Détection et traitements, où en est la recherche?
|
|
- Florentin Paquette
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 «XENOBIOTIQUES DANS LES EAUX» Quelles technologies possibles? Détection et traitements, où en est la recherche? Claire ALBASI Directeur de Recherche CNRS 31 mai Journée «établissements de santé et environnement» le 31 mai au Pont de Chaume à Montauban
2 Plan de la présentation - Programmes et actions nationales, Fondations d une règlementation à venir. Leviers des avancées scientifiques. - Détection Quantification chimique Tests d effets (tox, pe.) - Traitements Concentration Dégradation - Conclusions et perspectives 2
3 Plan de la présentation - Programmes et actions nationales, - Détection Quantification chimique Tests d effets (tox, pe.) - Traitements Concentration Dégradation - Conclusions et perspectives 3
4 Les programmes - Poséidon (CIRSEE- Suez ): (évaluation des technologies de traitement pour éléminer des composés pharmaceutiques et produits d'hygiène dans les eaux potables et usées) - Ampères (ANR ), suivi d Armistiq ( ) Analyse des micropolluants prioritaires et émergents dans les rejets et les eaux de surface - RSDE Recherche des substances dangereuses dans l eau - Plan micropolluants Plan Médicaments ( suite rapport Académie de Pharmacie) - le Plan national santé environnement (PNSE 2) - Toutes ces actions sont des leviers de la recherche! 4
5 CONCLUSION générale à propos des substances ciblées (AMPERES) About half of substances with EQS were found at concentrations >0.1 μg/l in wastewater. Main loads of micropollutants were identified in raw wastewater: metals > pharmaceuticals > DEHP>alkylphenols VOCs> other organics. About 80% of the load of micropollutants are removed by conventional activated sludge plants. More than half of substances with EQS were removed to more than 70% due to hydrophobic or volatile properties. Other organic substances (with no EQS) are mainly removed from water by adsorption. Hormones and more than 1/3 of the studied pharmaceuticals are well removed from water (>70%) by both adsorption and biotransformation. About 2/3 of removed substances were mainly transferred to sludge. All the substances quantified in raw wastewater were also measured in secondary sludge. Tertiary treatments may be applied to complete the removal of micropollutants, but this implies additional cost (up to 100% for reverse osmosis) and potential by-products and concentrates (advanced oxidation processes, activated carbon). 5
6 Projet Ampères Résultats et conclusions en lien avec les médicaments Box-plot diagram of concentrations of hormones and pharmaceuticals in domestic raw wastewater (15 WWTP, 32 samples). 6
7 Etude ANSES, Janvier ANSES : Agence nationale de sécurité sanitaire, Une campagne nationale d analyse des médicaments dans les eaux - Pour environ 75 % des échantillons d'eau traitée", d'origine souterraine ou superficielle, aucune des 45 molécules recherchées n'a été quantifiée, hors caféine - Les prélèvements ont couvert près d'un quart de la population en métropole et dans les DOM, ont été effectués sur des ressources utilisées pour la production d'eau destinée à la consommation humaine (eaux brutes) et sur des eaux traitées. - 1/4 des échantillons d eau testés contiennent des traces de médicaments (caféine, antiépileptiques et anxiolytiques sont les plus représentés: la carbamazépine (anti-épileptique) et son principal métabolite, l'oxazépam (anxiolytique), à la fois une molécule mère et un métabolite (produit de la transformation des médicaments dans l'organisme) de benzodiazépines (anxiolytiques). généralement la présence simultanée de 1 à 4 molécules. - Parmi les 45 molécules recherchées, 26 n'ont jamais été retrouvées. 19 ont été détectées au moins une fois, parmi lesquelles 5 étaient présentes à des concentrations trop faibles pour pouvoir être quantifiées. - Les concentrations trouvées dans les eaux traitées sont à 1 million de fois inférieures aux doses utilisées dans le cadre d'un traitement. 7
