Domaines prioritaires et critères d évaluation des projets actuels du PIDC
|
|
- Salomé Marceau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CI-16/BUR.60/6 20 janvier 2016 Point de l ordre du jour soumis à l examen Domaines prioritaires et critères d évaluation des projets actuels du PIDC NOTE D INFORMATION RÉSUMÉ Le présent document fait le point des priorités et des critères d évaluation des projets actuels du PIDC. Domaines prioritaires et critères d évaluation des projets du PIDC 1. Généralités 2. Description 3. Discussion 4. Conclusion 1. GÉNÉRALITÉS Les priorités et les critères d évaluation des projets du PIDC ont été révisés et approuvés par son Conseil et son Bureau au fil des ans, compte tenu des atouts uniques du programme et du rôle de l UNESCO dans le développement des médias d une part, et des dynamiques de la société contemporaine d autre part. Les priorités et les critères du programme sont communiqués pour information aux soumissionnaires avant l exercice de formulation des propositions et appliqués par le Secrétariat dans les bureaux hors Siège et au Siège pendant le cycle de soumission des projets. Enfin, les priorités et les critères sont utilisés comme références par les membres du Bureau lors du processus d approbation finale.
2 CI-16/BUR.60/6 page 2 À sa 59 e réunion, le Bureau du PIDC a décidé : 2. DESCRIPTION (i) (ii) (iii) (iv) (v) (vi) d ajouter une nouvelle priorité libellée comme suit : «promouvoir les projets ayant pour objet la sécurité des journalistes ou une réforme de la législation favorisant l indépendance des médias, menés par des médias ou des institutions médiatiques indépendants, qui visent aussi à s assurer de la participation et de l engagement actifs de l État dans la réalisation de leurs objectifs» ; d abandonner la priorité «Innovation en vue de la convergence et de l intégration des médias d information traditionnels et des nouvelles formes de communication», tout en encourageant de manière générale les approches innovantes dans le cadre des projets ; d établir une distinction entre les petits projets (d un montant maximal fixé en principe à dollars des États-Unis) et les projets de plus grande envergure (d un montant maximal fixé en principe à dollars des États-Unis) ; d encourager les propositions de projets ayant des résonances aux niveaux mondial, régional et local et faisant intervenir plusieurs acteurs, y compris des organismes publics, tout en préservant l indépendance du secteur des médias ; d encourager la soumission de projets qui appliquent les indicateurs de développement des médias (IDM), les indicateurs d égalité des genres dans les médias ou les indicateurs de sécurité des journalistes ; d encourager les projets dans le domaine des initiatives spéciales pour l excellence dans l enseignement du journalisme et du développement des médias axé sur le savoir ; (vii) d informer le personnel hors Siège de l UNESCO de ces modifications dans les priorités et des nouveaux éléments pris en considération lors de l évaluation des projets. D autre part, le Bureau a souhaité préciser ses positions sur des aspects spécifiques de la sécurité et a donné la priorité aux projets dans ce domaine qui visaient à : approfondir les connaissances par l application des indicateurs du PIDC relatifs à la sécurité des journalistes ; combattre les propos haineux dans les médias et les médias sociaux ; encourager la pratique du journalisme sensible aux conflits, y compris dans les écoles de journalisme ; promouvoir le dialogue interculturel et interconfessionnel entre les journalistes. Outre ces priorités, les membres du Bureau ont été invités à prendre en considération les aspects suivants : la nécessité de répartir les fonds disponibles aussi largement que possible (sans affaiblissement de l impact), ce qui signifie un projet au maximum recommandé par pays (à quelques exceptions près, tels que les projets émanant des PMA) et par organisation ;
3 CI-16/BUR.60/6 page 3 l importance des projets relatifs à la sécurité des journalistes, en raison de la synergie de ce domaine d intervention avec le Plan d'action des Nations Unies sur la sécurité des journalistes et la question de l'impunité, coordonné par l UNESCO ; le fait que le soumissionnaire soit un partenaire confirmé et sérieux du PIDC constitue un élément positif ; à quelques exceptions près, le fait qu un pourcentage élevé des coûts serve à payer les voyages en avion et indemnités journalières des consultants et participants, en particulier dans des projets soumis par des organisations médiatiques régionales, est un élément négatif. De même, les projets qui consistent uniquement en une liste de matériel à acheter, sans volet de formation correspondant, sont rejetés. Autres éléments ayant accru dans le passé les chances d un projet d être sélectionné : le projet correspond aux résultats escomptés et indicateurs de référence de l UNESCO ; le projet est susceptible de générer des enseignements ou des résultats sur le plan de l apprentissage de portée plus générale (pris en compte dans la conception de la proposition), y compris des recherches stratégiques aptes à contribuer à l acquisition et à la diffusion de connaissances touchant le développement des médias, comme les Indicateurs de développement des médias (ou l un de leurs aspects pertinents), les Indicateurs d'égalité des genres dans les médias (GSIM) ou les Indicateurs de sécurité des journalistes ; le projet a un impact potentiel au niveau national ou régional ; les efforts endogènes de développement des médias, c est-à-dire les projets d organisations médiatiques locales plutôt que basées hors du pays (sauf dans le cas de projets régionaux, où préférence est donnée aux organisations situées dans la région). En revanche, le PIDC ne soutient pas en principe : les projets où l attention à l égalité des genres en ce qui concerne les bénéficiaires n est pas démontrée (pour lesquels, par