Chapitre 1 - Les matrices : généralités et opérations
|
|
- Jonathan Prudhomme
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre - Les matrices : généralités et opérations I) Les vecteurs ) Définitions Définition Soit n un entier naturel non nul On appelle vecteur de dimension n un tableau constitué d une seule colonne formée de n nombres réels x Notation Nous noterons : X = x 2 un tel vecteur x n Nous noterons dim(x) la dimension du vecteur X; donc ici, nous avons dim(x) =n Chacun des nombres réels x i sera appelé composante du vecteur X; par exemple, x désignera la première composante du vecteur X, x 2 la seconde composante Remarque Nous noterons souvent X =(x i ) le vecteur X ½ dim(x) =dim(y ) Définition 2 Deux vecteurs X et Y sont égaux si : i {; 2; ; n} on a : x i = y i désignent les composantes respectives des vecteurs X et Y,oùx i et y i 2) Vecteurs particuliers Définition On appelle vecteur nul le vecteur dont toutes les composantes sont nulles Nous le noterons : = Définition 4 On appelle ième vecteur unitaire le vecteur dont toutes les composantes sont nulles sauf la ième qui vaut Nous le noterons : E i = ) Opérations sur les vecteurs a) L addition de deux vecteurs Définition 5 La somme de deux vecteurs X =(x i ) et Y =(y i ) de dimension n est le vecteur de dimension n que nous noterons X + Y défini par : X + Y =(x i + y i ) Exemple Si X = 2 et Y = 5 4 alors on a : X + Y = roposition L addition de vecteurs de dimension n possède les propriétés suivantes : elle est commutative : X, Y on a : X + Y = Y + X elle est associative : X, Y, Z on a : (X + Y )+Z = X +(Y + Z) elle possède pour élément neutre : X on a : X + = +X = X
2 tout vecteur X =(x i ) possède un opposé qui est noté ( X) et qui est défini par : ( X) =( x i ) :onax +( X) =( X)+X = reuve Ces propriétés dérivent immédiatement des propriétés de l addition des nombres réels Remarque 2 uisque l addition vectorielle est associative, nous noterons sans parenthèses la somme de trois vecteurs roposition 2 Unicité de l élément neutre L élement neutre neutre d un vecteur X de dimension n est unique reuve Raisonnons par l absurde Supposons que l addition vectorielle possède deux éléments neutres distincts ( et 2 + X on a : 2 = 2 puisque est élément neutre + 2 = puisque 2 est élément neutre arsuiteona: = 2, ce qui contredit notre hypothèse ar conséquent, il y a unicité de l élément neutre roposition Unicitédel opposéd unvecteur Tout vecteur X de dimension n possède un vecteur opposé unique reuve Raisonnons par l absurde Supposons que le vecteur X possède deux vevteurs opposés distincts X( et X 2 X + X On a : + X 2 = X 2 puisque X est un opposé de X X + X + X 2 = X puisque X 2 est un opposé de X ar suite on a : X = X 2, ce qui contredit notre hypothèse ar conséquent, il y a unicité de l opposé Remarque Nous disons dans ce cas que l ensemble des vecteurs de dimension n muni de l addition possède une structure de groupe commutatif ou encore de groupe abélien b) Le produit par un nombre réel Définition 6 Le produit du vecteur X =(x i ) de dimension n parlenombreréelλ est noté λx ou encore λx et il est défini par : λx =(λx i ) Exemple 2 Si Si X = 2 et λ = 5 alors on a : λx = 5 5 roposition 4 Le produit d un vecteur de dimension n par un nombre réel possède les propriétés suivantes : X on a : X = X λ, µ R on a : λ (µx) =(λµ) X λ, µ R, X on a : (λ + µ) X =(λx)+(µx) λ R, X, Y on a : λ (X + Y )=(λx)+(λy ) reuve Ces propriétés dérivent immédiatement des propriétés de l addition et de la multiplication des nombres réels Remarque 4 Nous dirons que l ensemble des vecteurs de dimension n muni de l addition et du produit par un nombre réel possède une structure d espace vectoriel Corollaire Nous avons les conséquences suivantes : X on a : X = X on a : ( ) X = X 2
3 reuve ½ ( + ) X = X uisque : on en déduit que : X +X = X, etparsuite ( + ) X =X +X = X +X on tire : X = ½ ( + ( )) X =X = uisque : ( + ( )) X =X +( )X = X +( )X on en déduit que : X +( )X = et d après l unicité de l élément neutre pour l addition vectorielle nous en déduisons que ( )X est l élement neutre de X et par conséquent : ( ) X = X c) Le produit scalaire Définition 7 LeproduitscalairededeuxvecteursX =(x i ) et Y =(y i ) de dimension n est le nombre réel, noté XY et défini par : nx XY = x i y i Remarque 5 Le produit scalaire XY est encore noté <X/Y > Exemple Si X = 2 et Y = 5 4 alors on a : XY =5+( 2)4+( 7) = 24 7 Définition 8 Deux vecteurs X et Y de dimension n sont orthogonaux si