8 Plan National Médicaments - Articulé autour de 3 axes forts : Evaluer les risques: par des campagnes de mesures des résidus de médicaments dans les eaux (de surface, souterraines ou potables) et les sols, par la surveillance des rejets hospitaliers, des rejets de stations d épuration et des effluents d élevages afin d identifier les principales sources de contamination, par la poursuite du développement de méthodes d analyses robustes permettant de quantifier ces molécules à des concentrations aussi faibles, par la mise à disposition des données nécessaires à l évaluation des risques dans un portail commun aux substances chimiques. Définir des mesures de gestion que l on peut prendre à court terme: promouvoir et renforcer les filières de récupération et d élimination des médicaments non utilisés à usage humain (dispositif Cyclamed) et vétérinaire, inclure des précautions d élimination dans les notices, sensibiliser la population au bon usage du médicament en rendant le citoyen acteur. Développer les connaissances : Un appel à projet sera lancé en 2012 sur quelques bassins versants pilotes de taille limitée pour acquérir des connaissances et tester, en grandeur nature, les actions de ce plan. Ces expérimentations porteront également, de façon plus large, sur la pollution des milieux aquatiques par tous les micropolluants. 8
9 Colloque micropolluants 18 octobre 2011 Philippe HUBERT - Ineris 9
10 Colloque micropolluants 18 octobre 2011 Claire GRISEZ 10
11 Plan de la présentation - Programmes et actions nationales, - Détection Quantification chimique Tests d effets (tox, pe.) - Traitements Concentration Dégradation - Conclusions et perspectives 11
12 Exemples de LQ pour divers micropolluants ( d après Ampères) Famille de composés Limite de quantification Dissous (ng/l) Limite de quantification Boue (μg/g MS) Méthode d analyse employée Volatils 100 Purge and Trap GC-MS Semi-volatils (HAP, pesticides, DEHP) 20 à ,02 à 1 Multi-résidus ELL-GC-MS Chlorophénols 50 à 150 en cours SPME-GC-MS Antibiotiques et pesticides hydrophiles 1 à 2 0,02 à 20 SPE extraction Glyphosate, AMPA 100 LC-ESI(+) MS-MS PBDE, bisphénol A, triclosan 1 à 100 0,004 à 0,05 SBSE-TD-GC-MS C10-C13 chloroalcanes SBSE-TD-GC-ECD Métaux (24 éléments) 10 à ,2 à 3 ICP-MS Mercure 0,5 0,01 pré-concentration, AFS Alkylphénol-polyéthoxylés Hormones (libres et totales, après déconjugaison) Bétabloquants 1 à 10 0,5 à 5 1 à 10 0,5 à 5 0,01 à 0,1 en cours en cours 0,001 à 0,01 Analgésiques, anti-inflammatoires, hypolipémiant, bronchodilatateurs, antidépresseurs LC-ESI-MS SPE extraction, LC-ESI(-) MS- MS SPE extraction, LC-ESI(+) MS- MS SPE extraction UPLC-MS-MS ESI, (-ou+) GC-MS 12
13 Détection et Quantification - Importance de l échantillonnage (spécificités du milieu aquatique (milieu dilué, variabilité spatiale, variabilité temporelle, difficulté d accès, mélange complexe ) OU? Phase liquide - Phase particulaire - Colloïdale? Volume? - Méthodes de détection et quantification UPLC MS MS Nécessite une extraction (rendement) LD et LQ - 10 nanogramme Cout si perspective de systématisation? - Caractérisation des sous-produits de dégradation si il y a lieu 13
14 Pour les avancées méthodologiques 14
15 Importance des tests d effets - Préoccupation «santé» du milieu naturel et impact sur l homme Mises au point d approches méthodologiques pour l évaluation des risques. (Apports de la biotechnologie, préférence à des tests «in vitro» et «in silico») Microtox, Vibrio Lemna minor Effets «perturbateur endocrinien» - 15
16 Tox - Ecotox: Material & Methods (Développé LGC Toulouse) (dans le cadre de PANACEE, A. PFOHL-LESZKOWICZ et N. MATER) Cells (kidney, mammal, liver) were treated with compounds alone or in mixtures during 24h, 48h and 72h. Cytotoxicity or genotoxicity were then analyzed. Cell prolif. assay Measurement was based on the cellular conversion of a tetrazolium salt. Comet assay Cells were analysed by epifluorescence microscope and DNA breaks were measured with Komet 5.5 software. DNA adducts DNA adducts were analysed by postlabeling or quantified by HPLC 16