exemple, il n est donné aucune ventilation par genre du groupe cible) ; les projets dans lesquels l indépendance éditoriale des propriétaires ou des responsables n est pas établie ; les projets dont le soumissionnaire pourrait retirer d une aide quelconque un avantage indu sur d autres organisations médiatiques locales concurrentes ; les projets portant sur la création de sites Web, de sites de téléchargement en streaming de fichiers audio, de blogs, d archives audio-visuelles, etc. proposant des contenus produits isolément (à moins qu ils ne s intègrent dans des structures de médias électroniques ou de presse écrite déjà existantes et qu ils aient pour objectif l extension de ces services) ; les projets prévoyant des séminaires organisés isolément, à moins qu ils ne constituent un élément essentiel à l établissement de réseaux viables d entreprises de presse ou de professionnels des médias ; les productions audiovisuelles (programme de télévision ou film) ou les campagnes de communication spécifiques. Ne sont pas soutenues non plus les maisons de production indépendantes ne faisant pas partie d organisations médiatiques déjà existantes. Le PIDC ne considère pas comme prioritaires les aides financières à la production de programmes spécifiques, auxquels d autres organismes des Nations Unies spécialisés dans des
4 CI-16/BUR.60/6 page 4 domaines comme le VIH/SIDA, l agriculture, la santé, etc. peuvent fournir les fonds nécessaires ; toutefois, le PIDC apporte son assistance aux projets de formation destinés à des journalistes souhaitant acquérir une compétence particulière dans des domaines comme le journalisme scientifique, la gestion des médias, la couverture du changement climatique, etc., ces projets étant considérés comme contribuant à la formation des professionnels des médias ; les conférences, à moins qu elles ne constituent clairement un élément programmatique d une initiative en cours de plus large portée ; les propositions visant à couvrir les coûts de fonctionnement et de maintenance d une organisation ; le financement des coûts de création d une ONG s occupant des médias. Pour pouvoir bénéficier d un soutien du PIDC, les propositions de projet doivent être soumises par un organisme appartenant à certaines catégories : Les projets ne sont pris en considération que s ils sont soumis par une organisation médiatique indépendante sur le plan éditorial, une association de professionnels des médias, ou une institution offrant régulièrement des services de développement des médias. Dans le cas de projets de formation, ceux-ci doivent être menés dans des organisations/institutions proposant régulièrement et systématiquement des cours types aux journalistes en activité et aux futurs journalistes. Pour ce qui concerne les médias communautaires, les organisations et les ONG qui travaillent dans ce secteur, comme les stations de radio communautaires, peuvent soumettre des projets. La participation et la collaboration de la communauté doivent être assurées dès la conception du projet. Le PIDC n'apportera aucune assistance qui procurerait au soumissionnaire un avantage indu sur d'autres organisations médiatiques locales concurrentes. Les particuliers ne sont pas habilités à présenter des projets. Tous les organismes soumissionnaires doivent jouir d une réputation de fiabilité reconnue au sein de la profession et, de préférence, entretenir des relations de travail avec les bureaux de l UNESCO. Toutes les ONG dont les activités se situent dans le domaine des médias mais qui n ont jamais reçu d assistance du PIDC sont priées de remplir le formulaire «UNESCO NGO Assessment Form» qui peut être obtenu auprès du bureau hors Siège de l UNESCO. D une manière générale, le PIDC n encourage pas les ONG qui opèrent hors du domaine des médias à présenter des projets de formation de journalistes constituant une activité ponctuelle. Pour qu une ONG puisse prétendre à une assistance du PIDC, il doit être prouvé qu elle est apte à organiser une formation efficace et de haute qualité avec la participation de journalistes en activité issus d organisations médiatiques opérationnelles. Des exceptions sont toutefois possibles en faveur des ONG œuvrant dans le domaine des droits humains et de la démocratie et demandant une assistance pour faciliter le dialogue entre médias, société civile, élus et fonctionnaires gouvernementaux, pour autant que le projet soumis puisse être considéré comme conforme aux priorités du PIDC et que la participation du secteur des médias soit assurée. Le responsable hors Siège du programme vérifiera alors les antécédents de l ONG concernée. Dans tous les cas, il est nécessaire d évaluer la contribution de l organisation bénéficiaire pour apprécier la crédibilité de l engagement du soumissionnaire. Les apports de l organisme bénéficiaire doivent couvrir l ensemble des frais généraux, les salaires des personnels, la coordination du projet
5 CI-16/BUR.60/6 page 5 et les coûts de transaction. En résumé, les soumissionnaires ne doivent pas chercher à couvrir leurs dépenses de fonctionnement courantes. Chaque fois qu un soumissionnaire demande au PIDC de prendre en charge les frais généraux, l aptitude de l organisme à mettre en œuvre le projet est mise en question. 3. DISCUSSION Le Bureau souhaitera peut-être actualiser ses priorités et ses critères d évaluation des projets lorsqu il examinera les nouvelles propositions de projet soumises à son approbation pour Ces priorités et critères ont été utilisés par les bureaux hors Siège de l UNESCO et le Secrétariat du PIDC pour préparer la sélection actuelle de projets à examiner. En outre, ils ont été mis à la disposition des membres du Bureau pendant le processus d examen en ligne des projets. 4. CONCLUSION Le Bureau souhaitera peut-être actualiser ses priorités et ses critères d évaluation des projets lorsqu il examinera les nouveaux projets soumis à son approbation en 2016.
ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE
Distribution limitée IFAP-2008/COUNCIL.V/3 4 février 2008 Original anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Conseil intergouvernemental du Programme Information
Plus en détailDEVENIR UNE ONG PARTENAIRE OFFICIEL DE L UNESCO
DEVENIR UNE ONG PARTENAIRE OFFICIEL DE L UNESCO L'UNESCO s'appuie sur un éventail aussi large que diversifié de relations de collaboration et de partenariats dans toutes les régions du monde pour s acquitter
Plus en détailDECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO
DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE
Plus en détailCommission Communication et information. 37 e session de la Conférence générale OUVERTURE. Jānis Kārkliņš, ADG/CI
Commission Communication et information 37 e session de la Conférence générale OUVERTURE Jānis Kārkliņš, ADG/CI CI en bref LIBERTÉ D EXPRESSION ET DÉVELOPPEMENT DES MÉDIAS (FEM) DIVISION DES SOCIÉTÉS DU
Plus en détailCOMU 2252 - Séminaire de relations publiques et de communication d entreprise
Département de communication COMU 2252 - Séminaire de relations publiques et de communication d entreprise Proposition d action de communication Garcia Hernandez Alberto Keen Juliette Moerman Aurore Motin
Plus en détailExpert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailLettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017
UNION INTERPARLEMENTAIRE INTER-PARLIAMENTARY UNION 5, CHEMIN DU POMMIER CASE POSTALE 330 1218 LE GRAND-SACONNEX / GENÈVE (SUISSE) Lettre de mission Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours
Plus en détailOctobre 2013. Food and. Agricultura. Organization of the United Nations. Cent cinquante et unième session. Rome, 11-15 novembre 2013
Octobre 2013 Food and Agriculture Organization of the United Nations Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture Продовольственная и cельскохозяйственная организация Объединенных
Plus en détailPROGRAMMES DE BOURSES ET DE FORMATION DU HCDH
II. PROGRAMMES DE BOURSES ET DE FORMATION DU HCDH II Les programmes de bourses et de formation examinés dans le présent chapitre ont été instaurés par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits
Plus en détailSe former à l IIPE en planification & gestion de l éducation
Institut international de planification de l éducation (IIPE) Un centre d excellence international en planification de l éducation Se former à l IIPE en planification & gestion de l éducation Votre formation
Plus en détailCommission CI. Session d ouverture. Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI
35 ème session de la Conférence Générale Commission CI Session d ouverture Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI Mesdames, Messieurs, Buenas tardes, Bonjour, Good afternoon, Здравствуйте
Plus en détailConseil économique et social
Nations Unies Conseil économique et social ECE/CECI/CONF.10/1 Distr. générale 23 novembre 2010 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Comité de la coopération et de l intégration
Plus en détailLe monitoring des médias
Rapport Général de l Instance Nationale pour la Réforme de l Information & de la Communication 2012 Chapitre 10 Le monitoring des médias 221 Rapport Général de l Instance Nationale pour la Réforme de l
Plus en détailLA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE ET LES FESTIVALS D ARTS
DOSSIER D INFORMATION N 4 LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE ET LES FESTIVALS D ARTS INTRODUCTION Les festivals d arts visent à célébrer la richesse et la diversité des cultures dans le monde en réunissant des
Plus en détailConseil économique et social
NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/CECI/CONF.5/1 17 mars 2009 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE COMITÉ DE LA COOPÉRATION ET DE L INTÉGRATION ÉCONOMIQUES
Plus en détailFormat de rapport pour la notation finale (REF. 4)
Processus 1 : Rassembler les parties prenantes autour d'un même espace Donner une note à chaque étape : 0 (ne s'applique pas), 1 (lancé), 2 (en cours), 3 (presque terminé), 4 (terminé) ÉTAPE 1. Choisir
Plus en détailNotice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013
Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013 Date: 15 Février 2013 Pays Intitulé de la mission : République Démocratique du Congo RDC Sélection d un consultant Chef d équipe pour l élaboration
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailOrganisation des Nations Unies pour le développement industriel
Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre
Plus en détailDIRECTIVES CONCERNANT L UTILISATION DU NOM, DE L ACRONYME, DE L EMBLEME ET DES NOMS DE DOMAINE INTERNET DE L UNESCO
DIRECTIVES CONCERNANT L UTILISATION DU NOM, DE L ACRONYME, DE L EMBLEME ET DES NOMS DE DOMAINE INTERNET DE L UNESCO À compter du 1 er novembre 2007, l utilisation du nom, de l acronyme, de l emblème et
Plus en détailF OMPI ORGANISATION MONDIALE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE GENÈVE. Dix-septième session Genève, 7 11 mai 2007
