6 ème partie. Le couplage des évènements
|
|
- Thérèse Perrot
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 6 ème partie. Le couplage des évènements La phylogénie montre que toutes les espèces proviennent d une espèce préexistante. L ancienne espèce peut être éliminée par une de ses espèces descendantes mieux adaptée aux nouvelles conditions du milieu. Ces disparitions sont la conséquence de l évolution. Mais de plus, à certaines époques, des lignées appartenant à des phylomes différents (comprenant des formes aquatiques et terrestres, microscopiques et géantes) s éteignent en un temps relativement bref. Ces périodes d extinctions massives s appellent des crises biologiques. Objectif : - Comment reconnaître les périodes de crises qui ont jalonné l histoire de la Terre? - Quelles sont les causes et les conséquences de ces crises? I. Les modifications biologiques et géologiques à la limite Crétacé paléocène. (crétacé tertiaire ou KT) ; -65 Ma 1) en milieu continental. a. Modifications lithologiques et géochimiques. La limite KT est caractérisée par l intercalation d une couche d argile étonnamment riche en iridium (Ir). b. modifications paléontologiques. A la limite KT, on observe un développement des sphaignes et des fougères, végétaux pionniers qui colonisent des sols nus. On observe également une chute de la quantité des gymnospermes (arbres) et une disparition des angiospermes à la limite KT. Au Paléocène, on retrouve ces 2 types de végétaux en abondance. A la crise KT, il y a disparition des forêts, puis le sol à nu est reconquit par les végétaux pionniers qui permettent avec un temps de retard le développement des arbres et plantes à fleurs. Un évènement a momentanément modifié la composition floristique (associations végétales) de l Amérique du nord mais l évolution des végétaux semble peu modifiée par la crise KT (ils n ont pas totalement disparu). On observe à la limite KT la disparition sélective des vertébrés : - disparition progressive et définitive des dinosaures vers 65 Ma. - réduction de la diversité des mammifères marsupiaux et multituberculés. En revanche, les mammifères placentaires semblent peu affectés par la crise (de même que les amphibiens). Chaussard Caroline
2 Au Paléocène, on observe une diversification explosive des mammifères placentaires, des oiseaux. On peut penser qu ayant résisté à la crise KT, ils ont profité des niches écologiques abandonnées par les dinosaures. 2) en milieu marin. a. Modifications lithologiques et géochimiques. La limite KT est caractérisée par une couche d argile qui interrompt la sédimentation marine carbonatée. Cet argile est anormalement riche en iridium. b. Modifications géologiques. A la fin du Crétacé, les sédiments marins présentent des foraminifères que l on appelle globotruncanas (plancton marin). Au début du Paléocène, les sédiments marins ne contiennent plus de globotruncanas mais un autre foraminifère, les globigérines. Actuellement, les foraminifères sont des protozoaires microscopiques qui secrètent une coquille calcaire dans laquelle ils sont enfermés et protégés. Ce sont des êtres planctoniques du milieu pélagique (milieu marin). On en déduit que vers 65 Ma, les globotruncanas sont remplacés par des globigérines. La disparition des globotruncanas aurait appauvri les sédiments en carbonate de calcium (absence de la coquille calcaire). En milieu benthique disparaît un mollusque céphalopode, l ammonite. A la fin du Crétacé disparaissent les dinosaures marins. Au Paléocène, on ne retrouve plus les dinosaures, mais les mammifères marins apparaissent peu après la disparition des mosasaures. Vers 65 Ma, on constate l extinction massive et rapide d espèces des milieux continentaux et marins. Ces changements paléontologiques ont une dimension mondiale. Cela permet d éliminer l hypothèse d un changement localisé de milieu. Il s agit d une crise biologique. Certains groupes survivent à cette crise. Ils se diversifient rapidement et occupent toutes les niches écologiques libres. Cet évènement important a été choisi pour limiter l ère secondaire de l ère tertiaire. Cette limite temporelle présente un marqueur planétaire, la couche d argile riche en iridium. II. La recherche des causes géologiques à la crise biologique du KT. 1) Hypothèse : impact d un astéroïde. a. 1 ère preuve : une couche d argile riche en iridium. L iridium est rare dans les roches terrestres et abondant dans certaines météorites et dans les couches argileuses qui retombent après un impact avec un météorite. b. 2 ème preuve : des minéraux inhabituels. Au moment de l impact, les températures et les pressions extrêmes fracturent les cristaux de quartz (minéraux choqués), font fondrent la roche et projettent des gouttelettes de roches fondue dans l atmosphère. Elles refroidissent rapidement et il se forme des microsphérules. On trouve dans les zones d impact météoritiques des cristaux de magnétite nickélifère. Chaussard Caroline
