Eau, Assainissement et impact sur la santé : étude de cas d un écosystème urbain à Yaoundé

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1 Eau, Assainissement et impact sur la santé : étude de cas d un écosystème urbain à Yaoundé Emmanuel NGNIKAM *, B. MOUGOUE, F. TIETCHE Laboratoire Environnement et Sciences de l Eau, Ecole Nationale Supérieure Polytechnique, BP 8390 Yaoundé, Tél. (237) , Fax (237) emma_ngnikam@yahoo.fr Résumé Dans les grandes villes africaines, plusieurs facteurs rendent difficiles la maîtrise de la gestion de l assainissement urbain et l accès à l eau potable. La forte croissance démographique (plus de 5% par an en moyenne dans les villes), s accompagne d un développement spatial anarchique qui échappe à tout contrôle des pouvoirs publics. Les populations s installent sans avoir la possibilité d accéder aux services urbains. Dans les zones d habitat planifié ou administré, les promoteurs immobiliers et les municipalités se rejettent mutuellement la responsabilité de l assainissement des eaux usées et des mauvaises conditions d accès à l eau potable, ce qui n est pas le cas en ce qui concerne les déchets solides. Dans ce contexte, l approche éco systémique à la santé humaine qui intègre conjointement les notions de transdisciplinarité, de participation des population des zones d intervention, de genre et de l équité social a été utilisé pour conduire les travaux de recherche et action sur le terrain. Cette approche permet de prendre en compte les diverses causes et incidences des facteurs du milieu physique, socio culturels, humains et socio économiques sur les populations pour aller plus loin et identifier les pistes d intervention pour améliorer durablement le cadre de vie des populations. C est cette approche qui a été implémentée dans le bassin versant de la Mingoa à Yaoundé par une équipement de recherche qui associe plusieurs chercheurs professionnels issus de 8 disciplines différentes (génie civile, pédiatrie, épidémiologie, géographie, sociologie, économie, etc.), les organisations non gouvernementales et les institutions publiques qui travaillent dans la zone d étude, les représentants des populations bénéficiaires de la recherche. Pendant trois ans, les activités menées dans le cadre de cette recherche ont permis de montrer clairement qu il existe un lien entre les modes d organisation sociale, les comportements quotidiens des populations et le taux de morbidité vis-à-vis de la diarrhée, des parasitoses intestinales et de l état nutritionnel des enfants. A partir d un suivi de 400 enfants de moins de 5 ans dans un écosystème urbain de Yaoundé, cette communication met en exergue le lien entre le système d assainissement et la santé des enfants d une part et d autre part le lien entre la qualité de l eau utilisés par les ménages et la santé des enfants d autre part. Les résultats auxquels on arrive au bout de trois années d expérimentation montre qu il y a une corrélation forte entre la qualité de l eau utilisée par les ménages et la prévalence des diarrhées chez les enfants. Par ailleurs, la situation géographique du ménage (crête, mi pente, zone de bas fond) a une influence sur la distribution de la prévalence des diarrhées chez les enfants de moins de 5 ans. Mots clés : gestion de eau, diarrhée, santé des enfants, participation, écosystème urbain Introduction Pour montrer l ampleur des difficultés que l on devrait surmonter pour concilier l eau, l assainissement et la santé, nous nous appuyons sur l assainissement des eaux usées et des excrétas. Le cas du Cameroun en général et de la ville de Yaoundé en particulier sert d illustration dans ce papier. Plusieurs aspects sont examinés dans la suite : le problème de l approvisionnement en eau, les différents modes d assainissement utilisés par les usagers, la présentation de la zone d étude et des résultats de nos investigations. 1

