Ecole Normale de l Enseignement Privé Concours d entrée interne Session novembre 2008 SCIENCES
|
|
- Maurice Auger
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Ecole Normale de l Enseignement Privé Concours d entrée interne Session novembre 2008 SCIENCES Durée : 2 heures 30 Coefficient : 2 1 ère partie : Sciences physiques (15 points) I) En consultant les divers graphiques des documents 1 et 2, dites de quels paramètres ou variables dépend l effet produit par le courant alternatif sur le corps humain? (2 pts) II) III) IV) Quels seront les effets d un courant d intensité de 10 ma d une durée de contact de 0,5 s (seconde) (1 pt) Pour une même durée de contact avec le courant, à partir de quelle valeur de l intensité le corps est soumis à de graves risques. (1 pt) Sachant qu un arrêt de la respiration ou un arrêt cardiaque peut entraîner la mort même pour une durée de contact aussi courte (0,5 s), à partir de quelle intensité y a-til danger de mort dans ce cas? (1 pt) V) Chez soi le plus petit calibre de coupe-circuit (fusible) est de 10A. Dans quelle zone se situe-t-on en cas de court-circuit (contact avec la tension du secteur)? Et quels en sont les risques? (1pt) VI) A partir de quelle valeur de l intensité peut-on considérer qu il y a un risque majeur d électrisation ou électrocution? (1pt) VII) Quelle sera la quantité d électricité reçue par un corps soumis aux conditions de la deuxième question? (durée de contact de 0,5 s) (1pt) C est la quantité d Electricité qui conditionne l effet produit par le courant électrique dans le corps humain. La Quantité d Electricité (Q) est définie comme étant le produit de l intensité (I) du courant électrique en Ampères, par le temps(t) de passage de ce courant exprimé en secondes ou en heures Q = I x t Q en coulombs ; I en ampère ; t en seconde. 1
2 VIII) Même question si l intensité est de 100 ma pour la même durée de contact. (1pt) IX) De quels paramètres ou variables dépend la résistance du corps humain? (1 pt) X) Dans quelles conditions le corps humain est-il le plus vulnérable aux effets du courant électrique? (1 pt) XI) Quelle sera la quantité d électricité (Q) reçue par un corps ayant la peau sèche soumise pendant 10 secondes à une tension électrique de 50 V? (2 pts) Corps humain et résistance au courant électrique : LA RESISTANCE ELECTRIQUE est la propriété de tous les matériaux de présenter une résistance au passage du courant (y compris le corps humain) La loi d Ohm dit que U = R X I U est la tension du courant en volt (V) ; R est la résistance en ohm (Ω) ; I est l intensité du courant en Ampère (A) 1 k Ω (kilo-ohm ) = 1000 ohms. La résistance électrique d un conducteur s exprime en ohms (Ω) ou en kilo-ohms (kω ) XII) Question identique avec la peau mouillée. (2 pts) 2
3 Document 1 : D après : académie de Nancy-Metz- prévention aux risques Professionnels ZONE 1 : courant inférieur au seuil de perception (suivant l état de la peau) ; aucune réaction ZONE 2 : Choc au toucher ; réaction brutale ; contractures musculaires ; risque mineur si ce n est la chute de la personne ; aucun effet pathologique dangereux. ZONE 3 : Choc électrique + début de tétanisation du thorax ; sans secours rapides, l accidenté peut mourir par asphyxie. ZONE 4 : Choc + tétanisation + fibrillation ventriculaire : survie limitée à 3 minutes par arrêt cardiaque. Document 2 : D après l académie de Nancy-Metz Prévention aux risques Professionnels ) 3
4 2 ème partie : Sciences de la vie et de la terre (15 points) «Les besoins nutritifs des êtres vivants» 1) On cherche à connaître les conditions nécessaires au développement de champignons microscopiques (des moisissures). Pour cela, des cultures de moisissures ont été réalisées et les résultats sont présentés dans le document 1 cidessous : Milieux de culture Lumière Température Résultats 1 Pain humide + moisissures 20 c (présence) nombreuses 2 Pain humide - moisissures 20 c (absence) nombreuses 3 Pain sec + 20 c Pas de développement 4 Pain humide + 0 c Pas de développement 5 Pain humide + 70 c Pas de développement 6 Eau + gélose + 20 c Pas de développement Eau + gélose + sels moisissures peu c minéraux