UNION EUROPÉENNE ET CHANGEMENT CLIMATIQUE :
|
|
- Gauthier St-Cyr
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 UNION EUROPÉENNE ET CHANGEMENT CLIMATIQUE : L IMPORTANCE IGNORÉE DU MÉTHANE Benjamin Dessus et Bernard Laponche (4 décembre 2017, document de travail, 8 pages) Introduction p1 1. Un scénario de référence et une variante CH4 p2 2. Quelle est la part de responsabilité pour chaque gaz dans la contribution p.4 de l Union européenne au réchauffement aux horizons 2050 et 2100 et pour les deux scénarios? Annexe 1 - Le PRG du méthane p.7 chance.org
2
3 UNION EUROPÉENNE ET CHANGEMENT CLIMATIQUE : L IMPORTANCE IGNORÉE DU MÉTHANE Benjamin Dessus et Bernard Laponche, 4 décembre 2017 Introduction * Les politiques européennes de lutte contre le changement climatique qui présentent des objectifs ambitieux de réduction des gaz à effet de serre à l horizon 2050, tels que la neutralité «carbone», se déclinent soit en objectifs de réduction des émissions «équivalent CO2» de l ensemble des gaz à effet de serre, soit, plus souvent encore, en réduction des émissions de gaz carbonique. Mais elles omettent de préciser des objectifs chiffrés de réduction des émissions de méthane (CH4) et d oxyde d azote (N2O). Il est donc pratiquement impossible aux différentes parties prenantes aux politiques climatiques d apprécier la contribution spécifique de politiques plus ou moins volontaristes de réduction des émissions de ces gaz à effet de serre minoritaires à la lutte engagée. Le but de la présente note est de tenter d expliciter la sensibilité des scénarios prospectifs d émission de gaz à effet de serre de l Europe des 28 à l évolution des émissions de méthane. Pour ce faire nous allons utiliser l algorithme que nous avons exposé récemment dans un article «Le méthane, un gaz qui pèse lourd sur le climat» 1. Cet algorithme permet en effet d apprécier les augmentations de température à différents horizons d une grande variété de scénarios comportant des mix de gaz à effet de serre également diversifiés en attribuant à chacun de ces gaz sa part dans le réchauffement attendu. La relation entre cette augmentation de température et le cumul en GteqCO2 d un ensemble de n gaz sur une période donnée s écrit : y = 0,444Σν1 n xi/1000, où xi représente le cumul en GteqCO2 sur la période considérée des émissions du gaz i. A titre d exemple, si l horizon choisi pour mesurer les conséquences des émissions du gaz est 2100, les émissions en tonnes équivalent CO2 associées aux émissions de 2020 tiendront compte du pouvoir de réchauffement (PRG) du gaz i à 80 ans, ( ), celles de 2030 du PRG à 70 ans , celles de 2050 du PRG à 50 ans ( ), etc. Le cumul des émissions en GteqCO2 par cette méthode permet d apprécier l effet en température de chacun des gaz ainsi que l effet de leur ensemble à un horizon donné. On trouvera en annexe un rappel sur la notion de PRG et son application au méthane. Par cette note, nous nous proposons d établir la responsabilité pour chacun des gaz à effet de serre dans la part du réchauffement attribuable à l Union européenne à divers horizons pour différents scénarios de réduction de gaz à effet de serre. L Union européenne (à 28 Etats), par sa trajectoire d émissions des différents gaz à effet de serre passée, depuis la révolution industrielle jusqu à 2015, contribue déjà pour une 1 Benjamin Dessus, Bernard Laponche, Hervé Le Treut La Recherche, numéro 529, nov 2017.