F OMPI SCT/17/5 ORIGINAL : anglais DATE : 23 mars 2007 ORGANISATION MONDIALE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE GENÈVE COMITE PERMANENT DU DROIT DES MARQUES, DES DESSINS ET MODELES INDUSTRIELS ET DES INDICATIONS
Plus en détailProgramme de bourses de recherche UNESCO/Keizo OBUCHI. OBUCHI (Programme des bourses UNESCO/Japon pour les jeunes chercheurs) dans
Annexe 1- page 1 Programme de bourses de recherche UNESCO/Keizo OBUCHI (Programme des bourses UNESCO/Japon pour les jeunes chercheurs) Cycle 2015 A. INTRODUCTION 1. L'UNESCO à conçu le Programme de bourses
Plus en détailLa promotion de la pluralité linguistique dans l usage des nouvelles technologies de l information et de la communication
Intervention de M. Khamsing Sayakone, Président de la section Lao de l APF à la 32 ème session de l APF (30juin-3 juillet 2006, Rabat, Maroc) (31 La promotion de la pluralité linguistique dans l usage
Plus en détailConcours de recrutement de professeurs de français - Genève - 2006. Note d information
OFFICE DES NATIONS UNIES A GENEVE UNITED NATIONS OFFICE AT GENEVA Concours de recrutement de professeurs de français - Genève - 2006 Note d information 1. Un concours de recrutement de professeurs de français
Plus en détailCONCOURS DE PHOTOGRAPHIE FACEBOOK. 08 sept au 14 novembre. Thème : Génération 25, les droits de l enfant
CONCOURS DE PHOTOGRAPHIE FACEBOOK 08 sept au 14 novembre Thème : Génération 25, les droits de l enfant " L humanité doit donner à l enfant ce qu elle a de meilleur" Déclaration de Genève. Contexte Tous
Plus en détailNotre approche pour les investissements en bourse
TlB Notre approche pour les investissements en bourse Introduction Ce document présente la stratégie d investissement dans les entreprises cotées en bourse adoptée par Triodos Investment Management B.V.*
Plus en détailMaster 1 Spécialité Professionnelle Image & Son. DOSSIER de CANDIDATURE 2012-2013. Etat civil
Université de Bretagne Occidentale U.F.R. Sciences & Techniques Master 1 Spécialité Professionnelle Image & Son DOSSIER de CANDIDATURE 2012-2013 Etat civil NOM : Prénom : N National d'etudiant (INE ou
Plus en détailQui gère quoi? Salles de réunion et installations de conférence Conseils pratiques Organiser
Organisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture Organiser une conférence, une réunion, une exposition ou un événement culturel à l UNESCO édition 2012 Informations pour les délégations
Plus en détail19, Rue du Lac El Biban - Lac 2-1053 Les Berges du Lac Tél.: 71 244 151 - www.haica.tn - contact@haica.tn
19, Rue du Lac El Biban - Lac 2-1053 Les Berges du Lac Tél.: 71 244 151 - www.haica.tn - contact@haica.tn La régulation de l audiovisuel La régulation de l audiovisuel a pour objectif de garantir la liberté
Plus en détailFondation Sanofi Espoir. Charte de sélection des projets
Fondation Sanofi Espoir Charte de sélection des projets Décembre 2010 1 La Charte de sélection des projets Vous êtes porteur d un projet de terrain lié à la santé, dans le domaine de la solidarité ou de
Plus en détailMaster Etudes françaises et francophones
Master Etudes françaises et francophones 1. modèle scientifique et profilage des contenus de la filière / Présentation et spécificités de la filière Les études romanes à Leipzig sont considérées comme
Plus en détailCatalogue de formation
Catalogue de formation Formations inter-entreprises et intra-entreprise 3 domaines de formation : - Prise de parole (media/en public) - Communication digitale - Relations presse Année 2012 1 Organisme
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailMesdames et Messieurs,
Discours de Irini Pari à la Rencontre internationale sur "Les Conseils économiques et sociaux, les stratégies nationales de développement, la démocratie participative et les TIC pour le développement"
Plus en détailPROGRAMMATION DES COURS DU SECOND SEMESTRE 2015
PROGRAMMATION DES COURS DU SECOND SEMESTRE DATE du 30 mars au 02 avril Samedi 04 avril avril avril avril avril avril avril avril avril CIBLE ENSEIGNEMENT tous Suivi évaluation De AMPHI 7 Master II gestion
Plus en détailSous réserve de validation par les instances de l Université. Information, Communication, Culture Euromédias
Sous réserve de validation par les instances de l Université Niveau : MASTER 2 Domaine : Mention : Spécialité : ARTS, LETTRES, LANGUES Information, Communication, Culture Euromédias M2 120 ES Formation
Plus en détailBURKINA FASO ---------- Unité Progrès Justice MAIRIE ------------ SECRETARIAT GENERAL ------------- DIRECTION DE L ADMINISTRATION GENERALE
COMMUNE DE BOBO-DIOULASSO BURKINA FASO ---------- Unité Progrès Justice MAIRIE ------------ SECRETARIAT GENERAL ------------- DIRECTION DE L ADMINISTRATION GENERALE PROJET D ARRETE N 2014 /CB/M/SG PORTANT
Plus en détailSOMMAIRE I. CONTEXTE ET JUSTIFICATION... 3 II. OBJET... 3 III. RESULTATS ATTENDUS... 4 IV. ACTIVITES A REALISER... 4 V. CONDITIONS DE SERVICE...
