le point C : il s agit d un mélange diphasé liquide-vapeur. Comme le point C se trouve un peu à gauche de l isotitre x = 0,70, on en déduit x C = 0,69. Le problème pour la turbine de la présence d eau liquide est un risque de corrosion des parties métalliques, qui limiterait sa durée de vie. 5/11 Étienne Thibierge, 6 novembre 2017,

6 Colles semaine 6, sujet A : Thermodynamique et diffusion D Arsonval, PSI /11 Étienne Thibierge, 6 novembre 2017,

7 Colles semaine 6 Sujet B D Arsonval, PSI Thermodynamique et diffusion Question de cours Établir l équation de la diffusion thermique à une dimension cartésienne. Exercice 1 : Température du corps humain en plongée L objectif de l exercice est de modéliser les processus de transfert thermique entre le corps d un plongeur et l eau. On note T (t) la température interne du plongeur à l instant t, supposée uniforme, et T 0 = 12 C la température de l eau, supposée constante. On note S 2 m 2 l aire totale du plongeur en contact avec l eau. L ensemble de la peau est modélisée par une unique résistance thermique R peau = K W 1. Le plongeur est équipé d une combinaison en néoprène d épaisseur e = 5 mm. Le contact thermique entre la peau du plongeur et l intérieur de la combinaison est supposé parfait. Le néoprène est une mousse remplie de bulles de diazote. Lorsque la combinaison est gorgée d eau, sa conductivité thermique est de l ordre de λ combi = W m 1 K 1. On note R combi la résistance thermique associée. Les transferts thermiques entre la paroi externe de la combinaison et l eau sont modélisés par la loi de Newton donnant le courant thermique conducto-convectif sortant, # j cc = h(t paroi T 0 ) # n, où # n est la normale unitaire sortante et h = W m 2 K 1 un paramètre phénoménologique. On note R cc la résistance thermique conducto-convective. 1 - Exprimer R cc en fonction de h et S. 2 - Proposer le schéma électrique équivalent permettant de déterminer la résistance thermique totale R tot entre l intérieur du corps du plongeur et l eau. En déduire l expression du flux thermique total Φ tot en fonction de T, T 0 et R tot. 3 - Estimer les valeurs numériques de R combi et R cc. Conclure sur une expression approchée de R tot. Le corps humain se réchauffe grâce à la dégradation des molécules d ATP. On note P ATP la puissance associée à cette production interne et C la capacité thermique du plongeur. 4 - Montrer que la température T du plongeur au cours du temps est solution de l équation différentielle dt dt + T τ = 1 τ (T 0 + R tot P ATP ) avec τ = CR tot. 5 - Résoudre cette équation en supposant constante P ATP = 1, W. On introduira T c = 37 C la température du corps humain hors de l eau. 6 - Le plongeur est en hypothermie lorsque sa température devient inférieure à 35 C. Déterminer le temps maximal que peut durer une plongée sans danger pour un plongeur de 75 kg de capacité thermique massique c = J K 1 kg 1. Éléments de correction de l exercice 1 : 1 Φ cc = hs(t paroi T 0 ) donc R cc = 1/hS. 2 Association série des trois : R tot = R peau + R combi + R cc donc Φ tot = (T T 0 )/R tot. 3 R combi = e λs K W 1 et R cc = 2, K W 1 donc R tot R peau + R combi 4 On se place dans l ARQS (rappel : les résistances thermiques ne sont valables qu en régime continu). Premier principe pendant dt appliqué au plongeur : dh = Φ tot dt + P ATP dt d où dh dt = T T 0 R tot + P ATP 7/11 Étienne Thibierge, 6 novembre 2017,

8 Colles semaine 6, sujet B : Thermodynamique et diffusion D Arsonval, PSI Or dh = C [T (t + dt) T (t)] d où on arrive au résultat dt dt + T τ = 1 τ (T 0 + R tot P ATP ) avec τ = CR tot. 5 Solution particulière T = T 0 + R tot P ATP, solution homogène A e t/τ, et T (0) = T c d où on trouve T (t) = T + [T c T ] e t/τ 6 Durée maximale t max telle que T ( t max ) = T hypo, qui vaut t max = τ ln T c T T hypo T = s = 3 h 8/11 Étienne Thibierge, 6 novembre 2017,

