Techno Flotte 2015 Workshop de prospective technologique pour les équipements scientifiques de la Flotte 11 & 12 mai 2015 à Paris
|
|
- Raphael Brousseau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Workshop de prospective technologique pour les équipements scientifiques de la Flotte 11 & 12 mai 2015 à Paris Session 1 «Etat des lieux des équipements et services autour de la Flotte» Lundi 11 mai, 10 h - 18 h 10 h - 10 h 20 Introduction P. Cotty, O. Lefort 10 h h 10 Les systèmes sonar (sondeurs, sonars, courantomètres) Principes, fonctionnalités et performances X. Lurton, L. Berger, Y. Le Gall 11 h h 40 Les équipements sismiques A. Pacault, P. Léon 11 h h 20 Les engins sous-marins - de l existant au nouvel HROV J. Opderbecke 12 h h 45 Les engins sous-marins - charges utiles, données et images, géolocalisation J. Opderbecke 12 h h Pause déjeuner 14 h - 14 h 45 Le carottage et les outils de géophysique L. Dussud, P. Woerther, Y. Réaud 14 h h 10 Autres équipements B. Crenan 15 h h 05 Les facilités informatiques à bord et à terre A. Rué, O. Soubigou, JM. Sinquin, L. Fichen, H. Leau 16 h h 25 Pause café 16 h h 10 Les données issues des campagnes C. Pertuisot et C. Borremans 17 h h 30 Mise en œuvre des équipements lourds S. Duduyer 17 h h Solliciter et préparer une campagne océanographique S. Van Iseghem
2 Session 2 «Expression de la demande scientifique» Mardi 12 mai, 9 h - 17 h 30 Le comité de programme a identifié 5 domaines sur la base de «convergences d usage» des équipements océanographiques ; des scientifiques utilisateurs confirmés ont été sollicités pour introduire la discussion sur leur domaine par le biais d une présentation synthétique, puis pour animer les discussions à suivre. 9 h - 9 h 45 Les géosciences Contributeurs : N. Sultan (IFREMER/GM), S. Migeon (GEOAZUR UMR 7329), F. Bassinot (IPSL/LSCE), N. Rooke (Ens), J. Dyment (IPG Paris et CNRS), A. Le Friant (IPG Paris) 9 h h 30 La physique de l océan Contributeurs : G. Eldin (OMP/LEGOS), V. Thierry-Theetten (IFREMER/LPO), P. Lherminier (IFREMER/LPO), F. Vivier (IPSL/LOCEAN) et J. Aucan (IRD/LEGOS) 10 h h 45 Pause café 10 h h 30 L environnement profond Contributeurs : N. Le Bris (Observatoire Océanologique de Banyuls), F. Lallier (Station Biologique Roscoff), D. Jollivet (Station Biologique Roscoff), J. Escartin (IPG Paris), Y. Fouquet (IFREMER/GM), M. Cannat (IPG Paris), H. Ondréas (IFREMER/GM), P-M. Sarradin(IFREMER/EEP) 11 h h 15 L halieutique - Ecosystèmes marins - Biodiversité Contributeurs : P. Lorance (IFREMER/EMH), M. Travers-Trolet (IFREMER/HMMN), S. Samadi (MNHN UMR 7205), JF. Ternon (IRD UMR 248 MARBEC) 12 h h La bio-géochimie Contributeurs : T. Moutin (MIO), S. Blain (Observatoire Océanologique de Banyuls), G. Sarthou (UMR CNRS 6539 IUEM) 13 h - 14 h Pause déjeuner Session 3 «Débat sur des sujets technologiques choisis» Cette session comporte 4 ateliers/discussions portant sur des sujets que les équipes d ingénierie jugent «dimensionnants» mais qui apparaissent de manière trop diffuse dans le fonctionnement des équipements scientifiques : 14 h - 14 h 30 Quelle stratégie/besoin d exploration grands fonds (>3000m)? Introduction du sujet par J. Opderbecke : Adaptation de la réponse technologique au besoin scientifique
3 14 h h Les apports de la télé-présence Introduction du sujet par O. Soubigou : quels services de suivi/pilotage de campagnes à partir de la terre pourraient être prioritairement mis en place? 15 h - 15 h 30 Les droits sur les données des campagnes Introduction du sujet par Loïc Petit de la Villéon : quelle politique de publication (durée d embargo sur les données pour protéger les publications, ouverture publique ou non)? 15 h h Les systèmes de mesure en route/en continu Introduction du sujet par S. Duduyer : quels aménagements/équipements permettraient de mieux accueillir ces systèmes sur les navires et offrir des services de télé-administration à leurs utilisateurs scientifiques? Session 4 «Synthèse» 16h - 17h Le but de cette session est d identifier des perspectives de moyen et long terme pour des développements d équipements ou de techniques. La discussion doit rester au niveau fonctionnel/scientifique/technologique et éviter de tomber dans le quantitatif (budgets, moyens humains, nombre et capacité des bateaux ).
4 Introduction Objectifs du workshop Techno Flotte 2015 Annexe (résumés) Session 1 Ce workshop a pour but d organiser un échange direct entre des utilisateurs scientifiques de la Flotte et les ingénieurs/concepteurs des équipements scientifiques de celle-ci, et ce, sans interférer avec les instances décisionnelles au niveau de l UMS Flotte ou de chaque établissement partenaire, et en ciblant une prospective à 5-10 ans. Les objectifs principaux de ces 2 jours de rencontre sont : de rappeler et d expliciter les fonctionnalités et équipements scientifiques actuellement disponibles de créer les conditions d un dialogue permettant de préciser les besoins et d initier des réponses technologiques de faciliter les échanges futurs entre les équipes scientifiques et technologiques Afin de bien rester dans la cible du workshop, on évitera les débats sur le quantitatif (budget, moyens, nombre et capacité des navires ), on s intéressera aux équipements «lourds» en laissant de côté les technologies de capteurs ou les petits instruments, sauf si leur adaptation à la Flotte est un projet technologique en soi. Présentation de l UMS Flotte Cette intervention a pour objectif de présenter les mécanismes d accès à la flotte. Un focus particulier sera fait sur la démarche de programmation pluriannuelle que cherche à mettre en place l UMS Flotte, et qui s appuie entre autres sur des appels à manifestation d intérêt, puis des appels d offres concernant la réalisation des campagnes scientifiques sur les navires côtiers et hauturiers. Les étapes d évaluation, de préparation, de réalisation, puis de valorisation seront présentées, avec les évolutions attendues dès cette année avec la mise en place du premier module du système de gestion de campagnes. Les systèmes sonar (sondeurs, sonars, courantomètres) Principes, fonctionnalités et performances Les systèmes sonar mis en oeuvre par les navires et les engins sous-marins (sondeurs multifaisceaux, sonars latéraux et interférométriques, sondeurs monofaisceaux, sondeurs de sédiments, courantomètres Doppler) intéressent une large communauté scientifique (géosciences marines, halieutique, environnement profond, environnement côtier, océanographie physique,..). Ils sont dimensionnés en fonction des diverses applications auxquelles ils doivent répondre. Après un rappel de leurs principes fondateurs (mesure bathymétrique ou réflectométrique) et de leurs paramètres dimensionnants, les fonctionnalités et les performances obtenues seront présentées, en fonction des divers systèmes et navires. La présentation inclura aussi les outils logiciels (proposés par les constructeurs ou par l'ifremer) pour l'acquisition.
