2/ Quelle est votre vision de l'état actuel du marché des services informatiques?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "2/ Quelle est votre vision de l'état actuel du marché des services informatiques?"

Transcription

1 Etat de l'art du marché des prestations intellectuelles informatiques par Laurent Levy, président d'inop's Publié le 10 Décembre Le marché est en profonde mutation : les grandes SSII françaises doivent remettre en question leur process / business model pour fournir des prestations de services de qualité! A l'heure où les spéculations sur la reprise de l'activité des services informatiques pour 2010 fusent, Laurent Levy, qui a œuvré depuis plus de 20 ans dans les plus grandes SSII (Capgemini, Transiciel, Steria et Atos Origin) fait le point sur un marché cannibalisé par les grandes SSII au détriment du mid-market et des PME qui ont pourtant une solide expertise. 1/ Pouvez-vous vous présenter et expliquer votre parcours? J'ai travaillé plus de 20 ans dans les grandes SSII, en qualité de Directeur de BU notamment, sur des activités à très forte valeur ajoutée liées à l'expertise technique et technologique ou au conseil en organisation. Au cours de mes différentes expériences, j'ai rapidement pris conscience que les petites et moyennes entreprises rompues aux technologies spécifiques et à forte valeur ajoutée étaient écartées, malgré elles, au profit des grandes sociétés généralistes. Pendant plusieurs années, j'ai pris le parti de m'appuyer pour des actions spécifiques et ponctuelles, sur ces PME spécialisées, en les intégrant dans les projets de mes clients Grands Comptes ou en sous-traitance avec délégation d'experts. Or force est de constater que ces entreprises expertes démontrent leur pertinence sur les projets des Grands Comptes et sont tout à fait légitime techniquement dans ces contextes projet. 2/ Quelle est votre vision de l'état actuel du marché des services informatiques? Il y a environ 18 ans, lorsque j'intervenais pour une grande SSII, il se disait que le marché français de la prestation intellectuelle informatique allait complètement se transformer dans les 4 à 5 ans à venir. Les petites et moyennes SSII étant vouées à être absorbées par les grandes SSII et donc à disparaitre. Finalement, cela a mis un peu plus de temps mais le constat est le même. Depuis 10 ans, on a remarqué le fort engagement des Grands Comptes vers la massification des prestations et dans la mise en place de structures industrialisées que sont les contrats cadre et les référencements, ceci permettant de travailler sur la masse de prestations et le chiffre d'affaires, plutôt que sur la qualité. Ce schéma qui permet encore aujourd'hui de réduire les coûts d'achats, n'a pas uniquement été initié par les

2 grands donneurs d'ordre mais relevait autant de la volonté des grandes SSII d'augmenter leur volume de prestations et donc de dynamiser leur croissance. De fait, les Grands Comptes se retrouvent plus à acheter des «produits» de masse que des compétences. Cette mutation a eue pour conséquence de fermer progressivement le marché des Grands Comptes au mid-market et aux PME qui n'ont pas la possibilité de se faire référencer de par leur taille ou la tenue des engagements demandés. Ces sociétés se sont donc retrouvées obligées d'intervenir au coût donné par les grandes SSII généralistes, en sous-traitance ou en portage. Les collaborateurs qui interviennent dans ces conditions se retrouvent déconnectés de leur structure initiale en termes de suivi opérationnel et administratif et c'est l'une des raisons pour lesquelles il y a des problèmes récurrents de délit de marchandage et prêt-illicite de main d'œuvre dans la profession... Mais ces PME n'ont pas eu le choix : soit elles acceptent ces conditions qui manquent cruellement de transparence, soit elles s'orientent vers d'autres types de marché. 3/ Qu'en est-il de la visibilité des sociétés de services de niche qui évoluent sur ce marché? Face au monopole des grandes SSII, ces PME SSII voient leur visibilité réduite auprès des Grands Comptes. Si l'intervention en gré à gré - la sollicitation par des opérationnels Grands Comptes pour intervention d'experts dans leurs projets - perdure c'est uniquement dans certains secteurs d'activités sur des prestations très ponctuelles et de plus en plus rares. Aussi pour continuer d'exister, elles se retrouvent finalement confrontées à 3 types de possibilités : - l'intervention en portage : à la demande des clients opérationnels, ces sociétés se font porter par les grandes SSII référencées dans les contrats cadres. En contrepartie l'entreprise qui «porte» perçoit une taxe d'au minimum de 10%, et qui plus généralement atteint les 15%, pour effectuer ce portage administratif sans aucune autre valeur ajoutée. - l'intervention en sous-traitance qui fait intervenir les équipes de la société initiale pour la société référencée. Cette dernière prélève une marge minimum de 20% et plus généralement de 30-35% au détriment de la société qui fournit les compétences. - il existe une dernière possibilité très ponctuelle consistant à sélectionner une petite SSII parmi des grands acteurs de la prestation intellectuelle informatique qui servira de challenger en termes de compétence, de pertinence et de qualité. Pour intervenir sur des projets Grands Comptes, les PME SSII n'ont pas d'autre choix que de payer cette véritable taxe. La sous-traitance et le portage ne sont, en