9 Colles semaine 6 Sujet C D Arsonval, PSI Thermodynamique et diffusion Question de cours Établir l équation de la diffusion thermique à une dimension radiale cylindrique. Exercice 1 : Diffusion dans un matériau neutrophage matériau irradié cercueil neutrophage Pour éviter tout danger d irradiation, il est nécessaire d enrober certains matériaux radioactifs d une couche faite d un matériau à même d absorber les neutrons : on parle de cercueil neutrophage. On admet que la diffusion des neutrons émis par le matériau irradié S dans le matériau neutrophage est équivalente à une diffusion de Fick unidimensionnelle, dans un barreau de longueur L et de section S sans fuite de neutron par les surfaces latérales du barreau. On note n(x, t) la densité x volumique de neutrons mobiles à l abscisse x et à l instant t, et j(x, t) la 0 L densité de courant de neutrons orientée dans le sens des x croissants. Un matériau irradié, placé en x < 0, envoie dans le matériau neutrophage un flux surfacique J 0 homogène et constant de neutrons. On considère que le neutrophage absorbe kn(x, t) neutrons par unité de temps et de volume. 1 - Montrer que n(x, t) obéit à l équation n t = D 2 n x 2 kn. 2 - Que devient cette équation en régime permanent? Est-ce celle d un oscillateur harmonique? Montrer qu une solution de la forme n(x) = N 0 e αx convient pour α à préciser. 3 - Déterminer, en régime permanent, l expression de n(x) en fonction de J 0, k et D. 4 - En déduire quelle doit être l épaisseur minimale L min du neutrophage pour que 99 % des neutrons y soient absorbés. Même question pour que le flux de neutrons soit réduit de 99 %. Éléments de correction de l exercice 1 : 1 Bilan de matière sur une tranche d épaisseur dx : Développement limité et simplification : n(x, t + dt) S dx n(x, t) S dx = +j(x, t) S dt j(x + dx, t) S dt knsdxdt Loi de Fick à une dimension conduit au résultat. 2 En régime permanent, n t = j x kn D d2 n dx 2 kn = 0 Pas OH car signe. SOlution exponentielle convient si α = k/d. 3 D après la loi de Fick, j(x) = D dn dx = αdn 0 e αx = kdn 0 e αx. Condition aux limites : j(0) = J 0 = kdn 0 ce qui donne N 0. Finalement, n(x) = J 0 kd e αx. 4 Comme il y a proportionnalité entre n et j, c est la même réponse pour les deux questions : j(x) = J 0 /100 se résout en e αx = 1 ln 100 soit αx = ln(100) d où L min = 100 α. 9/11 Étienne Thibierge, 6 novembre 2017,