2 I/ Présentation de l écosystème : problèmes d assainissement, de santé, socio-économiques et humains. Notre projet a été réalisé dans le bassin versant de la Mingoa dans la ville de Yaoundé. Cette zone compte 12 quartiers ayant chacun à sa tête un chef de troisième degré, des chefs de blocs et différentes associations de résidents. La population totale de la zone est de habitants réparti dans 4700 ménages. Les enfants de moins de 5 ans représentent environ 15% dans la population pour un effectif de 3235 enfants. En fonction du type de matériaux utilisés, du niveau de finition de la maison, cinq standings d habitation sont recensés dans la zone. Les maisons de moyen standing sont les plus nombreux (61%). Dans l ensemble 4444 unités de logements sont recensées dans la zone (figure n 1). Figure n 1 : Carte des différents quartiers du bassin et localisation des enfants suivis. L objectif principal de cet étude est de déterminer les actions à entreprendre dans les domaines de l assainissement des eaux usées et des excrétas, les pratiques des différents acteurs, et leurs conditions de mise en oeuvre pour améliorer la santé humaine dans une grande ville de la zone tropicale humide du Cameroun. II/- Méthodologie utilisée La méthodologie générale utilisée pour la conduite de ce projet repose sur la méthode éco systémique à la santé humaine. Ce nouveau concept de recherche repose sur trois piliers principaux : la transdisciplinarité, la participation et la prise en compte du genre dans la conduite des activités de recherche. L équipe de projet ayant pris part à cette action de recherche dont la première phase s est déroulé entre 2003 et 2005 est composé de 33 personnes dont 10 chercheurs universitaires provenant de 8 disciplines différentes, 8 représentants des populations intégrés dans l équipe de recherche, deux ONGs (dont une nationale (ERA Cameroun), un réseau d ONG espagnole conduit par l association des ingénieurs sans frontière de Catalogne), les ONG apportent leur savoir faire en matière de sensibilisation et d animation 2

3 sociale des populations, 8 infirmières engagées pour le suivi des enfants selon la méthodologie développée ci-dessous. 2.1/ Suivi de l Etat de santé des enfants. Nous avons fait une étude de cohorte, analytique sur une population cible totale de 6870 enfants de moins de 5 ans résidant dans le bassin versant de la Mingoa. Elle a porté en particulier sur un échantillon de base de 396 enfants tirés de cette population totale selon la technique de sélection décrite au paragraphe 3.1. une équipe de 8 infirmières et 2 élèves médecins ont été formés pour suivre chaque enfant retenu. 2.2/ Usages et pratiques des ménages en matières d eau et d assainissement. Deux types d études ont été menés : identification de la chaîne de contamination de l eau potable et la qualité des eaux de consommation dans les ménages qui n ont pas accès à l eau potable à travers le réseau. La deuxième étude qui est venu compléter cette première a porté sur l observation des règles d hygiènes à l intérieur des ménages. Chaque fois ce sont les ménages dont les enfants sont suivis sur le plan sanitaire qui constitue la base d échantillonnage. a - Analyse de la chaîne de contamination de l eau dans les ménages n ayant pas un accès direct à l eau potable. Une étude a été réalisée sur 26 ménages dans le quartier de Melen 4. Ces ménages ont été choisis en fonction des deux critères suivants : le standing de l habitation (bas, moyen, haut), le type de récipient utilisé pour le stockage de l eau (bouteille, bidon, seau couvert, seau non couvert). Une fiche décrivant les conditions de conservation et de transport a été remplie pour chaque ménage. Des analyses portant sur les paramètres suivants (azote ammoniacal (mg.l -1 ), streptocoques fécaux (UFC/100mL), coliformes fécaux (UFC/100mL) ont été réalisées (trois fois dans chaque ménage). b observation des règles d hygiènes à l intérieur des ménages. Fort des résultats obtenus dans les travaux précédents, cette nouvelle étude conduite entre juin et décembre 2004 a été focalisé sur les ménages dont les enfants avait eu au moins trois épisodes de diarrhée de janvier à juin Les hypothèses suivantes ont permis de sélectionner les 50 ménages suivi pendant la période d observation de six mois. III/ Quelques résultats forts qui appellent à l action. A l issu des investigations que nous avons menées que ce soit au niveau de la recherche ou dans les actions pilotes. Il se dégage plusieurs constats forts pouvant guider l intervention sur le terrain : la chaîne de contamination de l eau est désormais établie, les pratiques d hygiènes des ménages à risque important sur la santé sont identifiés et l offre de service de proximité semble être une piste importante pour améliorer le niveau de vie des habitants dans les quartiers difficiles des grandes villes. 3.1 La chaîne de contamination de l eau est désormais établie. En premier lieu, les analyses réalisées ont grandement confirmé que l eau subissait une dégradation importante de sa qualité. Plusieurs facteurs pouvant influencer la qualité de l eau ont été mis en avant. Ces principaux facteurs sont : nature et origine du récipient environnement du récipient et standing de l habitation durée de stockage caractérisation de la prise d eau conditions de transport (récipient et distance parcourue) 3