3 somme, que des leviers financiers et non pas une recherche de compétence alors que le nombre de projets nécessitant des expertises très pointues est en recrudescence. Il ne faut surtout pas oublier que la prestation intellectuelle informatique est basée sur des hautes technologies. Il y a donc une demande du marché pour ces expertises de niche, mais pas nécessairement pour les sociétés qui les proposent. En effet, celles-ci n'ont plus leur place, d'un point de vue contractuel, dans les référencements et contrats cadres imposés par les grands donneurs d'ordre. 4/ Selon vous, est-ce conjoncturel (effet de la crise) ou est-ce un phénomène qui perdure? Il s'agit d'un phénomène qui perdure et qui s'accélère. L'ensemble des secteurs d'activités des Grands Comptes va dans le même sens, à savoir établir des référencements de fournisseurs et massifier auprès de ceux-ci pour obtenir les meilleurs prix et les meilleurs engagements. La gestion multi-fournisseurs pour les Grands Comptes est compliquée et ne va pas dans le sens d'une industrialisation. On va vers une escalade de prix les plus bas ceci au détriment de la qualité et de la pertinence des compétences et des opérations chez les Grands Comptes. En revanche ce qui est conjoncturel, c'est l'arrêt voire la diminution de la soustraitance et du portage. Quand le résultat d'exploitation de la grande SSII diminue en temps de crise, elle supprime tout ce qui le fait baisser pour retrouver un bon ratio chiffre d'affaires / mark-up. 5/ Aujourd'hui, existe t-il une alternative pour contourner le dictat des grandes SSII? Aujourd'hui, les entreprises du mid-market et les PME SSII ont 3 alternatives pour faire face aux grandes SSII : - l'utilisation des places de marché entre les Grands Comptes et les sociétés, pas nécessairement référencées. La place de marché permet aux grands donneurs d'avoir une multitude de fournisseurs auxquels ils peuvent adresser leurs consultations. Néanmoins, dans ce cas de figure, les grands donneurs d'ordre ne prennent généralement pas le temps de mieux connaître ces acteurs et, surtout, les places de marché ne s'engagent pas vis-à-vis d'eux. En général, les places de marché sont plutôt utilisées pour effectuer de sourcing entre SSII.

4 - le regroupement d'acteurs SSII au sein de GIE (Groupement d'intérêt Economique) pour essayer d'accéder aux référencements tout en montrant un peu de plus de force vis-à-vis des Grands Comptes. Dans la réalité, ces GIE ne sont pas une vraie réponse aux besoins des grands donneurs d'ordre. Ils ont en fait besoin de s'appuyer sur un système de guichet unique permettant une relation multi-fournisseurs industrialisée en termes d'engagement, de négociation des prix et du suivi des travaux. Les GIE se sont plutôt retrouvés dans une dynamique Régionale il y a quelques années. - une plateforme de services industrialisée qui va prendre en compte les engagements contractuels, extrêmement lourds pour ces PME, et être garant de la pertinence des compétences proposées et de la qualité des travaux afin d'offrir la notion de guichet unique multi-fournisseurs aux Grands Comptes. Tel est le fonctionnement du modèle INOP'S, qui s'inscrit dans le cadre de l'initiative gouvernementale - le Pacte PME - ayant pour but d'aider les PME à accéder au marché des Grands Comptes privés ou publics. 6/ Etre garant des PME auprès des Grands Comptes, c'est donc la marque de fabrique INOP'S? Bien sûr, mais pas seulement. Contrairement aux places de marché, nous n'intervenons pas en «one shot». INOP'S intervient sur la durée tant au niveau des Grands Comptes que des PME adhérentes. Une place de marché ne peut pas se targuer de jouer ce rôle de lien industriel d'autant plus qu' INOP'S atteste de l'expertise des fournisseurs adhérents auprès des Grands Comptes. Nous ne sommes plus dans le mode auto-déclaratif propre aux places de marché, où personne ne justifie de la qualité d'expert de la société sauf cette dernière. Grâce au modèle de plateforme industrialisée, les PME récupèrent entre 10 et 20 % de leur marge tout en pouvant utiliser leur relation directe avec les Grands Comptes, le contraire de la sous-traitance, ceci avec une meilleure garantie de la qualité des travaux réalisés. Créée en juin 2009, INOP'S est une plateforme de services qui transforme le marché des prestations intellectuelles informatiques au profit des PME innovantes. INOP'S a mis en œuvre une organisation, des processus et des outils uniques sur le marché, pour garantir son rôle de «liant industriel» entre les grands donneurs d'ordre et les PME. INOP'S intervient dans la dynamique de croissance des PME d'expertise et de niche en leur ouvrant le marché des Grands Comptes. A travers INOP'S, les PME peuvent accéder aux principaux référencements français. Chacun des adhérents certifiés par le label INOP'S garantit son respect des engagements des contrats cadres et référencements des grands comptes français.

5

P.12. Desutilitaires à - .Une. 5 nouveauxmodèlesen. Ladématérialisationvuecommeun. levierdu développement durable.

P.12. Desutilitaires à - .Une. 5 nouveauxmodèlesen. Ladématérialisationvuecommeun. levierdu développement durable. la Actusbonsplans 11 : Actusnouveauxproduits Actusfiscal 6 sociavjuridique IL ic 5 nouveauxmodèlesen lowcost 10000 N et date de parution : 8-01/11/2009 Diffusion : 5000 Page : 3 Périodicité : Bimestriel

Plus en détail

INOP'S : un modèle prometteur

INOP'S : un modèle prometteur INOP'S : un modèle prometteur Décembre 2012 92 avenue de Wagram 75017 Paris Tel : +33 (0)1 56 56 63 33 info-france@pac-online.com Eric Monnoyer VP Consulting e.monnoyer@pac-online.com Le marché de l expertise

Plus en détail

CADRER SA RESPONSABILITE PAR LE CONTRAT

CADRER SA RESPONSABILITE PAR LE CONTRAT HMONP ENSA-V NOVEMBRE 2013 CADRER SA RESPONSABILITE PAR LE CONTRAT 1. DEFINITIONS PREALABLES - RESPONSABILITE(S) - Ecarter la responsabilité pénale (règles en matière d'urbanisme, faux, etc.) Ecarter la

Plus en détail

Les moyens de financement mobilisables par les entreprises de la Plasturgie

Les moyens de financement mobilisables par les entreprises de la Plasturgie Les moyens de financement mobilisables par les entreprises de la Plasturgie Les entreprises industrielles s appuient régulièrement sur des moyens de financement autres que les fonds propres, afin de développer

Plus en détail

Optimiser la maintenance des applications informatiques nouvelles technologies. Les 11 facteurs clés de succès qui génèrent des économies

Optimiser la maintenance des applications informatiques nouvelles technologies. Les 11 facteurs clés de succès qui génèrent des économies Application Services France the way we do it Optimiser la maintenance des applications informatiques nouvelles technologies Les 11 facteurs clés de succès qui génèrent des économies Chaque direction informatique

Plus en détail

La carte d'achat dans les organisations françaises

La carte d'achat dans les organisations françaises CHAPITRE 2 La carte d'achat dans les organisations françaises Pour bien appréhender l'usage efficace de la carte d'achat, il est important de toujours la considérer comme un moyen d'exécution de la commande.