3 c. 3 ème preuve : les cratères d impact. Dans la presqu île du Yucatan (à Chicxulub), on a retrouvé une structure identifiable par les anomalies magnétiques engendrées par des roches de densités différentes. Cette structure se trouve sous plus de 1000 m de sédiments. Elle a la forme d un cratère d impact de 180 Km de diamètre. Elle date de 65 Ma. Les carottes de sédiments contiennent des microsphérules, des minéraux choqués (quartz), du bois pétrifié, etc. Elle est la preuve d une collision entre un astéroïde de 10 Km de diamètre et la Terre il y a 65 Ma. d. 4 ème preuve : la disposition de certaines couches sédimentaires du Yucatan datées de - 65 Ma. La disposition des couches sédimentaires du Yucatan datées de -65 Ma prouve l existence d un gigantesque tsunami. 2) 2 ème hypothèse : un volcanisme intense. Le plateau basaltique du Deccan est constitué de très nombreux empilements de basaltes datés de -65 Ma. L éruption à l origine de ce plateau aurait duré ans. Une telle éruption projette dans l atmosphère de grandes quantités d iridium, accompagnées d un rejet de CO 2 et de SO 2. 3) Scénario possible de la crise biologique du Crétacé. Le volcanisme du Deccan (en Inde) est déjà actif depuis près d un million d années et rejette dans l atmosphère du CO 2 et jusque dans la stratosphère des poussières de cendres enrichies en Iridium. A - 65 Ma, la collision entre l astéroïde et la Terre déclenche : - une énorme explosion de quelques heures qui provoque la fusion et le mélange des roches sédimentaires et de la croûte continentale sous-jacente (d où la présence de microsphérules à la limite KT). Le choc sur la plate-forme carbonatée libère instantanément des quantités énormes de CO 2 et de vapeur d eau. Dans les régions actuelles du Mexique et des USA, la chaleur de l air générée par l impact carbonise les arbres et tous les animaux qui ne sont pas à l abri dans des terriers profonds (d où la concentration très supérieure à la normale de suie et de cendres à la limite KT). - Des tremblements de terre. Ils provoquent des glissements de terrains dans les hauts fonds du golfe du Mexique qui déclenchent des raz-de-marée pendant quelques semaines (d où les dispositions particulières des sédiments dans le Yucatan). L Amérique du Nord est stérilisée par cet impact, mais les autres continents échappent aux effets directs de la collision. Il faut alors évoquer les effets indirects de cet impact : - les éjectas les plus fins, riches en iridium et microsphérules, vont jusque dans la stratosphère. Leur quantité énorme recouvre toute la Terre d un linceul de poussières qui est un barrage infranchissable pour la lumière solaire. - L obscurité est totale pendant plusieurs mois. La Terre se refroidit. - La photosynthèse ralentit et provoque l effondrement de la chaîne alimentaire sur les continents et dans les mers. - La vapeur d eau se condense, des pluies lavent les poussières (d où la couche d argile riche en iridium à la limite KT) mais restent très acides. Chaussard Caroline
4 - Cette eau de pluie se retrouve dans les mers. L acidité de l eau de mer a pu dissoudre les coquilles des Ammonites et des Foraminifères (d où l arrêt de la sédimentation carbonatée et la présence d une couche d argile caractéristique de la limite KT). - La combustion des forêts appauvrit l atmosphère en O 2, ce qui accélère la disparition des grands êtres vivants. - Lorsque les poussières sont en grande partie déposées sur la Terre, la lumière revient. - Mais l énorme quantité de CO 2 contenue dans l atmosphère déclenche un effet de serre. La chaleur devient étouffante. Des milliers d années doivent s écouler avant que le niveau de CO 2 redevienne normal. Un monde d abord obscur et glacé, puis un monde en proie à une chaleur mortelle, empoisonné par l acide et la suie, appauvri en O2, explique la disparition des dinosaures, des ammonites, des globotruncanas, etc, il y 65 Ma. Cet exemple démontre que des évènements géologiques comme le volcanisme, un impact météoritique, etc, influencent l évolution des êtres vivants : - sur les continents, les dinosaures présents pendant 150 Ma avaient un mode de vie très spécialisé. L évolution ne les avait pas dotés d une capacité de résistance aux cataclysmes climatiques causés par les évènements géologiques de la fin du Crétacé. Personne ne sait pourquoi les mammifères ont survécu. Mais la disparition des dinosaures qui a libéré des niches écologiques a permit aux mammifères d évoluer très rapidement et de dominer le milieu continental à partir du Tertiaire. - Dans les mers, la