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1 Article «Métier : exportateur : Jan Rofekamp» Henry Welsh Ciné-Bulles, vol. 8, n 3, 1989, p Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter à l'uri Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'université de Montréal, l'université Laval et l'université du Québec à Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis Pour communiquer avec les responsables d'érudit : info@erudit.org Document téléchargé le 14 November :32

2 Henry Welsh «A Taiwan, les films québécois sont doublés en anglais et sous-titrés en chinois.» Le cinéma est une industrie dit-on. Il obéit donc à certaines règles, dont celles du marché. Dans le fonctionnement de ce marché, l'exportation et la vente du cinéma québécois occupent une place de plus en plus importante. C'est même devenu une des conditions de la rentabilité des films qui ne pourraient se rembourser grâce au marché domestique. Jan Rofekamp et Francine Allaire répondent avec une grande clarté à des questions cruciales pour la compréhension de l'économie de notre cinéma. Films Transit Inc., la compagnie d'exportation bien connue est sans doute la plus apte à donner à l'étranger le sentiment qu'un cinéma de qualité est produit ici. Grâce à elle les pays du monde entier ont acquis une meilleure connaissance de notre culture cinématographique. Ciné-Bulles : Peux-tu nous parler de tes débuts en Hollande? Jan Rofekamp : J'étais alors distributeur sur le territoire néerlandais avec des films plutôt expérimentaux dans la vague du cinéma nouveau européen des années 70, Wenders, Fassbinder... Jan Rofekamp Au début des années 80, j'ai commencé à m'occuper des films hollandais dans les festivals. En , des directeurs de festivals venaient sélectionner des films subventionnés par les fonds officiels à La Haye et s'arrêtaient chez moi pour voir des films indépendants. Mes contacts avec ces festivals ont donc été un atout lorsque je suis arrivé au Québec où les connaissances étaient, en quelque sorte, monopolisées par le bureau des Festivals à Ottawa, lequel fait maintenant partie de Téléfilm Canada. Vol. 8 n" 3 CINF3L/LLES 42

3 Ciné-Bulles : Devient-on exportateur en travaillant avec le milieu? Jan Rofekamp : Oui et surtout avec les producteurs pour essayer d'améliorer non seulement leurs chances de faire de l'argent, mais aussi de trouver un meilleur profit pour eux-mêmes et avoir la possibilité de faire leurs deuxième et troisième films. Pendant la période où je me trouvais aux Pays-Bas, j'ai beaucoup voyagé et j'ai pu constater de quelle façon était faite la promotion des films dans les festivals. Mais pour être honnête, la décision d'être exportateur n'a pas été seulement la mienne mais aussi celle de Francine Allaire qui avait commencé à faire de l'exportation lorsqu'elle est venue aux Pays-Bas de 1979 à C'est dans le prolongement de cette activité que Films Transit Inc. est né. Francine Allaire : Cela se situait dans la lignée du travail de Cinéma Libre ici. J'étais partie les valises pleines de cassettes de films distribués par Cinéma Libre et d'autres d'amis réalisateurs lorsque je suis allée vivre avec Jan à Amsterdam. À cette époque les réalisateurs étaient souvent producteurs de leurs films et certains m'avaient demandé de montrer ces cassettes à des acheteurs éventuels ou à des directeurs de festivals. Avec tout le matériel de promotion de Cinéma Libre, qui était sans doute à l'époque le seul distributeur indépendant au Québec, je suis arrivée et je me suis servie des bureaux de Fugitiv Cinema pour faire connaître le cinéma québécois en Europe d'abord puis au Japon, en Australie, etc. À chaque fois qu'un directeur de festival, Berlin, Cannes..., venait là, je lui demandais de réserver un après-midi ou plus pour visionner des films québécois. En fait, les festivals sont le premier canal pour commencer à vendre des films. Ciné-Bulles : Donc, au début de ton activité comme exportateur, il y avait une forte composante québécoise? Francine Allaire : En 1979, la réputation du cinéma canadien était au plus bas car on venait de sortir de 1ère des abris fiscaux. Ce qui n'avait pas produit de grands films. Bien souvent ils n'étaient même pas finis et restaient dans les salles de montage... l'argent s'était fait avant! Donc, la réputation était très mauvaise. Nous étions les seuls dans les festivals avec des films difficiles. Il a fallu remettre le cinéma québécois et canadien en selle et redoubler l'effort de promotion. Ce qui fait qu'il n'y avait pas beaucoup d'argent à faire à ce moment tellement les frais de promotion étaient élevés. Ciné-Bulles : Il n'y avait aucune garantie de recette à ce moment? Jan Rofekamp : Il était très clair dès le début que s'il y avait des revenus rapides et sûrs, c'était avec la télévision. Dès les débuts de notre compagnie nous nous sommes concentrés très fort sur les télédiffuseurs en Europe et sur d'autres continents. Dans la plupart des cas, ce sont des appareils d'état qui sont lents et bureaucratiques mais qui finissent par payer, après six ou huit mois parfois, mais tu reçois toujours ton argent. En revanche, un distributeur doit être convaincu devant un grand écran, dans une salle avec les réactions du public. Par conséquent si tu n'arrives pas à créer cette situation à Cannes ou Berlin, c'est très difficile. Pour la télévision c'est plus facile, dans un certain sens : tu envoies une cassette 1/2 pouce et quelques semaines plus tard, la réponse te revient, positive ou négative. Si le produit est de bonne qualité, long métrage ou documentaire, tu as de très bonnes chances de vendre. Ciné-Bulles : Quelle est la proportion des ventes entre la télévision et le cinéma? Jan Rofekamp : C'est très difficile de répondre à cela. Par exemple, tu sais qu'en 1987, on a eu une excellente année avec le Chant des sirènes de Patricia Rozema. Ce qui signifie que notre chiffre d'affaires a fait un saut énorme ce qui défait la proportion entre le cinéma et la télévision. Dans une année normale, je dirais que les revenus viennent à 80 p. 100 de la télévision et 20 p. 100 du cinéma. Le marché de la vidéo est encore négligeable pour nous. Ciné-Bulles : Définis-tu ton travail comme promoteur de films de qualité? Et choisis-tu les films? Jan Rofekamp : Oui tout à fait. Bien sûr parfois je me dis que la vie serait plus facile avec un film plus commercial. Mais en même temps je me demande quelle est la vraie définition d'un film commercial. On a eu des films à très petit budget au Québec et au Canada anglais qui sont devenus des films d'art et d'essai commerciaux parce qu ' ils ont été portés par une vague d ' intérêt. Avec CINE3ULLES 43 Vol. 8 n 3