nombreuses Eau + gélose + sels moisissures c minéraux + sucre nombreuses Document 1 : Tableau des résultats de cultures de moisissures dans différentes conditions a) Etude du document 1 : proposer trois hypothèses que l on a voulu vérifier en réalisant ces expériences. (3 pts) b) Etude du document 1 : analyser de façon rigoureuse les résultats de ces expériences afin de préciser les conditions nécessaires au développement des champignons microscopiques. (5 pts) 2) Les végétaux chlorophylliens (verts) se nourrissent uniquement de matières minérales. Or, pour produire leur propre matière organique carbonée (feuilles, tiges, fleurs, fruits, ) il leur faut une source de carbone. a) L expérience suivante est réalisée : on cultive des plants de tomates dans des serres dont l air contient plus ou moins de CO 2 (dioxyde de carbone), toutes les autres conditions de culture étant identiques. Après 30 jours de culture, on évalue la quantité de matière organique produite par les plants de tomates en mesurant la teneur en amidon dans leurs feuilles. (1 pt) Amidon = matière organique carbonée produite par les végétaux chlorophylliens. On obtient alors le tableau suivant (document 2) : Teneur en CO 2 dans la serre (en %) 0,05% 0,2% Pourcentage d amidon mesuré dans les feuilles 2% 12% Quelle conclusion pouvez-vous retirer de l analyse des résultats du document 2? 4
5 b) Deux autres expériences sont alors réalisées afin de préciser les conditions de nutrition de ces végétaux verts : - On place tout d abord une plante verte à la lumière, puis elle est placée à l obscurité quelques jours : on note aucune présence d amidon dans ses feuilles. - Une plante verte laissée quelques jours à l obscurité et dont les feuilles ne contiennent plus d amidon est placée ensuite à la lumière ; après quelques heures on note la présence d amidon au niveau des feuilles. Quelles informations supplémentaires sur les besoins nutritifs des végétaux chlorophylliens nous apportent ces deux expériences? (2 pts) 3) Par un texte court, récapituler les besoins nutritifs des champignons microscopiques (organismes non chlorophylliens) d une part et des végétaux chlorophylliens d autre part (vous aider des réponses précédentes et de vos connaissances personnelles). (4 pts) 5
6 3 ème partie : Analyse de productions d élèves (10 points) Question 1 : Quelle est la notion abordée dans les exercices (annexe 1)? (2 pts) Question 2 : D après vous que doit savoir un élève sur cette notion au cycle 1, au cycle 2, au cycle 3? (3 pts) Question 3 : En vous référant à vos propositions de la deuxième question, à quel cycle de la scolarité situez-vous Sarah, Jonathan et Adrien, cycle 2 ou cycle 3? Pourquoi? (3 pts) Question 4 : Que pensez-vous de la réponse de Kévin? (2 pts) 6
7 7
8 Ecole Normale de l Enseignement Privé Concours d entrée interne Session novembre 2008 SCIENCES Durée : 2 heures 30 Coefficient : 2 1 ère partie : Sciences physiques (15 points) CORRECTION I) de l intensité (I) ; de la durée de contact ( t ) ; de la résistance du corps ( R) ; de la tension du courant ( U) (4x 0.5p = 2 pts) II) III) IV) zone 2 : aucun effet pathologiques dangereux (1 pt) à partir de 25 (30 ou 40 ma sont acceptés). (1 pt) à partir de 100 ma (1 pt) V) Dans la zone 4 : danger de mort. (1 pt) VI) VII) à partir de 500 ma. (1 pt) Q= Ixt Q= 10x0,001x 0,5 = 0,005 C Q= 0,O05 C (1 pt) VIII) Q= 100x0,001x 0,5 = 0,05 C Q= 0,05 C (1 pt) IX) de l humidité de la peau lors du contact avec le courant électrique. (1 pt) X) lorsqu il est immergé (1 pt) XI) Q= Ixt et U= RxI I= U : R Donc Q= RxI2 x t ou Q= U :R x t Si U= 50 V R=4 kω= 4000 Ω (peau sèche) et t=10s : Q = (50x 10) : 4000 = 0,125 C (2 pts) XII) sur peau mouillée : même calcul Q= (50x10) : 1000= 0,5 C (2 pts) 1