XY = roposition 5 Le produit scalaire de vecteurs de dimension n est : symétrique : X, Y on a : XY = YX; i= bilinéaire : X, Y, Z, λ R on a : ½ (X + Y ) Z =(XZ)+(YZ) et X(Y + Z) =(XY )+(XZ) (λx) Y = λ (XY ) et X (λy )=λ(xy ) reuve Ces propriétés découlent immédiatement des propriétés de l addition et de la multiplication des nombres réels Définition 9 La norme du vecteur X de dimension n est notée kxk et elle est définie par : kxk = XX Un vecteur de dimension n est dit normé si sa norme est égale à roposition 6 La norme d un vecteur de dimension n vérifie les propriétés suivantes : X, λ R on a : kλxk = λ kxk X, Y on a : XY 6 kxk ky k (Inégalité de Schwarz) X, Y on a : kx + Y k 6 kxk + ky k X, Y on a : kxk ky k 6 kx Y k kxk = X = reuve Les démonstrations ont été faites dans le cours d Analyse II du premier semestre
4 4) Dépendance et indépendance linéaire Définition p vecteurs de dimension n : X, X 2,, X p sont linéairement indépendants si : λ X + λ 2 X λ p X p = λ = λ 2 = = λ p = Remarque 6 On dit encore dans ce cas que la famille (X,X 2,,X p ) est une famille libre; dans le cas contraire, on dit que les vecteurs sont linéairement dépendants ou encore que la famille (X,X 2,, X p ) est liée Exemple 4 Considéronslestroisvecteurs:X = 2, X 2 = 2 et X = 5 9 Etudions la dépendance ou non de ces trois vecteurs Il faut donc résoudre l équation : λ X + λ 2 X 2 + λ X = d inconnues λ, λ 2 et λ soit encore : λ 2λ 2 = λ =2λ 2 λ =2λ 2 2λ + λ 2 +5λ = 5λ 2 +5λ = λ 2 est quelconque λ +λ 2 +9λ = λ 2 +λ = λ = λ 2 Les trois nombres réels ne sont pas tous nuls, par exemple on peut choisir : ar conséquent, la famille (X,X 2,X ) est liée roposition 7 Nous avons les propriétés suivantes : λ =2 λ 2 = λ = Si le vecteur nul figure parmi les vecteurs X, X 2,, X p dépendants; alors ceux-ci sont linéairement des vecteurs sont linéairement dépendants si et seulement si l un d entre eux peut s écrire comme combinaison linéaire des autres, soit encore : i {, 2,,p} α,, α i,α i+,, α p R tels que : X i = px α k X k si parmi les vecteurs X, X 2,, X p il existe une famille de vecteurs linéairement dépendants, alors la famille X, X 2,, X p est liée reuve Ces résultats sont très simples à démontrer et sont laissés à titre d exercice k= k6=i II) Les matrices ) Définitions Définition Considérons deux nombres entiers naturels non nuls n et p On appelle matrice de taille (n, p) (ou matice à n lignes et p colonnes) un tableau à n lignes et p colonnes a a 2 a p Une telle matrice sera notée : M = a 2 a 22 a 2p ou encore M =(a ij) 6i6n ou 6j6p a n a n2 a np même M =(a ij ) s il n y a pas d ambiguité Notation 2 L ensembledesmatricesdetaille(n, p) et à coefficients réels sera noté M n,p (R) ou encore M n,p 4
5 µ Exemple 5 I = a ij = = i + j 6i,j M = 5 4 est une matrice de taille (; ) 2 M 2 = 4 est une matrice de taille (4; ) M = µ 4 5 est une matrice de taille (2; ) est une matrice de taille (; ) Définition 2 Lorsque n = p on dit que l on a une matrice carrée; dans ce cas M n,n (R) sera noté M n (R) ou encore M n On parlera alors de matrice d ordre n; lorsque n =on dit que l on a une matrice ligne; lorsque p =on dit que l on a une matrice colonne (ou encore un vecteur de dimension n) Définition Deux matrices M et N sont égales si elles ont la même taille et les mêmes coefficients 2) Matrices particulières Nous ne reviendrons pas sur les matrices carrées ainsi que sur les matrices ligne et colonne déjà vues dans le paragraphe précédent Nous rencontrerons très souvent d autres matrices particulières : les matrices symétriques, les matrices triangulaires supérieures et inférieures, les matrices diagonales, les matrices orthogonales, la matrice identité et la matrice nulle Définition 4 Une matrice symétrique d ordre n est une matrice carrée d ordre n pour laquelle les éléments symétriques par rapport à la diagonale principale sont égaux, soit encore une matrice du type M =(a ij ) 6i6n telle que : i, j {; 2; ; n} on a : a ij = a ji 6j6n Exemple 6 M = est une matrice symétrique d ordre 4 5 Définition 5 Une matrice triangulaire supérieure d ordre n est une matrice carrée d ordre n dont les éléments situés en dessous de ½ la diagonale principale sont tous nuls, soit encore une matrice i, j {; 2; ; n} on a : a vérifiant : i>j ij = du type M =(a ij ) 6i6n telle que : 6j6n Exemple 7 M = est une matrice triangulaire supérieure d ordre Définition 6 Une matrice triangulaire inférieure d ordre n estunematricecarrée d ordren dont les éléments situés au dessus ½de la diagonale principale sont tous nuls, soit encore une matrice du type i, j {; 2; ; n} M =(a ij ) 6i6n telle que : on a : a 6j6n vérifiant : i<j ij = Exemple 8 M = 7 6 est une matrice triangulaire inférieure d ordre 8 5 Définition 7 Une matrice diagonale estunematricecarrée dontlesélémentssituésendehorsde la diagonale principale sont tous nuls, soit encore une matrice du type M =(a ij ) 6i6n telle que : ½ 6j6n i, j {; 2; ; n} on a : a vérifiant : i 6= j ij = 5