TERMES DE REFERENCE POUR LA REALISATION DU SITE WEB DE ROCCET 1 SOMMAIRE I. CONTEXTE ET JUSTIFICATION... 3 II. OBJET... 3 III. RESULTATS ATTENDUS... 4 IV. ACTIVITES A REALISER... 4 V. CONDITIONS DE SERVICE...
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS
TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS 1. INFORMATIONS GÉNÉRALES... 1 1.1. Pays bénéficiaire... 1 1.2. Autorité contractante... 1 2. CONTEXTE...
Plus en détailPlan d action de l ISO pour les pays en développement 2011-2015
Plan d action de l ISO pour les pays en développement 2011-2015 ISO l Organisation internationale de normalisation L ISO comprend 163* membres qui sont les instituts nationaux de normalisation de pays
Plus en détailORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE COMITÉ POUR LA PROTECTION DES BIENS CULTURELS EN CAS DE CONFLIT ARMÉ
CLT-10/CONF.204/6 PARIS, le 14 septembre 2010 Original anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE COMITÉ POUR LA PROTECTION DES BIENS CULTURELS EN CAS DE CONFLIT
Plus en détailConception et réalisation d un projet de communication numérique
Master 2 Parcours de spécialisation CIM C OMMUNICATION, I NFORMATION ET ( NOUVEAUX) M EDIAS et Magistère 1 ère année Mag C2I Communication Interculturelle de l INALCO Année universitaire 2012 2013 Séminaire
Plus en détailPROTOCOLE D ACCORD. Pour la création du CODETIC
NRef RM/SF0704165 PROTOCOLE D ACCORD Pour la création du CODETIC Consortium Mondial pour le Développement Equitable des Technologies de l Information et de la Communication Entre WebForce International
Plus en détailOffice de Tourisme d Orléans
Office de Tourisme d Orléans Recommandation stratégie web Analyse 2 cibles prioritaires ont été privilégiées : développement de la fréquentation touristique des profils : - public local + public parisien
Plus en détailCulture Sector. United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization
United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization Culture Sector 10 Contrats pour la musique écrit par JEAN VINCENT en collaboration avec GERARD LOUISE Maquette et design : Christine Hengen
Plus en détailGuide pratique et juridique de l expatrié
Yannick AUBRY Guide pratique et juridique de l expatrié Quatrième édition Éditions d'organisation, 1999, 2001, 2003, 2004 ISBN : 2-7081-3157-5 III SOMMAIRE INTRODUCTION... 1 Partie 1 - LA CHECK-LIST DE
Plus en détail4 avril. Formation IDSE 2012 10 mai 2012
4 avril 203 Formation IDSE 2012 10 mai 2012 La politique de responsabilité sociétale de Vivendi, enjeux et gouvernance Pascale Thumerelle Directrice de la responsabilité sociétale d entreprise (RSE) Webinaire
Plus en détailCommission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine
Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine La politique nationale et le soutien de la Communauté internationale au développement de la Réforme du Secteur de
Plus en détailATELIER DE FORMATION: «ÉLABORATION DES DOCUMENTS DE PROJETS ET PROGRAMMES» CENTRE JEUNE AYITI 75, angle rues Faubert et Pinchinat, Pétion-Ville, Haïti
ATELIER DE FORMATION: «ÉLABORATION DES DOCUMENTS DE PROJETS ET PROGRAMMES» CENTRE JEUNE AYITI 75, angle rues Faubert et Pinchinat, Pétion-Ville, Haïti 23 &24 octobre 2003 Prepared for: USAID/Haiti Contract
Plus en détailPOLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES
POLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES Groupe Affaires corporatives et secrétariat général 19 avril 2013 TABLE DES MATIÈRES 1. CADRE GÉNÉRAL...3 1.1 Politique NOTRE RÔLE SOCIAL...3 1.2 Imputabilité...3
Plus en détailTHEME : LUTTE CONTRE LA PAUVRETE DES JEUNES.