4 part au réchauffement global de la planète qu on peut attendre à un horizon déterminé, 2050 ou 2100 par exemple. De même les scénarios d émission des différents GES envisagés à l horizon 2050 et 2100 vont provoquer de nouvelles contributions au réchauffement de la planète entre 2015 et ces dates horizon. Notre but est d expliciter le rôle de chacun de ces gaz à effet de serre sur le réchauffement, mesuré en augmentation de température engendrée par chacun des gaz pour des scénarios d émission contrastés. 1. Un scénario de référence et une variante CH4 Nous avons arbitrairement choisi pour scénario de référence un scénario de forte réduction linéaire des émissions de CO2 de 2015 à 2050 qui aboutit à partir de 2050 à l absence d émissions de CO2, absence qui se maintient jusqu à Ce scénario est compatible avec les ambitions climatiques affichées par l Europe. La pente de réduction proposée prolonge en la renforçant la tendance observée depuis le début des années On propose pour le méthane CH4 et le N2O une division par deux des émissions d ici 2050, suivie d une stagnation sur la période Il est en effet difficilement envisageable de réduire sensiblement plus les émissions de ces deux gaz sans remettre très fortement en cause la production agricole de l Union Européenne, dans la mesure où les émissions de méthane et de N2O de l agriculture et de l élevage sont élevées (autour de 40% pour CH4 et de 60 à 70% pour N2O). Figure 1 - Décroissance des émissions de CO2 du scénario de référence
5 Figure 2 - Décroissance des émissions de CH4 du scénario de référence Figure 3 - Décroissance des émissions de N2O du scénario de référence Nous allons comparer ce scénario à une variante où les émissions de CO2 et de N2O respectent la trajectoire du scénario de référence, mais dans lequel un relâchement sur l effort de réduction des émissions de CH4 se produit, qui conduit à une stagnation de ces émissions à leur valeur de 2015 jusqu à On observera que ce scénario est compatible avec l évolution des émissions européennes de CH4 qui semblent se stabiliser.
6 Figure 4 - Décroissance des émissions de CH4 des scénarios «référence» et «variante» 2. Quelle est la part de responsabilité pour chaque gaz dans la contribution de l Union européenne au réchauffement aux horizons 2050 et 2100 et pour les deux scénarios? L algorithme précédemment cité repose sur le calcul à chaque horizon temporel du cumul en GteqCO2 des différents gaz à effet de serre, principalement CO2, CH4 et N2O, qui à eux trois représentent près de 95% de l ensemble des gaz à effet serre responsables du réchauffement. Le tableau 1 ci- dessous rappelle les valeurs d émission des différents gaz de 2015 à 2100 dans le scénario de référence et dans la variante Tableau 1 - Evolution des émissions du CO2 du CH4 et de N2O dans les scénarios «référence» et «variante». Mt CH4 référence CH4 variante CO2 N2O ,10 22, , ,52 22, , ,94 22, , ,36 22, , ,78 22, , ,20 22, , ,62 22, , ,05 22,10 0 0, ,05 22,10 0 0,42
7 Pour CO2, le cumul des émissions s effectue simplement par addition des émissions annuelles des valeurs du tableau. C est également simple pour N2O dont le PRG (296) ne varie pratiquement pas au cours de la période considérée : le cumul en teqco2 est donc égal au produit de la somme des émissions annuelles par le coefficient 296 représentant le PRG de N2O sur cette période. Par contre, pour CH4, il est impératif d associer à chaque année d émission la valeur du PRG du méthane à l horizon considéré (2050 ou 2100) pour en faire le cumul puisque ce PRG varie avec le temps comme le montre le tableau 2 consacré à l horizon Tableau 2 - Calcul du cumul d émissions de CH4 en MteqCO2 à l