9 2 ème partie : Sciences de la vie et de la terre (15 points) CORRECTION 1) a- Etude du document 1 : proposer trois hypothèses que l on a voulu vérifier en réalisant ces expériences. (3 pts) Ces expériences vont permettre de vérifier les hypothèses suivantes (la question n en demande que trois): - les moisissures ont besoin d eau pour leur développement - les moisissures ont besoin de lumière pour leur développement - les moisissures ont besoin de substances nutritives pour leur développement (sels minéraux, sucre, pain) - les moisissures ont besoin d une température adaptée pour se développer (plusieurs réponses possibles : 0 c ou 20 c ou 70 c, car les trois températures sont testées dans les expériences) b- Etude du document 1 : analyser de façon rigoureuse les résultats de ces expériences afin de préciser les conditions nécessaires au développement des champignons microscopiques. (5 pts) La comparaison des expériences 1 et 2 montre que la lumière n est pas nécessaire au développement des moisissures. (0,5 pt) La comparaison des expériences 1et 3 montre que l eau est indispensable au développement des levures. (0,5 pt) La comparaison des expériences 1 et 4 montre que les moisissures ne se développent pas à une température de 0 c et les expériences 1 et 5 prouvent qu à 70 c non plus. Il leur faut donc une température de 20 c pour leur développement. (1,5 pt) Expériences 1et 6 : la gélose humide (à 20 c) ne suffit pas au développement des moisissures. (0,5 pt) Expériences 6 et 7 : la présence de sels minéraux avec la gélose humide permet un faible développement des moisissures. Les sels minéraux sont un élément nutritif nécessaire mais pas suffisant. (1 pt) Expériences 7 et 8 : Les moisissures se développent très bien s il y a présence de gélose humide associée à des sels minéraux et un sucre, qui sont ses éléments nutritifs. (1 pt) 2) a- Quelle conclusion pouvez-vous retirer de l analyse des résultats du document 2? Quand la teneur en CO ² plante augmente. (1 pt) augmente dans la serre, le pourcentage d amidon produit par la b- Quelles informations supplémentaires sur les besoins nutritifs des végétaux chlorophylliens nous apportent ces deux expériences? A l obscurité l amidon n est pas synthétisé par la plante, mais il est utilisé. (1 pt) A la lumière, le végétal produit de l amidon. (1 pt) 2
10 3) Par un texte court, récapituler les besoins nutritifs des champignons microscopiques (organismes non chlorophylliens) d une part et des végétaux chlorophylliens d autre part. (vous aider des réponses précédentes et de vos connaissances personnelles). Les besoins nutritifs des champignons microscopiques (organismes non chlorophylliens) : Ils ont besoin d eau, de sels minéraux, de matière organique (sucre, pain, ) et de O² pour respirer. (2 pts) Les besoins nutritifs des végétaux chlorophylliens : Ils ont besoin d eau, de sels minéraux, de lumière et de CO² pour pratiquer la photosynthèse et produire de la matière organique qu ils utiliseront ensuite. (2 pts) 3 ème partie : Analyse de productions d élèves (10 points) Question 1 : Quelle est la notion abordée dans les exercices? (2pts) La notion de transformation de la matière, les différents états de la matière en particulier le changement des états de l eau, les propriétés physiques de l eau. Question 2 : D après vous que doit savoir un élève sur cette notion au cycle 1, au cycle 2, au cycle 3? (3pts) Il n est pas demandé aux candidats de donner exactement les compétences des instructions officielles mais simplement de repérer s ils sont capables d anticiper, d avoir une idée sur la question. On mesurera donc la pertinence de leurs propositions. Cycle 1 : Poser des questions, décrire ses propres perceptions de la matière (eau : élément liquide, qui coule, le glaçon est froid, dur ), repérer et nommer les états de l eau. Cycle 2 : Savoir expliquer, après observation, que l eau et la glace sont deux états d une même substance, quelles transformations s opèrent, que dans l eau la glace n a pas disparu même si on ne la voit plus, reconnaître ces états dans différents phénomènes naturels. Cycle 3 : Commencer à savoir expliquer le phénomène de transformation de la matière, de conservation de la matière et de réversibilité par le biais de l'eau. Mettre en relation les changements d'état avec les conditions thermiques. Mettre en place une situation d expérience. Question 3 : en vous référant à vos propositions de la deuxième question, à quel cycle de la scolarité situez-vous Sarah, Jonathan et Adrien, cycle 2 ou cycle 3? Pourquoi? (3pts) Sarah : cycle 3 Sarah va au-delà des constats, elle explique de façon claire même si certains éléments sont présentés de façon un peu maladroite. Certains termes techniques sont utilisés (solidifié, liquéfaction, gaz, vaporise), des relations sont établies, en particulier l influence de la chaleur. Liquéfaction est un terme qui est par ailleurs mal employé. Sarah ne s arrête pas à la transformation solide-liquide, elle poursuit son raisonnement en donnant des indications sur la vaporisation. 3