baisse de température provoque une crise du plancton dont les ammonites sont dépendantes. Cela leur a donné le coup de grâce. Si on regarde l évolution de la lignée des ammonites, on a l impression de tourner en rond : les 1 ères ammonites ont des coquilles droites aux cloisons simples, puis elles se diversifient en s enroulant avec des tours de plus en plus jointifs et des sutures de plus en plus complexes, puis on retourne à des formes primitives. Les extinctions jouent un rôle important en supprimant au fur et à mesure les obstacles placés devant le devenir de certains groupes. Les foraminifères qui passent l épreuve KT sont les globigérines qui habitent aujourd hui dans les mers froides. L origine de la crise biologique du KT pourrait être la conjonction de 2 phénomènes géologiques. Le 1 er est lié à la dynamique de la planète et correspond à la mise en place des trapps du Deccan, et le 2 ème est associé à la chute d un astéroïde qui a formé le cratère de Chixulub au Yucatan. Chaussard Caroline
5 1/dinosaures/page_extinc_dino.htm III. Les crises biologiques de l histoire de la Terre. 1) Les 5 crises majeures. Epoque Ma Ordovicien Ma Dévonien Ma Permien Ma Trias - 65 Ma Crétacé Extinctions 22% des invertébrés marins. Trilobites, Graptolites 21% des invertébrés marins 90% des espèces qui disparaissent (crinoïdes) 20% des animaux disparaissent 50% des animaux marins et continentaux disparaissent Vestiges d évènements biologiques? Cratère de Siljan en Suède (52 Km ø) Volcanisme : trapps de Sibérie et de Chine Trapps de l atlantique nord, cratères de météorites de Manicouagan Trapps du Deccan, cratère de Chixulub Evènements géologiques Glaciation Glaciation Volcanisme + glaciation Volcanisme, impact, glaciation, régression marine Volcanisme, impact, refroidissement, régression marine A l échelle des temps géologiques, des modifications brutales et globales liées à des évènements planétaires affectent le monde vivant : ce sont des crises. Elles alternent avec de longues périodes de «stabilité», tout de même relative. Durant les 500 derniers millions d années, on constate des coïncidences entre les dates d extinction et des phénomènes géologiques internes (volcanisme) ou extra-terrestres (chutes d astéroïdes). Cela permet de formuler des hypothèses qui ne sont démontrées que pour la crise KT. 2) Crises biologiques et évolution des êtres vivants. Après chaque crise, pendant laquelle un certain nombre de familles disparaissent, une faune et une flore nouvelles se font jour et assurent une étape originale de l évolution biologique. Des lignées restées discrètes jusque là en raison d une concurrence, s épanouissent et se répandent dans les niches écologiques libérées par les familles disparues. Chaussard Caroline
6 Les crises jouent un rôle fondamental dans la biodiversité. Les extinctions jouent un rôle important en supprimant au fur et à mesure les obstacles placés devant le devenir d un groupe (ex : ammonites). Changements géologiques et modifications de la biosphère sont interdépendants. Chaussard Caroline
7 IV. L influence de l Homme sur l évolution. Tchernobyl : cette catastrophe a provoqué une augmentation du nombre de mutations chez les êtres vivants en Ukraine. Les modifications de l occupation des sols sont à l origine d inondations, ce qui a entraîné une disparition des espèces vivant sur les lieux (modifications environnementales). Les émissions de CO 2 par l activité humaine augmentent l effet de serre, provoquant une modification des climats. Les rejets de gaz provoquent des trous dans la couche d ozone. L activité et le développement humain engendrent des réductions des espaces naturels. Les moyens techniques actuels permettent de modifier le génome, et notre action continue à diminuer la diversité génétique (l évolution se ralentit donc). Tout cela va avoir une conséquence sur l évolution, mais cela reste imprévisible. L Homme, produit récent de l évolution biologique, a les moyens d avoir une influence sur l avenir de la planète. Chaussard Caroline
L échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailL E BILAN DES ACTIVITÉS
L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,
Plus en détailInterprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)
L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailLa gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options
La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds
Plus en détailQuestionnaire Lycée SALLE DES EAUX DU MONDE
Questionnaire Lycée Ce musée vous offre une approche de l Eau dans toute sa grandeur. A vous de faire connaissance avec cet élément naturel. 1) Origine de l eau SALLE DES EAUX DU MONDE Vous vous aiderez
Plus en détailQuel avenir pour l énergie énergie nucléaire?
Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires
Plus en détailProjet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H
Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailThème Le domaine continental et sa dynamique
Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détailSeconde Sciences Physiques et Chimiques Activité 1.3 1 ère Partie : L Univers Chapitre 1 Correction. Où sommes-nous?
Où sommes-nous? Savoir où nous sommes dans l Univers est une question fondamentale à laquelle les scientifiques de toutes les époques ont apporté des réponses, grâce aux moyens qui étaient les leurs. Pour
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailCORRIGES Plan de la séance
CORRIGES Plan de la séance 1. Corriges Compréhension écrite 2. Corriges Compréhension orale 3. Corriges Syntaxe 4. Corriges Vocabulaire 5. Corriges Conjugaison 6. Corriges Lecture d'élargissement 7. Corriges
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailLa fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est
Plus en détailau concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde
Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources
Plus en détailL évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se
PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale
Plus en détailPrésentation générale des principales sources d énergies fossiles.
Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailL IRSN et la surveillance de l environnement. Etat des lieux et perspectives
L IRSN et la surveillance de l environnement Etat des lieux et perspectives Didier CHAMPION et Jean-Marc PERES Journées SFRP Paris 23-24 septembre 2009 Objectifs de la surveillance de l environnement 2
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailUNE REFLEXION PREALBLE
UNE REFLEXION PREALBLE NOUS N AVONS JAMAIS ETE AUSSI RICHES IL N Y A JAMAIS EU AUTANT DE PAUVRES QUI GERE LA REPARTITION? 1 ÉNERGIE ET TRANSITION Comprendre la situation est facile Ce qu il faut faire
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailLa vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août
La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détail1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE 2. DESCRIPTION DE LA MASSE D'EAU SOUTERRAINE CARACTERISTIQUES INTRINSEQUES
1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE Codes entités aquifères Code entité V1 Code entité V2 concernées (V1) ou (V2) ou secteurs hydro à croiser : 532a 532b Type de masse d'eau souterraine : Imperméable
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailLes principaux thèmes liés à cette cause sont :
S engager pour l environnement Les hommes sont dépendants de leur environnement : c est leur lieu de vie. C est pourquoi lutter contre la pollution et le gaspillage est important. La défense de l environnement,
Plus en détailRessources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech
Ressources minérales et Hydrocarbures Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Colloque IMT «Ressources naturelles & Environnement», 5 et 6 novembre 2014 Les minéraux d intérêt économique Minéraux
Plus en détailOffice bavarois de l environnement
Bayerisches Landesamt für Umwelt Office bavarois de l environnement À propos de nous L Office bavarois de l environnement (Bayerische Landesamt für Umwelt, LfU) est l administration spécialisée centrale
Plus en détailOù sont les Hommes sur la Terre
Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailMINISTERE DE L INDUSTRIE ET DES MINES ACTIONS EN MILIEU DE TRAVAIL DES STRUCUTURES DE CONTROLES
MINISTERE DE L INDUSTRIE ET DES MINES ACTIONS EN MILIEU DE TRAVAIL DES STRUCUTURES DE CONTROLES I- INTRODUCTION I-1 CADRE JURIDIQUE, RATTACHEMENT HIERARCHIQUE ET ORGANISATION I-2 ATTRIBUTIONS I-3 MISSIONS
Plus en détailVégétaux Exemples d individus
Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»
Plus en détailDesclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques. Catherine Jeandel Des clés pour comprendre l océan :
Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques 1 Un cycle de la matière qui conditionne la chimie des océans et le climat La Terre, notre planète bleue (Figure 1), est constituée
Plus en détailPEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?
PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.