5 Les équipements sismiques Techno Flotte 2015 Les équipements sismiques sont utilisés dans le domaine des géosciences pour explorer la croute océanique sur des épaisseurs variant de quelques mètres à quelques kilomètres. Le renouvellement des équipements dits «de surface» de l'ifremer (multitraces, haute résolution 2D et 3D, rapide) est actuellement en cours et l année 2015 verra déjà l approvisionnement, les tests et l utilisation sur des campagnes opérationnelles de nouveaux équipements. Un état des lieux de l existant assorti d une perspective à moyen terme, sur les matériels, les logiciels sera effectué. Il inclura la sismique «près du fond», offerte par l engin remorqué SYSIF. Les engins sous-marins - de l existant au nouvel HROV L Ifremer développe et met en œuvre un ensemble cohérent d outils, de services et de compétences pour l intervention profonde jusqu à 6000m de profondeur pour les besoins des applications scientifiques. Les différents types d engins sous-marin habité, robot télé-opéré, robot autonome permettent d effectuer des tâches de cartographie haute résolution, d inspection visuelle, et d échantillonnage d eau, de sédiment ou de faune. Les spécificités des systèmes seront présentées du point de vue de l utilisateur scientifique, des complémentarités qui peuvent être mise à profit par des mobilisations conjointes de plusieurs systèmes seront indiquées, et nous introduirons le nouveau système hybride. Les engins sous-marins - charges utiles, données et images, géolocalisation Les charges utiles scientifiques intégrées dans les engins comprennent les outils de prélèvement, les sondeurs et sonars, les équipements d imagerie optique et les capteurs physiques ou biochimiques. L ensemble des données et prélèvements est géo-localisé par un système qui allie le positionnement acoustique aux centrales de navigation embarquées. L imagerie optique bénéficie d innovations technologiques récentes, elle intègre désormais des fonctionnalités spécifiques pour la restauration d images, la mosaïque géo-référencée 2D et 3D, les algorithmes d assistance à l interprétation ultérieure. Le carottage et les outils de géophysique Les mesures en géophysique et les prélèvements sédimentaires sont de premier intérêt pour les géosciences marines. Les moyens à mettre en œuvre sont généralement lourds et les performances des équipements, en particulier le carottage, dépendent fortement des capacités du navire. Une cartographie des moyens et des capacités de la flotte nationale sera dressée, en tentant de positionner nos outils par rapport aux flottes internationales. Les outils PENFELD et carottage CALYPSO seront plus particulièrement ciblés et les limites actuelles de ces systèmes seront présentées ainsi que les contraintes en termes de traitement des données et/ou des produits prélevés. Les apports d un outil comme CINEMA pour la modélisation du fonctionnement des carottiers seront expliqués, ce qui permettra d appuyer sur les liens étroits entre sciences et ingénierie. Enfin, les évolutions souhaitables de ces outils seront abordées. Autres équipements En dehors des équipements évoqués par ailleurs (sismique, sondeurs de coque, carottage), les navires océanographiques sont dotés d une batterie d équipements complémentaires intéressant une large communauté scientifique : équipements d'hydrologie, gravimètre, centrale météo, magnétomètre Certains sont installés à poste fixe sur le navire, d'autres sont des équipements mobiles qui ont néanmoins nécessité des aménagements spéciaux pour pouvoir les accueillir et les opérer. La présentation dressera un tableau synthétique des principaux équipements mis à disposition
6 en précisant leurs fonctions, leurs performances et les aménagements spéciaux prévus pour leurs mises en œuvre. Les facilités informatiques à bord et à terre L infrastructure informatique à bord des navires met à disposition des scientifiques des services réseau de base leur permettant une installation rapide sur le bateau (connexion au bord, disques réseau, ) ainsi que des moyens plus spécialisés autorisant l accès aux données des capteurs et permettant une gestion centralisée de la mission (acquisition, archivage et mise à disposition en temps réel). L infrastructure informatique offre aussi des facilités pour le traitement des données acquises au travers des logiciels scientifiques dédiés aux campagnes. Par ailleurs, les moyens de télécommunication permanents avec la terre qu autorisent les technologies satellites offrent de nombreux services, comme l accès à la téléprésence par exemple. La présentation dressera l ensemble des fonctionnalités offertes par cette infrastructure informatique. Les données issues des campagnes La vie des données marines acquises à bord des navires de recherche ou à bord des engins sousmarins ne s arrête pas à la fin de la campagne océanographique. Le cycle des données marines est un continuum qui débute avec l acquisition des données en mer, passe par un archivage temporaire et une qualification technique à bord, une transmission vers le centre de données pour qualification, bancarisation définitive, mise à disposition ultérieure tant pour les besoins des scientifiques que pour d autres besoins et valorisation. Au cours de cette session, la première présentation va introduire cette notion de continuum qui va depuis l acquisition de la donnée jusqu à sa valorisation. Les présentations suivantes vont détailler les différentes étapes : a) bancarisation des données acquises à bord des navires b) bancarisation des données des engins sous-marins c) diffusion et valorisation scientifique des données. - L attribution d un DOI à tous les jeux de données acquis en mer est élément clé de la reconnaissance de l effort de collecte fait par les équipes scientifiques. Un DOI permet de citer un jeu de données de manière unique. - Les données acquises à bord circulent ensuite à travers un portail d accès aux informations et données des campagnes océanographiques. Elles ont pour vocation à intégrer le Pôle Océan. Mise en œuvre des équipements lourds Une fonction importante des navires est leur capacité à accueillir et à opérer des équipements mobiles lourds, tels que les engins sous-marins ou les équipements sismiques. Par ailleurs, et dans un contexte de campagnes de plus en plus pluridisciplinaires et/ou nécessitant des moyens d'observation et de prélèvement multiples, les possibilités des navires à mettre en œuvre simultanément ou successivement plusieurs systèmes sous-marins sont devenues très importantes. La présentation dressera un état des capacités offertes par la flotte. Solliciter et préparer une campagne océanographique Cette intervention a pour objectif de présenter les mécanismes d accès à la flotte. Un focus particulier sera fait sur la démarche de programmation pluriannuelle que cherche à mettre en place l UMS Flotte, et qui s appuie entre autres sur des appels à manifestation d intérêt, puis des appels d offres concernant la réalisation des campagnes scientifiques sur les navires côtiers et hauturiers. Les étapes d évaluation, de préparation, de réalisation, puis de valorisation seront présentées, avec les évolutions attendues dès cette année avec la mise en place du premier module du système de gestion de campagnes.