10 Colles semaine 6, sujet C : Thermodynamique et diffusion D Arsonval, PSI /11 Étienne Thibierge, 6 novembre 2017,

11 Colles semaine 6 Sujet D D Arsonval, PSI Thermodynamique et diffusion Pour aborder un exercice de type résolution de problème, il peut notamment être utile de faire un schéma modèle, d identifier et nommer les grandeurs pertinentes, d utiliser l analyse dimensionnelle, de proposer des hypothèses simplificatrices, de décomposer le problème en des sous-problèmes simples, etc. Le candidat peut également être amené à proposer des valeurs numériques raisonnables pour les grandeurs manquantes... et toutes les valeurs données ne sont pas forcément utiles. Le tout est évidemment à adapter à la situation proposée! Exercice 1 : Money, money, money Vous achetez six bouteilles de 1 L de jus de fruit que vous rangez dans votre réfrigérateur. Une heure plus tard, elles sont à la température du frigo. Combien vous coûte ce refroidissement? Données : l efficacité thermodynamique du réfrigérateur vaut 70 % de l efficacité de Carnot ; l isolation imparfaite du réfrigérateur se traduit par des fuites thermiques de puissance 10 W ; capacité thermique massique de l eau liquide : 4,2 kj K 1 kg 1 ; tarifs EDF : 1 kwh coûte 0,15 e. Éléments de correction de l exercice 1 : Supposons que les bouteilles de jus de fruit sont à température initiale T I = 25 C, et que la température finale (celle du frigo) vaut T F = 5 C. Commençons par calculer l énergie nécessaire au refroidissement. Système : contenu du frigo. Bilan des échanges énergétiques : transfert thermique reçu de la part du fluide frigorigène : Q frigo < 0 que l on cherche à déterminer ; transfert thermique de fuite : Q fuite = +P fuite t > 0 avec P fuite = 10 W et t = 1 h = 3, s (attention au signe, compte tenu de la différence de température, c est le contenu du frigo qui reçoit effectivement de l énergie). Variation d énergie interne : par additivité, U = U jus, et on assimile le jus de fruit à de l eau du point de vue thermique. U }{{} = 1er ppe Q frigo + Q fuite }{{} = m jus c eau (T F T I ) modèle où m jus = 6 kg. On en déduit Q frigo = m jus c eau (T F T I ) P fuite t = 5, J. Calculons maintenant le coût en énergie électrique du refroidissement. On fait l hypothèse que l énergie électrique fournie au frigo ne sert qu à faire tourner le moteur. Par définition de l efficacité d un frigo, e = Q froid /W où les échanges énergétiques sont ceux du fluide. Ici, on a donc e = Q frigo /E élec. Par ailleurs, l efficacité de Carnot d un frigo vaut e C = T frigo /(T ext T frigo ). En combinant, on en déduit e = Q frigo T frigo = 0,7 10 d où E élec = Q frigo = J. E élec T ext T frigo e Enfin, calculons le prix en euros de cette énergie, sachant que 1 kwh = W 3, s = 3, J. On trouve p = J 3, ,15 e = 0,2 centime. J 11/11 Étienne Thibierge, 6 novembre 2017,

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse

Plus en détail

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie

Plus en détail

Premier principe : bilans d énergie

Premier principe : bilans d énergie MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie

Plus en détail

COURS DE THERMODYNAMIQUE

COURS DE THERMODYNAMIQUE I.U.T. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie Thermique et énergie COURS DE THERMODYNAMIQUE eme Semestre Olivier PERROT 010-011 1 Avertissement : Ce cours de thermodynamique présente quelques applications

Plus en détail

Physique : Thermodynamique

Physique : Thermodynamique Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET SESSION 2010 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel

Plus en détail

1 Thermodynamique: première loi

1 Thermodynamique: première loi 1 hermodynamique: première loi 1.1 Énoncé L énergie d un système isolé est constante, L énergie de l univers est constante, de univers = de syst + de env. = 0 1 L énergie d un système est une fonction

Plus en détail

À propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire

À propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet

Plus en détail

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

Commun à tous les candidats

Commun à tous les candidats EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle

Plus en détail

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,

Plus en détail

ALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX

ALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX ALFÉA HYBRID BAS NOX POMPE À CHALEUR HYBRIDE AVEC APPOINT FIOUL INTÉGRÉ HAUTE TEMPÉRATURE 80 C DÉPART D EAU JUSQU À 60 C EN THERMODYNAMIQUE SOLUTION RÉNOVATION EN REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRE FAITES CONNAISSANCE

Plus en détail

Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique

Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique 43 4.1. Evolutions réversibles et irréversibles 4.1.1. Exemples 4.1.1.1. Exemple 1 Reprenons l exemple 1 du chapitre précédent. Une masse est placée

Plus en détail

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................

Plus en détail

Optimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique

Optimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique Optimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique Année 2009-2010 2008-09 Stéphane LE PERSON Maître de Conférences Université Joseph Fourier Jean-Paul THIBAULT LEGI UMR

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

ÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009

ÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement

Plus en détail

Chapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES

Chapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES Chapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES Entropie de mélange. - Evolution adiabatique. - Autres évolutions réversibles et irréversibles. L ensemble de ce chapitre

Plus en détail

1 Savoirs fondamentaux

1 Savoirs fondamentaux Révisions sur l oscillogramme, la puissance et l énergie électrique 1 Savoirs fondamentaux Exercice 1 : choix multiples 1. Quelle est l unité de la puissance dans le système international? Volt Watt Ampère