horizon 2050 du scénario de référence PRG Emissions CH4 Horizon référence (Mt) 2050 MteqCO2 Cumul MteqCO ,1 61, ,52 68, ( )*5/2 = ,94 75, ,36 83, ,78 93, ,2 104, ,62 114, ,05 119, Cumul Le tableau 2 se lit ainsi : - Ligne 1 (2020): Le nombre 22,1Mt est l émission de méthane de l année Le nombre 61,9 (en gras) de la colonne 3 est le PRG d une émission en 2015 dont on cherche à connaître les conséquences en 2050, soit 35 ans plus tard 3. Le nombre 1368, produit des deux nombres précédents est l émission de CH4 en MteqCO2 à l horizon Le nombre 6914 MteqCO2 (ou 6914 GteqCO2) de la dernière colonne est le cumul des émissions de CH4 de 2015 à 2020 obtenu par interpolation entre 2015 et Dernière ligne Le nombre 50123, somme de tous les nombres de la dernière colonne représente donc le cumul en MteqCO2 des émissions de CH4 du scénario de 2015 à L algorithme indique alors que l augmentation de température de l atmosphère due au méthane sur la période de ce scénario est de 0,444*50,123/1000 = 0,022 degrés. Le tableau 3 résume les résultats obtenus en 2050 pour les deux scénarios envisagés. 3 On trouvera en Annexe l abaque qui indique ces chiffres pour les différentes dates d émission et dates horizon
8 Tableau 3 - Contribution au réchauffement du climat du scénario «référence» et «variante» de chacun des gaz à effet de serre à l horizon 2050 Horizon 2050 CH4 CO2 N20 Total Cumul des émissions Scénario référence (MteqCO2) Dt 2050/2015 Scénario référence ( C) 0,022 0,027 0,003 0,052 Cumul des émissions Scénario variante (MteqCO2) Dt 2050/2015 Scénario variante ( C) 0,031 0,027 0,003 0,061 Dans le scénario de référence, la contribution du méthane au réchauffement de la planète (0,022 degré) est légèrement inférieure à celle du CO2 (0,027 degré). Dans la variante à CH4 constant sur la période la contribution du méthane (0,031 degré) dépasse celle du CO2. Le tableau 4 résume les résultats obtenus en 2100 pour les deux scénarios envisagés. Tableau 4 - Contribution au réchauffement du climat du scénario «référence» et «variante» de chacun des gaz à effet de serre à l horizon Horizon 2100 CH4 CO2 N20 Total Cumul des émissions Scénario référence (MteqCO2) Dt scénario référence ( C) 0,029 0,027 0,006 0,06 Cumul des émissions Scénario variante (MteqCO2) Dt scénario variante ( C) 0,052 0,027 0,006 0,09 A l horizon 2100, la contribution du méthane au réchauffement de la planète (0,029 degré) dépasse légèrement celle du CO2 dans le scénario de référence. Par contre dans la variante à CH4 constant sur la période, la contribution du méthane (0,052 degré) est près du double de celle du CO2 et la contribution totale de l Union européenne atteint 0,09 degré contre 0,06 dans le scénario de référence. Ces deux tableaux montrent l importance des émissions de méthane depuis 2015 dans la participation de l Union européenne au changement climatique jusqu à l horizon 2050 et plus encore jusqu à l horizon Dans les scénarios étudiés, le méthane fait au moins jeu égal avec le CO2 et peut atteindre une contribution deux fois plus importante que celle du CO2 à 2100 pour la variante à CH4 constant. Les politiques climatiques européennes ne peuvent pas donc se contenter d objectifs CO2, fussent- ils très ambitieux, sans accompagner cette ambition d efforts importants de réduction des émissions de CH4, au risque de voir les efforts sur le CO2 ruinés par le laxisme sur les réductions de CH4. C est d autant plus important qu une bonne part des mesures de réduction des émissions de méthane, dans le système énergétique, la gestion des déchets et des eaux usées ont des coûts économiques nuls ou bas et permettent de récupérer du méthane utilisable à des fins énergétiques.