7 Les géosciences Techno Flotte 2015 Session 2 La compréhension de l'évolution géologique de la planète, l'identification des processus dynamiques associés aux changements globaux, la reconstruction des changements paléoclimatiques/océanographiques enregistrés dans les séries sédimentaires marines, l'étude des risques géologiques tels que les séismes, l'activité volcanique et les glissements sous-marins, ainsi que l'exploration géologique dédiée à la compréhension des processus et à la recherche de ressources minérales et énergétiques requièrent le développement et la mise en œuvre de moyens technologiques de toujours plus haute résolution pour une exploration quantitative et multi-échelle des domaines océaniques. Pour cela, des actions fortes sont nécessaires pour la mise en place : - de moyens navals pour une exploration multidisciplinaire ; - d'outils sismiques quantitatifs, tant de forte pénétration que de haute résolution ; - de véhicules sous-marins d'exploration grands fonds performants et d'une instrumentation adaptée; - d'instruments d'échantillonnage et de mesures in situ permettant l'étude et la surveillance multi-paramétrique des fonds marins (observatoires). La physique de l océan On ne s attend pas à de profonds changements pour les années à venir dans les équipements scientifiques des navires océanographiques en ce qui concerne l océanographie physique. Si des progrès sont probables dans le domaine des capteurs ou des mesures de turbulence, il s agit là d équipements opérés par les équipes scientifiques et non rattachés aux navires. Les besoins exprimés en équipement des navires concernent particulièrement deux domaines, la mise en œuvre en station de systèmes CTD/Rosette et d autres instruments, et les enregistrements en continu de paramètres physiques. Pour les CTD/Rosette on s attend à une augmentation de taille et de poids qui implique une amélioration des treuils hydrologiques (nécessité d amortisseurs de houle performants, d une vitesse de filage et virage régulière et maîtrisée, de câbles plus résistants et multi-conducteurs) et des conditions de mise à l eau (agrandissement et aménagement des coursives hydro et laboratoires humides, chariots hydrauliques). Le besoin de treuils supplémentaires équipés de câbles nonmétalliques pour les mesures d éléments traces va aussi s accentuer. Le remplacement des systèmes XBT par des équipements de type «Underway CTD» doit aussi être examiné, en lien avec les besoins pour les sondeurs multifaisceaux. Les spécificités des déploiements de mouillages instrumentaux devront être mieux prises en compte dans l aménagement de la plage arrière des navires. Pour les mesures en route on peut proposer un remplacement progressifs des TSG par des systèmes de type Ferrybox, qui permettent d obtenir plus de paramètres utiles à la physique et à la chimie. L amélioration des mesures météo est aussi nécessaire : mesures de couche limite, d irradiance, de précipitations sont à ajouter aux paramètres standards. L environnement profond La recherche en environnement profond (géosciences, biologie, chimie ) et ses applications (ressources énergétiques et minérales, bio-ressources, étude d impact ) passe par une étape incontournable d exploration menée à différentes échelles via des engins sous-marins. Depuis quelques années, l exploration locale par cartographie haute résolution près du fond
8 (bathymétrie, imagerie acoustique, colonne d eau, mosaiques photos) a pris beaucoup d importance. Elle permet de préparer les plongées d observation directe et d échantillonnage pour la cartographie fine des différents ensembles géologiques et des différents types d habitats. Actuellement une stratégie d exploration multi-échelle n est pas possible au-delà de 3000 m en raison des limitations des engins autonomes disponibles en France. En raison de cette limitation, des campagnes océanographiques récentes ont mis en œuvre à la fois le ROV VICTOR et un AUV 6000 m étranger. Par ailleurs, l utilisation conjointe et simultanée de plusieurs engins sous-marins (e.g., ROV+AUV ou plusieurs AUVs), testé récemment, démontre qu une optimisation des temps navire ainsi qu une acquisition plus efficace des données est possible par rapport au mode d opération actuel des engins sous-marins de l IFREMER. Le challenge, dans ce domaine d intervention profonde, du dimensionnement des engins jusqu à 6000 m, du développement de leurs fonctions exploratoires (géophysique, vidéo et photo pour les AUVs), de l intégration de nouveaux outils multi-capteurs d observations et de mesure, de la cohérence et la convergence d utilisation des dispositifs (modularité, standardisation inter-engins), permettra sans nul doute de mener des campagnes d exploration et d échantillonnage encore plus efficaces et riches scientifiquement tout en optimisant l utilisation des temps navire. La réflexion doit également porter sur les moyens de prélèvements (opération des navettes/ascenseurs et/ou autres dispositifs sur câble durant les plongées ROV, grabs, forages) et les capacités d emport. Ce challenge repose donc beaucoup sur une mise en cohérence des profondeurs d intervention (6000m) entre les engins sous-marins et sur leur utilisation simultanée et complémentaire afin d optimiser le temps au fond. L halieutique - Ecosystèmes marins - Biodiversité Des campagnes halieutiques de surveillance sont menées selon des protocoles standardisés, parfois depuis 30 ans, pour collecter des indices d'abondance et de biomasse des populations de poissons. Depuis une quinzaine d'années ces campagnes se sont étoffées. Elles produisent désormais des indicateurs écosystémiques et collectent des données sur plusieurs compartiments écologiques dont le phyto- et zooplancton, les œufs et larves de poisson, le benthos, les oiseaux et mammifères marins. La mise en œuvre de la DCSMM, Directive-Cadre Stratégie pour le Milieu Marin, implique de renforcer cette démarche notamment car de nombreux dispositifs de suivi des écosystèmes sont rattachés aux campagnes halieutiques. En parallèle, il y a une demande croissante de campagnes écosystémiques ne ciblant pas spécifiquement des ressources exploitées mais dont l'objectif est la compréhension des processus écologiques. Ces deux types de campagnes requièrent des équipements destinés à optimiser les travaux menés à bord, en automatisant, simplifiant et accélérant les prélèvements et mesures actuelles et en permettant la récolte de plus de données plus diversifiées. Elles nécessitent également des équipements novateurs pour l observation des processus physiques, biogéochimiques et écologiques. Les pistes envisagées portent par exemple sur : - l'installation de dispositifs compacts et intégrés capables de fournir plusieurs types de données là où des équipements distincts sont aujourd'hui utilisés. Cela pose ainsi la question de la faisabilité de combiner les actuels dispositifs CUFES et les systèmes de pompage d eau de mer aux outils d acquisition automatique de type zoocam et flowcam; - la transmission d importants volumes de données à terre, y compris les données d'acoustiques voire de vidéo sous-marine, afin de permettre leur traitement par des équipes à terre, ce qui pourrait être à la fois plus efficace et moins cher;