Plus en détailPour l environnement. Strength. Performance. Passion.
Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir
Plus en détailUNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT
UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir
Plus en détailQui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires.
Qui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires. Tous les êtres vivants ont besoin d énergie pour vivre,
Plus en détail2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailRAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE
RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailMatériel de laboratoire
Matériel de laboratoire MATERIAUX UTILISE... 1 L'APPAREILLAGE DE LABORATOIRE... 1 a) Les récipients à réaction... 2 b) La verrerie Graduée... 2 MATERIEL DE FILTRATION... 6 FILTRATION SOUS VIDE AVEC UN
Plus en détailEvaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne
VITICULTURE 27 Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne Marc Chovelon Grab Mathieu Combier Chambre d Agriculture du Var Gilles Masson Centre du
Plus en détailTableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailGranulés anti-limaces : pas sans risques!
Granulés anti-limaces : pas sans risques! Conseils pratiques pour une utilisation et un stockage corrects et sans danger pour vos animaux domestiques Comment utiliser et stocker sans danger les granulés
Plus en détailDOMAİNES D USAGE DOMAINES D USAGE INDUSTRIEL
DOMAİNES D USAGE Dans le but d observer le rendement à l instant même de notre appareil magnétique à stopper la calcification, montez le, s il vous plait, sur un congélateur. Les blocs de glace obtenus
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailMASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE)
MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : STIC POUR L'ECOLOGIE
Plus en détailConséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection
Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection 9 juin 2010 / UIC Paris Présenté par E. COGEZ, IRSN Contexte
Plus en détailProjet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer
ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...
Plus en détailCompléments et commentaires liés à l outil d initiation à la biodiversité à destination du secteur privé
Compléments et commentaires liés à l outil d initiation à la biodiversité à destination du secteur privé Afin de parfaire la présentation «Initiation à la biodiversité à destination du secteur privé»,
Plus en détailSéquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.
Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailARCANE DE LA MONTAGNE DOMAINE DE SAINT SER. Exposition du 26 mai au 31 décembre 2013. Horaires : tous les jours 10h00 à 18h00
ARCANE DE LA MONTAGNE Yuhsin U CHANG Exposition du 26 mai au 31 décembre 2013 DOMAINE DE SAINT SER Horaires : tous les jours 10h00 à 18h00 Coordonnées : Tél : 04 42 66 30 81 Route Cézanne - D17 13114 PUYLOUBIER
Plus en détailPourquoi étudier l aérosol atmosphérique?
Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement
Plus en détailQuelques éléments de bibliographie :
Quelques éléments de bibliographie : La plupart des données et schémas sont issus des travaux de recherche du Laboratoire d Ecologie du Sol et de Biologie des Populations, Université de Rennes 1 (Cluzeau
Plus en détailQ U E S T I O N S. 2/ Le soleil nous procure (plusieurs réponses correctes) De la lumière De l énergie Du feu De la chaleur De la pluie
1 Q U E S T I O N S 1/ Le soleil est : Une étoile Une planète 2/ Le soleil nous procure (plusieurs réponses correctes) De la lumière De l énergie Du feu De la chaleur De la pluie 3/ Le soleil tourne-t-il
Plus en détailImpacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie?
Impacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie? 8 juin 2010 Journée InTech (INRIA) Françoise Berthoud Francoise.Berthoud@grenoble.cnrs.fr Groupe
Plus en détailGéothermie et stockage: quo vadis? Pascal Vinard
Géothermie et stockage: quo vadis? Pascal Vinard Contenu 1. Définitions et leur évolution 2. Cadre énergétique global, européen et Suisse 3. Evolution du marché des PAC géothermiques et projets de stockage
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailLE POINT DE VUE DE FNE
LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailEnquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques
Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailÉVOLUTION BIOLOGIQUE ET ENVIRONNEMENT
CHAPITRE 7 ÉVOLUTION BIOLOGIQUE ET ENVIRONNEMENT Ce chapitre, dernier de la partie «Évolution», a pour objectif de donner aux élèves les informations scientifiques pour établir l existence d interdépendances
Plus en détailLa production énergétique à partir de la biomasse forestière : le devenir des nutriments et du carbone
La production énergétique à partir de la biomasse forestière : le devenir des nutriments et du carbone Jessica François, Mathieu Fortin et Anthony Dufour Journées CAQI les 8 et 9 avril 2014, Gembloux,
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailCapture et stockage du CO2 (CCS)
European Technology Platform for Zero Emission Fossil Fuel Power Plants (ZEP) Capture et stockage du CO2 (CCS) Une solution majeure pour combattre le changement climatique 50% de réduction des émissions
Plus en détailLES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships.