4 Pour analyser l influence de chaque facteur sur la détérioration de la qualité de l eau, nous avons défini un critère de classification des échantillons en se basant sur les pollutions bactériologiques liées à la présence des coliformes et des streptocoques fécaux (tableau n 1). Tableau n 1 : critère de qualité des eaux retenues pour la classification des échantillons analysés. Streptocoques Coliformes Qualité (UFC/100mL) (UFC/100mL) Niveau Bonne Niveau Moyenne Niveau Suspecte Niveau Très suspecte Il faut rappeler que toutes les eaux analysées sont issues au départ du réseau d eau potable de la ville, c'est-à-dire sont de bonne qualité au point de puisage. Un total de 78 échantillons d eau utilisés dans les ménages pour la boisson, c est à dire censés être potable ont été analysés. Les résultats montrent que le type de récipients utilisés pour la conservation de l eau peut contribuer à la détérioration de la qualité (fig. 2). niveau de qualité et type de récipients % d'échantilon niveau 1 niveau 2 niveau 3 niveau 4 120% 100% 80% 60% 40% 20% 0% sceaux non couverts sceaux couverts bidons bouteilles filtre Figure 2 : niveau de qualité de l eau en fonction du type de récipients utilisés pour la conservation [LESEAU, 2005]. Les sceaux non couverts semblent être plus exposés que les bidons et les bouteilles. Les filtres semblent être un des meilleurs outils pour conserver de l eau dans les domiciles. Tout comme les récipients, le lieu de stockage de l eau est in fluence sur la détérioration de sa qualité. Le stockage au sol est plus risqué qu en hauteur. En effet, au sol, plus de 60% des échantillons d eau sont de mauvaise qualité, tandis sur une étagère, plus de la moitié des échantillons d eau analysés sont de bonne qualité (fig. 3). Le réfrigérateur semble être mieux indiqué pour le stockage de l eau de consommation. En effet on utilise uniquement des bouteilles pour garder de l eau dans les refédérateurs, ce qui limite la durée de stockage. Les conditions de stockage sont aussi améliorées. La performance de ce système est prouvée dans la mesure où 90% des échantillons analysés ici sont de bonne qualité. 4

5 niveau de qualité et lieux de stockage 100% % d'échantillon 80% 60% 40% 20% niveau 1 niveau 2 niveau 3 niveau 4 0% au sol en hauteur dans le frigo Figure 3 : niveau de qualité de l eau en fonction du lieux de stockage [LESEAU, 2005] La durée de stockage de l eau dans les domiciles semble être un facteur important de détérioration de la qualité de l eau (fig. 4). On remarque que plus la durée de stockage est longue, plus la qualité de l eau se détériore. qualité en fonction de durée de stockage % d'échantillon 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% le jour même 1 jour 2 jours 3 jours niveau 1 niveau 2 niveau 3 niveau 4 Figure 4 : niveau de qualité de l eau en fonction de la durée de stockage [LESEAU, 2005]. A trois jours, plus de 80% des échantillons d eau analysés sont de mauvaise qualité. Les ménages qui ont de l eau courante à la maison ne font pas de stockage pendant une longue durée de leur eau de consommation, ils sont alors moins exposés aux risques sanitaires que les autres. Le dernier facteur mis en exergue ici c est la distance de transport. D une manière générale, sauf dans les quartiers périurbains les distances parcourues par les ménages pour aller chercher de l eau est faible. Malgré cela, on a noté une influence importante sur la qualité de l eau à la consommation. Les ménages ayant un robinet dans leur cours, c'est-à-dire dont la distance de transport est inférieur à 10 m sont moins exposés. Plus de 70% des échantillons d eau analysés chez ces ménages sont de bonne qualité. A plus de 30 m de distance de transport, plus de 60% des échantillons analysés sont de mauvaise qualité. Cependant les résultats obtenus par enquête ne peuvent pas être rigoureux et il existe une certaine subjectivité dans l interprétation des résultats. Les questionnaires qui ont été réalisés 5