Plus en détail

SPECIFICATION "E" DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES

SPECIFICATION E DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES 92038 PARIS LA DEFENSE CEDEX Page 1 / 11 SPECIFICATION "E" DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES 29/11/00 13 Indice

Plus en détail

Texte de l'arrêté "Site e-business"

Texte de l'arrêté Site e-business Texte de l'arrêté "Site e-business" Arrêté relatif à l'octroi d'une prime aux entreprises qui créent un site e-business tel que modifié par l'arrêté du 15 juin 2006 (MB 12.07.2006) Le Gouvernement wallon,

Plus en détail

L'attribution marketing :

L'attribution marketing : Partenaires : Marketing & Social Marketing L'attribution marketing : Comment développer une stratégie cross-canal efficace en pilotant ses ressources, en mesurant ses actions et en optimisant son ROI?

Plus en détail

Une étude sur l'attitude est les stratégies des entreprises françaises de 1 000 à 10 000 salariés face à l'offshore informatique

Une étude sur l'attitude est les stratégies des entreprises françaises de 1 000 à 10 000 salariés face à l'offshore informatique L I V R E B L A N C L e M a r o c : d e s t i n a t i o n p r i v i l é g i é e p o u r l ' o f f s h o r e f r a n c o p h o n e Une étude sur l'attitude est les stratégies des entreprises françaises

Plus en détail

1..LOGICIEL ATAL... 3

1..LOGICIEL ATAL... 3 Gestion des Demandes & Interventions des Services Techniques GGEESSTTI IONN DDEESS DDEEMAA NNDDEESS && I NNTTEERRVVEENNTTI IONNSS 1..LOGICIEL ATAL... 3 2. MODULARITE ET INTEGRATION... 4 2.1. E-ATAL...

Plus en détail

WAGRAM CONSULTING sarl. 5 rue Villaret de Joyeuse 75017 Paris. Tel : 01 80 87 44 24. www.wagram-portage.fr. contact@wagramconsulting.

WAGRAM CONSULTING sarl. 5 rue Villaret de Joyeuse 75017 Paris. Tel : 01 80 87 44 24. www.wagram-portage.fr. contact@wagramconsulting. Depuis 2008, Wagram Consulting offre aux consultants la possibilité d exercer leur activité en toute indépendance en les libérant des contraintes administratives. Le portage salarial est reconnu par les

Plus en détail

Les clauses sécurité dans un contrat de cloud

Les clauses sécurité dans un contrat de cloud HERVÉ SCHAUER CONSULTANTS Cabinet de Consultants en Sécurité Informatique depuis 1989 Spécialisé sur Unix, Windows, TCP/IP et Internet Openday 23 juin 2011 Les clauses sécurité dans un contrat de cloud

Plus en détail

dossier de demande de subvention "association loi 1901" ANNEE 2009

dossier de demande de subvention association loi 1901 ANNEE 2009 dossier de demande de subvention "association loi 1901" ANNEE 2009 Vous trouverez dans ce dossier l'ensemble des éléments nécessaires à l'établissement d'une demande de subvention dans le cadre des compétences

Plus en détail

Les acteurs de la carte d'achat

Les acteurs de la carte d'achat CHAPITRE 3 Les acteurs de la carte d'achat Pour mettre en œuvre une exécution des marchés publics par carte d achat, l acheteur et le gestionnaire public vont devoir s adresser à un fournisseur de services

Plus en détail

QUESTIONS/REPONSES SUR LE STATUT D'EXPORTATEUR AGREE DGDDI Bureau E1- septembre 2011 Statut d'exportateur agréé (EA)

QUESTIONS/REPONSES SUR LE STATUT D'EXPORTATEUR AGREE DGDDI Bureau E1- septembre 2011 Statut d'exportateur agréé (EA) Questions Quand un exportateur doit-il prendre le statut d'exportateur agréé? QUESTIONS/REPONSES SUR LE STATUT D'EXPORTATEUR AGREE DGDDI Bureau E1- septembre 2011 Statut d'exportateur agréé (EA) Réponses

Plus en détail

APPEL A PROPOSITION ET CAHIER DES CHARGES. Mise en œuvre de la Préparation Opérationnelle à l'emploi Collective

APPEL A PROPOSITION ET CAHIER DES CHARGES. Mise en œuvre de la Préparation Opérationnelle à l'emploi Collective APPEL A PROPOSITION ET CAHIER DES CHARGES Mise en œuvre de la Préparation Opérationnelle à l'emploi Collective POEC CONSULTANT D ENTREPRISE EN PORTAGE SALARIAL Une opération cofinancée par le FPSPP Date

Plus en détail

3 Les premiers résultats des plans d'actions

3 Les premiers résultats des plans d'actions 3 Les premiers résultats des plans d'actions Les résultats que nous avons obtenus en ce qui concerne les plans d'action, résultent de l'analyse de 48 entreprises seulement. Revenons sur notre échantillon.

