Amiens Aménagement Maître d Ouvrage ZAC GARE LA VALLEE CAHIER DES CHARGES RELATIF AUX ESSAIS DE LIXIVIATION. EMPREINTE Paysagistes

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1 Amiens Aménagement Maître d Ouvrage ZAC GARE LA VALLEE CAHIER DES CHARGES RELATIF AUX ESSAIS DE LIXIVIATION AUA Paul CHEMETOV Architecte 4, square Masséna Paris Tél : Fax : EMPREINTE Paysagistes 34, rue d Athènes Euralille Tél : Fax : Omnium Général d Ingénierie B.E.T. 27, rue Garibaldi Montreuil Tél : Fax :

2 1. Rappel sur la connaissance du site Il est important de rappeler qu aucun plan de diagnostic de zonage de pollution ne nous a été transmis. Les informations contenues dans ce document s appuient sur les études menées par VERITAS, notamment dans le cadre du dossier de la rue Masclef (synthétisé en annexe de ce document), de la connaissance du site que nous en avons ainsi que des informations contenues dans le document d étude d impact élaboré par Cap Terre. Ce dernier précise les points suivants «Au niveau de la rue de Verdun, plusieurs sites sont à suivre concernant une potentialité de pollutions des sols liés à l activité actuellement présente.» «Risques liés aux pollutions de sols : La base de données «BASOL» du ministère de l Ecologie, du Développement et de l Aménagement durable et les documents d urbanisme référence les sites pollués ou potentiellement pollués sur ou à proximité directe du fuseau étudié. Il n existe pas sur l aire d étude de sites référencés comme étant pollués ou potentiellement pollués. Néanmoins, la potentialité de pollution de sols n est pas négligeable et se base exclusivement sur la présence d entreprises à risques potentiels de pollution dans les terrains de l aire d étude susceptibles de reconversion. Les sites à suivre, potentiellement pollués, pourraient concerner trois sites situés rue de Verdun : la casse autos, l entreprise de vente autos d occasion et le dépôt de bus SEMTA. Sur le site de la casse autos, les types de produits que l on peut retrouver sont les produits constituants les automobiles (huiles, graisses, métaux lourds, ) et les lessivages des résidus métalliques. Les deux derniers présentent des sites de stockages d hydrocarbure posant le problème de l étanchéité de ces citernes.» Les essais de lixiviation sont à mener, en particulier, afin de déterminer l importance du lessivage créé par l infiltration des eaux de pluie. Plus particulièrement dans notre cas, savoir s il est obligatoire d étancher les zones de rétention des eaux de pluie élaborées dans le cadre de l aménagement. En effet, les services de la police de l Eau conseillent fortement, pour cette ZAC, de mettre en place une étanchéité des zones de rétention pour palier aux risques de pollution au delà de la problématique du niveau de la nappe que l on rencontre à proximité des niveaux de l aménagement sur la partie basse, soit à proximité de la rue de Verdun. 2. Renseignements attendus Les essais de lixiviation à mener doivent donc nous renseigner à propos des éléments suivants : Connaitre la nature des polluants contenus dans les terres du site ainsi que leur quantité (zone spécifiquement polluée et zone plus homogène), permettant de connaitre notamment les capacités de solubilité avec les eaux mais aussi les conditions de préparation des échantillons (exemple vaporisation pour spectrométrie atomique, minéralisation ou autre) Connaitre le potentiel migratoire des polluants : vitesse, profondeur de migration ou remonté par capillarité Connaitre l effet sur les eaux de la Somme / de la nappe associée et déterminer si cela est acceptable

3 Justifier de l opportunité d étancher les zones d infiltration des eaux claires de ruissèlement

4 3. Zones d intérêt Les zones d intérêts pour les essais sont les suivantes : A : Aire à fort potentiel pollué : zone stockage des bus. Cette zone est d autant plus intéressante quelle est proche de la Somme. B : Zone ayant un intérêt du fait de la position des noues du projet / à croiser avec les emprises détenues par la ville d Amiens C : Zone ayant un intérêt du fait de la position des parcs du projet / à croiser avec les emprises détenues par la ville d Amiens D : Zone particulière de la noue à proximité de la halle SERNAM / à croiser avec les emprises détenues par la ville d Amiens 4. Principes méthodologiques Les 2 principes de méthodologie possibles pour les essais de lixiviation sont les suivants, conformément à la norme NF X : Test en batch : Le test de diffusion ou test en batch est un test statique permettant de déterminer la lixiviation (relargage) et la stabilité du matériau de construction de type monolithique et façonné. L émission correspond à la quantité maximale qui éluera sur une période de 60 à 100 ans, exprimée en mg/m2. o o La première phase du test comprend une à trois filtrations à froid d'un mélange sous-produit/eau (1/10) avec récupération et dilution des filtrats. La deuxième phase consiste à doser le ou les éléments étudiés dans les lixiviats obtenus à l'issue de la première phase. Tests en colonne (ascendant ou descendant) : Le test en colonne est un test dynamique pour déterminer la capacité de lixiviation avec un ratio L/S (Liquide/Solide) de 0.1 à 10. Avec un ratio de L/S 10, le relargage correspond à la quantité maximum qui éluera sur une période de 60 à 100 ans (exprimée en mg/kg MS) Ces essais doivent normalement être réitérés lorsque l on est en présence de pollution avérée.