9 - la mise en place de postes informatisés pour le traitement de la capture des engins de pêche sur l'ensemble des navires réalisant des campagnes halieutiques. - la mise en place de nouveaux outils d acquisition des données acoustiques, notamment des systèmes large bande (sondeurs EK 80), donnant accès à un continuum de tailles dans les organismes détectés, du zooplancton aux prédateurs supérieurs ; systèmes acoustiques multifaisceaux (sondeur et sonar) et couplage de l acoustique halieutique et physique (ADCP). - des développements méthodologiques pour accompagner ces évolutions technologiques. - l acquisition de chaluts méso-pélagiques déployés sur une ou plusieurs funes pour l échantillonnage de communautés biologiques non exploitées par l homme (micronecton : échelons trophiques intermédiaires). La bio-géochimie Les campagnes de Biogéochimie sont des campagnes pluridisciplinaires qui nécessitent le déploiement de nombreux instruments : rosettes «classique» et «propre», mouillages instrumentaux, pompes insitu, filets à plancton, carottiers, poisson pour prélèvement d eau de mer de surface, flotteurs autonomes, La maintenance et l amélioration des systèmes de mise à l eau de ces instruments sont essentielles. Les besoins rejoignent ici ceux de l Océanographie Physique avec l amélioration des treuils hydrologiques et des conditions de mise à l eau. Le système de prélèvement propre pour les éléments traces vient d être acquis récemment (treuil + câble + rosette + bouteilles Go-Flo), mais il faut veiller à sa maintenance et à son évolution : par ex., le câble (80K ) doit être renouvelé tous les 5 ans environ, en fonction de son utilisation. Par ailleurs, il est indispensable de s équiper d un container supplémentaire «propre» spécifique pour les prélèvements des éléments traces. Le container actuel ne peut accueillir que 12 bouteilles simultanément alors que la rosette est équipée de 24 bouteilles. Il est également impératif de remplacer à court terme le container radio-isotopes. Les radioéléments permettent des études de processus à fine échelle qui se développent de plus en plus in-situ. De plus, les équipements internes de certains bateaux (Atalante par ex.), tels que les réfrigérateurs ou les congélateurs, doivent être améliorés. Les analyses en continu et à haute fréquence sont une priorité du Global Ocean Observing System. Il est important pour la communauté des biogéochimistes d obtenir un container dédié aux mesures haute fréquence en continu. Ce container doit être doté d'un système de prélèvement propre, de type pompe téflon auto-amorçante, adapté à tous les navires de la flotte (Suroît, Thalassa, Atalante, PP?). Pour le déploiement et le développement d instruments de type poisson à remorquer, il faut surveiller que les circuits sont compatibles avec des prélèvements propres et que le système de mise à l eau est adapté. Il est par ailleurs crucial de progresser sur les capteurs permettant des mesures d éléments traces et sur ceux permettant de quantifier les particules dans la colonne d'eau. Ces capteurs aideront grandement à équiper des sites instrumentés pour des séries temporelles. Enfin, il y a une nécessité d obtenir pour les études longues en milieu côtier un bateau de type Suroît, à la fois pour l observation à long terme de type MOOSE, ou pour les études couplées physiquebiogéochimie. Il apparait également que l Alis est régulièrement sous dimensionné pour le rôle qu on veut lui faire jouer dans le Pacifique. La sous-utilisation du Suroît actuelle pourrait être partiellement résolue si, comme l Alis, le Suroît émargeait dans les deux commissions Flotte Hauturière et Côtière.
10 Session 3 Quelle stratégie/besoin d exploration grands fonds (>3000m)? L objectif des développements technologiques est de proposer un ensemble cohérent de systèmes, en adéquation avec la flotte océanographique et ouvrant un vaste champ d applications. Le parc de moyens d intervention profonde évoluera pour proposer des fonctionnalités et des performances optimisées dans une approche qui s inscrit dans la recherche d efficacité de la mise en œuvre et de maitrise des coûts d exploitation. Les apports de la télé-présence Les technologies autorisant la téléprésence permettent aujourd hui d ouvrir les campagnes scientifiques à un très grand nombre de personnes. En plus de renforcer l expertise multidisciplinaire en impliquant des chercheurs de tout horizon, ce concept autorise également la participation massive des étudiants scientifiques et une plus grande ouverture vers la société en général. L efficacité de la campagne s en retrouve donc améliorée. La coordination de la campagne devenant plus complexe à gérer un nouveau rôle de coordinateur des activités à terre pourra être défini et intégré aux objectifs de campagne. Le débat cherchera à identifier les services de suivi/pilotage de campagnes à partir de la terre qui pourraient être mis en place. Les droits sur les données des campagnes Toutes les données sont-elles libres d accès? Comment concilier un droit d exclusivité pour les chefs de mission à des fins de publications scientifiques avec une libre circulation des données et leur réutilisation? Comment concilier ce droit avec les textes réglementaires Code minier, droit des pays tiers, directive Inspire)? La reconnaissance par la citation des jeux de données (DOI) répond-elle aux chercheurs? Les systèmes de mesure en route/en continu En complément des campagnes scientifiques dédiées, le suivi global et continu de l océan est indispensable pour de nombreuses disciplines, en particulier pour l'océanographie physique. Ce suivi nécessite la mise en place de réseaux d observation globaux et pérennes. Une des solutions du problème s appuie sur les mesures effectuées en continu depuis les navires. Ce système est actuellement largement incomplet et l implantation sur les navires d une chaîne de capteurs adaptée et exploitée en routine permettrait d accroitre de manière significative la quantité des données acquises. La discussion portera sur la pertinence d'une telle démarche et, le cas échéant, l'élaboration d'une première définition du besoin tant aux niveaux des équipements que des services de téléadministration qui pourraient être proposés.