6 ne peuvent pas refléter complètement le comportement des ménages en matière de conservation et transport de l eau. C est pour cela qu une réelle observation des comportements des ménages a été entreprise pour permettre de conforter ces résultats. Cette observation a été faite sur une période de 6 mois et sur un échantillon de 50 ménages (deux fois plus important que l échantillon ayant servi de base pour établir ces résultats). 3.2 les comportements observés dans les ménages confortent les risques identifiés. Il ressort de ce travail que les principales règles d hygiène sont connues des femmes et aînés des ménages : laver les mains avant de manger et après les selles, laver les aliments avant la consommation, couvrir les récipients contenant l eau, ne pas boire l eau de la source ou du puits, jeter ses déchets dans une poubelle. Malheureusement ces pratiques ne sont pas toujours suivies. En effet, on a observé dans les ménages, une négligence à faire suivre ces règles aux enfants en bas âge. En matière d eau potable, d une manière générale, nos observations montrent que tous les foyers ont connaissance des risques de contraction d une maladie hydrique suite à la consommation d une eau sale mais ignorent que certaines habitudes entraînent la pollution de l eau. Les comportements à risque de contamination de l eau sont recensés sur les étapes de transport et de conservation de l eau dans les domiciles. A l étape du transport, on a remarqué que : quelques ménages ne couvrent pas le récipient servant au transport de l eau, la corvée de l eau est souvent réservée aux enfants, les récipients sont régulièrement lavés mais certains ménages utilisent l eau du puits ou de la source pour le faire. L usage de savon pour laver les récipients servant à puiser de l eau n est pas généralisé. 3.3 il est établi que l ensemble de ces pratiques a une influence sur la diarrhée chez les enfants. Après consentement des parents 396 enfants de moins de 3 ans ont été retenu pour être suivi pendant une période de deux ans à partir de décembre Les données à notre disposition sur lesquelles s appuient nos analyses couvrent la période de janvier 2004 à septembre Le taux de prévalence de diarrhée dans le bassin dans notre population cible est de 16,4%, 10% des diarrhées observées sont aqueuse. La répartition de cette prévalence n est pas uniforme dans les douze quartiers de la zone d étude (fig. 5). 60% 50% 40% % 30% prévalence diarrhée ménages raccordés à l'eau 20% 10% 0% EE1 EE2 EE4 EE5 EE6 EE7 ME1 ME3 ME4 ME5 M.Mezala Figure 6: Facilité d accès à l eau potable et prévalence de diarrhée chez les enfants de moins de 5 ans dans le bassin versant [LESEAU, 2005]. 6

7 Les quartiers situés sur les crêtes comme Elig Effa 1, Messa Mezala sont nettement moins touchés par la diarrhée que les autres, avec un taux de prévalence moyen de moins de 7% pour chacun des deux quartiers. On observer aussi des quartiers intermédiaires, dont la majeure partie est situé à mi pente avec néanmoins l existence d une petite portion de zone inondable. Dans ces quartiers, la prévalence de la diarrhée chez les enfants est moyenne avec un taux de prévalence situé entre 10 et 17%. Nous avons dans cette catégorie les quartiers Elig Effa 2 (13%), Melen 1 (13%), Melen 3 (10%), Melen 4 (16%), Melen 5 (16%). La troisième catégorie de quartier qui se dégage est les quartiers situés dans les zones marécageuses, où la proportion de zone inondable est importante. Ici le taux de prévalence de la diarrhée chez les enfants est très élevé (entre 20 et 33%). Dans cette catégorie nous avons le quartier Elig Effa 4, Elig Effa 6 et Elig Effa 7 où la prévalence de diarrhée est supérieure à 30% et le quartier Elig Effa 5 avec un taux de prévalence de 20%. Ce résultat confirme le fait que la situation géographique du ménage dans le bassin versant peut avoir une influence sur la santé des enfants de moins de 5 ans. En effet, plus on s éloigne de la crête, plus on est exposé aux maladies hydriques comme la diarrhée. Il est possible que la position géographique de ne soit pas la seule explication à ce phénomène. En effet, on peut constater que les quartiers qui ont un fort taux de raccordement au réseau d eau potable a un taux de prévalence de diarrhée chez les enfants faible. Les quatre quartiers qui enregistrent un taux de prévalence de diarrhée chez les enfants de plus de 20% ont le plus faible taux de raccordement en eau potable (7 à 17%). Par ailleurs les quartiers qui ont une bonne couverture en réseau d eau potable présentent les plus faibles taux de prévalence de diarrhée chez les enfants. Tous les quartiers ayant plus de 30% de ménages raccordés au réseau d eau potable ont un taux