11 Jonathan : cycle 2 La transformation d un état à l autre est comprise, bien expliquée avec le schéma même si les couleurs sont incorrectes puisque le glaçon devrait avoir la même couleur que l eau liquide. Adrien : cycle 2 Adrien a bien repéré qu il n y a plus de glaçon, mais il n explique pas ce qu il est devenu. On peut se demandé s il a compris qu il s est transformé en liquide ou s il pense simplement qu il a disparu complètement. Question 4 : Que pensez-vous de la réponse de Kévin? (2pts) Kévin donne une définition du glaçon et explique comment il s est formé, expliquant le changement d état inverse de celui qui est demandé : transformation de l eau en glace. Apparemment il n a pas compris la question ou il n en a lu qu une partie, et du coup, l a mal interprétée. 4
L ÉLECTROCUTION Intensité Durée Perception des effets 0,5 à 1 ma. Seuil de perception suivant l'état de la peau 8 ma
TP THÈME LUMIÈRES ARTIFICIELLES 1STD2A CHAP.VI. INSTALLATION D ÉCLAIRAGE ÉLECTRIQUE SÉCURISÉE I. RISQUES D UNE ÉLECTROCUTION TP M 02 C PAGE 1 / 4 Courant Effets électriques 0,5 ma Seuil de perception -
Plus en détailELECTRICITE. Introduction
Direction des études Mission Santé-sécurité au travail dans les fonctions publiques (MSSTFP) Introduction ELECTRICITE L'utilisation de l'énergie électrique est devenue tellement courante que nul ne saurait
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailLES DANGERS DU COURANT ELECTRIQUE
Leçon 2 Technologie Page 1 LES DANGERS DU COURANT ELECTRIQUE 1 - Faits divers parus dans la presse sur des accidents d origine électrique En jouant près de chez lui à Paris Un enfant est électrocuté par
Plus en détailACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 25
ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 25 HYGIENE ET SÉCURITÉ DÉCEMBRE 2002 Robin EMERIT Technicien en équipements électrique et énergie Tel : 02 38 79 46 74 Francis MINIER Inspecteur d Hygiène
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailDangers liés à l électricité
CUSSTR : Commission Universitaire de Sécurité et Santé au Travail Romande Version 2009 Dangers liés à l électricité Vers 2009 0 Introduction Personnes habilitées à effectuer des travaux d installations
Plus en détailLES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE. Comité pédagogique SAP SDIS 43
LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE Comité pédagogique SAP SDIS 43 DEFINITIONS Electrisation: manifestations physiopathologiques liées au passage du courant dans l organisme Electrocution: décès par électrisation
Plus en détailLes Essentiels COLLECTION. Les règles de sécurité. pour le dépannage. des véhicules électriques. & hybrides. Commission
COLLECTION Les Essentiels Commission Mai 2013 Président : Eric Faucheux Véhicules électriques & hybrides Les règles de sécurité pour le dépannage des véhicules électriques & hybrides 1 Sommaire I. Les
Plus en détailCorrection TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu
Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu (TP multiposte : groupes de 4 élèves qui se répartissent sur les 4 postes une fois chaque poste travaillé, un bilan sera établi
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailne définition de l arbre.
LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement
Plus en détailELECTRICIEN. 1. Explications. 1.1. Tâches effectuées par un électricien. 1.2. Les facteurs de risque électrique
Prévention et Intérim 1. Explications 1.1. Tâches effectuées par un électricien L électricien est la personne qui installe, entretient, répare, protège, les installations électriques domestiques et industrielles.