Claire NOEL Directeur Scientifique
Bureau d é études en océanographie acoustique SEMANTIC TS Sanary (Var) Claire NOEL Directeur Scientifique Docteur Ingénieur Opérateur sonar Capitaine 200 Plongeur PRO - Modélisation - Traitement du signal
Plus en détailINSTRUMENTATIONS OCÉANOGRAPHIQUES MÉTÉOROLOGIQUES ET HYDROLOGIQUES DÉVELOPPÉES PAR LA SOCIÉTÉ SAFARE-CROUZET
DOCUMENT 4.7. INSTRUMENTATIONS OCÉANOGRAPHIQUES MÉTÉOROLOGIQUES ET HYDROLOGIQUES DÉVELOPPÉES PAR LA SOCIÉTÉ SAFARE-CROUZET Jean-Jacques PESANDO Ingénieur Chef des Projets Océanographiques Société SAFARE-CROUZET
Plus en détailEOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire. 15 Novembre 2012. Instance de Suivi et de Concertation
EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire 15 Novembre 2012 Instance de Suivi et de Concertation AGENDA A/ Les acteurs du consortium A/ Les acteurs du consortium B/ Le projet C/ Les études environnementales
Plus en détailjanv-10 janv-11 oct-10 juil-11 juil-10 avr-11 avr-10
13 Mars 2015 oct-07 janv-08 avr-08 juil-08 oct-08 janv-09 avr-09 juil-09 oct-09 janv-10 avr-10 juil-10 oct-10 janv-11 avr-11 juil-11 oct-11 janv-12 avr-12 juil-12 oct-12 janv-13 avr-13 juil-13 oct-13 janv-14
Plus en détailL Ecole et observatoire des sciences de la Terre
L Ecole et observatoire des sciences de la Terre Michel GRANET LabEx G-EAU-THERMIE PROFONDE JOURNÉE DE LANCEMENT 14 Juin 2012 Un peu d histoire des sciences de la Terre à Strasbourg Quelques dates clés
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailSea Tech Week Brest - Mercredi 10 octobre Quartz salle 1
Sea Tech Week Brest - Mercredi 10 octobre Quartz salle 1 Parc Naturel Marin d Iroise MERiFIC L étude du bruit des énergies marines renouvelables et impacts sur l environnement. L utilisation de l acoustique
Plus en détailMoyens mis en œuvre pour la cartographie du plateau continental Guide général
1 Département Dynamiques de l'environnement Côtier (DYNECO) 2 Département Géosciences Marines (GM) Claire ROLLET 1 (Responsable Action) Cécile BRETON 2 Benoît LOUBRIEU 2 Catherine SATRA LE BRIS 2 RST/IFREMER/DYNECO/AG/10-09/CR
Plus en détailDANIEL REYSS. Avril 2012 BIOGRAPHIE MEDIATHEQUE. Daniel Reyss est né le 19 juin 1935 à Dakar (Sénégal).
Archives Daniel Reyss Avril 2012 BIOGRAPHIE MEDIATHEQUE Daniel Reyss est né le 19 juin 1935 à Dakar (Sénégal). DANIEL REYSS En 1948, l adolescent, accompagnant Théodore Monod, découvre un curieux engin
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détailMétiers d études, recherche & développement dans l industrie
Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers d études, recherche & développement dans l industrie R&D Production Ingénieur
Plus en détailCatalogue Produits. Version 1
Catalogue Produits Version 1 A propos d Actisense INTRODUCTION Interfaces et Sondes intelligentes Actisense. Des solutions plus intelligentes qui ont un sens. Actisense est synonyme d excellence dans le
Plus en détailIndexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains. Pas si sûr! Avec IndexMed. Relevons ce challenge!
Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains Pas si sûr! Avec IndexMed Relevons ce challenge! Origine du consortium L état des lieux (source : séminaire Allenvie, séminaire Indexmed1)
Plus en détailLutin Laboratoire des Usages en Technologies
Lutin Laboratoire des Usages en Technologies d Information Numérique (à la Cité des Sciences) Offres à destination des entreprises (club d entreprises) Le principe de la plate-forme RNRT Le laboratoire
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailChangement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française
Les tempêtes L expert Avec la crise climatique, les rivages subissent plus durement les assauts de la mer et les crues de fleuves. Pour anticiper et prévenir des risques d érosion et d inondation, il est
Plus en détailPrésentation du M2 SIC : Systèmes Informatiques et Applications Marines
Présentation du M2 SIC : Systèmes Informatiques et Applications Marines Jean-Philippe Babau (resp. M2 SIAM) http://dept-info.univ-brest.fr/master2_siam.php http://labsticc.univ-brest.fr/pages_perso/babau/
Plus en détailDevenir Partenaire. du 5 ème Symposium International WETPOL
Devenir Partenaire du 5 ème Symposium International WETPOL WETPOL 2013, un évènement international - 2 - Dossier de partenariat : Page Pourquoi sponsoriser WETPOL 2013? 3 Un évènement novateur de dimension
Plus en détailLa surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers
Symposium on Innovation and Technology in The Phosphate Industry - SYMPHOS May 6-10, 2013 Agadir, Marocco La surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers Méthodes et Technologies
Plus en détailDesclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques. Catherine Jeandel Des clés pour comprendre l océan :
Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques 1 Un cycle de la matière qui conditionne la chimie des océans et le climat La Terre, notre planète bleue (Figure 1), est constituée
Plus en détailIndexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains. Pas si sûr! Avec IndexMed. Relevons ce challenge!
Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains Pas si sûr! Avec IndexMed Relevons ce challenge! Origine du consortium L état des lieux (source : séminaire Allenvie, séminaire Indexmed1)
Plus en détailEquipement d un forage d eau potable
Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de
Plus en détailISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009
REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.