5 5. Liste d organisme de contrôle Les organismes de contrôle sont les suivants : LERM IDAC, Nantes SADEF - Pôle d'aspach, Rue de la Station, F Aspach-le-Bas Alcontrol laboratories

6 6. Annexe Synthèse des études Véritas Sur cette base il a été réalisé 12 sondages avec prélèvements d échantillons de sols. Les échantillons ont fait l objet des analyses suivantes : HCT : Hydrocarbures totaux C10 C40 HAP : Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques Métaux toxiques : Arsenic, Antimoine, Baryum, Cadmium, Chrome, Cuivre, Etain, Mercure, Molybdène, Nickel, Plomb et Zinc Les prélèvements ont été réalisés à des profondeurs variables en fonction des observations faites en cours de sondage. Compte tenu que l hétérogénéité est la caractéristique de base des milieux souterrains, et que les prélèvements, par nature localisés ne peuvent en aucun cas conclure à une (non) pollution globale du site les conclusions suivantes peuvent être tirées : Les remblais rencontrés sur le site présentent, au regard des résultats d analyses, une mauvaise qualité environnementale avec un enrichissement plus ou moins important en certains métaux. Site Boulogne rue Masclef Suite à la découverte lors du diagnostic initial, d un impact par les métaux lourds et les hydrocarbures totaux, AMIENS AMENAGEMENT a souhaité s assurer de l étendue de cette contamination avant de procéder à l achat du site sis rue Masclef à AMIENS. Pour cela, BUREAU VERITAS a été mandaté pour la réalisation de prélèvements et d analyses d échantillons de sols à proximité des zones réputées comme impactées (à partir des résultats du précédent diagnostic Rapport BUREAU VERITAS N /1 du 13 mars 2009). La stratégie d investigations a également pris en compte la nature du projet (création de logements collectifs, de voiries et d espaces verts). Cette constatation confirme donc les résultats obtenus lors de la première campagne de mesure (Rapport BUREAU VERITAS N /1 du 13 mars 2009). La contamination par les hydrocarbures totaux a également été confirmée au niveau de la fosse de vidange pour poids lourds (S1 et S2), A l heure actuelle, le site est en grande partie recouvert par une dalle de béton, une couche d enrobé ou par des graviers (cour matériaux). Il n existe donc pas de risques significatifs pour les usagers du site. Par contre, le projet d aménagement prévu par Amiens Aménagement, avec la création d espaces verts, pourrait présenter des risques sanitaires en cas de maintien des terres impactées en l état. Le principal danger pour ces types de contaminant (métalliques) est l ingestion de terres ou de poussières contaminées. Ainsi la création d espaces verts permettra, si aucune disposition n est prise, une potentielle dispersion des poussières contaminées qui favoriserait leur ingestion, Le risque généré par les polluants retrouvés dans les sols doit donc, au regard du projet, absolument être pris en compte. L impact sanitaire sur les futurs

7 usagers doit être évalué en étudiant les voies d exposition attendues au regard du projet d aménagement du site. Site Point P 279 rue de Verdun Suite à la découverte lors du diagnostic initial, d un impact par les métaux lourds dans les terrains remblayés, AMIENS AMENAGEMENT à souhaité s assurer de l étendue de cette contamination avant de procéder à l achat du site sis 279, rue de Verdun à AMIENS. Pour cela, BUREAU VERITAS a été mandaté pour la réalisation de prélèvements et d analyses d échantillons de sols à proximité des zones réputées comme impactées (à partir des résultats du précédent diagnostic Rapport BUREAU VERITAS N du 16 avril 2009). La stratégie d investigations a également pris en compte la nature du projet (création de logements collectifs, de jardins privatifs et d espaces verts). Sur cette base il a été réalisé 10 sondages avec prélèvements d échantillons de sols. (Rapport BUREAU VERITAS N du 16 avril 200 9). A l heure actuelle, le site est en partie recouvert par une dalle de béton et sert au stockage de matériaux de construction (dallage, etc.). Il n existe donc pas de risques significatifs pour les usagers du site. Par contre, le projet d aménagement prévu par Amiens Aménagement, avec la création d espaces verts privatifs et collectifs, pourrait présenter des risques sanitaires en cas de maintien des terres impactées en l état. Le principal danger pour ces types de contaminant (métalliques) est l ingestion de terres ou de poussières contaminées. Ainsi la création d espaces verts permettra, si aucune disposition n est prise, une potentielle dispersion des poussières contaminées qui favoriserait leur ingestion. Le risque généré par les polluants retrouvés dans les sols doit donc, au regard du projet, absolument être pris en compte. L impact sanitaire sur les futurs usagers doit être évalué en étudiant les voies d exposition attendues au regard du projet d aménagement du site. Les sondages sols réalisés jusqu à une profondeur de 1,2m ont permis de mettre en évidence une couche de remblais très hétérogènes sur cette épaisseur. Ces remblais présentent une succession de matériaux inertes (briques, caillasse, graviers, etc.) comprise dans une matrice limono sableuse à argileuse. On y observe également quelques légers signes organoleptiques de pollution avec la présence de traces noires suspectes sur les sondages suivants : S2, S6, S7 et S10. Les HCT n ont pas été testé sur ces échantillons. Compte tenu que l hétérogénéité est la caractéristique de base des milieux souterrains, et que les prélèvements, par nature localisés ne peuvent en aucun cas conclure à une (non) pollution globale du site les conclusions suivantes peuvent être tirées : Les remblais rencontrés sur le site présentent, au regard des résultats d analyses, une mauvaise qualité environnementale avec un enrichissement plus ou moins important en certains métaux. Cette constatation confirme donc les résultats obtenus lors de la première campagne de mesure

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