PRISE EN CHARGE DE L ARRÊT CARDIO RESPIRATOIRE AVANT L ARRIVEE DU MEDECIN REANIMATEUR. ARCO Blois, Chartres, Dreux, Orléans, Saint Malo 1
|
|
- Marthe Breton
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PRISE EN CHARGE DE L ARRÊT CARDIO RESPIRATOIRE AVANT L ARRIVEE DU MEDECIN REANIMATEUR ARCO
2 INTRODUCTION Première rencontre en octobre 2009 dans le cadre de l A.R.C.O. Après intervention du C.H. Le Mans sur la prise en charge du patient en Arrêt Cardio Respiratoire, notre groupe décide d approfondir ce sujet pour plusieurs raisons : L intérêt que suscite cette prise en charge chez les paramédicaux Les difficultés organisationnelles La formation des nouveaux agents Nous décidons d orienter notre thème de travail sur la prise en soins des patients en arrêt cardio-respiratoire en réanimation avant l arrivée du médecin ARCO
3 METHODOLOGIE Elaboration de questionnaires afin de dresser un état des lieux Analyse de ces questionnaires Propositions d axes d amélioration Evaluation ARCO
4 Première partie : Présentation de l interrogé (âge, fonction, année de D.E., ancienneté dans le service, formation à l A.C.R. et au D.S.A.). Deuxième partie : Interrogation sur le matériel, les connaissances à propos de l A.C.R. et les pratiques soignantes. Troisième partie : QUESTIONNAIRES Attentes des agents concernant la prise en charge des patients en A.C.R. ARCO
5 ANALYSE DES QUESTIONNAIRES Fonction 28% IDE AS 72% 145 agents ont répondu au questionnaire, répartis sur 8 Centres Hospitaliers. Le panel est composé au 2 tiers d I.D.E ARCO
6 Ancienneté dans le service 1% 18% 34% Moins d'un an 1 à 5ans sup à 5ans sans réponse 47% 50% des agents ont une ancienneté dans leur service de réanimation comprise entre 1 et 5 ans. ARCO
7 % Asystolie Arrêt respiratoire Non réponses aux stimulis Etat clinique Troubles hemodynamiques Autres 97% des agents identifient l arrêt par une asystolie. Les trois quarts des agents constatent également l arrêt respiratoire Moins des deux tiers se fient à l état neurologique du patient. ARCO
8 EN RESUME Le personnel paramédical fait part d un manque de connaissance théorique et pratique sur la prise en charge de l arrêt cardio-respiratoire Il semble important de revoir l organisation du personnel lors de la prise en charge de l arrêt cardiorespiratoire Y a-t-il une utilité du D.S.A. en Réanimation? ARCO
9 AXES D AMELIORATION Création d un cours théorique et d ateliers pratiques sur l arrêt cardio-respiratoire afin de : Remobiliser les connaissances dans le cadre de la formation continue. Former les nouveaux agents dans le cadre de la formation d adaptation à l emploi. Création d une fiche technique servant de conduite a tenir en cas d arrêt cardio-respiratoire Réflexion sur l utilisation du D.S.A. en réanimation. ARCO
10 REMARQUES Les cours théoriques, ateliers pratiques et fiches techniques que nous allons présenter ci-après sont des outils créés à partir de l expérience de nos centres hospitaliers. Il appartient à chaque centre désireux d appliquer notre méthode de se l approprier et de l adapter en fonction de ses attentes et de ses ressources. Nous ne proposons pas des recommandations, mais des outils adaptables et modulables. ARCO
11 COURS THEORIQUES ARCO
12 LA PRISE EN CHARGE DE L ARRÊT CARDIO RESPIRATOIRE 1 DEFINITION 2 PHYSIOPATHOLOGIE 3 SIGNES 4 ETIOLOGIES Les anomalies ECG nécessitant un Massage Cardiaque Externe 5 BUT DE LA REANIMATION CARDIO-PULMONAIRE 6 CONDUITE A TENIR MCE LVAS (Libération des Voies Aériennes Supérieures) VA 7 GESTES ASSOCIES 8 DEFIBRILLATEUR Rôle du défibrillateur Utilisation du défibrillateur Législation du DSA 9 CONCLUSION 12
13 Evaluation de l apport théorique par le C.H. Blois : , état de cons cience abs ence pouls abs ence ventilation scope pas de mvts respi du sternum IDE AS NON CF TOTAL absence ta phys ique: pâleur,s ueur, cyanos e
14 ATELIERS PRATIQUES ARCO
15
16
17 FICHES SYNTHETIQUES ARCO
18 Il s agit d une fiche de synthèse : Identifiée Connue de tous Localisée Validée par le cadre et l équipe médicale Elle comprend : FICHES SYNTHETIQUES Les signes de l arrêt cardio respiratoire Le déroulement de la prise en charge Le nombre de soignants concernés lors de cette prise en charge ARCO