Plus en détailModule 3 : L électricité
Sciences 9 e année Nom : Classe : Module 3 : L électricité Partie 1 : Électricité statique et courant électrique (chapitre 7 et début du chapitre 8) 1. L électrostatique a. Les charges et les décharges
Plus en détailModule 3 : L électricité
Sciences 9 e année Nom : Classe : Module 3 : L électricité Sci9.3.1 : Électricité statique et courant électrique, Sci9.3.2 : Les circuits, la résistance et la Loi d Ohm Sci9.3.3 : La transmission de l
Plus en détailElectrocinétique Livret élève
telier de Physique Secondaire supérieur Electrocinétique Livret élève ouquelle Véronique Pire Joëlle Faculté des Sciences Diffusé par Scienceinfuse, ntenne de Formation et de Promotion du secteur Sciences
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailChoix multiples : Inscrire la lettre correspondant à la bonne réponse sur le tiret. (10 pts)
SNC1D test d électricité Nom : Connaissance et Habiletés de la pensée compréhension (CC) (HP) Communication (Com) Mise en application (MA) 35 % 30 % 15 % 20 % /42 /31 grille /19 Dans tout le test, les
Plus en détailPhysique, chapitre 8 : La tension alternative
Physique, chapitre 8 : La tension alternative 1. La tension alternative 1.1 Différence entre une tension continue et une tension alternative Une tension est dite continue quand sa valeur ne change pas.
Plus en détailETAT DE L INSTALLATION INTERIEURE D ELECTRICITE
ETAT DE L INSTALLATION INTERIEURE D ELECTRICITE En application de l arrêté du 4 avril 2011 et de la norme XP C16-600 Réf dossier n 100512.4204 A Désignation du ou des immeubles bâti(s) LOCALISATION DU
Plus en détailGuide de sécurité électrique à l intention des entrepreneurs. Nous travaillons tous à faire du Nouveau-Brunswick une province plus sûre.
Guide de sécurité électrique à l intention des entrepreneurs Nous travaillons tous à faire du Nouveau-Brunswick une province plus sûre. L électricité a transformé notre société. Imaginez une vie moderne
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailLes dangers de l électricité
Faculté des Sciences et Techniques de l Ingénieur (STI) Laboratoire de réseaux électriques (LRE) Les dangers de l électricité Table ronde du 22 janvier 2009 Pierre Zweiacker Plan de la présentation La
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailComment prouver que les végétaux ont besoin d eau, de minéraux, d air et de lumière pour se développer normalement?
Comment prouver que les végétaux ont besoin d eau, de minéraux, d air et de lumière pour se développer normalement? La question que l on se pose : Les végétaux ont-ils besoin d eau, de minéraux, d air
Plus en détailAspartame ou stévia: le duel
Nutri sciences Aspartame ou stévia: le duel L aspartame fait peur, le stévia rassure. L un sort des laboratoires et a une connotation artificielle, l autre est issu des champs de Stevia et cultive une
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailRECOMMANDATIONS OFFICIELLES - DEFIBRILLATEURS AUTOMATISES EXTERNES
RECOMMANDATIONS OFFICIELLES - DEFIBRILLATEURS AUTOMATISES EXTERNES SOMMAIRE : Définitions DAE / DSA / DEA. Les accessoires recommandés. Notion de système d information pour les secours spécialisés. Les
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES
~--------------~~-----~- ----~-- Session 2009 BREVET DE TECNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES U22 - SCIENCES PYSIQUES Durée: 2 heures Coefficient : 3 Les calculatrices
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailSéquence 14 : puissance et énergie électrique Cours niveau troisième
Séquence 14 : puissance et énergie électrique Cours niveau troisième Objectifs : - Savoir que : o Le watt (W) est l unité de puissance o Le joule (J) est l unité de l énergie o L intensité du courant électrique
Plus en détailComment bien s hydrater pendant l été?
Comment bien s hydrater pendant l été? C est bien connu, il faut boire davantage en été pour ne pas se déshydrater, notamment en cas de forte chaleur. Il faut en effet être vigilant dès que la température
Plus en détailinformations pratiques
COLLECTIVITÉS LOCALES Arrêt cardiaque informations pratiques avec le soutien de Arrêt cardiaque I Informations pratiques I 1 2 I L arrêt cardiaque L arrêt cardiaque est la première cause de mortalité des
Plus en détailFormation Habilitation électrique
Formation Habilitation électrique Formation Habilitation électrique Pascal Vitry Page 1/27 1 - Définition : L habilitation est la reconnaissance par un employeur de la capacité d une personne à accomplir
Plus en détailChapitre 3 CONDUCTEURS ET ISOLANTS
Chapitre 3 CONDUCTEURS ET ISOLANTS Circuit à réaliser Réalisez les circuits ci-dessous, constitué d une lampe (ou une D.E.L. qui est plus sensible que la lampe), une pile et des objets conducteurs ou isolants.