de prévalence de moins de 13%, soit 3,4 points en dessous de la moyenne observée dans le bassin. Une des explications qu on peut donner à cette situation est la mauvaise condition de transport et de stockage de l eau à domicile. En effet, les ménages non raccordé, bien que ne consommant pas de l eau de puits et de source pour la plupart, doivent aller chercher de l eau de consommation soit la borne fontaine payante, soit chez un voisin abonné, soit à la laverie automobile. Ils doivent transporter de l eau sur une distance moyenne de 150 m. Ce travail est généralement effectué par les enfants et les femmes. Les analyses ont clairement montré qu il y a une détérioration de la qualité de l eau pendant le transport et le stockage à domicile quelque soit le matériel de stockage utilisé, mais les seaux sans couvercle présentent plus de risque de contamination que les autres récipients [LESEAU, 2003]. Il se dégage déjà une tendance à la baisse du taux de prévalence de diarrhée entre la saison sèche et la saison de pluie. En saison sèche (décembre à février) le taux de prévalence de diarrhée est élevé dans tous les quartiers, tandis qu en mars et avril (qui est le début de la petite saison de pluie à Yaoundé) le taux de prévalence de diarrhée baisse. Cette tendance peut être expliquée par deux phénomènes : les coupures d eau du réseau qui sont plus fréquente en saison sèche. La deuxième explication est liée à l évacuation des déchets solides et liquides. En effet dans le bassin versant seulement 26% des ménages sont desservis par le service de ramassage des ordures ménagères. Tous les autres ménages situés sur les zones de pente et de bas fond déversent leurs ordures ménagères et les eaux usées dans les caniveaux. Ces eaux stagnent en saison sèche et détériorent considérablement les conditions d hygiènes. Pendant la saison des pluies, ces déchets sont systématiquement transportés par les torrents vers le lac municipal et les quartiers deviennent un peu plus propres. Ce sont les résultats de la période de mai à novembre qui vont nous permettre de confirmer ces tendances. Les condition socioéconomique du ménage, tel que le niveau d instruction du chef de ménage, les revenus et les dépenses en eau potable du ménage n ont pas une influence significative sur la prévalence de diarrhée chez les enfants (tableau n 2). 7

8 Tableau 2 : Fréquences des diarrhées en fonction des données socio-économiques du ménages. Paramètre étudié P statistique à un seuil Influence du paramètre étudié de signification de 0,05 sur le taux de diarrhées Niveau d instruction du chef de 0,170 Non significative ménage Dépenses mensuelles du ménage 0,11 Non significative Dépenses de nutrition du ménage 0,62 Non significative Dépenses d eau du ménage 0,254 Non significative Dépenses de santé du ménage 0,174 Non significative Le mode d assainissement (type de latrines, fosse septique et puisard), l état de finition des latrines ont une influence significative sur la fréquence des diarrhées (tableau n 3). Par contre le lieu de rejet des eaux usées n a pas une influence significative sur la fréquence de diarrhée chez les enfants. L utilisation d une eau autre que celle de la SNEC est significativement associée à un taux plus élevé de diarrhée. Tableau 3 : fréquence des diarrhées selon l assainissement individuel Paramètre étudié P statistique à un seuil Influence du paramètre étudié de signification de 0,05 sur le taux de diarrhées Mode d assainissement (type de 0,02 Significative latrine) Etat de finition des latrines 0,03 Significative Lieu de rejet des eaux usées 0,343 Non significative IV/ les actions entreprises dans le cadre du projet pour amélioration la situation Devant l ampleur de la situation, il a été entrepris divers type d activités dans le cadre de ce projet. Les activités portent essentiellement sur l amélioration des petites infrastructures de proximités pour améliorer l accès à l eau potable et l assainissement (voie de circulation, sources d eau, latrines, etc ), la communication et sensibilisation des populations, la formation, etc 4.1 Réalisation des infrastructures pouvant contribuer à améliorer l accès à l eau et l assainissement. a/ Pendant la phase pilote à Melen IV. A l issu de ce travail, 3 km de chemin piéton, 1,2 km de caniveau pour le drainage des eaux pluviales, 31 latrines individuelles à fosse ventilée ont été réalisés dans le quartier, ainsi qu une source aménagée. 