19 SIGNES Inconscience Abolition des pouls périphériques Arrêt respiratoire NOMBRE D AGENTS DANS LA CHAMBRE 2 à 4 CONDUITE A TENIR Alerter le réanimateur Noter l heure de l arrêt Mettre à plat/plan dur Débuter le massage cardiaque externe VAC + FiO2 100% Ballonner au BAVU 15L/min et préparer le plateau d intubation Vérifier la voie d abord Préparer les drogues (adrénaline) Rapprocher le défibrillateur/ Brancher le D.S.A. ARCO
20 PRISE EN CHARGE DE L ACR AVANT L ARRIVEE DU REANIMATEUR BLOIS SIGNES DE L ARRÊT CARDIO-RESPIRATOIRE : Perte de connaissance. Arrêt respiratoire. Absence de pouls carotidiens et fémoraux. PATIENT NON INTUBE * IDE n 1 = Vérifier l état de csc, la respiration, le pouls, mettre à plat sur un plan dur. Alerter et noter l heure PATIENT INTUBE IDE n 1 = Vérifier l état de csc, le pouls, mettre à plat sur un plan dur, noter l heure, mettre en VAC à 100% et alerter. AS n 1 = MCE 30 compression pour 2 insufflations. AS n 1 = MCE. IDE n 1 = Libérer les voies aériennes, ballonner à 15L, vérifier l aspiration et vérifier l absence de dentier. * AS n 2 = Prévenir le médecin au Ramener le chariot d urgence et pose des palettes du DSA * IDE n 2 = Vérifier la voie d abord et préparation du matériel d intubation et des drogues : 10mg d adrénaline dans 10ml. *AS n 2 = Prévenir le médecin au 6925, ramener le chariot d urgence et poser les palettes du DSA. IDE n 1 = Vérifier la voie d abord et préparer les drogues : 10mg d adrénaline dans 10ml. * IDE n 2 ou AS n 2 = Vérifier l aspiration et préparer le BAVU. PS : Mettre les ampoules utilisées dans un haricot pour la traçabilité
21 CONDUITE A TENIR EN CAS D ARRET CARDIO RESPIRATOIRE Abolition des pouls périphériques Arrêt respiratoire Perte de conscience SIGNES Constat de l arrêt cardio-respiratoire CONDUITE A TENIR Alerter le binôme référent du patient Faire prévenir le réanimateur de garde Noter l heure DREUX Intubé/Ventilé I.D.E. Mettre le respirateur en VAC FiO 2 100% Mettre sur plan dur et allonger le patient Débuter le massage cardiaque externe A.S. Aller chercher : le chariot d urgence le défibrillateur Relayer l IDE au massage cardiaque externe I.D.E. Vérifier la voie d abord Préparer les drogues (Adrénaline une seringue de 10mg/10ml) Attribuer le rôle de chacun Le binôme dans le box 1 I.D.E. àla porte Non intubé I.D.E. Ventilation au B.A.V.U. O 2 15L/min Mettre sur plan dur et allonger le patient Débuter le massage cardiaque externe A.S. Aller chercher : le chariot d urgence le défibrillateur Chercher un respirateur et le fibroscope Préparer le plateau d intubation Relayer l IDE au massage cardiaque externe I.D.E. Vérifier la voie d abord Préparer les drogues (Adrénaline une seringue de 10mg/10ml) Attribuer le rôle de chacun
22 ORLEANS PROCEDURE EN CAS D ARRÊT CARDIAQUE AVANT L ARRIVEE DU MEDECIN REANIMATEUR C.A.T Absence de pouls (Asystolie / Bradycardie extrême /Fibrillation Ventriculaire) Arrêt respiratoire Perte de connaissance 3 agents minimum dans la chambre : 2 IDE et 1 AS 1 ère personne : (qui reconnait l arrêt) - ALERTER LE REANIMATEUR et l équipe - Noter l heure d arrêt - Mettre à plat / plan dur - Débuter le massage cardiaque externe - VAC + FiO2 100% 2 ème et/ou 3 ème personne : - Ballonner au BAVU 15l/min - Préparer le plateau IOT - Poursuivre ou relayer au MCE - Vérifier voie d abord - Préparer drogues (adrénaline, atropine) - Rapprocher le défibrillateur + brancher DSA Dés l arrivée du réanimateur : - Poursuivre le massage cardiaque externe - Réaliser les prescriptions médicales ARCO Assurer la traçabilité SIGNES Patient non ventilé
23 Etude multicentrique A.R.C.O. : Blois, Chartres, Dreux, Orléans, Saint Malo 23
24 ANNEXE (contenu du cours théorique) ARCO