Plus en détail

ELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012

ELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012 ELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012 Pour faciliter la correction et la surveillance, merci de répondre aux 3 questions sur des feuilles différentes et d'écrire immédiatement votre nom sur toutes

Plus en détail

COURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES

COURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES I.U.. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie hermique et énergie COURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES Olivier ERRO 200-20 2 Avertissement : Ce cours de machines frigorifiques propose d aborder le principe

Plus en détail

Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique

Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique Fiche d application : Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique Date Modification Version 01 décembre 2013 Précisions sur les CET grand volume et sur les CET sur air extrait 2.0

Plus en détail

Baccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé

Baccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé Baccalauréat S ntilles-guyane 11 septembre 14 Corrigé EXERCICE 1 6 points Commun à tous les candidats Une entreprise de jouets en peluche souhaite commercialiser un nouveau produit et à cette fin, effectue

Plus en détail

Circuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance

Circuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance Chapitre 5 Circuits RL et RC Ce chapitre présente les deux autres éléments linéaires des circuits électriques : l inductance et la capacitance. On verra le comportement de ces deux éléments, et ensuite

Plus en détail

Projet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com

Projet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,

Plus en détail

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université

Plus en détail

Montrouge, le 9 février 2015. Centre national d équipement nucléaire (CNEN) EDF 97 avenue Pierre Brossolette 92120 MONTROUGE

Montrouge, le 9 février 2015. Centre national d équipement nucléaire (CNEN) EDF 97 avenue Pierre Brossolette 92120 MONTROUGE RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIRECTION DES CENTRALES NUCLEAIRES Montrouge, le 9 février 2015 Réf. : CODEP-DCN-2015-002998 Monsieur le Directeur Centre national d équipement nucléaire (CNEN) EDF 97 avenue Pierre

Plus en détail

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1 TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun

Plus en détail

Pour une harmonisation des méthodes et des paramètres économiques. de comparaison entre les filières de production ou d économie d énergie

Pour une harmonisation des méthodes et des paramètres économiques. de comparaison entre les filières de production ou d économie d énergie Pour une harmonisation des méthodes et des paramètres économiques de comparaison entre les filières de production ou d économie d énergie Benjamin Dessus 13 mars 2013 www.global-chance.org 13 mars 2013

Plus en détail

Souad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/

Souad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation

Plus en détail

DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique

DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite

Plus en détail

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)

Plus en détail

Propriétés thermodynamiques du mélange. Eau-Ammoniac-Hélium

Propriétés thermodynamiques du mélange. Eau-Ammoniac-Hélium International Renewable Energy Congress November 5-7, 2010 Sousse, Tunisia Propriétés thermodynamiques du mélange Eau-Ammoniac-Hélium Chatti Monia 1, Bellagi Ahmed 2 1,2 U.R. Thermique et Thermodynamique

Plus en détail

Développements limités, équivalents et calculs de limites

Développements limités, équivalents et calculs de limites Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(

Plus en détail

La relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable.

La relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable. 111 39 240 1812 906 La relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable. La relève de chaudière, qu est ce que c est? On parle de relève de chaudière lorsqu on installe une pompe à

Plus en détail

LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE

LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer

Plus en détail

THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ

THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ B. AMANA et J.-L. LEMAIRE 2 LIQUEFACTION D'UN GAZ Cette expérience permet d'étudier la compressibilité et la liquéfaction d'un fluide en fonction des variables P,

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

Pompe à chaleur Air-Eau. Confort et économies

Pompe à chaleur Air-Eau. Confort et économies Pompe à chaleur Air-Eau Confort et économies Le système de chauffage réversible de l avenir! Un pas en avant pour réduire les émissions de CO₂. L augmentation des émissions de CO₂ et autres gaz à effet

Plus en détail

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides

Plus en détail

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation

Plus en détail

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. 1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le

Plus en détail

Manuel de validation Fascicule v4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques

Manuel de validation Fascicule v4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques Titre : TTLV100 - Choc thermique dans un tuyau avec condit[...] Date : 02/03/2010 Page : 1/10 Manuel de Validation Fascicule V4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques Document : V4.25.100

Plus en détail

MOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN

MOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN MOTO ELECTRIQUE MISE EN SITUATION La moto électrique STRADA EVO 1 est fabriquée par une société SUISSE, située à LUGANO. Moyen de transport alternatif, peut-être la solution pour concilier contraintes

Plus en détail

Page : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol :

Page : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Page : 1 de 6 Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Référence article 058.01.250: VX18 Référence article 058.01.251: VX20 Référence article 058.01.252: VX30 Chaudière spéciale à gazéification

Plus en détail

Les puissances 4. 4.1. La notion de puissance. 4.1.1. La puissance c est l énergie pendant une seconde CHAPITRE

Les puissances 4. 4.1. La notion de puissance. 4.1.1. La puissance c est l énergie pendant une seconde CHAPITRE 4. LES PUISSANCES LA NOTION DE PUISSANCE 88 CHAPITRE 4 Rien ne se perd, rien ne se crée. Mais alors que consomme un appareil électrique si ce n est les électrons? La puissance pardi. Objectifs de ce chapitre

Plus en détail

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les

Plus en détail

6 CYCLES DE PRODUCTION D'ÉLECTRICITÉ À VAPEUR

6 CYCLES DE PRODUCTION D'ÉLECTRICITÉ À VAPEUR 6 CYCLES DE PRODUCTION D'ÉLECTRICITÉ À VAPEUR Nous présentons dans ce chapitre les principaux cycles utilisés dans les installations motrices à vapeur, qui servent aujourd'hui essentiellement à la production

Plus en détail

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir? COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,

Plus en détail

PHYSIQUE Discipline fondamentale

PHYSIQUE Discipline fondamentale Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et

Plus en détail

Fiche d application. 7 octobre 2013 1.0

Fiche d application. 7 octobre 2013 1.0 MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Diagnostic de Performance Energétique Fiche d application Date Version 7 octobre

Plus en détail

Chapitre 11. Séries de Fourier. Nous supposons connues les formules donnant les coefficients de Fourier d une fonction 2 - périodique :

Chapitre 11. Séries de Fourier. Nous supposons connues les formules donnant les coefficients de Fourier d une fonction 2 - périodique : Chapitre Chapitre. Séries de Fourier Nous supposons connues les formules donnant les coefficients de Fourier d une fonction - périodique : c c a0 f x dx c an f xcosnxdx c c bn f xsinn x dx c L objet de

Plus en détail

Concours EPITA 2009 Epreuve de Sciences Industrielles pour l ingénieur La suspension anti-plongée de la motocyclette BMW K1200S

Concours EPITA 2009 Epreuve de Sciences Industrielles pour l ingénieur La suspension anti-plongée de la motocyclette BMW K1200S Concours EPIT 2009 Epreuve de Sciences Industrielles pour l ingénieur La suspension anti-plongée de la motocyclette MW K1200S Durée : 2h. Calculatrices autorisées. Présentation du problème Le problème

Plus en détail

Baccalauréat ES Polynésie (spécialité) 10 septembre 2014 Corrigé

Baccalauréat ES Polynésie (spécialité) 10 septembre 2014 Corrigé Baccalauréat ES Polynésie (spécialité) 10 septembre 2014 Corrigé A. P. M. E. P. Exercice 1 5 points 1. Réponse d. : 1 e Le coefficient directeur de la tangente est négatif et n est manifestement pas 2e

Plus en détail

LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE

LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE 2. L EFFET GYROSCOPIQUE Les lois physiques qui régissent le mouvement des véhicules terrestres sont des lois universelles qui s appliquent

Plus en détail

Général VRF VII. climatisation à détente directe > pompes à chaleur. Application / utilisation. Pompe à chaleur Air/Air Technologie DRV.