Plus en détailLe programme FAME Quel apport pour les AMP? Réunion nationale de restitution et d échanges du programme FAME 20 février 2013 / Paris
Le programme FAME Quel apport pour les AMP? Réunion nationale de restitution et d échanges du programme FAME 20 février 2013 / Paris Eléments de contexte sur les AMP Deux problématiques majeures: -Une
Plus en détailSextant V4.0. Le portail de diffusion de l information géographique de l Ifremer. Sextant Présentation générale
Sextant - Infrastructure de données spatiales sur le domaine marin Sextant V4.0 Le portail de diffusion de l information géographique de l Ifremer E. Quimbert, M. Bellouis, F. Lecuy, M. Treguer Centre
Plus en détailPrincipaux utilisateurs du Réseau
Bienvenue à l innovant apptap, la première solution intégrée de l'industrie à combiner les capacités de collecte de données sur le réseau (Tap) avec le suivi du réseau et des applications. Cette nouvelle
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailSynthèse du questionnaire en ligne
èmes Rencontres Régionales pour la Biodiversité VENDREDI SEPTEMBRE 0 Université de Caen Basse-Normandie Amphithéâtre Oresme Vers un observatoire régional de la biodiversité en Basse-Normandie Synthèse
Plus en détailDépartement Informatique et Données Marines Service Ingénierie des Systèmes d'informations Référence IFREMER-DCB-IDM-ISI/DDC-11-014
Département Informatique et Données Marines Service Ingénierie des Systèmes d'informations Référence IFREMER-DCB-IDM-ISI/DDC-11-014 Thierry CARVAL Loïc Petit de la Villéon Réjane QUEMENEUR N 11/2 211 015
Plus en détailBOUEE SIMEO - STATION DE SURVEILLANCE DE L ECOSYSTEME MARIN SIMEO BUOY
BOUEE SIMEO - STATION DE SURVEILLANCE DE L ECOSYSTEME MARIN SIMEO BUOY Patrice 1 WOERTHER 1, Erwan 2 ROUSSEL 2, Yannick 3 TROVEL 3, Dominique 4 PONTON 4. 1 IFREMER - ZI Pointe du Diable, 29280 PLOUZANE
Plus en détailMoteur d idées pour véhicules spécifiques. Le Pôle de compétitivité Véhicules et Mobilités du grand Ouest
] Moteur d idées pour véhicules spécifiques [ Le Pôle de compétitivité Véhicules et Mobilités du grand Ouest ] [Notre mission] Développer la compétitivité des entreprises par le biais de l innovation :
Plus en détailThème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE
Séminaire récifs artificiels en Languedoc : bilan et perspectives. 20 novembre 2008 Sète Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE Frédéric BACHET & Eric CHARBONNEL,
Plus en détailProjet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer
ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...
Plus en détailProjet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H
Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des
Plus en détailLogistar, la solution haute p récision de votre Supply Chain
Logistar, la solution haute p récision de votre Supply Chain Notre différence : concilier décisions stratégiques et réponses opérationnelles Pour planifier et exécuter votre Supply Chain avec la meilleure
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailRESIF Une infrastructure de recherche pour l'observation des déformations de la terre site web : http://www.resif.fr
RESIF Une infrastructure de recherche pour l'observation des déformations de la terre site web : http://www.resif.fr Catherine Péquegnat Univ. Grenoble Alpes, ISTerre, F-38041 Grenoble, France CNRS, ISTerre,
Plus en détailPosition de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en
Plus en détailMASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE)
MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : STIC POUR L'ECOLOGIE
Plus en détailPoint de Contact National. Assurer l approvisionnement en matières premières non énergétiques et non agricoles
Point de Contact National Assurer l approvisionnement en matières premières non énergétiques et non agricoles Répartition du sujet selon les thématiques 1 Calls Waste Water Inno. Low carbon, ressource
Plus en détailAMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE
AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES GEOSPATIALE CREATION A D UNE L ECHELLE BANQUE NATIONAL DE DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE 1 AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. P O Box 3463
Plus en détailÉlargissez vos compétences en intégrant une formation Bac +6 répondant aux enjeux de l'éco-innovation
Mastère Spécialisé Économie circulaire : les outils de l Écologie industrielle et de l Éco-conception Bac +6 Élargissez vos compétences en intégrant une formation Bac +6 répondant aux enjeux de l'éco-innovation
Plus en détailDiscovering Hidden Value
Discovering Hidden Value A la découverte de la valeur cachée Consultation pour les Opérations de Forage Proposées en Offshore Marocain 2013 Qui est Cairn Energy? Cairn est une société de pétrole et de
Plus en détailLa détection en mer sous la surface pendant l accident de Deepwater Horizon
La détection en mer sous la surface pendant l accident de Deepwater Horizon Richard Camilli Woods Hole Oceanographic Institution Dept of Applied Ocean Physics and Engineering Deep Submergence Laboratory
Plus en détailUNIVERSITE DE BREST Référence GALAXIE : 4201
UNIVERSITE DE BREST Référence GALAXIE : 4201 Numéro dans le SI local : 6300MCF0617 Référence GESUP : 0617 Corps : Maître de conférences Article : 26-I-1 Chaire : Non Section 1 : 63-Génie électrique, électronique,
Plus en détailTECHNOLOGIES EXPERTISES RECHERCHES ANALYTIQUES EN ENVIRONNEMENT. SyPACV2. Système de prélèvement automatique compact - 2 ème génération
TECHNOLOGIES EXPERTISES RECHERCHES ANALYTIQUES EN ENVIRONNEMENT Ingénierie SyPACV2 Système de prélèvement automatique compact - 2 ème génération 2012 SOMMAIRE 1. Le service Ingénierie 2. Qu est-ce que
Plus en détailLes formations en cycle ingénieur
Les formations en cycle ingénieur Eau, environnement, aménagement Ce domaine forme des ingénieurs capables d'explorer et d'organiser l'espace (surface et sous-sol), d'exploiter durablement les ressources
Plus en détailMaximiser la performance de vos projets immobilier de bureaux
Make the most of your energy* Maximiser la performance de vos projets immobilier de bureaux * Tirez le meilleur de votre énergie www.schneider-electric.fr Schneider Electric France Direction Communication
Plus en détailRESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE POUR UN TERRITOIRE DANS LA REGION ADMINISTRATIVE DE L ABITIBI-TEMISCAMINGUE
MÉMOIRE DEPOSE AU BUREAU D AUDIENCES PUBLIQUES SUR L ENVIRONNEMENT (BAPE) DANS LE CADRE DES AUDIENCES PUBLIQUES POUR LES PROJETS DE RESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE
Plus en détailSOLUTION DE SUIVI ET GESTION DE FLOTTE
SOLUTION DE SUIVI ET GESTION DE FLOTTE LA SOLUTION TRAGEO OKTALOGIC conçoit et produit : Un protocole de communication GPRS innovant et breveté, OKTANET, qui par sa souplesse et sa légèreté permet une
Plus en détailLE SERVICE PAR L EXCELLENCE BOURBONOFFSHORE.COM
LE SERVICE PAR L EXCELLENCE BOURBONOFFSHORE.COM UNE PRÉSENCE GLOBALE, UNE EXPERTISE LOCALE EUROPE MEDITERRANEE MOYEN-ORIENT 83% d effectifs locaux AMERIQUES 89% d effectifs locaux ASIE 79% d effectifs
Plus en détailMISE À JOUR SUR LES PROGRÈS CONCERNANT L ÉVALUATION DES PERFORMANCES (RÉSOLUTION 09/01)
MISE À JOUR SUR LES PROGRÈS CONCERNANT L ÉVALUATION DES PERFORMANCES (RÉSOLUTION 09/01) PREPARE PAR : SECRETARIAT DE LA CTOI, 27 MARS 2013 OBJECTIF Fournir au d Application (CdA) une opportunité de mettre
Plus en détailEntreprise. Gestion énergétique de votre parc informatique
Entreprise Gestion énergétique de votre parc informatique AVOB Energy Saver 5, c est l opportunité pour votre entreprise de réduire drastiquement le coût énergétique et l empreinte carbone de son parc
Plus en détailLes lières. MSc in Electronics and Information Technology Engineering. Ingénieur civil. en informatique. MSc in Architectural Engineering
Ingénieur civil Ingénieur civil Les lières MSc in Electronics and Information Technology Engineering MSc in Architectural Engineering MSc in Civil Engineering MSc in Electromechanical Engineering MSc
Plus en détailLa mise en place d une cellule de veille
La mise en place d une cellule de veille Floriane Giovannini IST - Antony 24 ème Rencontres OMER Lyon, les 29-30 mars 2007 Plan de la présentation Introduction à la veille Une cellule de veille : - Pourquoi?