4 le Chant des sirènes, on a eu des rapports de certaines villes du monde où le film était le troisième ou le second bien avant Schwarzenneger! Selon les standards américains, même le Déclin de l'empire américain n'est pas un film commercial avec son coût de 2,5 millions versus les 6 millions que coûtent les films commerciaux aux États-Unis. Je parle plutôt de cinéma de qualité qui n'essaie pas seulement de divertir mais aussi d'avertir un petit peu. Ciné-Bulles : La place d'exportateur est-elle plus facile dans le cas de ces films de qualité face aux super-productions prévendues? Jan Rofekamp : D'abord nous sommes minoritaires au niveau de la langue et je dis souvent aux Québécois que le problème est le même pour le finnois, le hongrois ou le hollandais. Dans le jeu international, les grosses productions sont en anglais, rarement en français. Ceci s'est accentué depuis deux ans et il faut combattre ce déclin. Dans les pays Scandinaves les plus gros films français tiennent l'affiche une semaine. En Corée ou à Taiwan, même si le film est superbe, si le titre est en français, il ne marche pas. Les films doivent être doublés en anglais même si le public ne comprend pas l'anglais car c'est la tonalité de l'anglais qu'il veut entendre. Tout est par ailleurs sous-titré en chinois. Les films québécois dans ces pays sont doublés en anglais! Ciné-Bulles : Peux-tu influencer une production pour qu'un film soit produit en anglais pour faciliter l'exportation? Jan Rofekamp : Du point de vue des affaires, je dirais oui, car on n'a plus le choix. Mais ce n'est pas tout dans la vie. Je dirais à Claude Bonin, par exemple : si tu fais un autre Pouvoir intime, tourne-le en anglais. C'est un film de genre, d'action, et à le produire en français tu fais le quart, peut-être le cinquième de ton argent à travers le monde. En revanche s'il s'agit d'un film d'art et d'essai comme Bonjour monsieur Gauguin de Jean-Claude Labrecque, je dirais : s'il te plaît tourne-le en français parce que la seule façon de nous exprimer encore dans cette langue, c'est de continuer comme cela. Sauf que si tu veux faire de l'argent et entrer dans les gros marchés, il n'y a plus que le choix de tourner en anglais. Sheila McCarthy dans le Chant des sirènes Ciné-Bulles : Et où en est-on aujourd'hui? Vol. 8 n" 3 ONE3ULLES 44