Général VRF VII. climatisation à détente directe > pompes à chaleur. Application / utilisation. Pompe à chaleur Air/Air Technologie DRV. Général VRF VII Pompe à chaleur Air/Air Technologie DRV R410A Fluide frigorigène Silence 25 db Technologies DRV Option GTC - GTB Application / utilisation Traitement en chauffage et climatisation en détente

Plus en détail

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est

Plus en détail

de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur

de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur Eau chaude et confort à votre portée! La meilleure façon de

Plus en détail

Seconde Généralités sur les fonctions Exercices. Notion de fonction.

Seconde Généralités sur les fonctions Exercices. Notion de fonction. Seconde Généralités sur les fonctions Exercices Notion de fonction. Exercice. Une fonction définie par une formule. On considère la fonction f définie sur R par = x + x. a) Calculer les images de, 0 et

Plus en détail

Yutampo La solution 100 % énergie renouvelable

Yutampo La solution 100 % énergie renouvelable Chauffe-eau thermodynamique pour le résidentiel Yutampo La solution 100 % énergie renouvelable MAISONS INDIVIDUELLES NEUVES OU À RÉNOVER YUTAMPO u Idéal pour l eau chaude sanitaire Meilleur chauffe-eau

Plus en détail

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques

Plus en détail

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par

Plus en détail

Le chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020

Le chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020 Chauffe-eau thermodynamique Le chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020 Ballon de stockage ( 300 l) chaude M o d e c h a u f f a g e Q k T k Pompe à chaleur Effet utile Pompe à chaleur pour chauffer

Plus en détail

Equipement d un forage d eau potable

Equipement d un forage d eau potable Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

CONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE

CONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE CONCOUS COMMUN SUJET A DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Corrigé Barème total points : Physique points - Chimie 68 points PHYSIQUE Partie A :

Plus en détail

L énergie de l air extérieur pour une eau chaude sanitaire naturellement moins chère

L énergie de l air extérieur pour une eau chaude sanitaire naturellement moins chère LE CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE L énergie de l air extérieur pour une eau chaude sanitaire naturellement moins chère LES PERFORMANCES DE TANÉO C EST L ASSURANCE : > DE 75 % D ÉNERGIE GRATUITE > D UN FONCTIONNEMENT

Plus en détail

SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine

SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine Revue des Energies Renouvelables Vol. 11 N 4 (2008) 587 594 SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine S. Kherris 1*, M. Makhlouf 1 et A. Asnoun 2 1 Laboratoire des Matériaux et des Systèmes

Plus en détail

Système d énergie solaire et de gain énergétique

Système d énergie solaire et de gain énergétique Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

L énergie sous toutes ses formes : définitions

L énergie sous toutes ses formes : définitions L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,

Plus en détail

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à

Plus en détail

Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante

Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Juillet 2011/White paper par Christophe Borlein membre de l AFF et de l IIF-IIR Make the most of your energy Sommaire Avant-propos

Plus en détail

Origine du courant électrique Constitution d un atome

Origine du courant électrique Constitution d un atome Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité

Plus en détail

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre

Plus en détail

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant

Plus en détail

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be

Plus en détail

DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION

DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)

Plus en détail

A. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire

A. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire Énergie Table des A. Énergie 1. 2. 3. La centrale Énergie Table des Pour ce chapitre du cours il vous faut à peu près 90 minutes. A la fin de ce chapitre, vous pouvez : -distinguer entre fission et fusion.

Plus en détail

CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010

CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 Objet : Utilisation des fluides frigorigènes dans les installations de réfrigération A l'attention de(s) : Pour information : Monsieur l'administrateur général de l'administration

Plus en détail

Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement

Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1

Plus en détail

TD 9 Problème à deux corps

TD 9 Problème à deux corps PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile

Plus en détail

Systèmes de distributeurs Systèmes de distributeur selon la norme ISO 5599-1, taille 2, série 581. Caractéristiques techniques

Systèmes de distributeurs Systèmes de distributeur selon la norme ISO 5599-1, taille 2, série 581. Caractéristiques techniques ISO 5599-1, taille 2, série 581 Caractéristiques techniques 2 ISO 5599-1, taille 2, série 581 Systèmes de distributeurs Systèmes de distributeur, Série 581 Qn Max. = 2200 l/min Câblage individuel par enfichage