Plus en détailAXES DE RECHERCHE - DOMAINE D'INTERET MAJEUR LOGICIELS ET SYSTEMES COMPLEXES
1 AXES DE RECHERCHE - DOMAINE D'INTERET MAJEUR LOGICIELS ET SYSTEMES COMPLEXES 2 Axes de recherche L activité du DIM LSC concerne la méthodologie de la conception et le développement de systèmes à forte
Plus en détailN/O ANTEA - R/V ANTEA
N/O ANTEA - R/V ANTEA Page 1 sur 16 Table des Matières / Table of contents 1. Propriétaire / Owner... 3 2. Opérateur/Operator... 3 3. Communication... 4 4. Caractéristiques principales / Main characteristics...
Plus en détailPrésentation des projets de recherche BLOWOUT et METANE. Journée technique du Cedre. Brest 14 novembre 2013
Présentation des projets de recherche BLOWOUT et METANE Journée technique du Cedre Brest 14 novembre 2013 1 Déroulement Fiches techniques Contexte Description technique Démonstration Questions 2 Fiches
Plus en détailStockage de l énergie renouvelable et de production d hydrogène
Stockage de l énergie renouvelable et de production d hydrogène HYBSEN - HYdrogène en Bretagne pour le Stockage d ENergie Renouvelable Le stockage de l énergie: 2 ème pilier de la troisième révolution
Plus en détailFaculté des Sciences d ORSAY
Université Paris-Sud 11 Faculté des Sciences d ORSAY Personnes ressources des disciplines représentées : Département de Biologie Vice-Président : Hervé DANIEL Secrétaire : Malika DERRAS Université Paris-Sud
Plus en détailTable des matières CID 50... 3 CID 51... 3 CID 52... 4 CID 53... 4 CID 54... 5
Critères des commissions interdisciplinaires du du Comité national mandat 2012-2016 Table des matières CID 50... 3 CID 51... 3 CID 52... 4 CID 53... 4 CID 54... 5 2 CID 50 Gestion de la recherche La CID
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailAdaptabilité et flexibilité d une station de charge pour véhicules électriques
Adaptabilité et flexibilité d une station de charge pour véhicules électriques Mars 2012 / Livre blanc de Johan Mossberg et Maeva Kuhlich Sommaire Introduction... p 2 Qu est ce qu une station de charge
Plus en détailSécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III
Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III Depuis 2008, l Etablissement assure la mise en place du plateau collaboratif d échange Intranet/Internet
Plus en détail3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit
P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations
Plus en détailMaximiser la performance de vos projets immobiliers de bureaux
Maximiser la performance de vos projets immobiliers de bureaux Concilier la performance économique et la performance d usage du bâtiment L équation économique de vos projets doit être optimisée sur la
Plus en détailPlan de formation Personnel de l UCE
Plan de formation Personnel de l UCE Juin 2015 Sommaire Contexte Termes de référence du consultant Environnementales et Sociales Termes de référence pour l archivage électronique des documents Proposition
Plus en détailVision prospective et obstacles à surmonter pour les assureurs
smart solutions for smart leaders Le «Big Data» assurément Rédigé par Pascal STERN Architecte d Entreprise Vision prospective et obstacles à surmonter pour les assureurs Un avis rendu par la cour de justice
Plus en détailEnvironmental Research and Innovation ( ERIN )
DÉpartEment RDI Environmental Research and Innovation ( ERIN ) Le département «Environmental Research and Innovation» (ERIN) du LIST élabore des stratégies, des technologies et des outils visant à mieux
Plus en détailMonitoring THPE. Soutien au projet. Présentation du projet
Monitoring THPE Le projet Monitoring THPE a donné lieu à l un des premiers systèmes innovants de suivi des performances énergétiques et de confort des bâtiments. Informations générales Localisation : Région
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détailNos Solutions PME VIPDev sont les Atouts Business de votre entreprise.
Solutions PME VIPDev Nos Solutions PME VIPDev sont les Atouts Business de votre entreprise. Cette offre est basée sur la mise à disposition de l ensemble de nos compétences techniques et créatives au service
Plus en détail@LON Arts et lettres options numériques
Arts et lettres options numériques Contexte et historique : - Commande de la ministre en mars 2010 - Sondage SOM Utilisation des technologies numériques - Consultations dans tout les secteurs 12 rencontres,
Plus en détail«L utilisation d un intranet permet-il la mise en place d un travail collaboratif et/ou coopératifs? Pour quelles compétences?»