PROJET DE COMMUNICATION DE MONSIEUR Kodjo AKUTSE DIRECTEUR EXECUTIF DE L ONG JEUNES DU MONDE VIVONS ENSEMBLE "JMVE" (TOGO) AU SOMMET MONDIAL SUR LA SOCIETE DE L INFORMATION QUI SE DEROULERA A GENEVE EN
Plus en détailConclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable
COSEIL DE L'UIO EUROPÉEE Conclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable Conseil ÉDUCATIO, JEUESSE, CULTURE ET SPORT Bruxelles, 21 mai 2014 Le Conseil
Plus en détailRÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE
, chemin de la côte Saint-Antoine Westmount, Québec, HY H7 Téléphone () 96-70 RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE À TRANSMETTRE AU PARENTS Année scolaire 0-0 Document adapté par Tammy
Plus en détailEUROPE-INTERNATIONAL. Isabelle Compagnie Chef du Service International Union des Villes et Communes de Wallonie
Les communes sur la scène européenne Après vous avoir présenté le programme citoyen "L Europe pour les citoyens" dans le Mouvement communal de mai 2007, nous vous présentons, ci-dessous, l ensemble des
Plus en détailCAHIER DES CHARGES CONCERNANT «La communication web 2013 de la Maison de l Emploi de Marseille»
CAHIER DES CHARGES CONCERNANT «La communication web 2013 de la Maison de l Emploi de Marseille» CONTEXTE ET ENJEUX Le positionnement de la Maison de l Emploi de Marseille (MDEM) repose sur les trois points
Plus en détailLes Cahiers du DESS MRH
DESS Management des Ressources Humaines http://www.dessmrh.org ➎ Les Cahiers du DESS MRH Les travailleurs handicapés dans L entreprise 6 - L accompagnement du travailleur handicapé http://www.e-rh.org
Plus en détailSondage sur la volonté d améliorer la gouvernance
Sondage sur la volonté d améliorer la gouvernance Ce Sondage sur la volonté d améliorer la gouvernance a été adapté, avec la permission de Quantum Transformation Technologies, de son Governance & Managerial
Plus en détailCommuniquez différemment
Communication Relations Presse E-Marketing Formation Communiquez différemment www.delphicominternational.com L Agence Notre vision Expertise Réactivité Delphine Sabourault Proximité Delphine Sabourault
Plus en détailTermes de Références pour le Recrutement de consultants- formateurs
Termes de Références pour le Recrutement de consultantsformateurs Projet : Soutenir la transition postcrise et l amélioration de la cohésion sociale en initiant une dynamique de réintégration socioéconomique
Plus en détailMINISTERE DE LA DEFENSE
MINISTERE DE LA DEFENSE SECRETARIAT GENERAL POUR L ADMINISTRATION DIRECTION DE LA MEMOIRE, DU PATRIMOINE ET DES ARCHIVES (DMPA) SOUS-DIRECTION DE L ACTION CULTURELLE ET EDUCATIVE DEMANDE DE SUBVENTION
Plus en détailProgramme spécial PNUD/FNUAP/OMS/Banque mondiale de recherche, de développement et de formation à la recherche en reproduction humaine (HRP)
Strategié de renforcement du potentiel de recherche dans les pays en développement via l octroi de bourses pour la formation à la recherche et pour la réintégration Bourses de Formation à la Recherche
Plus en détailRapports du Corps commun d inspection
COMITÉ DU PROGRAMME, DU BUDGET ET DE L ADMINISTRATION DU CONSEIL EXÉCUTIF Vingt et unième réunion Point 3.5 de l ordre du jour provisoire EBPBAC21/6 31 octobre 2014 Rapports du Corps commun d inspection
Plus en détailLE MÉCANISME DE DÉVELOPPEMENT PROPRE LE MDP EN AFRIQUE FINANCEMENT ET SOUTIEN
LE MÉCANISME DE DÉVELOPPEMENT PROPRE LE MDP EN AFRIQUE FINANCEMENT ET SOUTIEN INTRODUCTION Dès 2006, les parties au protocole de Kyoto ont reconnu l'importance d'une répartition équilibrée des projets
Plus en détailManuel de l utilisateur du système en ligne pour les demandes de subvention ainsi que pour les rapports sur leur utilisation
Manuel de l utilisateur du système en ligne pour les demandes de subvention ainsi que pour les rapports sur leur utilisation Fonds de contributions volontaires des Nations Unies contre les formes contemporaines
Plus en détailLE MINISTRE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE, la loi n 90-032 du 11 décembre 1990 portant Constitution de la République du Bénin ;
REPUBLIQUE DU BENIN -------o------- MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -------o------- LE MINISTRE -------o------- A R R E T E ANNEE 2013 N /MAEP/DC/SGM/DRH/DIP/SA PORTANT ATTRIBUTIONS,
Plus en détailTERMES DE REFERENCE Consolidation du programme régional Risques Naturels de la Commission de l Océan Indien (COI)