25 1 DEFINITION L Arrêt Cardio-respiratoire ( ACR) est une Urgence Vitale = interruption brutale de la circulation sanguine dans le corps + arrêt ventilatoire + perte de connaissance = DC du patient 2 PHYSIOPATHOLOGIE L Arrêt Cardio-respiratoire entraîne : - une HYPOXEMIE - une ACIDOSE MIXTE respiratoire hypercapnique métabolique par anaérobiose (acide lactique) - MORT CELLULAIRE (cerveau et cœur +++ mais aussi reins, foie...) 3 SIGNES - Personne inconsciente et aréactive = COMA - Absence de ventilation spontanée efficace - Absence de pouls carotidien et/ou fémoral = ÉTAT DE MORT APPARENTE 25
26 4 ETIOLOGIES - Neurologiques (AVC) - Intoxications (médicamenteuses) - Respiratoires (bouchons, fausses routes, spasmes, pneumothorax) -Cardiovasculaires (IDM, trouble du rythme, trouble de la conduction = TV et FV, dissection aortique, hémorragie, hypo-hyperkaliémie) Les anomalies ECG nécessitant un Massage Cardiaque Externe *Fibrillation Ventriculaire *Asystolie *Dissociation Electro-Mécanique (Présence d une activité électrique sans activité mécanique du myocarde) *Tachycardie Ventriculaire *Bradycardie extrême < 30 bpm associée à chute de TA < 50 mmhg Attention : toujours vérifier la fiabilité du tracé avant de commencer le MCE (électrodes bien collées et connectées au câble ECG ET contrôle du pouls) 26
27 5 BUT DE LA REANIMATION CARDIO-PULMONAIRE Assurer une ventilation et une perfusion myocardique et cérébrale suffisante jusqu à restauration d une hémodynamique spontanée efficace La RCP doit débuter précocement Facteur Temps +++ Débit cardiaque et cérébral assuré par Massage Cardiaque Externe (MCE) Apport d oxygène par Ventilation Artificielle (VA) 27
28 6 CONDUITE A TENIR a) MCE - Décubitus dorsal sur plan dur - Appui médio-sternal du talon des 2 mains - Poussée verticale, bras tendus - Fréquence à 100/min avec dépression de 5 à 6cm - Patient adulte: Débuter par MCE 30 compressions pour 2 insufflations - Patient enfant : Débuter par ventilation 15 compressions pour 2 insufflations -Si 1 seul soignant, privilégier le MCE (ne pas ventiler) - Contrôler l efficacité du MCE au bout de 2 min Vérification pouls carotidien ou fémoral + scope Arrêt bref + changement de personne 28
29 b) LVAS (Libération des Voies Aériennes Supérieures) - Extraction d un corps étranger (dentier +++, aliments ) - Manœuvre de Heimlich si obstruction TOTALE - Aspiration des sécrétions oro et naso-pharyngées - Hyper-extension de la tête - Subluxation du maxillaire inférieur - Canule de Guedel c) VA - Ne se conçoit qu après LVAS Risque majeur = Insuffler dans l estomac /Régurgitations et inhalation bronchique -Technique : Insufflation manuelle au BAVU (Ballon Auto-gonflable à Valve Unidirectionnelle) Ballon avec réservoir relié à 15L d O2 = FiO2 100% mettre en VC 100% si patient intubé -Contrôler l efficacité de la ventilation Mouvement de la poitrine / coloration / SpO2 29
30 7 GESTES ASSOCIES *S'assurer d'avoir une voie veineuse périphérique fonctionnelle *Préparer les drogues: adrénaline en priorité (administration de l adrénaline possible en intra-trachéale si pas d abord veineux) *Préparer le nécessaire pour l'intubation *Rapprocher: chariot d'urgence respirateur défibrillateur *Se tenir disponible pour relayer au MCE et ne JAMAIS ARRETER LA RCP DE BASE 30
31 8 DEFIBRILLATEUR a) rôle du défibrillateur Appliquer un courant électrique d énergie suffisante le long de l axe du cœur pour rétablir un rythme sinusal Traitement de la Fibrillation Ventriculaire et de la Tachycardie Ventriculaire Pas d indication lors d asystolie +++ b) utilisation du défibrillateur Mise en place des palettes : 1 - sternum 2 - apex c) législation du DSA L'utilisation du DSA par du personnel autorisé (décret n du 27/03/1998 et décret n du 11/02/2002) et formé (arrêté du 04/02/1999) réduit le délai de délivrance du choc électrique externe La législation permet de répondre aux objectifs fixés par les recommandations internationales de défibrillation précoce (délai optimal pour le premier choc inférieur à 3 min). Le décret de compétence professionnelle des infirmières (décret n du 11/02/2002) autorise l'usage du DSA dans leur rôle propre. 31
32 CONCLUSION - Faire rapidement le diagnostic - Alerter ou faire alerter - Noter l heure Débuter la RCP de base a) MCE b) LVAS c) VA (BAVU, respirateur) - Rythme : 30 compressions de 5 à 6 cm avec fréquence de 100/min pour 2 insufflations -1 personne dirige la RCP avant l'arrivée du médecin pour faciliter l organisation et optimiser la prise en charge - Pas de place pour l improvisation - Gestes acquis - Entraînement régulier - Technique standardisée 32