17 Tox ecotox Perspectives Plusieurs effets toxiques ont été mis en évidence selon le temps d'exposition et la proportion relative de médicaments appliqués aux modèles plante ou homme. Ces résultats suggèrent un mode d'action différent de ces composés d où la difficulté à interpréter ou prévoir les effets associés à une dose. À Comparer aux tests «normés» 17
18 Plan de la présentation - Programmes et actions nationales - Détection Quantification chimique Tests d effets (tox, pe.) - Traitements Concentration Dégradation 18
19 FOCUS sur les traitements? Exposition = Se poser la question du type d eau dont on parle? rejet = eau usée consommation = eau potable Traitement du rejet Les STEP ne sont pas conçues et dimensionnées POUR Spécificité d un traitement des médicaments? Les difficultés: concentration très faibles, compétitions avec la matière organique et d autres polluants variabilité de paramètres physicochimiques 19
20 FOCUS sur les traitements Le positionnement de la recherche en matière de traitement = Evaluer les potentialités des technologies existantes à dégrader les xénobiotiques,! INVENTER! Concentration Membranes Adsorption sur charbon, zeolithes,. Dégradation Oxydation biologique Electrochimique Physico-Chimique: oxydants nombreux, plus ou moins puissants et énergivores 20
21 Traitements biologiques Epuration, biologique ou physico chimique 21
22 Traitements biologiques La plus classique, l épuration biologique: des microorganismes, bactéries et protozoaires, utilisent la pollution, matière organique comme nutriment production de «boues» Boues activées (>5000 ha, brassage) Lit bactérien (effluent chargés) Bio-filtration Techniques membranaires Méthanisation Lagunage 22
23 Traitements biologiques Bassin d aération 23
24 Procédé couplant deux fonctions: 1. Biodégradation de la matière organique 2. Séparation par membrane: Eau traitée/microorganismes Traitement biologique bioréacteurs à membranes Module membranaire perméat ERU Pompe de recirculation purge Air comprimé 24
25 Avantages des bioréacteurs à membranes Souplesse du procédé (TSH et Age de Boue): Temps de Séjour Hydraulique: Temps moyen de passage du liquide dans le réacteur. (V Réacteur/Débit entrée). Age de Boues: Temps moyen de rétention de la biomasse dans le réacteur (V Réacteur/Q purge) Conséquences: Concentrations en biomasse importantes. Etablissement d'un bio-consortium plus complexe avec de plus larges possibilités physiologiques comparées à des procédés à bas âges de boues. Meilleures performances d élimination de la DCO, N et de composés difficilement biodégradables. Diminution de la production de boues. 25
26 Comparison of removal of pharmaceuticals in MBR and activated sludge systems Jan Sipma et al. (Espagne) Desalination 250 (2010)
27 Traitements biologiques Devenir des xénobiotiques dans les boues? Barret et al., 2009 Travaux du LBE,Narbonne Matrice Métabolisme basal UTILISATION de la MATRICE comme SUBSTRAT COMETABOLISME BIODISPONIBILITE Sorption COMPETITION SUBSTRAT BIODEGRADATION Structure du consortium Microorganismes Micropolluants Potentiel microbiologique 27
28 QQ exemples de projets toulousains - Biomedboue, ANR-09-JCJC Octobre Septembre 2012 Etude de la biodisponibilité de médicaments dans les boues biologiques : cas des anticancéreux et molécules associées - - Panacée : ANR CD2I 2010, (Janvier 2011 Décembre 2014) Maîtrise de la qualité des effluents aqueux (d oncologie) : évaluation de la toxicité et Eco - combinaison de procédés de traitement/ rémédiation, (validation in-situ) - Phylemox Traitement des concentrats membranaires par oxydation électrochimique 28