5 Jan Rofekamp : Tant qu'il y a de grosses subventions on a encore le choix de tourner en français ou en ukrainien ils sont nombreux en Alberta. Mais si les règles du jeu sont dictées par le marché même, il devient impossible de maintenir cela car il n'y a pas de rentabilité. Ceci est vrai pour la plupart des films, mais il y a toujours des exceptions. Même le Déclin de l'empire américain qui a bien marché dans les pays latins, n'a pas bien marché dans les pays Scandinaves, en Allemagne ou en Angleterre. Ciné-Bulles : La langue de l'exportation devient donc la langue du marché, comme en affaires? Jan Rofekamp : Si tu fais ce métier pour devenir riche, tu abandonnes les documentaires, les courts métrages et les films expérimentaux et tu te conformes très vite aux exigences du marché. Surtout avec le développement de la diffusion par satellite en Europe. Le marché est dicté par les acheteurs, même la production, on n'a plus le choix. Par exemple, il y a cinq ou six ans on avait le choix pour les documentaires sociopolitiques avec des créneaux à la télévision française, suédoise ou allemande. Cela n'existe plus, cela a été aboli par des personnes qui ont l'idée fixe que le public ne peut pas ou ne veut pas voir cela. Ciné-Bulles : Comment le cinéma québécois est-il perçu de l'extérieur? permet au réalisateur d'inscrire dans son curriculum vitae que son film a été sélectionné par ce festival. Pour moi l'effort de promotion est le même, que le film soit important ou non. Évidemment si le film marche, le bénéfice est double. Francine Allaire : D'un autre côté pour un réalisateur qui va dans des festivals à l'étranger, il y a la possibilité de mesurer son film à un autre public, de rencontrer la presse internationale. Sans compter que lorsqu'un film est présenté dans un festival majeur, il est fréquent qu'il soit repris par d'autres festivals à travers le monde ce qui le fait circuler, lui et son auteur. Je suis sûre que cela rejaillit sur le travail du réalisateur. C'est une retombée positive. L'autre c'est de bâtir des noms. Jan Rofekamp : Léa Pool est un exemple. Actuellement il y a peut-être deux ou trois cinéastes que je peux vendre sur leur réputation avec l'idée que dans quelques années il ou elle va faire un film de qualité internationale. Comme vendeur je peux dire : si tu achètes maintenant, je peux te garantir de te vendre le prochain. Si je suis capable de suivre la carrière d'un réalisateur. Jusqu'à présent cela marche avec Léa Pool avec qui j'ai travaillé pour trois films, et aussi Patricia Rozema dont certains distributeurs du Chant des sirènes m'ont demandé d'acquérir le prochain film. Jan Rofekamp : Quand un film québécois ou canadien perce sur les marchés extérieurs c'est pour les mêmes raisons que pour un film espagnol, hongrois ou finlandais. Cela arrive de temps en temps et ce n'est pas surprenant car on sait que ces petits pays produisent de bons films. Ciné-Bulles : Y a-t-il un préjugé favorable dans les pays francophones? Jan Rofekamp : La France considère le cinéma québécois de la même manière qu'un cinéma étranger. Si c'est un très très bon film, il sera acheté, sinon, non. Ciné-Bulles : Ton travail permet-il à un réalisateur de se faire un nom? Jan Rofekamp : Je pense que oui. Si un film est bien accueilli dans un festival mais ne se vend pas bien ce qui est dommage pour moi, il Événements Vues d'afrique : Images de femmes Section : Festival panafricain de cinéma de Ouagadougou Dates au 30 avril 1989 Lieux : Cinémathèque québécoise et Cinéma O.N.F. du Complexe Guy-Favreau, Montréal Festival de Cannes Dates: 11 au 25 mai 1989 Lieu : Cannes Festival international de films et vidéos de femmes Montréal Dates: 7 au 15 juin 1989 Lieux : Cinémathèque québécoise, Institut Goethe et Cinéma Parallèle CINE3ULLES 45 Vol. 8 n» 3

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