TERMES DE REFERENCE Consolidation du programme régional Risques Naturels de la Commission de l Océan Indien (COI) 1) Contexte général La phase I du projet Risques Naturels (RN-COI) a été financée par l
Plus en détailMinistère de la Culture et de la Communication
Paris, le 11 juin 2014 Secrétariat général Service de la coordination des politiques culturelles et de l innovation Département de la Recherche, de l Enseignement supérieur et de la Technologie Appel à
Plus en détailConseil d administration Genève, novembre 2002 LILS
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.285/LILS/1 285 e session Conseil d administration Genève, novembre 2002 Commission des questions juridiques et des normes internationales du travail LILS PREMIÈRE QUESTION
Plus en détailFood and Agriculture Organization of the United Nations. Cent trente-huitième session. Rome, 21-25 mars 2011
Mars 2011 联 合 国 粮 食 及 农 业 组 织 Food and Agriculture Organization of the United Nations Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture Organización de las Naciones Unidas para la Agricultura
Plus en détailConseil économique et social
Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 24 janvier 2014 Français Original: anglais ECE/CES/2014/7 Commission économique pour l Europe Conférence des statisticiens européens Soixante-deuxième
Plus en détailAVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS :
AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS : ÉLÉVATION DES PLAFONDS À PARTIR DU 1 ER JANVIER 2002
Plus en détailNOUVEAU Site internet
@ NOUVEAU Site internet www.manouvellemutuelle.fr Gratuit, Simple et Sécurisé Votre espace personnalisé pour consulter vos remboursements et gérer votre profil en un seul clic! É @ Espace Particulier Chers
Plus en détailSéminaire sur la Coopération Territoriale Européenne 2014/2020
Les opportunités 2014/2020 des programmes INTERREG pour les acteurs du Nord Pas de Calais Les 1ères rencontres de la Coopération Territoriale Européenne 2014/2020 Séminaire sur la Coopération Territoriale
Plus en détailPour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme
Pour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme Séminaire régional à l intention des parlementaires et fonctionnaires de parlements des pays
Plus en détailUNIVERSITÉ PARIS 1 PANTHÉON-SORBONNE CENTRE SAINT-CHARLES MASTER MULTIMÉDIA INTERACTIF 47, RUE DES BERGERS 75015 PARIS
UNIVERSITÉ PARIS 1 PANTHÉON-SORBONNE CENTRE SAINT-CHARLES MASTER MULTIMÉDIA INTERACTIF 47, RUE DES BERGERS 75015 PARIS 1 SOMMAIRE FORMATION 03 presentation 04 programme 05 enseignants 08 ÉTUDIANTS 10 les
Plus en détailINVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailDOMAINES D INTERVENTION EN DEMANDE
DOMAINES D INTERVENTION EN DEMANDE Critères valables pour toute affectation en tant que Volontaire des Nations Unies, pas uniquement pour les affectations en réponse à la crise du virus Ebola. Les exigences
Plus en détailGuide pratique pour la société civile FONDS, SUBVENTIONS ET BOURSES EN FAVEUR DES DROITS DE L HOMME
Guide pratique pour la société civile FONDS, SUBVENTIONS ET BOURSES EN FAVEUR DES DROITS DE L HOMME Table des matières Introduction...1 Fonds et subventions...2 Programmes de bourses du HCDH...22 Contactez-nous...36
Plus en détailECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social
Nations Unies Conseil économique et social ECE/AC.21/SC/2014/3 Distr. générale 10 septembre 2014 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Réunion de haut niveau sur les transports,
Plus en détailPROTOCOLE RELATIF À L ARRANGEMENT DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES
PROTOCOLE RELATIF À L ARRANGEMENT DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES adopté à Madrid le 27 juin 1989, modifié le 3 octobre 2006 et le 12 novembre 2007 Liste des articles du
Plus en détailCADRE DECENNAL DE PROGRAMMATION CONCERNANT LES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES (10YFP) RIO + 20 ADOPTE LE 10YFP
CADRE DECENNAL DE PROGRAMMATION CONCERNANT LES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES (10YFP) RIO + 20 ADOPTE LE 10YFP La Conférence des Nations Unies sur le développement durable (Rio +20) a
Plus en détailOffre(s) d emploi / stages / service civique : Dernière mise à jour le 3 juillet 2015 (4 annonces)
Offre(s) d emploi / stages / service civique : Dernière mise à jour le 3 juillet 2015 (4 annonces) 03/07/2015 1/16 CONTRATS A DUREE INDETERMINEE 03/07/2015 2/16 LE FOYER NOTRE-DAME DES SANS-ABRI recrute,
Plus en détailOrganisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture
Organisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture 7, place de Fontenoy, 75352 Paris 07 SP téléphone : (33.1) 45.68.10.00 télex: 204461 Paris 270602 Paris téléfax UNESCO: (33.1)
Plus en détailPOLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020
DÉVELOPPEMENT LOCAL MENÉ PAR LES ACTEURS LOCAUX POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 Les nouvelles règles et la législation régissant le prochain financement de la politique européenne de cohésion pour la période
Plus en détailAppel à candidature pour la participation au Programme des Contrats de Croissance à l Export
Appel à candidature pour la participation au Programme des Contrats de Croissance à l Export Programme de Contrat de Croissance à l Export Appel à candidature 1/30 Table des matières I. Contexte, objectifs
Plus en détailNote à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle
Alger, le 08 février 2015 Note à Messieurs les : - Présidents des Conseils d Administration ; - Présidents Directeurs Généraux ; - Directeurs Généraux ; - Présidents des Directoires ; - Directeur Général
Plus en détailINDIVIDUAL CONSULTANT PROCUREMENT NOTICE
INDIVIDUAL CONSULTANT PROCUREMENT NOTICE Date: 10 Novembre 2014 Pays: TUNISIE Description de la consultation: RECRUTEMENT D UN CONSULTANT NATIONAL EXPERT SOCIETE CIVILE Nom du projet: JUSTICE TRANSITIONNELLE
Plus en détailCirculaire n 5051 du 04/11/2014
Circulaire n 5051 du 04/11/2014 Collaboration entre les Centres psycho-médico-sociaux, le Service de médiation scolaire et le Service des équipes mobiles missions et rôles Réseaux et niveaux concernés
Plus en détailAnnonce de Programme de Subventions («Annual Program Statement» ou APS)
Annonce de Programme de Subventions («Annual Program Statement» ou APS) Titre du Programme de Subvention: Numéro de Référence: APS-AVANSE-2014-01 Date d Emission : 16 Juillet 2014 Date limite de réception
Plus en détailCaisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale
Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS Date : 29/01/99 Origine : AC Mmes et MM. les Directeurs Mmes et MM. les Agents Comptables. des Caisses
Plus en détailStagiaire Ecole professionnelle supérieure (EPS)
Département fédéral des affaires étrangères DFAE Direction des ressources DR Personnel DFAE Stagiaire Ecole professionnelle supérieure (EPS) L ensemble des données figurant dans ce questionnaire sont soumises
Plus en détailBudget de l'etat Gestion 2015 Présentation Détaillée des Dépenses
Budget de l'etat Gestion ETAT DONS PRETS DÉPENSES RÉPARTIES MTFPRAI Chap. : 11 001 124 00 BUREAU DU DIALOGUE SOCIAL 60 000 0 0 0 0 0 0 0 Bailleur : 1000000001 ETAT 60 000 0 0 0 0 0 0 0 Arti.. 3 11 001
Plus en détailLes contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable aux niveaux local, national et mondial
Note conceptuelle Forum Social Mondial 2015 - Tables rondes Les contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable aux niveaux local, national et mondial
Plus en détailCONVENTION POUR LA SAUVEGARDE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL COMITÉ INTERGOUVERNEMENTAL DE SAUVEGARDE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL
5 COM ITH/10/5.COM/CONF.202/INF.7 Paris, le 27 octobre 2010 Original : anglais/français CONVENTION POUR LA SAUVEGARDE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL COMITÉ INTERGOUVERNEMENTAL DE SAUVEGARDE DU PATRIMOINE
Plus en détail5. ACTEURS OBLIGATOIRES ET LEUR RÔLE
5. ACTEURS OBLIGATOIRES ET LEUR RÔLE 5.1. ÉTUDIANT OU STAGIAIRE EN FPI Personne qui suit des cours de FPI et/ou diplômé d un établissement de FPI depuis moins d un an. 5.1.1. Profil et exigences minimales
Plus en détailRéglementation. Import/Export CHAPITRE 6
CHAPITRE 6 Réglementation Import/Export Dans ce chapitre: Rubriques / pages Prescriptions du Traité/ 187 Mesures Législatives et Administratives / 191 Conformité / 194 Diffusion / 196 Programme d Assistance
Plus en détailNos domaines nos domaines d intervention
Nos domaines nos domaines d intervention d intervention Instigateur de communication Print Création Edition Fabrication Hors média evenementiel Publicite radio Conventions & audiovisuel Séminaires Films
Plus en détailL étudiant devra être capable d élaborer des stratégies de développement dans l entreprise, en situation réelle.
MASTER Européen de Management et de Stratégies touristiques Présentation : Ce master européen s adresse prioritairement à des étudiants ayant validé un diplôme de niveau II (Bac+3) dans les domaines de
Plus en détail