29 BIOMEDBOUE Devenir des molécules anticancéreuses dans le milieu hydrique - Compréhension mécanismes d élimination dans les BàM Ifosfamide Cyclophosphamide Tamoxifène Boues BàM Biodégradation? Abattement de 75% en phase aqueuse Cyclophosphamide N O Adsorption? Sur particules? Sur phase colloïdale? Quantification des molécules à l état de traces Caractérisation de l adsorption dans les boues biologiques Caractérisation de la biodégradation Liens entre propriétés d adsorption et caractéristiques physico-chimiques des boues 29
30 PHYMELOX Procédé HYbride couplant filtration Membranaire (nanofiltration ou osmose inverse) et ELectro-OXydation sur électrode de diamant dopé au bore pour la minéralisation de micropolluants Clémence COETSIER et Karine GROENEN- SERRANO 30
31 ANR CD2I - PANACEE partenaires Olivier LORAIN, Olivier LEON POLYMEM Impasse de Palayre TOULOUSE Claire ALBASI*, Claire JOANNIS-CASSAN, Christel CAUSSERAND, Clémence COETSIER, Isariebel QUESADA, Carine JULCOUR, Caroline ANDRIANTSIFERANA, Marie Hélène MANERO, Sylvie SCHETRITE, Annie PFOHL-LESZKOWICZ, Nicolas MATER LGC (Laboratoire de Génie Chimique), CNRS F Toulouse Cedex 04 France Hélène BUDZINSKI, Emmanuel GENESTE, Karyn LEMANACH, Patrick MAZELLIER Université Bordeaux 1 Environnements et Paléoenvironnements Océaniques et Continentaux EPOC - UMR 5805 CNRS Laboratoire de Physico- et Toxico-Chimie de l'environnement (LPTC) Batiment A crs de la Libération Talence France Selim AIT-AISSA, Pascal PANDARD INERIS, Unités «Ecotoxicologie in vitro et in vivo» et «Expertise et Essais en Ecotoxicologie», BP Verneuil-en-Halatte Jean-Marie CANONGE CHU Toulouse, pôle pharmacie, Purpan, Place du Docteur Baylac TSA Toulouse cedex 9 Jean Marie RAULOT Directeur Services Techniques / Travaux Institut Claudius Regaud, Rue du Pont St Pierre, Toulouse 31
32 ANR CD2I - PANACEE Contexte et Objectifs Présence avérée de molécules pharmaceutiques dans différents compartiments des eaux usées Les médicaments anticancéreux, administrés en grande quantité, rejetés dans les urines, partiellement dégradés et partiellment éliminés par les stations d épuration, représentent un danger croissant. Des teneurs considérables de ces métabolites peuvent se retrouver dans les rivières et éventuellement dans l eau d irrigation, Les conséquences connues de leur présence dans l environnement vont de l allergie au cancer en passant par des pertes de fertilité. Cyclophosphamid e Tamoxifène Ifosfamiode Ciprofloxacine 1) Evaluation de la présence de principes actifs et métabolites de traitements des cancers dans les effluents des services correspondants. 2) Mesure des effets toxiques, (géno/cytotoxiques et perturbateurs endocriniens) de ces effluents et la part des médicaments et leurs métabolites dans cet effet ; à côté des desinfectants par exemple. 3) Développement d un procédé de traitement constitué d une combinaison de traitements biologiques et physicochimiques (couplage d un bioréacteur à membranes et de procédés de filtration tertiaire et /ou adsorption/oxydation à choisir). 32
33 ANR CD2I - PANACEE Mise en œuvre Caractérisation des effluents hospitaliers et des eaux traitées; Analyses chimiques et toxicologiques CHOIX Adsorption sur charbons actifs Reacteur agité pour photo-fenton 1 2 Augmentation du temps de séjour (TSH) Cellule De Photocatalyse Reacteur agité pour photocatalyse et ozonation Destruction de la pollution résiduelle Efficacité quantifiée par bilan technicoéconomique Analyse de la disparition des effets toxiques globaux Analyse du cycle de vie des molécules Performances énergétiques du procédé. RIVER 3 Nanofiltration 33
34 Ailleurs dans le monde les mêmes préoccupations - Projet PILLS - Projet de partenariat européen de: Emschergenossenschaft (DE), Waterschap Groot Salland (NL), Centre de Recherche Public Henri Tudor (LU), Eawag (CH), Glasgow, Caledonian University (UK) Université de Limoges (FR) 34
35 Ailleurs dans le monde les mêmes préoccupations Hôpital de Baden «Input and Elimination of Pharmaceuticals and Disinfectants from Hospital Wastewater» Advanced treatment of hospital wastwater: A pilot scale study in Switzerland Christa S. McArdell, Lubomira Kovalova, Jack Eugster, Martina Hagenbuch, Anita Wittmer, Hansruedi Siegrist 35