Plus en détail

Les badges de chantier*

Les badges de chantier* Fabienne Muller Université de Strasbourg - Octobre 2013 Les badges de chantier* * Travail réalisé à partir de l'exploitation des questionnaires envoyés aux partenaires concernés par les dispositifs, éventuellement

Plus en détail

Réduire l effet de levier des banques, un impact néfaste sur notre économie? (2/2)

Réduire l effet de levier des banques, un impact néfaste sur notre économie? (2/2) Réduire l effet de levier des banques, un impact néfaste sur notre économie? (2/2) Une précédente analyse 1 a introduit le concept d'effet de levier, procédé visant à s'endetter pour chercher à accroître

Plus en détail

MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC)

MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) Pouvoir adjudicateur exerçant la maîtrise d'ouvrage Ministère de l'intérieur Préfecture de Belfort Représentant du Pouvoir Adjudicateur (RPA)

Plus en détail

ET LA DÉLIVRANCE DU CERTIFICAT

ET LA DÉLIVRANCE DU CERTIFICAT RÉFÉRENTIEL POUR L'ATTRIBUTION ET LE SUIVI D'UNE QUALIFICATION PROFESSIONNELLE D'ENTREPRISE ET LA DÉLIVRANCE DU CERTIFICAT Date d'application : 29 octobre 2014 DOCUMENT QUALIBAT 005 VERSION 06 OCTOBRE

Plus en détail

Développer une culture d efficience

Développer une culture d efficience point de vue services financiers Développer une culture d efficience dans les Back Offices Hughes ROY Partner au sein de l'équipe Services Financiers de Sopra Consulting, Hughes Roy est porteur de l offre

Plus en détail

IDF-DG-ESC-Architecte Poste de Travail-1936 Architecte Poste de Travail H/F

IDF-DG-ESC-Architecte Poste de Travail-1936 Architecte Poste de Travail H/F IDF-DG-ESC-Architecte Poste de Travail-1936 Architecte Poste de Travail H/F principal IT - Conseil en Technologies - Filière Technologie - Architecte Intitulé du poste Architecte Poste de Travail H/F Entreprise

Plus en détail

LE MÉTIER DE CONSULTANT Principes, méthodes, outils

LE MÉTIER DE CONSULTANT Principes, méthodes, outils Patrice Stern Patricia Tutoy LE MÉTIER DE CONSULTANT Principes, méthodes, outils Cinquième édition Éditions d Organisation, 1995, 1997, 1998, 2001, 2003 ISBN : 2-7081-2899-X STYLES DE CONSULTANTS ET TYPES

Plus en détail

PROCEDURE D AGREMENT EN QUALITE DE BANQUE ET ETABLISSEMENT FINANCIER

PROCEDURE D AGREMENT EN QUALITE DE BANQUE ET ETABLISSEMENT FINANCIER PROCEDURE D AGREMENT EN QUALITE DE BANQUE ET ETABLISSEMENT FINANCIER PREFACE Dans le cadre de la mise en œuvre et du renforcement de la politique d'intégration sous-regionale, le Conseil des Ministres

Plus en détail

Search. L'innovation dans la recherche de cadres et d information stratégique. contact@inovasearch.com. www.inovasearch.com. cv@inovasearch.

Search. L'innovation dans la recherche de cadres et d information stratégique. contact@inovasearch.com. www.inovasearch.com. cv@inovasearch. L'innovation dans la recherche de cadres et d information stratégique 01 83 64 88 78 contact@inovasearch.com cv@inovasearch.com INOVA Search 8 rue de berri 78008 PARIS INOVA search INOVA Search innove

Plus en détail

Cahier Technique Différences Batigest Standard/Evolution. Apibâtiment. Documentation technique

Cahier Technique Différences Batigest Standard/Evolution. Apibâtiment. Documentation technique Cahier Technique Différences Batigest Standard/Evolution Apibâtiment Documentation technique Sommaire Sommaire I. Préambule... 3 II. Différences Batigest Standard/Evolution... 4 1. Eléments... 4 2. Devis

Plus en détail

www.jpad.fr.st JPAD portage - portage 1/5 Pour qui? Comment? Les avantages Portage - Pour qui?

www.jpad.fr.st JPAD portage - portage 1/5 Pour qui? Comment? Les avantages Portage - Pour qui? JPAD portage - portage 1/5 Pour qui? Comment? Les avantages Portage - Pour qui? Une nouvelle façon de travailler : le portage permet à des consultants (experts ou formateurs) d'être salariés pour une mission

Plus en détail

l'ouverture d'un centre logistique totalement dédié à un pure-player du e-commerce, Zooplus.

l'ouverture d'un centre logistique totalement dédié à un pure-player du e-commerce, Zooplus. Rhenus Logistics, prestataire logistique global du e-commerce et du commerce multi-canal En Allemagne, deuxième marché du e-commerce en Europe, Rhenus Logistics a été l'un des pionniers de la logistique

Plus en détail

EXPERTISE COMPTABLE ACCOMPAGNEMENT COMPTABLE ET FINANCIER AUDIT CONSEIL

EXPERTISE COMPTABLE ACCOMPAGNEMENT COMPTABLE ET FINANCIER AUDIT CONSEIL EXPERTISE ACCOMPAGNEMENT ET FINANCIER CONSEIL présentation Implanté en plein cœur de Paris, le cabinet Exalys Audit & Expertise est un cabinet d expertise-comptable pluridisciplinaire, intervenant auprès

Plus en détail

Qu'est-ce que l'innovation?

Qu'est-ce que l'innovation? Qu'est-ce que l'innovation? Résumé : L innovation est avant tout un état d esprit. C est un processus vivant qui amène la direction à chercher à tous les niveaux la manière d être la plus performante pour

Plus en détail

COMMISSION EUROPÉENNE

COMMISSION EUROPÉENNE COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, 13.03.2014 C(2014) 1606 final VERSION PUBLIQUE Ce document est publié uniquement pour information. Objet: Aide d'etat n SA.38110 (2014/N) France Régime cadre d'interventions

Plus en détail

Avez-vous des questions concernant l'enregistrement, le reporting annuel ou la banque de données?