6 Exemple 9 M = 6 est une matrice diagonale d ordre 5 Définition 8 Une matrice orthogonale d ordre n est une matrice carrée d ordre n pour laquelle les vecteurs colonnes sont normés et deux à deux orthogonaux Exemple M = est une matrice orthogonale d ordre Définition 9 La matrice identité de rang n est la matrice diagonale d ordre n pour laquelle tous lesélémentsdiagonauxsontégauxà OnnoteraI n ou encore I s il n y a pas d ambigüité possible Exemple I = est la matrice identité d ordre Définition 2 La matrice nulle de taille (n, p) est la matrice de taille (n, p) pour laquelle tous les éléments sont nuls On la notera O n,p ) Opérations sur les matrices a) L addition de deux matrices Définition 2 Considérons M =(a ij ) et N =(b ij ) deux matrices de même taille (n, p) La somme M + N sera une matrice de taille (n, p) définie par M + N =(a ij + b ij ); µ 2 Exemple 2 Si M = et N = µ 5 4 on aura : M + N = 5 2 µ sont deux matrices de taille (2; ) alors roposition 8 La somme matricielle définie précédemment possède les propriétés suivantes : elle est commutative : M,N M n,p on a : M + N = N + M; elle est associative : M,N,Q M n,p on a : (M + N)+Q = M +(N + Q); O n,p est élément neutre pour l addition matricielle : M M n,p on a : M + O n,p = O n,p + M = M; toute matrice M =(a ij ) M n,p possède une matrice opposée qui est notée ( M) définie par ( M) =( a ij ) reuve Ces propriétés proviennent immédiatement des propriétés de l addition des nombres réels Remarque 7 Comme nous l avions vu pour les vecteurs, nous pouvons affirmer qu il y a unicité de l élément neutre pour l addition matricielle et unicité de l opposé d une matrice donnée Nous dirons dans ce cas que l ensemble M n,p muni de l addition possède une structure de groupe commutatif (ou abélien) 6
7 b) La multiplication par un nombre réel Définition 22 Considérons M =(a ij ) M n,p et λ R Le produit par le nombre réel λ de la matrice M est la matrice de taille (n, p) que nous noterons λm ou plus simplement λm définie par : λm =(λa ij ) Exemple Si M = µ et λ =,alorsona:λm = µ roposition 9 La multiplication par un nombre réel possède les propriétés suivantes : λ, µ R, M M n,p on a : (λ + µ) M =(λm)+(µm) λ R, M,N M n,p on a : λ(m + N) =(λm)+(λn) λ, µ R, M M n,p on a : λ (µm) =(λµ) M M M n,p on a : M = M reuve Ces résultats se démontrent sans difficultés et sont des conséquences des propriétés de l addition et de la multiplication des nombres réels Remarque 8 Nous dirons que l ensemble M n,p muni de l addition et du produit par un nombre réel possède une structure d espace vectoriel Corollaire 2 Nous avons les conséquences suivantes : M M n,p on a : M = O n,p M M n,p on a : ( ) M = M reuve Ces deux résultats se démontrent d une façon analogue à ceux déjà rencontrés pour les vecteurs de dimension n dans le paragraphe I) c) La multiplication matricielle Dans ce paragraphe nous allons étudier la multiplication de deux matrices Notons tout de suite que cette multiplication ne sera pas toujours possible et qu une condition sur les tailles des matrices sera nécessaire Définition 2 Considéronsdeuxmatrices:M =(a ij ) M n,p et N =(b jk ) M p,q Le produit de la matrice M par la matrice N sera la matrice de M n,q,notémn définie par : MN =(c ik ) avec : c ik = px a ij b jk Remarque 9 Il faut bien remarquer que le nombre de colonnes de la matrice M doit être égal au nombre de lignes de la matrice N pour pouvoir effectuer le produit MN Si cette condition n est pas satisfaite, le produit matriciel ne sera pas défini Exemple 4 Si M = M ;4 et N = 2 2 M 4;2 alors on a : MN = M ;2 2 Remarquons qu il n aurait pas été possible d effectuer le produit de la matrice N par la matrice M roposition Lorsque les produits matriciels sont possibles, nous avons : (M + M 2 ) N =(M N)+(M 2 N) M(N + N 2 )=(MN )+(MN 2 ) 7