31 latrines à fosses ventilées ont été construites avec pour principal objectif de protéger les puits et les sources servant pour l approvisionnement en eau dans le quartier. Il s agit ici de latrines sèches qui permettent de séparer les excrétas des autres déchets liquides. Le but de cet aménagement est de limiter au minimum les vitesses de transfert des polluants des latrines vers les nappes d eau superficielles. Dans cet aménagement on évite que les excrétas soient en contact direct avec les nappes d eau souterraines ; lorsque cela ne peut pas être évité, on aménage des fosses étanches, et de préférence des latrines doubles fosses que l on va utiliser l une après l autre : dès que l une est pleine, on la couvre et on donne le temps nécessaire à la 8

9 minéralisation des matières fécales après quoi, elle sera vidée en attendant que l autre soit pleine à son tour. Compte tenu de la taille des ménages on estime que la durée de vie d une fosse est d au moins quatre années. Une latrine dessert en moyenne 13 personnes, pour un coût variant entre 400 et FCFA. Avant de lancer les travaux de construction proprement dits, des artisans ont été identifiés et formés sur la technologie des latrines améliorées. Cette formation s est déroulée en deux phases : une phase théorique et une autre pratique qui a consisté à construire ensemble la première latrine au quartier Melen 4. Chemin piéton avant aménagement Photo 1 : Chemins piétons avant et après aménagement Chemin piéton aménagé Latrine traditionnelle Latrine à double fosse ventilée Photo 2 : Vue d une latrine à double fosse réalisée à Melen IV Dans l ensemble, 09 artisans ont été formés pendant la mise en œuvre du volet construction des latrines améliorées. Les artisans ont été recyclés après chaque tranche de construction. Trois formations de recyclage ont été organisées et les membres du CAD ont pris part à ces formations pour des séances d autocritique. 4.2 conception des récipients pour la conservation de l eau Par ailleurs, un récipients de 25 l, muni d un couvercle et de robinet et pouvant conserver la qualité de l eau pendant le transport et le stockage a été conçu et 300 unités fabriqués et distribués aux ménages dont les enfants sont suivi dans le cadre du projet. Un suivi de la qualité de l eau puisé et conservé dans ce récipient pendant 7 jours a été fait en laboratoire. (photo n 3). 9

10 Évite la contamination directe pendant la conservation. 350 récipients de ce type fabriqués et distribués aux ménages dont les enfants sont suivis. Photo n 3 : type de récipients conçus pour conserver de l eau dans les ménages. Ces essais ont montré que la qualité de l eau de la SNEC même puisé à une distance de 500 m de son lieu d utilisation est restée stable pendant tout le temps de stockage. Ces résultats nous ont conforté dans la mesure où le récipient, s il est bien utilisé pourra permettre d améliorer la qualité de l eau utilisée dans les ménages non raccordé au réseau pour couvrir les besoins de boisson. L impact de toutes ces mesures sur la santé des enfants de moins de 5 ans sera analysé dans le paragraphe suivant. Mais on peut déjà affirmer à l issu de ces travaux que le problème majeur reste la sensibilisation et la mise en pratique de certaines mesures d hygiène Education et sensibilisation des populations pour impulser des changements de comportement. Il a été organisés des séances d explication avec les ménages (femmes et aînés de famille) sur les modes de contamination des maladies suivantes : diarrhées, amibes, vers intestinaux, paludisme. Par ailleurs une campagne de sensibilisation et d information a été organisée dans tous les quartiers du bassin pour restituer nos résultats et prévenir les habitants sur les risques liés au mauvais comportement lors du transport et le stockage de l eau. Le système de réunion élargie (assemblé de quartier) est institués dans chaque quartier, ces réunions sont souvent compléter par les rencontres de petits groupes et les réunions de chantiers. Des campagnes spéciales de sensibilisation sont organisées à travers les journées de la femme par exemple, de l environnement et d autres faits locaux importants. La stratégie de communication et d information des habitants a été renforcée dans tous les quartiers. Désormais chaque quartier est doté de tableau d affichage dont le nombre et fixé en fonction de la superficie du quartier et du nombre d habitant. Ces tableaux servent de support pour les messages d informations vers les populations. Par ailleurs, un journal «la gazette du quartier» est publié en 1000 exemplaires chaque deux mois. Cette gazette est animée conjointement par les ONGs d appui et les populations du quartier qui ont la possibilité de faire des articles sur la vie de leur quartier. Au Cours de l année 2004, 5 numéros du journal ont été publiés. Un support de formation aux bonnes pratiques a été conçu à cet effet pour organiser les séances d échange avec les ménagères. Ces échanges sont organisés d abord dans les 50 ménages suivis et par la suite dans chaque quartier du bassin. 10