36 Synthèse - Programmes et actions nationales, Des actions un peu partout dans le monde, une prise de conscience qui remonte à 1976 (USA) Une progression depuis 5 ans due essentiellement aux progrès analytiques - Détection matrice complexe Prélèvements//Echantillonnage//Validation des méthodes Quantification chimique Faibles concentrations Sous-produits LC-MS-MS = ng/l Tests d effets (génotox, cytotox, pe.) à adapter aux concentrations - Traitements : tout est possible mais à quel cout? Concentration et/ou Dégradation Il s agit dans tous les cas d optimiser les paramètres opératoires des traitements aux xenobiotiques visés en tenant compte de la compétition avec les autres types de pollution Les choix entre technologies sont à étudier au cas par cas. 36
37 Et demain.? «Dans la vie, rien n'est à craindre, tout est à comprendre.» Marie Curie 37
Laboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche
Laboratoire Eau de Paris Analyses et Recherche L eau, un aliment sous contrôle public Pour Eau de Paris, approvisionner la capitale en eau, c est garantir à ses 3 millions d usagers une ressource de qualité,
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailEnvironmental Research and Innovation ( ERIN )
DÉpartEment RDI Environmental Research and Innovation ( ERIN ) Le département «Environmental Research and Innovation» (ERIN) du LIST élabore des stratégies, des technologies et des outils visant à mieux
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailPrésentation du programme
FILIERE UNIVERSITAIRE FRANCOPHONE Master recherche Ecotoxicologie, Environnement et Gestion des Eaux (MEEGE) Présentation du programme Master recherche «Ecotoxicologie, Environnement et Gestion des Eaux»
Plus en détailPuissant et écologique à la fois
Puissant et écologique à la fois La technologie innovante de désinfection et d oxydation à l ozone économique et écologique www.prominent.com L ozone Un puissant désinfectant La plus-value à la clé : une
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailPRESENTATION GROUPE LHP
PRESENTATION GROUPE LHP 1. PRESENTATION DU GROUPE Micropolluants Technologie : Laboratoire d analyses spécialisé dans la détection de polluants présents à l état de traces et d ultra traces dans les domaines
Plus en détailLes techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel
Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise
Plus en détailstaff worldwide years 36b. revenues countries
150 336 000 staff worldwide years 36b. 72 72 revenues countries In the lab Special expertise In the field Pilot demonstration Deployment Access to market and customers Decentralized market Risk adverse
Plus en détailCapteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments
.Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détailLes méthodes alternatives de surveillance de la qualité des eaux. Présentation du projet SWIFT-WFD
Les méthodes alternatives de surveillance de la qualité des eaux Ce rapport présente le projet européen SWIFT-WFD. Il est préparé dans le cadre du programme de travail d AQUAREF 2008 et de la convention
Plus en détailLe 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie
Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie Les aides aux activités économiques Franck LEROY Responsable du Service Investissements Collectivités et Industrie Direction Seine Aval
Plus en détailExemple du SATESE MAGE 42
LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailLa technologie écologique rend la vie plus harmonieuse
La technologie écologique rend la vie plus harmonieuse SAS RECYCL EAU au capital de 30 294,88 contact@recycleau.fr 150 avenue des Ferrailles N SIRET : 515 330 009 00017 www.recycleau.fr 84800 Isle sur
Plus en détailIntrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution?