8 reuve CespropriétésproviennentdespropriétésdelamultiplicationdesnombresréelsDémontrons le premier résultat à titre d exemple Si M =(a ij ), M 2 = aij et N =(bjk ) alors on a : M + M 2 = a ij + aij et par conséquent on obtient : (M + M 2 ) N =(c ik ) où : c ik = p aij + a ij b jk = p a ij b jk + p a ij b jk M N =(c ik ) avec : c ik = p a ij b jk uisque : (M 2 N) M 2 N =(c ik ) avec : c ik = p a ij b jk, on en déduit que : (M + M 2 ) N =(M N)+ roposition λ R, M M n,p et N M p,q on a : λ (MN) =(λm) N = M(λN) reuve osons : M =(a ij ) M n,p et N =(b jk ) M p,q On a : λ (MN) =(λc ik ) où c ik = p a ij b jk De plus puisque : λm =(d ij ) où d ij = λa ij on obtient : (λm) N =(e ik ) avec : e ik = soit encore : e ik = p (λa ij ) b jk = λ p a ij b jk = λc ik Onadoncprouvéque:λ (MN) =(λm) N De même, puisque : λn =(f jk ) avec f jk = λb jk on obtient : M(λN) =(g ik ) où g ik = p a ij f jk = p a ij (λb jk )=λ p a ij b jk = λc ik Onvientdoncdedémontrerque:λ (MN) =M(λN) roposition 2 M M n,p, N M p,q et M q,r on a : M(N) =(MN) p d ij b jk, reuve osons : M =(a ij ) M n,p, N =(b jk ) M p,q et =(c kl ) M q,r On a : N =(d jl ) avec d jl = q b jk c kl donc : M(N) =(e il ) avec e il = p a ij d jl, soit encore : k= µ e il = p q Ã! a ij b jk c kl = p q a ij b jk c kl = q p a ij b jk c kl k= k= k= De plus, on a : MN =(f ik ) où f ik = p a ij b jk On en déduit que : e il = M(N) =(MN) q k= f ik c kl et par suite on obtient : (MN) =(e il ),cequiprouveque: roposition M M n,p on a : MI p = M M M n,p on a : I n M = M reuve Cesdeuxpropriétéssontévidentes d) La transposition Définition 24 Considérons une matrice M =(a ij ) M n,p La transposée de la matrice M sera une matrice de taille (p, n) que l on notera M t définie par : M t =(b ji ) avec : b ji = a ij µ 2 Exemple 5 Considérons la matrice M = M 5 4 2; Nous avons donc : M t = 2 5 M ;2 4 8
9 Remarque C est cette opération qui permet de définir un vecteur ligne : en effet un vecteur X de dimension n étant par définition une colonne, le vecteur ligne correspondant sera le transposé X t Le produit scalaire de deux vecteurs qui a été défini précédemment peut encore s écrire sous la forme : XY = X t Y = Y t X La transposée d une matrice diagonale est la matrice elle-même La transposée d une matrice triangulaire supérieure est une matrice triangulaire inférieure La transposée d une matrice nulle est une matrice nulle roposition 4 M,N M n,p, λ R on a : (M + N) t = M t + N t (M t ) t = M (λm) t = λm t reuve Ces trois propriétés sont évidentes roposition 5 M M n,p, N M p,q on a : (MN) t = N t M t reuve osons : M =(a ij ) M n,p et N =(b jk ) M p,q On a : MN =(c ik ) avec : c ik = p a ij b jk p ar conséquent, (MN) t =(d ki ) où d ki = a ij b jk De plus puisque : ½ N t =(e kj ) avec : e kj = b jk M t =(f ji ) avec : f ji = a ij on obtient : N t M t = (g ki ) avec g ki = p e kj f ji, soit encore : g ki = p b jk a ij = d ki On obtient donc : N t M t =(MN) t 9
Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.
1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le
Plus en détailChapitre 2. Matrices
Département de mathématiques et informatique L1S1, module A ou B Chapitre 2 Matrices Emmanuel Royer emmanuelroyer@mathuniv-bpclermontfr Ce texte mis gratuitement à votre disposition a été rédigé grâce
Plus en détailCours d analyse numérique SMI-S4
ours d analyse numérique SMI-S4 Introduction L objet de l analyse numérique est de concevoir et d étudier des méthodes de résolution de certains problèmes mathématiques, en général issus de problèmes réels,
Plus en détailCalcul différentiel sur R n Première partie
Calcul différentiel sur R n Première partie Université De Metz 2006-2007 1 Définitions générales On note L(R n, R m ) l espace vectoriel des applications linéaires de R n dans R m. Définition 1.1 (différentiabilité
Plus en détailExo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin.
Exo7 Matrice d une application linéaire Corrections d Arnaud odin. Exercice Soit R muni de la base canonique = ( i, j). Soit f : R R la projection sur l axe des abscisses R i parallèlement à R( i + j).
Plus en détailUn K-espace vectoriel est un ensemble non vide E muni : d une loi de composition interne, c est-à-dire d une application de E E dans E : E E E
Exo7 Espaces vectoriels Vidéo partie 1. Espace vectoriel (début Vidéo partie 2. Espace vectoriel (fin Vidéo partie 3. Sous-espace vectoriel (début Vidéo partie 4. Sous-espace vectoriel (milieu Vidéo partie
Plus en détailCours de mathématiques
DEUG MIAS premier niveau Cours de mathématiques année 2003/2004 Guillaume Legendre (version révisée du 3 avril 2015) Table des matières 1 Éléments de logique 1 1.1 Assertions...............................................