Avez-vous des questions concernant l'enregistrement, le reporting annuel ou la banque de données? Commission fédérale de la poste PostCom Foire aux questions La foire aux questions offre des réponses à une liste de questions fréquentes qui s'allonge en permanence. Consultez-la avant de contacter le

Plus en détail

Les autres types de cartes de commande et de règlement

Les autres types de cartes de commande et de règlement CHAPITRE 1 Les autres types de cartes de commande et de règlement La carte d'achat est un outil nouveau pour les collectivités et établissements publics locaux qui demande des aménagements dans les pratiques

Plus en détail

BAROMETRE 2014 DU MANAGEMENT ET DES MANAGERS DE TRANSITION. 2 ème édition 29 avril 2013

BAROMETRE 2014 DU MANAGEMENT ET DES MANAGERS DE TRANSITION. 2 ème édition 29 avril 2013 BAROMETRE 2014 DU MANAGEMENT ET DES MANAGERS DE TRANSITION 2 ème édition 29 avril 2013 Introduction Bienvenue à toutes et à tous! Baromètre 2014 des managers et management de transition: résultats Laurent

Plus en détail

Le Crédit Renting. De quoi s'agit-il?

Le Crédit Renting. De quoi s'agit-il? Le Crédit Renting Le Renting Financier est une forme de financement d un investissement similaire au leasing financier (leasing opérationnel) mais qui se distingue néanmoins de ce dernier par la hauteur

Plus en détail

BAROMETRE DES MANAGERS ET DU MANAGEMENT DE TRANSITION. 1 ère édition Juin 2013

BAROMETRE DES MANAGERS ET DU MANAGEMENT DE TRANSITION. 1 ère édition Juin 2013 BAROMETRE DES MANAGERS ET DU MANAGEMENT DE TRANSITION 1 ère édition Juin 2013 «Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants droit

Plus en détail

RÉSUMÉ PLAN D'AFFAIRES

RÉSUMÉ PLAN D'AFFAIRES Open IT For Development Résumé - Page 1 / 6 ASSOCIATION OPEN IT FOR DEVELOPMENT RÉSUMÉ PLAN D'AFFAIRES Document: Résumé plan d'affaires, du 2012-05-24 Entreprise: Siège: Activités: Rédaction: Relecture:

Plus en détail

Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm. Reste à déterminer les points incontournables

Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm. Reste à déterminer les points incontournables Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm Notez que vous trouverez les fiches citées à chaque étape sur le site (Normalement, les liens ont été conservés et fonctionnent) Reste

Plus en détail

R E G L E M E N T I N T E R I E U R

R E G L E M E N T I N T E R I E U R 19, rue Cognacq-Jay 75007 PARIS Tél. 01 44 15 60 00 Fax : 01 44 15 90 05 www. Edificas.fr ASSOCIATION LOI 1901 CREEE A L INITIATIVE DE L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES R E G L E M E N T I N T E R I E U R

Plus en détail

Editeurs de logiciels: Améliorez vos résultats durablement avec. Version 1.2 MJ Juin 2013 EVOLENA

Editeurs de logiciels: Améliorez vos résultats durablement avec. Version 1.2 MJ Juin 2013 EVOLENA 0 Editeurs de logiciels: Améliorez vos résultats durablement avec Version 1.2 MJ Juin 2013 EVOLENA 1 Pourquoi EVOLENA Nous aidons les Éditeurs de logiciels à améliorer leurs résultats et à se transformer

Plus en détail

Hélène CHEUTIN. Master 2 ISMAG 2005-2006

Hélène CHEUTIN. Master 2 ISMAG 2005-2006 Hélène CHEUTIN Master 2 ISMAG 2005-2006 SRM ((Supplliierr Rellattiionshiip Managementt)) INTRODUCTII ION Les entreprises cherchent sans cesse à améliorer leurs performances et notamment à réaliser des

Plus en détail

http://www.distributique.com/actualites/lire-plus-l-acces-au-financement-est-difficile-plus-la-location-s-impose-10858.html

http://www.distributique.com/actualites/lire-plus-l-acces-au-financement-est-difficile-plus-la-location-s-impose-10858.html Les autres sites d'it News Info : Newsletters RSS RECHERCHEZ sur distributique.com Tapez votre mot-clé AGENDA CHIFFRES-CLES ANNUAIRE IT NOMINATIONS TRIBUNES D'EXPERTS ENTRETIENS ESPACE LIVRES BLANCS Informatique

Plus en détail

1. Le service Commercial

1. Le service Commercial La fonction Commerciale Sommaire 1. Le service Commercial... 1 2. Les enjeux :... 1 3. La technique de vente :... 2 4. La gestion de la force de vente :... 2 5. Les principales fonctions commerciales :...

Plus en détail

EXEMPLES DE STATUTS DE CONTEURS

EXEMPLES DE STATUTS DE CONTEURS 1 EXEMPLES DE STATUTS DE CONTEURS I/CONTEUR EMPLOYE et déclaré intermittent du spectacle : 1)Par une association non domiciliée à sa propre adresse dont il n est ni le président, ni le trésorier, ni le

Plus en détail

Ouvrir dossier D appel

Ouvrir dossier D appel Ouvrir dossier D appel Table des matières 1. TRAITER UN APPEL... 3 1.1. ORGANISATION GENERALE D'UN SERVICE DESK... 3 1.2. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT... 4 2. PRISE EN CHARGE DE L'UTILISATEUR ET DE SON APPEL...

Plus en détail

DOSSIER DE GESTION. Sommaire

DOSSIER DE GESTION. Sommaire 102 Allée de Barcelone 31000 TOULOUSE Forme juridique : ENTREPRISE INDIVIDUELLE Régime fiscal : R. Simplifié Date exercice : 01/07/2012 au 30/06/2013-12 DOSSIER DE GESTION Sommaire Présentation de l'exploitation

Plus en détail

Systèmes de transport public guidés urbains de personnes

Systèmes de transport public guidés urbains de personnes service technique des Remontées mécaniques et des Transports guidés Systèmes de transport public guidés urbains de personnes Principe «GAME» (Globalement Au Moins Équivalent) Méthodologie de démonstration

Plus en détail

CIRCULAIRE AUX BANQUES NON RESIDENTES N 86-13

CIRCULAIRE AUX BANQUES NON RESIDENTES N 86-13 Tunis, le 6 Mai 19861 CIRCULAIRE AUX BANQUES NON RESIDENTES N 86-13 OBJET : Activité des banques non-résidentes. La loi n 85-108 du 6 Décembre 1985, portant encouragement d'organismes financiers et bancaires