les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship, où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailEau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE
FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER
Plus en détailVANNES, VIS SANS FIN, POMPES D ASSÈCHEMENT DES MARAIS
La Directive Cadre sur l Eau (DCE, n 2000/60/CE) fixe comme objectif pour 2015 l atteinte du bon état ou du bon potentiel écologique des eaux de surface. Ces états écologiques sont appréciés par la qualité
Plus en détailScience et technologie : Le truc de Newton
Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailProduction électrique : la place de l énergie éolienne
Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique
Plus en détail16- Grand lac Shaw Portrait 2006
Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude
Plus en détailLa goutte la maladie des rois
La goutte la maladie des rois Tous droits protégés Pharmanetis Sàrl Tout savoir sur la goutte Comment bien gérer sa maladie? Par Van Nguyen et Xavier Gruffat (pharmaciens) Photo: Matthew Cole - Fotolia.com
Plus en détailPrincipe et fonctionnement des bombes atomiques
Principe et fonctionnement des bombes atomiques Ouvrage collectif Aurélien Croc Fabien Salicis Loïc Bleibel http ://www.groupe-apc.fr.fm/sciences/bombe_atomique/ Avril 2001 Table des matières Introduction
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailVOITURE A REACTION. Kart à réaction réalisé par un bricoleur «fou» (Bruce Simpson)
VOITURE A REACTION Kart à réaction réalisé par un bricoleur «fou» (Bruce Simpson) 1 Introduction BUT DE L ACTIVITE Fabriquer une voiture à réaction originale et sans danger Jouer avec et essayer plein
Plus en détailOptimisation des performances de refroidissement d un rack à l aide de panneaux-caches
Optimisation des performances de refroidissement d un rack à l aide de panneaux-caches Par Neil Rasmussen Livre blanc n 44 Révision n 1 Résumé de l étude L espace vertical inutilisé dans les racks à cadre
Plus en détailChapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux
Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Comment font les végétaux pour s installer dans un nouveau milieu alors qu ils ne peuvent pas se déplacer? I/ L installation des végétaux dans un nouveau milieu
Plus en détailBacs de lavage et équipements de buanderie
Fonctionnels et robustes dans toutes les situations Bacs de lavage et équipements de buanderie Bacs de lavage 2 3 Fonctionnels, robustes et extensibles Vous cherchez des équipements appropriés pour votre
Plus en détailL ÉLECTRICITÉ, C EST QUOI?
L ÉLECTRICITÉ, C EST QUOI? L'électricité est le moyen de transport de l'énergie! L électricité, comme l énergie, est présente dans la nature mais on ne la voit pas. Sauf quand il y a un orage! L électricité
Plus en détailL ÉLECTRICITÉ C EST QUOI?
L ÉLECTRICITÉ C EST QUOI? L électricité est le moyen de transport de l énergie! L électricité, comme l énergie, est présente dans la nature mais on ne la voit pas. Sauf quand il y a un orage! L électricité
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailOléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière
L'impact des biocarburants sur l'effet de serre Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière Auteur(s) : Etienne POITRAT, ADEME (Agence de l'environnement
Plus en détailAvis bureau Création d une zone commerciale Sainte Anne sur Brivet
Déplacement et agrandissement de la zone commerciale de Pont Château. 30ha Le projet et le SAGE Qualité des milieux Article 1 protection des zones humides Article 2 niveau de compensation Article 5 création
Plus en détailQue sont les sources d énergie renouvelable?
Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables
Plus en détailLa valeur, la vulnérabilité, la menace et le besoin de protection des grottes suisses (Géotopes spéléologiques)
SOCIETE SUISSE DE SPELEOLOGIE SCHWEIZERISCHE GESELLSCHAFT FÜR HÖHLENFORSCHUNG SOCITETA SVIZZERA DI SPELEOLOGIA KOMMISSION FÜR DOKUMENTATION COMMISSION DE DOCUMENTATION Concept pour l évaluation de La valeur,
Plus en détail