9 Annexe 1 - Le PRG du méthane On sait depuis longtemps que le méthane CH4 est un puissant gaz à effet de serre (GES). Sa capacité à piéger le rayonnement infrarouge émis par la Terre est environ 120 fois plus importante par unité de poids que celle du gaz carbonique. En revanche, sa durée de vie dans l atmosphère est beaucoup plus faible que celle du CO2 (10 à 12 ans contre plus de 100 ans). Cela ne veut pas pour autant dire qu au bout de 12 ans toutes les molécules de CH4 émises à un moment donné ont disparu, mais que la courbe de décroissance du CH4 dans l'atmosphère est proche de l'exponentielle e - t/12 4. Comme le montre la figure 5, la fonction de décroissance du CO2 (constituée de 3 exponentielles), est beaucoup plus lente. Figure 5 - Fonctions de décroissance du méthane CH4 et du gaz carbonique CO2 dans l atmosphère sur 20 et 500 ans On conçoit donc que l effet d une émission ponctuelle d un kg de méthane, environ 120 fois plus important au départ que celle d un kg de CO2, diminue avec le temps. Deux indicateurs ont été développés dans le cadre du GIEC pour rendre compte de ce phénomène, le pouvoir de réchauffement global (PRG) et le pouvoir de température global (PTG). Le PRG est habituellement utilisé comme «coefficient d équivalence» pour comptabiliser en «tonne équivalent CO2 (teqco2)» les émissions des GES autres que le CO2 afin de simplifier le message envoyé aux décideurs politiques en leur permettant d élaborer les politiques de lutte contre le changement climatique comme s il s agissait de réduire les émissions d un seul gaz, exprimées en teqco2. 1. Le PRG du méthane Le PRG du CH4 mesure l impact énergétique cumulé pendant une période déterminée TH d une émission ponctuelle d une tonne de CH4 par rapport à celui de l émission ponctuelle d une tonne de CO2, toutes deux émises à l instant zéro. Il est représenté par une formule du type PRG CH4 (TH) = A x TH C CH 4 0 TH C CO 2 0 ( t)dt ( t)dt 4 Il ne reste que 37% du CH4 12 ans après son émission, mais encore 19% 20 ans plus tard, 1,6% 50 ans plus tard, etc.
10 Où le terme A tient compte des efficacités radiatives respectives des deux gaz et d une série de coefficients correcteurs. Les intégrales sont celles des concentrations respectives du CH4 et du CO2 tout au long de la période 0- TH. Le tableau 5 donne l évolution du PRG du CH4 ainsi calculé. Tableau 5 : Pouvoir de réchauffement global du méthane (PRG) pour des horizons croissants de 0 à 120 ans
CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières
CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières 1. CONSOMMATION FINALE D ELECTRICITE...2 1.1 EVOLUTION SUR LA PERIODE 2000-2013... 2 1.2 ENTRE 2010
Plus en détailBilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton
Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France Olivier Laguitton Saint Etienne, le 18 février 2013 Contenu de la présentation Le contexte du développement durable Passage en revue de la législation
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011
Bilan des émissions de gaz à effet de serre 21-211 Méthode Bilan Carbone - Rapport final - février 212 II. DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE Page 6 Sommaire I. CONTEXTE III. ANNÉE DE REPORTING ET ANNÉE
Plus en détailLA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE
LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE Bernard LAPONCHE 18 mai 2011 www.global-chance.org LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE UNE COMPARAISON
Plus en détailAppel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste
Appel à projets " Plan Climat Régional» Soutien de l investissement participatif dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l énergie au bénéfice des territoires 1 Contexte : Les grands objectifs
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailENJEUX ENERGETIQUES. Le Monde et la France. L énergie dans les territoires
ENJEUX ENERGETIQUES Le Monde et la France L énergie dans les territoires * Bernard LAPONCHE (Données statistiques : Enerdata) 1 Monde : Consommation d énergie primaire (2008 : 12,2 milliards de tep) Energies
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailMatériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles
Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du
Plus en détailPlan Climat Territorial de la Communauté d Agglomération de l Artois
Plan Climat Territorial de la Communauté d Agglomération de l Artois I - Le changement climatique A) L effet de serre 1 Un phénomène naturel. 2 Les différents gaz à effet de serre. 3 Les effets probables
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailLe développement durable peut-il se passer d engrais minéraux?
Avec la participation i de l Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux? Philippe EVEILLARD UNIFA Union des Industries de la Fertilisation Le développement durable et l agriculture :
Plus en détailQuelques chiffres clés de l énergie et de l environnement
Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1
Plus en détailComparaison des mix énergétiques allemand et français 2
La transition énergétique vue d Allemagne, un exemple à suivre Briefing. Mai 2011. Grâce au nucléaire, la France serait indépendante d un point de vue énergétique, championne en matière de lutte contre
Plus en détailDECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes
DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes 14 ème journée d étude des productions porcines et avicoles,
Plus en détailPourquoi un bilan Green IT? Zoom sur la méthodologie. Les chiffres clés Et moi?