Plus en détailOrigine du courant électrique Constitution d un atome
Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité
Plus en détailRapport de l Etat de l Installation Intérieure d Electricité
Rapport de l Etat de l Installation Intérieure d Electricité Numéro de dossier : Norme méthodologique employée : Date du repérage : Heure d arrivée : Durée du repérage : 02249-AGRASC-10-13 AFNOR XP C 16-600
Plus en détailLE CARNET DE L ELEVE. La Maison du Développement Durable présente
La Maison du Développement Durable présente LE CARNET DE L ELEVE La Maison du Développement Durable est une réalisation d Objectif D. 15, rue André Del Sarte - 75018 Paris Ils t accompagnent pendant toute
Plus en détailMesures et incertitudes
En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailProgrammation découverte du monde (autre que mathématiques):
Programmation découverte du monde (autre que mathématiques): Période 2: Apprenons à toucher! Compétence MA01 : Reconnaître, nommer,décrire, comparer, ranger et classer des matières, des objets selon leur
Plus en détailPRODUCTION DE L ENERGIE ELECTRIQUE
PRODUCTION DE L ENERGIE ELECTRIQUE Fiche Élève i Objectifs Connaître le principe de production de l électricité par une génératrice de vélo. Savoir quelle est la partie commune à toutes les centrales électriques.
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détaillire les Étiquettes et trouver les sucres cachés
lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés Objectif : Sensibiliser les élèves à ce qui se trouve dans leur nourriture et les aider à se méfi er des sucres cachés. Matériel Feuille à imprimer : Chaîne
Plus en détailWWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale
WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailSe protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs
0193 exe TOTAL A5 contamination_mise en page 1 20/09/11 15:41 Page1 Se protéger contre la contamination par les micro-organismes Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailMANUEL D UTILISATION
MANUEL D UTILISATION Table des matières Sécurité du produit 3 Mesures de précautions 4 Exigences électriques 5 Dépannage 5 Caractéristiques de My Rotisserie 6 Caractéristiques de My Rotisserie 7 Diagramme
Plus en détailTECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance
TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailLe circuit électrique
BULLETIN SPÉCIAL N 2 Le circuit électrique Théorie un peu de réflexion Intro L électricité est une source d énergie. Une énergie que l on peut facilement transformer en mouvement, lumière ou chaleur. L
Plus en détailProgression découverte du monde, autre que mathématiques, détails par période.
Progression 4 périodes, DECM PS Laurence 1/5 Progression découverte du monde, autre que mathématiques, Période 2: apprenons à toucher! détails par période. Compétence MA01: Reconnaître, nommer,décrire,
Plus en détailCours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année
Cours d électricité Circuits électriques en courant constant Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Objectifs du chapitre
Plus en détail2 e édition. Marie-Josée Ross, ing.
2 e édition Marie-Josée Ross, ing. LA SÉCURITÉ RELIÉE À L ÉLECTRICITÉ COMPRENDRE ET PRÉVENIR 2 e édition & Marie-Josée Ross, ing. LA SÉCURITÉ RELIÉE À L ÉLECTRICITÉ COMPRENDRE ET PRÉVENIR 2 e édition Conception
Plus en détailLa charge électrique C6. La charge électrique
Fiche ACTIVIT UM 8. / UM 8. / 8. La charge électrique 8. La charge électrique C6 Manuel, p. 74 à 79 Manuel, p. 74 à 79 Synergie UM S8 Corrigé Démonstration La charge par induction. Comment un électroscope
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailQuel est le document principal qui vous précise les instructions de sécurité
TEST HABILITATION Quizz 1 Textes et Normes Quel est le document principal qui vous précise les instructions de sécurité La norme NFC 15-100 Les prescriptions UTE C18 510 Le règlement interne de l'entreprise
Plus en détailI GENERALITES SUR LES MESURES
2 Dans le cas d intervention de dépannage l usage d un multimètre est fréquent. Cet usage doit respecter des méthodes de mesure et des consignes de sécurité. 1/ Analogie. I GENERALITES SUR LES MESURES
Plus en détailGENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE
Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3
Plus en détailSécurité électrique - Habilitation
Sécurité électrique - Habilitation Le courant électrique est dangereux à partir de 10 ma. Ceci vient du fait que la fréquence utilisée (50Hz) provoque des excitations musculaires violentes pouvant entraîner
Plus en détailRessources pour l école élémentaire
Ressources pour l école élémentaire éduscol Découverte du monde Progressions pour le cours préparatoire et le cours élémentaire première année Ces documents peuvent être utilisés et modifiés librement
Plus en détailChapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux
Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Comment font les végétaux pour s installer dans un nouveau milieu alors qu ils ne peuvent pas se déplacer? I/ L installation des végétaux dans un nouveau milieu
Plus en détail1 000 W ; 1 500 W ; 2 000 W ; 2 500 W. La chambre que je dois équiper a pour dimensions : longueur : 6 m largeur : 4 m hauteur : 2,50 m.