Plus en détail

Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS

Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS 23 mars 2015 Synthèse Avec plus de 12.000 évaluations

Plus en détail

DÉCLARATION DES RISQUES

DÉCLARATION DES RISQUES DÉCLARATION DES RISQUES Tenant compte du fait que CM Marketing Associates Ltd accepte de conclure, à la base de gré à gré ( OTC ) des contrats financiers pour différences ( CFD ) et contrats de change

Plus en détail

Travaux de nettoyage des bâtiments intercommunaux Marché public n 04-2008

Travaux de nettoyage des bâtiments intercommunaux Marché public n 04-2008 1 Département de Seine et Marne Marché public n 04-2008 Date limite de dépôt des offres : 16/06/08 à 12 heures REGLEMENT DE CONSULTATION (R.C.) 2 SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DE LA CONSULTATION 2 ARTICLE 2

Plus en détail

AVIS DE CHANGE N 5 DU MINISTRE DU PLAN ET DES FINANCES RELATIF AUX COMPTES DE NON-RESIDENTS. ( Publié au J.O.R.T. du 5 octobre 1982 )

AVIS DE CHANGE N 5 DU MINISTRE DU PLAN ET DES FINANCES RELATIF AUX COMPTES DE NON-RESIDENTS. ( Publié au J.O.R.T. du 5 octobre 1982 ) AVIS DE CHANGE N 5 DU MINISTRE DU PLAN ET DES FINANCES RELATIF AUX COMPTES DE NON-RESIDENTS ( Publié au J.O.R.T. du 5 octobre 1982 ) Le présent texte pris dans le cadre de l'article 19 du décret n 77-608

Plus en détail

La RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur

La RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur La RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur La RSE est aujourd hui un enjeu de première importance pour les entreprises : il reflète la prise de conscience grandissante

Plus en détail

PRÉSENTATION DE LA MAINTENANCE INFORMATIQUE

PRÉSENTATION DE LA MAINTENANCE INFORMATIQUE 1000. PRÉSENTATION DE LA MAINTENANCE INFORMATIQUE En informatique, la notion de maintenance n'est pas figée et comporte des prestations de natures forts différentes qui vont du simple dépannage des équipements

Plus en détail

Comment aborder l Investment Challenge dans les meilleures conditions?

Comment aborder l Investment Challenge dans les meilleures conditions? en collaboration avec Comment aborder l Investment Challenge dans les meilleures conditions? Vous participez au concours organisé par l association Transaction l Investment Challenge, et vous avez bien

Plus en détail

Anticiper pour avoir une innovation d'avance : le leitmotiv de Pierre Jouniaux, entrepreneur du big data!

Anticiper pour avoir une innovation d'avance : le leitmotiv de Pierre Jouniaux, entrepreneur du big data! Anticiper pour avoir une innovation d'avance : le leitmotiv de Pierre Jouniaux, entrepreneur du big data! Pierre Jouniaux http://www.safety line.fr CV : Pierre Jouniaux, ingénieur aéronautique, pilote

Plus en détail

La pratique - ITIL et les autres référentiels. Fonctions ITIL et informatique en nuage

La pratique - ITIL et les autres référentiels. Fonctions ITIL et informatique en nuage La pratique - ITIL et les autres référentiels Fonctions ITIL et informatique en nuage Création : janvier 2013 Mise à jour : janvier 2013 A propos A propos du document Ce document pratique est le résultat

Plus en détail

Programme "Conception et simulation" COSINUS Edition 2009. Projet

Programme Conception et simulation COSINUS Edition 2009. Projet Projet Numéro d'ordre du projet : Acronyme du projet : Titre du projet : Coordonnateur du projet (nom/laboratoire) : Thématique principale : Montant total de l'aide demandée (en k ) : Durée du projet :

Plus en détail

Intervention des experts-comptables

Intervention des experts-comptables Stage de Préparation à l Installation Intervention des experts-comptables PLAN DE L'INTERVENTION Présentation de la profession d'expert-comptable Présentation des missions de l expert-comptable Présentation

Plus en détail

Article 6 PIECES CONSTITUTIVES DU MARCHE Les pièces constitutives du marché comprennent, par ordre de priorité décroissant :

Article 6 PIECES CONSTITUTIVES DU MARCHE Les pièces constitutives du marché comprennent, par ordre de priorité décroissant : ACTE D'ENGAGEMENT Article 1 - OBJET du MARCHE Le présent marché prend la forme d un contrat d assurance Responsabilité Civile Générale dont les conditions sont la reprise du cahier des charges avec ou

Plus en détail

Décret n XXX du XX relatif aux effacements de consommation d électricité

Décret n XXX du XX relatif aux effacements de consommation d électricité Décret n XXX du XX relatif aux effacements de consommation d électricité Le premier ministre, Sur le rapport du ministre de l écologie, du développement durable et de l énergie, Vu le code de l énergie,

Plus en détail

REGLEMENT DE LA CONSULTATION

REGLEMENT DE LA CONSULTATION Communauté de Communes de la Haute Vallée du Thoré Mairie 81240 Saint-Amans-Valtoret Tél : 05 63 97 98 08 Fax : 05 63 97 98 08 Mail : contact@cc-haute-vallee-thore.fr Site Internet : www.cc-haute-vallee-thore.fr

Plus en détail

Octroi de crédit : la minimisation des risques de défaillance n'a pas le dernier mot

Octroi de crédit : la minimisation des risques de défaillance n'a pas le dernier mot Octroi de crédit : la minimisation des risques de défaillance n'a pas le dernier mot Aucun prêteur, c'est entendu, n'octroie de crédit à une personne qu'il ne considérerait pas comme potentiellement solvable.