11 La réussite d une bonne sensibilisation est liée aux mesures d accompagnement qu on peut mettre à la disposition de l habitant pour l accompagner dans ses efforts de changement. Nous avons suite aux résultats obtenus, mis en œuvre en dehors des propositions d amélioration citées ci-dessus, conçu avec les habitants et mis en œuvre des mesures d accompagnement afin d améliorer le cadre de vie dans l écosystème. V/ les actions entreprises commencent à avoir un impact perceptible sur la santé des enfants. L impact des actions entreprises sur la santé des enfants est déjà mesurable. En effet, même si nous ne sommes pas capable à l état actuel de mesurer l impact de chaque action sur la santé, il apparaît clairement que dans l ensemble de la zone d étude l incidence des deux maladies observées chez les enfants a considérablement baissé entre 2003/2004, où la plupart des actions cités ci-dessus n étaient encore mis en place et 2004/2005 suite à la réalisation de ces mesures. Il est fort probable, que la sensibilisation des usagers sur la chaîne de contamination de l eau et la fourniture des récipients pour le stockage de l eau aient joué un rôle important. En ce qui concerne, les infrastructures, on peut constater à travers le tableau n 4 que les quartiers ayant bénéficié des infrastructures non pas un résultat en matière de diarrhée fondamentalement différent des autres. Tableau n 4 : évolution du nombre de cas de diarrhée chez les enfants par quartier pendant les deux années d observation [LESEAU, 2005]. Quartiers %diminution Elig Effa ,0% Elig Effa ,0% Elig Effa ,0% Elig Effa ,5% Elig Effa ,7% Elig Effa ,7% Elig Effa ,6% Melen ,9% Melen ,7% Melen ,2% Melen ,7% Messa Mezala ,0% Total ,4% Les des quartiers dans les quels on n a pas enregistré de diarrhée en 2004/2005 sont situés sur les crêtes, dès le départ la prévalence de diarrhée était faible dans ces quartiers. Par contre, les quartiers dans lesquels nous avons fait des interventions en matière d infrastructures de base ont enregistrés une baisse de diarrhée beaucoup plus significative que les autres quartiers. Melen 1 qui bénéficie des programmes d infrastructure enregistre une baisse de 93%, suivi de Melen 3 où un projet de pré collecte des déchets est exécutés (85%) et de Melen IV (70%). Le quartier Elig Effa 7, bien qu ayant reçu le programme des infrastructures a enregistré une baisse en dessous de la moyenne générale de la zone. Il faut dire que la baisse généralisée de la prévalence de diarrhée dans tous les quartiers est imputable aux mesures de sensibilisation des populations, les campagnes de formations et la distribution gratuite des seaux pour la conservation de l eau qui a été généralisé dans l ensemble des quartiers. 11

12 Ce résultat très positif méritent d être consolidé à travers la mis en place généralisé des mesures identifiés dans l ensemble de la zone d étude et la poursuite du travail de suivi sanitaire des enfants. Conclusion La typologie de l habitat dans nos villes, notamment le manque de voies de desserte et les difficultés d accès à l eau courante, rend difficile l assainissement des eaux usées. Cette situation a une conséquence très néfaste sur la santé, notamment celles des enfants de moins de 5 ans. Il s agit surtout des quartiers situés dans la ville spontanée où les interventions de la puissance publique sont très marginales. L assainissement individuel est prédominant mais les risques des contaminations des eaux souterraines sont réels. Nos analyses montrent que tous les ouvrages traditionnels d alimentation en eau sont totalement disqualifiés pour la boisson et l hygiène corporelle. Il apparaît clairement dans cette analyse que l accès à l eau potable est un facteur important pour la prévalence de diarrhée chez les enfants. Il en est de même de la situation géographique du ménage. En effet les ménages situés dans les zones de bas fond sont plus exposés que ceux qui visent