Plus en détailCorrigé Problème. Partie I. I-A : Le sens direct et le cas n= 2
33 Corrigé Corrigé Problème Théorème de Motzkin-Taussky Partie I I-A : Le sens direct et le cas n= 2 1-a Stabilité des sous-espaces propres Soit λ une valeur propre de v et E λ (v) le sous-espace propre
Plus en détailDe même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que
Introduction. On suppose connus les ensembles N (des entiers naturels), Z des entiers relatifs et Q (des nombres rationnels). On s est rendu compte, depuis l antiquité, que l on ne peut pas tout mesurer
Plus en détailFormes quadratiques. 1 Formes quadratiques et formes polaires associées. Imen BHOURI. 1.1 Définitions
Formes quadratiques Imen BHOURI 1 Ce cours s adresse aux étudiants de niveau deuxième année de Licence et à ceux qui préparent le capes. Il combine d une façon indissociable l étude des concepts bilinéaires
Plus en détailProgrammation linéaire et Optimisation. Didier Smets
Programmation linéaire et Optimisation Didier Smets Chapitre 1 Un problème d optimisation linéaire en dimension 2 On considère le cas d un fabricant d automobiles qui propose deux modèles à la vente, des
Plus en détailFonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples
45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailJournées Télécom-UPS «Le numérique pour tous» David A. Madore. david.madore@enst.fr. 29 mai 2015
et et Journées Télécom-UPS «Le numérique pour tous» David A. Madore Télécom ParisTech david.madore@enst.fr 29 mai 2015 1/31 et 2/31 : définition Un réseau de R m est un sous-groupe (additif) discret L
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailProgrammation linéaire
Programmation linéaire DIDIER MAQUIN Ecole Nationale Supérieure d Electricité et de Mécanique Institut National Polytechnique de Lorraine Mathématiques discrètes cours de 2ème année Programmation linéaire
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détail[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 30 avril 2015 Enoncés 1
[http://mpcpgedupuydelomefr] édité le 3 avril 215 Enoncés 1 Exercice 1 [ 265 ] [correction] On note V l ensemble des matrices à coefficients entiers du type a b c d d a b c c d a b b c d a et G l ensemble
Plus en détail1 Complément sur la projection du nuage des individus
TP 0 : Analyse en composantes principales (II) Le but de ce TP est d approfondir nos connaissances concernant l analyse en composantes principales (ACP). Pour cela, on reprend les notations du précédent
Plus en détailDéterminants. Marc SAGE 9 août 2008. 2 Inverses et polynômes 3
Déterminants Marc SAGE 9 août 28 Table des matières Quid des formes n-linéaires alternées? 2 2 Inverses et polynômes 3 3 Formule de Miller pour calculer un déterminant (ou comment illustrer une idée géniale)
Plus en détailExo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2.
Eo7 Calculs de déterminants Fiche corrigée par Arnaud Bodin Eercice Calculer les déterminants des matrices suivantes : Correction Vidéo ( ) 0 6 7 3 4 5 8 4 5 6 0 3 4 5 5 6 7 0 3 5 4 3 0 3 0 0 3 0 0 0 3
Plus en détailPremière partie. Préliminaires : noyaux itérés. MPSI B 6 juin 2015
Énoncé Soit V un espace vectoriel réel. L espace vectoriel des endomorphismes de V est désigné par L(V ). Lorsque f L(V ) et k N, on désigne par f 0 = Id V, f k = f k f la composée de f avec lui même k
Plus en détailLe produit semi-direct
Le produit semi-direct Préparation à l agrégation de mathématiques Université de Nice - Sophia Antipolis Antoine Ducros Octobre 2007 Ce texte est consacré, comme son titre l indique, au produit semi-direct.
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailCHAPITRE V SYSTEMES DIFFERENTIELS LINEAIRES A COEFFICIENTS CONSTANTS DU PREMIER ORDRE. EQUATIONS DIFFERENTIELLES.
CHAPITRE V SYSTEMES DIFFERENTIELS LINEAIRES A COEFFICIENTS CONSTANTS DU PREMIER ORDRE EQUATIONS DIFFERENTIELLES Le but de ce chapitre est la résolution des deux types de systèmes différentiels linéaires
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailExtrait du poly de Stage de Grésillon 1, août 2010
MINI-COURS SUR LES POLYNÔMES À UNE VARIABLE Extrait du poly de Stage de Grésillon 1, août 2010 Table des matières I Opérations sur les polynômes 3 II Division euclidienne et racines 5 1 Division euclidienne
Plus en détailPour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Les pages qui suivent comportent, à titre d exemples, les questions d algèbre depuis juillet 003 jusqu à juillet 015, avec leurs solutions. Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Plus en détailRésolution de systèmes linéaires par des méthodes directes
Résolution de systèmes linéaires par des méthodes directes J. Erhel Janvier 2014 1 Inverse d une matrice carrée et systèmes linéaires Ce paragraphe a pour objet les matrices carrées et les systèmes linéaires.
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailCours 02 : Problème général de la programmation linéaire
Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =
Plus en détailProgrammes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles
Programmes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles Filière : scientifique Voie : Biologie, chimie, physique et sciences de la Terre (BCPST) Discipline : Mathématiques Seconde année Préambule Programme
Plus en détailMoments des variables aléatoires réelles
Chapter 6 Moments des variables aléatoires réelles Sommaire 6.1 Espérance des variables aléatoires réelles................................ 46 6.1.1 Définition et calcul........................................