Les Rencontres de l Inra au Salon de l agriculture Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Lundi 23 février 2015 Programme 14h30
Plus en détailCM2E 2014. Colloque Martinique Energie Environnement. Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation
CM2E 2014 Colloque Martinique Energie Environnement Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation M. Torrijos, Laboratoire de Biotechnologie de l Environnement, INRA-LBE,
Plus en détailL évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se
PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailLa Plateforme GALA. Un projet régional structurant. avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique CPER 2007-2013
La Plateforme GALA Un projet régional structurant CPER 2007-2013 avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique Labellisé en avril 2009 Plateforme GALA : quel rôle? Principe
Plus en détailIntitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011
Intitulé du stage Dates Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Recherche et réduction des rejets de Substances Dangereuses dans l'eau Mardi 20 septembre 2011 Mardi
Plus en détailJournée «Eau et Assainissement
Journée «Eau et Assainissement Enjeux et qualité de l eau sur le territoire du SAGE ATG Véronique GONZALEZ 23/01/2014 2 Agence Régionale de Santé Bretagne Origine des ARS : créées par l article 118 de
Plus en détailDispositifs de traitement des effluents phytosanitaires reconnus par le ministère en charge de l écologie
Dispositifs de traitement des effluents phytosanitaires reconnus par le ministère en charge de l écologie 1 Ce travail de synthèse a été élaboré dans le cadre des travaux conduits par le groupe ECOPULVI
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailCaractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire
Caractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire DANGERS Cette fiche ne prétend pas être exhaustive. Elle vise à enrichir (et non limiter) la réflexion des professionnels sur le sujet des
Plus en détailDosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS
Dosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS Analysis of heavy metals (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) in soils by ICP-MS Nicolas ALSAC Eurofins Environnement
Plus en détailOxydation par voie Humide : Expérience de Toulouse
XII ème Colloque AQUATECH LIMOGES 13 octobre 2005 Oxydation par voie Humide : Expérience de Toulouse Merzak BELKHODJA Direction Technique Veolia Water Principe Principe Oxydation thermique en phase liquide
Plus en détailLes macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH
Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et
Plus en détailProjet ARMED Assessment and Risk Management of MEdical Devices in plasticized polyvinylchloride
Projet ARMED Assessment and Risk Management of MEdical Devices in plasticized polyvinylchloride Evaluation et Gestion des risques liés aux Dispositifs Médicaux en polychlorure de vinyle Plastifié V. Sautou,
Plus en détailDemande chimique en oxygène
Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse
Plus en détailGlossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance
Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Au sens des fiches de définition des indicateurs de performance : 1. Parties prenantes Autorité organisatrice
Plus en détailGestion intégrée des risques technologiques émergents
Gestion intégrée des risques technologiques émergents Bruno Debray Délégué scientifique Direction des risques accidentels GIS 3SGS 2011 DCO 17/10/2011 1 / 1 Contexte Les risques émergents : une préoccupation
Plus en détailTraitement de l eau par flux dynamique
GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat
Plus en détailAutorisation et Convention
Autorisation et Convention Déversement d eaux usées non domestiques dans les réseaux publics de collecte Entreprises et Collectivités : procédures pour être en conformité avec la loi Crédit photo CA Évry
Plus en détailwww.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E
www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates
Plus en détailLa consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre.
Contexte / Objectifs La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. A titre d exemple, pour compenser les émissions
Plus en détailListe des matières enseignées
Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13
Plus en détailDES PROCÉDÉS DE TRAITEMENT DE L EAU ET DES EAUX USÉES RECHERCHE, DÉVELOPPEMENT & INDUSTRIALISATION
DES PROCÉDÉS DE TRAITEMENT DE L EAU ET DES EAUX USÉES RECHERCHE, DÉVELOPPEMENT & INDUSTRIALISATION IDENTITÉ Expertise Recherche Degrémont Technologies, une division de Degrémont-Suez Environnement, est
Plus en détailMASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)
MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES
Plus en détailSECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise
SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise Identificateur de produit Nom commercial Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailCONTRÔLE ANNUEL DES STATIONS D'ÉPURATION (STEP) MONITORING OF WASTE WATER TREATMENT PLANTS (WWTP)