25/09/2014 CR : BRASSIER Julia. LEVERRIER Floriane L2 Médecine d'urgence (AFGSU) P. MICHELET 8 pages. Détresse vitale Arrêt cardiaque Alerte
25/09/2014 CR : BRASSIER Julia. LEVERRIER Floriane L2 Médecine d'urgence (AFGSU) P. MICHELET 8 pages Détresse vitale Arrêt cardiaque Alerte Plan A. Introduction B. Donner l'alerte I. L'alerte en milieu
Plus en détailDEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR
DEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR H e a r t S t a r t ( Philips ) Démonstration réalisée par les Docteurs Alain LIAGRE & Thierry LEDANT Membres du Conseil Syndical DOMAINE DE SAINT PIERRE
Plus en détailAtelier gestes d urgences
Atelier gestes d urgences L arrêt cardio-respiratoire Pré-test 1- Question à choix multiples: A- L arrêt cardio-respiratoire est plus souvent d origine respiratoire chez l enfant. B- L arrêt cardio-respiratoire
Plus en détailUrgence de terrain : conduite à tenir Actualisation de la réanimation cardio-pulmonaire
Urgence de terrain : conduite à tenir Actualisation de la réanimation cardio-pulmonaire Docteur Jean-Pierre PERTEK Chef de service d anesthésie réanimation L arrêt cardio-respiratoire est un événement
Plus en détailActualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailFormation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA)
Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA) Que devons nous savoir? Utiliser en toute sécurité un défibrillateur semi-automatique au cours de la réanimation cardio-pulmonaire Durée
Plus en détailEquipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable
Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau
Plus en détailinformations pratiques
COLLECTIVITÉS LOCALES Arrêt cardiaque informations pratiques avec le soutien de Arrêt cardiaque I Informations pratiques I 1 2 I L arrêt cardiaque L arrêt cardiaque est la première cause de mortalité des
Plus en détailDéfibrillation et Grand Public. Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline
Défibrillation et Grand Public Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline Quelques chiffres (1) 50 à 60 000 décès en France par mort subite dont la moitié font suite à l apparition d une tachycardie
Plus en détailItem 185 : Arrêt cardiocirculatoire
Item 185 : Arrêt cardiocirculatoire Collège National des Enseigants de Réanimation Médicale Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...2 SPECIFIQUE :...2 I Définition...3 II Mécanismes
Plus en détailMémoire pour le Diplôme Inter Universitaire de Pédagogie Médicale. Par Valeria Martinez. Titre. Nouveau programme d enseignement des urgences à
Universités Paris Descartes, Pierre et Marie Curie, Paris Sud et Paris-Est Créteil Val de Marne Mémoire pour le Diplôme Inter Universitaire de Pédagogie Médicale Par Valeria Martinez Titre Nouveau programme
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailMinistère de l intérieur, de l outre-mer et des collectivités territoriales
! Ministère de l intérieur, de l outre-mer et des collectivités territoriales Recommanda)ons DE LA DIRECTION DE LA SÉCURITÉ CIVILE relatives!!! à l initiation du grand public à la prise en charge de l
Plus en détailPro. EPN- Education Nationale Initiation grand public ACR et DAE Page - 1 -
Pro EPN- Education Nationale Initiation grand public ACR et DAE Page - 1 - SOMMAIRE Page de garde page : 1 Sommaire page : 2 Fiche pratique page : 3 Programme page : 4 Progression pédagogique pages : 6
Plus en détailDéfibrillateur Cardiaque Automatisé
Défibrillateur Cardiaque Automatisé Décret n 2007-705 du 4 mai 2007 : autorise toute personne, même non médecin, à utiliser un défibrillateur pour sauver des vies. Def-i Accessible au grand public, ce
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailOr 4 victimes sur 5 qui survivent à un arrêt cardiaque ont bénéficié de ces gestes simples pratiqués par le premier témoin.