Pourquoi un bilan Green IT? Zoom sur la méthodologie Les chiffres clés Et moi? Bilan Green IT mars 2011 Bilan Green IT mars 2011 Pourquoi un bilan Green IT? > CONTEXTE En France, la loi sur la Responsabilité
Plus en détail1. CONTEXTE...4 2. AVERTISSEMENT AU LECTEUR...5 3. DÉFINITIONS...7
Septembre 2011 Méthode pour la réalisation des bilans d émissions de Gaz à effet de serre conformément à l article 75 de la loi n 2010788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l environnement
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détailPour une harmonisation des méthodes et des paramètres économiques. de comparaison entre les filières de production ou d économie d énergie
Pour une harmonisation des méthodes et des paramètres économiques de comparaison entre les filières de production ou d économie d énergie Benjamin Dessus 13 mars 2013 www.global-chance.org 13 mars 2013
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA
Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA 1. Description de la société Fromageries Bel SA : Code NAF : 1051C Code SIREN : 542.088.067, les numéros SIRET associés sont
Plus en détailComprendre les négociations internationales sur le climat. Contexte, historique et enjeux
Comprendre les négociations internationales sur le climat Contexte, historique et enjeux Chapitre 1 LE CONTEXTE: L URGENCE CLIMATIQUE La planète s est déjà réchauffée de +0,8 C Les impacts Les impacts
Plus en détailL énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge
L énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge 1. Sécurité d approvisionnement Le taux de dépendance énergétique de la Belgique est plus important que la moyenne européenne. Ainsi en 2011, le taux
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détailOléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière
L'impact des biocarburants sur l'effet de serre Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière Auteur(s) : Etienne POITRAT, ADEME (Agence de l'environnement
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailPlan Climat Énergie. Territorial
Plan Climat Énergie Territorial Avril 2014 Rédaction : Anne LASTMANN, Gilles GRANDVAL, Gaël LAMBERTHOD Mosaïque Environnement Contribution et Rédaction : l ensemble des services du Conseil général de la
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailLes Technologies de l Information et de la Communication et leurs impacts sur l environnement
Les Technologies de l Information et de la Communication et leurs impacts sur l environnement Selon le rapport "Impacts of Information and Communication Technologies on EnergyEfficiency", réalisé par BIOIS
Plus en détailTSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1
TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun
Plus en détailSciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENERGIE THERMIQUE ENERGIE THERMIQUE
Sciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENERGIE THERMIQUE 1 ère STI2D CI5 : Efficacité énergétique active TP1 EE ENERGIE THERMIQUE INSTRUCTIONS PERMANENTES DE SÉCURITÉ 1. Avant
Plus en détailLES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE
LES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE Gontran Bage Directeur- Développement durable et gestion des GES GES dans le secteur
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailLe contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique.