Plus en détailEteindre. les. lumières MATH EN JEAN 2013-2014. Mme BACHOC. Elèves de seconde, première et terminale scientifiques :
MTH EN JEN 2013-2014 Elèves de seconde, première et terminale scientifiques : Lycée Michel Montaigne : HERITEL ôme T S POLLOZE Hélène 1 S SOK Sophie 1 S Eteindre Lycée Sud Médoc : ROSIO Gauthier 2 nd PELGE
Plus en détailOptimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications
Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications A. Optimisation sans contrainte.... Généralités.... Condition nécessaire et condition suffisante
Plus en détail4. Martingales à temps discret
Martingales à temps discret 25 4. Martingales à temps discret 4.1. Généralités. On fixe un espace de probabilités filtré (Ω, (F n ) n, F, IP ). On pose que F contient ses ensembles négligeables mais les
Plus en détailPEUT-ON «VOIR» DANS L ESPACE À N DIMENSIONS?
PEUT-ON «VOIR» DANS L ESPACE À N DIMENSIONS? Pierre Baumann, Michel Émery Résumé : Comment une propriété évidente visuellement en dimensions deux et trois s étend-elle aux autres dimensions? Voici une
Plus en détail3. Conditionnement P (B)
Conditionnement 16 3. Conditionnement Dans cette section, nous allons rappeler un certain nombre de définitions et de propriétés liées au problème du conditionnement, c est à dire à la prise en compte
Plus en détailChapitre 3. Mesures stationnaires. et théorèmes de convergence
Chapitre 3 Mesures stationnaires et théorèmes de convergence Christiane Cocozza-Thivent, Université de Marne-la-Vallée p.1 I. Mesures stationnaires Christiane Cocozza-Thivent, Université de Marne-la-Vallée
Plus en détailChapitre 7. Statistique des échantillons gaussiens. 7.1 Projection de vecteurs gaussiens
Chapitre 7 Statistique des échantillons gaussiens Le théorème central limite met en évidence le rôle majeur tenu par la loi gaussienne en modélisation stochastique. De ce fait, les modèles statistiques
Plus en détailSur certaines séries entières particulières
ACTA ARITHMETICA XCII. 2) Sur certaines séries entières particulières par Hubert Delange Orsay). Introduction. Dans un exposé à la Conférence Internationale de Théorie des Nombres organisée à Zakopane
Plus en détailSimulation de variables aléatoires
Chapter 1 Simulation de variables aléatoires Références: [F] Fishman, A first course in Monte Carlo, chap 3. [B] Bouleau, Probabilités de l ingénieur, chap 4. [R] Rubinstein, Simulation and Monte Carlo
Plus en détailApproximations variationelles des EDP Notes du Cours de M2
Approximations variationelles des EDP Notes du Cours de M2 Albert Cohen Dans ce cours, on s intéresse à l approximation numérique d équations aux dérivées partielles linéaires qui admettent une formulation
Plus en détailMathématiques appliquées à l'économie et à la Gestion
Mathématiques appliquées à l'économie et à la Gestion Mr Makrem Ben Jeddou Mme Hababou Hella Université Virtuelle de Tunis 2008 Continuité et dérivation1 1- La continuité Théorème : On considère un intervalle
Plus en détailCapes 2002 - Première épreuve
Cette correction a été rédigée par Frédéric Bayart. Si vous avez des remarques à faire, ou pour signaler des erreurs, n hésitez pas à écrire à : mathweb@free.fr Mots-clés : équation fonctionnelle, série
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailUne introduction aux codes correcteurs quantiques
Une introduction aux codes correcteurs quantiques Jean-Pierre Tillich INRIA Rocquencourt, équipe-projet SECRET 20 mars 2008 1/38 De quoi est-il question ici? Code quantique : il est possible de corriger
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailCouples de variables aléatoires discrètes
Couples de variables aléatoires discrètes ECE Lycée Carnot mai Dans ce dernier chapitre de probabilités de l'année, nous allons introduire l'étude de couples de variables aléatoires, c'est-à-dire l'étude
Plus en détailAnalyse en Composantes Principales
Analyse en Composantes Principales Anne B Dufour Octobre 2013 Anne B Dufour () Analyse en Composantes Principales Octobre 2013 1 / 36 Introduction Introduction Soit X un tableau contenant p variables mesurées
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé 2012-2013 1 Petites questions 1 Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? Réponse : Non, car le complémentaire de ], 0[ n est pas ouvert.
Plus en détailPlus courts chemins, programmation dynamique
1 Plus courts chemins, programmation dynamique 1. Plus courts chemins à partir d un sommet 2. Plus courts chemins entre tous les sommets 3. Semi-anneau 4. Programmation dynamique 5. Applications à la bio-informatique
Plus en détailOptimisation Discrète
Prof F Eisenbrand EPFL - DISOPT Optimisation Discrète Adrian Bock Semestre de printemps 2011 Série 7 7 avril 2011 Exercice 1 i Considérer le programme linéaire max{c T x : Ax b} avec c R n, A R m n et
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailStructures algébriques
Structures algébriques 1. Lois de composition s Soit E un ensemble. Une loi de composition interne sur E est une application de E E dans E. Soient E et F deux ensembles. Une loi de composition externe
Plus en détailAnalyse fonctionnelle Théorie des représentations du groupe quantique compact libre O(n) Teodor Banica Résumé - On trouve, pour chaque n 2, la classe
Analyse fonctionnelle Théorie des représentations du groupe quantique compact libre O(n) Teodor Banica Résumé - On trouve, pour chaque n 2, la classe des n n groupes quantiques compacts qui ont la théorie
Plus en détailCours d initiation à la programmation en C++ Johann Cuenin
Cours d initiation à la programmation en C++ Johann Cuenin 11 octobre 2014 2 Table des matières 1 Introduction 5 2 Bases de la programmation en C++ 7 3 Les types composés 9 3.1 Les tableaux.............................