Plus en détail

DEMANDE D'AUTORISATION POUR PRATIQUER LE METIER DE PRETEUR PROFESSIONNEL OU DE COURTIER EN CREDIT A LA CONSOMMATION

DEMANDE D'AUTORISATION POUR PRATIQUER LE METIER DE PRETEUR PROFESSIONNEL OU DE COURTIER EN CREDIT A LA CONSOMMATION REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de la sécurité et de l'économie Service du commerce DEMANDE D'AUTORISATION POUR PRATIQUER LE METIER DE PRETEUR PROFESSIONNEL OU DE COURTIER EN CREDIT A LA CONSOMMATION

Plus en détail

Convention de Portage d Entrepreneurs

Convention de Portage d Entrepreneurs Groupe LABELVIE Siège social : 8, rue de la Justice, 68100, Mulhouse R.C.S. Mulhouse 420 137 747 Convention de Portage d Entrepreneurs ENTRE LES SOUSIGNES : La société Labelvie, Sarl au capital de 50 000,

Plus en détail

Le dispositif du «Permis à un euro par jour»

Le dispositif du «Permis à un euro par jour» Le dispositif du «Permis à un euro par jour» Rappel du principe du dispositif du «Permis à un euro par jour» Le dispositif du «Permis à un euro par jour» a été mis en place par décret du 29 septembre 2005

Plus en détail

2 LE PROJET PERSONNEL. Avant tout. il y a vous

2 LE PROJET PERSONNEL. Avant tout. il y a vous Avant tout il y a vous POUR METTRE TOUTES LES CHANCES DE VOTRE CÔTÉ, IL CONVIENT DE VÉRIFIER LA COHÉRENCE DE VOTRE PROJET DE CRÉATION D'ENTREPRISE AVEC VOTRE PROJET PERSONNEL : QUELLE VIE VOULEZ-VOUS AVOIR?

Plus en détail

DONNEURS D ORDRES / MAITRES D OUVRAGES :

DONNEURS D ORDRES / MAITRES D OUVRAGES : EXPERTS COMPTABLES «Associés de votre futur» DOSSIER SPECIAL Mis à jour au 02/04/2012 DONNEURS D ORDRES / MAITRES D OUVRAGES : Vos nouvelles obligations envers vos sous-traitants établis en France ou à

Plus en détail

Livret 2. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire

Livret 2. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire Déterminer mes choix juridiques Livret 2 Les modes d hébergement aidés de l entreprise Mise à jour février 2008 Département Tertiaire Avertissement au lecteur Le présent fascicule fait l'objet d'une protection

Plus en détail

Feuille de route sur les achats innovants

Feuille de route sur les achats innovants Feuille de route sur les achats innovants 20/01/14 Page 1/7 Sommaire 1. Présentation de l Agence de services et de paiement (ASP)... 3 1.1 Un opérateur public au service des politiques publiques... 3 1.2

Plus en détail

Contrats sur différence (CFD)

Contrats sur différence (CFD) Avertissement à l attention des investisseurs 28/02/2013 Contrats sur différence (CFD) Principales recommandations Les contrats sur différence (CFD) sont des produits complexes qui ne sont pas adaptés

Plus en détail

France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts

France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts Philippe Waechter Directeur de la recherche économique de Natixis AM L a dynamique de l'économie française est-elle franchement différente de celle

Plus en détail

CHAPITRE VI : MARCHES DES CAPITAUX

CHAPITRE VI : MARCHES DES CAPITAUX CHAPITRE VI : MARCHES DES CAPITAUX CHAPITRE VI : MARCHES DES CAPITAUX VI.1 - MARCHE MONETAIRE Le marché monétaire est le lieu de rencontre des offres et des demandes de capitaux à court terme par des opérateurs

Plus en détail

EXEMPLE D'UNE LETTRE DE MISSION

EXEMPLE D'UNE LETTRE DE MISSION MISSION CONCOURANT A L'ETABLISSEMENT DES COMPTES ANNUELS EXEMPLE D'UNE LETTRE DE MISSION M........ Vous avez bien voulu solliciter notre assistance comptable et nous vous remercions pour cette marque de

Plus en détail

Société do you soft. Système de versionning/backup de configuration d'équipements/appliances

Société do you soft. Système de versionning/backup de configuration d'équipements/appliances Soutenance de stage Société do you soft Système de versionning/backup de configuration d'équipements/appliances Tuteur : Luc Bégault Tuteur IUT : Agnès Pujas Stagiaire : David Sanchez Sommaire Présentation

Plus en détail

Partie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI

Partie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI Partie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI 222 Partie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI Chapitre A. Représentation de l'utilisation de l'information

Plus en détail

Introduction. Première connexion

Introduction. Première connexion Introduction L'objectif de ce document est de présenter la prise en main de Dolibarr version 3.6.1 pour une entreprise fictive nommée FORMATION. L'entreprise FORMATION dispose d'une activité de négoce

Plus en détail

Charte de fonctionnement du portail Géocharente

Charte de fonctionnement du portail Géocharente Charte de fonctionnement du portail Géocharente Préambule La plateforme Geocharente.fr est une plateforme créée par le Syndicat Départemental pour l Informatique et les Technologies de Communication (ci-après,

Plus en détail

Bourses Développement Durable

Bourses Développement Durable Bourses Développement Durable Ce formulaire doit être rempli en ligne. Les envois par la poste ne seront pas pris en compte. Si vous avez des annexes, veuillez de préférence les joindre électroniquement

Plus en détail

informatique internet télécommunications

informatique internet télécommunications informatique internet télécommunications mettre le Droit au DiaPason De l entreprise le cabinet Secteurs d activité informatique industrie Distribution edition, média santé médico-social services À la

Plus en détail

MINISTERE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION DIRECTION GENERALE DES PATRIMOINES

MINISTERE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION DIRECTION GENERALE DES PATRIMOINES MINISTERE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION DIRECTION GENERALE DES PATRIMOINES Sous-direction des affaires financières et générales 182, rue Saint-Honoré 75033 Paris cedex 01 Service bénéficiaire :

Plus en détail

Signature de la nouvelle Convention nationale de partenariat pour la lutte contre le travail illégal dans le secteur de la sécurité privée