sur les crêtes (le facteur multiplicatif est de 6 lorsqu on passe de la crête vers la zone marécageuse). Bien que la durée d observation soit courte (5 mois), nous pouvons déjà affirmer que les ménages non raccordés aux réseaux d eau potable sont plus exposés que les autres. Les risques proviennent généralement des conditions de transport et de stockage de l eau dans les domiciles. Il est prouvé à travers une analyse auprès de 70 ménages que la qualité de l eau de réseau après stockage dans les domiciles est nettement détériorée. Des mesures techniques et de sensibilisation auprès des ménages est nécessaire pour renverser la tendance dans les quartiers. Nos investigations ont porté sur un bassin versant urbain de 119 ha, mais les résultats peuvent être extrapolés dans les autres quartiers spontanés de la vile et même des régions tropicales d Afrique. Les communes peuvent se servir de ces résultats comme outils de sensibilisation des populations et de diffusion des techniques de conservation de l eau à faible coût pouvant permettre de réduire le phénomène et d améliorer la santé des populations pauvres. Notre préoccupation est d arriver à identifier ces techniques, les tester et en assurer une large diffusion auprès des populations. C est dans ce domaine que l apport de la coopération nord sud en matière de recherche et d expérimentation pourra permettre d aller plus loin. Bibliographie 1. Bemmo N., et Njine T. (1998) Techniques utilisées au niveau des quartiers périurbains de Yaoundé (Cameroun) pour l évacuation des eaux usées et excréta humains ; propositions de systèmes appropriés. Rapport final Action de recherche n 4, Ecole Nationale Supérieure Polytechnique de Yaoundé, 126 p. 2. Djeuda T.H.B ; Tanawa E. et Ngnikam E. (2001) : L eau au Cameroun : Tome 1 ; Approvisionnement en eau potable. Presses Univ. de Yaoundé, 359 p. 3. Djeuda Tchapnga H.B., Tanawa E. NGNIKAM E. (2001). L eau au Cameroun, tome 1 : approvisionnement en eau potable. Presses Universitaires de Yaoundé, septembre Djeuda Tchapnga, H.B., et Tanawa, E. et Ngo, Massana, B. et Djombé, G. (1999) Réseaux, normes et qualité de l'eau en relation avec les usages dans un centre urbain secondaire du Cameroun: cas de la ville de Bafang (Ouest Cameroun). Revue Géologie et Environnement au Cameroun, Collect. GEOCAM, 2/1999, Presses Universitaires. de Yaoundé, p

13 5. DUCHEMIN J.P. and COUILLOT M.F. (1998) Impact des conditions d alimentation en eau potable et d assainissement sur la santé publique in Eau potable et assainissement dans les quartiers périurbains et les petits centres, synthèse des acquis du programme. Les éditions du GRET pp ERA Cameroun et ISF Catalogne (2003) : Programme d amélioration du cadre de vie des populations de la ville de Yaoundé. Rapport d exécution du diagnostic social et socio économique. Yaoundé, avril pages. 7. Leseau, 2004 : Rapport de Recherche de l an 2 ( ). Projet : «maîtrise de l assainissement dans un écosystème urbain à Yaoundé au Cameroun et impact sur la santé des enfants âgés de moins de 5 ans. 8. Leseau, 2005 : Rapport final de Recherche ( ). Projet : «maîtrise de l assainissement dans un écosystème urbain à Yaoundé au Cameroun et impact sur la santé des enfants âgés de moins de 5 ans, Yaoundé, octobre pages. 9. LESEAU, Maîtrise de l assainissement dans un écosystème urbain et impact sur la santé des enfants de moins de 5 ans. Rapport première année de recherche. Laboratoire Environnement et Science de l Eau (ENSP). Juillet pages. 10. LESEAU Gestion de l Eau et Protection de la Ressource (GEPRE)" Rapport de recherche conduit par le Laboratoire Environnement et Sciences de l Eau sous la Coordination Emile Tanawa. Document disponible à l ENSP de Yaoundé et sur Internet sur le site , 183 pages. 11. Morel à l Huissier. A. (1990) Economie de la distribution d eau aux populations urbaines à faibles revenus dans les pays en développement. Thèse de doctorat en Sciences et techniques de l Environnement, Ecole Nationale des Ponts et Chaussées, SOGREAH I. (1993) Etudes du plan directeur d assainissement de la ville de Yaoundé. Schéma directeur. Mémoire. 56 pages + annexes. 13. Tanawa Emile, Ngnikam Emmanuel, Djeuda Tchapnga Henri Bosko, Tchoungang Charles (2001) : Assainissement des eaux pluviales dans un quartier moyennant une démarche participative : le cas du quartier de Melen IV à Yaoundé au Cameroun. NOVATECH'2001, Lyon, Volume 1, Session S2.2; pages

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