Plus en détailPremiers exercices d Algèbre. Anne-Marie Simon
Premiers exercices d Algèbre Anne-Marie Simon première version: 17 août 2005 version corrigée et complétée le 12 octobre 2010 ii Table des matières 1 Quelques structures ensemblistes 1 1.0 Ensembles, relations,
Plus en détailMATLAB : COMMANDES DE BASE. Note : lorsqu applicable, l équivalent en langage C est indiqué entre les délimiteurs /* */.
Page 1 de 9 MATLAB : COMMANDES DE BASE Note : lorsqu applicable, l équivalent en langage C est indiqué entre les délimiteurs /* */. Aide help, help nom_de_commande Fenêtre de travail (Command Window) Ligne
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailCalcul différentiel. Chapitre 1. 1.1 Différentiabilité
Chapitre 1 Calcul différentiel L idée du calcul différentiel est d approcher au voisinage d un point une fonction f par une fonction plus simple (ou d approcher localement le graphe de f par un espace
Plus en détailLa programmation linéaire : une introduction. Qu est-ce qu un programme linéaire? Terminologie. Écriture mathématique
La programmation linéaire : une introduction Qu est-ce qu un programme linéaire? Qu est-ce qu un programme linéaire? Exemples : allocation de ressources problème de recouvrement Hypothèses de la programmation
Plus en détailCHAPITRE 10. Jacobien, changement de coordonnées.
CHAPITRE 10 Jacobien, changement de coordonnées ans ce chapitre, nous allons premièrement rappeler la définition du déterminant d une matrice Nous nous limiterons au cas des matrices d ordre 2 2et3 3,
Plus en détailIV- Equations, inéquations dans R, Systèmes d équations
IV- Equations, inéquations dans R, Systèmes d équations 1- Equation à une inconnue Une équation est une égalité contenant un nombre inconnu noté en général x et qui est appelé l inconnue. Résoudre l équation
Plus en détailÉquations d amorçage d intégrales premières formelles
Équations d amorçage d intégrales premières formelles D Boularas, A Chouikrat 30 novembre 2005 Résumé Grâce à une analyse matricielle et combinatoire des conditions d intégrabilité, on établit des équations
Plus en détailLe Modèle Linéaire par l exemple :
Publications du Laboratoire de Statistique et Probabilités Le Modèle Linéaire par l exemple : Régression, Analyse de la Variance,... Jean-Marc Azaïs et Jean-Marc Bardet Laboratoire de Statistique et Probabilités
Plus en détailavec des nombres entiers
Calculer avec des nombres entiers Effectuez les calculs suivants.. + 9 + 9. Calculez. 9 9 Calculez le quotient et le rest. : : : : 0 :. : : 9 : : 9 0 : 0. 9 9 0 9. Calculez. 9 0 9. : : 0 : 9 : :. : : 0
Plus en détailComment démontrer des formules sans effort? exposé de maîtrise
Comment démontrer des formules sans effort? exposé de maîtrise Marc Mezzarobba Sam Zoghaib Sujet proposé par François Loeser Résumé Nous exposons un ensemble de méthodes qui permettent d évaluer «en forme
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailSujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.
Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de
Plus en détailINTRODUCTION À L ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDANCES
INTRODUCTION À L ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDANCES Dominique LAFFLY Maître de Conférences, Université de Pau Laboratoire Société Environnement Territoire UMR 5603 du CNRS et Université de Pau Domaine
Plus en détailEléments de Théorie des Graphes et Programmation Linéaire
INSTITUT NATIONAL POLYTECHNIQUE DE LORRAINE Ecole Nationale Supérieure d Electricité et de Mécanique Eléments de Théorie des Graphes et Programmation Linéaire Didier Maquin Professeur à l INPL Version
Plus en détailaux différences est appelé équation aux différences d ordre n en forme normale.
MODÉLISATION ET SIMULATION EQUATIONS AUX DIFFÉRENCES (I/II) 1. Rappels théoriques : résolution d équations aux différences 1.1. Équations aux différences. Définition. Soit x k = x(k) X l état scalaire
Plus en détailL ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ
L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ INTRODUCTION Données : n individus observés sur p variables quantitatives. L A.C.P. permet d eplorer les liaisons entre variables et
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détailDéveloppement décimal d un réel
4 Développement décimal d un réel On rappelle que le corps R des nombres réels est archimédien, ce qui permet d y définir la fonction partie entière. En utilisant cette partie entière on verra dans ce
Plus en détail= 1 si n = m& où n et m sont souvent des indices entiers, par exemple, n, m = 0, 1, 2, 3, 4... En fait,! n m
1 épartement de Physique, Université Laval, Québec Pierre Amiot, 1. La fonction delta et certaines de ses utilisations. Clientèle Ce texte est destiné aux physiciens, ingénieurs et autres scientifiques.