Rapp. Comm. int. prot. eaux Léman contre pollut., Campagne 2010, 2011, 181-189. CONTRÔLE ANNUEL DES STATIONS D'ÉPURATION (STEP) MONITORING OF WASTE WATER TREATMENT PLANTS (WWTP) Campagne 2010 PAR Audrey
Plus en détailLES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION
LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION Technologies émergeantes de biométhanisation de la biomasse végétale en Inde H.N. Chanakya, Centre for Sustainable Technologies (formerly ASTRA Centre), Indian Institute
Plus en détailQualité Sécurité Environnement
Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailC. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2
C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailLa réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat
La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat M CORDELIER, JF. LASCOURREGES, C. PEYRELASSE, C.LAGNET, P.POUECH 4 ième Journées Industrielles Méthanisation 4
Plus en détailGUIDE TECHNIQUE OPERATIONNEL
GUIDE TECHNIQUE OPERATIONNEL PRATIQUES D ECHANTILLONNAGE ET DE CONDITIONNEMENT EN VUE DE LA RECHERCHE DE MICROPOLLUANTS PRIORITAIRES ET EMERGENTS EN ASSAINISSEMENT COLLECTIF ET INDUSTRIEL Action I-B-02
Plus en détailTiré à part de la rubrique L ENTREPRISE DU MOIS. de la revue L EAU, L INDUSTRIE, LES NUISANCES
ÉDITIONS JOHANET, 60, RUE DU DESSOUS DES BERGES - 75013 PARIS TÉL. 01 44 84 78 78 - FAX 01 42 40 26 46 - WWW.REVUE-EIN.COM REVUE MENSUELLE - ISSN 0755-5016 Tiré à part de la rubrique L ENTREPRISE DU MOIS
Plus en détailDÉMARCHE HACCP RESTAURATION. Guide pour l analyse des dangers. Restauration commerciale Restauration collective à caractère social
DÉMARCHE HACCP EN RESTAURATION Guide pour l analyse des dangers Restauration commerciale Restauration collective à caractère social Ce livre a obtenu un prix dans la catégorie ouvrages professionnels -
Plus en détailBien vivre, dans les limites de notre planète
isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailBonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire
1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,
Plus en détailEst-elle bonne à boire?
Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour le bassin Rhône Méditerranée,
Plus en détailLa réglementation Mardi de la DGPR. sur les produits biocides 05/04/2011
La réglementation r Mardi de la DGPR 05/04/2011 sur les produits biocides Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention des nuisances et de la qualité de l environnement Département
Plus en détailMASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE
MASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Présentation PLUS D'INFOS Crédits ECTS : 60 Cette spécialité couvre
Plus en détailGesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) / Office National de l Assainissement (ONAS)
Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) / Office National de l Assainissement (ONAS) PROGRAMME DE GESTION DURABLE ET INTEGREE DE L EAU (SWIM) MISSION POUR L ETUDE D EVALUATION DE LA SITUATION
Plus en détailA-ESSE s.p.a. FICHE DE SÉCURITÉ
A-ESSE s.p.a. USINE OXYDES de ZINC FICHE DE SÉCURITÉ Oxyde de zinc 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT CHIMIQUE ET DE LA SOCIÉTÉ NOM DU PRODUIT: DÉNOMINATION COMMUNE, COMMERCIALE ET SYNONYMES: UTILISATION DE
Plus en détailAfssa Saisine n 2007-SA-0028
2 août 2007 AVIS LA DIRECTRICE LE DIRECTEUR GENERALE GÉNÉRAL de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif à l'évaluation des risques pour l'homme des constituants des produits de nettoyage
Plus en détailPlate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs
Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents
Plus en détailPotentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique
Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique CRM: Centre de Recherches Métallurgiques ASBL établie en Belgique Créée en 1948 par l industrie sidérurgique belge Certifiée ISO 17025 et
Plus en détailPeut-on tout jeter dans le "toutà-l égout"
Novembre 2014 Peut-on tout jeter dans le "toutà-l égout"? Document rédigé par Bernard Chocat (LGCIE INSA Lyon) Relecteurs : Claire Gibello (Grand Lyon), Elodie Brelot (GRAIE) L essentiel Comment fonctionne
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailRéalisation d un avis d experts : «Bruit de fond» des polluants dans l environnement
Réalisation d un avis d experts : «Bruit de fond» des polluants dans l environnement Analyse des données existantes et identification des lacunes RECORD 09-0812/1A décembre 2010 RECORD ETUDE N 09-0812/1A
Plus en détailConstruire un plan de nettoyage et de désinfection
Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux
Plus en détailPrésentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech
Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech Le dispositif L Institut suisse de brainworking (ISB) est une association
Plus en détailL évaluation des biocides à l Anses
L évaluation des biocides à l Anses Catherine Gourlay-Francé Direction des produits réglementés 23 juin 2015 L Anses Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Plus en détailLe Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux. Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux?