Plus en détail

Correction du bac blanc CFE Mercatique

Correction du bac blanc CFE Mercatique Correction du bac blanc CFE Mercatique Exercice 1 (4,5 points) Le tableau suivant donne l évolution du nombre de bénéficiaires de minima sociaux en milliers : Année 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009

Plus en détail

Priorités de calcul :

Priorités de calcul : EXERCICES DE REVISION POUR LE PASSAGE EN QUATRIEME : Priorités de calcul : Exercice 1 : Calcule en détaillant : A = 4 + 5 6 + 7 B = 6 3 + 5 C = 35 5 3 D = 6 7 + 8 E = 38 6 3 + 7 Exercice : Calcule en détaillant

Plus en détail

Vannes 3 voies avec filetage extérieur, PN 16

Vannes 3 voies avec filetage extérieur, PN 16 4 464 Vannes 3 voies avec filetage extérieur, PN 6 VXG44... Corps en bronze CC49K (Rg5) DN 5...DN 40 k vs 0,25...25 m 3 /h Corps filetés avec étanchéité par joint plat G selon ISO 228/ Des raccords à vis

Plus en détail

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3

Plus en détail

Cours de turbomachine à fluide compressible

Cours de turbomachine à fluide compressible Cours de turbomachine à fluide compressible Xavier OAVY CNRS UMR 5509 Laboratoire de Mécanique des Fluides et d Acoustique à l École Centrale de Lyon Plan du cours Cours de turbomachine Xavier Ottavy (CNRS

Plus en détail

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,

Plus en détail

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)

Plus en détail

boilers pompe à chaleur L eau chaude ne vous aura jamais paru aussi agréable

boilers pompe à chaleur L eau chaude ne vous aura jamais paru aussi agréable boilers pompe à chaleur L eau chaude ne vous aura jamais paru aussi agréable 1 boilers pompe à chaleur Midea est au niveau mondial un des plus important producteur de pompe à chaleur et de climatiseur

Plus en détail

Exercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique

Exercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique Exercice 1 1. a) Un mobile peut-il avoir une accélération non nulle à un instant où sa vitesse est nulle? donner un exemple illustrant la réponse. b) Un mobile peut-il avoir une accélération de direction

Plus en détail

Contrôlez vos PNEUS 1

Contrôlez vos PNEUS 1 Contrôlez vos PNEUS 1 1 SECURITE DES PNEUS La majorité d entre nous utilisons des voitures quotidiennement la plupart du temps sans prêter attention à une des choses les plus vitales: les pneus. Malheureusement,

Plus en détail

produit De l eau chaude sanitaire à volonté Préparateurs ECS et accumulateurs d énergie Weishaupt

produit De l eau chaude sanitaire à volonté Préparateurs ECS et accumulateurs d énergie Weishaupt produit Information sur les préparateurs d eau chaude sanitaire De l eau chaude sanitaire à volonté Préparateurs ECS et accumulateurs d énergie Weishaupt Hygiène et propreté pour votre eau chaude sanitaire

Plus en détail

Calculs de probabilités avec la loi normale

Calculs de probabilités avec la loi normale Calculs de probabilités avec la loi normale Olivier Torrès 20 janvier 2012 Rappels pour la licence EMO/IIES Ce document au format PDF est conçu pour être visualisé en mode présentation. Sélectionnez ce

Plus en détail

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...

Plus en détail

F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B

F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B Fiche d interprétation et / ou complément aux référentiels Qualitel et Habitat & Environnement Objet : Rubrique AI Acoustique Intérieure Rubrique TH Niveau de consommation d

Plus en détail

Variantes du cycle à compression de vapeur

Variantes du cycle à compression de vapeur Variantes du cycle à compression de vapeur Froid indirect : circuit à frigoporteur Cycle mono étagé et alimentation par regorgement Cycle bi-étagé en cascade Froid direct et froid indirect Froid direct

Plus en détail

Evaluation des émissions

Evaluation des émissions Evaluation des émissions de gaz à effet de serre générées par les activités de la Bourse de l Immobilier 28 Avenue thiers 33100 BORDEAUX Tél : 05 57 77 17 77 - Fax : 05 56 40 58 63 www.bourse-immobilier.fr

Plus en détail