La mort subite est la conséquence d un arrêt cardiaque et respiratoire. Elle survient soudainement chez un individu qui se livre à ses occupations habituelles : au travail, en faisant ses courses, mais
Plus en détailCaractéristiques techniques
Défibrillateur Philips HeartStart OnSite Caractéristiques techniques Défibrillateur Modèle Gamme de défibrillateur Éléments livrés Type d onde Énergie Intervalle entre chocs Délivrance rapide du choc Instructions
Plus en détailPREMIERS SECOURS EN ÉQUIPE DE NIVEAU 1
TECHNIQUE 9.1 MISE EN ŒUVRE D UN DAE 1. Justification La survie des personnes en arrêt cardio-respiratoire par fonctionnement anarchique du cœur est amélioré si une défibrillation est réalisée précocement.
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailLES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE. Comité pédagogique SAP SDIS 43
LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE Comité pédagogique SAP SDIS 43 DEFINITIONS Electrisation: manifestations physiopathologiques liées au passage du courant dans l organisme Electrocution: décès par électrisation
Plus en détailFICHE TECHNIQUE CARACTERISTIQUES TECHNIQUES DE L'AEDPLUS
RENSEIGNEMENTS GENERAUX La réponse aux questions suivantes n'est pas valorisée Nom commercial du produit ZOLL AEDPlus Lieu(x) de fabrication pays U.S.A. Date de la 1ère commercialisation mois/année Juin
Plus en détailLe monitoring réinventé
Document destiné aux professionnels de la santé Moniteur de surveillance série CSM-1901 Le monitoring réinventé * L'écran Web est une image de composition Nihon Kohden crée le moniteur du futur Optimisation
Plus en détailLes défibrillateurs POWERHEART G3
Au cœur de la réanimation Les défibrillateurs POWERHEART G3 Linde: Living healthcare* 2 Les défibrillateurs POWERHEART G3 La gamme de défibrillateurs POWERHEART Afin de compléter son offre de matériels
Plus en détailLE DEFIBRILLATEUR SEMI AUTOMATIQUE FR2 DE LAERDAL
PSE 1 Manuel d utilisation DSA 1/12 LE DEFIBRILLATEUR SEMI AUTOMATIQUE FR2 DE LAERDAL 1. PRESENTATION DU D.S.A FR2 DE LAERDAL 1.1. PRINCIPE DE LA DEFIBRILLATION. 1.2. A PROPOS DU D.S.A. 1.3. DESCRIPTION
Plus en détailÉNONCÉ DE PRINCIPE CONJOINT DE L'AMERICAN COLLEGE OF SPORTS MEDICINE ET DE L'AMERICAN HEART ASSOCIATION
ÉNONCÉ DE PRINCIPE CONJOINT DE L'AMERICAN COLLEGE OF SPORTS MEDICINE ET DE L'AMERICAN HEART ASSOCIATION «La défibrillation externe automatique dans les centres de conditionnement physique». Cette énoncé
Plus en détailCe document est destiné à vous permettre de découvrir l offre de formation du Centre d enseignement des soins d urgence du Bas-Rhin (CESU 67).
Cher Client, Ce document est destiné à vous permettre de découvrir l offre de formation du Centre d enseignement des soins d urgence du Bas-Rhin (CESU 67). Rattaché au pôle d anesthésie réanimations chirurgicales
Plus en détailFORMATION SAUVETEUR SECOURISTE DU TRAVAIL
FORMATION SAUVETEUR SECOURISTE DU TRAVAIL «Au-delà de l obligation réglementaire, un enjeu de prévention» EVOLUTION DES PROGRAMMES DE SST Des textes récents des ministères chargés de la santé et de l intérieur
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailLE CHARIOT D URGENCE EN EHPAD POUR QUOI FAIRE?