EXERCICES SUR LA PUISSANCE DU COURANT ÉLECTRIQUE Exercice 1 En zone tempérée pour une habitation moyennement isolée il faut compter 40 W/m 3. Sur un catalogue, 4 modèles de radiateurs électriques sont
Plus en détailSuivi d une réaction lente par chromatographie
TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence
Plus en détailVégétaux Exemples d individus
Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»
Plus en détailFeuille de garde contenant les suppléments nationaux à la feuille des données de sécurités UE OLDO AKTIV OX
Version 002 Révisée le: 26.03.1997 Feuille de garde contenant les suppléments nationaux à la feuille des données de sécurités UE OLDO AKTIV OX Total de pages (la feuille de garde inclus) : 5 1. IDENTIFICATON
Plus en détailLOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête
LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1 Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 2 6/4/08 11:53 AM Page 2 LOG 8869 Residential
Plus en détailETAT DE L INSTALLATION INTERIEURE D ELECTRICITE
SARL CLAUDE MOREAU 401 rue de Bordeaux 16000 ANGOULEME Tél. : 05 45 94 10 94 - Fax : 05 45 94 66 57 http://www.claude-moreau-diagnostic.com ETAT DE L INSTALLATION INTERIEURE D ELECTRICITE Date de la mission
Plus en détailETAT DE L'INSTALLATION INTERIEURE D'ELECTRICITE
250 834 RCS Limoges31/12/2013XFR 0050627LI et XFR0048625FI09A BATIMENT C 1 AVENUE NEIL ARMSTRONG 33700 MERIGNAC Tel : Fax : A ETAT DE L'INSTALLATION INTERIEURE D'ELECTRICITE Articles L 134-7 et R 134-10
Plus en détailCORRECTION TP Multimètres - Mesures de résistances - I. Mesure directe de résistors avec ohmmètre - comparaison de deux instruments de mesure
Introduction CORRECTION TP Multimètres - Mesures de résistances - La mesure d une résistance s effectue à l aide d un multimètre. Utilisé en mode ohmmètre, il permet une mesure directe de résistances hors
Plus en détailOr 4 victimes sur 5 qui survivent à un arrêt cardiaque ont bénéficié de ces gestes simples pratiqués par le premier témoin.