Plus en détailAmphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues
Amphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues Département de Mathématiques École polytechnique Remise en forme mathématique 2013 Suite de Cauchy Soit (X, d) un espace métrique. Une suite
Plus en détailCalcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach
Chapitre 7 Calcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach L objet de ce chapitre est de définir un calcul fonctionnel holomorphe qui prolonge le calcul fonctionnel polynômial et qui respecte
Plus en détailCHAPITRE 1. Suites arithmetiques et géometriques. Rappel 1. On appelle suite réelle une application de
HAPITRE 1 Suites arithmetiques et géometriques Rappel 1 On appelle suite réelle une application de dans, soit est-à-dire pour une valeur de la variable appartenant à la suite prend la valeur, ie : On notera
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours
Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****
Plus en détailChapitre 5 : Flot maximal dans un graphe
Graphes et RO TELECOM Nancy A Chapitre 5 : Flot maximal dans un graphe J.-F. Scheid 1 Plan du chapitre I. Définitions 1 Graphe Graphe valué 3 Représentation d un graphe (matrice d incidence, matrice d
Plus en détailLoi d une variable discrète
MATHEMATIQUES TD N : VARIABLES DISCRETES - Corrigé. P[X = k] 0 k point de discontinuité de F et P[X = k] = F(k + ) F(k ) Ainsi, P[X = ] =, P[X = 0] =, P[X = ] = R&T Saint-Malo - nde année - 0/0 Loi d une
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailTP 1 Introduction à Matlab Février 2009
1 Introduction TP 1 Introduction à Matlab Février 2009 Matlab pour «MATtrix LABoratory», est un logiciel qui a été conçu pour fournir un environnement de calcul numérique de haut niveau. Il est particulièrement
Plus en détailMathématiques financières
Mathématique financière à court terme I) Les Intérêts : Intérêts simples Mathématiques financières - Intérêts terme échu et terme à échoir - Taux terme échu i u équivalent à un taux terme à échoir i r
Plus en détailFONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)
FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité
Plus en détailCorrection de l examen de la première session
de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi
Plus en détailCorrigé du baccalauréat S Asie 21 juin 2010
Corrigé du baccalauréat S Asie juin 00 EXERCICE Commun à tous les candidats 4 points. Question : Le triangle GBI est : Réponse a : isocèle. Réponse b : équilatéral. Réponse c : rectangle. On a GB = + =
Plus en détailExercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument
Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 août 2015 Enoncés 1 Proailités sur un univers fini Evènements et langage ensemliste A quelle condition sur (a,, c, d) ]0, 1[ 4 existe-t-il une proailité P sur
Plus en détailCours d Analyse 3 Fonctions de plusieurs variables
Université Claude Bernard, Lyon I Licence Sciences, Technologies & Santé 43, boulevard 11 novembre 1918 Spécialité Mathématiques 69622 Villeurbanne cedex, France L. Pujo-Menjouet pujo@math.univ-lyon1.fr
Plus en détailContinuité en un point
DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à
Plus en détailModèles et Méthodes de Réservation
Modèles et Méthodes de Réservation Petit Cours donné à l Université de Strasbourg en Mai 2003 par Klaus D Schmidt Lehrstuhl für Versicherungsmathematik Technische Universität Dresden D 01062 Dresden E
Plus en détailCoefficients binomiaux
Probabilités L2 Exercices Chapitre 2 Coefficients binomiaux 1 ( ) On appelle chemin une suite de segments de longueur 1, dirigés soit vers le haut, soit vers la droite 1 Dénombrer tous les chemins allant
Plus en détail4G2. Triangles et parallèles
4G2 Triangles et parallèles ST- QU TU T SOUVINS? 1) On te donne une droite (d) et un point n'appartenant pas à cette droite. vec une équerre et une règle non graduée, sais-tu construire la parallèle à
Plus en détailExemple 4.4. Continuons l exemple précédent. Maintenant on travaille sur les quaternions et on a alors les décompositions
Exemple 4.4. Continuons l exemple précédent. Maintenant on travaille sur les quaternions et on a alors les décompositions HQ = He 1 He 2 He 3 He 4 HQ e 5 comme anneaux (avec centre Re 1 Re 2 Re 3 Re 4
Plus en détailThéorème du point fixe - Théorème de l inversion locale
Chapitre 7 Théorème du point fixe - Théorème de l inversion locale Dans ce chapitre et le suivant, on montre deux applications importantes de la notion de différentiabilité : le théorème de l inversion
Plus en détailLE PRODUIT SCALAIRE ( En première S )
LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 4 Janvier 007 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble ( Année 006-007 ) 1 Table des matières 1 Grille d autoévaluation
Plus en détailwww.h-k.fr/publications/objectif-agregation
«Sur C, tout est connexe!» www.h-k.fr/publications/objectif-agregation L idée de cette note est de montrer que, contrairement à ce qui se passe sur R, «sur C, tout est connexe». Cet abus de langage se
Plus en détail