UNIVERSITE René DESCARTES PARIS V FACULTE COCHIN PORT ROYAL PARIS LE CHARIOT D URGENCE EN EHPAD POUR QUOI FAIRE? Docteur Alain COSSON Diplôme Inter Universitaire de médecin coordonnateur d EHPAD Année
Plus en détailNotions d ECG. Définition. Compétences à acquérir
Notions d ECG 1 Compétences à acquérir Réaliser un ECG 12 dérivations Placer les électrodes d un monitoring Lire un ECG normal Reconnaître et d agir face aux troubles du rythme et de conduction les plus
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailFormation à l'utilisation du défibrillateur semi-automatique Filière professionnelle
DIRECTION DE LA DÉFENSE ET DE LA SÉCURITÉ CIVILES SOUSDIRECTION DES SAPEURSPOMPIERS BUREAU DE LA FORMATION ET DES ASSOCIATIONS DE SÉCURITÉ CIVILE Formation à l'utilisation du défibrillateur semiautomatiue
Plus en détailWorks like you work. La solution pour l accès public à la défibrillation. Le secourisme facile
LIFEPAK CR Plus DEfibrillateur Works like you work. La solution pour l accès public à la défibrillation Le secourisme facile L arrêt cardiaque brutal frappe sans prévenir. LA MORT SUBITE Frappe sans prévenir.
Plus en détailURGENCES MEDICALES INTERNES ADULTES. LE CHARIOT D URGENCE (exemple de fonctionnement*)
C.R.M.D.M. URGENCES MEDICALES INTERNES ADULTES LE CHARIOT D URGENCE (exemple de fonctionnement*) - 2003 - *extrait du document du CHRU de TOURS Préambule Le Comité Régional du Médicament et des Dispositifs
Plus en détailMédecine & enfance. avril 2007 page 3. 3]. L European Resuscitation Council a repris les recommandations de
VOLUME 27 AVRIL 2007 HORS SERIE ISSN 0291-0233 Prise en charge et réanimation du nouveau-né en salle de naissance. Synthèse, adaptation et commentaires pratiques des recommandations de l International
Plus en détailRECOMMANDATIONS OFFICIELLES - DEFIBRILLATEURS AUTOMATISES EXTERNES
RECOMMANDATIONS OFFICIELLES - DEFIBRILLATEURS AUTOMATISES EXTERNES SOMMAIRE : Définitions DAE / DSA / DEA. Les accessoires recommandés. Notion de système d information pour les secours spécialisés. Les
Plus en détailConseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation
Conseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation automatisée externe par le public Conférence d Experts Coordonnateur : Pr P
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailLe Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales
Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales Le Kin-AP est une évaluation qui se déroule à travers un parcours comprenant différentes stations qui simulent les tâches que le technicien ambulancier-paramédic
Plus en détailDossier Presse. ARLoD est une association à but non lucratif régie par la loi du 1 er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901
Dossier Presse ARLoD est une association à but non lucratif régie par la loi du 1 er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901 dirigée par des bénévoles spécialistes de la médecine d'urgence, de l'internet
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailAccueil du nouveau-né en cas d accouchement extra-hospitalier
1 Accueil du nouveau-né en cas d accouchement extra-hospitalier Chabernaud JL. SMUR pédiatrique (SAMU 92), CHU Antoine-Béclère (AP-HP) 157, rue de la Porte de Trivaux 92141 Clamart. Tél : 01-45-37-46-14
Plus en détailBienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques
SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p
Plus en détailLa pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle
UEMPSfO - Physiologie Chapitre 4 : La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle Professeur Christophe RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLa situation des arrêts cardiaques dans le département
La situation des arrêts cardiaques dans le département Depuis 5 ans, près de 5 interventions de sapeurs-pompiers par semaine pour arrêt cardiaque dans le Maine-et-Loire Dans le Maine-et-Loire, de 2005
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailÉquipements de secours.
Information produit Équipements de secours. Défibrillateurs et oxygène médical pour chaque besoin. 2 Équipements de secours Table des matières PanGas Healthcare 4 Powerheart G DAE Powerheart G Équipement
Plus en détailThèse préparée sous la direction du Dr. Bernard Vermeulen, Privat Docent
Université de Genève Faculté de Médecine Section de Médecine Clinique Centre d Accueil des Urgences Thèse préparée sous la direction du Dr. Bernard Vermeulen, Privat Docent Réanimation cardio-pulmonaire
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailCardiOuest Mail : info@cardiouest.fr - Téléphone : 02.30.96.19.53.