Final le 08/10/2007 Le contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique. - NOTE DETAILLEE - 1- Le contexte Le calcul du contenu
Plus en détailNOTES TECHNIQUES ET ORDRES DE
CONSTATS ET ENJEUX CHAPITRE 1 - NOTES TECHNIQUES ET ORDRES DE GRANDEURS - CDDRA DE LA DRÔME DES COLLINES - - Juin 2011 POINT INFORMATION ENERGIE 44 RUE FAVENTINES, BP 1022, 26010 VALENCE CEDEX tél. 04
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailLes émissions de GES au quotidien et les gains possibles
Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que
Plus en détailII. REVOD Plongée à l ordinateur. Septembre 2010. Plan de l exposé
1 Décompression II. REVOD Plongée à l ordinateur Septembre 2010 Plan de l exposé Introduction Typologie de la décompression: No déco Déco légère Déco Lourde La planification Les profils de plongée Le palier
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailChapitre 1. L intérêt. 2. Concept d intérêt. 1. Mise en situation. Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de :
Chapitre 1 L intérêt Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de : 1. Comprendre la notion générale d intérêt. 2. Distinguer la capitalisation à intérêt simple et à intérêt composé. 3. Calculer la
Plus en détail10.CARBON DESKTOP : RÉDUIRE SES COÛTS GRÂCE A UN SUIVI INFORMATISE DES DONNÉES DÉCHETS ET ÉNERGIE
ÉTUDE DE BENCHMARKING SUR LES DÉCHETS DANS LES MÉTHODOLOGIES D ACTION SUR LES COÛTS ET SUR LES 10.CARBON DESKTOP : RÉDUIRE SES COÛTS GRÂCE A UN SUIVI INFORMATISE DES DONNÉES DÉCHETS ET ÉNERGIE Type de
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailPlan Climat Energie du Conseil général de l Oise. Programme d actions 2013-2015
Plan Climat Energie du Conseil général de l Oise Programme d actions 2013-2015 SOMMAIRE Introduction... 3 1. L engagement du mondial au local dans la lutte contre le changement climatique et la dépendance
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailTableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailLA SOCIÉTÉ CANADIAN TIRE VIABILITÉ DE L ENTREPRISE EMPREINTE ÉCOLOGIQUE DE L ENTREPRISE ET DE LA CHAÎNE D APPROVISIONNEMENT 2007 (1)
Incorporées aux produits (2) LA SOCIÉTÉ CANADIAN TIRE VIABILITÉ DE L ENTREPRISE EMPREINTE ÉCOLOGIQUE DE L ENTREPRISE ET DE LA CHAÎNE D APPROVISIONNEMENT 2007 (1) TABLEAU 1 TOTAUX Émissions de gaz à effet
Plus en détailChangement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est?
Dossier pédagogique 3 Langues, géographie, sciences, histoire Changement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est? plus de 100 ans de recherches scientifiques Changement climatique, Effet de serre, gaz à
Plus en détailSuivi des émissions de gaz à effet serre causées par l'achat d'électricité
Suivi des émissions de gaz à effet serre causées par l'achat d'électricité Un résumé du Guide Scope 2 du Greenhouse Gas Protocol Rédigé par le Secrétariat EKOénergie, janvier 2015 Ce résumé existe en plusieurs
Plus en détailPlan climat de la France
Plan climat de la France Actualisation 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement www.developpement-durable.gouv.fr PLAN CLIMAT / 2011 /3 ÉDITORIAL F ace au
Plus en détailPAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE?
PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE? F R A N Ç O I S E B E R T H O U D G D S E C O I N F O / C N R S w w w. e c o i n f o. c n r s. f r F r a n c o i s e. B e r t h o u d @ g
Plus en détailADEME. Analyse comparée des impacts environnementaux de la communication par voie électronique. Présentation des résultats
Direction Communication, Formation, Développement Analyse comparée des impacts environnementaux de la communication par voie électronique Présentation des résultats Juillet 2011 Contact BIO Intelligence
Plus en détailBILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A. Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1
BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 2. PRESENTATION DE THALES SA... 3 2.1. Informations relatives à la personne morale... 3 2.2. Personne
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détailenquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie.