«L utilisation d un intranet permet-il la mise en place d un travail collaboratif et/ou coopératifs? Pour quelles compétences?» Introduction Le travail que nous présentons ici repose sur une expérience
Plus en détailÉCONOMIE ET GESTION LYCÉES TECHNOLOGIQUE ET PROFESSIONNEL
ÉCONOMIE ET GESTION LYCÉES TECHNOLOGIQUE ET PROFESSIONNEL Au niveau du second degré, l'économie et gestion recouvre un ensemble de champs disciplinaires relevant de l'économie, du droit, des sciences de
Plus en détailDirectives pour l évaluation des participations d astrophilatélie
FEDERATION INTERNATIONALE DE PHILATELIE SECTION FOR ASTROPHILATELY Directives pour l évaluation des participations d astrophilatélie Article 1 : Exposition en compétition Principe fondamental (réf. GREV
Plus en détailJeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur
PROJET JANUS Jeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur Contact : alain.gaboriaud@cnes.fr OBJECTIFS Satellites Etudiants
Plus en détailL ARRIVÉE DES NOUVEAUX PORTEURS MIS À DISPOSITION DU SHOM : LE BHO BEAUTEMPS-BEAUPRÉ ET LE NO POURQUOI PAS?
L ARRIVÉE DES NOUVEAUX PORTEURS MIS À DISPOSITION DU SHOM : LE BHO BEAUTEMPS-BEAUPRÉ ET LE NO POURQUOI PAS? par David MOREAU, ingénieur en chef des études et techniques de l armement RÉSUMÉ Le navire reste
Plus en détailProjet de programme pour l enseignement d exploration de la classe de 2 nde : Informatique et création numérique
Projet de programme pour l enseignement d exploration de la classe de 2 nde : Informatique et création numérique 19 mai 2015 Préambule L informatique est tout à la fois une science et une technologie qui
Plus en détailBien vivre, dans les limites de notre planète
isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale
Plus en détailpossibilités et limites des logiciels existants
possibilités et limites des logiciels existants Dominique Groleau CERMA, UMR CNRS 1563, Ecole d Architecture de Nantes Journée thématique SFT- IBPSA, Outils de simulation thermo-aéraulique du bâtiment.
Plus en détailTRAAM STI 2013-2014 Acquisition et exploitations pédagogiques des données sur un système pédagogique
TRAAM STI 2013-2014 Acquisition et exploitations pédagogiques des données sur un système pédagogique Bilan technique et éléments de développement Fonctionnalités attendues Une vingtaine d établissements
Plus en détailLes ateliers prospectifs s organisent autour de 2 cycles de réunions.
En 2014, la formation professionnelle initiale accueille près de 82 000 apprenants sur l ensemble du territoire régional. Ce sont autant de parcours que la Région vise à soutenir en inscrivant les trajectoires
Plus en détailDÉVELOPPEMENT DES OPTIONS DE GESTION Aire Marine Protégée envisagée de Barra Fan et du mont sous-marin de la Terrasse des Hébrides
DÉVELOPPEMENT DES OPTIONS DE GESTION Aire Marine Protégée envisagée de Barra Fan et du mont sous-marin de la Terrasse des Hébrides Un réseau d'aires Marines Protégées (AMP) est actuellement mis en place
Plus en détailLes bases de données Les systèmes d informations
2 Les bases de données Les systèmes d informations Surface annuelle moyenne brûlée (en ha) 250 000 200 000 150 000 100 000 50 000 0 Part de la surface forestière brûlée (en %) 3,5 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 0,5
Plus en détailDIALOGUE AVEC LES CONSTRUCTEURS DE VEHICULES
CONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT 2 rue André Pascal, F-75775 PARIS CEDEX 16 TEL. 33 (0)1 45 24 97 10 / FAX: 33 (0)1 45 24 97 42 e-mail: ecmt.contact@oecd.org
Plus en détailComment réussir le déploiement de votre communauté B2B et réduire les coûts de votre chaîne logistique?
Comment réussir le déploiement de votre communauté B2B et réduire les coûts de votre chaîne logistique? La chaîne d approvisionnement ne saurait plus fonctionner sans EDI. L enjeu est à présent d accélérer
Plus en détailApplication de technologies innovantes pour la gestion des ressources en eau
Application de technologies innovantes pour la gestion des ressources en eau Ir. V. TIGNY and Ir. C. Adriaensen GIM nv/sa Presentation GIM Jeudis de l'aquapôle - 01/12/2011 1 Sommaire 1. GIM 2. Technologies
Plus en détailGestion d événements et modulation dynamique de choix sous Sphinx par calcul de contraintes en temps réel.
Gestion d événements et modulation dynamique de choix sous Sphinx par calcul de contraintes en temps réel. Entreprise ou organisme : ICN Business School Activité de l'entreprise ou de l'organisme : Par
Plus en détailITIL V3. Transition des services : Principes et politiques
ITIL V3 Transition des services : Principes et politiques Création : janvier 2008 Mise à jour : août 2009 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a été réalisé
Plus en détailSommaire. Systèmes d Exploitation... 3. Intégration Sage 100 Sage CRM... 3. Disponibilité Client... 3. Bases de données... 3
Communiqué de Lancement Sage CRM v. 6.5 Editions Standard et Avancée Sommaire Systèmes d Exploitation... 3 Intégration Sage 100 Sage CRM... 3 Disponibilité Client... 3 Bases de données... 3 Nouveautés
Plus en détailCHAÎNE D'APPROVISIONNEMENT DE TULLOW OIL
CHAÎNE D'APPROVISIONNEMENT DE TULLOW OIL Que vous soyez un fournisseur international à la recherche d'opportunités dans les pays où nous sommes en activité ou un fournisseur local, nous vous invitons à
Plus en détailRéforme du crédit à la consommation. Statut des enseignants chercheurs. Point sur les États généraux de l outre-mer
LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSÉE LE MERCREDI 22 AVRIL 2009 A L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE A DIFFUSÉ LE
Plus en détailMaîtriser les mutations
Maîtriser les mutations Avec UNE Supply chain AGILE La réflexion porte ses fruits www.cereza.fr TALAN Group Notre savoir-faire : maîtriser les mutations et en faire une force pour l entreprise Cereza,
Plus en détaili7 0 Guide de référence rapide Français Document number: 86141-1 Date: 11-2010
i7 0 Guide de référence rapide Français Document number: 86141-1 Date: 11-2010 FRANÇAIS Document number: 86141-1 Date: 02-2011 Commandes d instrument Disposition des commandes et fonctions. Mise en marche
Plus en détailL art de surveiller la température
L art de surveiller la température Suivez et analysez vos relevés de température directement sur votre smartphone Surveillez vos zones de stockage, vos équipements réfrigérés ou vos colis en transit dans
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailA. Le contrôle continu
L audit d achat est une action volontaire décidée par l entreprise avec pour objet d apprécier la qualité de l organisation de sa fonction achats et le niveau de performance de ses acheteurs. L audit achat
Plus en détail