Le Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux? Qu est-ce qu un Tout le monde produit des déchets dangereux via ses activités quotidiennes
Plus en détail10 ème PROGRAMME (2013 2018)
10 ème PROGRAMME (2013 2018) Version adoptée par le comité de bassin du 18 octobre 2012 (délibération n CB 12-15) et par le conseil d administration des 18 octobre 2012 (délibération n CA 12-12) 14 novembre
Plus en détailPrix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement
Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l
Plus en détailDomaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire
Contexte Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire Fédération des spécialités de Master des 5 pôles universitaires partenaires de la région Nord-Pas-de-Calais
Plus en détailMYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques
MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailRESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV
RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I
Plus en détailL assainissement des eaux usées en agglomération parisienne : principes et procédés SCIENCES ET TECHNIQUES / COLLÈGE ET LYCÉE LIVRET PÉDAGOGIQUE
L assainissement des eaux usées en agglomération parisienne : principes et procédés LIVRET PÉDAGOGIQUE Préambule L assainissement se définit comme l ensemble des techniques de collecte, de transport et
Plus en détailEnjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise
Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise Journées d échanges franco-suisses sur la gestion des sites et sols pollués 14 15 juin 2012 Hans-Jürg Reinhart Carine
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailCerea. Centre d enseignement et de recherche en environnement atmosphérique
Cerea Centre d enseignement et de recherche en environnement atmosphérique Laboratoire commun École des Ponts ParisTech / EDF R&D Université Paris-Est Le Cerea : une cinquantaine de chercheurs sur trois
Plus en détailL IRSN et la surveillance de l environnement. Etat des lieux et perspectives
L IRSN et la surveillance de l environnement Etat des lieux et perspectives Didier CHAMPION et Jean-Marc PERES Journées SFRP Paris 23-24 septembre 2009 Objectifs de la surveillance de l environnement 2
Plus en détailImpacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie?
Impacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie? 8 juin 2010 Journée InTech (INRIA) Françoise Berthoud Francoise.Berthoud@grenoble.cnrs.fr Groupe
Plus en détail(SUS304)REVERSE OSMOSIS WATER TREATMENT SYSTEM
(SUS304)REVERSE OSMOSIS WATER TREATMENT SYSTEM SHZHEN ANGEL DRINKING WATER EQUIPMENT CO.,LTD As one of the leading manufacturers of the water treatment (covering water dispensers) in China, we are pursuing
Plus en détailCAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE
Cahier des charges pour l évolution des réseaux de surveillance des eaux souterraines en France CAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE Version complétée
Plus en détailFondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone
Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Mettre l écologie au cœur des consciences Fondée en juillet 2005 par Yann Arthus-Bertrand
Plus en détailIngénieur c est bon pour la Santé? 10 ans de X-Biotech FM, 17 mars 2014
Ingénieur c est bon pour la Santé? 10 ans de X-Biotech FM, 17 mars 2014 biomérieux 50 ans. Pure player de diagnostic in vitro (#1 en microbiologie clinique, #1 en contrôle industriel). > 8 000 personnes
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailMon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.
Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal
Plus en détailAssainissement des campings. - 11 janvier 2011
Assainissement des campings - 11 janvier 2011 Etat des lieux de l assainissement non collectif (ANC) en Finistère Caractéristiques des eaux usées des campings Contexte et cadre réglementaire Les chiffres
Plus en détailMai Thanh LE - Pôle Hygiène
Sodexo Le Better Tomorrow Plan Nos actions de progrès en bio nettoyage Mai Thanh LE - Pôle Hygiène Présentation de l entreprise Sodexo Depuis la création de l entreprise en 1966, Sodexo est le partenaire
Plus en détailCahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde
Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détail