CardiOuest Chaque jour en France, environ 200 personnes succombent d'un Arrêt Cardiaque Soudain (ACS). C'est 10 fois plus que le nombre de victime d'accident de la route. Faute d'intervention rapide, le
Plus en détailLIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches
LIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches Denise Hébert, chargée de projet UCCSPU Février 2006 Le langage et
Plus en détailManuel d utilisation du Défibrillateur automatisé externe (DAE)
Manuel d utilisation du Défibrillateur automatisé externe (DAE) IMPORTANT Lisez attentivement et intégralement le présent manuel d utilisation avant d utiliser l appareil pour la première fois. Les informations
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailMémoire pour l obtention du Diplôme. de Médecine Agricole
14 rue Auguste Comte 37000 Tours 02 47 66 61 07 Institut National de Médecine Agricole Mémoire pour l obtention du Diplôme de Médecine Agricole Défibrillation automatique externe Réglementation, équipement
Plus en détailANALYSER et PROTÉGER.
1/ Analyser et Protéger Alerter 2/ Secourir. 3/ PLS Inconscience 4/ RCP Réanimation cardio-pulmonaire 5/ Malaises plaies 6/ brûlures traumatisme noyade ANALYSER et PROTÉGER. Être rapide et calme 1/ Analyser
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailComprendre la mort cérébrale
Comprendre la mort cérébrale Imprimeur de la Reine pour l Ontario, 2010. Adaptation et reproduction autorisées. 1 Comprendre la mort cérébrale Il est difficile d imaginer une expérience plus douloureuse
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailNAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc.
NAVA pourquoi pas Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. 7e Symposium en thérapie respiratoire HSCM 1 décembre 2012 Le mode NAVA o Neurally Adjusted Ventilatory Assist Neuro-Asservissement
Plus en détailsamaritan PAD MANUEL D'UTILISATION
samaritan PAD MANUEL D'UTILISATION HeartSine Technologies H017-001-037-2 FRENCH Les informations figurant dans le présent document peuvent être modifiées sans préavis et ne constituent pas un engagement
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailCours CSE-2009 MSR - Corrigé TEST 1
Cours CSE-2009 MSR - Corrigé TEST 1 Cours CSE 2009 - Corrigé Test 1 1 HEIG-VD / MSR CSE Test 1 HEIG-VD MSR 18/03/2009 Etude d un défibrillateur automatique Lors d une fibrillation ventriculaire, les contractions
Plus en détailRéférentiel de compétences et d aptitudes du masseur kinésithérapeute de réanimation (MKREA) en secteur adulte
Réanimation DOI 10.1007/s13546-011-0243-1 RÉFÉRENTIEL / GUIDELINES Référentiel de compétences et d aptitudes du masseur kinésithérapeute de réanimation (MKREA) en secteur adulte Guide to skills and abilities
Plus en détailLe cœur est compliqué et il est aussi un organe que travaille très fort (Heart Attack,
Le cœur est compliqué et il est aussi un organe que travaille très fort (Heart Attack, 2003), et c est la seule sorte de muscle qui peut se contracter régulièrement sans fatigue; tandis que les autres
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailUn nouveau défi pour tous...présenté par J.Piguet
FORMATION CONTINUE Pour Plongeur Un nouveau défi pour tous...présenté par J.Piguet Suivez cette image et vous le trouverez ici à ou là Dans une armoire. Mais pas encore assez souvent hélas! FORMATION CONTINUE
Plus en détailL'oxygène. Rappel. plus d informations au : 02 54 21 97 39 ou par mail à : gaz-medicaux@spengler.fr
L'oxygène Spengler, fabricant français de matériel médical et établissement pharmaceutique distributeur en gros de gaz à usage médical, propose des ensembles de premiers secours conformes à la législation
Plus en détailL INFIRMIER (ERE) DIPLOME(E) D ETAT SEUL DEVANT UNE
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES L INFIRMIER (ERE) DIPLOME(E) D ETAT SEUL DEVANT UNE SITUATION DE DETRESSE MEDICALE Société Française de Médecine d Urgence Décembre 2011 1 INTRODUCTION La Société Française
Plus en détaildmt Organisation des urgences dans l entreprise Sauvetage-secourisme du travail (89 TC 85)