4.0 Contrôles /4 4 e enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie. RPPEL de 0. Wikipédia 2/2 Dans le chapitre : XX e siècle : ( 4.0 mythe paroxysme ) sous la photo d un
Plus en détailProduction électrique : la place de l énergie éolienne
Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailLe confort toute l année
Le confort toute l année Altherma de Daikin, c est une solution performante pour le chauffage de votre maison, mais pas seulement! C est aussi votre source d eau chaude sanitaire, ainsi que votre système
Plus en détailFrance Telecom SA. Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012
France Telecom SA Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012 1. Description de la personne morale concernée Raison sociale : France Telecom SA Code NAF : 6110Z / Télécommunications filaires
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détail8/10/10. Les réactions nucléaires
Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailÉpreuve collaborative
Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. accompagnant le document:
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 22.4.2015 SWD(2015) 88 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT accompagnant le document: Rapport de la Commission au Parlement
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailLA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE
Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailSécheurs par adsorption à régénération par chaleur
Sécheurs par adsorption à régénération par chaleur Des Systèmes Complets Innovants Pourquoi l air comprimé sec et propre est-il important? Dans la majorité des industries, l air comprimé est un fluide
Plus en détailStratégie Carbone et Energie de la STIB à l horizon 2030
Stratégie Carbone et Energie de la STIB à l horizon 2030 Mai 2014 Introduction 03 Diagnostic pour l année 2010 04 Paramètres d influence 05 Actions visant à réduire les émissions 06 Modélisation 07 Scénarios
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailPour une meilleure santé
Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES
Plus en détailDÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS
DÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS Les enjeux pour la transition énergétique Didier Lebout, Strategy and Development Director Gazprom Marketing and Trading France Deauville, 28 juin 2013 Dans
Plus en détailUtilité écologique du recyclage du PET en Suisse
Récapitulatif de l étude Utilité écologique du recyclage du PET en Suisse réalisé par Dr. Fredy Dinkel Carbotech AG, Bâle par ordre de PRS - PET-Recycling Schweiz Contact PRS - PET-Recycling Schweiz Naglerwiesenstrasse
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES)
Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES) BEGES TABLE DES MATIÈRES 1- INTRODUCTION 2 1-1 - OBJET 2 1-2 - LE CADRE REGLEMENTAIRE 2 1-3 - CONTENU DU RAPPORT 3 1-4 - DEFINITIONS 3 2- BILAN DES EMISSIONS
Plus en détailCapture et stockage du CO2 (CCS)
European Technology Platform for Zero Emission Fossil Fuel Power Plants (ZEP) Capture et stockage du CO2 (CCS) Une solution majeure pour combattre le changement climatique 50% de réduction des émissions
Plus en détailoption pour le climat?
Biosolides municipaux Quelle est la meilleure option pour le climat? Claude Villeneuve, professeur titulaire, directeur de la Chaire en éco-conseil de l Université du Québec à Chicoutimi (Claude_Villeneuve@uqac.ca)
Plus en détailRéduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique
Réduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique Florent PERRIN Responsable région Rhône Alpes CleanTuesday Rhône-Alpes Juin 2010 CONTEXTE ENVIRONNEMENTAL Le GIEC a confirmé que
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détailRapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6)
Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) ler semestre 2002 Renault O. Juiilei ZOO2 Ri-51786 Rapport de suivi du système de
Plus en détailContributions Prévues Déterminées au Niveau National (INDC) pour le secteur de l Utilisation des terres:
Contributions Prévues Déterminées au Niveau National (INDC) pour le secteur de l Utilisation des terres: Atelier régional sur les contributions des secteurs de l agriculture, de l élevage et des forêts
Plus en détailAppuis de l ADEME à la Transition Energétique dans les Transports
Appuis de l ADEME à la Transition Energétique dans les Transports Jérôme CICILE Transports, Mobilité, Qualité de l Air ADEME Direction Régionale PACA ORT- Avril 2015 De l évaluation des filières énergétique
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailFondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone
Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Mettre l écologie au cœur des consciences Fondée en juillet 2005 par Yann Arthus-Bertrand
Plus en détailL ÉNERGIE EN MAYENNE. Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers. Acteurs. de la transition énergétique. en Mayenne
Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers Acteurs de la transition énergétique en Mayenne Les dépenses énergétiques en Mayenne sont de 1.5 million d euros par jour ou 550 millions d euros par
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailUNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT
UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir
Plus en détailBiogaz et méthanisation
Note pour les comités opérationnels 10 (Energies renouvelables) et 15 (agriculture) COMITE DE LIAISON ENERGIES RENOUVELABLES (CLER) Contact: Christian Couturier, christian.couturier@solagro.asso.fr 05
Plus en détailRÉDUIRE LES EFFETS DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES SUR L ENVIRONNEMENT
DIRCTION D LA COMMUNICATION CORPORAT D O S S I R D PRSS Lyon / Mars 2013 RÉDUIR LS FFTS DU TRANSPORT ROUTIR D MARCHANDISS SUR L NVIRONNMNT Pour réduire les effets sur l environnement tout au long du cycle
Plus en détail