La mort subite est la conséquence d un arrêt cardiaque et respiratoire. Elle survient soudainement chez un individu qui se livre à ses occupations habituelles : au travail, en faisant ses courses, mais
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailManuel d utilisation. Digital Multimètre. Extech 410
Manuel d utilisation Digital Multimètre Extech 410 Introduction Nous tenons à vous féliciter pour l achat du modèle EX410 de la marque Extech, soit un multimètre. Cet appareil mesure la tension AC/DC,
Plus en détailSécurité électrique et réglementation
Diapo 1 Sécurité électrique et réglementation Frédéric ELIE, septembre 2004 Les dangers de l électricité et la sécurité électrique requise lors des interventions sur des installations électriques sont
Plus en détailPRÉVENTION DU RISQUE ÉLECTRIQUE
Page 1 PRÉVENTION DU RISQUE ÉLECTRIQUE I/ LES DANGERS DU COURANT ÉLECTRIQUE Bien que le courant électrique soit présent dans notre société depuis la fin du XIX siècle, il provoque chaque année encore de
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailChapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique
Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant
Plus en détailLibre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse
Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY
Plus en détailCours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie
Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον
Plus en détailHABILITATION ELECTRIQUE. Norme UTE C 18-510 et C 18-530
HABILITATION ELECTRIQUE Norme UTE C 18-510 et C 18-530 REGLEMENTATION En application au décret N 88-1056 du 14 Novembre 1988 concernant la protection des travailleurs dans les établissements qui mettent
Plus en détailConsignes de sécurité Manipulation du dioxyde de carbone CO 2
Consignes de sécurité Manipulation du dioxyde de carbone CO 2 Le dioxyde de carbone Le dioxyde de carbone est un gaz incolore, quasiment inodore et insipide. Il est donc pratiquement indétectable par les
Plus en détailL importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2. ) dans la production de dindes
FICHE D INFORMATION L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2 ) dans la production de dindes info.hybrid@hendrix-genetics.com www.hybridturkeys.com Dans la production de dindes, la performance
Plus en détailTRUCK COFFEE MAKER. User s manual. Check our website www.quintezz.com for more languages
TRUCK COFFEE MAKER User s manual GB NL D E Check our website www.quintezz.com for more languages INTRODUCTION Cher client, Vous avez acheté le QUINTEZZ Truck Coffee Maker. Nous vous remercions pour cet
Plus en détailLISTE V AU PROTOCOLE A MAROC. Description des produits
LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC 04.03 Babeurre, lait et crème caillés, yoghourt, képhir et autres laits et crèmes fermentés ou acidifiés, même concentrés ou additionnés de sucre ou d'autres édulcorants ou
Plus en détailFRANCAIS MANUEL D UTILISATION THERMOMETRE MEDICAL SANS CONTACT A INFRAROUGE MODELE LX-26
MANUEL D UTILISATION FRANCAIS THERMOMETRE MEDICAL SANS CONTACT A INFRAROUGE MODELE LX-26 www.thermo-flash.com APPRENTISSAGE RAPIDE DU THERMOFLASH LX-26 Le ThermoFlash LX-26 est pré-paramétré en sortie
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G
KR-G Page 1 de 5 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1.1 Identificateur de produit : Nom du produit : KR-G 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance
Plus en détailLE POINT DE VUE DE FNE
LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés
Plus en détailL ÉLECTRICITÉ C EST QUOI?
L ÉLECTRICITÉ C EST QUOI? L électricité est le moyen de transport de l énergie! L électricité, comme l énergie, est présente dans la nature mais on ne la voit pas. Sauf quand il y a un orage! L électricité
Plus en détailCes deux systèmes offraient bien sur un choix, mais il était limité à deux extrêmes.
LA VENTOUSE MAGNETIQUE UNE SOLUTION UNIVERSELLE En 1984, lorsque les ventouses magnétiques ont été introduites sur le marché, il n existait que deux catégories de verrouillage. L un de faible sécurité
Plus en détailQui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils?
Qui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils? Les glucides sont des éléments nutritifs indispensables au bon fonctionnement de l organisme. Ils sont présents dans les aliments aux côtés des protéines (viande,
Plus en détailRAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE
RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS
Plus en détailRELAIS STATIQUE. Tension commutée
RELAIS STATIQUE Nouveau Relais Statique Monophasé de forme compacte et économique Coût réduit pour une construction modulaire Modèles disponibles de 15 à 45 A Modèles de faible encombrement, avec une épaisseur
Plus en détailL ÉLECTRICITÉ, C EST QUOI?
L ÉLECTRICITÉ, C EST QUOI? L'électricité est le moyen de transport de l'énergie! L électricité, comme l énergie, est présente dans la nature mais on ne la voit pas. Sauf quand il y a un orage! L électricité
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détail«Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments»
1 «Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments» Magali Marchand, Chef de service Diététique RHMS Diététicienne agréée ABD 12.01.2012 - Maison du
Plus en détailCOMPOSANTS DE LA MACHINE
FR COMPOSANTS DE LA MACHINE Voyant vapeur prête Interrupteur vapeur Interrupteur de distribution de café Voyant café prêt Couvercle du réservoir à eau Figure A Bouton de distribution vapeur et eau chaude
Plus en détailSTI2D : Enseignements Technologiques Transversaux
STI2D : Enseignements Technologiques Transversaux Activité : Etude des transfert énergétiques dans la cafetière Nespresso Problématique : On calcule la puissance électrique consommée, on détermine l énergie
Plus en détailMesures calorimétriques
TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent
Plus en détail