dmt dossiers médico-techniques Organisation des urgences dans l entreprise Sauvetage-secourisme du travail (89 TC 85) Le défibrillateur semi-automatique : place dans la chaîne des secours et intérêt dans
Plus en détailEvaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation
Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation Mémoire de DESC de réanimation Soutenu le 10 décembre 2014 par le Dr Julie Mankikian Directeur de mémoire:
Plus en détailLES FORMATIONS CONTINUéES
8.1. Hygiène dans les cuisines collectives Module I : Formation de base reprenant la réglementation et les exigences légales dans le secteur alimentaire ainsi que les bonnes pratiques d hygiène Economes,
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLe sevrage de la trachéotomie
Le sevrage de la trachéotomie Journée de formation «infirmière» et «kinésithérapeute» SKR. Maison de la réanimation Paris 01 / 06 / 2012 Dr G.Beduneau Réanimation Médicale CHU ROUEN gaetan.beduneau@chu-rouen.fr
Plus en détail2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques
2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès au Canada. Bien que leur incidence ait diminué au cours des dernières
Plus en détailDéfibrillateur Philips HeartStart HS1 Grand Public
Pour permettre à tout le monde d agir dans les moments extraordinaires Défibrillateur Philips HeartStart HS1 Grand Public * Du sens et de la simplicité Tout le monde peut, à tout tout lieu, être victime
Plus en détailArrêt cardiaque : nouvelles recommandations
Arrêt cardiaque : nouvelles recommandations Introduction : Vincent Bounes, Jean-Louis Ducassé, SAMU 31, Hôpitaux de Toulouse. La mort subite reste un problème majeur de santé publique dans les pays industrialisés
Plus en détailPRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)
PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure
Plus en détailKen Bell s Sommaire des Abréviations
Ken Bell s Sommaire des Abréviations AUG: CSAM: DSA: PUI: RCP: RIA: SCR: Arrêt Urgence Général CERN Safety Alarm Monitoring Défibrillateur Semi-Automatique Plan Urgence D Intervention Réanimation Cardio-Pulmonaire
Plus en détailDéfibrillateur automatique Implantable
Défibrillateur automatique Implantable endocavitaire (DAI) La Fédération Française de Cardiologie finance : prévention, recherche, réadaptation et gestes qui sauvent grâce à la générosité de ses donateurs
Plus en détailDÉFIBRILATEUR EXTERNE AUTOMATISER (DEA) HEARTSTART de la compagnie Philips
DÉFIBRILATEUR EXTERNE AUTOMATISER (DEA) HEARTSTART de la compagnie Philips HeartStart FRx HeartStart (HS1) Le défibrillateur Philips HeartStart FRx et HeartStart (HS1) sont des défibrillateurs externes
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailLa ventilation non invasive aux soins intensifs
La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)
Plus en détailPRÉVENTION ET SECOURS CIVIQUES
Recommanda)ons DE LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA SÉCURITÉ CIVILE ET DE LA GESTION DES CRISES relatives à l unité d enseignement PRÉVENTION ET SECOURS CIVIQUES de niveau 1 L unité d enseignement «Prévention
Plus en détailDU PRELEVEMENT A LA GREFFE : REFLEXIONS LEGALES ET ETHIQUES
DU PRELEVEMENT A LA GREFFE : REFLEXIONS LEGALES ET ETHIQUES Préambule. Ce cours nous présentera le regard d un praticien non éthicien (Benoît AVERLAND) exerçant en «honnête homme» avec un regard relativement
Plus en détailUn choc pour une vie!
www.cardiouest.fr Un choc pour une vie! Spécialiste Défibrillateurs Formations 1ers Secours 6, rue Eugène Quessot 35000 RENNES Tél : 02 30 96 19 53 Mail : info@cardiouest.fr CardiAid est conçu pour rendre
Plus en détailPoints s a illa n ts de s L ign e s directric e s 2010
OINTS SAILLANT LIGNES DIRECTRICES RCR SUC Points s a illa n ts de s L ign e s directric e s 2010 en matière de réanimation cardiorespiratoire et de s oin s d' u r gen c e cardiov a s c u la ir e de l'
Plus en détailSéquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI
Séquence maladie: insuffisance cardiaque Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Janvier 2012 Finalité de l atelier: Présentation de la séance Cette séance a pour buts de vous permettre
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détail