Signature de la nouvelle Convention nationale de partenariat pour la lutte contre le travail illégal dans le secteur de la sécurité privée Signature de la nouvelle Convention nationale de partenariat pour la lutte contre le travail illégal dans le secteur de la sécurité privée DOSSIER DE PRESSE Mercredi 12 décembre 2012 1- Communiqué de presse

Plus en détail

LE CONTROLE DE GESTION DANS L'ASSURANCE : UNE REHABILITATION VITALE EN TUNISIE

LE CONTROLE DE GESTION DANS L'ASSURANCE : UNE REHABILITATION VITALE EN TUNISIE LE CONTROLE DE GESTION DANS L'ASSURANCE : UNE REHABILITATION VITALE EN TUNISIE Par Nabila EL HEDDA, Elyès JOUINI et Denis CHEMILLIER-GENDREAU "Le marché tunisien de l'assurance va connaître, dans les années

Plus en détail

PAC Q&A. Capgemini : le Business Cloud, tout simplement

PAC Q&A. Capgemini : le Business Cloud, tout simplement Capgemini : le Business Cloud, tout simplement Pour Capgemini, le Cloud fait partie intégrante de l'ensemble des solutions pour les entreprises. Toutes les entités du groupe se sont alignées sur ce nouveau

Plus en détail

Fondation de Luxembourg Politique d Investissement Socialement Responsable (ISR)

Fondation de Luxembourg Politique d Investissement Socialement Responsable (ISR) Fondation de Luxembourg Politique d Investissement Socialement Responsable (ISR) 1. Objet La Fondation de Luxembourg a reçu une dotation initiale de la part de l'etat et de l'oeuvre Nationale de Secours

Plus en détail

SEPR - Pierre Casadéi Lean Oser le participatif pour repenser l organisation

SEPR - Pierre Casadéi Lean Oser le participatif pour repenser l organisation Pour repenser son organisation au sortir d'un plan de départs volontaires, l'industriel SEPR a "osé" solliciter la participation de ses salariés. Avec succès. Réflexions de Pierre Casadei, Directeur des

Plus en détail

Associations, Syndicats, Ordre. Mardi 21 octobre 2014 Ecole de Pédicurie-Podologie 33000 BORDEAUX

Associations, Syndicats, Ordre. Mardi 21 octobre 2014 Ecole de Pédicurie-Podologie 33000 BORDEAUX Associations, Syndicats, Ordre Mardi 21 octobre 2014 Ecole de Pédicurie-Podologie 33000 BORDEAUX Trois systèmes complémentaires aux fonctions et missions bien définies : Associatif regroupement de personnes

Plus en détail

Prévoyance collective, assurance santé et dépendance

Prévoyance collective, assurance santé et dépendance Juin 2012 Prévoyance collective, assurance santé et dépendance La Comarep vient de publier un état des lieux de la protection sociale complémentaire des branches à fin 2011. C est l occasion d en tirer

Plus en détail

Dossier de Premier Contact. Recherche Financement Business Booster

Dossier de Premier Contact. Recherche Financement Business Booster Dossier de Premier Contact Recherche Financement Business Booster Document non-contractuel Avril 2012 1 Pourquoi rechercher du financement? 2 En auto-financement depuis 2008 Entreprendre librement, l auto-financement

Plus en détail

CONTRAT D APPORTEUR D AFFAIRE

CONTRAT D APPORTEUR D AFFAIRE CONTRAT D APPORTEUR D AFFAIRE ENTRE LES SOUSSIGNES : La Société CBN centre Bio Naturel SPRL, 18 avenue Albert Drossart 1350 Orp-Jauche BELGIQUE. Représentée par Madame Bernard Dominique, agissant en qualité

Plus en détail

INFOGERANCE. 1. Présentation de l infogérance... 2. 1.1. Définition... 2 1.2. Pourquoi l infogérance?... 2

INFOGERANCE. 1. Présentation de l infogérance... 2. 1.1. Définition... 2 1.2. Pourquoi l infogérance?... 2 INFOGERANCE 1. Présentation de l infogérance... 2 1.1. Définition... 2 1.2. Pourquoi l infogérance?... 2 2. Les différentes formes d infogérance. 2.1. Infogérance de fonction... 3 2.2. Infogérance d'exploitation...

Plus en détail

Recherches mises en valeur

Recherches mises en valeur Recherches mises en valeur Résumé hebdomadaire de nos meilleures idées et développements au sein de notre univers de couverture La Meilleure Idée Capital One va fructifier votre portefeuille 14 février

Plus en détail

REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC)

REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) MARCHÉ DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) Constitution des dossiers d accessibilité Ad AP des ERP et IOP du territoire de la communauté de communes des Portes de l Ile de

Plus en détail

Aligner les nouveaux modèles de croissance des ESN

Aligner les nouveaux modèles de croissance des ESN Offre de Conseil DUE DILIGENCE STRATEGIQUE Une tendance de rationalisation chez les donneurs d ordre donnant lieu à une massification des achats, une fermeture des référencements et une contraction des

Plus en détail

concernant la gestion du SIVOM de SAINT FRANCOIS LONGCHAMP-MONTGELLAFREY

concernant la gestion du SIVOM de SAINT FRANCOIS LONGCHAMP-MONTGELLAFREY Monsieur Patrick PROVOST Président du SIVOM de SAINT FRANCOIS LONGCHAMP-MONTGELLAFREY Hôtel de Ville 73130 SAINT FRANCOIS LONGCHAMP Monsieur le Président, Par lettre en date du 1er octobre 1998, j'ai porté

Plus en détail

ANNEXE C. ÉLÉMENTS D'ANALYSE FINANCIÈRE

ANNEXE C. ÉLÉMENTS D'ANALYSE FINANCIÈRE Annexe C. Éléments d'analyse financière 143 ANNEXE C. ÉLÉMENTS D'ANALYSE FINANCIÈRE Résumé Cette annexe présente quelques éléments comptables qui peuvent servir à l'analyse financière des entreprises.

Plus en détail